Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 11:25
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 15 au 26 avril 2015, une section de la 1ère compagnie du 9e régiment d’infanterie de Marine (RIMa) des forces armées en Guyane a suivi un stage au centre d’aguerrissement de l’outre-mer et de l’étranger (CAOME) des forces armées aux Antilles (FAA).

 

La section de la 1ère compagnie du 9e RIMa a notamment participé à un exercice de descente en rappel. Pour commencer, les stagiaires se sont exercés aux techniques de la descente en rappel sur les parois des douves du Morne Desaix. L’après-midi, ils sont partis à l’assaut des murailles d’enceinte du Fort Saint-Louis de la base navale militaire des forces armées aux Antilles. Tous les stagiaires ont réussi le franchissement de la muraille.

 

Les militaires du 9e RIMa, encadrés par les instructeurs du CAOME du 33e RIMa, ont su mettre en pratique leurs savoir-faire et se dépasser physiquement sur tous les obstacles qui se dressaient devant eux. Ils retiendront particulièrement « la qualité de l’instruction reçue, la pédagogie et l’expérience des instructeurs ». Si les marsouins du 9e RIMa sont habitués au climat tropical guyanais, le stage d’aguerrissement aux Antilles leur a en outre permis de tester leur adaptabilité face à un changement d’environnement géographique et climatique. « Le but du stage était d’offrir la possibilité à ce régiment d’utiliser nos infrastructures et nos compétences, d’échanger sur nos techniques de vie et de combat en forêt, bien différentes ici en Martinique de la forêt guyanaise ! » explique l’adjudant Fertassi, responsable du site du CAOME du détachement Terre Antilles.

 

Le 33eRIMa est la composante terrestre des FAA. Il conduit deux missions principales sur le « théâtre » Caraïbe : l’aide à la population dans le cadre des plans de secours en réaction à des catastrophes naturelles et l’intervention militaire pour mener une évacuation des ressortissants en autonomie ou en appui de pays de la région Caraïbe avec qui la France a des accords de Défense. En cas de catastrophe naturelle et selon l’ampleur des dégâts, des renforts venus de Guyane et du 9e RIMa en particulier peuvent être sollicités. L’organisation d’échanges avec les FAG, comme lors de ce stage,  permet donc d’entretenir la capacité opérationnelle des deux unités dans le cadre d’engagements conjoints et de renforcer leur connaissance mutuelle, dans la perspective de potentielles interventions communes.

 

Les forces armées aux Antilles (FAA) garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis les départements de la Martinique et de la Guadeloupe. Elles constituent un dispositif interarmées à dominante aéromaritime de premier plan sur le Théâtre Caraïbe, en coordination avec les forces armées en Guyane (FAG). Les FAA mènent notamment des opérations de surveillance maritime et de service public (lutte contre le narcotrafic, lutte contre les pollutions, police des pêches, sauvetage en mer). La lutte contre le narcotrafic dans la zone Caraïbe est effectuée en coopération interministérielle et internationale, principalement en lien avec les États-Unis, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, le Mexique, le Brésil et la Colombie.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 05:50
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 30 avril 2015, le président de la République polonaise, Monsieur Bronislow Komorowski, s’est rendu à Drawsko, sur le champ de tir de Bucierz, pour rencontrer les différents détachements présents dans le cadre des entraînements interalliés.

 

Le lieutenant-colonel Le Losq, chef du détachement français, a présenté au chef de l’état polonais les composantes du sous-groupement tactique interarmes qui a rejoint le camp Polonais en début de semaine pour près de deux mois d’entraînement. Chaque équipage a mis en valeur son matériel. Le véhicule blindé de combat de l’Infanterie (VBCI), le dépanneur de char Leclerc (DCL) et le véhicule blindé léger (VBL), mais c’est le char Leclerc qui a particulièrement attiré l’attention de la délégation accompagnée de monsieur l’ambassadeur de France en Pologne, son excellence Pierre Buhler.

 

Du 11 au 29 mai prochain, le SGTIA blindé français participera à l’édition 2015 d’un exercice polonais baptisé PUMA. L’engagement de chars Leclerc traduit l’importance accordée à cet exercice. Il témoigne de la détermination de la France à être aux côtés de la Pologne et de nos alliés. Cet exercice permettra d’entretenir les savoir-faire et l’interopérabilité nécessaires à la préservation d’une arme blindée capable de participer à des actions de force, en particulier dans un cadre multilatéral. Par ailleurs, en déployant l’un des plus modernes et des plus performants de ses équipements au plus proche de ses alliées d’Europe Centrale et du Nord, la France contribue aux mesures d’assurance mises en œuvre par l’OTAN.

