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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

26/02/2015 Armée de l'air

 

La nuit du 19 février 2015, l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 « Solenzara » a, encore une fois, démontré sa réactivité et sa capacité rapide d’intervention.

 

19 heures, l’alerte du personnel de l’EH 1/44 se déclenche : l’escadron doit procéder à l’évacuation sanitaire d’un militaire en exercice sur la base aérienne 126. Le Super Puma décolle avec, à son bord, l’équipe du centre médical des armées de Ventiseri-Solenzara.

 

A peine le patient déposé à l’hôpital de Bastia, l’équipage reçoit un appel du sous centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Corse d’Ajaccio. Des fusées de détresse ont été observées en mer. Le Super Puma, apte à remplir des missions de sauvetage maritime (SAMAR) de nuit, est directement envoyé pour survoler la zone définie. Après plus de deux heures de vol, aucune épave, ni aucun naufragé n’est découvert. La mission est remplie car la zone de recherche a été entièrement couverte.

 

Vers minuit, le Super Puma rejoint la base aérienne 126, après une nuit bien remplie et le sentiment du devoir accompli.

photo Armée de l'Air

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:55
Contrôleur aérien avancé : une formation de pointe pour un métier d’élite

 

24/02/2015 Loïc Picard  -  DICOD

 

Aviateurs, terriens, marins ou encore membres des forces spéciales. Ils progressent le plus souvent aux côtés des unités conventionnelles. Au plus près des lignes de front et parfois même en territoires hostiles, ils sont les yeux indispensables à la mise en action des outils militaires de la « troisième dimension »  qui regroupent les appuis aériens et d’artillerie. Ce sont les contrôleurs aériens avancés.

 

Tantôt appelés « J-TAC » pour Joint Terminal Attack Controller, « FAC » pour  Forward Air Controller, ou encore « TAC-P » pour Tactical Air Control Party, suivant leur spécialité, leur armée et leur pays d'appartenance, les contrôleurs aériens avancés ont pour mission en tous temps et tous lieux, y compris sur le front et sous le feu, de permettre l'engagement d'un appui avancé par le biais d’un vecteur aérien. Si leur nom varie, tous sont formés par une seule et même structure : le Centre de formation à l’appui aérien (CFAA).

Créé en Allemagne suite à la Seconde Guerre mondiale, et aujourd’hui implanté sur la Base aérienne 133 de Nancy-Ochey, le CFAA est depuis le début des années 2000 l’unique école de formation à l’appui aérien. Fort de sa bi-nationalité franco-allemande, il reçoit chaque année de 60 à 80 candidats pour la formation de contrôleur aérien avancé. Parmi eux, les militaires allemands représentent plus du tiers des effectifs.

« Cette formule franco-allemande fonctionne très bien, souligne le lieutenant-colonel Rodolphe Wiese, commandant du CFAA. L’association des moyens nous permet de bénéficier d’avantages notables en termes d’entrainement et d’enseignement. » Ainsi, les allemands fournissent de nombreux moyens civils, comme des avions Learjet, et les français davantage de chasseurs, parmi lesquels des Alfajet, Mirage 2000 et Rafale. Des moyens que l’on retrouve majoritairement déployés en opérations extérieures actuellement.

Si ce travail interallié est aujourd’hui possible, c’est grâce à l’accréditation « OTAN » qu’a reçu le centre en 2010 pour la formation qu’il délivre. Une formation standardisée par l’Organisation du Traité de l’Atlantique nord qui est uniquement enseignée dans sept centres accrédités au sein de l’Alliance, le plus important d’entre eux se trouvant aux Etats-Unis.

« Nous avons déjà formé des militaires étrangers par le passé, précise le capitaine Robin Marlier, pilote d’Alfajet et responsable de la cellule instruction du CFAA. Aujourd’hui, nous travaillons principalement avec les allemands, mais nous pourrions tout à fait former les J-TAC de n’importe quel pays membre de l’OTAN. » Et pour cause. L’intégralité de la formation est délivrée en langue anglaise ; langue traditionnellement appliquée aux opérations aéronautiques. Pour l’intégrer, tous les candidats passent d’ailleurs une batterie de tests de pré-qualification (niveau d’anglais, orientation, connaissance du milieu aéronautique 2D/3D). A cet effet, la plupart des candidats sélectionnés sont déjà des militaires aguerris et rompus aux opérations interarmées.

Contrôleur aérien avancé : une formation de pointe pour un métier d’élite

Soutien des forces au sol, appui feu, missions de renseignement, ou encore frappes ciblées… aujourd’hui, la majorité des opérations militaires incluent l’utilisation de moyens aériens. Si les contrôleurs aériens avancés sont l’outil essentiel au bon déroulement des opérations interarmées, le droit à l’erreur leur ait presque interdit. « La moindre faute en terme de guidage et de contrôle peut en effet avoir des conséquences dramatiques, tant pour l’équipe J-TAC elle-même et les ˝amis˝, que pour d’éventuels éléments environnants comme la population alentour », rappelle le lieutenant-colonel Wiese. La formation délivrée au CFAA en est d’autant plus pointue. D’ailleurs, sur la quarantaine de candidats retenus pour suivre la formation à l’issue des présélections, près 30% échouent. Une statistique en constante amélioration et qui se veux rassurante, gage de la qualité de la qualification des contrôleurs aériens avancés qui œuvrent quotidiennement au profit des forces engagées.

