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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:45
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

9 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

À la suite d’une importante catastrophe naturelle, qui a entraîné de lourds dommages et l’infiltration de bandes armées, la décision d’évacuer nos ressortissants est prise : l’exercice Wakri 2015 commence.

 

Les officiers élèves (OE) de la promotion 2012 de l’École navale débarquent sur la plage d’Arta de Djibouti en hélicoptère ou en engins amphibies.

 

Ils sont intégrés à un dispositif interarmées où l’armée de Terre et la Marine vont mener des actions sur terre, en mer et dans les airs.

 

Les élèves sont répartis en 8 escouades, dirigées par un élève motivé par le métier de commando. Un sous-lieutenant de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr tient le role d’adjoint et un médecin des armées assure le soutien santé de chaque groupe.

 

Les « fanas commandos » sont testés sur leur sens du commandement, leur capacité à organiser leurs équipes en fonction de leurs missions, et leur lucidité en conditions dégradées. L’enjeu est de taille car l’évaluation finale conditionnera la possibilité de vivre leur passion.

 

Les équipes arpentent sous un soleil de plomb le relief lunaire. Les esprits s’échauffent et le discernement est mis à l’épreuve. Cependant, tous sont acteurs de la réussite de leur chef, et ils doiventaller au-delà de leurs motivations. Si bien que l’élan ne peut rester intact que si une dynamique commune s’installe. Les douleurs musculaires, la soif et la fatigue oppressent tous les organismes ; c’est là que le chef doit galvaniser ses troupes, leur donner la force d’avancer pour accomplir leur tache. L’entraide et la cohésion deviennent des armes bien plus précieuses que tous les fusils d’assauts portés par les élèves.

 

Cet entraînement permet au futur chef de comprendre l’importance d’être un vrai leader. Il doit avant tout chercher à valoriser les qualités de ses équipiers tout en favorisant le repos des personnes en difficulté. Au cours de l’exercice, les fatigues physique et psychique s’intensifient et le chef doit être pour ses hommes une figure de confiance, car dans un futur proche,  en opérations, ils n’auront pas le droit à l’erreur.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 14:55
photo CNDH

photo CNDH

 

08/04/2015  DICoD

 

Selon les estimations des Nations unies et des organisations non gouvernementales (ONG), plus de 113 millions de mines sont disséminées dans le monde. L'Europe en comptabilise 13 millions. La Croatie et la Bosnie-Herzégovine en comptent entre 6 et 9 millions, ce qui les place parmi les cinq pays du monde les plus gravement touchés par ce fléau.
À l’occasion de la Journée internationale pour la sensibilisation au problème des mines et de l’assistance à la lutte contre les mines, le 4 avril 2015, la rédaction a fait le point sur le sujet avec le commandant Philippe P. , chef du Centre national de déminage humanitaire.

 

Quelles sont les missions du Centre national de déminage humanitaire (CNDH) ?

En premier lieu, le centre est destiné à préparer les forces françaises à se déployer dans les zones post-conflictuelles à risques. Grâce à ses nouveaux bâtiments inaugurés le 5 février à l’École du génie d’Angers, il va également pouvoir développer ses missions d’éducation auprès d’un public plus large. Par son action, le centre répond depuis 2009 aux engagements pris par la France lors de la signature de la convention d’Ottawa (voir encadré). Il assure notamment la traduction de l’anglais vers le français des normes internationales de l’action contre les mines pour le compte de l’ONU. Il répond également à des missions d’expertise, de formation et de réalisation d’outils pédagogiques, comme des bandes dessinées destinées aux enfants.
Des séances de sensibilisation « à la carte » sont notamment proposées au monde civil.

 

Quel genre de formations proposez-vous et à qui s’adressent-elles ?

Nous organisons des formations théoriques et pratiques adaptées à chaque public. Des scolaires, des étudiants, des membres d’ONG, des journalistes, des détachés d’entreprises, des professionnels du tourisme ou encore des élus peuvent ainsi apprendre à acquérir les bons réflexes qui pourront leur sauver la vie face à un engin non-explosé. En ce sens, les compétences et l’expertise acquises depuis quarante ans par les spécialistes militaires du Génie sont un vrai point fort. Durant les journées de sensibilisation, les formateurs militaires d’Angers passent tout en revue : état des lieux des pays touchés par les restes d’engins explosifs, connaissances des différentes organisations, éducation aux risques ou encore reconnaissance des différentes munitions.

 
photo Armée de terre (Afghanistan, 2011)

photo Armée de terre (Afghanistan, 2011)

Vous réalisez également des outils pédagogiques. De quelle manière et dans quel but ?

La bande dessinée Mille et une mines, réalisée par l’artiste angevin Loïc Jombart et traduite en dix-huit langues, est utilisée pour sensibiliser les populations vivant dans des zones à risques. Vingt mille exemplaires en français et en arabe ont ainsi pu être distribués au Mali via les forces françaises. Une BD pour sauver des vies ! C’est le cœur de notre mission. Pour financer ces projets, le CNDH organise des stages payant auprès d’entreprise. Leur coût modéré nous permet de récolter des fonds intégralement réutilisés pour l’impression et l’acheminement d’outils de sensibilisation diffusés par les forces sur le terrain, notamment dans le cadre d’actions civilo-militaires. Le CNDH œuvre également gratuitement auprès des écoles.