 

Fondée sur une amitié ancienne entre nos deux nations, la coopération militaire franco-polonaise a été bâtie et renforcée régulièrement tout au long de la dernière décennie. Elle s’inscrit dans le cadre d’un accord intergouvernemental relatif à la coopération de défense signé en avril 2002 et consolidé en 2008 par une déclaration conjointe sur le partenariat stratégique franco-polonais. La coopération militaire bilatérale entre nos deux pays est régulièrement mise en œuvre dans le cadre de programmes d’échanges académiques, mais aussi lors d’exercices et d’entraînements bilatéraux et multilatéraux.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 05:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La situation sécuritaire autour de Gao reste particulièrement tendue. Les groupes armés terroristes, réduits par l’action des forces internationales, cherchent à mener des actions d’éclat à l’encontre de la population pour marquer les esprits et poursuivre leur politique de terreur. 

 

Du 15 au 27 avril 2015, une opération tripartite de reconnaissance de la frontière nigéro-tchadienne a été menée au Sud-Est de Madama, au Niger. L’objectif était d’affirmer la présence des forces armées nigériennes et tchadiennes à leur frontière commune, de dissuader toute action terroriste dans la zone, ainsi que de favoriser le travail conjoint des forces armées régionales.

 

Cette opération aura été marquée par l’excellence des relations et la qualité du travail collaboratif des représentants de chaque nation. Pour cette opération, la force Barkhane était impliquée à hauteur de 100 militaires, alors que les forces partenaires (Niger et Tchad) étaient majoritaires avec plus de 200 soldats engagés.  Sur le terrain, les unités mixtes déployées ont contrôlé 50 véhicules légers et 700 personnes, démontrant ainsi l’intensité du trafic routier entre le Niger et le Tchad. Au bilan, 38 fûts d’essence ont été détruits,  une centaine de munitions et un pick-up saisis.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 05:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

30.04.2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre de la poursuite du déploiement de la MINUSCA en province, la force Sangaris a rétrocédé, le 25 avril 2015, l’emprise française de Dékoa. Une cérémonie présidée par le colonel Espitalier, commandant le groupement tactique interarmes (GTIA) Turco, en présence de la préfète de la région de Kémo et du maire de Dékoa, a officialisé le transfert de la base opérationnelle française aux militaires de la MINUSCA récemment déployés à Dékoa. Le désengagement de Dékoa ne signifie pas un retrait de Sangaris de la région. Le GTIA Turco poursuivra ses patrouilles dans la zone, à partir de Sibut.

 

La semaine a été marquée par la visite du Secrétaire général adjoint des Nations Unies, chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU, monsieur Hervé Ladsous.  Le 28 avril 2015, il a présidé une cérémonie marquant la déclaration de la pleine capacité opérationnelle de la MINUSCA.

 

Le dispositif de la force Sangaris s’articule désormais autour du principe d’une force de réaction au profit de la MINUSCA, avec un GTIA déployé dans Bangui, le couloir central et l’est du pays, et un second déployé selon les besoins, en appui des forces internationales.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
3 mai 2015 7 03 /05 /mai /2015 11:55
Yamaha XTZ 660 TENERE photo Armée de Terre

Yamaha XTZ 660 TENERE photo Armée de Terre


30 avr. 2015 Armée de Terre

 

L’armée de Terre s’est vu dévoiler, au siège de Yamaha Motor France à Cergy-Pontoise, la toute dernière moto XTZ660 Ténéré qui équipera les régiments du train, le 13 avril 2015. Destinée à remplacer la Cagiva 350 cm3 qui date d’une vingtaine d’années, la XTZ660 Ténéré promet un meilleur confort et une plus grande autonomie à ses futurs utilisateurs militaires. Résolument moderne et polyvalente, cette nouvelle moto est adaptée aux besoins et exigences militaires. En tout, 150 motos sont attendues dans les régiments du train. Les premiers modèles seront livrés dans les unités de circulation d’ici mai 2015 et serviront en particulier pour le défilé du 14 juillet.

Partager cet article
Repost0
2 mai 2015 6 02 /05 /mai /2015 12:55
Chacun sa pucelle

Pucelle du 32e Régiment d'artillerie (32e RA). On y voit Jeanne d'Arc en armure, ainsi que le blason de la ville d'Orléans. photo SHD

 

29/04/2015 DICOD

 

Le saviez-vous ? Derrière beaucoup de coutumes, usages, traditions et expressions militaires se cachent bien souvent des anecdotes insolites, amusantes ou historiques. Alors pour étoffer votre culture générale et briller le matin devant vos collègues à la machine à café, plongez-vous dans notre rubrique du mercredi. Aujourd’hui, la rédaction propose explique pourquoi les insignes militaires sont appelés "pucelles".

