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18 mai 2015 1 18 /05 /mai /2015 06:55
Découvrir le 519e GTM

 

16/05/2015 Armée de Terre

 

Le 519e groupe de transit maritime (519e GTM) a chargé un navire civil affrété (un bateau civil chargé de matériel militaire) dans le port de Toulon en mars dernier. Ce navire avait pour objectif de faire plusieurs escales dans l'Océan Indien, en passant par la mer Méditerranée et le canal de Suez.

 

Le 519e GTM, basé à Toulon, faire preuve de savoir-faire particuliers. Ce groupement est un organisme à vocation interarmées Terre (OVIA Terre). Il s'agit de l'unité d'appui à la projection et de soutien au ravitaillement par voie maritime des armées. Il a vocation à garantir la capacité d'entrée en premier par voie maritime, sur un théâtre d’opération pour les forces armées françaises.

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18 mai 2015 1 18 /05 /mai /2015 05:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre


15/05/2015 Armée de Terre

 

Dans le cadre de l’exercice Calot rouge, le 1er régiment d'infanterie (1er RI) s’est emparé de la place des Cordeliers à Sarrebourg le 29 avril 2015. Trois maîtres mots pour cette action : cohésion, rusticité et rayonnement.

 

La veille au soir, les compagnies du 1er RI se sont déployées à une trentaine de kilomètres autour de la ville de Sarrebourg. Elles ont rejoint la ville à pied au petit matin, convergeant de toutes les directions vers la place centrale où une prise d’armes s’est tenue en fin de matinée.
Dans l’après-midi, de nombreuses activités ont été proposées : exposition de matériels, démonstration de TIOR (technique d'intervention opérationnelle rapprochée) et de savoir-faire tactiques adaptés à la fois au théâtre national et aux opérations extérieures. Ces démonstrations ont permis d’amuser les petits et de présenter aux adultes une armée de Terre engagée pour leur protection.

Intégrés à la brigade franco-allemande (BFA) depuis le 1er septembre 2014, les hommes de Picardie ont accueilli leurs homologues allemands du 292e JägerBatalion pour une présentation conjointe de matériels aux Sarrebourgeois.
Fraîchement rentrés de l'opération Sangaris, les soldats du 1er RI ont retrouvé et renoué le lien avec les habitants de leur ville de garnison.
Détails en images.

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 11:55
[Webdocumentaire] Le parachute


13/05/2015 Cne Flora Cantin  - DICOD

 

Forces spéciales ou conventionnelles, les trois armées françaises possèdent une capacité aéroportée. En France ou à l’étranger, de jour comme de nuit, les parachutistes réalisent diverses missions : renseignement, reconnaissance, appui feu et appui aérien, contrôle de zone, ravitaillement et livraison par air, recherche et sauvetage au combat, sabotage, assistance aux populations… Projeté sur tous les théâtres d’opérations extérieures, ils représentent environ 5 % des effectifs militaires. Ces missions sont possibles grâce au parachute.

 

Prenez les commandes et dérivez dans l'univers du parachute au sein des armées

 

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 19:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

13/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La semaine a été marquée par la tenue du Forum de Bangui, du 4 au 11 mai 2015, qui constituait une étape essentielle dans le processus de réconciliation nationale. Les forces de sécurité internationales ont veillé à son bon déroulement, aux côtés de leurs homologues centrafricains. La force Sangaris constituait quant à elle une force de réaction mobile capable d’intervenir en appui, si nécessaire.

 

 

Après une semaine d’échanges sur les thèmes de gouvernance, de paix, de justice, et de « désarmement et démobilisation », le Forum de Bangui, rassemblant l’ensemble des acteurs de la reconstruction du pays, s’est déroulé sans incident sécuritaire. Une telle rencontre, qui aurait été inenvisageable en décembre 2014 au regard de la situation sécuritaire dans la capitale et dans le pays, constitue une démonstration complémentaire des avancées sécuritaires permises par l’action de la force Sangaris depuis décembre 2014.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 19:45
Barkhane : Point de situation au 13 mai 2015

 

13/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Dans le fuseau Ouest, la force Barkhane a maintenu un contact régulier avec les forces armées partenaires et les populations locales au travers de nombreuses patrouilles, et de projets d’aide au développement.

 

Le 5 mai, le détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de Tessalit a inauguré la mise en place d’une pompe à eau dans le village d’Amachache. Le DLAO de Tombouctou a quant à lui effectué plusieurs patrouilles et réunions pour recenser, avec les organisations internationales et non gouvernementales stationnées sur place, les projets d’aide au développement prioritaires. Ces actions contribuent au renforcement des liens entre les militaires français et la population dans leur zone d’opérations.

 

Dans le fuseau Est, le 7 mai 215, le détachement air de Niamey a reçu un troisième drone Reaper. Il a été déclaré opérationnel après un vol d’essai de 40 min réalisé avec succès le 12 mai.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 17:50
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

13/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 5 mai 2015, le lieutenant-colonel Le Losq a assisté aux premiers entraînements de tirs Leclerc du sous groupement tactique interarmes (SGTIA) sur la zone d’exercice de Mielno. Ces premières manœuvres ont permis la montée en puissance de l’exercice interallié PUMA15.

 

Les premiers obus ont été tirés à près de 1 000 km/h. Les tirs « équipage » menés par le capitaine Pierre-Albert ont été effectués sur des objectifs distants de 1 000 à 3 000 mètres, de jour comme de nuit. Si la zone de tir était réservée aux chars Leclerc, la mise en place et l’animation de l’exercice ont été organisées conjointement par le maître de tir, l’adjudant-chef Humberto, et son homologue polonais. Ce dernier a ainsi eu l’opportunité d’observer les méthodes d'entraînements et le contrôle des équipages français.