 

Pour en savoir plus, retrouvez toutes les infos sur le site internet du CNDH

 

La Convention d’Ottawa, traité d’interdiction des mines anti-personnel

Ouverte à la signature en 1997, la convention d’Ottawa est entrée en vigueur en 1999. Elle marque une étape majeure sur la voie de l’élimination des mines anti-personnel, à la charnière du désarmement, du droit humanitaire et de l’aide au développement. Sa ratification par la France ouvre une nouvelle étape : celle de mettre les compétences et les savoir-faire des militaires français à la disposition des pays et organisations œuvrant contre les mines anti-personnel

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 14:55
Terre information magazine de mars en ligne

 

10/04/2015 Armée de Terre

 

Le 262e numéro du magazine de l’armée de Terre est en ligne. Fidèle à sa ligne éditoriale, la vie et l’activité des unités y sont détaillées.

 

Au programme ce mois-ci : une immersion au cœur des forces françaises en Côte d’Ivoire, le bilan des exercices en Laponie et au Canada, le témoignage d’un militaire déployé dans le cadre de la mission Vigipirate et une multitude d’informations pratiques.

 

Le TIM, première source d’information pour l’armée de Terre.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 12:45
photo D..Geffroy - GEAOM

photo D..Geffroy - GEAOM

 

07/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 20 au 28 mars 2015, les unités de soutien du 5e régiment interarmes d’outre-mer (RIAOM) ont suivi une formation au sein du centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD), en coopération avec l’armée américaine.

 

Les stagiaires, comprenant la compagnie de commandement et de logistique, la compagnie de maintenance, et deux personnels du groupement de soutien de la base des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) et de la base aérienne 188, se sont livrés à cette formation dispensée au sein du centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD). Cette instruction était axée sur le combat du soutien et la tactique du train de combat (TC2). Elle s’est déroulée conjointement avec une cinquantaine de militaires américains du 1/77 Bataillon et des Civil Affairs américains, ainsi que d’un petit détachement de la Garde Républicaine des Forces Armées Djiboutiennes.

 

Après deux jours d’aguerrissement et d’instruction sur la vie en milieu désertique, les 102 stagiaires ont enchaîné sur une phase tactique spécifique de deux jours dans la région d’Arta-plage, incluant des ateliers sur la procédure de contre explosif, la réaction à l’embuscade, le secourisme au combat, l’escorte de convoi et le tir de niveau groupe. Chaque nuit, un campement était installé en zone d’insécurité, dont le dispositif était régulièrement testé par une force d’opposition simulée par des militaires originaires du 1er Spahis et des instructeurs du CECAD.

 

Enfin, la synthèse de cette formation a été l’exercice amphibie WAKRI 2015. Elle a permis à une partie du TC2 d’embarquer à bord du BPC Dixmude et de participer à la mise à terre du Groupement Tactique Embarqué. Profitant de tous les moyens mis en place pour l’exercice, le TC2 a ainsi pu rassembler les ressortissants, simulés pour l’exercice, et les extraire vers le centre de regroupement et d’évacuation des ressortissants (CRER) d’Arta-plage.

 

L’enrichissante coopération avec les militaires américains, notamment dans la phase de diffusion des ordres et la coopération sur le terrain a contribué à la réussite de l’opération.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces Françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo D..Geffroy - GEAOMphoto D..Geffroy - GEAOM

photo D..Geffroy - GEAOM

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 07:45
photo Sangaris

photo Sangaris

 

09/04/2015 Sources : État-major des armées

 

En République centrafricaine, la situation est principalement tournée vers la préparation du forum de Bangui, qui marquera l’entrée du pays dans un temps politique.

 

Le 4 avril, le commandant de la force Sangaris s’est rendu à Bria auprès des autorités militaires et civiles locales, où il a pu observer une situation calme et des actions de développement en cours de réalisation, appuyées par la MINUSCA.

 

Le 10 février dernier, Bria avait été le théâtre d’une opération de la MINUSCA contre des membres du FPRC, visant à déloger les miliciens qui occupaient illégalement les édifices publics. Cette opération a eu un effet d’entraînement dans l’aide à la restauration de l’autorité de l’Etat centrafricain. Le 8 avril, la force Sangaris a procédé à la destruction de 8 tonnes de munitions confisquée depuis le mois de janvier 2015.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo Sangaris

photo Sangaris

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 07:45
Barkhane : Point de situation au 9 avril

 

09/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 6 avril, les forces spéciales, avec l’appui de la force Barkhane, ont conduit une opération au Nord-Est du Mali, qui a permis la libération vers 5h00 (heure de Paris) d’un otage néerlandais.