 

>>> Retrouvez les J-TAC à l’action, lors de leur dernière session de formation pratique qui s’est déroulée début février 2015 dans le Gers (vidéo)

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:45
Entraînement à Madagascar pour l’escadron « Réunion »

 

26/02/2015 Armée de l'air

 

Du 18 au 20 février 2015, l’équipage d’un Transall C160 de l’escadron de transport 50 « Réunion » a effectué une période d’entraînement dans le nord de Madagascar.

 

« L’île rouge » offre des possibilités d’entraînement qui n’existent pas à La Réunion. La géographie de Madagascar permet notamment de travailler le vol à basse altitude, la reconnaissance de terrains sommaires et  le vol tactique.

 

Cet entraînement a donné l’opportunité d’effectuer des reconnaissances en prévision de l’exercice que les forces armées dans la zone sud de l’Océan Indien (FAZSOI) mèneront à Madagascar en mai, en coopération avec les pays de la commission de l’Océan Indien (Seychelles, Maurice, Comores, Madagascar).

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:45
Signature de protocole de poser d’assaut au DA 181

 

26/02/2015 Armée de l'air

 

Lundi 23 février 2015, au détachement air (DA) 181 de La Réunion, a été signée la reconduction du protocole de posé d’assaut sur le terrain de Roland Garros.

 

Le lieutenant-colonel Monard, commandant le DA 181 de La Réunion, a accueilli Monsieur Noël, président de l’aéroport Roland Garros et Monsieur Dutartre, chef du service de la navigation aérienne, afin de signer la reconduction du protocole de posé d’assaut pour les aéronefs tactiques sur le terrain de Roland Garros.

 

Remis à jour par les responsables du service opérationnel, ce protocole a pour objectif de permettre à l’escadron de transport 50 « Réunion » d’organiser, sur le terrain de Saint-Denis, des entraînements de nuit au profit de ses équipages, avec un éclairage sommaire de six balises simulant un terrain fictif de 1000 mètres par 30.

 

Ce protocole est essentiel. Le pré-marquage de la zone, la coordination avec le contrôle, la mise en place d’équipements radios et d’éclairages, sont autant d’éléments nécessaires pour le respect de l’activité et la sécurité de l’aéroport, ainsi que celui des aviateurs.

 

Cet entraînement est indispensable aux équipages pour le maintien de leur compétence à opérer de nuit sur des terrains sommaires, afin, par exemple, de mener à bien une évacuation sanitaire de nuit sur les îles Éparses (Océan Indien).

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:45
Mise aux normes d'EUROPA au DA 181

 

10/02/15 – Alban Battestini – DA 181

 

L'EAM, escale aérienne militaire et l'escadron de transport 50 ont réalisé le transport exceptionnel d'engins de chantier au profit du 19ème Régiment du génies afin de réaliser la mise aux normes de la piste d’EUROPA pour pouvoir poser les CASA lors de leur arrivée en été 2015.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 21:35
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

25/02/2015 Armée de l'air

 

Du 22 au 25 février 2015, le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), s’est rendu en voyage officiel en Australie. Une visite qui coïncide avec l’arrivée de l’A400M Atlas en terres australes, une étape dans son périple autour du monde.

 

France-Australie : des liens étroits appelés à se renforcer

« L’armée de l’air et la Royal Australian Air Force (RAAF) ont toujours eu des relations assez proches. Par le passé, les aviateurs australiens ont ainsi volé à bord d’appareils français, comme le Mirage III, explique le général Mercier. Aujourd’hui, la distance géographique entre nos deux pays peut poser problème. Pourtant, grâce à des appareils dotés d’un rayon d’action considérable, comme l’A400M aujourd’hui, ou le Multi Role Transport Tanker (MRTT) demain, nous pourrons entretenir des relations beaucoup plus étroites. Et d’ajouter : la coopération existe déjà, notamment avec la base aérienne 186 de Tontouta, en Nouvelle-Calédonie. Elle peut toutefois se renforcer par le futur. »

Lors de son entrevue avec le général Geoff Brown, chef d’état-major de la RAAF, le CEMAA a pu évoquer le dynamisme des relations entre les deux pays. « La coopération entre nos deux forces aériennes porte notamment sur le domaine du ravitaillement en vol, détaille le général Mercier. Depuis octobre 2014, les Rafale français ravitaillent ainsi sur les KC-30A MRTT australiens. Nos deux pays font actuellement partie de la coalition internationale engagée contre les groupes terroristes Daech au Levant. Par ailleurs, depuis le mois de janvier, un pilote de C135 FR est inséré en échange au 33e escadron de la RAAF, stationné sur la base aérienne d’Amberley. »