 

Depuis le 11 mai, et jusqu’au 29 mai 2015, le SGTIA blindé français participe à l’édition 2015 d’un exercice polonais baptisé PUMA. L’engagement de chars Leclerc traduit l’importance accordée à cet exercice mené à l’invitation de la Pologne, et témoigne de notre capacité à intervenir aux côtés de nos alliés d’Europe Centrale et du Nord, tout en contribuant aux mesures d’assurance mises en œuvre par l’OTAN. Cet exercice permettra d’entretenir les savoir-faire et l’interopérabilité nécessaires à la conduite d’actions de force, en particulier dans un cadre multilatéral.

 

Fondée sur une amitié ancienne entre nos deux nations, la coopération militaire franco-polonaise a été bâtie et renforcée régulièrement tout au long de la dernière décennie. Elle s’inscrit dans le cadre d’un accord intergouvernemental relatif à la coopération de défense signé en avril 2002 et consolidé en 2008 par une déclaration conjointe sur le partenariat stratégique franco-polonais. La coopération militaire bilatérale entre nos deux pays est régulièrement mise en œuvre dans le cadre de programmes d’échanges académiques, mais aussi lors d’exercices et d’entraînements bilatéraux et multilatéraux.

photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 16:55
Mesures Diverses d'Ordre Individuel du mercredi 13 mai 2015


13/05/2015 Ministère de la Défense

 

MESURES DIVERSES D'ORDRE INDIVIDUEL

Sur la proposition du ministre de la Défense

 

ARMÉE DE TERRE

PROMOTIONS - 1reSECTION

 au grade de général de division

Pour prendre rang du 1er juin 2015

 M. le général de brigade Nicolazo de Barmon (Arnaud, Gérard, Louis, Marie, Joseph).

M. le général de brigade Parlanti (Jean, François, Dominique, Joseph).

M. le général de brigade de Reviers de Mauny (Hubert, Marie, Denys, Adjutor).

 

Pour prendre rang du 1er juillet 2015

M. le général de brigade Lesimple (Philippe).

M. le le général de brigade Bucquet (Éric, Gérard, Michel).

M. le général de brigade Soriano (Franscisco, José).

M. le général de brigade Latapy (Jean-Marc, Romain, Eugène).

  

NOMINATIONS - 1re SECTION

au grade de général de brigade

pour prendre rang du 1er juillet 2015

 M. le colonel des troupes de marine Rochet (Guy, Georges).

M. le colonel du génie Sépot (Frédéric, Jean).

M. le colonel du génie Bailly (Christian, Jean).

  

NOMINATIONS ET AFFECTATIONS

M. le colonel des troupes de marine Darricau (Gilles, Jean, Claude), nommé chef de la division aéromobilité de l’état-major du commandement des forces terrestres à la même date.

M. le colonel des troupes de marine Labuze (François, Xavier, Pierre, Louis), nommé commandant de la 9e brigade d’infanterie de marine à la même date.

M. le colonel de l’arme blindée cavalerie d’Andoque de Seriège (Alexandre, Tachygène, Marie, Pierre), nommé commandant la 3ebrigade légère blindée à la même date.

M. le colonel du corps technique et administratif Lalanne (Jean, Marie), nommé chef de la division « renseignement » du quartier général du corps de réaction rapide - France à la même date.

  

NOMINATION - 2e SECTION

 au grade de général de brigade

pour prendre rang du 1er juillet 2015

 M. le colonel du train Vervaeke (Philippe, Adolphe, José).

 

MARINE NATIONALE

PROMOTION - 1re SECTION

 au grade de vice-amiral

pour prendre rang du 1erjuin 2015

 M. le contre-amiral Lozier (Jean-Louis, Maurice, François)

  

ARMÉE DE L’AIR

PROMOTION OU NOMINATION - 1re SECTION

au grade de général de division aérienne

pour prendre rang du 1er juin 2015

 M. le général de brigade aérienne du corps des officiers de l’air Rondel (Jean).

au grade de général de brigade aérienne

pour prendre rang du 1er juin 2015

 M. le colonel du corps des officiers de l’air Angel (Thierry, Fernand).

  

NOMINATION ET AFFECTATION

 au grade de général de brigade aérienne

pour prendre rang du 1er juin 2015

M. le colonel du corps des officiers de l’air Pellissier (Matthieu, Henri), nommé chargé de mission auprès du chef d’état-major des armées - Paris, à compter du 26 juin 2015.

  

SERVICE DE SANTÉ DES ARMÉES

PROMOTION ET AFFECTATION

Les rang et prérogatives de général de division avec appellation de médecin général inspecteur sont conférés dans la 1resection des officiers généraux du service de santé des armées à Mme le médecin général, médecin chef des services hors classe Vareille (Anne) pour prendre rang du 1er juillet 2015, nommée adjoint « personnel et écoles » au directeur central du service de santé des armées à la même date.

NOMINATIONS ET AFFECTATIONS

Les rang et prérogatives de général de brigade avec appellation de médecin général sont conférés dans la 1resection des officiers généraux du service de santé des armées à M. le médecin chef des services de classe normale Puel (Charles, Marc, Georges, Bernard, Marie) pour prendre rang du 1erjuin 2015, nommé directeur régional du service de santé des armées de Bordeaux à la même date.