 

Lors de cette intervention, deux terroristes ont été tués lors des combats et deux autres se sont rendus. Cette opération a également permis la récupération d’armes et de matériels. L’otage, libéré et en bonne santé, a alors été évacué puis mis en sécurité sur une base française au Mali, avant d’être pris en charge par l’ambassade néerlandaise.

 

Les forces françaises de l’opération Barkhane, déployées pour appuyer les forces de sécurité des Etats du Sahel et la mission des Nations Unies au Mali, poursuivent la traque des groupes armés terroristes responsables de la déstabilisation de la bande sahélo-saharienne.

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9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 16:55
[Entretien] Des pales et du courage

 

09/04/2015 par Samantha Lille

 

Certaines histoires d’hommes vous captivent. « Envoyez les hélicos » fait partie de celles-là. A travers les 228 pages de ses carnets de guerre, le colonel Pierre Verborg* relate avec un style percutant et efficace des nuits de combats redoutables, où les équipages de l’aviation légère de l’armée de Terre (Alat) s’illustrent avec succès. Mais bien au-delà de la mise en exergue de l’aérocombat, cet officier au charisme indiscutable livre un hommage touchant aux soldats qu’il a commandés. Le « grizzly »** sort de sa tanière et cela vaut le détour.

 

« Envoyez les hélicos » cet ordre de l’Elysée tombe le 13 mai 2011. A ce moment-là, la France est engagée en Libye depuis plusieurs semaines et pour vous c’est le début d’une aventure sans précédent…

Chaque fois que l’on part au combat, on s’apprête à vivre quelque chose d’hors norme ! Cependant, pour l’opération Harmattan, on s’est rapidement rendu compte que le mode opératoire et le moment choisi pour intervenir allaient être décisifs à très haut niveau. Faire décoller de nuit, une dizaine d’hélicoptères d’un bâtiment de la Marine, voler tous feux éteints, au ras des flots pour aller au contact de l’ennemi, le pari était risqué mais nous étions formés et préparés pour cela. Il fallait créer une rupture sur le terrain, il fallait un électrochoc pour débloquer la situation. Les hélicos ont su le faire.

 

Vous êtes à l’époque, chef du groupement aéromobile sur le bâtiment de projection et de commandement Tonnerre et vous devez trouver vos marques…
La coopération interarmées sur le terrain n’est pas un problème, elle se fait avec une grande intelligence pour le succès des armes et tout simplement pour notre efficacité qui et notre survie.  Mais il est évident qu’au début nous nous sommes confrontés à un choc des cultures, un choc qui était sain à mon avis. La force des armées, c’est aussi leur diversité. Nous nous sommes donc adaptés au fonctionnement de la Marine et la Marine s’est adaptée à nos impératifs opérationnels. Au final, on est passé, si je puis dire, du pacs à un mariage en bonne et due forme concrétisé désormais par une doctrine qui évoluera encore, c’est certain.

 

D’ailleurs, au fil des chapitres, l’Alat apparait comme un monde un peu à part…
C’est une arme jeune, méconnue qui a parfois été incomprise ; pourtant elle a toute sa place au sein de l’armée de Terre et des armées en générale. J’espère que ce livre montrera que c’est une arme qui a une âme, une identité et permettez-moi, une gueule ! On vit et on se bat à la vitesse de 240 km/h dans trois espaces différents (terre/air/mer). Dans un laps de temps très court, nous pouvons récupérer des commandos à partir d’un sous-marin, délivrer des rations  dans le cadre d’une mission humanitaire, évacuer des ressortissants et aller combattre. Et ce sont les mêmes hélicoptères et les mêmes équipages qui vont vivre ces multiples missions. L’aérocombat bouleverse profondément la manière de se battre et à façonner un système d’hommes effectivement très particulier.

 

Ce livre, n’est-il pas aussi le récit de l’expérience du commandement ?

En effet, il m’a semblé utile de partager ce qu’est la réalité du commandement lorsque l’on sert sous les armes. J’ai eu la chance de pouvoir participer de très nombreuses fois, et aux différents niveaux de responsabilités du domaine des hélicoptères qui ont été les miens, à des missions de guerre dans des situations qui imposaient un engagement total. Je crois qu’il est intéressant de partager et d’expliquer que le commandement n’est pas un bloc monolithique mais un art subtil, à la fois prédictible et plein d’incertitudes. Nous n’avons pas le monopole du commandement. On pourrait penser que dans un système militaire, commander peut être une pression et une contrainte, en ce qui me concerne, cela fait 27 ans que j’exerce au quotidien des responsabilités que le commandement bien voulu me confier et je me sens un homme et un officier libre dans un cadre bien normé. Oui, commander, c’est être libre. Etre libre, c’est choisir et choisir, c’est parfois renoncer et être surpris. Je tenais à faire découvrir toute cette diversité du commandement. D’autres pourraient tout autant témoigner pour enrichir chacun de ses expériences. Personnellement, c’est en lisant et en écoutant de témoignages que j’ai appris et pu enrichir ma posture de commandement. C’est un travail intellectuel qui est nécessaire. Dans l’action, il est trop tard pour se poser des questions vous devez seulement amener de bonnes réponses et vite.

