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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 10:55
L’élément air rattaché de Narbonne récompensé à l’Assemblée nationale

 

22/06/2015 Alexandra Milhat - Armée de l'air

 

Le 18 juin 2015, l’association civisme Défense armée Nation (CIDAN) a organisé la remise du Trophée « Civisme et Défense », à l’Assemblée nationale. L’élément air rattaché (EAR) de Narbonne (11) fait partie des lauréats.

 

« Vos nombreuses initiatives rencontrent le succès. Parmi elles, l’action vers les jeunes cadets de l’armée de l’air », a déclaré Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, dans son discours d’ouverture de la cérémonie de remise de prix. C’est dans le somptueux décor de l’Hôtel de Lassay, que l’élément air rattaché de Narbonne s’est vu récompensé du « Prix spécial de la Présidente du jury », Mme Françoise Moulin-Civil, rectrice de l’académie de Lyon et chancelière des universités. « J’ai eu un vrai coup de cœur pour ce très beau projet, qui illustre parfaitement le lien Défense – éducation, armée – école », déclare-t-elle avec enthousiasme.

 

Très ému, le capitaine réserviste Cyril Poulet, à l’initiative du projet « Cadets de la Défense Air Narbonne », a été également récompensé par la Patrouille de France, qui, ne pouvant être présente ni représentée, a tenu à offrir un poster dédicacé aux cadets. Dans son discours, le capitaine explique, la voix pleine d'émotion: « Dans une période très pessimiste, cette action est porteuse d’espoirs et d’encouragements sur les réelles capacités des jeunes à s’engager autour de valeurs républicaines communes ».

 

Destinée aux élèves de 14 à 16 ans scolarisés dans des zones fragiles, l’immersion dans cette section de cadets vise trois objectifs : faciliter la mixité sociale entre jeunes issus de milieux différents, permettre aux jeunes de connaître l’institution militaire et ses métiers, renforcer le lien armée-nation. Ainsi, plusieurs activités sont organisées, autour de quatre thématiques : la citoyenneté (les cadets ont ainsi obtenu leur brevet de secourisme), la formation aux métiers du ministère de la Défense, le sport, la culture avec de nombreuses visites au programme, ainsi que le devoir de mémoire.

 

« C’est une aventure extraordinaire qu’on ne vivra pas deux fois, et qu’on n’oubliera jamais, confie l’un des quatre cadets présents à l’Assemblée nationale, très impressionné. On est très fiers d’être là, on ne réalise pas que ça nous arrive à nous ».

 

Le capitaine Poulet confie que la mise en place du projet a pourtant été compliquée : « Sur le principe, tout le monde était d’accord, mais nous avions besoin d’argent. Après avoir monté beaucoup de dossiers, et au fur et à mesure de l’avancement, beaucoup de secteurs différents sont venus se rattacher à nous. Chacun a apporté sa pierre à l’édifice ». Ainsi, parmi les nombreux partenaires, on compte, entres autres, le ministère de la Défense et celui de l’Education nationale, l’École des pupilles de l’air, qui a fourni les tenues aux cadets, ou encore les bases aériennes d’Istres et de Salon-de-Provence. Il conclut : « Grâce à cette initiative, on réussit à gommer les inégalités sociales entre les jeunes ».

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 10:55
Général Stéphane Abrial - photo Thomas Laisné - Safran

Général Stéphane Abrial - photo Thomas Laisné - Safran

 

19/06/2015 Marie Broyer - Armée de l'air

 

L’armée de l’air est fière d’annoncer la récente nomination de généraux de deuxième section à deux postes majeurs dans l’industrie aéronautique en France.

 

Le général Stéphane Abrial, 60 ans, après avoir occupé le poste de directeur général délégué du groupe Safran, a pris les fonctions de directeur du groupe international et des relations institutionnelles le 15 juin.

Diplômé de l’Ecole de l’air (1975), il acquiert une expérience dans le domaine politico-militaire grâce à ses affectations à l’état-major du président de la République (2000-2002) puis auprès du Premier ministre, dont il fut le chef de cabinet militaire.

Il devient en 2006 chef d’état-major de l’armée de l’air. En 2009, il est le premier militaire non américain à occuper le poste de commandant suprême allié Transformation (SACT) à l’OTAN.

 

Général William Kurtz

Général William Kurtz

Le général William Kurtz, 54 ans, actuel conseiller militaire du PDG du groupe Safran, occupera à compter du 1er juillet le poste de président de SEM MB (Société d'équipements des matériels Martin Baker).

Diplômé de l’Ecole de l’air (1982), il prend le commandement de la base aérienne de Djibouti en 2006. De 2008 à 2011, il occupe le poste de chef du Sirpa Air, avant de retourner à Djibouti en 2011 comme commandant des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Ces officiers généraux mettent aujourd’hui leur expertise et leur connaissance du milieu de l’aéronautique au service de grands groupes.

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 10:55
photos Armée de l'Air

photos Armée de l'Air

 

21/06/2015 Armée de l'air

 

Pendant le Salon international de l’aéronautique et de l’espace, l’armée de l’air installe une « base aérienne projetée » (BAP), à l’image de celles présentes sur les opérations extérieures. Découverte de l’envers du décor.

