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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 16:50
photo C. de Flesselles - Armée de l'Air

photo C. de Flesselles - Armée de l'Air

 

03/04/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 2 avril 2015, le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, et les hautes autorités de la Défense finlandaise se sont rendus sur la base aérienne (BA) 113 de Saint-Dizier.

 

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la coopération bilatérale entre les deux pays. À cette occasion, le général Denis Mercier, le général Jarmo Lindberg, chef d’état-major des forces de Défense finlandaises, ainsi que le général Kim Jäämeri, chef d’état-major des forces aériennes finlandaises, se sont vu présenter les installations et les missions des unités de la BA 113.

 

La journée s’est clôturée par un vol en Rafale, préparé au sein de l’escadron de transformation Rafale 2/92 « Aquitaine » et de l’escadron de chasse 1/7 « Provence ». Ce vol a permis aux deux autorités finlandaises de découvrir le fleuron technologique de l’aviation de combat française.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:55
Mirage 2000C - photo T.Champetier Armée de l'Air

Mirage 2000C - photo T.Champetier Armée de l'Air

 

02/04/2015 Armée de l'air

 

Du 3 au 24 avril 2015, l’escadron de chasse (EC) 2/5 « Île de France » se délocalisera sur la base aérienne 120 de Cazaux pour mener une campagne de tir.

 

Durant les deux premières semaines, l’ensemble des pilotes effectuera un entraînement intensif portant sur le tir air-sol, canon et bombes. L’objectif de ces missions consiste en un entretien des compétences pour les uns, et à l’obtention ou le renouvellement des qualifications de tir pour les autres. Les munitions seront délivrées sur le champ de tir de Captieux (33).

 

La troisième semaine portera, quant à elle, sur la poursuite de la transformation des stagiaires, et sur l’entraînement des moniteurs, notamment par le biais de missions réalisées conjointement avec l’escadron d’entraînement 2/2 « Côte d’Or » basé à Cazaux.

 

Au total, près de 150 militaires seront déployés, parmi lesquels figurent principalement des pilotes, des mécaniciens, des agents d’opérations et administratifs.

L' EC 2-5 en campagne de tir à Cazaux - photo T.Champetier Armée de l'Air

L' EC 2-5 en campagne de tir à Cazaux - photo T.Champetier Armée de l'Air

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:55
Smart challenge : les inscriptions sont ouvertes !


 02/04/2015 Armée de l'Air

 

Venez vivre avec les militaires de la base aérienne (BA) 110 de Creil une aventure unique ! En forêt d’Halatte (60), sur la BA 110 (60) ou au Fort de Montmorency (95), la base aérienne offre à 20 candidats de l’Oise la possibilité d’intégrer une équipe pour relever quatre jours d’épreuves.

 

L’objectif du Smart challenge ? La maîtrise de soi, la cohésion, la discipline, le goût de l’effort, la résilience et l’aguerrissement.

Du vendredi 26 au lundi 29 juin 2015, l’équipe des candidats inscrits et sélectionnés sera prise en charge par des militaires. Une série d’épreuves d’aguerrissement physique et mental attend la vingtaine de participants. Placés en situation difficile, les candidats seront guidés dans la gestion de crise et le renforcement du leadership.

À chaque étape, ils seront encadrés par des militaires de la BA 110 qui assureront leur sécurité. Les aviateurs seront aussi là pour débriefer les épreuves, relever les défaillances et mettre en exergue les points forts.

Pour clôturer ces trois jours intenses et riches en émotion, les participants recevront leur insigne de la réserve citoyenne au cours d’une cérémonie officielle.

 

Pour plus d’informations, consultez la plaquette de l’événement.

 

Inscrivez-vous !

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 12:35
Solar impulse 2 : escale en Chine

 

02/04/2015 Armée de l'air  - Economie et technologie

 

Lancé le 9 mars 2015, l’avion du projet Solar impulse 2, premier tour du monde en avion solaire, a quitté la Birmanie direction la Chine. Charly, l'un des deux élèves de l’École de l’air intégrés au projet, fait le point sur cette nouvelle étape.

 

Lundi 30 mars 2015, à 3h30 du matin, l’HB-SiB, l’avion de Solar impulse 2, a décollé de Birmanie. Après plus de 20 heures de vol et le survol des chaînes himalayennes, l’avion s’est posé à Chongqing (Chine) pour un arrêt technique. Ne devant durer qu’une nuit, cette étape a finalement été prolongée en raison des mauvaises conditions météorologiques qui ont contraint à retarder le départ pour Nanjing (Chine). L'avion et une partie de l'équipe resteront donc quelques jours supplémentaires à Chongqing.

 

Lors de cette étape, Axel et moi avons participé aux opérations sur piste, au démontage du hangar mobile et aux chargements des avions cargo. Nous avons ensuite embarqué à bord d'un Ilyushin 76 russe qui nous a conduit à Nanjing. Les prochains jours seront consacrés à la préparation de l'arrivée de l'avion, ainsi qu’à l'inspection et au contrôle du hangar mobile, qui a été utilisé plus longtemps que prévu en Birmanie.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 11:55
Les généraux Pierre de Villiers et Denis Mercier - photo B. hennequin / Armée de l'Air

Les généraux Pierre de Villiers et Denis Mercier - photo B. hennequin / Armée de l'Air

 

03/04/2015  Actus Air

 