 

Justement, qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ? 
Je ne vous cache pas qu’il a été difficile de prendre la plume sans me départir de l’épée.  Toutefois, pour moi, ce témoignage s’est imposé, à la demande aussi de mes chefs, comme un devoir pour trois raisons. Tout d’abord,  pour sa dimension historique, au sens de témoignage, de cet aspect de la guerre et du système d’hommes décisifs qu’est l’aérocombat dans la conduite et la réussite des opérations ; ensuite pour sa dimension humaine collective d’une équipe qui s’inscrit dans un dynamique de réussite avec une méthode et une volonté maitrisée où les ressorts et les liens  qui lient le chef  à ses subordonnés sont déterminants, et enfin, la nécessité de transmettre un témoignage vécu, de l’intérieur, non pas d’un combat mais de nombreuses expériences de guerre, à une période où d’importants choix capacitaires se font dans les armées et qui ont des répercussions très concrètes pour nous lorsqu’il est décidé de nous engager au service de notre pays. .

 

Envoyez les hélicos
Carnets de guerre – Côte d’Ivoire – Libye - Mali
Pierre Verborg
18€90 – Editions du Rocher

[Entretien] Des pales et du courage

* Le colonel Pierre Verborg est officier de carrière dans l’aviation légère de l’armée de Terre et totalise plus de 3 300 heures de vol. Il a participé à de très nombreuses opérations en métropole et à l’étranger (Kosovo, Côte d’Ivoire, Libye, Mali) et a commandé le bataillon d’hélicoptères et d’assaut du 5e régiment d’hélicoptères de combat. Aujourd’hui, il officie en tant que chef du bureau « engagement opérationnel aéromobilité » au sein du commandement des forces terrestres à Lille.

 

** pseudo de l’auteur

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 16:55
Les champs de braises, prix littéraire de l'armée de Terre (1995)

 

06/04/2015 Christiane Boisgelot - armée de Terre

 

Depuis 20 ans,  l’armée de Terre récompense chaque année un ouvrage grand public célébrant un exemple d’engagement au service de la France. Ce prix a pour vocation de mettre en avant des ouvrages qui célèbrent les valeurs de courage, de dévouement et d’abnégation jusqu’au sacrifice suprême. Les Champs de braises d’Hélie de Saint Marc est le premier livre consacré par le Prix littéraire de l’armée de Terre Erwan Bergot en 1995, date de sa création.

 

C’est le récit d’un destin exceptionnel qui, de Buchenwald aux camps d’internement du Viet-Minh, de la guerre d’Algérie au putsch d’Alger, conduisit l’auteur, alors militaire, à être acteur et témoin des tumultes et contradictions de notre histoire contemporaine. Trente ans après ces évènements douloureux, l’auteur, avec beaucoup d’humilité, d’humanisme et de sagesse, tire les enseignements de cette existence blessée, de ses échecs mais aussi de ses révélations. Ce récit met en exergue le courage, l’engagement, la fidélité, l’honneur, quoi qu’il en coûte, car «  chaque homme doit laisser une trace, même infime, à ceux qui lui succèdent dans l’échelle du temps ».

 

A lire et relire Les Champs de braises d’Hélie de Saint Marc. éditions Les Arènes/Perrin, Prix Femina et Prix littéraire de l’armée de Terre Erwan Bergot

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:55
photo EMA

photo EMA

 

03/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Sur la base de défense (BdD) de Rennes, la distribution des colis individuels d’habillement est désormais assurée au plus près du militaire.

 

Après avoir commandé ses effets via le site de distribution par correspondance (DPC) du service du commissariat des armées (SCA), le militaire devaient auparavant récupérer son colis au magasin du corps, ce qui générait des contraintes pour les unités soutenues. Il fallait en effet consulter le site à plusieurs reprises, choisir le moment opportun pour se rendre au magasin et trouver un véhicule.

 

Le service de soutien commun (SSC) du GSBdD de Rennes a donc décidé d’améliorer le service rendu. Sa démarche a reçu l’appui de la direction interarmées des réseaux d’infrastructures et des systèmes d’information (DIRISI). Cela s’est traduit dans un premier temps par le développement d’un nouveau logiciel de suivi des commandes, puis par la mise en œuvre d’un système de livraison efficient.

 

Si les commandes s’effectuent toujours en ligne, le soutenu précise désormais quand et où, sur le site, il souhaite être livré. L’application développée se charge ensuite de confirmer par mail ces informations puis d’assurer le suivi de la commande. Le militaire reçoit des mails à chaque étape de sa commande. Le vaguemestre prend en compte dans sa tournée quotidienne de distribution du courrier, la livraison de ces colis. Grâce à l’application, il peut adapter son véhicule en fonction du nombre de colis à distribuer, selon la date de livraison souhaitée par le soutenu.

 

Après plusieurs mois de fonctionnement, le nouveau processus donne entière satisfaction. S’il facilite la vie des administrés, il permet de surcroît aux personnels du magasin de mieux gérer leurs stocks et de connaître avec précision les différents délais de traitement et d’acheminement de l’ensemble des colis.