 

Le soleil n’est pas encore levé, en ce samedi 20 juin, mais l’activité est déjà intense sur la BAP. Depuis plus d’une semaine, 500 militaires venus de toute la France ont pris leurs quartiers, sur l’ancien site du centre de formation des apprentis de Garges-lès-Gonesse. « On recrée une vraie base aérienne, explique le colonel de réserve Jean-Michel, chargé du dispositif. Avec mon équipe, nous avons travaillé depuis le mois de janvier sur la mise en œuvre de ce dispositif. Concrètement, il n’existe rien de préétablis. L’objectif principal est d’adapter le soutien au rythme de vie du détachement. »

 

En effet, les militaires présents sur le site assurent la surveillance du ciel au-dessus de Paris ainsi que la protection des avions et des installations du Bourget, leurs plages horaires sont donc assez étendues. L’adjudant-chef Saïd, du groupement de soutien de la base de défense de Vincennes, est chef de la restauration « J’ai une équipe de douze personnes pour préparer plus de 350 repas le midi et environ 450 le soir. L’une des particularités à prendre en compte pour cette BAP ce sont les horaires décalés. Les premières personnes arrivent dès 4h30 pour le petit-déjeuner et d’autres ne rentrent qu’à 22 heures. Il est nécessaire d’optimiser la gestion du personnel pour durer. » Douches de campagne, cuisines, intendance, laverie, tout est mis en place pour donner un minium de confort sur le site. « Les conditions de vies sont rustiques mais nous avons la chance de loger dans des bâtiments en dur, nous sommes donc moins sensibles aux intempéries, au froid et à la pluie », nous confie un militaire présent sur la BAP. La proximité avec le Salon du Bourget facilite également les déplacements pour les militaires et apporte plus de réactivité. « La proximité avec le salon, nous permet de récupérer du temps de repos pour le personnel, ce qui n’est pas négligeable », confie le colonel de réserve Jean-Michel. Les premiers militaires quitteront cette base aérienne éphémère dès ce soir, et plusieurs convois circuleront jusqu’au 02 juillet 2015, afin de ne laisser aucune trace de leur passage.

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air s’est rendu sur place, samedi 20 juin 2015 afin de rencontrer le personnel de la BAP.

 

Rencontre avec trois militaires de la BAP

 

Capitaine Olivier, commandant du détachement des systèmes d’information et de communications

 

Le Bourget : les coulisses d'une base aérienne projetée

 « Nous sommes en charge de la mise en œuvre de tous les systèmes de coordination, de communication et de surveillance du dispositif de protection et sûreté aérienne. À la fois pour le sol-air, le C2A2 (cellule de coordination de l'activité aérienne) mais également pour le conseiller air qui se trouve au Salon. Nous sommes accueillis par la BAP, parce que le soutien vie est effectué par celle-ci. De plus, au sein de la BAP, nous avons réalisé tout le câblage du bâtiment et installé le poste de commandement. Concrètement, nous avons permis aux différents acteurs de la BAP de pouvoir travailler sur les réseaux militaires. Aujourd’hui, nous sommes plus dans une phase de conduite, nous réalisons le suivi des opérations et nous adaptons les moyens aux besoins des opérateurs. La manœuvre de déploiement et de mise en œuvre est dirigée par les aviateurs du groupement tactique des systèmes d’information et de communication aéronautiques  avec des renforts de la DIRISI. »

 

Sergent Audrey, infirmière

 

Le Bourget : les coulisses d'une base aérienne projetée

« Je suis affectée au centre médical de Vincennes et mon rôle est de soutenir tout le personnel militaire en détachement ici. Nous apportons notre diagnostic pour toutes les pathologies du quotidien. En majorité, les militaires sont venus pour des allergies liées aux pollens ou encore des coups de chaleur, coups de soleil. Pour moi, cette mission est la première de cette envergure. Il a fallu tout préparer en amont, de la commande des médicaments jusqu’à l’aménagement de l’infirmerie de manière ergonomique. L’expérience professionnelle est très enrichissante, parce que j’ai retrouvé le contexte opération extérieure et que j’ai travaillé sur les diagnostics lorsque le médecin était absent. »

 

Caporal-chef Dimitri, pompier

 

Le Bourget : les coulisses d'une base aérienne projetée

« Sur la BAP, notre rôle est d’intervenir sur des feux de type urbain mais nous assurons également le secours à victime. Notre dispositif d’incendie et de sauvetage est sensiblement le même que sur une base aérienne, comme à Creil où je suis affecté. Nous sommes cinq en permanence, un sous-officier et quatre militaires du rang dont un stationnaire, avec un fourgon pompe-tonne léger (FPTL). Une autre partie du détachement, est quant à elle mise en place sur le site du Salon du Bourget. Elle est positionnée sur plusieurs points avec des véhicules incendie et des pompiers de l’aéroport de Paris. Cela nous permet d’intervenir en moins de 45 secondes en cas de crash aérien et de partager nos compétences aéronautiques entre pompiers civils et militaires. Bien entendu, nous effectuons une rotation sur les deux sites. »

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 07:55
La Patrouille de France survolera à nouveau Autun

 

19/06/2015 lejsl.com

 

Vitrine de l’Armée de l’Air française, la Patrouille de France survolera Autun à l’occasion d’un déplacement le vendredi 26 juin à 10 h 45 dans l'axe Saint-Pantaléon - Croix de la Libération.

 

Un salut par battement d’aile sera opéré par un des pilotes.

Ce pilote, ancien élève du Lycée militaire d’Autun, aujourd’hui officier pilote de chasse, prendra le commandement de la Patrouille de France cet été. Il sera alors le 3e élève du LMA à devenir leader de la Patrouille de France.

Une belle reconnaissance pour notre cité et le LMA, et un évènement à ne pas manquer pour les Autunois !

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 07:55
Signature d’un partenariat entre l’armée de l’air et l’Éducation nationale au salon du Bourget

 

18/06/2015 Lieutenant Alexandra Lesur-Tambuté - Armée de l'air

 

Mercredi 17 juin 2015, une convention de partenariat a été signée entre l’armée de l’air et l’Éducation nationale, respectivement représenté par le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA) et Mme Florence Robine, directrice générale de l'enseignement scolaire (DGesco). Un événement en faveur de la jeunesse à l’occasion de la troisième journée du 51e Salon international de l'aéronautique et de l'espace.