Mardi 31 mars 2015, le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, s’est rendu pour la première fois, sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Accompagné du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, il a découvert cette plateforme aéronautique unique, qui abrite des unités phares de l’armée de l’air. Parmi ces entités : le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM), l'escadron de défense sol-air, le régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niemen » ou encore l'escadron de soutien technique aéronautique « Chalosse »

 

Présentation du nouveau CEAM…

En cours de refonte, le CEAM s’apprête à fusionner avec le centre tactique air (CENTAC air) sous un commandement unique, pour devenir le centre d’expertise aérienne militaire. Ce nouveau centre aura pour objectif de fédérer l’ensemble des expertises rares de l’armée de l’air, de cultiver l’esprit d’innovation, de favoriser une meilleure prise en compte du retour d’expérience et de contribuer aux doctrines de niveau interarmées. Le chef d’état-major des armées s’est vu présenter ce futur centre de guerre aérienne, et a estimé que « sa montée en puissance constitue une illustration de sa volonté d’appréhender les réformes en cours. »

 

 

photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

… et de certaines de ses unités

L’innovation était au cœur de la visite. Ainsi, le lieutenant-colonel Damien Gadiou, commandant l’escadron de chasse et d’expérimentation 5/330 « Côte d’argent » a présenté la salle de formation « jumelles de vision nocturne », et le commandant Emmanuel Canu, commandant le centre d’expertise et d’instruction des liaisons de données tactiques (CEILDT) a mis en avant les outils connectés d’aide à la décision et à la définition (OCAD 2). À cette occasion, le général Mercier a rappelé que « les liaisons de données tactiques sont une révolution technologique. Le CEILDT est donc une pépite pour l’armée de l’air. »

 

Rencontre avec les aviateurs de la base aérienne 118

 

Le général de Villiers et le général Mercier ont également rencontré des aviateurs et civils de la défense de la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Ils ont visité l’escadron de soutien technique aéronautique « Chalosse », le régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niemen », le centre d’instruction du contrôle et de la défense aérienne 00/910 et l’escadron de défense sol-air 12/950 « Tursan ». « Je suis heureux de me rendre sur le terrain, d’observer comment cela se passe et d’en connaître les difficultés, leur a confié le chef d’état-major des armées. Comme je le dis à chaque fois, on ne fera pas mieux avec moins, mais je sais que la vraie richesse de nos armées c’est vous. »

photo B. hennequin / Armée de l'Airphoto B. hennequin / Armée de l'Air

photo B. hennequin / Armée de l'Air

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 07:55
Entraînement à l'explosif photo A Jeuland Armée de l'Air

Entraînement à l'explosif photo A Jeuland Armée de l'Air

 

02/04/2015 Armée de l'air

 

Du 1er au 3 avril 2015, le commando parachutiste de l’air (CPA) n°20 s’entraîne sur le camp du Valdahon lors d’une campagne de tir toutes armes au profit des groupes devant être déployés prochainement en opérations.

 

L’objectif de cette campagne de tir est la révision des fondamentaux avant le déploiement dans un cadre opérationnel. Dans le camp de manœuvre, les commandos s’entraînent au tir sur toutes armes (explosif, mitrailleuse 12,7, grenade offensive et défensive). Parallèlement, les tireurs d’élite longue distance du CPA 20 auront une séance de tir spécifique. Enfin, les groupes effectueront des parcours de tir offensif et défensif. La semaine se déroulera en ambiance tactique : les commandos s’entraînent avec les équipements complets et passent les nuits en bivouac.

 

Un commando s'entraîne au tir sur mitrailleuse à Valdahon photo Armée de l'Air

Un commando s'entraîne au tir sur mitrailleuse à Valdahon photo Armée de l'Air

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 07:20
Le panel-discussion aborde la partie opérationnelle de la rencontre et notamment le concept français de l'emploi des drones. (Nicolas Laffont/45eNord.ca)

Le panel-discussion aborde la partie opérationnelle de la rencontre et notamment le concept français de l'emploi des drones. (Nicolas Laffont/45eNord.ca)

 

31 mars 2015 par Bastien Duhamel – 45eNord.ca



Mercredi 25 s’est déroulée la 6e rencontre internationale Université-Défense de Québéc accueillie par l’Université Laval, le thème de cette année: «les drones: un outil incontournable, des questions légitimes». Rassemblés pour cette journée, des membres du monde académique, militaire et civil, ont réfléchi sur les opportunités offertes par l’utilisation de ces nouvelles plateformes aériennes.

 

Aujourd hui, les drones font partie intégrante des arsenaux militaires à disposition des différentes forces armées à travers le monde et se rendent peu à peu indispensables lorsqu’il s’agit de collecter des informations en théâtre d’opération extérieur.

En 2011, plus de 76 pays en possédaient. Les États-Unis à eux seuls en compte plus de 10.000 prêts à être déployés. Pour la seule année de 2010, ce ne sont pas moins de 21.000 sorties de ces plateformes aériennes rien que pour le théâtre irakien.

Championnes en la matière, les forces israéliennes ne semblent plus pouvoir envisager la conduite d’une opération militaire s’en l’accompagner d’une flotte de drones. S’il est difficile d’avoir des données exactes, on estime que les drones représentent 50% des sorties des forces aériennes israéliennes. A des fins de surveillance ou d’attaque, l’état-major israélien n’hésite pas à faire décoller des drones plus de 90 fois par jour comme lors de l’opération «PLOMB DURCI» a expliqué Philippe Gros, chargé de recherche à la fondation pour les Études stratégiques à Paris.

 

Drones tactiques, armés, de surveillance, de quoi parle-t-on?