 

Rencontre au sommet : le Chief of Air Force Symposium

Dès le lundi 23 février, le CEMAA a participé au Chief of Air Force Symposium. Organisé tous les deux ans en Australie, ce colloque rassemble les chefs d’états-majors d’une trentaine de nations du monde entier, autour d’un thème fédérateur. Les débats de cette édition 2015 étaient centrés autour du concept de « l’intégration de la puissance aérienne». Intégration aussi bien interarmées, interalliée, qu’interministérielle. A cette occasion, la RAAF a présenté son plan stratégique appelé « Plan Jericho ». « Ce dernier est très intéressant à plusieurs titres, puisqu’il présente de nombreuses comparaisons avec le plan Unis pour « Faire Face » de l’armée de l‘air, confie le CEMAA. Cela nous a permis de partager nos visions respectives de l’avenir au sein de nos forces. » Au cours de ce symposium, le général Mercier a aussi rencontré plusieurs de ses homologues étrangers, dont les CEMAA singapourien et japonais.

 

Inauguration de l’Avalon Air Show

Mardi 24 février, le général Mercier a assisté à l’inauguration officielle du Avalon Air Show. Le CEMAA s’est rendu dans les allées du salon aéronautique, à la rencontre d’importants industriels aéronautiques français et européens. Sa journée s’est achevée par une visite du stand dédié à la présentation statique de l’armée de l’air. Il s'est également entretenu avec la quinzaine d’aviateurs opérant le premier tour du monde dans la jeune histoire de l’A400M Atlas.

 

photo Armée de l'Air
photo Armée de l'Air
photo Armée de l'Air
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

Le salon d’Avalon en bref :

- Plus important salon aéronautique de l’hémisphère sud ;

- Organisé tous les deux ans sur l’aéroport d’Avalon, dans la région de Melbourne ;

- 14e édition depuis sa création en 1988 ;

- Thème principal de cette édition : célébration du centenaire de l’ANZAC (Australia and New Zealand Army Corps - contingent australien et néo-zélandais ayant combattu durant la Première Guerre mondiale). Cet événement est un véritable acte fondateur pour la nation australienne ;

- Près de 200 000 visiteurs lors de la dernière édition du salon en 2013 ;

- Environ 300 appareils présentés au sol, dont une trentaine de nations étrangères ;

- Environ 300 présentations aériennes

 

Site web : Avalon Air Show 2015

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 18:50
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

25/02/2015 Armée de l'air

 

Du 13 au 15 février 2015, l’École de l’air (EA) a accueilli à Salon-de-Provence une délégation du collège de la Royal Air Force de Cranwell (Royaume-Uni) pour la 19ème rencontre sportive bilatérale.

 

Emmenée par l’Air Commodore Chris Luck, commandant le collège, les élèves britanniques se sont mesurés aux élèves de l’EA. Au programme : rugby, cross-country, natation, volley-ball, futsal et dash (nouvelle activité en relais organisée sous forme de petits ateliers sportifs).

 

Malgré la pluie, la cohésion était au rendez-vous. Les deux écoles se sont illustrées dans plusieurs épreuves : les Français ont remporté le futsal, le cross et le volley, tandis que les Britanniques ont brillé plus particulièrement au rugby, à la natation et au dash.

 

La prochaine rencontre est déjà programmée : les deux écoles se retrouveront à Cranwell en 2016!

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:55
Photo Ritchie Seyden – MIL.be

Photo Ritchie Seyden – MIL.be

 

24/02/2015 Victoria Timmermans / Kurt Verwilligen – MIL.be

 

Le commandant de la Composante Air belge, le général-major aviateur Frederik Vansina, a attribué une mention honorifique au capitaine aviateur de l’Armée de l’Air française Grégory Odeyer. Cet instructeur pilote a su garder son sang-froid pour assister un élève pilote belge en difficulté lors de son vol retour vers la base de Cazaux.

 

Les pilotes belges et français s’entraînent dans un programme commun de pilotes de jets. Ils formeront les futurs équipages sur Alpha-Jet. Cet avion opère depuis la base de Cazaux. Chaque année, les pilotes belges et français reçoivent les ailes qui symbolisent également l’accès à leur brevet dans le cadre de ce programme binational.   

 

Le capitaine Odeyer a fait preuve d’un « sens poussé du devoir et des responsabilités, dépassant l’exécution normale des tâches qui lui sont confiées habituellement » précise le général-major aviateur Frederik Vansina. C’est la raison pour laquelle il a été récompensé de la mention Good Show. C’est son « attitude exceptionnelle au profit de la Force Aérienne belge » qui a été saluée. Un mérite que ce capitaine n’est pas prêt d’oublier.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 12:30
Solar Impulse : suite de la préparation


24/02/2015  Armée de l'Air

 

Arrivés à Abu Dhabi au début du mois de février 2015, pour rejoindre l’équipe de Solar Impulse 2, les deux élèves-officiers Charly et Axel nous ont envoyés leurs premières impressions.