 

S’inscrivant également dans une démarche d’éco-mobilité, cette pratique permet une diminution des coûts de transport et aussi de limiter l’absence des personnels à leur poste de travail. Des gains non négligeables pour la BdD et les unités.

 

Soucieux de répondre aux objectifs fixés par le SCA dans le cadre de son plan de transformation, le GSBdD de Rennes a prouvé son attachement à la qualité du service rendu et à la préservation de la proximité du soutien.

 

Un bel exemple pour être « opérationnels, autrement » !

crédits : EMA

crédits : EMA

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:45
Juan de Nova, 45 jours d’autarcie

 

05/04/2015 SCH Beltran  - armée de Terre

 

Surveiller pendant 45 jours l’île déserte de Juan de Nova. Il ne s’agit pas d’un nouveau programme de téléréalité, mais bien d’une mission confiée aux soldats de l’armée de Terre.

 

Les militaires du 2e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (2e RPIMa) ont la charge d’assurer la souveraineté française de ce petit territoire situé dans le canal du Mozambique. Coupés du monde, les parachutistes amorcent leur mission par une relève minutieuse et détaillée. S’en suivent 45 jours d’autonomie pendant lesquels les militaires participent à l’entretien des infrastructures et au soutien des programmes scientifiques.

 

Aperçu de la mission en images.

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:45
Centre d’aguerrissement tropical de la Réunion

 

05/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

Le centre d’aguerrissement tropical de la Réunion (CATR) offre aux militaires de l’armée de Terre les moyens d’entretenir et de développer leurs capacités opérationnelles.

 

Placé sous l’autorité du 2e régiment de parachutistes d’infanterie de marine, le centre forme les unités tournantes déployées sur l’île de la Réunion. Les stages, intenses et pédagogiques, durent 3 semaines et renforcent la cohésion des soldats.

 

Description.

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 10:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

07/04/2015 armée de Terre

 

Le général d’armée Jean-Pierre BOSSER, chef d’Etat-major de l’armée de Terre (CEMAT) s’est rendu  aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan afin de présenter le nouveau modèle de l’armée de Terre aux élèves officiers et cadres des écoles. Sa rencontre en images.

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 07:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

06/04/2015 Camille Pégol - armée de Terre

 

Le colonel Lancrenon, chef de corps du 13e bataillon de chasseurs alpins (13e BCA), et un détachement du bataillon se sont rassemblés au sommet du Grand roc Noir, en Savoie, pour commémorer les combats qui s’y sont déroulés durant l’hiver 1944-1945.

 

Après avoir parcouru les 400 mètres de dénivelé en ski de randonnée, les chasseurs se sont rassemblés au sommet de ce piton rocheux pour rendre les honneurs aux 40 soldats morts au cours des combats contre les Allemands.

 

Cet hommage, en souvenir des sacrifices des anciens du 13, est le signe visible de l’attachement du bataillon Savoie à son histoire et affirme la continuité des valeurs qui unissent les chasseurs d’hier et d’aujourd’hui : bravoure, sens de la mission et fraternité d’armes.

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 07:55
Chloé, ingénieur informatique

 

04/04/2015 SCH Beltran – Armée de Terre

 

Chloé, étudiante civile à l’INSA de Rennes a participé à l’exercice DEFNET organisé par l’école des transmissions de Rennes. Il avait pour but d’évaluer l’ensemble des mesures prises dans le cas d’une cyberattaque d’envergure.

 

L’échange de procédés avec les spécialistes militaires a permis de définir et d’optimiser la riposte dans le domaine de la sécurité informatique.

 

Mise au point avec Chloé

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 07:55
Livre historique : Le 7e bataillon de chasseurs alpins

 

03/04/2015  Camille Pégol - armée de Terre

 

Sous la direction du colonel Lionel Catar, les éditions Pierre De Taillac publieront dès le 15 juillet 2015 l’ouvrage historique Le 7e Bataillon de chasseurs alpins, de Saint-Omer à l’Isère.

 

Ce nouvel ouvrage tend à donner une part plus importante à l’histoire contemporaine du 7e BCA, déjà retracée en 1953 et 1994 et qui, depuis 175 ans, écrit de belles pages de l’histoire militaire française, fidèle à sa devise : « De fer et d’acier ». Des « tranches de vie » du 7e BCA sont proposées dans cette œuvre collective, réalisée grâce aux éditions précitées ainsi qu’à des recherches documentaires et de nombreux témoignages d’anciens du bataillon.

 

Pour les plus pressés de voyager de Saint-Omer à l’Isère avec « les diables bleus du 7 », il est d’ores et déjà possible de réserver le livre et de bénéficier d’un tarif préférentiel. Pour cela il suffit de remplir le bulletin de souscription et de le retourner rempli à :
Cellule communication du 7e BCA
Quartier De Reyniès
BP 08 38761 VARCES Cedex

 

Télécharger le bulletin de souscription :Bon de souscription (1 MB).