Comme l’a souligné Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, chargé de mission «Affaires transversales et sécurité» pour le ministère français des affaires étrangères, il importe de bien distinguer les drones armés de ceux dont le déploiement ne sert qu’à des fins de renseignement.

Contrairement aux présupposés tenaces du grand public, l’écrasante majorité des drones actuels demeurent des drones de surveillance. Seuls trois pays à savoir Israël, les États-Unis ainsi que la Grande Bretagne utilisent effectivement des drones armés au sein de leur flotte aérienne.

Ces derniers viennent enrichir le panel des possibilités qui s’offrent aux décideurs militaires lorsqu’il s’agit de mener une élimination ciblée. Dans un rapport asymétrique aux risques encourus comparés à ceux de l’ennemi, les drones armés type Prédator américains, permettent d’effectuer des frappes plus discriminantes et de diminuer les risques de dommages collatéraux ou victimes civiles.

Les intervenants se sont également attachés à détruire l’idée communément répandue selon laquelle les drones consisteraient en une technologie militaire intégralement déshumanisée oubliant ainsi le travail des opérateurs et des équipes militaires qui les entourent.

Pilotes de drone, analystes des images fournies, troupes au sol clientes des informations récoltées, la composante humaine reste au cœur de l’utilisation de ces plateformes aériennes a rappelé le lieutenant-colonel français Christophe Fontaine, commandant de l’escadron de drone 1/33 basé à Belfort en France.

 

L’utilisation des drones: une véritable addiction pour les forces armées

Le déploiement des plateformes aériennes tactiques offre l’opportunité sans précédent d’instaurer une occupation aérienne permanente sur un espace aérien donné. En cela, les drones complètent le travail des satellites, chasseurs,  et autres unités terrestres qui participent au renseignement mais en assurant une permanence dans cette surveillance.

Ici réside l’atout stratégique majeur propre à ces plateformes aériennes. De la reconnaissance, au ciblage en passant par l’appui aux troupes au sol, l’évaluation des risques/dégâts ou encore l’escorte, le nombre de missions différentes que les drones sont capables d’accomplir est considérable.

Tous ces avantages combinés avec la minimisation des risques physiques encourus pour les soldats entraînent une addiction croissante au sein de forces armées à ces concentrés de technologie multitâches.

Néanmoins, les conférenciers n’ont pas manqué de rappeler les limites auxquelles se heurtent encore les opérateurs de drone et leur escadron. Les drones tactiques actuels tels que le Reaper français ou encore le Hermes 450 israélien pour ne citer qu’eux, ne peuvent être déployés que si les conditions météorologiques y sont propices. De même, leur employabilité en théâtre d’opération requiert de posséder la supériorité aussi bien aérienne que cybernétique sur l’adversaire.

Par ailleurs, il serait erroné de considérer les risques liés à l’utilisation de ces plateformes aériennes tactiques comme nuls. Les risques de collisions aériennes, notamment, sont bien réels à l’image de la flotte de drone américaine qui a déjà vue plus de 400 de ses unités se crasher. Impossible non plus d’écarter la possibilité de problèmes techniques liés au degré d’automatisation des drones, par exemple en matière de problèmes de communication avec le cockpit de pilotage au sol.

 

Des débats moraux et légaux autour des drones militaires

A l’heure où les conflits se jouent des frontières étatiques établies et ou les menaces prennent la forme de groupes armés menant des luttes de guérilla asymétriques, les drones représentent une nouvelle réponse capacitaire face à ces affrontements d’un genre nouveau.

Si pour certains, le recours à des éliminations ciblées via des drones armés relèvent de la lâcheté et vont à l’encontre des valeurs militaires de bravoure et de prix du sang. D’autres y voient un moyen efficace de mener des frappes discrètes, discriminantes, permettant de minimiser les victimes civiles tout comme l’exposition des soldats.

Sur le plan légal, l’utilisation de ces plateformes aériennes pose la question de la responsabilité et de la conformité aux règles du droit international.

Maître Claude Laferrière, avocat et chargé de cours a expliqué qu’en ce qui concerne les États-Unis, c’est la règle du secret d’état qui s’appliquait au commandement des drones. Interrogé sur le modèle français, le lieutenant-colonel Français Christophe Fontaine a insisté sur le fait que les drones répondaient aux mêmes règles d’engagement et de responsabilité que les avions de chasse.

Quand on en vient au ciblage, le droit international humanitaire n’autorise que la frappe de cibles ayant un caractère militaire donnant un avantage tactique à l’ennemi. C’est donc, en principe, à ce cadre que ce borne l’utilisation des drones armés comme l’a souligné le capitaine de corvette Marc-André Vary, conseiller juridique de l’Etat-major interarmées des forces canadiennes.

A l’issue de la rencontre, une certitude semble faire l’unanimité: les drones ne vont cesser d’accroître leur place au sein des différentes forces armées à travers le monde. Ces plateformes aériennes renferment un potentiel militaire d’autant plus important qu’il est indexé sur les développements technologiques.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 19:55
1er avril : la Patrouille de France reste en bleu ciel !

 

01/04/2015 Equipe community manager Armée de l'air

 

Évidemment, vous avez tous compris que notre brève sur le partenariat de la Patrouille de France avec le Stade Français rugby était un poisson d’avril. Néanmoins, elle était basée sur des faits réels.

 

On fait le point pour vous.

