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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 12:30
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28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 07:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

28/06/2010 Armée de Terre

 

Le général Marcel Bigeard est décédé vendredi 18 juin 2010 à son domicile de Toul, à l'âge de 94 ans, le jour anniversaire de l'Appel du général de Gaulle.

 

Une des personnalités les plus décorées de France, le général Marcel Bigeard était un héros des guerres d'Indochine et d'Algérie. Parachuté sur Diên Biên Phu, trois fois évadé, il fut cinq fois blessé, il était titulaire de 24 citations individuelles (voir extraits en bas de page).

 

Retiré dans sa maison de Toul en Lorraine, le général avait récemment publié son dernier et seizième ouvrage : « Mon dernier Round », aux éditions du Rocher.

 

« Bien plus qu'un chef, le général Bigeard, est un meneur d'hommes. (…) Mon général, sachez que l'amour passionné et jaloux de votre chère France, que vous laissez en héritage, sera précieusement transmis. » a déclaré Monsieur Hervé Morin, ministre de la Défense dès l'annonce de son décès.

 

Monsieur Hubert Falco, secrétaire d'État à la Défense et aux anciens combattants a rappelé : « Le général Bigeard nous laisse une légende, il nous laisse sa devise "croire et durer". Ces valeurs s'ajoutent à notre mémoire, elles viennent enrichir la mémoire collective. »

 

L'armée de Terre présente ses sincères condoléances à l'épouse et aux proches du général, ainsi qu'à ses compagnons d'armes.

 

Extraits de citations

 

> Citation à l'ordre du 123e RI en date du 1er mai 1940

« Jeune sous-officier plein d'entrain et de valeur volontaire pour toutes les missions périlleuses, a fait preuve au cours d'une reconnaissance profonde en territoire ennemi de courage et de sang-froid dans un terrain hérissé de difficultés et sous les feux de l'ennemi. »

 

> Citation à l'ordre du 79e RIF en date du 1er juin 1940

« Sous-officier volontaire pour toutes les missions dangereuses au cours d'une reconnaissance en territoire ennemi, a pris spontanément le commandement d'une patrouille pour aller chercher le corps d'un camarade tué dans les lignes ennemies. »

 

>Citation à l'ordre du 79e RIF en date du 5 juin 1940

« Jeune sous-officier volontaire pour une mission dangereuse a traversé les lignes ennemies et a réussi à rejoindre son régiment 48 heures après ».

 

> Citation à l'ordre de la division en date du 27 septembre 1944

« Commandant Marcel BIGEARD, parachuté le 8 août 1944, dans l'Ariège comme chef d'une mission alliée, n'a cessé de prendre une part active dans les combats qui ont amené la libération de ce département. […] Le commandant BIGEARD, sous le pseudo de MARCEL, est devenu pendant les journées de libération de l'Ariège, un héros légendaire dont le renom a dépassé les frontières du département. »

 

> Recommandation for the military cross (23 septembre 1944)

Commandant Marcel BIGEARD (nom de guerre AUBE)

« Aidé du chef de maquis espagnol et du major CRYPTE, le commandant BIGEARD a commandé toutes les opérations militaires du département de l'Ariège.[…] Ce qui menaçait de devenir un complet désastre est ainsi devenu un succès ; 1220 prisonniers allemands, 3 canon tractés, 80 camions, 220 Allemands tués et 120 blessés. Par son courage, son énergie et son esprit d'initiative, le commandant Bigeard a donné un merveilleux exemple à ses hommes et a permis la victoire d'un maquis très réduit sur des forces allemandes très supérieures en nombre au cours d'une bataille acharnée. »

 