Les rang et prérogatives de général de brigade avec appellation de médecin général sont conférés dans la 1resection des officiers généraux du service de santé des armées à M. le médecin chef des services de classe normale Macarez (Rémi, Jacques, Marc, René) pour prendre rang du 1er juin 2015, nommé médecin-chef de l’hôpital d’instruction des armées Clermont-Tonnerre à compter du 22 juin 2015.

  

SERVICE D'INFRASTRUCTURE DE LA DÉFENSE

NOMINATION - 1re SECTION

au grade d’ingénieur général de 2e classe

pour prendre rang le 1er juillet 2015

M. l’ingénieur en chef de 1re classe Mély (Alain).

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 10:56
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

13/05/2015 Armée de Terre

 

A travers un documentaire interactif, des militaires, hommes et femmes, militaires du rang, sous-officiers, officiers, se dévoilent devant la caméra pour présenter leur métier et ce qu’il représente pour eux.

 

Autour de 4 thèmes, chacun prend la parole pour s’exprimer et partager son vécu dans l’armée de Terre : « être soldat », « préparation à l’engagement », « le sacrifice » et « au service de la nation ». Avec leurs propres mots, tous expriment leurs pensées, leurs convictions, leurs craintes parfois les plus intimes.

 

Découvrez les 56 témoignages de nos soldats grâce au mini-film qui leur est consacré :

 

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 07:56
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

12/05/2015 Economie et technologie

 

Le centre interarmées de défense NRBC (nucléaire, radiologique, biologique et chimique) a organisé son 1er forum «100 ans de la défense NRBC» dans les locaux des écoles militaires de Saumur. Du 5 au 7 mai 2015, les débats animés tournaient autour des questions de l’évolution du NRBC depuis un 1 siècle, l’histoire et les prospectives, etc.

 

Ce forum s’est déroulé sous la présidence du général Klotz, adjoint au sous-chef plans programmes de l’Etat-major des armées , en partenariat avec le groupement d’intérêt économique NBC.

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 07:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

12/05/2015 Armée de Terre

 

Les célébrations de la Saint-Georges se sont déroulées les 22 et 23 avril, au 12e régiment de cuirassiers (12e RC) à Olivet, sous la présidence du commandant de la 2e brigade blindée et gouverneur militaire de Strasbourg, le général Jean-François Lafont Rapnouil.

 

Le 22 avril, le régiment a basculé sur ses nouvelles structures, dans le cadre du "modèle cavalerie 2016", conformément aux décisions de restructurations prises par le ministre de la Défense en octobre 2014. Au cours de la cérémonie du 23 avril, le 4e escadron a quant à lui été "mis en sommeil".

 

Le 23 avril également, la Saint-Georges a été marquée par le départ d’un escadron du régiment pour le camp de Dravsko, en Pologne. 15 chars Leclerc ont ainsi quitté la France pour 7 semaines d’entraînement interallié.

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 07:45
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

06/05/2015 Sources : État-major des armées

 

La mise en place du CASA CN 235-300 aux forces armées ans la zone sud de l’Océan Indien (FAZSOI), en remplacement du Transall, impose des travaux d’infrastructure aéronautique sur les îles Eparses, 5ème district des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), et en particulier sur l’île d’Europa, où la piste entière nécessitait une rénovation en profondeur.

 

Une dizaine de militaires du 19ème Régiment du Génie et du matériel lourd (remorque, compacteur et autres engins de travaux publics) ont donc été acheminés vers Europa par les équipages de l’Escadron de Transport 50 et les convoyeurs de l’Escale Aérienne Militaire du DA 181. Trois rotations et 25 heures de vol au total ont été nécessaires pour mener cette mission. Dans des conditions environnementales difficiles et sous le contrôle des TAAF, il a fallu huit semaines de travaux pénibles, 6 jours sur 7, pour rénover les 1 400 mètres de piste.

 

Grâce à cette intervention, tout ce qui était susceptible de se transformer en projectile risquant d’endommager l’appareil à l’atterrissage, a été récupéré, concassé et compacté pour araser la piste et le parking avion.

 

Cette nouvelle piste, qui pourra à l’avenir accueillir aussi bien le CASA que, bien sûr, toujours le Transall et même le C130, est désormais en attente de validation par les experts du 25ème régiment du génie de l’Air (spécialisé dans les travaux d’infrastructures dites « horizontales ») qui homologueront les améliorations faites.

 

L’aboutissement de ces travaux dans des délais contraints permet de garantir la continuité de l’exercice de la souveraineté française sur les îles Eparses et notamment Europa, par l’adaptation des infrastructures aux vecteurs de demain.

photo Armée de l'Airphoto Armée de l'Air
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

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12 mai 2015 2 12 /05 /mai /2015 17:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

12/05/2015 Armée de Terre

 

Créé en 2006, le trinôme académique des Ecoles militaires de Saumur est né de la rencontre entre les ministères de la Défense et de l’Education nationale, et de l’Institut des hautes études de Défense nationale.

 

L’objectif de ce trinôme est d’aider les enseignants à faire passer des messages sur la notion de collectivité, du sens du devoir, ou encore du sacrifice pour la nation. Pour cela, des conférences et sorties scolaires sur de hauts lieux de mémoire sont organisées dans les collèges et lycées, afin de renforcer le lien entre l’armée et la nation.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre / ECPAD

photo EMA / Armée de Terre / ECPAD

 

05/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 28 avril 2015, dans le cadre de l’opération Barkhane, s’est tenue la cérémonie de clôture du détachement d’instruction opérationnelle maintenance et logistique (DIO LOG) au camp Kosseï, à N'Djaména, en présence du général Seid Mahama, chef d'état-major de l'état-major général des armées tchadiennes, du colonel de Mesmay, attaché de défense français au Tchad, et du colonel Dumortier, commandant du Groupement de soutien opérationnel (GSO) de l’emprise française.