 

Les militaires portent des insignes nombreux et variés, que ce soit sur leurs uniformes ou leurs tenues de cérémonie. Certains sont appelés « pucelles ». Que désigne ce nom pour le moins curieux ? Et d’où vient-il ?

 

Aujourd’hui, le mot pucelle est le terme officiel pour désigner la plaque métallique qui s’accroche sur une patte de cuir ou à même l’uniforme. Il en existe désormais plus de 2 000, de formes très diverses, marquant l’appartenance à un groupe clairement identifié.

 

Cette tradition, informelle en premier lieu, remonterait à la Première Guerre mondiale. C’est la piété des « Poilus » qui serait à l’origine de cette appellation. Issus pour beaucoup des milieux pauvres et croyants, les soldats s’en remettaient à la Vierge Marie ou à la plus célèbre des pucelles, Jeanne d’Arc. Au moment de monter au combat, et bien que ce fût interdit, ils auraient accroché sous le revers de leur capote une médaille de la Sainte Vierge ou de Jeanne d’Arc pour se protéger sur le champ de bataille, à la façon d’une amulette qui les préserverait du mauvais sort.

 

Une autre explication avance que certains insignes militaires de l’armée française étant ornés d’images évoquant Jeanne d’Arc - surnommée « la Pucelle d’Orléans » - ou la ville d’Orléans. Par extension,  ces emblèmes auraient pris le nom de ce qu’ils représentaient.

 

Enfin, une dernière explication trouve sa source dans la tradition militaire : lorsque l’on accroche la première insigne de son unité ou de son régiment, on ouvre la boutonnière de son vêtement pour la première fois. Ce faisant, on « dépucelle » la boutonnière jusqu’alors restée vierge.

 

Les pucelles se portent à droite pour l’armée de Terre et la Gendarmerie, et sur le cœur pour l’armée de l’Air. À l’exception des marins pompiers, la Marine n’en porte pas. Depuis 1945, tout projet d’insigne, assorti de l’explication des éléments de sa composition, doit être présenté au service historique de la Défense. Pour être homologuée, le symbolisme de la pucelle doit être en accord avec l’historique et la mission des unités.

Partager cet article
Repost0
30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 16:55
Première manoeuvre pour le LRU (Photo  armée de Terre)

Première manoeuvre pour le LRU (Photo armée de Terre)

 

22 avril, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

Le 3 avril 2015, le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre, a officielement adopté le lance-roquette unitaire (LRU) pour le compte de l’armée de Terre. Dix jours plus tard, le 1er régiment d’artillerie (RA) lui offre sa première manoeuvre.

 

En effet, du 13 au 16 avril, les Centaures du 1er RA ont effecté un exercice interarme afin d’entretenir les savoir-faire techniques du système d’arme LRU, tester en terrain civil un concept d’emploi d’une unité LRU et s’entraîner avec le système ATLAS (automatisation des tirs et liaisons de l’artillerie sol/sol). Pour se faire, le 1er RA a été rejoint par des hommes et des moyens du 19e régiment du génie. Des appareils de l’armée de l’Air ont également participé à l’exercice, à savoir un Rafale, un Mirage 2000D et un Alpha Jet.

 

Le LRU remplace le LRM (lance-roquettes multiples) dans les armées française, allemande et italienne. Ces trois pays ont signé la Convention sur les armes à sous-munitions  qui est un traité international humanitaire et de désarmement qui interdit totalement l’emploi, la production, le stockage et le transfert des armes à sous-munitions. Or, le LRM (MLRS chez les anglo-saxons) a été conçu pour expédier des roquettes non-guidé M26, contenant un grand nombre de sous-munitions.

 

Pour satisfaire aux obligations du traité et pour s’adapter dans le même temps au champs de bataille modernes, les pays européens pré-cités ont décidé de transformer leurs LRM en LRU. Ces derniers sont adaptés au lancement de la munition M31, dite Guided Unitary MLRS qui est capable d’atteindre une cible à plus de 70km avec une précision inférieure à 5 mètres.

Partager cet article
Repost0
30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 08:55
[Teaser] Le ministère de la Défense au salon du Bourget 2015


30 avr. 2015 par Ministère de la Défense

 

En attendant l'ouverture des portes du Salon international de l'aéronautique et de l'espace du Bourget, du 15 au 21 juin 2015, regardez la présentation des équipements du ministère de la Défense.