> Citation à l'ordre de l'armée obtenue à Tu Lê

« Officier supérieur au passé prestigieux. Chef de guerre de grande classe, vient une fois de plus par l'étendue de ses connaissances militaires et par son courage personnel de s'imposer à tous, communiquant à ses hommes la foi qui l'anime et obtenant de son unité un rendement exceptionnel. Parachuté à Tu Lê (pays thaï) le 16 octobre 1952 en vue de tenir Tu Lê et de prendre liaison avec Gia Hoï a parfaitement rempli sa mission. Durement contre-attaqué dès le 20 octobre par un adversaire très supérieur en nombre, a tenu tête avec opiniâtreté puis, entamant une audacieuse manoeuvre à travers un terrain particulièrement chaotique a réussi à dégager ses troues encerclées, luttant pied à pied avec les rebelles et leur infligeant des pertes très sérieuses. Par son énergie et son emprise sur le bataillon qu'il a formé en France, instruit et mené au combat, a su maintenir très haut le moral de ses hommes et leur a permis d'accomplir un exploit qui s'inscrit dans les plus belles traditions françaises. »

Pour son action lors des combats de Tu Lê, le bataillon est cité à l'ordre de l'armée et le commandant Bigeard reçoit la cravate de commandeur de la Légion d'Honneur.

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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 16:55
L'armée de terre a reçu le tiers de ses VBCI

 

15/06/2010 Jean Guisnel Défense ouverte - Le Point.fr

 

Les sociétés Nexter Systems et Renault Trucks Defense (groupe Volvo) viennent de livrer à l'armée de terre le 200e véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI). Le dernier des 630 exemplaires commandés par la Direction générale pour l'armement sera livré en 2015. Cet énorme engin (30 tonnes, 8 roues motrices, 100 km/h de vitesse de pointe) est livré en diverses versions. La plus nombreuse, avec 520 exemplaires, est la VCI (véhicule de combat d'infanterie), qui peut emporter 11 combattants équipés et est dotée d'un canon de 25 mm. L'autre version est la VPC (véhicule poste de commandement). Y compris le développement et l'industrialisation, le programme a coûté 2,86 milliards d'euros, soit 4,53 millions d'euros pièce. Belle bête ! À ce stade, le VBCI n'a pas trouvé de client à l'exportation, la compétition au Royaume-Uni ayant été perdue contre le Piranha, de Mowag.

 

Opérationnel depuis septembre 2008 au 35e régiment d'infanterie de Belfort, le VBCI sera en Afghanistan dans les prochaines semaines avec cette unité. Selon plusieurs experts militaires consultés par Le Point, ce gros véhicule est peu adapté aux conditions difficiles du terrain afghan, dont les voies sont souvent très étroites. Mais l'engin devrait apporter un sentiment de sécurité aux soldats de la brigade La Fayette, à tout le moins tant qu'ils seront à l'abri de sa caisse. Le second régiment doté du VBCI est le 92e régiment d'infanterie de Clermont-Ferrand, qui aura reçu à l'été la totalité de ses 64 véhicules de dotation. Ensuite, les régiments seront dotés au rythme d'un par année scolaire, le prochain devant être le 1er régiment de tirailleurs d'Épinal.

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3 août 2009 1 03 /08 /août /2009 17:00
Trois canons Caesar renforcent les Français en Afghanistan

 

03/08/2009 Par Jean Guisnel - Lepoint.fr

 

Les trois premiers canons Caesar de 155 mm montés sur camion, qui seront prochainement suivis par cinq autres, sont arrivés à Kaboul samedi, nous apprend l'état-major des armées sur son site Web , en expliquant : "Ces pièces d'artillerie sont destinées à fournir un appui feu depuis les bases opérationnelles avancées lors d'opérations menées par le GTIA (groupement tactique interarmes) Kapisa et le BATFRA (Bataillon français) en Surobi. Elles sont armées par le 3e régiment d'artillerie de marine de Canjuers, et sont engagées pour la première fois sur un théâtre d'opérations".