 

Depuis leur arrivée à Abu Dhabi, les sous-lieutenants Charly et Axel ont eu l’occasion de prendre contact avec l’équipe de Solar Impulse, et plus spécialement la Team Ground Crew avec laquelle ils vont travailler. L’avion et l’ensemble des moyens logistiques sont rassemblés à l’Al-Bateen executive airport. Actuellement, la mission de l’équipe de Solar Impulse est double : préparer le départ (prévisions météorologiques, derniers réglages de l’avion, préparation logistique…) et gérer la communication de l’évènement.

En raison des récentes tempêtes de sable, le départ est officiellement repoussé au 3 mars.  Le compte à rebours est lancé avant le départ du premier tour du monde en avion solaire !

 

Pour suivre le projet : http://www.solarimpulse.com/fr

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 12:25
Arrivée d'un Puma en Guyane - photo Armée de l'Air

Arrivée d'un Puma en Guyane - photo Armée de l'Air

 

24/02/2015 Armée de l'air

 

Les 19 et 20 février 2015, la base aérienne 367 Cayenne-Rochambeau a relevé le Puma 1302 par le Puma 1399 sur le port de Dégrad des Cannes en Guyane.

 

Cette opération avait un double objectif : la réception et le reconditionnement du Puma 1399, sorti de révision et arrivé par porte-conteneur au port de Dégrad des Cannes, puis le conditionnement et la mise à disposition du Puma 1302 pour son embarquement. Préparée minutieusement pendant plusieurs semaines, cette opération s’est déroulée sans encombre.

 

Le 19 février, à 14h, le Puma 1399 était débarqué sur le quai. En moins de quatre heures, après une intervention sur le circuit hydraulique des commandes de vol, le remontage des pales et de divers équipements, l’hélicoptère était opérationnel et a pu rejoindre en vol la base aérienne en toute sécurité.

 

Le lendemain, l’opération inverse était effectuée avec le Puma 1302, qui est retourné en métropole pour une opération de maintenance programmée après de bons et loyaux services assurés au profit des forces armées en Guyane (FAG).

 

Livraison du Puma 1399 - photo Armée de l'Air

Livraison du Puma 1399 - photo Armée de l'Air

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

24/02/2015 Armée de l'air

 

Du 8 au 13 février 2015, le centre de formation à la survie et au sauvetage (CFFS) de la base aérienne 120 de Cazaux a organisé plusieurs stages de survie, à Barège dans les Pyrénées.

 

Les stagiaires, principalement des pilotes et des mécaniciens navigants, ont commencé leur formation par un premier jour de cours théoriques. Ensuite, ils ont pu mettre leurs acquis en pratique lors d’une épreuve de mise en situation de survie d’une journée et d'une nuit en groupe ou en solo.

 

L’objectif de ces stages est d'apprendre à s’adapter à l’environnement et au terrain, malgré la faim et le froid. Il s’agit d’acquérir les gestes de survie en temps froid : conception de caves à neige en fonction de leur équipement (transport ou chasse), construction d’abris, assurance des outils, transformation de la neige en eau potable…

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:55
Remise de brevets sur la base aérienne 705 de Tours

 

23/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février 2015, une remise de brevets du personnel navigant était organisée sur la base aérienne 705 de Tours, sous la présidence du général Philippe Lavigne, commandant la brigade aérienne de l'aviation de chasse (BAAC).

 

Au cours de cette cérémonie, cinq brevets de pilote de chasse, trois brevets de navigateur officier système d’armes (NOSA) et cinq poignards d’officier ont été remis. Un défilé de troupes, survolé par trois Alphajet, a clôturé cet événement.

 

L’école de l’aviation de chasse (EAC), de Tours forme les élèves pilotes de chasse et les élèves NOSA. Ces élèves sont issus de 2 types de recrutements : une sélection après un baccalauréat pour les officiers sous contrat et une sélection par concours après classes préparatoires scientifiques pour les officiers de carrière.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 16:55
Discours du président de la République sur la dissuasion nucléaire depuis la base aérienne 125 d’Istres

 

20/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février, M. François Hollande accompagné de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, s’est rendu sur la base aérienne (BA) 125 d’Istres pour prononcer un discours sur la dissuasion nucléaire.

 

« Le contexte international n’autorise aucune faiblesse et montre que le temps de la dissuasion nucléaire n’est pas dépassé. » Sept ans après son prédécesseur, dans ce traditionnel discours sur la dissuasion nucléaire, François Hollande confirme l’intérêt de cette dissuasion nucléaire pour la France, tout en soulignant l’évolution du contexte international.