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 07:50
Exercice Citadel Kleber

 

05/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

Citadel Kleber 2015 est un exercice multinational d’envergure conduit par le corps de réaction rapide-France (CRR-Fr) et qui s’est tenu du 3 au 20 mars dans le camp de Mourmelon. A la tête d’un poste de commandement interarmées, il a validé la conduite d’une gestion de crise.

 

Cette manœuvre est la première étape d’un processus d’évaluation qui conduira le CRR-Fr à la certification OTAN en 2017. A cette échéance, il sera en mesure de prendre le commandement d’un théâtre d’opérations.

 

Les détails en images.

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

03/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 31 mars 2015, le nouveau commandant (COMANFOR) de la force Sangaris, le général Pierre Gillet, a rendu visite aux soldats du groupe tactique interarmes (GTIA) Turco, déployés sur la base opérationnelle de Bambari en république Centrafricaine.

 

Pour ce premier passage dans la ville de Bambari, le nouveau COMANFOR de la force Sangaris a rencontré les acteurs principaux de la ville, dont le maire de Bambari, monsieur Matchipata, le responsable du bureau de la MINUSCA politique, Monsieur Mayoyo et la responsable des droits de l’homme de l’ONU, madame Hoffman. Ces entretiens ont permis d’évoquer la préparation du forum de Bangui et la tenue des prochaines élections présidentielles.

 

Lors de cette visite, le général Gillet a bénéficié d’un point de situation sur l’environnement sécuritaire dans la ville de Bambari. Il s’est en effet entretenu avec le colonel Espitallier, commandant le GTIA Turco, sur les capacités opérationnelles de la force Sangarisdans cette région et les missions qui lui sont confiées, dont l’appui à la MINUSCA, la sécurité de la population et le contrôle de zone sensibles.

 

Avant de quitter la base opérationnelle, le général a visité les différentes installations de la force française et a rencontré l’ensemble du personnel militaire engagé sur Bambari.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération SANGARIS, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération SANGARIS vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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5 avril 2015 7 05 /04 /avril /2015 11:55
Des sapeurs parachutistes exemplaires

 

04/04/2015 Camille Pégol - armée de Terre

 

Deux soldats du 17e régiment du génie parachutiste (17e RGP) sont intervenus sur un accident après avoir quitté leur service, le vendredi 13 mars.

 

Le caporal Bastien et le sapeur parachutiste Morgan sont intervenus sur la voie rapide, alors qu’ils venaient de terminer leur mission dans le cadre de l’opération Sentinelle. Arrivés sur le lieu de l’accident, les militaires ont garé leurs véhicules en amont pour éviter le sur-accident. Ils sont ensuite allés constater l’état des victimes, dont l’une d’entre elles se plaignait de douleurs au genou. Après les avoir rassurées et faites asseoir dans le véhicule d’un témoin, afin qu’elles se reposent et se réchauffent, les soldats ont appelé les secours. Les sapeurs parachutistes ont alors régulé la circulation, jusqu’à ce que les pompiers et les gendarmes arrivent.

 

Depuis le début de l'opération Sentinelle, les militaires déployés en patrouilles sur le territoire national ont réalisé de nombreuses actions de secours et d’assistance auprès de la population, démontrant leurs qualités militaires et professionnelles.

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5 avril 2015 7 05 /04 /avril /2015 07:45
photo EMA / FFCI

photo EMA / FFCI

 

03/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 23 au 27 mars 2015, un détachement des forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) a conduit une mission de présence dans le département de Tumodi au nord d’Abidjan.

 

Ce détachement était composé de deux sections d’infanterie du 1er régiment de tirailleurs et d’une section du 3e régiment de Génie, d’une équipe des transmissions et d’une équipe médicale. Cette mission de présence, réalisée en étroite collaboration avec les autorités locales et traditionnelles, avait pour objectif  de permette la prise de contact avec la population.

 

Accueillis chaleureusement, les militaires des FFCI se sont installés au cœur des villages de Bofia, Konankokorekro et Afotobo, dans des bâtiments prêtés par les villageois. Insérés dans la vie locale, ils ont patrouillé, pris contact avec les autorités civiles, militaires et coutumières, et nouer des liens avec la population tout en renforçant leur connaissance du terrain.

 

Cette mission de présence a également été l’occasion de réaliser des actions civilo-militaires simples au profit des habitants de la région. Les fantassins et sapeurs français ont ainsi réparé une pompe à eau, dégagé un sentier obstrué par des arbres tombés pendant un orage, et distribué une centaine de kits scolaires au profit de chaque école primaire des villages. L’équipe médicale a quant à elle reçu en consultation une centaine d’adultes et d’enfants des villages alentours. Elle a pu ainsi dispenser de nombreux soins dans le cadre des actions d’aide médicale à la population.