 

Toutes les bases aériennes engagées

Cette convention vise à favoriser, avec l’appui des bases aériennes militaires, la mise en œuvre d’action de formation préparant au brevet d’initiation à l’aéronautique (BIA) alors que plus de 10 000 jeunes postulent à ce diplôme chaque année. « Il s’agit de généraliser un projet déjà réalisé au sein de notre institution », souligne le CEMAA. En effet, en 2012, l’armée de l’air engageait ses aviateurs à contribuer à l’enseignement du BIA au sein de plusieurs établissements scolaires. « Ce diplôme de l’Éducation nationale vise à permettre à tous les jeunes volontaires de découvrir gratuitement les métiers de l’aéronautique, ajoute le général Mercier. Mais l’objectif est aussi de relier cette discipline en pleine expansion à la citoyenneté, élément indispensable pour construire une société apaisée. »

 

Si  l’armée de l’air est une chance de plus pour les jeunes, solennellement, j’ajouterai, la jeunesse est  une chance de plus pour l’armée de l’air ! » (CEMAA)

 

 Un projet en faveur de la jeunesse

Ce nouvel élan entre l’armée de l’air et l’Éducation nationale s’inscrit dans un cadre plus large, le plan « Air Jeunesse ». Ce projet ne vise en aucun cas à se substituer à l’Éducation nationale mais à véritablement travailler en complémentarité avec un allié de toujours. « Chaque année, plusieurs dizaines d‘événements y sont initiés et réalisés sous l’autorité des commandants de base, acteurs premiers du tissu territorial et liens premiers des contacts «jeunesse» », confie le général Mercier. Parmi celles-ci, la base aérienne 701 de Salon-de-Provence en est un exemple de réussite notamment grâce au « tutorat de l’École de l’air », au sein duquel les élèves officiers de l’armée de l’air (EOAA) s’investissent bénévolement au service des jeunes de la région. Par ailleurs, le CEMAA a rappelé la création de la fondation de l’armée de l’air, « qui permettra de financer des actions voire des heures de vol au profit de ces jeunes passionnés ».

 

Le lycée Aristide Briand à l’honneur

En renforçant leurs liens, les deux institutions visent à promouvoir l’aéronautique, un secteur plein d’avenir, « un vrai partage de rêve ». Un secteur qui a d’ailleurs sauvé un lycée en perte de vitesse. En effet, deux sous-officiers de l’armée de l’air ont créé une classe aéronautique au sein du lycée Aristide Briand, situé non loin du musée de l’air et de l’espace du Bourget. Depuis, le lycée croule sous les demandes d’inscription. « Nous avions jusqu’à 600 demandes pour seulement 12 places », explique Samuel Massin, ancien sous-officier mécanicien ayant œuvré pour ce projet. « L’armée de l’air a véritablement apporté un nouvel élan voire sauvé l’établissement.» Cet exemple aussi, le CEMAA entend bien le généraliser. « Avec ce partenariat, nous souhaitons travailler dans une démarche plus large, pas seulement au profit des mécaniciens mais l’ouvrir à tous nos métiers en ouvrant bien grand les portes de nos enceintes. »

 

Signature d’un partenariat entre l’armée de l’air et l’Éducation nationale au salon du Bourget
Signature d’un partenariat entre l’armée de l’air et l’Éducation nationale au salon du Bourget
Signature d’un partenariat entre l’armée de l’air et l’Éducation nationale au salon du Bourget

Témoignage d’un élève du lycée Aristide Briand

Antoine Bigand - «  J’ai découvert les spécialités que l’on proposait dans ce lycée et j’ai réussi à intégrer la spécialité de mécanicien aéronautique. C’est un beau métier. Je me sens privilégié de faire partie des 12 sélectionnés. J’ai passé le concours pour intégrer l’école de Saintes. J’attends avec impatience les résultats. Dans tous les cas, j’espère un jour intégrer l’armée de l’air et devenir mécanicien moteur. »

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 06:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

18/06/2015 Capitaine Karim Djemaï - Armée de l'air

 

Le centre d’excellence « drones » (CED), installé sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence, a intégré le réseau Provence Remotely Piloted Aircraft System (RPAS) Network du pôle Pégase.

 

Cette annonce a été officialisée, jeudi 18 juin 2015, au Salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget, par M. Michel Fiat, directeur du pôle Pégase, en présence du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air et du général Francis Pollet, commandant l’École de l’air et la base aérienne 701 de Salon-de-Provence.

 « L’arrivée du CED au sein du Provence RPAS Network permet d’apporter l’expertise de l’armée de l’air dans le domaine de la formation, de la certification et de l’évaluation de nouveaux systèmes et concepts », estime le colonel Jean-François Héry-Goisnard, représentant de l’École de l’air auprès du pôle Pégase. « L’obtention de ce label est une reconnaissance de la qualité du CED, détaille quant à lui le général Pollet. Cela renforce notre crédibilité vis-à-vis du monde industriel et favorise le développement de synergies. »

Créé en mai 2006, le pôle Pégase est un pôle de compétitivité, dont l’activité essentielle est essentiellement centrée autour de l’aéronautique. L’École de l’air est membre du comité exécutif du pôle Pégase depuis les origines.

 

photo Armée de l'Airphoto Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

Le centre d’expertise drones de Salon-de-Provence

Afin de répondre à ses besoins croissants en formation et à sa volonté d’anticiper en matière d’innovation, l’armée de l’air a créé un centre d’excellence « drones » (CED) sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence. Un échelon de préfiguration a ainsi vu le jour en septembre 2014 et a accueilli ses premiers stagiaires en 2015 (Sensor Operators, opérateurs de mini-drones, stagiaires de haut niveau…).

Le CED possède une double vocation : former et innover. Le centre d’excellence « drones » compte ainsi un ensemble de moyens techniques afin de constituer un Mission Lab (laboratoire de recherche, de tests et de validations de systèmes). Les concepts innovants y sont matérialisés et testés in situ. Sept personnes forment actuellement son personnel d’encadrement. Actuellement en travaux, ces locaux rénovés doivent être livrés en février 2016.