« Il ne saurait être question (…) de  baisser la garde », dans le domaine de la dissuasion nucléaire, a fermement rappelé le président de la République, même si « la France ne se sent pas directement agressée (et qu’elle) n’a pas d’ennemi déclaré ». Dans la politique de défense de la France, la dissuasion nucléaire a plus que jamais sa place. Le président a d’ailleurs confirmé son attachement aux deux composantes sous-marine et aéroportée : « toutes deux concourent à l’ensemble des missions de la dissuasion et c’est leur complémentarité qui permet au chef de l’Etat de disposer, à tout moment, de la gamme d’options nécessaires et suffisantes et de ne jamais être tributaire d’un seul type de moyens ». Afin de conserver la crédibilité de ces deux composantes et malgré un contexte budgétaire contraint, François Hollande a confirmé leur nécessaire modernisation : la mise en œuvre des adaptations futures du missile M51 destiné aux sous-marins lanceurs d’engins (SNLE), la poursuite d’études pour préparer des SNLE 3e génération, le remplacement progressif des derniers Mirage 2000N par des Rafale et les études pour faire évoluer le missile de croisière ASMP-A (air-sol moyenne portée améliorée) et préparer son successeur l’ASN4G. Le chef des armées a également précisé : « Par ailleurs, la loi de programmation militaire a engagé le renouvellement de la flotte des avions ravitailleurs, 12 avions Phénix ont été commandés et les deux premiers seront livrés à partir de 2018. ».

« La France doit être lucide. Elle sait qu’il ne suffit pas de proclamer le désarmement nucléaire immédiat et total, il faut que la réalité des actes de chacun soit cohérente avec les discours. » Dans le domaine du nucléaire militaire, la France doit compter avec de nouvelles puissances qui cherchent à émerger. A ce sujet, le président de la République a rappelé que « l’accroissement du nombre d'États possédant l'arme nucléaire (est) un risque majeur pour la paix ». Et de rajouter « En même temps (que la France) est prête à se défendre, elle ne veut pas pour autant renoncer à l’objectif même du désarmement, y compris du désarmement nucléaire. La France, c’est une puissance de paix, et c’est pourquoi elle se défend, pour la paix ! »

« Je tenais à venir ici à Istres pour faire cet exercice de vérité, de transparence, et en même temps, de reconnaissance de ce qu’est la Force de dissuasion pour notre pays ». « Pour réaffirmer l’enjeu fondamental qu’elle représente (…) pour la sécurité de la France. (…) Indépendance, liberté, capacité à faire prévaloir nos valeurs, voilà pourquoi nous devons chaque jour, assurer la permanence de la dissuasion nucléaire et être capables, à chaque instant, d’en améliorer encore l’organisation, le fonctionnement et les armes. »

Enfin, le président de la République a rappelé que la dissuasion nucléaire était complémentaire des moyens militaires conventionnels « Ainsi, en emportant des armements conventionnels, les chasseurs des forces aériennes aux capacités duales ont réalisé environ un quart des frappes effectuées par des avions français lors des opérations en Libye et au Sahel. Ils opèrent aujourd’hui en Afrique et en Irak, et contribuent tous les jours à l’alerte de défense aérienne. »

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 13:56
Portrait d'un tireur embarqué


17 févr. 2015 Armée de l'Air

 

Portrait d'un tireur d'élite embarqué sur hélicoptère Fennec.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:55
Visite de François Hollande et Jean-Yves Le Drian au sein des Forces aériennes stratégiques


20/02/2015  SL  -  DICoD

 

Le 19 février, le président de la République, François Hollande, accompagné du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu sur la base aérienne 125 d’Istres (Bouches-du-Rhône). A cette occasion, le chef des armées a réaffirmé l’importance de la dissuasion nucléaire, fondamentale pour la sécurité de la France et la garantie de la survie de la Nation.

 

« Le contexte international n’autorise aucune faiblesse. Et c’est pourquoi, le temps de la dissuasion nucléaire n’est pas dépassé. Il ne saurait être question, y compris dans ce domaine, de baisser la garde. »  C’est à Istres, sur l’une des bases aériennes à vocation nucléaire de l’armée de l’Air, que le président de la République a décliné ses grandes orientations stratégiques pour la dissuasion nucléaire.

Dans son discours prononcé devant des équipages des forces aériennes stratégiques et des hautes autorités politiques et militaires telles que le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius ou encore le chef d’État-Major des armées, le général d'armée Pierre de Villiers ; le chef de l’État a répété sa volonté de sanctuariser et de moderniser l'outil nucléaire français.