 

Les forces françaises stationnées en Côte d’Ivoire (FFCI) constituent la base opérationnelle avancée française sur la côte Ouest de l’Afrique et un réservoir de forces. Base de soutien logistique aux forces engagées dans la bande sahélo-saharienne, elles agissent dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Côte d’Ivoire et la France en assurant des missions de coopération militaire avec les forces armées ivoiriennes. Par le maintien d’une présence militaire à Abidjan, elles assurent la protection des ressortissants, si nécessaire.

photo EMA / FFCI

photo EMA / FFCI

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 17:45
photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)

photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)

 

03/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 25 au 29 mars, dans le cadre de l’exercice WAKRI 15, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et le groupe Jeanne d'Arc ont conduit un exercice amphibie d’évacuation de ressortissants impliquant un fort volume de forces interarmées. Les forces américaines basées au Camp Lemonnier ont également participé à cet entraînement.

 

WAKRI 2015 s’appuie sur un scénario simulant les suites d’une importante catastrophe naturelle. De lourds dommages dans la région et l’infiltration de bandes armées créent alors des conditions sanitaires et sécuritaires telles qu’il est décidé de procéder à l’évacuation de nos ressortissants par voie maritime.

 

L’exercice s’est axé autour du regroupement, de la protection et de l’évacuation de ressortissants français en voyage touristique dans un pays fictif. Les chalands du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude ont embarqué des militaires du 5e régiment interarmées d’Outre-mer, qui formaient un Groupement Tactique Embarqué (GTE). Ils ont organisé un état-major à bord du Dixmudepour conduire l’opération d’évacuation des ressortissants puis, par la suite, les militaires français ont débarqué sur les côtes pour aller récupérer les ressortissants. Un sous groupement aéromobile de l’aviation légère de l’armée de Terre a également participé à l’exercice avec deux hélicoptères Puma et deux hélicoptères Gazelle, afin d’appuyer les troupes au sol.

 

Les militaires mobilisés ont multiplié les manœuvres pour rechercher et sécuriser les touristes, qui ont pu être évacués des zones sensibles et embarqués sur le Dixmude. Pour réussir cette mission, il a fallu conduire des actions de recherche de renseignements, réaliser des évacuations sanitaires, faire face à des embuscades, dans un contexte réaliste simulé pour l’exercice.

 

Militaires français et américains ont ainsi confronté leur savoir-faire et leurs procédures de combat avec le souci permanent de remplir la mission. Au terme de l’exercice, le groupe Jeanne d’Arc a alors pu observer une relâche de deux jours avant de poursuivre sa route vers la mer du Japon.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces Françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)
photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)

photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 16:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

04/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

L’école des transmissions de Rennes a organisé un exercice de grande ampleur visant à roder les procédures à adopter en cas de cyberattaque.

 

L’exercice DEFNET a rassemblé 300 participants, parmi lesquels des militaires spécialistes des systèmes d’information et de communication (SIC) et une centaine de futurs ingénieurs de l’institut national des sciences appliquées (INSA) de Rennes. Ces échanges entre civils et militaires ont permis de confronter les savoir-faire et d’échanger les procédés. Ce partenariat gagnant-gagnant contribue à l’amélioration du lien Armée-Nation et des capacités opérationnelles dans le domaine numérique.

 

Explications en images.

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 11:55
Sauvetage au combat, l’autre enjeu opérationnel


1 avr. 2015 DICoD

 

#SauvetageAuCombat - Avant de partir en opération extérieure, les unités militaires françaises se préparent systématiquement dans le but d’acquérir les comportements adaptés aux conditions qu’ils vont devoir affronter. Si l’adaptation au terrain est indispensable, d’autres aspects comme la maîtrise du sauvetage au combat sont aujourd’hui incontournables et font pleinement partie des mises en conditions avant projection. Reportage à Castres, à l’occasion de la préparation opérationnelle du 8e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (8e RPIMa).

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 11:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

02/04/2015 Camille Pegol – Armée de Terre

 

22 décorations, dont 16 médailles de la valeur militaire, ont été remises aux marsouins du régiment de marche du Tchad (RMT) pour leurs actions de feu lors des opérations Sangaris et Serval en 2014.

 

Les décorations pour Sangaris concernent notamment les combats de Bossembélé, Yoro-mina, Békadili et en particulier ceux du 5 mai à Boguila, où les éléments de la 4e compagnie du RMT ont lutté pendant plusieurs heures contre un assaillant lourdement armé et déterminé. Les décorations pour le Mali récompensent quant à elles des actions menées suite à des attaques par mine et véhicule suicide.

 

D’autres marsouins du RMT, actuellement déployés dans l’opération Sentinelle, doivent encore recevoir des décorations pour ces deux opérations.

 

L’adjudant-chef Christophe Bottino a également reçu à cette occasion la médaille de l’ordre national du mérite au grade de chevalier.

 

Cette remise de décoration s’est déroulée lors de la cérémonie de commémoration du 74e anniversaire des combats de Koufra, au quartier Colonel Dio du RMT, le 26 mars 2015.

photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:55
Le ministre de la Défense passe les troupes du 3e RIMa en revue - photo R. pellegrino ECPAD

Le ministre de la Défense passe les troupes du 3e RIMa en revue - photo R. pellegrino ECPAD

 

08/04/2015 Ministère de la Défense

 

Le 3 avril 2015, le ministre de la Défense s’est rendu en Bretagne, à Vannes (Morbihan), pour une cérémonie en l’honneur du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa). Il a ensuite visité l’entreprise Multiplast, spécialisée en matériel nautique et aéronautique, et partenaire du ministère de la Défense.