Partager cet article
Repost0
29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 16:30
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

29/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 24 avril 2015, la Force Commander Reserve (FCR) s’est déployée dans le cadre de l’exercice RITE  (Reserve Integration Training Exercise) près de Marjayoun, au Sud Liban.

 

L’exercice a débuté avec l’annonce d’un incident qui nécessitait une réaction immédiate. Afin d’y répondre, la FCR a déployé un poste de commandement tactique composé de trois véhicules de l’avant blindé (VAB), deux véhicules blindés légers (VBL) et un véhicule poste de commandement (VPC). Puis, après avoir créé une aire temporaire d’opérations, la FCR a pu extraire ses blessés et le personnel d’une organisation non gouvernementale.

 

L’objectif de cet exercice, conduit deux à trois fois par mandat, est d’évaluer la chaîne de commandement de la FCR. Cela a permis au contingent français de contribuer à  l’amélioration de l’interopérabilité des différents commandements de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL).

 

Placée directement sous les ordres du général commandant la FINUL, la FCR est l’élément d’intervention d’urgence de la force. Basée à Dayr Kifa, elle est en mesure d’intervenir dans un délai très court (moins de trois heures) dans tout le Sud Liban, dans le cadre de la résolution 1701.

 

Présente depuis 1978 au Liban, la France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL, avec près de 900 soldats déployés en permanence. La grande majorité d’entre eux arme la FCR qui est directement placée sous les ordres du général commandant la FINUL et est en mesure d’agir au profit de tous les contingents déployés sur l’ensemble de la zone d’action de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701. Le volet naval de cette mission comporte en permanence plusieurs frégates déployées en force constituée (la Task Force 448). Leur mission : surveiller les approches maritimes du Liban, et empêcher l’introduction d’armes par la mer.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 11:56
photo ECPAD

photo ECPAD

 

29-04-2015 Par Challenges.fr

 

Face à la menace terroriste, François Hollande a annoncé mercredi une rallonge budgétaire de 3,8 milliards d'euros pour la Défense, où seront préservés plus de la moitié des 34.000 postes qui devaient être supprimés.


 

A l'issue d'un Conseil de Défense, réunissant mercredi 29 avril les principaux responsables politiques et militaires, le président François Hollande a détaillé devant la presse ses décisions pour accroître les moyens des Armées et pérenniser le dispositif mobilisé dans l'urgence des attaques djihadistes de janvier. Voici les points clés de sa déclaration.

 

  • 3,8 milliards d'euros supplémentaires d'ici 2019

"Pour les autres années, les quatre années qui sont celles de la programmation actualisée, la loi de programmation actualisée (ndlr: elle porte sur 2014-2019) sera présentée au Conseil des ministres du 20 mai. Elle prévoira de dégager 3,8 milliards de crédits supplémentaires sur ces quatre années", a annoncé le chef de l'Etat à l'Elysée.

 

  • Poursuite de l'opération Sentinelle

"J'ai décidé ce matin que cette opération, qui prendra le nom d'opération Sentinelle, serait pérennisée ce qui conduira à mettre dans les effectifs prévus 7.000 militaires de manière durable", a déclaré le chef de l'Etat.

 

  • Des crédits pérennisés à 31,4 milliards d'euros

"En 2015, les crédits du ministère de la Défense de 31,4 milliards d'euros sont sanctuarisés et ce seront des crédits budgétaires, sans aucun appel à des ressources extérieures", a affirmé le président de la République. "Cela veut dire que le ministère de la Défense est sûr de pouvoir disposer de ces crédits dans l'année 2015".

Le président a ainsi écarté le recours à des "sociétés de projet" qui auraient acquis des matériels militaires (avions de transport Airbus A400M, frégates multimissions) pour ensuite les louer à l'armée.

 

  • 18.500 postes préservés sur les 34.000 suppressions prévues 

Sur les 34.000 suppressions de postes initialement prévues par la loi de programmation militaire, 18.500 devraient être évitées.

A l'issue de cette réunion, François Hollande a aussi annoncé le maintien "durable" de la mobilisation de 7.000 militaires sur le territoire national contre les menaces d'attentat.

Partager cet article
Repost0
29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 11:55
Yamaha XTZ 660 TENERE photo Armée de Terre

Yamaha XTZ 660 TENERE photo Armée de Terre

 

29/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 13 avril 2015, une délégation de la Section Technique de l’armée de Terre (STAT) s’est rendue à l’usine Yamaha de Saint-Ouen l’Aumône pour réceptionner 150 exemplaires de la nouvelle Yamaha XTZ 660 TENERE. Destinée à l’arme du Train, cette moto viendra aussi équiper le bataillon de commandement et de soutien (BCS) de la brigade franco-allemande (BFA). Elle remplacera la CAGIVA 350cm3, en service depuis 1990.