En effet, le chef des armées s’est livré à un véritable exercice de transparence « …je ne crains pas d’informer que la France dispose de trois lots de 16 missiles portés par sous-marins, et de 54 vecteurs ASMP1 » a-t-il déclaré avant de réaffirmer son souhait de maintenir la crédibilité de la composante océanique et de la composante aéroportée « La loi de programmation militaire est justement celle qui nous permet de poursuivre l’adaptation des SNLE, nos sous-marins, aux M51, qui nous permet de mettre en service la tête nucléaire océanique à partir de 2016, de lancer les études de conception du SNLE de troisième génération et de remplacer, d’ici à 2018, les derniers Mirage 2000N par des Rafale emportant le missile ASMPA. Par ailleurs, la loi de programmation militaire a engagé le renouvellement de la flotte des avions ravitailleurs, 12 avions Phénix ont été commandés et les deux premiers seront livrés à partir de 2018. »

Enfin, le président de la République a rappelé que dans un contexte budgétaire contraignant, la dissuasion nucléaire était complémentaire des moyens militaires conventionnels « Ainsi, en emportant des armements conventionnels, les chasseurs des forces aériennes aux capacités duales ont réalisé environ un quart des frappes effectuées par des avions français lors des opérations en Libye et au Sahel. Ils opèrent aujourd’hui en Afrique et en Irak, et contribuent tous les jours à l’alerte de défense aérienne. »

 

 

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:55
Signature d’une convention entre la BA d’Orléans et le lycée Benjamin Franklin

 

18/02/2015 Armée de l'air

 

Lundi 16 février 2015, une convention a été signée entre la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy et le lycée Benjamin Franklin en vue de l’organisation conjointe du brevet d’initiation aéronautique (BIA).

 

Cette collaboration vise à favoriser les échanges entre aviateurs et lycéens, à faire connaître l’histoire de l’aéronautique et à promouvoir les connaissances techniques. Elle offre également aux élèves une découverte du vol.

 

Cette année, une vingtaine de jeunes d’Orléans sera concernée par le BIA ; leur formation sera pilotée par un professeur du lycée. L’établissement veut susciter des vocations, des motivations et enrichir le parcours des élèves.

 

Les activités proposées par la base aérienne illustrent les différents aspects du BIA avec notamment les visites de la station météo, de la tour de contrôle, d’une unité d’entretien de mécanique aéronautique et la découverte d’aéronefs.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:35
L’A400M Atlas au salon aéronautique d’Avalon en Australie

 

23/02/2015 Armée de l'air

 

C’est une première de plus dans la jeune histoire du nouvel avion de transport tactique de l’armée de l’air ! Un A400M Atlas s’est posé en Australie, dimanche 22 février 2015. Baptisé MSN 014, l’appareil s’était élancé jeudi 19 février de la base aérienne 123 d’Orléans afin de rallier Melbourne en Australie. Son objectif : prendre part au salon d’Avalon, plus importante rencontre aéronautique organisée dans l’hémisphère Sud.

 

Pour ce premier déplacement dans le sud du Pacifique, l’A400M a effectué le trajet en un temps « canon » : environ 15 000 km parcourus, soit 27 heures de vol enregistrées, en deux escales desservies… « Un autre avion de transport de l’armée de l’air, comme le C130, aurait eu besoin de deux fois plus de temps et d’étapes, explique le lieutenant-colonel Olivier, pilote au sein de l’équipe de marque « avion de transport tactique » (EMATT) du centre d’expériences aériennes militaires (CEAM). Avec l’Atlas, nous pouvons voler au niveau de vol 400 (40 000 pieds, soit 12 000 mètres environ), à des altitudes comparables à celles empruntés par les avions de ligne. Nous pouvons aussi atteindre des vitesses de l’ordre de Mach 0.72. Pour un avion équipé de turbopropulseurs, c’est une vraie performance ! »

 

Véritable avion de transport tactique à l’allonge stratégique, l’Atlas répond aujourd’hui à un véritable besoin de l’armée de l’air. Au quotidien, il effectue des missions de transport logistique, notamment au profit des opérations militaires françaises menées en Afrique et au Levant. « Notre présence durant le salon est l’occasion de présenter non seulement l’appareil, mais aussi les compétences que les aviateurs mettent en œuvre chaque jour pour réaliser leurs missions », ajoute le lieutenant-colonel Olivier.

 

Si l’A400M Atlas sera sous le feu des projecteurs, un autre appareil en service dans l’armée de l’air, un Casa CN235 des forces armées de Nouvelle-Calédonie, sera également présenté durant le salon.

 

Par ailleurs, le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), actuellement en visite en Australie, doit assister à l’inauguration officielle de l’événement, mardi 24 février. Le CEMAA participera également au Chief of Air Forces Symposium, colloque réunissant les chefs d’états-majors de nombreuses forces aériennes à travers le monde. À cette occasion, le général Mercier doit s’entretenir avec plusieurs de ses homologues étrangers, d’Asie et d’Océanie notamment.

L’A400M Atlas au salon aéronautique d’Avalon en Australie
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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:34
Transport de fret à destination des EAU

Transport de fret à destination des EAU

 

23/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février 2015 au matin, un avion de transport A400M Atlas décolle de la base aérienne 123 d’Orléans pour une mission de longue durée, baptisée « Avalon ».  Il s’agit du premier tour du monde vers l’est pour le nouvel avion de transport tactique de l’armée de l’air.

 

Deux premières escales réussies avec succès !