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 06:55
Un pilote de Tigre HAD aux commandes de son appareil. photo J.Redouane ECPAD

Un pilote de Tigre HAD aux commandes de son appareil. photo J.Redouane ECPAD

 

18/06/2015   DICoD

 

Le Salon du Bourget se poursuit et les visites se succèdent. Après le président de la République et le ministre de la Défense, c’est le secrétaire d’État chargé des Anciens combattants et de la Mémoire, le chef d’État-Major des armées et le chef d’état-major de l’armée de l’Air qui sont venus sur le stand du ministère de la Défense.

 

Voir le diaporama

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 06:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

18/06/2015 Aspirant Julie Beck - Armée de l'air

 

« Développer la formation aérospatiale des ingénieurs de demain » telle est la devise de la convention entre le groupe ISAE (ISAE-SUPAERO ; ISAE-ENSMA ; ESTACA ; École de l’air), le groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (GIFAS) et la fondation ISAE-SUPAERO.

 

La convention tripartite constitue un partenariat de tout premier plan en Europe. « Cette convention contribue à la fois au développement d’un enseignement et d’une recherche d’excellence dans le domaine aérospatial, et au rayonnement des écoles du Groupe ISAE », confie Olivier Zarrouati, président de la fondation ISAE-SUPAERO. Elle a vocation à favoriser le développement d’un enseignement académique et professionnel de haut niveau en Europe dans les domaines des systèmes aérospatiaux, de la recherche ainsi qu’une ouverture sociale et une promotion des métiers du secteur auprès des jeunes.

 

L’occasion pour le général Françis Pollet, commandant la base aérienne 701 de Salon-de-Provence et l’École de l’air, de revenir sur le fruit du partenariat avec le Groupe ISAE. Membre associée de l’ISAE depuis 2012, l’École de l’air accueille et forme en permanence environ 500 élèves destinés à devenir officiers. « L’objectif de ce partenariat est de s’adapter aux nouvelles pédagogies à la fois innovantes et numériques, annonce le général Pollet. Nous sommes quatre écoles avec des recrutements et des finalités très différentes, c’est ce qui fait la force du groupe ISAE. » De plus, ce partenariat s’inscrit entièrement dans le plan Unis pour « faire face » de l’armée de l’air. « En proposant des formations ouvertes sur le monde universitaire et industriel, l’École de l’air offre des cursus de qualité, ajoute le général. Les échanges avec l’ENSMA Poitiers, spécialisé dans la mécanique et l'aérotechnique ou avec l’ESTACA, expert des technologies électriques et énergétiques, permettent d’améliorer nos enseignements. Il faut que nos cursus soient à l’image des technologies que nous utilisons : Rafale ou A400M. »

 

Les chercheurs des quatre écoles ont également tissé des liens étroits dans le but de lancer des projets de recherche communs dans les domaines de la mécanique, l’aérodynamique ou la dynamique du vol. Des pistes de recherche exploratoires sont à l’étude notamment sur les matériaux et structures composites, l’aéroélasticité des ailes de grande envergure ou encore la propulsion-combustion.

 

photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

Rencontrez les cadres et élèves de l’École de l’air

L’École de l’air dispose d’un stand sur l’esplanade de l’armée de l’air. Des cadres et des élèves vous y accueilleront tout au long de la semaine. 

De plus, vous pourrez également venir à leur rencontre du 19 au 21 juin au Forum « Emploi Formation » – Hall Concorde stand 59 – afin de mieux connaître cette grande école qui forme les officiers de demain.

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 11:55
Exposition statique sur l’aéroclub de Dinan

 

17/06/2015 Armée de l'air

 

Le 10 juin 2015, le CIRFA de Rennes a organisé une exposition statique au profit d’une dizaine d’élèves de la ville de Dinan.

 

Les élèves de l’aéroclub faisaient ce mercredi leur baptême de l’air, après avoir suivi une formation théorique. Rassemblés autour d’un Fennec, ils ont pu poser des questions au pilote présent. Cette exposition statique était organisée dans le cadre d’un partenariat avec l’Armée de l’air, qui cofinance les formations à l’aéroclub de Dinan.

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 11:35
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

17/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 1er au 3 juin 2015, les forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) ont réalisé une mission de souveraineté sur les îlots Matthew et Hunter. Il s’agit d’une mission régalienne renouvelée régulièrement afin de marquer la présence française et d’en vérifier l’intégrité. En effet, depuis son accession à l’indépendance en 1980, la république du Vanuatu, anciennement condominium franco-britannique des Nouvelles-Hébrides, revendique la souveraineté sur ces îlots.

 

Pour cette opération, les FANC ont déployé la frégate de surveillance Vendémiaire, l’Alouette III de la 22S, un Puma de l’escadron de transport (ET) 52 de la base aérienne 186 Lieutenant Paul Klein et un détachement (un officier et un groupe de combat) du régiment d’infanterie de marine du Pacifique Nouvelle-Calédonie (RIMaP-NC).

 

Le détachement du RIMaP-NC a été héliporté sur l’ilot Matthew par l’hélicoptère embarqué Puma pour restaurer les marques de souveraineté. Le détachement y a effectué plusieurs reconnaissances en vue d’installer d’éventuelles zones de poser hélicoptère et de bivouacs.

 

Les FANC constituent le point d’appui central du « théâtre » Pacifique avec un dispositif interarmées centré sur un groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les Forces armées en Polynésie Française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principales missions d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’Etat.

photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 11:25
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

17/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 11 juin 2015, les forces armées en Guyane (FAG) ont procédé à une sortie aérienne de renseignement destinée à collecter des images, dans le cadre de la lutte contre l’orpaillage illégal.

 

Afin de recenser les sites d’orpaillage illégaux sur des zones bien définies, l’équipe « renseignement-images », composée de trois sous-officiers, effectue régulièrement des vols au-dessus de la canopée. La mission des « rens » est à la fois de détecter et de suivre l’activité illégale.