 

Ce sont une quarantaine d’officiers et de sous-officiers tchadiens qui ont bénéficié, du 31 mars au 30 avril 2015, de nombreuses séances d’instruction sur la maintenance, le soutien pétrolier, le soutien de l'homme, l’organisation du ravitaillement, le soutien munitions et le transport. Menée par le détachement logistique (DETLOG) du fuseau Est de l’opération Barkhane, cette formation consistait à faire partager les savoir-faire français en matière de logistique. Elle a également été l’occasion de nombreux échanges entre Français et Tchadiens sur les différentes procédures de leurs armées respectives. L'implication de toutes les parties prenantes a permis d'obtenir d'excellents résultats et a renforcé les liens qui unissent les deux forces armées.

 

Basé à N'Djaména, le DETLOG du GSO est commandé par le chef d'escadron Hugues du 121erégiment du train (RT). Armé par le 121e RT, le 8e régiment du matériel et un grand nombre d'autres unités logistiques, il a pour mission d'assurer le soutien logistique de toutes les unités qui se trouvent dans le fuseau Est de l'opération Barkhane.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de Terre / ECPADphoto EMA / Armée de Terre / ECPAD
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photo EMA / Armée de Terre / ECPAD

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 16:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

10.05.2015 Crédit : État-major des armées / Armée de Terre

 

Cet événement mémoriel est l’occasion de faire le point sur l’engagement des armées françaises depuis le 8 mai 2014.

Les armées ont été fortement sollicitées depuis mai 2014. Environ 19 000 hommes sont déployés hors métropole dont plus de 7 000 engagés en OPEX. En opérations et à l’étranger, les militaires français participent à la résolution des crises, à la protection des populations civiles et de nos ressortissants, à la protection de nos intérêts.

 

Reportage photos

 

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 12:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

11/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 27 au 30 avril 2015, le Groupement tactique désert ouest (GTD-O) de la force Barkhane a mené une opération bipartite, en appui des Forces armées maliennes (FAMa), au Sud de Gao, dans la région d’Ansongo-Ménaka.

 

Au cours de cette opération, le GTD-O a mené différentes actions conjointement avec ses homologues maliens. L’objectif consistait à contrôler la zone, interdire toute présence terroriste dans la zone, mais aussi à rassurer la population. Il s’agissait également de marquer et d’appuyer la présence de la force Barkhane et des forces partenaires, notamment à travers des rencontres avec la population et les chefs coutumiers des différents villages traversés.

 

Ainsi, la section malienne et l’ensemble du détachement de liaison et d’appui opérationnel 3, situé à Ansongo, ont effectué un contrôle de zone permettant de renseigner sur la situation sécuritaire de l’axe Ansongo-Amalaoulaou, jusqu’à la frontière du Niger.

 

D’autre part, au-delà de cette action, ces quatre jours ont permis de mettre en place des actions d’Aide médicale à la population (AMP) locale. Une équipe médicale, composée de deux médecins, deux infirmiers et deux auxiliaires sanitaires, a ainsi mis à profit ses compétences et savoir-faire au service de la population locale, qui ne peut bénéficier quotidiennement d’un accès aux soins. Les FAMa, appuyés par les militaires de la force Barkhane, ont également sécurisé les villages de Tin-Ahama et de Fafa, afin de permettre à la population de bénéficier de ces consultations. Près d’une centaine de personnes ont été auscultées durant ces deux phases d’AMP.

 

Barkhane mène quotidiennement des missions avec les FAMa, que ce soit dans le cadre de patrouilles, ou d’opérations de plus grande envergure comme celle de l’opération Gamounan menée en mars 2015, ou encore Ariège, au mois de mai 2015.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
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photo EMA / Armée de Terre

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 12:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

06/05/2015 Sources EMA

 

Le 29 avril 2015, la force Sangaris à mené une opération de reconnaissance conjointe avec les forces pakistanaises de la MINUSCA sur l’axe Kaga Bandoro - Mbres, dans le « couloir central » de la Centrafrique.

 

Le but de l’opération, à laquelle un détachement du groupement tactique interarmes (GTIA) Turco participait en appui des troupes de la MINUSCA, consistait à montrer à la population que les forces de la MINUSCA présentes à Kaga Bandoro sont pleinement opérationnelles et impliquées dans leur mission de sécurisation de la région.

 

Au cours de cette mission de reconnaissance, les Pakistanais ont organisé deux réunions avec la population. La première a eu lieu à N’Denga, en présence du général Amin, commandant le secteur Centre de la MINUSCA, et du général Gillet commandant la force Sangaris. Cette rencontre avec les autorités du village a permis de recueillir leurs préoccupations et de les rassurer sur l’action des forces internationales. La deuxième réunion, qui a eu lieu dans le village de Doukouma, a répondu aux mêmes objectifs.

 

Le 28 avril 2015, la pleine capacité opérationnelle de la MINUSCA a été officiellement déclarée. Le dispositif de la force Sangaris s’articule désormais autour du principe d’une force de réaction au profit de la MINUSCA, avec un GTIA déployé dans Bangui, le « couloir central » et l’est du pays, et un second déployé selon les besoins, en appui des forces internationales.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 12:45
photo MinDefFr

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07/05/2015 Céline Limousin  - DICoD

 

Jeudi 7 mai 2015, Opération Serval, notes de guerre – Mali 2013 sort en librairie. Son auteur, le général Bernard Barrera, commandait les 4 000 hommes de la composante terrestre de la brigade Serval venue libérer le Mali de la menace terroriste. Durant les cent premiers jours de cette opération, il a tenu un journal de guerre, dans lequel il décrit les combats sans merci, les embuscades, les enfants-soldats… Rencontre.