 

L’Atlas a décollé d’Orléans en emportant 5,5 tonnes de fret à destination notamment des Émirats arabes unis. Le matériel embarqué (lots de maintenance aéronautique, matériel médical et de soutien…) doit en partie bénéficier aux forces françaises engagées dans le cadre de l’opération Chammal. L’importante capacité d’emport de l’Atlas, ainsi que son très long rayon d’action permettent aujourd’hui aux équipages d’avions de transport tactique de réaliser des missions d’une durée jusque-là inédite.  Lors de sa deuxième escale, à Kuala Lumpur en Malaisie, l’avion a d’ailleurs été très bien accueilli, suscitant l’intérêt des Malaisiens, qui recevront leur premier appareil dans le courant du mois de mars.

 

Échanges avec les aviateurs malaisiens

Échanges avec les aviateurs malaisiens

Des expérimentations à chaque étape

 

Tout au long du périple, des expérimentations sont menées sur l’environnement de l’A400M (température, qualité de l’air), afin de produire des recommandations notamment en matière de sécurité aérienne, ainsi que dans la constitution des repos et des relèves équipages.  « La totalité de la mission est programmée sur environ 75 heures de vol, explique le lieutenant-colonel Olivier, commandant de bord et pilote de l’équipe de marque « avion de transport tactique » (EMATT), unité du centre d’expériences aériennes militaires (CEAM). C’est à l’heure actuelle la plus longue mission jamais réalisée sur Atlas, depuis son arrivée dans les forces en août 2013. Ces vols de longue durée permettent de poursuivre l’expérimentation sur A400M. Chaque pilote est ainsi équipé d’un électro-encéphalogramme mesurant son état de fatigue, ainsi que son niveau de vigilance. Chacun doit également répondre à une série de tests informatiques et de questionnaires. L’influence du décalage horaire sur notre état général est également prise en compte. » Et d’ajouter : « les mesures réalisées par le département de médecine aéronautique opérationnelle (DMAO) et de l’institut de recherche biomédicale des armées (IRBA), ainsi que les enseignements tirés, seront bénéfiques à l’ensemble de la communauté A400M. »

 

La prochaine étape est déjà entamée, destination Avalon en Australie pour assister au salon aéronautique.

L'A400M quitte Kuala Lumpur

L'A400M quitte Kuala Lumpur

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:30
Vol sans escale de l’A400M aux Émirats arabes unis

 

18/02/2015 EMA/ Armée de l'air

 

Le 28 janvier 2015, un Atlas A400M s’est posé sur la base aérienne 104 d’Al Dhafra, pour livrer du fret aux militaires français des forces françaises aux Émirats arabes unis (FFEAU).

 

Nouvel avion de transport tactique à allonge stratégique de l’armée de l’air, l’Atlas A400M démontre chaque jour un peu plus son extraordinaire capacité de projection.  Son allonge lui permet de remplir ce type de mission sans escale avec un emport plus important que sur Transall C160 ou Hercules C130.

 

Déployé à plusieurs reprises lors des opérations Chammal et Barkhane, il soutient les forces armées engagées sur les théâtres extérieurs et facilite les flux logistiques tout en permettant d’économiser les moyens engagés.

 

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 08:55
Visite du CEMA sur la base aérienne d’Orange

 

20/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février, la base aérienne 115 d’Orange a reçu la visite du chef d’état-major des armées (CEMA) accompagné du chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA).

 

Les généraux Pierre de Villiers (CEMA) et Denis Mercier (CEMAA) se sont rendus sur la base aérienne d’Orange pour découvrir les moyens de mise en œuvre de la posture permanente de sûreté (PPS) aérienne.

 

À cette occasion, ils ont pu visiter la permanence opérationnelle (PO), armée par les Fennec, ainsi que les locaux du futur centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’air (CPOCAA).

 

Lors de cette visite, les deux autorités ont pu également aller à la rencontre des aviateurs présents sur la base aérienne.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 17:55
Coopération inter-administrations pour l’évaluation opérationnelle des sémaphores de Méditerranée

 

20 Février 2015 Source : Marine nationale

 

Du haut de leur passerelle de veille, comme ancrés à leurs rochers ou à leurs dunes,  les 59 sémaphores qui assurent la protection de nos approches métropolitaines et la surveillance du trafic maritime n’en sont pas moins des unités opérationnelles de la Marine nationale. Comme pour les unités navigantes, ils entretiennent leur niveau de préparation opérationnelle.

 

C’est dans ce cadre que les sémaphores de Méditerranée, en coopération  avec le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS MED à La Garde), ont élaboré, durant la semaine du 16 au 20 février,  des scénarii d’exercices mettant en œuvre divers moyens.

 

Déjà, en décembre 2014, les stages d’évaluation opérationnelle des sémaphores du  Cap Corse et de Sagro, en étroite collaboration avec le CROSS MED en Corse, avaient vu la participation des légionnaires du 2ème REP, d’un Super Puma de la base aérienne de Solenzara, de la vedette de Gendarmerie maritime Gravona, du bâtiment de soutien, d’assistance et de dépollution Ailette, de la vedette SNSM de Bastia et des sapeurs-pompiers de Luri (Haute Corse).

 

Sous le regard attentif du centre opérationnel de la marine (COM) et plus particulièrement de la section des opérations côtières, ces coopérations, basées sur l’optimisation des moyens pour répondre aux besoins d’entrainements mutuels, renforcent les liens interarmées et inter-administrations et leurs capacités d’interventions communes.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 17:45
Canon de 20 mm sur Fennec pour Sangaris

 

20.01.2015 Crédits : Etat-major des armées / armée de Terre


Le vendredi 30 janvier 2015, sur la base opérationnelle de Bambari, trois techniciens du détachement FENNEC de Bangui, projetés pour plusieurs semaines à Bambari, montent un canon de 20 mm sur une machine. L’opération prend environ 1h30.

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner le déploiement vers sa pleine capacité opérationnelle de la mission de l’ONU.

 

Reportage photos
 

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 17:45
Côte d’Ivoire : dissolution du détachement « FENNEC » des Forces Françaises en Côte d’Ivoire

 

21/02/2015 Sources :  EMA

 

Après 42 ans de présence en République de Côte d’Ivoire, le détachement hélicoptère de l’armée de l’Air d’Abidjan a été dissout vendredi 13 février 2015 à l’occasion d’une cérémonie présidée par le colonel Nicolas Chabut, commandant les Forces Françaises en Côtes d’Ivoire (FFCI). Avec un équipage de deux pilotes, il a effectué un dernier vol historique dans le ciel ivoirien mercredi 9 février dernier.

 

D’abord mis pour emploi auprès du commandement des troupes françaises en Côte d’Ivoire (TFCI) du 43e Bataillon d’Infanterie de Marine (43e BIMa), ce détachement hélicoptère de l’armée de l’Air est rattaché le 22 septembre 2002 au dispositif interarmées « Licorne » pour assurer la protection des ressortissants français et soutenir la Force déployée par l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Seule unité de l’armée française à avoir participé à l’intégralité de l’opération « Licorne », l’escadron d’hélicoptères 3/67 « Parisis » qui met en œuvre le Fennec, aura effectué en 12 ans près de 4000 missions de guerre, transporté plus de 8000 militaires et civils et évacué plus de 60 soldats blessés.

 

Ce détachement de taille très réduite permet d’assurer des missions de sauvetage, de reconnaissance et de renseignement, d’appui, de transport tactique, d’infiltration et d’extraction. Dans un pays où l’instabilité est récurrente, le détachement d’hélicoptères Fennec (DETFENNEC) a prouvé son engagement à plusieurs reprises.

 

Tout au long de ces années, ce détachement hélicoptère de l’armée de l’air a effectué 11 000 heures de vol pour plus de 12 000 missions de guerre et après avoir sauvé près de 200 personnes, tout le personnel ayant participé à cette aventure se souviendra de cette date avec émotion.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 12:55
Opération Sentinelle, les militaires sur le pied de guerre (JDef)

 

20/02/2015  DICoD

 

Suite aux attentats du 7 et 9 janvier 2015, le Premier ministre a décidé d’élever le dispositif Vigipirate au niveau «alerte attentat» en région Ile-de-France. Le ministère de la Défense mobilise alors un nombre record de soldats, en appui aux forces de police et de gendarmerie, pour protéger les « points » sensibles du territoire.

En quelques jours, les armées multiplient par dix l’effectif militaire déployé en France. Plus de 10 000 militaires sont mobilisés pour l’opération Sentinelle, dont plus de 6.000 en Ile de France et 4.000 en province.

Les équipes du Journal de la Défense (#JDef) ont pu suivre les différentes étapes de cette mobilisation sans précédent en Ile de France, au plus près du terrain.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 08:45
Montée en puissance des Casa à La Réunion

 

19/02/2015 Armée de l'air

 

Du 11 au 13 février 2015, une visite a été organisée au détachement air 181 de La Réunion dans le cadre du marché de maintien en condition opérationnelle (MCO) des Casa CN235.

 

Trois représentants d’Airbus Defence & Space (à qui a été confié le MCO des Casa) et un militaire de la SIMMAD (structure intégrée du MCO des matériels aéronautiques du ministère de la Défense) se sont rendus sur le site du détachement air (DA) 181 « Lieutenant Roland Garros ». Cette visite est préalable au remplacement des Transall C/160 par des Casa CN235 à l’été 2015.

 

Montée en puissance des Casa à La Réunion

Cette visite a pour but de valider le calendrier de mise en place des aéronefs, de préciser le processus de MCO et de passer en revue les moyens et les infrastructures à mettre à disposition. Les spécialistes ont également relevé les contraintes opérationnelles spécifiques au site d’accueil.

 

Les nouveaux aéronefs seront mis en place à l’été 2015 au DA 181.

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