 

Les vols renseignements ont lieu régulièrement, que ce soit à bord d’un Fennec ou d’un CASA. Le vol CASA,qui peut durer jusqu’à 4 à 5 heures, s’attache à la détection et au contrôle de zone sur de plus grandes étendues. « Les vols CASA nous permettent soit de détecter à travers des criques turbides un début d’activité, soit de confirmer des activités déjà connues. Les vols Fennec, quant à eux, nous permettent, grâce à l’état stationnaire de l’hélicoptère, d’identifier précisément l’activité sous la canopée », précise le lieutenant-colonel Pierre.

 

Lors des vols en avion CASA, l’adjudant Cyril, chef de cellule renseignement-image, oriente le pilote et les photographes sur les zones d’activité. « Nos photographes sont présents pour prendre des images de toutes les activités d’orpaillage ainsi qu’un scribe pour noter toutes les informations », ajoute le lieutenant-colonel Pierre.

 

Les observations de ces vols renseignement-images sont intégrées dans la base de données du programme inter-administrations, l’Observatoire de l’Activité Minière, auquel participent les FAG, les gendarmes, l’ONF et le Parc Amazonien de Guyane.

 

Les quatre administrations mettent en commun leurs données pour connaître avec précisions les activités illégales en forêt. « Les FAG effectuent également des vols conjoints avec l’ONF. Les FAG encouragent les administrations concourantes à faire des vols conjoints afin que les observations soient objectives et partagées », conclut le lieutenant-colonel Pierre.

 

Depuis l’été 2014, les missions Harpie ont conduit à une diminution de plus de 40% de l’activité d’orpaillage illégale selon les données de l’Observatoire de l’Activité Minière.

 

A 7 000 km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’Etat dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent sur un territoire rendu exigeant par son étendue (1 100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 05:55
photo J.Redouane - ECPAD

photo J.Redouane - ECPAD

 

17/06/2015 Domenico Morano  / DICoD  - Economie et technologie

 

Mardi 16 juin, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu sur le stand du ministère de la Défense lors de la 51e édition du Salon international de l’aéronautique et de l’espace. Le ministre a salué l’industrie aéronautique française, ainsi que l’ensemble des personnes qui participent à sa croissance.

 

Jean-Yves Le Drian a également félicité "la qualité et l’excellence des industries aéronautiques françaises" et apprécié que cette "industrie fondamentale pour la France crée de l’innovation et de l’emploi."

 

Après avoir échangé quelques mots avec les pilotes de la Direction générale de l’armement (DGA) et salué chaleureusement les pilotes de l’armée de l’Air, Jean-Yves Le Drian a visité les innovations exposées sur le stand du ministère de la Défense. Il a pu y admiré le projet BULLE, un bras articulé qui permet des inspections sécurisées d’équipements difficiles d’accès, ainsi que le projet SIMBAA, un matériau aéronautique biosourcé, appelé ainsi car renforcé par des fibres de lin.

 

Le ministre de la Défense a aussi « pu constater l’effort de l’ensemble de la branche pour assurer la formation et la qualification. Il ne suffit pas d’être dans l’excellence, il faut aussi que nous soyons en mesure de répondre aux commandes et d’anticiper sur la suite », a souligné Jean-Yves Le Drian. « C’est pourquoi l’Avion des Métiers me paraît une initiative à encourager. »

 

Il a également félicité « la qualité et l’excellence des industries aéronautiques françaises » et apprécié que cette « industrie fondamentale pour la France crée de l’innovation et de l’emploi. Il y a aujourd’hui environ 350 000 emplois directs dans l’industrie aéronautique », a assuré le ministre. « Cela concerne la Défense mais aussi les industriels, que ce soient les grands groupes ou les petites et moyennes entreprises. »

 

Le ministre a souligné que 2014 avait été « une année particulièrement positive puisqu’à l’exportation, [elle] a connu un chiffre historique de prises de commandes de plus de 8 milliards d’euros. Et l’année 2015 se présente sous des auspices [encore]  meilleurs ».

photo RP Defense
photo RP Defense
photo RP Defense
photo RP Defense

photo RP Defense

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 05:45
photo SGC K. Congini - BA188 - Armée de l'Air

photo SGC K. Congini - BA188 - Armée de l'Air

 

17/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 8 au 12 juin 2015, le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM) a mené une expérimentation de déploiement de l’A400M à Djibouti.

 

L’objectif principal de la mission était d’expérimenter un déploiement en condition « temps chaud » sur une plateforme située à plus de 3 000 Nm (environ 5 500 km) de la base opérationnelle principale. Djibouti constituait le terrain idéal répondant à toutes les attentes, notamment distance et climat. En outre, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) garantissaient un soutien logistique et opérationnel essentiel.

 

L’expérimentation à Djibouti n’est pas une première. En février 2014, un test de vol en basse altitude s’était déroulé prenant en compte les brusques variations de terrain entre montagnes et zones désertiques plates, végétation et aridité. Cette fois, avec le début de la période estivale, l’aspect « temps chaud » était particulièrement prépondérant.

 

Parti de la base aérienne d’Orléans, l’aéronef a rejoint la base aérienne 188 de Djibouti pour expérimenter deux domaines : le soutien et le vol. Il s’agissait de réduire au maximum l’empreinte logistique, d’éprouver l’organisation des services techniques dans le cadre d’un déploiement très éloigné de la base opérationnelle principale et d’utiliser le groupe de démarrage à air. Une étude sur le « Combat Offload »a également été menée. Enfin, les conditions aérologiques de Djibouti ont permis de tester le système dans des conditions difficiles (températures et taux d’hygrométrie très élevés).