 

Concrètement, l’armée de Terre utilise ces motos pour mener à la fois des missions d’appui à la mobilité des blindés et de sécurisation des itinéraires ou des zones de déploiement. Si la nature de ces missions n’a que peu évolué avec les années, le besoin d’un nouveau matériel se faisait sentir : outre un soutien des CAGIVA qui allait inexorablement s’avérer plus difficile, il s’agissait pour le Train de se mettre au niveau des véhicules porte-chars modernes afin d’assurer au mieux leur escorte et leur appui. Légère, maniable et puissante, les performances de la XTZ 660 sur route comme en milieu accidenté lui permettent de répondre pleinement à ces attentes.

 

Fabriquée aux normes civiles à St-Quentin, dans l’Aisne, la XTZ 660 est adaptée aux normes militaires sur le site Yamaha de Cergy-Pontoise. Avec sa conception robuste qui s’inspire notamment des véhicules pilotés par les coureurs du Paris-Dakar, elle répond à une recherche d’efficacité opérationnelle, mais aussi de fiabilité et de durabilité. Plus puissante et disposant d’une plus grande autonomie que les CAGIVA, elle répond ainsi aux nouveaux besoins de l’armée de terre.

 

Par ailleurs, elle bénéficie de divers équipements complémentaires. Parmi eux, plusieurs protections assurant à la fois la sécurité du conducteur et de sa machine, comme un sabot-moteur protégeant des éclats et des projections. Des poignées chauffantes facilitent aussi la conduite en toutes circonstances,  et des coffres de rangement latéraux permettent l’emport d’une quantité raisonnable de matériel. Enfin, la réalisation de 30 remorques permettra bientôt son déploiement partout où le Train assure ses missions.

 

Modèle civil enrichi des options nécessaires au besoin militaire, la XTZ 660 répond au juste besoin des forces. Elle a ainsi l’avantage d’être un véhicule de grande série, par conséquent moins onéreux, tout en étant parfaitement adaptée aux missions qui lui seront dévolues.

 

Une acquisition simple, fiable et performante pour rester opérationnels, autrement.

Partager cet article
Repost0
29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 10:50
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

28/04/2015 Armée de Terre

 

Du 17 au 22 avril, la 4e compagnie du 25e régiment du génie de l’air (25e RGA) a effectué son contrôle opérationnel sur l’ancienne base aérienne canadienne de Vouziers-Séchault, dans les Ardennes.

 

Régiment de l’armée de Terre, le 25e RGA dispose d’une formation opérationnelle de l’armée de l’Air. Ces sapeurs ont notamment pour mission de permettre à l’armée de l’Air d’utiliser les pistes et zones aéroportuaires à l’étranger. La spécificité de ce régiment réside en effet dans le rétablissement du maintien en condition opérationnelle des infrastructures aéroportuaires françaises ou étrangères. Ce régiment peut ainsi rétablir ou créer des pistes en béton, latérite et autres matériaux dont il dispose.

 

L’exercice, qui s’est tenu jour et nuit et qui visait à réparer la piste semée de pièges à retardement pour permettre l’atterrissage sans encombre d’un A400M, s’est déroulé en présence d’une cinquantaine de sapeurs de l’armée britannique. Il avait pour but de certifier la capacité opérationnelle de la 4e compagnie du 25e RGA.

Partager cet article
Repost0
29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 09:45
 [Documentaire] Serval, une brigade au combat


29 avr. 2015 Ministère de la Défense

 

Pendant 52mn, une plongée au cœur de l'opération Serval au Mali.
Près de 5 000 hommes, des centaines de véhicules blindés, des dizaines d'avions de combat et de transport, d'hélicoptères d'attaque et de manœuvre se lancent à la reconquête du territoire malien pour détruire les groupes armés terroristes. Début 2013, la brigade Serval a mené durant quatre mois un combat intense.

Partager cet article
Repost0
29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 08:55
Face au défi terroriste, l'Armée de Terre se réorganise

 

29/04/2015 Par Alain Barluet, Service infographie du Figaro

 

INFOGRAPHIE - Pour faire face aux multiples engagements extérieurs et intérieurs et à l'évolution des menaces, l'armée de Terre française a revu notamment tout son modèle opérationnel.