 

Nos lecteurs connaissent ces engins , qui sont destinés à renforcer la puissance de feu des troupes françaises du GTIA Kapisa et du Batfra, qui ne disposent pour l'instant que de mortiers de 120 mm. Ces engins fabriqués par la société Nexter seront armés par les "bigors" (artilleurs de l'artillerie de marine). Le 11e Régiment d'artillerie de marine (11e RAMA) de la Lande d'Ouée, près de Rennes, utilisera quatre de ces engins au sein du GTIA Kapisa. Une centaine d'artilleurs de cette unité se trouvent actuellement sur les bases de Tagab et de Nijrab, et dans des OMLT. D'autres artilleurs du 3e RAMA sont actuellement en Afghanistan, sur la base Warehouse de Kaboul, pour réceptionner ces engins et ceux qui les suivront, et participer ensuite à leur mise en place. Par la suite, ils armeront deux Caesar au sein du Batfra. Les deux derniers engins resteront en réserve à Kaboul. Les deux unités de "bigors" appartiennent à deux brigades différentes : le 11e RAMA à la 9e brigade légère blindée de marine (9e BLBMa) de Nantes, et le 3e RAMA à la 6e brigade légère blindée (6e BLB) de Nîmes. Depuis le mois de janvier 2009, ces deux régiments travaillaient ensemble à préparer le déploiement des Caesar en Afghanistan. La puissance de feu des forces françaises s'accroît donc, puisque le week-end précédent un autre Antonov avait livré les trois premiers hélicoptères de combat Tigre mis en oeuvre par la France. Ce sera la première mission de combat pour cet appareil franco-allemand dont la conception remonte au début des années 1980.

Trois canons Caesar renforcent les Français en AfghanistanTrois canons Caesar renforcent les Français en Afghanistan
Trois canons Caesar renforcent les Français en Afghanistan
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28 août 2008 4 28 /08 /août /2008 11:55

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/le-general-benoit-puga/286302-1-fre-FR/le-general-benoit-puga.jpg

 

Mise à jour 28/06/2010 05:09 Sources : EMA

 

Intervention du général de corps d'armée Benoît Puga, sous-chef opérations de l'Etat-major des armées, au point de presse hebdomadaire du ministère de la Défense le 28 août 2008. Cette intervention avait pour but de présenter le déroulement des combats des 18 et 19 août en Afghanistan.

 

 

1. Organisation générale

 

Actuellement, à l'issue des déploiements et des relèves qui se sont opérées au cours de l'été, 3300 soldats français sont engagés en Afghanistan.

 

- Au sein de l'opération Enduring Freedom : en mer d'Arabie des bâtiments de la Marine nationale; l'opération Epidote consacrée à la formation de l'Armée national afghane et des éléments de liaison auprès d'US CENTCOM ( US Central Command) à Tampa en Floride.

 

- Un dispositif aérien composé de 2 C160 et 1 C130 à Douchanbé et d'un détachement aérien à Kandahar (3 Super Etendard modernisés - 3 Mirages 2000), représentant un volume total de 500 militaires.

 

- Un dispositif terrestre interarmées, au sein de l'ISAF, de 2500 militaires : une cinquantaine au quartier général de la FIAS, 300 au sein des 6 OMLT ( Operational Mentoring and Liaison Teams - 5 dans la région de Kaboul et 1 dans la région sud sous commandement néerlandais), 1450 au sein du Regional Command Capital de Kaboul et 700 dans le commandement régional Est.

 

2. Cadre des opérations :

 

Il s'agit d'une opération de maintien de la paix sous mandat de l'Organisation des nations-unies (chapitre VII) et dirigée par l'OTAN.

 

La direction politique appartient au Conseil de l'Atlantique Nord (CAN) à Bruxelles, où siègent les ambassadeurs de tous les états membres. Le commandement des opérations de l'Alliance est exercé par le SACEUR à Mons ( Supreme Allied Commander Operations), le commandement de l'opération en Afghanistan par le Joint Force Command de Brunssum et le commandement de la force sur le terrain par le général McKiernan, commandant la FIAS.

 

La FIAS (Force internationale d'assistance et de sécurité) comprend 5 commandements régionaux : Capital, Nord, Sud, Est Et Ouest.

 

3. Déroulement des combats.

 

L'action de combat du 18 août a eu lieu en commandement régional -Capital, commandé depuis le 6 août par la France et dont une compagnie est installée dans la région de Surobi pour assurer le contrôle du terrain.

 

Dans ce cadre et selon les directives de l'ISAF, le commandant du RC-C a confié au bataillon français (BATFRA) la mission de reconnaître l'ensemble de la zone. Ces opérations ont débuté le 15 août.

 

L'action de combat a eu lieu au cours de l'une de ces reconnaissances. La mission reçue était de reconnaître les points importants du terrain et de prendre contact avec la population.

 

En tête, la section du 8e RPIMa est accompagnée d'une section de l'ANA et suivie par une section du RMT, elle-même accompagnée d'une section de l'ANA renforcée d'un détachement de forces spéciales américaines.

 

Il est 13H15 lorsque la section du 8 RPIMa (CARMIN 2) aborde en véhicules blindés le village de SPER KUNDAY. Plus en arrière, la section du RMT (ROUGE 4) s'est installée en observation au niveau du col précédent, prête à intervenir à son profit. La section de l'ANA qui accompagne CARMIN 2 rejoint le village.

 

Le col est distant de 1500m et relié au village par une piste en lacet non carrossable.

 

Ne voulant pas perdre de temps pour être sûr de réaliser sa mission avant la tombée de la nuit, le chef de section fait débarquer sa section et place ses 4 véhicules blindés en appui face au col et la section de l'ANA s'installe en lisère de village, prête à intervenir.

 

En ce début d'après midi, la chaleur est élevée, il fait 30 degrés. La section progresse lentement et en sureté. Les marsouins portent casque et gilet pare balle. Cette progression est éprouvante.

 

Il est 15H45 lorsque les parachutistes de tête arrivent au dernier lacet, à environ 50 mètres du col. Le feu se déclenche à partir de la crête Nord, un feu précis et nourri sur l'ensemble du dispositif de la section. Les hommes ripostent et se postent comme ils peuvent derrière les rochers, ils ne peuvent pas bouger car sont pris chacun à partie par plusieurs tireurs insurgés. Ils ripostent chaque fois que possible.

 

Les 12,7 des VAB restés en appui commencent leur tir sur la crête, réglé par le chef de section.

 

Au déclenchement du tir, ROUGE 4 se déplace rapidement avec ses véhicules blindés vers le village pour porter secours à CARMIN 2. La section arrive au village 8 minutes après et se fait prendre à partie par un groupe d'insurgés à partir d'une ligne de crête au Nord du village, elle est prise sous un tir nourri.

 

Les deux sections sont au contact lorsqu'un nouveau groupe d'insurgés se dévoile sur la ligne de crête SUD du col. Le tir est toujours dense et la section CARMIN 2 est prise sous un tir croisé ; il sait qu'il ne peut plus manoeuvrer, qu'il est bloqué sur place et que pour se désengager, il devra bénéficier d'appuis et de la manoeuvre des réserves.

 

A 16 H 10 le chef de section demande un appui aérien, les avions A10 arrivent 10 minutes plus tard mais ne peuvent tirer car les insurgés sont trop près du groupe de tête.

 

Simultanément, la section de réserve de la FOB TORA renforcée d'appuis et le CDU quittent la FOB moins de 25 minutes après les premiers tirs.

 

Rouge 4 tente de se dégager en débordant par la gauche du village, il tombe face à une tentative d'encerclement qu'il bloque, mais il ne peut plus manoeuvrer. L'ensemble du dispositif est fixé. Seul l'engagement des moyens d'alerte permettront de renverser le rapport de force et de rétablir la situation.

 

La section de l'ANA tente bien une contre attaque par la droite du village. Elle est stoppée par un tir nourri.

 

La section venant de TORA est engagée à 17H05, soit 1H20 après le contact initial. Elle est tout de suite prise à partie aux abords village, mais résiste et applique des tirs d'appui, mortier, milan et canon de 20 au profit de CARMIN 2 et Rouge 4.