 

Dans votre livre Opération Serval, notes de guerre*, vous racontez les 100 jours de libération du Mali sous la forme d’un carnet de notes. Pour quelles raisons ?

J’ai voulu écrire cette histoire sous la forme d’un carnet de bord qui collait à la réalité pour expliquer ce qu’il s’est passé sur le terrain. Tous les jours, pendant mes quatre mois d’opération, j’ai tenu à écrire brièvement les événements importants et des histoires d’hommes. Quand l’idée d’écrire ce livre a germé, je me suis dit que la meilleure solution était de l’écrire au présent, en simplifiant les explications pour rendre cette opération accessible à tous et faire découvrir au lecteur le quotidien des soldats, leurs doutes, leurs difficultés, leurs joies, pour expliquer aussi ce que ressent un chef militaire, comment il vit avec ses hommes, comment il raisonne (sans trahir de secret évidemment). Je l’ai écrit pour témoigner, rendre hommage à mes soldats et faire découvrir une extraordinaire aventure humaine et opérationnelle vécue ensemble, loin de notre pays.

 

Pouvez-vous nous parler de l’opération Serval ?

L’opération Serval a eu lieu en Afrique, au Mali. Elle a été déclenchée en janvier 2013, lorsque les terroristes sont partis du Nord Mali pour foncer vers Bamako. Ils ont été arrêtés, dans un premier temps, par l’armée de l’Air et les forces spéciales à partir du 11 janvier. Très rapidement, les forces terrestres, arrivées de France et des bases africaines, ont protégé Bamako et ont pris l’offensive pour libérer le pays, la boucle du Niger d’abord (Tombouctou, Gao), puis les confins du Nord (Tessalit, Aghelok, Kidal) et de l’Est (Ménaka) jusqu’aux frontières algériennes et nigériennes. Après les premières libérations, nous avons connu une période de recherche de l’ennemi début février, l’heure des harcèlements par roquettes et des premiers kamikazes, l’heure du « brouillard de la guerre » dans un pays grand comme deux fois la France. Nous les avons finalement trouvés dans leurs sanctuaires éloignés, surchauffés et bien préparés pour des combats défensifs, dans le massif minéral de l’Adrar des Ifoghas au Nord, dans les grands oueds d’épineux à l’Est de Gao et autour de Tombouctou. Il s’en est suivi deux mois de combats, de février à début avril, sur trois zones éloignées chacunes de plus de 500 km.

 

le général Bernard Barrera - photo MinDefFrle général Bernard Barrera - photo MinDefFr

le général Bernard Barrera - photo MinDefFr

 

Serval est-elle l’opération la plus importante depuis la guerre d’Algérie ?

Cette opération est intervenue alors que nos armées terminaient le repli d’Afghanistan. Serval a été une opération nationale, déclenchée en quelques jours à peine, une « entrée en premier » aussi appelée « ouverture de théâtre » mettant en œuvre toutes les capacités interarmées et interarmes pour libérer un pays, détruire l’ennemi et permettre le retour à un processus démocratique. L’action des forces terrestres que je commandais a été menée en liaison étroite et permanente avec les forces aériennes, les unités maliennes disponibles, la force d’intervention tchadienne et les contingents africains qui rejoignaient le Mali au fil des semaines. Dans les états-majors, Serval est considérée comme l’opération la plus importante depuis l’Algérie en termes d’effectifs et de capacités engagées.

 

Comment s’est déclenchée l’opération Serval ?

Début janvier, je commandais la 3e brigade à Clermont-Ferrand, une des 8 brigades interarmes de l’armée de Terre. Composée de 5 000 hommes, elle était d’alerte Guépard pour une durée de six mois. Guépard est un dispositif français unique qui consiste à projeter sur un très court préavis jusqu’à plusieurs milliers d’hommes pour contrer une menace majeure. À ce titre, ma brigade a été projetée pour devenir la composante terrestre de l’opération Serval, avec son poste de commandement (PC), ses bataillons et les nombreux compléments de l’armée de Terre. L’opération était commandée depuis Bamako par le général Grégoire de Saint-Quentin et la composante Air par le général Jean-Jacques Borel depuis son PC de Lyon Mont-Verdun.

 

De quels moyens disposiez-vous ?

Au plus fort de l’engagement en février, je disposais d’environ 4 000 hommes, de deux PC de brigade, de cinq bataillons, de plusieurs centaines de véhicules blindés, des camions, des pièces d’artillerie, d’une trentaine d’hélicoptères. Cet ensemble aéroterrestre était appuyé en permanence par des chasseurs bombardiers, des drones de l’armée de l’Air, des patrouilleurs de la Marine nationale. Je travaillais également en liaison avec les forces spéciales, et quotidiennement avec nos amis africains, principalement les forces maliennes qui ont libéré le pays avec nous, et les forces tchadiennes durement engagées dans le Nord du Mali. Articulée autour de la Brigade Monsabert (la 3ebrigade légère blindée), la brigade Serval était en fait un concentré d’armée de Terre, comprenant en plus de son PC et de ses Africains le PC allégé de la 11e brigade parachutiste, de son 2e régiment étranger de parachutistes (REP) renforcé de rapaces du 1e régiment de chasseurs parachutistes (RCP) et d’autres  paras, mais aussi d’unités colos et légionnaires des 6e et 9e brigades, des pilotes d’hélicoptères et des combattants des brigades spécialisées, du renseignement, de la logistique, des transmissions, sans parler des soutiens extérieurs et indispensables : services de santé, des essences, d’infrastructure, du commissariat pour ne citer qu’eux. À l’exception des chars Leclerc, pratiquement toutes les capacités de nos forces terrestres étaient représentées et utilisées, tous unis sans guerre de clochers. Dans l’adversité, celle de l’ennemi, de la chaleur, des conditions de vie difficiles, nous étions terriblement soudés, décidés et fiers de mener cette campagne exceptionnelle.