 

«On ne peut plus se satisfaire d'une armée qui adapte sans cesse ses structures à une réalité changeante. Il faut un modèle d'armée qui permette, en lui-même, de suivre l'évolution accélérée des opérations», estime le chef d'état-major de l'armée de terre, le général Jean-Pierre Bosser. D'où une structure en huit «piliers», comme autant de métiers qui peuvent être engagés, à la demande, selon les besoins opérationnels. Parmi les «piliers» incontournables, les Forces spéciales (FS). Elles seront renforcées par des groupes d'appui dotés de compétences spécifiques (unités cynophiles, déminage, lutte antinucléaire, bactériologique et chimique), leur permettant d'intervenir, y compris sur le territoire national, en cas, par exemple, de prises d'otages de masse. La chaîne de commandement est simplifiée, en trois niveaux (conception, mise en œuvre, exécution). Au total, le «modèle» devrait prévaloir durant les vingt années à venir.

Partager cet article
Repost0
28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:55
Le 1er RHC reçoit le 88e séminaire jeunes de l’IHEDN


24 avr. 2015 par Armée de Terre

 

L’Institut des hautes études de Défense nationale (IHEDN) a organisé son 88e séminaire « jeunes » à Metz, du 13 au 18 avril 2015. Une présentation des moyens de l’armée de Terre a eu lieu le 16 avril au sein du 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) de Phalsbourg.
Environ 80 stagiaires, des étudiants et jeunes actifs de toute la France sont venus se confronter avec l’armée de Terre. Parmi eux, Géraldine, une chargée de communication dans une agence de publicité parisienne. Elle a rencontré Maxime, soldat de 1ere classe spécialité tireur de précision. Comme lui, des soldats de différentes unités ont présenté la richesse de leur savoir-faire.
L’IHEDN réunit des responsables de haut niveau appartenant à la fonction publique, civils et militaires, ainsi qu’aux différents secteurs d’activité de la nation, des Etats membres de l’Union ou d’autres Etats, en vue d’approfondir en commun leurs connaissances des questions de Défense, de politique étrangère, d’armement et d’économie de Défense. Dans le cadre de sa mission, il organise des séminaires ciblés, notamment à destination des jeunes de 20 à 30 ans.

Partager cet article
Repost0
28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:45
Sangaris : un drone effectue un mission de reconnaissance


24 avr. 2015 Crédit : État-major des armées / Armée de Terre​

 

Sangaris, 17 avril 2015

Un drone effectue une mission de reconnaissance de zone pour sécuriser la route allant de Bangui à Damara

 

Partager cet article
Repost0
28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:35
Visite d'une délégation japonaise - 30 mars 2015 photo DIRCOM ESCC

Visite d'une délégation japonaise - 30 mars 2015 photo DIRCOM ESCC

 

10/04/2015 Les écoles de Saint-Cyr Coëtquidan

 

Monsieur Yasuhisa ISHIZUKA, directeur adjoint de la National Defense Academy (NDA) du Japon, accompagné du colonel Hideki OKUBO, cadre professeur à la NDA, du capitaine de corvette Takumi SATO, attaché de défense adjoint et d’un interprète, ont effectué une visite aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan le lundi 30 mars 2015.

 

La première raison de cette visite était le souhait des membres de la délégation d’exprimer leur gratitude pour le programme d’échanges entre les deux écoles (présence d’officiers-élèves à la NDA au S 5, stage de recherche effectué par des officiers de la NDA au CREC).

 

La deuxième raison était de pouvoir étudier de manière approfondie les pistes de collaboration dans le domaine de la cyber défense, cyber sécurité. Les premières mesures ont d’ores et déjà été validées. M. Danet (enseignant-chercheur du CREC) participera à un séminaire en juin au Japon. Des enseignants Japonais donneront des cours en octobre dans le cadre du Mastère spécialisé en gestion des crises cyber.

 

D’autres thèmes font l’objet de recherches similaires dans les 2 académies (les blessures invisibles, les mutations de la conflictualité, etc.). 

 

Monsieur ISHIZUKA a fait part de sa très grande satisfaction à l'issue de cette visite et de son souhait de voir se poursuivre avec Saint-Cyr la coopération déjà engagée dans plusieurs domaines.

Partager cet article
Repost0
28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 10:45
Aérolargage au niveau de la passe de Salvador


22 avr. 2015 Crédit : État-major des armées / ECPAD

 

EMBARQUEZ à bord d'un Hercules pour un aérolargage au profit de militaires parachutés quelques jours avant au niveau de la passe de Salvador

 

Partager cet article
Repost0
27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:55
70 ans des combats de la pointe Grave

 

26/04/2015 armée de Terre

 

70 ans après la libération de la poche de Royan, le 18 avril 2015, une cérémonie a été commémorée en présence de nombreux anciens et d’un détachement du 1er régiment d’infanterie de marine (1e RIMa).