 

Il est 17H50, l'ensemble de la zone est sous un feu nourri des insurgés qui commencent à s'approcher dangereusement de ses positions. La situation est très critique pour CARMIN 2 qui subit toujours des tirs croisés. Il faut coûte que coûte qu'il tente de se replier pour sauver ce qu'il reste de ses hommes. Il est appuyé pour cela par des tirs aériens A 10 et hélicoptères américains qui tireront pendant plus d'une heure.

 

La section parvient péniblement à se dégager grâce aux appuis, il faut parfois une à deux heures pour bondir de 20 mètres et les pertes augmentent sous un feu qui ne faiblit pas.

 

Lorsque la nuit tombe vers 19H30, la situation est toujours critique et le repli de CARMIN 2 se fait à proximité immédiate des insurgés qui exploitent la situation pour tenter de le devancer sur SPER KUNDAY et refermer ainsi la nasse.

 

A 20H00 l'arrivée des renforts en provenance de KABOUL (1 SGTIA renforcé d'appuis dont des mortiers lourds) permet d'améliorer la situation.

 

Les 4 premiers blessés, dont le chef de section, arrivent au village. Les tirs y sont toujours nourris. Ils sont tout de suite évacués par hélicoptère.

 

Le SGTIA du RMT, tout juste arrivé, se déploie sans attendre pendant qu'un drone PREDATOR est mis en place pour renseigner et guider les tirs d'appui de nuit. Le rapport de force a changé, et les insurgés sont toujours là, des petits groupes et des isolés de CARMIN 2 parviennent à se faire recueillir au niveau du village.

 

Il est 22H00 quand le SGTIA lance la reprise des abords Est du village, le C130 GUNSHIP commence ses tirs d'appuis dans la profondeur. En 2 Heures, toute la zone du village est sous contrôle et les tirs cessent définitivement dans SPER KUNDAY. Le BATFRA peut reprendre l'initiative en lançant la reconquête du terrain perdu en direction du col.

 

Il est 1H40, lorsqu'arrivé à mi pente, les premiers corps sont relevés, et les derniers blessés recueillis.

 

Au lever du jour, le col est repris, et les derniers corps sont relevés. Quelques insurgés harcèlent une dernière fois les unités ratissant la crête et tirent quelques obus de mortiers à proximité de la base d'appuis. Ils seront tus par un tir de contre batterie et un appui aérien.

 

A 12H00, la vallée de l'UZBEEN est totalement contrôlée, les insurgés ont fui. L'ordre de désengagement est donné pour qu'il soit achevé en sureté avant la nuit.

 

Le bilan confirmé ultérieurement fait état d'une quarantaine d'insurgés mis hors de combat dont deux chefs rebelles.

 

En conclusion, à l'issue de cette opération de combat difficile et coûteuse en vie humaine, la mission a été remplie, l'adversaire repoussé et durement touché. Le comportement de nos soldats a été exemplaire sous le feu et les actes d'héroïsme individuel et collectif nombreux.

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28 juin 201 7 28 /06 /juin /201 07:55
Le Centre Interarmées de Coordination de la Logistique des Opérations (CICLO)

 

28/06/2010 Sources : CFLT

 

Le Centre Interarmées de Coordination de la Logistique des Opérations (CICLO) est opérationnel depuis le 29 septembre 2008.

 

Organisme à vocation interarmées dépendant de l'armée de Terre, le CICLO est stationné à MONTHLERY, il est armé par 31 officiers, sous-officiers et militaires du rang issus des trois armées et de services interarmées.

 

Subordonné à l'état major des armées/Centre de Préparation et de Conduite des Opérations (EMA/ CPCO) et principal interlocuteur des théâtres d'opération, le CICLO est chargé de coordonner les actions des armées et des services interarmées afin de rationaliser le soutien des forces projetées en opération extérieure.

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