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu le 3 avril à Vannes, dans le Morbihan, pour la cérémonie du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa) mettant un terme au mandat de groupement tactique interarmées (GTIA) Korrigan. Déployé en République Centrafricaine depuis novembre 2014, les éléments de ce GTIA de la force Sangaris ont reçu de la part de Jean-Yves Le Drian ses « plus chaleureuses félicitations pour les succès remportés. […] L’ensemble de ces actions, conduites aux côtés de la MINUSCA, a favorisé l’installation d’un niveau de sécurité permettant à la population centrafricaine de bénéficier de nouveau d’un environnement économique et administratif stable ». Le ministre de la Défense a réassuré « l’engagement de la Nation, qui se tiendra toujours aux côtés de celles et ceux qui ont fait le choix de la défendre, de défendre ses intérêts et ses valeurs ».

 

Lors de cette cérémonie, le ministre a également décoré Yvette Lecomte, présidente départementale du concours national de la Résistance, de l’insigne d’officier de l’Ordre National du Mérite. « Pendant quarante-cinq ans, vous avez œuvré avec talent et passion à servir mais aussi améliorer notre service éducatif. […]Comme professeur tout d’abord […]. Comme inspectrice d’académie ensuite, vous n’avez cessé de travailler à une meilleure organisation de notre éducation. »

 

Jean-Yves Le Drian s’est par la suite rendu dans les locaux de l’entreprise Multiplast, entreprise partenaire du ministère de la Défense, spécialisée en matériel nautique et aéronautique. Devant les personnels du chantier, il a félicité la société pour ses « prouessestechnologiques exceptionnelles », entre autres le « projet Solar Impulse 2, qui est en train de faire le tour du globe sans le moindre carburant ». Il a également tenu à « remercier [l’entreprise] pour faire bénéficier le secteur de la défense d’une telle excellence technologique ».

 Jean-Yves Le Drian discute avec le personnel du chantier de l'entreprise Multiplast - photo R. pellegrino ECPAD

Jean-Yves Le Drian discute avec le personnel du chantier de l'entreprise Multiplast - photo R. pellegrino ECPAD

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 12:55
Photo Daniel Linares - Sagem

Photo Daniel Linares - Sagem

 

Boulogne-Billancourt, le 3 avril 2015 Sagem DS

 

La Direction générale de l'armement (DGA) vient de notifier à Sagem (Safran) le contrat « FELIN V1.3 » portant sur l'intégration de plusieurs améliorations opérationnelles aux systèmes d'infanterie FELIN* actuellement en service dans l'armée de Terre.

 

FELIN V1.3 intègre une nouvelle configuration optimisant l'emploi du système dans ses fonctions d'observation et de combat. Des évolutions logicielles prévoient des services nouveaux pour les groupes spécialisés de tireurs de précision et d'appui mortiers. FELIN V1.3 est doté d'une nouvelle structure de portage et de protection plus légère et plus modulaire améliorant la mobilité et réduisant ainsi la signature visuelle du soldat.

 

Cette nouvelle version conduira dans certains cas d'utilisation à une réduction allant jusqu'à 40% du poids de la dotation spécifique FELIN, tout en conservant le niveau de protection nécessaire aux missions de l'armée de Terre. Les chefs de groupes et de section disposeront d'un gilet de combat optimisé pour l'utilisation dans les phases de combat débarqué du terminal tactique « SitComdé » (Système d'information terminal du Combattant débarqué). Les évolutions « FELIN V1.3 » seront livrées en série dès le début 2016.

 

Motivées par les retours d'expériences des forces terrestres sur les récents théâtres d'opérations, ces évolutions de FELIN s'appuient sur le savoir-faire de Sagem en matière de conduite de grands programmes d'armement et de conception de systèmes de coordination tactique, de l'infanterie aux fonctions d'appui feu.

 

Maître d'oeuvre du programme FELIN, Sagem démontre à travers ce chantier de modernisation, la solidité de son partenariat avec la DGA et les forces armées afin d'apporter des services nouveaux répondant à des impératifs opérationnels de plus en plus sévères et à l'évolution des concepts d'emploi de l'infanterie.

 

* FELIN, Fantassin à Equipements et Liaisons Intégrés, est un système numérisé conçu pour démultiplier l'ensemble des capacités du combattant débarqué en termes de précision de tir, de capacités de combat de jour comme de nuit, de renseignement, et de protection individuelle et collective. Le programme FELIN d”équipement de l'armée de Terre prévoit dans le cadre de la Loi de Programmation Militaire 2014- 2019 la livraison de 18 552 systèmes. A fin 2014, Sagem a entièrement équipé 17 régiments. Le système a été déployé en Afghanistan et sur les théâtres africains. Le programme est conduit sous la maîtrise d'ouvrage de la DGA.

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