 

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 08:55
La Patrouille de France aux couleurs du Stade Français

 

01/04/2015 Armée de l'air

 

Cette année, la Patrouille de France affirme une fois de plus son attachement aux valeurs du monde de l’ovalie. Après le XV de France, c’est au tour du Stade Français de recevoir le soutien de la Grande Dame autour d’un partenariat qui s’affichera jusque sur leurs uniformes!

 

Une convention de partenariat a été signée samedi 28 mars 2015 au stade Jean Bouin (Paris), juste avant le match de Top 14 opposant le Stade Français à l’ASM Clermont Auvergne. «D’une durée d’un an, ce partenariat va permettre un échange de cultures, explique le lieutenant-colonel Arnaud Amberg, directeur des équipes de présentation de l’armée de l’air. Le partage sur la préparation physique et mentale sera au cœur de cet engagement. Les pilotes de la PAF seront étroitement associés aux activités des joueurs parisiens.»

 

La Patrouille de France aux couleurs du Stade Français

Une fois n’est pas coutume, les ambassadeurs de l’armée de l’air porteront haut les célèbres couleurs rose et bleu de leur partenaire durant la saison des meetings aériens 2015. «Nous avons décidé de frapper fort en allant même jusqu’à adapter les combinaisons des pilotes, souligne le lieutenant-colonel Amberg. Elles sont actuellement entre les mains du designer du stade Français qui nous a déjà fait une proposition intéressante.» Exit le traditionnel bleu ciel et place au rose emblématique de cette équipe multi-titrée. Sur le terrain vert, le maillot des joueurs sera, quant à lui, siglé du logo de la PAF sur la manche droite.

 

La couleur rose s’affichera également dans le ciel puisque la PAF est en train de mettre au point une figure inédite mélangeant les fumigènes blanc du charognard (Athos 4) et rouge de l’extérieur gauche (Athos 5). Le leader (Athos 1) apportera la touche de bleu finale! Cette figure sera d’ailleurs présentée au chef d’état-major de l’armée de l’air à Solenzara le 22 avril prochain.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 17:45
Portrait d’un chef largueur

 

31/03/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

L’adjudant-chef Eric, affecté au 2e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (2e RPIMa) de la Réunion, est chef largueur. A la tête d’une équipe de spécialistes, il est responsable de l’organisation du saut et de tous les parachutistes qui se trouvent dans la soute de l’avion.

 

Il nous explique en détail sa mission.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 17:35
FANC : Visite du commandant supérieur des Forces Armées en Nouvelle-Calédonie au Vanuatu

 

31/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 28 mars 2015, le commandant supérieur (COMSUP) des Forces Armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), le général de Revel, s’est rendu au Vanuatu, deux semaines après le passage du cyclone « Pam » sur l’archipel.

 

Lors de ce déplacement organisé par les FANC et l’ambassadeur de France au Vanuatu, le général de Revel a pu rencontrer les différentes autorités du Vanuatu, dont le président de la République.

 

Le COMSUP des FANC a ainsi pu rencontrer les autorités australiennes et néozélandaises déployées à Port-Vila, dans le cadre du soutien international au Vanuatu. Il a pu également s’entretenir avec le directeur de l’ONG National Disaster Management Office (NDMO). Le président de la République du Vanuatu, l’ambassadeur de France au Vanuatu et le député français M. Bernard Lesterlin ont ensuite embarqué à bord du Gardian des FANC pour rejoindre l’île de Tanna.

 

Une fois sur l’île, les FANC ont conduit une présentation des moyens déployés sur l’aérodrome de Tanna, puis la délégation s’est ensuite rendue sur la frégate de surveillance Vendémiaire, déployée au large de Tanna. A bord, le président de la République du Vanuatu a adressé ses remerciements aux FANC ainsi qu’aux personnes de l’association Solidarité Tanna dont un détachement était présent. Plus tard, l’ensemble de la délégation a visité les différents sites où les militaires français entreprennent des travaux en collaboration avec les ONG présentes, permettant au président de la République du Vanuatu de mesurer l’ampleur des efforts fournis sur l’île de Tanna.

 

Plus de quinze jours après le passage du cyclone PAM sur l’archipel des Vanuatu, les armées françaises restent fortement mobilisées pour venir en aide à la population, en lien avec les partenaires régionaux et les organisations humanitaires.

FANC : Visite du commandant supérieur des Forces Armées en Nouvelle-Calédonie au Vanuatu
FANC : Visite du commandant supérieur des Forces Armées en Nouvelle-Calédonie au Vanuatu
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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

30/03/2015 Armée de l'air

 

Mercredi 25 mars 2015, une trentaine de membres de l’association des pilotes de chasse se sont rendus sur la base aérienne 113 de St-Dizier.

 

À cette occasion, les membres de l’association ont visité l’escadron de chasse 1/91 « Gascogne » et découvert la mission spécifique de dissuasion nucléaire de cette unité des forces aériennes stratégiques. La visite s’est poursuivie avec la rencontre des mécaniciens de l’escadron de soutien technique aéronautique 15/7 « Haute-Marne ». Les anciens pilotes se sont succédé dans le cockpit du Rafale, avec une passion toujours intacte. Enfin, c’est avec beaucoup d’intérêt qu’ils ont assisté à un briefing de l’escadron de chasse 1/7 « Provence », se retrouvant à nouveau au cœur des opérations.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:55
Crédits burokdesign

Crédits burokdesign

 

30 mars 2015 Aerobuzz.fr

 

La Direction Générale de l’Armement (DGA) a notifié à CS un contrat pour assurer le Maintien en Condition Opérationnelle et le Maintien en Condition de Sécurité de trois systèmes majeurs du programme SCCOA (Système de Commandement et de Conduite des Opérations Aérospatiales) pour une durée de 14 ans. Ce contrat négocié par la DGA et la SIMMAD (structure intégrée de maintien en condition opérationnelle des matériels aéronautiques de la défense), d’un montant maximum de 331 M€ TTC, comprend une tranche ferme de 53 M€ TTC.