 

Un fait vous a-t-il particulièrement marqué ?

La libération de Tombouctou est un des faits marquants de cette campagne, car elle s’est traduite par une explosion de joie. Enfant, j’avais lu les aventures de René Caillé jusqu’à Tombouctou. Je m’étais promis d’y aller un jour, mais jamais je n’aurais imaginé libérer cette ville à la tête d’une brigade après un raid de 1 000 km. Jamais, je n’aurais pensé y entrer de nuit entouré de commandos parachutistes pour découvrir la maison de l’explorateur, applaudis par des femmes et des enfants terriblement reconnaissants. Ces petites histoires, que j’ai vécues pendant 4 mois avec mes hommes, méritaient d’être racontées, d’être connues du grand public. Des histoires heureuses, des histoires malheureuses aussi comme la perte de nos camarades, la découverte des enfants-soldats, des combats très durs pour libérer le pays, mais aussi des histoires plus anciennes qui permettent de bien comprendre notre Armée et ses hommes à travers les opérations qu’elles mènent depuis un siècle.

 

Que retiendrez-vous de cette opération ?

Nous avons une armée qui sait se battre, des hommes courageux et généreux, des chefs qui commandent, des unités unies derrière leurs colonels, leurs capitaines, aguerries par les dernières opérations, notamment en Afghanistan. Nos matériels sont vieillissants, mais certains récents nous ont permis de faire la différence (VBCI, Caesar, Tigre, réseaux numérisés), malgré une logistique tendue à l’extrême. Cette campagne n’avait rien à voir avec la Guerre Froide de mes premières années d’officier en Allemagne. Notre armée s’est sans cesse adaptée pour battre « ceux d’en face », des blindés du pacte de Varsovie aux Djihadistes du Sahel, et pourtant nos valeurs sont les mêmes. Pour ma part, cette opération a été l’occasion de restituer 30 ans d’études, de commandement, d’expériences et de convictions sur le combat interarmées et interarmes. Elle a renforcé ma certitude dans la primauté de l’approche capacitaire dénuée de tout dogmatisme et de tout corporatisme, l’importance du feu, de la manœuvre, de la surprise et de l’imagination. Elle m’a confirmé la puissance des forces morales, le rôle des chefs, la cohésion, lorsque loin de tout, il faut poursuivre les attaques et les assauts malgré les pertes humaines.

Je retiendrai la joie des Maliens libérés, le courage des Tchadiens, la fraternité d’armes avec nos camarades africains, la capacité d’adaptation et le professionnalisme de nos unités et de nos PC tactiques, les appuis (Artillerie, Génie) qui écrasent l’ennemi et qui sauvent la vie des fantassins, la précision de nos « anges gardiens » les pilotes de l’armée de l’Air et de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT), le dévouement de nos tringlots, maintenanciers, transmetteurs, l’esprit de corps, l’esprit de famille de nos régiments, la dignité des familles face à la mort. Comme mes capitaines, je retiendrai tout cela et surtout cette lueur de Victoire qui brillait au fond des yeux de leurs hommes fatigués, déshydratés mais vainqueurs, la Victoire, symbole des Africains depuis la libération de 1944, symbole de la brigade Serval et de nos forces armées.

 

*Opération Serval, notes de guerre – Mali 2013, Editions du Seuil, préface du général Henri Bentégeat, ancien chef d’État-Major des armées, 448 pages

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 12:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

06/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Les 27 et 28 avril 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) Vercors a mené des patrouilles et des missions de contrôle de zone sur la Main Supply Road n°1 (MSR1), l’axe entre Bangui et Bogola, en direction de Boali.

 

Sur une distance de 60 km depuis Bangui, la compagnie du 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA), appuyée par la compagnie de véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI) du 1er régiment de Tirailleurs, a conduit une opération de présence sur la MSR1 afin de contrôler toute cette zone en vue de déceler les réseaux de brigandage qui pourraient nuire à la sécurité de la population. Afin d’appliquer les lois centrafricaines lors de ces contrôles, un agent des forces de la sécurité intérieure (FSI) était intégré aux patrouilles.

 

Sur cet axe, les éléments du GTIA Vercors ont mené des patrouilles motorisées et à pieds, dans les différents villages traversés par cette route. Afin d’évaluer la situation sécuritaire, les soldats de la force Sangaris sont allés à la rencontre des chefs des villages, puis des directeurs d’écoles et des directeurs des centres de santé. « Grâce à votre présence et aux patrouilles menées sur la MSR, j’arrive à garder mon stock de médicaments en sécurité. Cela fait six mois que je n’ai pas été victime de vol », leur a indiqué Monsieur Lazar, chef du centre de santé du village de Bouboui.