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo SGC K. Congini - BA188 - Armée de l'Airphoto SGC K. Congini - BA188 - Armée de l'Airphoto SGC K. Congini - BA188 - Armée de l'Air
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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 04:55
Musée de l'air et de l'espace - photo Armée de l'Air

Musée de l'air et de l'espace - photo Armée de l'Air

 

17/06/2015 Armée de l'air

 

En avant-première, le Musée de l’air et de l’espace a ouvert son « hall de la cocarde » fraîchement rénové. Rencontre avec ces passionnés de l’aviation.

 

En chantier depuis plus d’un an, cet espace a vocation à mettre en avant l’aéronautique militaire français et plus particulièrement l’armée de l’air depuis les années 1950. « La rénovation s’est déroulée en plusieurs étapes, témoigne le général (2s) Gérard Vitry, directeur adjoint du Musée de l’air et de l’espace. Nous avons notamment fait un effort sur les nouveaux scénarii pour le hall d’exposition. Cette rénovation nous permet également de valoriser des collections, un peu abandonnées dont une collection d’affiches aéronautiques. »

 

Dès son arrivée, le visiteur est immédiatement plongé dans le monde enchanteur de l’aéronautique. Suspendus Mirage 2000, Ouragan ou encore Vampire colorent l’exposition. « Il a fallu revoir l’utilisation des espaces, confie M. Christian Tilati, conservateur en chef du patrimoine du musée. Nous avons mis l’accent l’évolution de l’arme aérienne en France. »À travers, un parcours interactif, le spectateur est invité à découvrir des séquences vidéo et du matériel utilisé par l’armée de l’air. « Il nous reste quelques détails à peaufiner, mais nous serons prêts en septembre pour accueillir le public et inaugurer officiellement cette exposition », conclu le général Vitry. Un rendez-vous à ne pas manquer à la rentrée.

photo Armée de l'Airphoto Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 04:55
Remise des trophées Rafale 2015

 

17/06/2015 Adj Jean-Laurent Nijean - armée de l'air

 

Mardi 16 juin, une cérémonie de remise des trophées Rafale s’est déroulée au chalet de Dassault Aviation, sur le Salon international de l’aéronautique et de l’espace au Bourget.

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, et son homologue de la marine nationale, l’amiral Bernard Rogel, ont participé à cette mise en valeur des militaires de l’armée de l’air et de l’aéronautique navale, acteurs à part entière de l’aventure du Rafale.

 

«Je profite de cette remise de trophées pour remercier les unités de l’armée de l’air et de la marine nationale qui ont fortement contribué au rayonnement du Rafale, a déclaré Éric Trappier, président-directeur général (PDG) de Dassault Aviation. Je suis aujourd’hui fier d'accueillir la fine fleur de ces unités grâce auxquelles nous livrerons dans un mois le premier Rafale à l'export. C’est le fruit d’un véritable travail d’équipe»

 

Après un discours, où il a pu rappeler l’engagement du fer de lance de l’aviation militaire française dans les opérations actuelles ainsi que sa réussite à l’ exportation, le PDG a procédé à la remise de quatorze trophées, sous les applaudissements de l’assemblée.

 

Le lieutenant-colonel Thierry Kubiak, commandant l’escadron de transformation Rafale 2/92 «Aquitaine» a obtenu le trophée d’honneur pour avoir totalisé 2100 heures de vol sur le bimoteur de Dassault. Le capitaine Cédric Ruet a gagné deux trophées, l’un pour avoir dépassé les 2000 heures de vol, l’autre en sa qualité de premier présentateur du Rafale en 2009. «C’est vraiment gratifiant de recevoir ces deux trophées, ajoute l’ex-solo display pilot. Cela fait près de dix ans que j’ai le plaisir de voler sur Rafale et je ne vois pas comment je pourrais m’en lasser !»

 

Les deux autres présentateurs sur Rafale ne sont pas en reste, puisqu’ils ont également reçu un des trophées de l’industriel français. Les pilotes ne sont pas les seuls à avoir été récompensés : un chef navigateur officier système d’arme, le commandant Nicolas de l’escadron de chasse 1/91 «Gascogne», les commandants des escadrons de soutien technique aéronautique de Saint-Dizier et de Mont-de-Marsan et du centre de formation Rafale ont également remporté un prix Rafale. Seul sous-officier aviateur, l’adjudant-chef Fabien a été récompensé pour ses dix ans d’ancienneté sur Rafale comme mécanicien avionique. «D’abord affecté à Mont-de-Marsan, puis à Saint-Dizier lors de la mise en service opérationnelle du Rafale, j’ai eu la chance de participer à toutes les évolutions de l’aéronef, précise le sous-officier. C’est avec fierté que je représente l’ensemble des mécanos qui ont œuvré sur le Rafale.»

Remise des trophées Rafale 2015Remise des trophées Rafale 2015
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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 16:57
Interview of Christophe Simon, A330MRTT Program Director, French MOD, DGA


17 juin 2015 by Airbus DS

 

Why DGA choose MRTT aircraft and what will be its future missions? Answers by Christophe Simon, A330MRTT Program Director.

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 16:55
Bourget 2015 : Le CEAM évolue.

Le CEAM sera toujours l'expert des équipements. Il s'occupera également de la mise en valeur des retour d’expérience et de la rédaction de la doctrine. photo CEAM

 

17/06/2015 par Emmanuel Huberdeau – Air & Cosmos

 

C'est un changement de nom qui traduit une réforme profonde. Le CEAM ne sera bientôt plus le Centre d'Expérimentation de l'Armée de l'Air mais le Centre d'Expertise Aérienne Militaire. A l'étranger le CEAM se présente désormais comme le "Air Warfare Center" français.

 

L'acronyme reste donc le même, mais le nouveau CEAM voit son champ de compétence s'élargir. Le centre reste le spécialiste des équipements au sein de l'Armée de l'Air mais il devient également le référent pour la doctrine et l'expertise technique du combattant. Le général Reboul, son commandant, explique que ces trois piliers sont le fondement de la capacité militaire de l'armée de l'Air.