 

Suite de l’article

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:45
photo EFS

photo EFS

 

30/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 16 au 27 février 2015, un détachement de l’unité de coopération régionale des Eléments Français au Sénégal (EFS) s’est rendu à Abidjan en République de Côte d’Ivoire, afin de dispenser une formation au profit de soldats ivoiriens.

 

Composé des commandos de l’air de l’unité de coopération régionale (UCR), ce détachement a ainsi instruit 103 stagiaires, sous-officiers et militaires du rang de la base aérienne d’Abidjan, à la sécurisation de points géographiques sensibles.

 

Les stagiaires ont tout d’abord passé en revue les savoir-faire indispensables en matière de filtrage, patrouille, contrôle et intervention sur les individus et véhicules. Puis, la deuxième partie de la formation s’est axée sur la sécurité et l’emploi des armes. Enfin, les stagiaires ont appréhendé les techniques d’autodéfenses.

 

L’excellente coopération avec les autorités militaires ivoiriennes a permis aux EFS et aux stagiaires ivoiriens d’approfondir cette formation et d’en atteindre tous les objectifs.

 

 Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix.

photo EFSphoto EFS
photo EFS

photo EFS

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:20
L’attaché de Défense canadien en visite à la base aérienne de Dijon

 

30/03/2015 Armée de l'air

 

Mardi 17 mars 2015, le général David Pincet, commandant la brigade des forces de sécurité et d’intervention (BAFSI) a reçu la visite du colonel Guy Maillet, attaché de Défense de l’ambassade du Canada à Paris, sur la base aérienne 102 de Dijon.

 

Organisée à l’initiative du général Pincet, cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la coopération avec nos différents partenaires dans le domaine de la Force protection (protection de la force). Au cours de sa visite, l’attaché de Défense canadien a découvert l’organisation des commandos de l’air, afin d’étudier les opportunités d’échange et de coopération.

 

Il s’est notamment vu présenter le travail des équipes cynophiles spécialisées en recherche et détection d’explosifs, les techniques rapprochées d’action commando, et les matériels en service.

 

Au-delà de la volonté de poursuivre la participation des équipes d’appui aérien françaises et canadiennes aux exercices Mapple Strike et Serpentex, d'autres voies de coopération ont été évoquées.

 

Les Canadiens sont par exemple intéressés par certaines capacités spécifiques détenues par les commandos parachutistes, telles que les mesures actives de sûreté aérienne (MASA), les patrouilles extérieures effectuées dans le cadre de la protection d’une base projetée (PATEX), la Combat search and rescue (CSAR – recherche et sauvetage au combat), ainsi que la reconnaissance de terrains sommaires.

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 12:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air


 30/03/2015 Armée de l'Air

 

Vendredi 20 mars 2015, lors de la traditionnelle cérémonie des couleurs, le colonel Jérôme Bellanger, commandant la base aérienne 113 de Saint-Dizier, et le lieutenant-colonel Thierry Kubiak, commandant l’escadron de transformation Rafale (ETR) 2/92 «Aquitaine» ont remis aux moniteurs-simulateurs leur insigne de spécialité.

 

Cette cérémonie fait écho à celle organisée sur la base aérienne 705 de Tours, le mercredi  11 mars 2015. Ce jour-là, le général Alain Rouceau sous-directeur « emploi formation » de la direction des ressources humaines de l’armée de l’air avait remis les insignes à l’ensemble des chefs de service simulateur des bases aériennes.

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photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

Ce nouvel insigne permet la reconnaissance des instructeurs au sein de la communauté Rafale

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 07:55
DEFNET 2015 : objectif atteint

 

27/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Après 2 semaines riches et intenses, l’exercice interarmées de cyberdéfense DEFNET 2015 s’achève aujourd’hui.

 

Sous l’autorité du vice-Amiral Arnaud Coustillière, officier général cyber de l’état-major des armées, il s’est déroulé sur plusieurs sites militaires à Rennes, Douai, Toulon, Mont de Marsan, Maisons-Laffitte, et Paris, ainsi qu’à bord de deux bâtiments de la Marine nationale.

Le premier DEFNET, l’automne dernier, simulait une attaque sur un site unique, avec la mise en œuvre d’une cellule de crise et avait permis de valider des procédures opérationnelles dans l'emploi des groupes d’intervention rapide (GIR). Cette deuxième édition a été particulièrement innovante par son caractère global et résolument interarmées. Le scénario choisi simulait, dans un contexte international fictif, des menaces et des attaques cyber multiples contre plusieurs sites sur des thèmes très différents.

 

L’objectif est atteint. Il a permis d’éprouver, dans un environnement réaliste, les méthodes de :

  • planification et conduite des opérations dans le domaine de la lutte informatique défensive,
  • déploiement d’unités cyber,
  • travail de spécialistes et de non spécialistes, de militaires d’active et de réservistes, de personnel du ministère et de partenaires hors ministère.

 

En lien avec les cellules dédiées de l’armée de terre, la marine nationale, l’armée de l’air et la DIRISI, le Centre d’Analyse en Lutte Informatique Défensive (CALID) a supervisé le déploiement de quatre groupes d’intervention rapide (GIR) pour contrer des attaques simulées sur des systèmes d’information. Le GIR de la DIRISI était appuyé par des spécialistes de la DPSD.