 

Les forces de la MINUSCA assurent les mêmes opérations sur la partie supérieure de cet axe à partir de la ville de Boali. La MSR1 est un axe logistique principal reliant Bangui au Cameroun. La présence des forces de la communauté internationale permet de sécuriser les déplacements des convois logistiques et de favoriser la reprise des échanges commerciaux entre la Centrafrique et les pays voisins.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:55
La brigade aux trois croissants s’expose aux Invalides - photo D. Fernandes

La brigade aux trois croissants s’expose aux Invalides - photo D. Fernandes

 

07/05/2015 Armée de Terre

 

Depuis le 20 avril, la 3e brigade légère blindée expose une série de 22 photographies dans les douves de l’hôtel des Invalides à Paris.

 

Professionnalisme, rigueur, discipline, détermination… Autant de maîtres mots, chers au général Gomart, commandant la 3e brigade légère blindée, que l’hôtel des Invalides et la noblesse de son cadre mettent à l’honneur, depuis le 20 avril, par le biais d’une exposition photographique. 22 clichés qui reflètent l’âme de la « 3 » et les actions qu’elle mène dans son cœur de métier. Tour à tour, se donnent à voir le le poste de commandement de la 3e BLB, le 92e et le 126e régiment d’infanterie, le 31e régiment du génie, le 1er régiment d’infanterie de marine ou encore le 68e régiment d’artillerie d’Afrique. Incontournable. L’exposition restera accessible, en libre accès, jusqu’au 23 juin 2015.

 

Lieu : Hôtel des Invalides, Paris - Gratuit

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:46
photo EMA

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08/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 5 et 6 mai 2015, le CEMA était présent au Mali.

 

 Il a tout d’abord rencontré le président malien, M. Ibrahim Boubacar Keïta, avec lequel il a échangé sur la situation sécuritaire dans le pays, avant de l’assurer de la détermination des armées françaises à poursuivre leur combat contre les groupes armés terroristes aux côtés des partenaires du « G5 Sahel ».

 

Le général d’armée Pierre de Villiers s’est ensuite rendu à Gao, puis à Tessalit où il a retrouvé les militaires de la force Barkhane engagés au cœur des opérations. Il a pu mesurer le courage et la détermination de ceux qui participent une véritable « défense de l’avant » contre la menace terroriste.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
photo EMA

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07/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Cette semaine a été marquée par la conduite de deux opérations bipartites et simultanées au Mali, du 27 au 30 avril 2015, dans le cadre de l’opération Barkhane. Elles visaient toutes deux à entraver les flux logistiques terroristes.

 

La première a été menée sur l’axe Ansongo-Menaka, pour effectuer un contrôle de zone jusqu’à la frontière nigérienne. Simultanément, une mission de reconnaissance a été conduite sur les rives du lac Faguibine, dans la région de Tombouctou. Ces deux opérations, menées conjointement avec les forces armées maliennes (FAMa), ont permis d’affirmer la présence des forces de sécurité maliennes sur leur territoire dans un contexte marqué par des tensions intérieures. Du reste, un seul point logistique terroriste a été découvert dans la région Nord de Tombouctou au cours de ces reconnaissances.

 

Les 5 et 6 mai 2015, le CEMA était présent au Mali. Il a tout d’abord rencontré le président malien, M. Ibrahim Boubacar Keïta, avec lequel il a échangé sur la situation sécuritaire dans le pays, lui rappelant la détermination des armées françaises à poursuivre le combat contre les groupes armés terroristes aux côtés des partenaires du G5 Sahel et des forces multinationales. Le général d’armée Pierre de Villiers s’est ensuite rendu à Gao et à Tessalit où il a retrouvé les militaires engagés au cœur des opérations. Il a pu mesurer le courage et la détermination des militaires engagés sur l’avant dans la lutte contre le terrorisme.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMAphoto EMA

photo EMA

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

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source EMA

29 avril 2015, à Bangui, en République Centrafricaine.


Chargement de PVP et de fret à bord d'un C17 de l'US AIR FORCE. Au total 23 tonnes ont été embarquées.

 

suite du reportage photos et ICI

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
photo D. Payet - 5e RIAOM

photo D. Payet - 5e RIAOM

 

07/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 2 avril 2015, les artilleurs et sapeurs issus du 5e régiment interarmes d’outre-mer (RIAOM) qui composaient la 6e compagnie d’appui (CA), ont achevé leur mission au sein des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Ces cinq derniers mois, la 6e CA a intégré des unités d’artillerie et du génie provenant du 1er Régiment d’Artillerie (RA), du 3e Régiment d’Artillerie de Marine (RAM), ainsi que du 19e Régiment du génie (RG) et du 1er Régiment Etranger du génie (REG). Ces différentes unités ont permis à la 6e CA de mettre en évidence la variété des missions qu’elle est en mesure d’exercer.

 

Dès son arrivée à Djibouti, la section génie Travaux du 19e RG a réalisé trois chantiers majeurs, dont le plus marquant restera celui du site du Mont Bernard, dédié à la mémoire de l’administrateur Bernard mort héroïquement à Djibouti il y a 80 ans . La section y a créé une piste d’accès, une zone de stationnement et a réhabilité les lieux en souvenir de l’administrateur et des dix-sept gardes somaliens tombés à ses côtés.

 

La section génie combat du 1er REG a effectué un mandat très complet. Elle a systématiquement participé aux missions interarmes en appui des sous-groupements tactiques interarmes (SGTIA), notamment lors de l’exercice amphibie d’évacuation de ressortissants Wakri avec le BPC Dixmude. Elle a également participé à des chantiers d’espaces dédiés au tir. Les soldats ont notamment aménagé des bastion walls à la force des bras, au dépôt de munitions, et ont dépollué un pas de tir. Cela leur a permis de pouvoir réaliser différents tirs à l’explosif, validant des savoir-faire difficilement exécutables en métropole.