 

Parmi ces anciens, l’adjudant-chef Housseim Karie Elmi est venu spécialement de Djibouti pour témoigner de cet événement en représentant du bataillon de marche Somali qui avait participé à la libération de la poche de Royan au sein du détachement d’armée de l’Atlantique.

Partager cet article
Repost0
27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:55
Exercice amphibie pour le 2e REI

 

25/04/2015 armée de Terre

 

Au large d’Hyères, à bord du bâtiment de projection et de commandement (BPC) MISTRAL, Le 2e régiment étranger d’infanterie (2e REI) s’est exercé aux techniques amphibies du 7 au 10 avril 2015.

 

L’exercice avait pour objectifs d’effectuer un débarquement avec véhicules et de s’emparer de la plage.

 

Les bâtiments de projection et de commandement (BPC) sont des bâtiments qui combinent, sur une plate-forme unique, les fonctions de porte-hélicoptères, d’hôpital, de transport de troupes, de mise en œuvre de moyens d’assaut amphibie et enfin de commandement. Premier BPC, le MISTRAL a été mis en service en 2006.

Partager cet article
Repost0
27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:55
photo EMA

photo EMA

 

20/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 17 avril 2015, le général d’armée Pierre de Villiers est retourné à la rencontre des soldats de l’opération « Sentinelle » déployés à Paris.

 

Dans l’après-midi, il s’est rendu au cœur de la capitale, place Denfert-Rochereau, pour participer à la mission d’une des unités de l’armée de terre engagée à Paris : le 2e régiment d’infanterie de marine (2e RIMa) du Mans. Il a ainsi patrouillé avec des « Marsouins », dont certains rentraient tout juste d’opération extérieure en République de Centrafrique, alors que d’autres effectuaient déjà leur 2e mandat au titre de l’opération « Sentinelle ».

 

Cette rencontre a donc parfaitement illustré les propos tenus par le CEMA lors d’une de ses auditions à l’Assemblée nationale : « La mission est exigeante […] (elle est rendu possible) grâce aux forces morales des militaires […] qui nous permettent de faire face aux exigences des opérations et aux difficultés quotidiennes ».

 

Auparavant, au Kremlin Bicêtre, il avait bénéficié d’un point de situation sur l’opération, avant de consacrer du temps aux soldats hébergés dans ce fort du sud de Paris, afin qu’ils lui parlent de leur quotidien. A cette occasion, il a en particulier rencontré des militaires de deux régiments de l’armée de terre : le 6e régiment du génie (6e RG) d’Angers et le 35e régiment d’infanterie (35e RI) de Belfort.

 

REPÈRES

Depuis le 7 janvier, pour répondre à une situation d’urgence, les armées françaises ont renforcé leurs effectifs directement engagés dans la protection du territoire nationale et des Français. Cet engagement s’inscrit dans l’Opération SENTINELLE déclenchée dans le cadre de l’alerte VIGIPIRATE. 10 000 hommes sont engagés dans cette mission, dont 7 000 sont déployés en permanence sur le territoire national.

Au quotidien, la protection des Français revêt trois dimensions : une mission de protection à terre, l’opération SENTINELLE, la surveillance de l’espace aérien (posture permanente de sûreté aérienne) et la surveillance des approches maritimes (posture permanente de sûreté maritime). Par ailleurs, ces missions sont complétées par les missions permanentes de lutte contre les trafics illégaux, de protection des sites sensibles, etc.

photo EMAphoto EMA

photo EMA

Partager cet article
Repost0
27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:45
Sangaris: mission de contrôle à Bambari

 

24/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 20 avril 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) Turco a mené une opération de surveillance et de sécurisation au sud-est de la ville de Bambari en République centrafricaine, en appui des forces de la MINUSCA.

 

L'objectif principal de cette mission de reconnaissance était de contrôler les quartiers de l'Evêché, de l'Elevage, et les alentours du quartier Bournou, afin de repérer d’éventuels points de contrôle illégaux tenus par des individus armés. Les éléments du 1er Spahis, intégrés au GTIA Turco, ont ainsi sillonné cette zone, appuyés par les hélicoptères Tigre du sous groupement aéromobile (SGAM). Cette mission était également l’occasion de prendre contact avec la population et vérifier la mobilité et la circulation sur ces axes.

 

Situés à l’extrémité de la ville, ces quartiers forment un lieu de passage incontournable pour les commerçants et les producteurs de sucre et de café centrafricains. Afin de garantir leur sécurité et d'éviter le développement de réseaux de banditisme, les forces congolaise et pakistanaise de la MINUSCA, ainsi que les tirailleurs de la force Sangaris, mènent régulièrement des patrouilles dans cette zone et dans les autres points d'entrée de la ville.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Partager cet article
Repost0
27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:25
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

27/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 26 avril 2015, à Kourou, en Guyane, a eu lieu le premier lancement de l’année de la fusée Ariane. Pour sécuriser la zone de lancement, les Forces Armées en Guyane (FAG) ont déployé près de 200 militaires à terre, en mer et dans les airs.