DEFNET 2015 a également permis de sensibiliser et former davantage de personnel aux enjeux de la cyberdéfense en associant notamment aux experts des militaires non spécialisés.

 

Par ailleurs, le centre opérations cyber inséré dans le Centre de planification et de conduite des opérations (CPCO) a planifié le déploiement inédit de deux autres GIR issus de la future réserve de cyberdéfense. Des étudiants, symbolisant ces futures équipes de réservistes, se sont penchés sur des cas pédagogiques simulés sur les sites militaires de l’école militaire (Paris) et de l’école des Transmissions (Cesson-Sévigné). Cette expérimentation a été particulièrement fructueuse, et, outre le renforcement du lien avec l’enseignement supérieur, elle va permettre de perfectionner les programmes d’entrainement dans le cadre de la montée en puissance de cette nouvelle composante de la réserve dédiée à la cyberdéfense.

 

Fortes de l’expérience acquise et des liens tissés au sein de la communauté nationale de cyberdéfense, les équipes engagées lors de DEFNET 2015 vont désormais entretenir et perfectionner leur savoir-faire dans le cadre d’exercices de niveau de composante ou multinationaux comme Cybercoalition (novembre 2015).

 

DEFNET 2015 : objectif atteintDEFNET 2015 : objectif atteintDEFNET 2015 : objectif atteint
DEFNET 2015 : objectif atteint

 

Quant au prochain DEFNET, rendez-vous en 2016.

 

REPERES

La cyberdéfense militaire regroupe l’ensemble des actions défensives ou offensives conduites dans le cyberespace pour garantir le bon fonctionnement du ministère de la Défense et l’efficacité de l’action des forces armées en préparation ou dans la planification et la conduite des opérations.

Conformément au Livre blanc de 2013 qui fait de la cyberdéfense l’une des priorités nationales, les exercices DEFNET s’inscrivent dans le cadre de la montée en puissance de la chaîne opérationnelle de cyberdéfense du ministère.

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 07:25
Le CEMA en compagnie du général Adam, commandant supérieur des FAG

Le CEMA en compagnie du général Adam, commandant supérieur des FAG

 

27/03/2015 Actus Air

 

Du 23 au 25 mars 2015, le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), est allé à la rencontre des 2000 militaires et civils présents au sein des forces armées en Guyane (FAG). C’est la première fois depuis 2005 qu’un CEMA se retrouve ainsi au contact des forces présentes dans ce département des outre-Mer. Récit de ces trois jours.

 

Lundi soir, à peine arrivé à Cayenne, le CEMA s’est rendu avec le général Philippe Adam, commandant supérieur des FAG, à la rencontre de détachements représentant les missions les plus emblématiques dans lesquelles sont engagées les FAG.

 

Le 24 mars 2015, pour sa deuxième journée sur le sol guyanais, le général Pierre de Villiers a été à la rencontre des militaires des trois armées qui remplissent les trois missions permanentes des FAG : la contribution à l’action de l’État en mer, la protection du centre spatial guyanais (CSG) et la sécurisation des tirs de fusée (mission Titan), ainsi que la lutte contre l’orpaillage illégal dans le cadre de la mission Harpie.

 

Après avoir échangé avec des marins et des gendarmes maritimes, le CEMA a rejoint le centre de contrôle militaire (CCM) de Kourou pour se faire présenter le dispositif de défense aérienne. Dirigé par la haute autorité de défense aérienne, le CCM a notamment en charge la protection permanente de l’espace aérien du CSG. Lors des lancements de fusées, ce dispositif est renforcé par l’activation du plan Titan, qui, outre une protection aérienne renforcée, comprend un volet maritime et un volet terrestre.

 

À Kourou, le CEMA a pu longuement s’entretenir avec les militaires qui contribuent à ce dispositif interarmées de surveillance et de protection, notamment les aviateurs du détachement Fennec.

 

Le 25 mars, pour sa dernière journée en Guyane, le général de Villiers est allé à la rencontre des militaires du 9e régiment d’infanterie de marine (9e RIMa) puis des jeunes du régiment du service militaire adapté de la Guyane (RSMA) à Saint-Laurent du Maroni, dans l’ouest guyanais. Après ces rencontres, il s’est rendu sur un site symbolique de la lutte contre l’orpaillage clandestin dans la région de Tadéu.

 

Évoluant dans un milieu particulièrement exigeant, les forces armées en Guyane agissent au quotidien dans un cadre unique pour les armées : en opération permanente sur le territoire national, ses actions se déroulent dans un cadre interministériel, sous la direction stratégique du Préfet de région et en étroite coopération notamment avec les forces de gendarmerie et de la police de l'air et des frontières, dispositif unique sur le territoire national.

Le CEMA à la rencontre des militaires des FAG
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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 22:55
Des élèves ingénieurs à la découverte de la base de Saint-Dizier

 

26/03/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 mars 2015, la base aérienne 113 de Saint-Dizier a accueilli quinze élèves ingénieurs de deuxième année de Centrale Supélec Metz.

 

Dans le prolongement d’une démarche initiée en 2013, les élèves se sont rendus sur la base aérienne de Saint-Dizier, en compagnie de leur directeur des études, officier de réserve sup aéro.

 

Après la visite en 2014 du site d'assemblage de tronçons de l'avion Rafale à Argenteuil, les futurs ingénieurs ont découvert l'avion dans son environnement opérationnel. La visite les a conduits à l'escadron de soutien technique de l'aéronautique 15/007 « Haute-Marne » et à l'escadron de transformation 2/92 « Aquitaine », où sont formés les pilotes de Rafale.

 

Les exposés ont donné lieu à de nombreuses questions et à des échanges fructueux. Cette journée était l’occasion de renforcer le lien armée-Nation. L’école Centrale Supélec entretient d’ailleurs des liens étroits avec le monde militaire. En effet, chaque année, Centrale Supélec Paris accueille des officiers au sein de leur cycle d’ingénieur.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 15:45
Les officiers français en poste sur la nouvelle BOA de Madama sont invités par le commandant nigérien Ousseini à visiter le vieux fort des méharistes de Madama

Les officiers français en poste sur la nouvelle BOA de Madama sont invités par le commandant nigérien Ousseini à visiter le vieux fort des méharistes de Madama

 

26.03.2015 par Thomas Goisque

 

Opération Barkhane. Aux côtés des soldats nigériens, les légionnaires français du 2e REP luttent contre les islamistes aux confins d’un territoire plus vaste que l’Europe. Une traque incessante de la Mauritanie au Tchad en passant par le Mali, le Burkina Faso et le Niger.

 

Au milieu du Sahara non loin des frontières libyenne et algérienne, le vieux fort méhariste de Madama a retrouvé un rôle stratégique tandis que les unités du Génie construisent à quelques encablures une nouvelle Base Opérationnelle Avancée et une piste d’atterrissage en latérite.

 

Un reportage exclusif à découvrir ce week-end dans le Figaro-Magazine et dès aujourd’hui sur le site internet.

 

Accéder directement au reportage

La 1ere compagnie du 2e REP (Régiment Etranger de Parachutiste) et un peloton du 1e RHP (Régiment de Hussards Parachutiste) au rassemblement du matin à Madama

La 1ere compagnie du 2e REP (Régiment Etranger de Parachutiste) et un peloton du 1e RHP (Régiment de Hussards Parachutiste) au rassemblement du matin à Madama

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 20:54
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

25 Mars 2015 Source : Marine nationale

 

Le BPC Mistral mène, du 23 au 27 mars 2015, une campagne d'appontages en Méditerranée au profit des pilotes du 5ème Régiment d'Hélicoptères de Combat (RHC) de Pau et de l'Escadron Hélicoptères (EH) "Pyrénées" de Cazaux. Cette sortie à la mer s'inscrivait dans le cadre de la préparation opérationnelle des équipages potentiellement amenés à conduire des missions héliportées depuis la mer.

 

 Pendant ces quelques jours, marins, terriens et aviateurs ont travaillé conjointement afin de maintenir les savoir-faire nécessaires à la mise en œuvre de l'aviation à bord d'un bâtiment de combat et de permettre aux pilotes de se qualifier sur Tigre, Caracal, Gazelle ou Puma. L'entraînement, progressif, a débuté par des vols de jour, puis par nuit claire avec l'horizon visible et enfin par nuit noire, sans aucune référence extérieure. Ces conditions, particulièrement difficiles, obligent les pilotes à voler aux instruments avec le précieux concours des marins du central « opérations » du BPC Mistral, jusqu'à prendre visuel des feux du pont d'envol.

 

La base aéronautique navale de Hyères, le Service des Essences des Armées (SEA) et les équipes de techniciens ont également apporté leur appui pour ravitailler les hélicoptères à l’issue de chaque vol et assurer leur maintien en condition opérationnelle. Sur le pont d'envol, le ton était donné par les "chiens jaunes" qui, avec les « PONEV » et les équipes « SECU », ont œuvré jour et nuit dans des conditions souvent parfois éprouvantes.

 

Ces semaines à la mer sont intenses et nécessitent une vigilance de tous les instants. Rien ne serait possible sans cet esprit de cohésion qui caractérise si bien les BPC lorsqu’ils accueillent des détachements provenant de tous azimuts. Le terme « grand équipage » du Mistral, si souvent employé par les marins affectés prend, lors de ces semaines d’entraînements communs, tout son sens.

photo Marine Nationalephoto Marine Nationale

photo Marine Nationale

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 19:55
Archives MinDefFR

Archives MinDefFR

 

25/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Depuis le 24 mars matin, les armées sont mobilisées dans l’effort interministériel qui fait suite au crash d’un A320 en Alpes-de-Haute-Provence.

 

Dès les premières minutes après la perte du contact radio avec l’avion de ligne, l’armée de l’Air a déclenché sa permanence opérationnelle. Un Mirage 2000-C de la base aérienne (BA) 115 Orange-Caritat a ainsi décollé à 10h48. Dès connaissance du crash, un hélicoptère Fennec a également été engagé, en provenance de la même base aérienne, afin d’interdire de survol la zone de l’épave.

 

Dans la même journée du 24 mars, six hélicoptères de l’armée de l’Air et de l’avion légère de l’armée de Terre (ALAT) ont été mobilisés pour des missions de recherche et de sauvetage (Search and Rescue), mais aussi de transport de fret, d’équipes d’intervention et d’autorités gouvernementales. Il s’agit de :

- deux Puma du Groupe interarmées d'hélicoptères(GIH),

- un Fennec de la BA d’Orange,

- un Super Puma de Solenzara

- et deux Puma de l’école de l’ALAT du Luc.

 

Parallèlement, un avion C135 FR de l’armée de l’Air a été dérouté de sa mission initiale afin d’assurer, dans l’urgence dans une zone montagneuse nécessitant des capacités de transmission renforcées, le relais radio entre les aéronefs engagés et les centres de contrôle aérien.

 

Aujourd’hui, trois hélicoptères sont encore engagés dans les missions d’interdiction de survol de la zone et de transport. Il s’agit de :

- un Fennec de la BA d’Orange,

- un Puma de l’escadron de transport 60 (ET60) de Villacoublay

- et un Puma de la BA d’Orange.

 

Parallèlement, un détachement d’environ 70 militaires du 4e régiment de chasseurs (4e RCH) a été déployé dans la matinée pour assurer le balisage des itinéraires menant des derniers axes praticables à la zone de crash. A Lyon Mont Verdun, une cellule de coordination 3D a été activée au sein du Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA) afin d’assurer la coordination des moyens aériens des armées, de la sécurité civile et de la gendarmerie. En complément, dans l’après-midi, un avion E-3F Awacs de la BA d’Avord sera mobilisé pour assurer le contrôle aérien de l’ensemble des aéronefs engagés dans la zone.

 

Les armées restent naturellement toujours mobilisées sur le terrain en appui des autres services de l’Etat.

 

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 17:55
Le ministère de la Défense emménage bientôt Balard - Pole Air Grand Balard


25 mars 2015 Armée de l'Air

 

Dans le plan stratégique de l’armée de l’air Unis pour « Faire Face », le projet Pole Air Grand Balard prend forme. Il accueillera bientôt les services et les États-majors du ministère de la Défense. Prés de 10 000 personnes travailleront ensemble sur un même site. Interview du colonel Baronnet, chef de projet.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 16:45
photo ADC H. Receveur - BA188

photo ADC H. Receveur - BA188

 

25/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 12 mars 2015, deux membres du personnel du Détachement de Liaison du Service des Essences des Armées (DL-SEA) de Djibouti ont participé à une série d’exercices conjoints entre la composante aérienne des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et l’US Air Force, sur le site djiboutien du grand Bara.

 

Ces exercices avaient pour objectif de renforcer l’interopérabilité et la capacité d’engagement conjoint de forces dans le cadre d’une opération de récupération d’un pilote éjecté. Le scénario prévoyait une intervention en territoire ennemi, pendant laquelle un binôme du DL-SEA devait assurer le ravitaillement des hélicoptères.

 

Il a fallu tout d’abord augmenter la capacité de parcours des aéronefs. L’avion de transport C130 de l’US Air Force a servi de  station-service pour ravitailler deux hélicoptères français (un Puma de l’escadron de transport 88 et une gazelle du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre), et deux hélicoptères Black-Hawk appartenant aux forces américaines. Trois hélicoptères, le Puma français et les deux Black-Hawk américains, ont été ravitaillé selon la technique de moteur tournant rotor tournant, qui permet un gain de temps précieux. Le matériel adapté à ce contexte d’engagement et la maîtrise des procédures en vigueur pour prévenir les risques potentiels liés à ce type de manœuvre  (présence de matière inflammable, souffle puissant provoqué par le rotor) ont permis d’assurer la mission en toute sécurité.

 

Cet exercice conjoint a permis de comparer les procédures des deux pays et de renforcer la connaissance mutuelle dans les domaines des techniques pétrolières opérationnelles.

 

En conformité avec le traité de coopération en matière de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise.

photo ADC H. Receveur - BA188photo ADC H. Receveur - BA188
photo ADC H. Receveur - BA188

photo ADC H. Receveur - BA188

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 12:50
Le général Denis Mercier

Le général Denis Mercier

 

25/03/2015 Armée de l'air

 

Le porte-parole de l’organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) a confirmé lundi 23 mars 2015 la nomination du général Denis Mercier, actuel chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), au poste de Supreme Allied Commander Transformation (SACT), l’un des deux commandements militaires les plus élevés de l’Alliance.

 

Cette nomination est une nouvelle étape dans le parcours déjà très riche du général Mercier au sein de l’OTAN.

 

Pilote de chasse, il a en effet participé au cours des années 80 et 90 à de nombreux exercices organisés par l’Alliance ainsi qu’à l’opération Deny Flight (1993).

 

En 1997, il rejoint le bureau OTAN au sein de l’État-Major Interarmées (EMIA) à Creil. Officier projet de l’exercice Strong Resolve en 1998, il participe l’année suivante à la planification des opérations de l’OTAN au Kosovo.

 

Affecté de 1999 à 2002 au sein de l’état-major d’AFNORTH à Brunssum (Pays-Bas), il participe au développement du concept de Combined Joint Task Force (CJTF) et assure l’évaluation du poste de commandement du CJTF lors de l’exercice Strong Resolve en 2002.

 

Chef de cabinet du ministre de la Défense de 2010 à 2012, il participe à toutes les réunions ministérielles de l’OTAN ainsi qu’aux deux sommets de l’OTAN à Lisbonne (2010) et Chicago (2012). Il est enfin le conseiller du ministre de la Défense pour l’opération de l’OTAN (Unified Protector) au-dessus de la Libye.

 

Les aviateurs de l’armée de l’air sont une nouvelle fois mis à l’honneur avec cette nomination puisque le général Mercier, qui rejoindra Norfolk (Virginie, USA) au mois de septembre, succède à ce poste aux généraux Stéphane Abrial et Jean-Paul Palomeros.

 

Les généraux Jean-Paul Paloméros, Stéphane Abrial et Denis Mercier

Les généraux Jean-Paul Paloméros, Stéphane Abrial et Denis Mercier

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