 

Le CEAM a désormais six grandes missions : la conduite des études exploratoires, le soutien à l'acquisition de nouveaux équipements, la rédaction des doctrines d'emploi, l'exploitation des retours d'expérience, la formation de cadres référents au sein des unités et le conseil aux chefs opérationnels.

 

Le centre, dont la structure de commandement est basée à Mont de Marsan, gardera donc  ses fonctions traditionnelles. Il test par exemple tous les équipements devant entrer en service dans l'armée de l'Air, des systèmes les plus sophistiqués aux plus simples. Mais désormais c'est également le CEAM qui rédigera la doctrine d'emploi de ces équipements, le "mode d'emploi de la bataille" comme la décrit le général Reboul. L'un des axes majeurs de la réforme du CEAM est la création d'un stage afin de former les futurs réferents du centre d'expertise au sein des unités. Ces stagiaires seront formés à la méthodologie qui leur permettra de diffuser et transmettre les meilleures pratiques, mais aussi de favoriser la réflexion personnelle et collective et de bâtir les retours d'expérience. Le CEAM compte former une vingtaine de référents par an qui seront issus de toutes les unités de l'armée de l'Air. La formation sera aussi ouverte aux spécialistes des opérations aériennes de la Marine et de l'armée de Terre.

 

Le CEAM continuera de s'appuyer sur près de 700 experts regroupés au sein de trois domaines : le C2 (Commandement et Contrôle) et l'ISR (Renseignement), la projection et l'intervention. 200 personnes travaillent au sein de centres d'expertise. Le général Reboul met en avant notamment ses experts de la guerre électronique, qui selon lui, sont parmi les meilleurs au monde.

 

La réforme du CEAM sera effective à partir de septembre 2015, mais dans les faits les premières actions ont déjà été mises en place.

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 16:55
Projet "CFA 2015" - Plan startégique Unis pour "Faire Face"


17 juin 2015 par Armée de l'Air

 

Le projet "CFA 2015" place ce commandement organique majeur de l'armée de l'air au centre de la cohérence technico-opérationnelle des bases aériennes. Il fusionne le commandement des forces aériennes (CFA) et le commandement du soutien des forces aériennes (CSFA) sur un seul et même site, la base aérienne 106 de Bordeaux-Merignac.

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 12:55
photo MinDef Fr

photo MinDef Fr


 17/06/2015  DICoD

 

Pour cette 51e édition du Salon du Bourget, le ministère de la Défense a décidé de mettre en avant quelques-uns de ces équipements-phares. Aujourd’hui, focus sur le missile Mistral. Ses missions sont diverses : défense de sites, défense antiaérienne contre les menaces à basse et très basse altitude et très courte portée, autodéfense des bâtiments de la Marine nationale et des hélicoptères.

 

 
---> Fiche technique<---

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 12:45
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

16/06/2015 Par Frédéric Pons- V.A.

 

Guerre moderne. Plus aucune opération n’est menée sans l’appui des drones de reconnaissance. Ils détectent, renseignent, appuient, rassurent, en temps réel. Pour avoir trop tardé, la France a été obligée d’acheter du matériel américain.

Les deux chefs islamistes se croyaient à l’abri dans l’adrar des Ifoghas, à l’extrême nord du Mali. Amada Ag Hama, affilié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), et Ibrahim Ag Inawalen, chef de la police religieuse du mouvement islamiste Ansar Dine, n’ont rien vu venir. Les forces spéciales françaises les ont éliminés le 18 mai, au terme d’une opération qui marque un nouveau succès des drones de reconnaissance Reaper.

Foudroyant, ce raid mené au “bout du monde” n’aurait pas été possible sans cette “arme fatale” utilisée depuis quinze mois par l’armée française. Ag Hama et Ag Inawalen ont été débusqués et pistés par un drone. L’action a été coordonnée également par un drone : l’approche des hélicoptères, un largage de parachutistes, la protection des chasseurs, l’assaut, le recueil et l’exfiltration des commandos.

Plus aucune opération n’est montée sans drone — c’est aussi un Reaper français qui a retrouvé, en juillet 2014, le site du crash du vol AH5017 d’Air Algérie, dans le nord du Mali. Chaque convoi a droit à son accompagnateur, car, dans l’immensité apparemment vide du Sahel, l’ennemi peut frapper à tout moment. Si la vigilance est totale, les soldats savent aussi qu’ils ne sont plus jamais seuls. Un drone veille sur eux, invisible, inaudible. De jour comme de nuit, il détecte la moindre présence ennemie, dans la plus grande discrétion. Captée à 6 000 ou 7 000 mètres, l’image d’un homme en armes sera aussitôt analysée. Si nécessaire, elle déclenchera une frappe aérienne, guidée par les capteurs du Reaper.

 

En orbite, le drone transmet ses images à la chaîne de commandement, en vidéo instantanée et en “vision partagée” : à Niamey (Niger), base arrière du détachement des drones ; à N’Djamena (Tchad), PC de l’opération Barkhane ; à Paris, dans les sous-sols du centre opérationnel des armées ; au Mont-Verdun (Lyon), chargé de coordonner la manoeuvre aérienne de Barkhane.

« Les drones, plus on en a, plus on en a besoin, dit le général Denis Mercier, le chef d’état-major de l’armée de l’air. C’est la clé des opérations en Afrique. » Le premier “aéronef piloté à distance” de type Reaper a été livré en janvier 2014. Le troisième est arrivé le 7 mai de cette année. Les hangars rougis par les vents de sable du détachement air de l’opération Barkhane à Niamey abritent un système Reaper complet, avec trois engins et deux cabines de conduite comparables aux cockpits de chasseurs. Le cap des 5 000 heures de vol a été franchi

 

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 11:45
photo EMA

photo EMA

 

12/06/2015 Sources : État-major des armées

 

L’exercice international DIANA 2015 s’est tenu du 20 au 26 mai 2015 dans la région de Diego Suarez, au Nord de Madagascar. Des détachements des pays de la Commission de l’Océan Indien, des Seychelles, des Comores, de l’île Maurice ou encore du pays hôte Madagascar, ont pu échanger leurs savoir-faire avec des éléments des Forces armées zone Sud de l’océan Indien (FAZSOI) représentés par l’EMIA, le Détachement de la Légion Etrangère à Mayotte, le 2ème Régiment Parachutiste d’Infanterie de Marine, le DA 181 et ses Transall,et le bâtiment de transport léger (BATRAL) La Grandière.