 

L’objectif de cette mission baptisée Titan et déclenchée à chaque lancement de fusée, est d’assurer la protection externe des installations du centre spatial guyanais (CSG), dans ses trois dimensions.

 

A terre, dans une zone inhospitalière de près de 680 km2 constituée à 80% de forêt primaire et de marécages, deux compagnies de légionnaires du 3erégiment étranger d’infanterie (REI) ont effectué des patrouilles pédestres et motorisées, ou encore en kayac, afin de contrôler les accès au site de lancement et les points stratégiques. Un élément d’intervention héliporté composé de la section d’aide à l’engagement débarqué (SAED) du 3e REI est resté en alerte au centre de contrôle militaire (CCM) à Kourou.

 

Dans les airs, la haute autorité de défense aérienne (HADA) a activé et dirigé un dispositif particulier de sureté aérienne (DPSA). L’espace aérien, interdit à tout aéronef, était maîtrisé par les hélicoptères Fennec ainsi que par deux sections de défense sol-air équipées de missiles Mistral du 3e REI.

 

En mer, un patrouilleur P400 de la Marine et une vedette côtière de surveillance maritime (VCSM) ont assuré la protection des approches maritimes du plateau de lancement. Ils ont patrouillé en mer pour blanchir la zone. La marine Nationale et la gendarmerie maritime se sont ensuite déployées dans la zone d’exclusion.

 

A 7 000 km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’Etat dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent sur un territoire rendu exigeant par son étendue (1 100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 21:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

14/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 2 au 5 avril 2015, les forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont effectué une campagne de tir de niveau sur le camp « lieutenant-colonel Saboret », à 150 kilomètres au Nord d’Abidjan.

 

Ce camp, situé à proximité du village de Lomo Nord, est un complexe de tir de 130 km2 permettant la mise en œuvre de l’ensemble des types d’armement. Les trois pelotons de l’escadron blindé des FFCI ont conduit la campagne de tir, mettant chacun en valeur leur capacité tactique au cours de manœuvres variées.

 

Dotés d’ ERC 90 Sagaie et de véhicules blindés légers particulièrement utilisés dans les manœuvres d’éclairage et d’investigations, les pelotons ont ainsi alterné des missions de reconnaissance offensive. Les tirs de masquage, de neutralisation, de destruction des résistances isolées se sont succédé, appuyés par des tirs d’armes légères individuelles.

 

L’exercice s’est achevé avec l’organisation d’un parcours de tir élaboré, afin de mettre en pratique les principes et manœuvres du combat blindé face à une attaque ennemie. Le parcours a permis de confirmer la capacité opérationnelle de l’escadron des FFCI.

 

Les forces françaises stationnées en Côte d’Ivoire (FFCI) constituent la base opérationnelle avancée française sur la côte Ouest de l’Afrique et un réservoir de forces. Base de soutien logistique aux forces engagées dans la bande sahélo-saharienne, elles agissent dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Côte d’Ivoire et la France en assurant des missions de coopération militaire avec les forces armées ivoiriennes. Par le maintien d’une présence militaire à Abidjan, elles assurent la protection des ressortissants, si nécessaire.

photo Armée de Terrephoto Armée de Terre
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 21:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

14/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 10 avril 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le détachement du 3e régiment du génie, déployé à Bambari en appui du GTIA Turco, avait pour mission de vérifier l’absence de grenade ou engin explosif sur le site du marché central de Bambari.

 

Tous les jours, les sapeurs du 3e RG effectuent des fouilles dans le marché Central de Bambari, avant l’ouverture au public. L’objectif de cette mission est de repérer d’éventuelles munitions explosives apparentes à l’œil nu et qui pourraient remettre en cause la sécurité des commerçants et de la population. En cas de contamination de la zone, les sapeurs du 3e RG sont en mesure de sécuriser le périmètre autour de cette zone, puis de neutraliser et détruire les munitions trouvées.

 

Au cœur de la ville, le marché central est un lieu fréquenté par toutes les communautés. Il représente un espace de réconciliation pour les autorités locales et pour les habitants. Afin de protéger la population, le GTIA Turco et les éléments congolais de la MINUSCA déployés à Bambari, mènent quotidiennement des patrouilles dans la ville et ses abords, afin de sécuriser la zone, reconnaitre les points sensibles et maintenir un climat de paix.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories