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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 12:26
Kurdistan-Irak : soutien des armées à l’action humanitaire de la France

 

11/08/2014 Sources : EMA

 

Le 9 août 2014, compte-tenu de la gravité de la situation au Kurdistan irakien, le président de la République a annoncé que la France allait procéder à de premières livraisons d’équipement de secours, afin de répondre aux besoins humanitaires immédiats.

 

Dans le même temps, il a été demandé à l’état-major des armées (EMA) de planifier et de conduire la projection du fret humanitaire à destination de la population kurde, en situation de détresse humanitaire. Dans ce cadre, le centre de planification et de conduite des opérations (EMA/CPCO) a ordonné l’affrètement d’un avion A340 de l’armée de l’Air, appartenant à l’escadron de transport 3/60 Estérel.

 

 Samedi 9 août en fin d'après-midi, sur la base aérienne 110 (BA110) de Creil dans l'Oise, une équipe de huit personnes du district du transit aérien en région parisienne (DITAP) a procédé au conditionnement des 18 tonnes d'aide humanitaire. Les militaires du DITAP ont ainsi mis sur palettes les couvertures, tentes et autres médicaments fournis notamment par la sécurité civile.

 

Depuis la base de Creil, trois rotations de camion ont permis d'acheminer les palettes conditionnées vers l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, pour être chargées dans l’Airbus A 340 de l’Esterel.

 

En liaison avec les personnels de l'aéroport, les équipes logistiques de l'armée de l'Air ont réalisé le chargement du fret à bord de l'avion, avant son décollage vers 7 heures du matin en direction l'aéroport d'Erbil dans le Kurdistan irakien.

 

Le 10 aout à midi, l'aéronef militaire se posait à Erbil et débutait immédiatement les opérations de déchargement. Durant l’escale, le ministre des affaires étrangères, M. Laurent Fabius, est venu retrouver l’équipage de l’armée de l’Air afin de superviser la manœuvre globale et remettre officiellement ce chargement humanitaire aux autorités locales, ainsi qu’aux organisations non gouvernementales qui apportent leur secours aux populations déplacées.

 

A l’issue du déchargement, l’équipage de l’A340 a redécollé en milieu d’après-midi. La réactivité et le professionnalisme des équipages ont permis de répondre très rapidement au besoin des populations locales, en étroite coopération avec le ministère des affaires étrangères.

Kurdistan-Irak : soutien des armées à l’action humanitaire de la France
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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 15:21
Déchargement Assistance humanitaire française à Irbil 10 Aug 2014 - photo MinDef FR

Déchargement Assistance humanitaire française à Irbil 10 Aug 2014 - photo MinDef FR

 

10-08-2014 à 14:16 par RFI

 

François Hollande l'avait annoncé ce samedi 9 août : la France va livrer d'importants matériels de premiers secours pour venir en aide aux populations déplacées en Irak. Chose dite, chose faite: ce dimanche, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a été dépêché en Irak pour superviser en personne l'arrivée de cette aide promise par la France, mais aussi pour rencontrer des responsables irakiens et kurdes.

 

L'aide humanitaire française doit arriver dans le Nord de l'Irak. Selon Laurent Fabius il s'agit de plusieurs tonnes de secours d'urgence, notamment de médicaments. Sur son chemin vers Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, le ministre français des Affaires étrangères a fait une courte halte à Bagdad pour s'entretenir avec son homologue Hussein Chahristani.

 

Suite de l’article

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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 11:55
The "Loiret" will focus on the technical service for the French A400M fleet - photo Sirpa Air

The "Loiret" will focus on the technical service for the French A400M fleet - photo Sirpa Air

 

6 August – EATC-  News & Press updates

 

Starting September 2014 the aeronautical technical support squadron (ESTA) « Loiret » at Orléans air base will take over the maintenance of the A400M “Atlas” of the French Air Force.

This squadron, and the former units in which the engineers operated before that, have been taking care of the C-160 “Transall” fleet maintenance for the past 47 years. In total the Transall has already accomplished 1.300.000 flying hours since 1967. It will now gradually be taken out of service to make room for the heavyweights: the A400 fleet.

 

Find the original article (in French language) here

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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 07:55
17,8 millions de dollars pour améliorer les capacités des Awacs français

 

01.08.2014 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

Le Pentagone a diffusé un avis d'attribution concernant les Awacs français qui vont bénéficier d'une remise à niveau de leurs capacités radar.

 

Boeing assurera ces travaux à Seattle. Ils s'inscrivent dans un contrat en cours de modernisation des avions de guet aérien français dont la valeur totale est de 378 millions de dollars.

 

The Boeing Co., Seattle, Washington, has been awarded a $17,858,824 firm-fixed-price, incentive-firm modification (25), on delivery order 0067 to F19628-01-D-0016 for E-3F enhancements. The total cumulative face value of the contract is $378,494,386. The contract modification is for the full Mode 5 and Mode S-FAA radar capabilities for incorporation into the French Air Force mission and ground system suite. Work will be performed in Seattle, Washington, and is expected to be completed by June 30, 2017. This contract supports 100percent foreign military sales for France, and $17,858,824 will be obligated at time of award. The Air Force Life Cycle Management Center, Hanscom Operating Location, Hanscom Air Force Base, Massachusetts, is the contracting activity.

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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 07:55
Avec ses drones Reaper, l'armée de l'air "dispose de ce qui se fait de mieux au monde"

 

29/07/2014 Jean Guisnel / Défense ouverte - Le Point.fr

 

Le site du crash du vol AH5017 d'Air Algérie a été retrouvé par un drone Reaper français. Le lieutenant-colonel Christophe "Tarazboulba" Fontaine, commandant l'escadron des drones, nous explique l'apport de ces engins.



La France a beaucoup tardé à s'équiper de drones Male (moyenne altitude, longue endurance) à hautes performances et s'est trouvée contrainte d'en acquérir aux États-Unis. En service depuis janvier 2014 et déployés à Niamey (Mali), deux drones Reaper font chaque jour la preuve de leurs performances exceptionnelles.

 

Le Point.fr : Vous commandez l'unique escadron de drones français, le 1/33 Belfort, basé à Cognac ChâteauBernard. De combien d'appareils dispose votre unité ?

 

Christophe "Tarazboulba" Fontaine : L'escadron compte actuellement deux systèmes Harfang, avec deux cockpits (postes de pilotage) et quatre avions, ainsi qu'un système Reaper avec un double cockpit et deux avions. Je dispose donc de six avions et de trois cockpits permettant de piloter et de commander les capteurs de ces drones Male. Le système Reaper est intégralement déployé en opérations extérieures, de même qu'un système Harfang. Le deuxième système Harfang se trouve en France, où il a participé aux dispositifs particuliers de sûreté aérienne déployés dans le cadre des cérémonies du 6 juin et du 14 juillet.

 

En quoi les drones changent-ils le "métier" de la reconnaissance dans l'armée de l'air française ?

Jusqu'alors, nous n'étions pas capables d'assurer la persistance de la surveillance d'une cible et de son environnement. Les avions et les satellites prennent par intermittence des images d'un objectif. Avec les drones, et le positionnement de l'équipage au sol, on peut rester parfois plus de vingt-quatre heures en vol. En ce sens, le métier a changé. Le recueil est devenu persistant. De plus, avec des appareils comme le Mirage F1CR, on attendait jusqu'à présent que l'avion revienne sur sa base pour exploiter les images, le Rafale pouvant quant à lui les retransmettre dans certaines conditions directement en vol. Mais avec le drone, les images sont diffusées en temps réel et en continu dans toute la chaîne de commandement.

 

Les derniers avions français spécialisés dans la reconnaissance, les Mirage F1 CR, viennent d'être retirés du service. Vous n'avez donc plus besoin de reconnaissance de ce type ?

Pas du tout... Dans mon escadron, on a certes remplacé les F1 CR par des drones. Mais on a toujours besoin d'assurer cette fonction, la reconnaissance tactique. C'est en ce sens que l'armée de l'air parle d'un passage de témoin entre le Mirage F1 CR et le Rafale équipé du pod RECO-NG. Un drone a d'immenses qualités. Pourtant, il reste vulnérable aux mauvaises conditions météo et a besoin que la supériorité aérienne soit acquise. Dans un environnement très hostile, il ne volerait pas très longtemps... De plus, il faut être en mesure de garantir la supériorité cybernétique, car nous utilisons des liaisons satellites qui doivent être sûres. Ainsi, il est nécessaire de disposer d'avions de chasse qui ont des capacités très supérieures de manoeuvrabilité, de survivabilité et d'autoprotection. Dans le futur, des drones de combat pourraient éventuellement compléter ces moyens dans un espace aérien très contesté.

 

La loi de programmation militaire (LPM) 2004-2019 pronostique l'entrée en service de nouveaux drones Male. Où en est-on ?

La LPM prévoit deux systèmes de drones Male en 2017 et deux autres en 2019. Pour un total de quatre systèmes en service en 2019, avec douze drones Male. La connaissance et l'anticipation restent une priorité des armées, et de l'armée de l'air.

 

Les performances du MQ-9 Reaper sont supérieures à celles du SIDM Harfang. Pouvez-vous les préciser ?

Ce sont deux engins très différents. La mise en oeuvre du Reaper - beaucoup plus moderne - est nettement plus rapide. Les cycles de maintenance sont simplifiés. L'avion vole beaucoup plus haut et beaucoup plus vite. Le moteur de 100 CV à pistons du Harfang devient un turbopropulseur de 900 CV sur le Reaper. Ce dernier fait 4,750 tonnes quand le Harfang fait 1,25 tonne. En emport de carburant, de capteurs, cela n'a rien à voir. Et en vitesse non plus : le Reaper est deux fois plus rapide et vole deux fois plus haut. À endurance égale (vingt-quatre heures d'autonomie en vol), le Reaper passe beaucoup plus de temps sur la zone de recueil. Concernant les performances des deux machines, imaginez qu'elles sont aussi différentes que celles d'un téléphone à touche traditionnel et d'un smartphone. On dispose ainsi de ce qui se fait de mieux au monde. J'attire aussi votre attention sur la rapidité avec laquelle les choses sont faites. La décision d'acquisition a été prise en mars 2013, le contrat a été signé en juillet, les appareils livrés le 27 décembre et le premier vol a eu lieu le 16 janvier 2014. C'est exceptionnel... On n'avait pas vu ça depuis la livraison des P-38 en 1943 !

 

Qui sont les pilotes des drones ?

Tous les pilotes de Reaper étaient déjà des pilotes de Harfang et tous sont des personnels navigants de l'armée de l'air, pilotes de chasse pour la plupart. Ou navigateurs de combat, pour les opérateurs-capteurs. Ces personnels excellemment formés sont indispensables pour plusieurs raisons. Déployés en zone de guerre, ils doivent posséder une culture militaire et tactique, car ils volent dans un espace aérien où ils ne sont pas tout seuls. Ils volent au milieu de Rafale ou de Mirage 2000 armés, avec des hélicoptères, ils doivent s'intégrer dans une circulation aérienne complexe. Ils doivent aussi se coordonner avec les troupes au sol, leur livrer des informations tactiques, voire "illuminer" des cibles pour les armées guidées par laser, comme cela s'est fait au début de Serval avec le Harfang. Ce n'est pas de l'aéromodélisme grandeur nature, c'est du pilotage de combat ! Avec des avions de vingt mètres d'envergure (17 mètres pour le Harfang) qu'il faut poser sur une piste au milieu d'autres aéronefs..., les qualifications de pilote à distance sont indispensables et requises !

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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 07:55
L'âge des équipements français et le coût du maintien en condition opérationnelle

 

06.08.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord.

 

On ne peut pas reprocher au député UMP de Haute-Marne, François Cornut-Gentille, de manquer de constance et de goût pour l'approfondissement. Il cherche à évaluer le coût du vieillissement des équipements militaires et à ce titre, a demandé au ministère de la Défense qu'on lui fournisse le coût du maintien en condition opérationnelle (MCO), le taux de disponibilité et l'âge moyen des véhicules et équipements de l'armée française.

Le député avait posé ces questions le 7 janvier 2014, le ministère distille patiemment ses réponses, y compris en ce mois de juillet. Plutôt instructif...

 

Suite de l'article

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 16:55
Insigne de l'escadron électronique "Dunkerque"

Insigne de l'escadron électronique "Dunkerque"

 

08/08/2014 Armée de l'air

 

L’escadron électronique aéroporté (EEA) de la base aérienne 105 d’Évreux soufflera ses cinquante bougies, le 12 septembre 2014. Les anciens de l’unité sont appelés à se mobiliser pour cette célébration. La journée initialement prévue le 17 septembre est avancée au 12 pour des raisons protocolaires.

 

L'escadron électronique aéroporté reprend les traditions de l'escadrille MF20 qui fêtera son centenaire. Elle a participé à toutes les grandes batailles du premier conflit mondial en tant qu'unité d'observation et de renseignement. Créée en 1964, l'escadre électronique (EE) 54 prend rapidement l’insigne et les traditions de l’escadrille 20. Le nom de «Dunkerque» lui est alors attribué.

 

Plus d'informations sur l'histoire de l'escadron électronique aéroporté

 

Le C160G Transall

Le C160G Transall

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 16:35
Prise de commandement sur la base aérienne de Nouméa

 

07/08/2014 Armée de l'air

 

Une prise de commandement s’est déroulée le 31 juillet 2014 sur la base aérienne 186 « Lieutenant Paul Klein » de Nouméa-Tontouta.

 

Lors d’une cérémonie militaire, présidée par le général Luc du Perron de Revel, commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie, le colonel Antoine Sadoux est devenu officiellement le nouveau commandant de la BA 186.

 

Il succède ainsi au colonel Xavier Buisson, devenant alors le troisième commandant de cette jeune base aérienne, créée le 17 août 2011.

 

Cette cérémonie a également été l’occasion pour le commandant Denis Desquibes de prendre le commandement de l'escadron de transport 52 « Tontouta », remplaçant le lieutenant-colonel Emmanuel Peltriaux dont il a été l’adjoint pendant un an.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 15:55
Appel aux anciens de l’escadron de transport 1/61 « Touraine »

 

08/08/2014 Armée de l'air

 

Stationné sur la base aérienne 123 d’Orléans Bricy, l’escadron de transport 1/61 «Touraine» a été mis en sommeil durant l'été 2012. Il sera réactivé ce 1er septembre 2014 pour assurer la mise en œuvre du nouvel avion de transport A400M «Atlas».  

 

Pour fêter l’arrivée de l’A400M et le « réveil » de l’unité, tous les anciens du «Touraine» sont conviés à un grand repas (payant) vendredi 19 septembre au  Château de la Chesnaye, à Loury (Loiret).

 

Appel aux anciens de l’escadron de transport 1/61 « Touraine »

 

L’association amicale et la cellule cohésion de l'escadron prient les anciens qui n'auraient pas déjà été contactés de se rapprocher des organisateurs : 

 

Adresse : Touraine Squadron Club

Escadron de Transport 1/61 «Touraine»

Base aérienne 123

BP30130

45143 Saint Jean de la Ruelle Cedex

 

Courrier électronique :  touraine.squadron@gmail.com

Page Facebook : Touraine squadron club

Date limite de réponse : 17 septembre 2014

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 13:45
photo EMA

photo EMA

 

7 août, 2014 – BBC Afrique

 

L'opération française Sangaris annonce qu'elle a mené une opération d’envergure contre l'ex-Séleka à Batangafo , dans le nord de la Centrafrique.

 

Dans un communiqué, Sangaris précise qu'elle a riposté avec force à l'attaque menée, mardi contre ses éléments.

Sangaris ajoute qu'il s'agit d'un "signal fort" contre les groupes armés qui s’opposent au retour à la paix.

Des affrontements qui ont éclaté mardi ont fait au moins trois blessés, deux chez Sangaris et un soldat de la Misca.

L'armée française affirme que la situation a été stabilisée mercredi, mais qu'elle reste tendue, ajoutant que les opérations de contrôle de zone "sont toujours en cours".

C'est le deuxième incident majeur depuis la signature de l'accord de cessez-le-feu le 23 Juillet à Brazzaville.

La semaine dernière, Batangafo avait déjà été le théâtre de violents affrontements entre ex-Séléka et miliciens anti-balaka, faisant au moins 25 morts.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 12:30
Un nouveau commandant à la tête de la base aérienne 104 d’Al Dhafra

Cérémonie de prise de commandement sur la BA 104 d'Al Dhafra

 

07/08/2014 Armée de l'air

 

Depuis jeudi 31 juillet 2014, la base aérienne 104 d’Al-Dhafra (Émirats arabes unis) dispose d’un nouveau commandant.

 

Le colonel Mathieu Deflandre a en effet succédé au colonel Richard Ringuet lors d’une cérémonie présidée par le vice-amiral Anoine Beaussant, commandant les forces françaises aux Émirats arabes unis (FFEAU).

 

De 2011 à 2014, le commandement du colonel Ringuet a notamment été marqué par la normalisation du fonctionnement de la base, ainsi que par la finalisation des livraisons et la sécurisation des installations. Les échanges avec les alliés présents dans la région ont également été importants, tout comme l’appui aux opérations.

 

Plus d’informations sur les FFEAU sur le site de l’état-major des armées

Le colonel Ringuet remet l'insigne de la base à son successeur, le colonel Deflandre

Le colonel Ringuet remet l'insigne de la base à son successeur, le colonel Deflandre

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 16:55
L’escadron de transport «Béarn» en instruction en Corse

 

05/08/2014 Armée de l'air

 

L’escadron de transport 1/64 « Béarn » de la base aérienne 105 d’Évreux a effectué une période d’instruction en Corse, du 28 au 31 juillet 2014.

 

Cet entraînement s’est déroulé à partir de la base aérienne 126 de Solenzara, ainsi qu’au-dessus de Calvi et de sa région. Durant une semaine, le «Béarn» a ponctuellement réalisé des missions communes avec des aéronefs de l’escadron de chasse 2/4 «Lafayette» d’Istres, ainsi que des spécialistes du commando parachutiste de l’air n°20 (CPA 20) de Dijon et des légionnaires du 2e régiment étranger de parachutistes (2eREP) stationnés à Calvi.

 

Ce type d’exercice est essentiel à la préparation opérationnelle d’un escadron de transport tactique. Il permet d’acquérir, de développer ou de maintenir le savoir-faire des équipages. Les aviateurs du «Béarn» ont ainsi réalisé différents largages de parachutistes et de fret, ainsi que des vols tactiques à basse altitude et des posés d’assaut.

L’escadron de transport «Béarn» en instruction en CorseL’escadron de transport «Béarn» en instruction en Corse
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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 12:57
Patrouille composée d'un avion-ravitailleur C135, d'un Mirage 2000 N et d'un Rafale des FAS. - photo Armée de l'air

Patrouille composée d'un avion-ravitailleur C135, d'un Mirage 2000 N et d'un Rafale des FAS. - photo Armée de l'air

 

05/08/2014 Actus Air

 

Vendredi 17 octobre 2014, une cérémonie commémorative célébrant le cinquantenaire de la création des forces aériennes stratégiques (FAS), ainsi que la première prise d’alerte de dissuasion le 8 octobre 1964, aura lieu sur la base aérienne 125 d’Istres.

 

Cette journée sera rythmée par une conférence sur l’histoire des FAS, une prise d’armes, une exposition statique et des présentations aériennes, avant de se clore par un cocktail dînatoire (uniquement sur invitation payante).

 

Anciens des Forces Aériennes Stratégiques, en service actif, réserviste ou en retraite, faites-vous connaître ! Pré-inscriptions avant le 1er septembre sur le site Internet de l’association nationale des forces aériennes stratégiques (ANFAS)

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 12:56
Entraînement de la BFST

Entraînement de la BFST / Crédits : C. MARTINEZ

 

31/07/2014 SIRPAT

 

Le 15 juillet 2014, les unités nautiques de la brigade des forces spéciales Terre (BFST) ont effectué un entraînement à la mise en place par saut LOS (largage opérations spéciales) sur plan d’eau.

 

Réalisé de nuit en configuration opérationnelle, cet entraînement a vu le largage de trois équipes de recherche nageur-palmeur, du 2eescadron du 13e régiment de dragons parachutistes (13eRDP),  dont une de plongeurs oxy, et deux sticks action spéciale (SAS fluvial et SAS plongeurs offensifs) du 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa), sur le plan d’eau d’Hourtin, en Gironde, par un aéronef de l’escadron « Poitou », de l’armée de l’air.

 

Ce mode d’insertion, maîtrisé par les éléments renseignement et action nautiques de la brigade, est particulièrement exigeant et nécessite un entraînement régulier.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:45
Niamey : Exercice d’extraction d’un pilote de chasse

 

30/07/2014 Sources : EMA

 

Le vendredi 11 juillet 2014, au détachement air (DETAIR) de Niamey, les personnels de l’Escadron de Sécurité Incendie et Sauvetage (ESIS), du service de santé et du détachement chasse ont réalisé un exercice portant sur l’extraction d’un pilote de Mirage 2000D.

 

Au cours de cet exercice, les personnels de l’ESIS et du service de santé étaient appelés pour réaliser les premiers soins, et extraire le pilote d’un Mirage 2000D atteint d’une vive douleur au niveau des cervicales après un atterrissage forcé.

 

Dans un premier temps le chef des secours de l’équipage de l’ESIS a abordé l’aéronef afin de neutraliser le siège éjectable du pilote, réaliser les manœuvres de sécurité, et prendre des renseignements sur l’état du pilote. Une fois ces opérations terminées, le médecin a prodigué les gestes médicaux adaptés, et a choisi la méthode appropriée pour extraire la victime de l’aéronef.

 

L’équipage de l’ESIS a ensuite procédé à la phase de conditionnement de la victime, manœuvre qui consiste à mettre en place un collier cervical, et poser une jaquette de contention afin de stabiliser la colonne vertébrale de la victime. S’en est suivi la phase d’extraction de la victime, qui consiste à sortir le pilote du cockpit. Avec l’aide du service de santé, les personnels de l’ESIS font glisser la victime sur un toboggan jusqu’au brancard du service de santé, qui l’évacue ensuite vers le centre hospitalier le plus proche.

 

La réalisation de ce type d’exercice en opération extérieure permet aux différentes unités concernées de pratiquer les techniques instruites en métropole et de rester ainsi opérationnel. Essentiels à la formation de tous les acteurs pouvant être impliqués dans ce type de mission de sauvetage, les scenarii réalistes donnent la possibilité aux différents organismes civils et militaires concernés de se préparer à intervenir conjointement en cas d’incident sur la base aérienne de Niamey.

Niamey : Exercice d’extraction d’un pilote de chasse
Niamey : Exercice d’extraction d’un pilote de chasse
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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 10:55
Forces spéciales, agir autrement avec la 3D

 

5 août 2014 Eléonore Krempff, journaliste-réalisatrice

 

Pour ce numéro inédit «Forces spéciales, agir autrement avec la 3e dimension», le Journal de la Défense a suivi les commandos des forces spéciales pendant 6 mois lors de leurs entrainements.

 

On ne connait pas leurs visages, ni leurs noms. Leur travail est tenu au secret. Pourtant ils interviennent à chaque instant aux quatre coins du monde.

Libération d’otages, action de contre-piraterie, arrestation de criminels de guerre… Les 3.300 hommes du COS, commandement des opérations spéciales, sont aujourd’hui de tous les engagements, parfois dans les conditions les plus extrêmes. Qu’ils fassent parti de l’armée de terre, de l’air ou de la Marine, toutes les unités des forces spéciales sont amenées à maitriser la 3e dimension, milieu propice pour leurs interventions.

 

« Nous avons pu suivre pendant plusieurs mois quelques unes des 11 unités du commandement des opérations spéciales (COS), en particulier celles spécialisées dans le domaine aérien : 1er Régiment parachutiste d’infanterie de marine, 13ème régiment de dragons parachutistes, commando parachutiste de l’air n° 10, escadron de transport 3/61 Poitou, 4ème régiment d’hélicoptères des forces spéciales, commando Trépel…

Au-delà des missions parfois très physiques que nous avons partagées avec ces unités (notamment une patrouille motorisée de pas loin d’une dizaine d’heure, de nuit et en plein désert africain !), nous avons découvert des personnalités souvent exceptionnelles, posées, professionnelles, attachantes, et parfois très drôles. Bref, très humaines !

Les forces spéciales étant astreintes à l’anonymat le plus strict et à une certaine discrétion, il n’est pas toujours évident de se faire accepter dans la « famille » quand on est une équipe de tournage ! Mais une fois la confiance établie, nous avons été totalement intégrés aux manœuvres ; ce qui n’a pas toujours été de tout repos pour nous, techniquement et physiquement!

 

De grands moments dont on se souviendra longtemps sans doute ! »

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 07:55
Le général Bosser, chef d'état-major de l'armée de terre, et les autres nominations de juillet

 

04.08.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord


Pour ceux qui, comme moi, étaient en vacances en juillet, complètement déconnectés de l'actualité de Défense (difficile mais possible), voici un petit résumé des principales nominations dans la hiérarchie militaire, publiées au Journal officiel du 16 juillet.

Avec en point d'orgue, la confirmation du nom du nouveau chef d'état-major de l'armée de terre, le général Jean-Pierre Bosser...

 

Le général d'armée Jean-Pierre Bosser prendra son rang de CEMAT le 1er septembre en remplacement du général Bertrand Ract-Madoux, qui passe en 2e section. Le général Bosser était depuis décembre 2012 DPSD, directeur de la protection et de la sécurité de la défense, un poste extrêmement sensible. C'est un para-colo d'origine. Il fut chef de section du 8e RPIMa de Castres, avant d'en devenir le chef de corps, puis de commander la 11e brigade parachutiste. Devra-t-il fermer le 3e RPIMa ?

 

Autres nominations notables...

 

Armée de terre : général de corps d'armée Arnaud Sainte-Claire Deville commandant des forces terrestres, général de division Michel Yakovleff vice-chef d'état-major du GQG de l'OTAN, général de corps d'armée Bertrand Houitte de la Chesnais major général de l'armée de terre, général de corps d'armée Jean-François Hogard directeur de la protection et de la sécurité de la défense, général de division Jean Maurin commandant de la Légion étrangère.

Marine nationale : vice-amiral d'escadre Charles-Edouard de Coriolis chef de la représentation militaire auprès du comité militaire de l'Union européenne et chef de la mission militaire de la représentation permanente de la France auprès de l'Union européenne, idem auprès de l'OTAN, vice-amiral d'escadre Arnaud Tarlé major général de la marine, vice-amiral d'escadre Louis-Michel Guillaume commandant des forces sous-marines et de la force océanique stratégique.

Armée de l'air : général de brigade aérienne Philippe Montocchio commandant des forces françaises stationnées à Djibouti.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 07:50
Coopération franco-suisse : préparation du sommet de l’OSCE

 

23/07/2014 CNE François Nolot - Armée de l'air

 

Dans le cadre des accords transfrontaliers franco-suisses, le général Caspar-Fille-Lambie, commandant la défense aérienne et les opérations aériennes (COMDAOA), s’est rendu sur les bases aériennes suisses de Sion et Meiringen les 2 et 3 juillet 2014 sur invitation de son homologue, le divisionnaire Bernhard Müller, chef d'engagement des Forces aériennes.

 

A l’instar du sommet international sur la Syrie qui s’est déroulé à Montreux début 2013, l’objectif de ce déplacement du COMDAOA a vocation à préparer, au titre de la coopération franco-suisse, le volet sûreté aérienne du prochain sommet de l’organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). En effet, cette réunion de niveau internationale aura lieu en décembre prochain à Bâle au nord-ouest de la Suisse. Cette ville est frontalière avec la commune de Saint-Louis (Haut-Rhin) et à ce titre, l’armée de l’air française contribuera à renforcer la posture permanente de sûreté côté français, durant toute la durée du sommet. A l’occasion de ce déplacement organisé par la délégation suisse, le divisionnaire Müller a proposé au général Thierry Caspar-Fille-Lambie d’effectuer un vol à bord d’un Pilatus PC 21, avion de formation et d’entrainement des pilotes de chasse suisses.

Toujours dans le cadre de la préparation du sommet de l’OSCE, le divisionnaire Müller a été convié par le COMDAOA à se rendre, le 9 juillet, au centre national des opérations aériennes de Lyon Mont-Verdun. Il a pu ainsi assister à la validation du dispositif particulier de sûreté aérienne, mis en œuvre sur Paris et la région parisienne lors de la cérémonie du 14 Juillet.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 06:55
Largage des parachutiste par un équipage de l'escadron de transport "Bearn"

Largage des parachutiste par un équipage de l'escadron de transport "Bearn"

 

22/07/2014 Armée de l'air

 

Les aviateurs de l’escadron de transport 1/64 « Béarn » de la base aérienne 105 d’Évreux effectuent actuellement une période de formation professionnelle, au cours de laquelle ils doivent réaliser un maximum de vol d’instruction. Les 17 et 18 juillet 2014, ils ont réalisé différentes missions de largage en ouverture automatique, au profit des commandos parachutiste de l’air n°20 (CPA 20).

 

Divisés en groupe de huit (cinq membres d’équipages et trois membres de largage), les aviateurs ont embarqué à bord d’avions d’alerte de la base aérienne 105 d’Évreux. Ils ont effectué plusieurs sauts de jour comme de nuit, sur la drop-zone (zone de saut) de la base. Non utilisé depuis les années 90, le terrain, à nouveau homologué, permet aux aviateurs de décoller, de sauter et d’atterrir sur la base aérienne d’Évreux avec uniquement des avions d’alerte, rendant l’exercice plus réaliste. Forte de son succès, avec 70% de réussite, la mission sera renouvelée en dehors des périodes d’instruction.

 

Zoom sur le saut en ouverture automatique

 

À 1000 pieds (300 mètres), l’équipage donne le « vert » signifiant aux parachutistes qu’ils peuvent sauter. Relié à l’avion par un câble, le parachutiste, qui porte sur son dos son équipement, est lui-même accroché à une sangle. Lors du saut, la sangle se tend et sort le parachute. Sous la pression, elle casse, permettant au parachute de se déployer.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 06:35
Afghanistan : le général Taprest a quitté Kaboul

 

21/07/2014 Sources : EMA

 

Le 19 juillet 2014, le général de division aérienne Olivier Taprest a quitté le commandement de la zone militaire de l’aéroport international de Kaboul (KAIA) et du contingent national français en Afghanistan. Le général de brigade aérienne Philippe Lavigne lui succède dans les mêmes fonctions. La cérémonie de transfert d’autorité a été présidée par le général de corps aérien Thierry Caspar-Fille-Lambie, commandant de la défense aérienne et des opérations aériennes (COMDAOA).

 

Le général Taprest commandait l’aéroport militaire de Kaboul depuis août 2013. Son action a permis de mener à bien les opérations aériennes, le soutien et la protection des 5 000 personnes qui servent à KAIA. Il a particulièrement veillé à assurer la formations du personnel afghan au contrôle aérien, à la sécurité incendie ou à la météorologie, permettant ainsi d’envisager la transition, dans un futur proche, de la gestion de l’aéroport aux autorités afghanes. Chargé de conduire le désengagement de la Force PAMIR, tout en maintenant notamment les actions de mentorat au profit de l’armée afghane, il a notamment organisé le regroupement de l’ensemble des militaires français sur l’aéroport international de Kaboul.

 

Le dispositif militaire français actuellement déployé dans le cadre des opérations en Afghanistan et au Tadjikistan est armé par environ 250 militaires jusqu’à la fin de l’année 2014.

Afghanistan : le général Taprest a quitté Kaboul
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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 16:55
Le CEMAA vole sur Mirage 2000B

 

29/07/2014 Armée de l'air

 

Le 17 juillet 2014, le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), a effectué un vol à bord d'un Mirage 2000B de la base aérienne 115 d’Orange.

 

Accueilli par le lieutenant-colonel Gauthier Dewas, commandant l’escadron de chasse 2/5 «Île de France», le général Denis Mercier a réalisé une mission d'entraînement de défense aérienne. Pour préparer ce vol, il a pu bénéficier des compétences des pilotes de l'escadron lors d'une séance de simulateur.

Loin des yeux mais près du cœur, la base aérienne 115 d’Orange est une base familière pour le CEMAA. En effet, entré à l’École de l’air en 1979, il est affecté à l’escadron de chasse 1/5 «Vendée» sur Mirage F1C en 1983. Après un passage par Dijon, il y revient en 1988 au sein de l'escadron de chasse 2/5 «Île de France» sur Mirage 2000 RDI.

 

Plus d’informations sur les missions de l'escadron de chasse 2/5 «Île de France»

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 16:11
Crash d'un Mirage 2000 B


04/08/2014 Armée de l'Air

 

Lundi 4 août 2014, aux environs de 10h00, suite à un problème technique, deux pilotes d’un avion de chasse Mirage 2000 B de l’escadron 2/5  «Ile-de-France» de la base aérienne 115 d’Orange ont été contraints à l’éjection dans la région de Saint-Christol, près de la commune de Viens (84) à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Manosque.

 

Les deux pilotes ont été récupérés et sont indemnes. L’appareil, qui s’est écrasé dans une zone inhabitée, effectuait un vol d’entraînement et n’était pas armé.

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 11:55
«Aigle Ardent» : un exercice perçant !

 

25/07/2014 Armée de l'air

 

Du 21 au 25 juillet 2014, le commando parachutiste de l’air (CPA) n°20 et l’escadron d’hélicoptère (EH) 1/67 « Pyrénées » participent conjointement à l’exercice « Aigle Ardent » depuis la base aérienne 120 de Cazaux. L’escadron de chasse 2/30 «Normandie-Niemen » ainsi que le groupe interarmées d’hélicoptères de Villacoublay sont également au rendez-vous dans le sud-ouest de la France.

 

Ces quatre unités sont réunies pour un entraînement tactique regroupant les différents savoir-faire de leur spécialité. Le programme a débuté mardi par différentes missions amenant les CPA à s'exercer à l’aérocordage (corde lisse ou grappe) avec deux Caracal de l’EH 1/67. La journée s’est poursuivie par la prise de la plateforme aéroportuaire de Saintes (base aérienne 722), un des temps fort de l’exercice.

 

Mercredi, les différentes unités se sont entraînées à la récupération de personnel isolé ainsi qu’au tir technique et tactique. Le soir, les commandos se sont infiltrés sur le site DGA Essais de missiles* (anciennement appelé centre d’essai des Landes) pour effectuer une mission de survie en zone hostile.

 

Largage de petits colis sur marquage tactique, combat en zone urbaine ou Personnel Recovery… D’autres missions attendent les participants d’ici la fin de l’exercice !

 

*Le site DGA Essais de missiles permet de tester à la fois des engins tactiques, des missiles tactiques nucléaires (300 km de portée) et des missiles stratégiques (3 000 km de portée).

«Aigle Ardent» : un exercice perçant !«Aigle Ardent» : un exercice perçant !«Aigle Ardent» : un exercice perçant !
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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 11:54
L'armée de l'air reçoit son troisième A400M (25 juillet)

 

25/07/2014 Armée de l'air

 

L'armée de l'air et la Multinational Entry into Service Team (MEST) A400M s'apprêtent à recevoir leur troisième Atlas. Le MSN010 va atterrir cet après-midi (25 juillet) sur la base aérienne 123 d'Orléans-Bricy.

 

L’armée de l’air a confié au centre d’expériences aériennes militaires (CEAM) le processus de prise en compte du troisième exemplaire de l’avion de transport militaire A400M Atlas. La MEST A400M, unité du CEAM basée à Orléans-Bricy, a en effet détaché une équipe à Séville, pour assurer la réception et l’acheminement vers la France du MSN010. Ce dernier a décollé vers 14h30 de la capitale andalouse.

 

Ce troisième appareil voit ses capacités accrues par rapport aux deux premiers avions reçus l’année passée. Son domaine de vol est significativement augmenté, notamment en permettant à l’avion d’atteindre le plafond contractuel de 12000 mètres. D'autre part, le MSN010 est capable d’effectuer des opérations d’approche par très faible visibilité (approches de cat II). De plus, ses capacités de transport augmentent du fait de la possibilité, dorénavant offerte, de transporter deux palettes de fret sur sa rampe.

 

Les aviateurs de la MEST A400M assurent l’ensemble des opérations d’expérimentation. Cette unité, accueille également du personnel militaire de pays étrangers partenaires du programme A400M.

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 11:54
Une page se tourne pour l’ESTA d’Orléans

 

01/08/2014 Cdt S. Renoulleau - Armée de l'air

 

Mardi 15 juillet 2014, l’escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) «Loiret» de la base aérienne 123 d’Orléans a effectué la dernière visite de maintenance programmée d’un C160 dans ses hangars.

 

Au lendemain de la fête nationale, une page de l’histoire de l’escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) « Loiret » s’est tournée sur la base aérienne d’Orléans avec la fin de la dernière visite de maintenance programmée d’un C160 dans ses hangars.

 

Depuis 47 ans, les mécaniciens ont œuvré successivement au sein du groupe d’entretien et de réparation des matériels spécialisés (GERMaS), de l’escadron de soutien technique spécialisé (ESTS) puis de l’ESTA afin d'entretenir la flotte Transall qui a déjà réalisé plus de 1 300 000 heures de vol depuis 1967.

 

Tourné vers la maintenance de l’A400M Atlas à partir de septembre 2014, l’ESTA «Loiret» accompagnera dorénavant le C160 dans ses chantiers de retrait de service.

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