 

Enfin, la compagnie a terminé son mandat en effectuant des patrouilles nomades mixtes avec les forces armées djiboutiennes. Pendant son mandat, la 6e CA aura ainsi appuyé l’intégralité des unités du 5e RIAOM.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces Françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

07/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Point de situation sur les opérations de la force Sangaris du 7 mai 2015

 

La République Centrafricaine est actuellement plongée dans le forum de Bangui, qui a débuté le 4 mai 2015. La sécurité de ce grand rendez-vous de politique intérieure est assurée par les forces de sécurité du pays, appuyées par la MINUSCA, pleinement opérationnelle depuis la semaine dernière.

De façon générale, Sangaris constitue désormais une force de réaction mobile et souple, en mesure d’appuyer la MINUSCA si nécessaire, et dont le dispositif s’allègera progressivement dans les semaines à venir, comme cela est planifié depuis plusieurs mois.

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

photo EMA / Armée de Terre

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 10:55
photo Armée de Terre

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6 Mai 2015 par Armée de Terre


Depuis quelques jours, une polémique existe sur l'achat de véhicules tout-terrain Ford Ranger par l'armée de Terre. Malheureusement, beaucoup d'informations erronées circulent. Une petite mise au point s'impose.

 

Rappel historique :

L'armée de Terre (et plus généralement l'armée française) possède des véhicules légers tout terrain Peugeot P4. La P4 répondait au besoin, formulé dès la fin des années 1960 par l'armée française. Ce véhicule devait pouvoir transporter 4 personnes avec leur paquetage, être équipé d'un poste radio et avoir une aptitude au transport aérien et au parachutage. À partir de fin 1982, l'usine de Sochaux commence à assembler la P4. Un accord est conclu entre Peugeot et Mercedes-Benz afin de répartir à parts égales la construction du nouveau véhicule militaire. Peugeot installe alors le moteur à essence de sa 504, la boîte de vitesses de sa 604, s'occupe des circuits électriques, réalise le soudage de la caisse. Tout le reste est fabriqué par le constructeur allemand Mercedes-Benz. Plusieurs versions de la P4 ont vu le jour.

Quelle est la situation actuelle ?
Plus de 30 ans après sa mise en place, très sollicité tant en France qu'en OPEX, le parc des P4 souffre d'une très grande usure. La remise en état de ces véhicules a un coût financier très important. Qui plus est, l'armée de Terre est contrainte de retirer du service chaque année environ 600 P4. Trop usées, elles ne peuvent être remises à niveau. Par conséquent, les régiments souffrent de plus en plus d'un manque crucial de ce moyen de transport, en particulier dans leurs activités quotidiennes. 

 

 

Comment combler ce déficit le plus rapidement possible ?
L'idée est bien de permettre aux régiments de disposer en moyenne d'une dizaine de véhicules de soutien à la préparation opérationnelle. Ces véhicules non militarisés sont donc destinés au service courant sur le territoire national et n'ont pas vocation à servir en OPEX. Il a été décidé de commander 1 000 exemplaires d'un véhicule tout-terrain, capable de transporter jusqu'à 5 soldats équipés et 1 tonne de matériel. 

 

Quelle a été la procédure choisie ?
Pour répondre à ce besoin urgent et non spécifique, l'armée de Terre s’est tournée vers l’acheteur gouvernemental qu’est l’Union des Groupements d’Achats Publics (UGAP). Cet organisme permet d'acquérir toutes sortes de matériels dans des délais rapides. Il existe trois véhicules disponibles sur le catalogue UGAP début 2015, tout-chemin ou tout-terrain : 

- le Citroën BERLINGO 4x4 du groupe PSA Peugeot-Citroën, véhicule produit en Espagne ;

- le Dacia DUSTER du groupe Renault, produit en Roumanie ;

- le Ford RANGER, produit en Afrique du Sud.
 

Les trois modèles sont produits à l’étranger, même s’il existe une étape de transformation finale en France. Les coûts d’acquisition sont similaires. Mais seul le Ford Ranger propose une charge utile satisfaisante.

 

Pourquoi l'armée n'a-t-elle pas préféré malgré tout un véhicule 100% français ?
Il n'y avait tout simplement pas de véhicule 100% français répondant à ce besoin, immédiatement disponible sur le marché.


Les Ford Ranger vont-elle remplacer toutes les P4 de l'armée française ?

Non, en résumé, cet achat de court terme, pour une quantité réduite, sur un catalogue sélectionné pour l’ensemble des acheteurs publics du gouvernement, constitue une problématique différente du remplacement du P4 à long terme.


Qu'en est-il du remplacement définitif et global des P4 ?

Le besoin de remplacer tout le parc des P4 est identifié depuis quelques temps déjà. Une reconstruction complète a été étudiée, mais elle coûtait extrêmement cher et n'aurait pas forcément répondu aux besoins actuels et futurs. il a donc été décidé de lancer un programme d'armement, sous la responsabilité de la direction générale de l'armement (DGA) pour des livraisons à partir des années 2020. Ce programme est en cours de définition. Il portera sur un véhicule léger tactique polyvalent (VLTP). Une première commande de 2450 exemplaires devrait être faite, suivie d'une seconde d'environ 2000 exemplaires. Ce marché, comme tous les programmes d'armement, fera l'objet d'un appel d'offres et d'une mise en compétition, à laquelle les constructeurs français pourront bien évidemment concourir.

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