 

Tout d’abord déployé comme bâtiment logistique pour le transport des véhicules et du matériel de l’armée de Terre depuis la Réunion et Mayotte, le La Grandière a par la suite assuré le commandement tactique de deux patrouilleurs seychellois et d’un remorqueur hauturier malgache. Cette task-force interalliée a été déployée aux abords du cap d’Ambre afin de contrôler les flux commerciaux transitant dans la zone. De nombreuses missions de renseignement ont également été réalisées depuis le BATRAL par des éléments de la section nautique du 2ème RPIMa afin de localiser les troupes ennemies.

 

DIANA 2015 fût l’occasion d’un échange et d’un partage de compétences entre les différentes marines. De nombreux exercices ont été organisés, de l’évolution en formation tactique jusqu’à l’assistance à un navire aux opérations de visites croisées. Cette coopération fructueuse a permis de mener le dernier jour, toujours dans le cadre de l’exercice et toujours sous le contrôle de la Grandière, une double opération de visite et de barrage nautique, empêchant l’exfiltration du leader rebelle et conduisant ainsi à son arrestation.

 

Organisé tous les deux ans par les FAZSOI, cet exercice vise à renforcer les liens des différents pays sur le plan militaire, avec pour objectif principal de pouvoir répondre rapidement et de manière conjointe à diverses menaces. Le déploiement du La Grandière a une nouvelle fois démontré, l’importance de disposer d’un moyen amphibie d’ampleur dans la région, aussi bien pour la projection de forces que pour la logistique ou le contrôle de zone.

 

Les FAZSOI garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du théâtre « océan Indien » pour lutter contre de nouvelles menaces comme la piraterie ou l’immigration illégale, assurer la surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) associées à l’ensemble des îles de la zone de responsabilité et conserver une capacité régionale d’intervention rapide.

photo EMA
photo EMA

photo EMA

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 10:55
photo R.Senoussi - DICoD

photo R.Senoussi - DICoD


16/06/2015   DICoD

 

Le 51e Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace a ouvert ses portes le 15 juin 2015. Ce dernier s'adresse aussi bien aux industriels qu'au grand public, qui peuvent y découvrir une sélection de matériels majeurs. En ce jour d'ouverture, François Hollande, président de la République, et Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, se sont rendu sur le stand du ministère de la Défense.

 

voir le diaporama Bourget 2015 - Jour 1

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 10:55
Portrait d’un pilote de chasse, formateur sur la base de Cognac.

 

14 juin 2015 par Anthony Maréchal - DCI

 

Il est presque midi à la base aérienne 709 de Cognac. Sous un soleil de plomb, la dernière rotation d’apprentis pilotes vient de décoller du tarmac. Le capitaine David Gonnet, qui rentre de mission, accepte de se confier sur son métier de pilote de chasse. Confidences d’un passionné…

 

• Pouvez-vous présenter votre métier ?

Mon métier, c’est d’être pilote de chasse. Je suis rentré dans l’armée en 2001. J’ai suivi une formation relativement longue pour exercer ce métier. L’aboutissement, c’est d’être en unité opérationnelle pour pouvoir aller sur des mission en opération extérieure pendant 2 mois où nous tentons de maintenir la paix en menant à bien des opérations décidées par le chef de l’état.

 

Suite de l’entretien

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 07:55
[Salon du Bourget] JT &quot;Direct Défense&quot;, mardi 16 juin 2015



16 juin 2015 par Ministère de la Défense

 

En direct du salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget, le JT « Direct Défense » propose chaque jour la découverte des dernières innovations et des entreprises du secteur de la défense ainsi que des rencontres passionnantes au détour du stand du Ministère de la Défense.

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16 juin 2015 2 16 /06 /juin /2015 11:55
Meeting de l’air à Luxeuil les 27 et 28 juin 2015

 

12/06/2015 Armée de l'air

 

Les aviateurs de la base aérienne (BA) 116 accueilleront le public les 27 et 28 juin 2015 pour le dernier des trois meetings de l’air organisé par la Fondation des œuvres sociales de l’air (FOSA).

 

Le meeting permettra au public de découvrir un plateau aérien d’exception, avec des démonstrations en vols d’avions anciens et modernes, et de patrouilles françaises ou étrangères. Ainsi, les démonstrations aériennes seront nombreuses : Patrouille de France, patrouille Cartouche Doré, Rafale Solo Display, Ramex Delta pour l’armée de l’air.

 

Retrouvez le programme complet en PDF : Plateau aérien - Meeting de l'air - Luxeuil (format pdf, 65 kB).

 

Les bénéfices de cet événement seront intégralement reversés à la FOSA, dont le rôle consiste à porter assistance aux personnels et familles en difficulté suite à l’accident d’un proche relevant de l’armée de l’air, de la direction générale d’aviation civile et de Météo France. 

 

JEU CONCOURS
En marge de ce meeting, un jeu concours sera organisé afin de gagner un ballon dédicacé par les joueurs du FC Barcelone, vainqueurs 2015 de la Ligue des champions, ou encore le maillot dédicacé du joueur Jérémy Mathieu, défenseur n°24, dont les parents ont travaillé sur la base aérienne. Ce jeu est réservé aux enfants nés entre 1997 et 2008 et licenciés dans un club de football du département (70).

photos Armée de l'Air
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