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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:50
Belgique : Accord du gouvernement à des achats pour la Défense

13 septembre 2013 lalibre.be

 

Actualité Montant total: 489,5 millions d'euros. Quatre nouveaux programmes vont être lancé.

 

Le Conseil des ministres a autorisé vendredi le ministre de la Défense, Pieter De Crem, à attribuer deux marchés publics et à lancer quatre procédures de marchés publics dans le cadre de son plan d'investissements pour la Défense et la Sécurité (PIDS) sur trois ans d'un montant total de 489,5 millions d'euros approuvé l'an dernier par le gouvernement.

 

Il s'agit de l'attribution d'un marché public relatif au remplacement des installations radios sol-air (en jargon "Local Air C²") au profit de la composante Air, y compris un contrat d'entretien de durée indéterminée et l'achat "ponctuel" de carabines multifonctionnelles de diverses versions avec leurs accessoires, couplé à un contrat pluriannuel à durée indéterminée à bordereaux de prix relatif à l'acquisition de pièces de rechange, à l'entretien et à diverses prestations de service, a précisé la Défense dans un communiqué.

 

Aucun montant n'a été cité, mais un montant de 21,6 millions d'euros a été prévu au PIDS pour l'acquisition de 4.500 "carabines modulaires" pour remplacer l'arme de base du soldat, le FNC vieillissant de la Fabrique Nationale (FN).

 

M. De Crem (CD&V) a d'autre part été autorisé à lancer quatre autres marchés publics pour:

- la poursuite de la modernisation des chasseurs F-16 - qui, âgés de plus de trente ans devront rester en service jusqu'à leur remplacement, prévu entre 2023 et 2028 - en vertu du programme "Communality & Interoperability Program" (CICP) pour lequel l'état-major de la Défense propose de consacrer 25 millions d'euros;

- le remplacement de l'équipement informatique (PC, laptops et écrans) de la Défense via un leasing opérationnel d'une durée de cinq ans;

- l'acquisition et l'installation de deux "suites" de liaison de données tactiques (dite "Link 16");

- l'achat de trente grands bus "Low Entry de catégorie M3" pour le transport de minimum 75 passagers en une tranche fixe et deux tranches conditionnelles et un contrat omnium d'entretien et de réparation.  

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:50
La NSA soupçonnée de piratage de l’opérateur de téléphonie belge Belgacom

16/09/2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord - Défense globale

 

La Belgique a vivement dénoncé lundi une « intrusion » dans le système informatique de son opérateur de téléphonie Belgacom, soupçonnant l’implication « à haut niveau d’un autre Etat » qui pourrait être les Etats-Unis par le biais de la controversée Agence nationale de sécurité (NSA).

 

On peut lire également sur ce sujet les déboires du service de renseignement militaire belge, victime d'une intrusion sur son réseau fin 2012 et " dépanné " par le cybercommand américain...

 

Deux mois après les premières révélations d’Edward Snowden, l’ex-administrateur réseaux de la NSA aujourd’hui réfugié en Russie, l’opérateur historique Belgacom, majoritairement détenu par l’Etat belge, a annoncé que son système informatique interne avait été victime d’une « intrusion digitale ».

 

Les traces de cette intrusion ont été décelées début juillet par les experts en sécurité du groupe belge, qui a directement porté plainte contre X devant le parquet fédéral à Bruxelles pour « accès non-autorisé » à son réseau interne.

 

Après deux mois de préparation, « des dizaines » de personnes ont travaillé durant tout le week-end pour « nettoyer le système » et renforcer les mesures de sécurité, a expliqué lors d’une conférence de presse le patron de Belgacom, Didier Bellens.

 

« Au stade actuel, il n’y a aucune indication d’impact pour les clients ou leurs données », a ajouté M. Bellens. En clair, rien n’indique que les logiciels malveillants découverts dans « quelques dizaines d’ordinateurs » de membres du personnel et dans des serveurs ont permis d’intercepter des données sensibles, selon le groupe.

 

Les virus ont uniquement infiltré « le système interne à l’entreprise tournant sous Windows », pas les « services télécoms », a précisé un autre responsable de Belgacom.

 

" Une opération internationale d'espionnage étatique "

 

Pourtant, l’affaire est prise très au sérieux par la justice. « L’enquête démontre que le hacking n’a été réalisable que moyennant l’engagement d’importants moyens financiers et logistiques par les intrus. Cette donnée, de même que la complexité technique du hacking (entre autres l’emploi de malware spécifiques et de techniques de cryptage avancées) et son ampleur, orientent les investigations vers une opération internationale d’espionnage étatique », a indiqué le parquet fédéral.

 

« L’objectif de ce hacking semble plutôt être de rassembler des informations stratégiques et non de commettre des actes de sabotage ou de causer des dommages économiques ou autres », poursuit-il.

 

L’enquête devra déterminer « les organisations » à l’origine du piratage, « très important et très intrusif », a abondé le ministre de tutelle de Belgacom, Jean-Pascal Labille.

 

La Belgique entend évoquer les problèmes de cybersécurité avec ses partenaires européens, a expliqué le ministre. « Nous ne sommes pas les seules victimes, les Français aussi il y a peu de temps », a-t-il ajouté.

 

Dans un communiqué, le Premier ministre Elio Di Rupo a assuré que si « l’implication à haut niveau d’un autre pays » était confirmée, il « entreprendra les démarches appropriées », sans citer toutefois les Etats-Unis ou un autre pays.

 

Soupçons sur la NSA

 

La presse belge porte toutefois clairement ses soupçons sur la NSA.

 

Selon le quotidien De Standaard, qui ne cite pas ses sources, l’opération d’espionnage durait depuis 2011 au moins. Le journal de référence en Flandre ajoute que l’agence américaine s’intéressait en particulier à l’une des filiales du groupe belge, Belgacom International Carrier Services (Bics).

 

Détenu par Belgacom, Swisscom et le sud-africain MTN, Bics est un acteur majeur pour le transfert de données vocales, de SMS ou encore de trafic internet entre opérateurs de téléphonie fixe ou mobile du monde entier, en particulier en Afrique et au Proche-Orient.

 

« Ce sont essentiellement des communications avec des numéros de pays comme le Yémen, la Syrie ou d’autres Etats jugés "voyous" par les Etats-Unis qui auraient été enregistrés », assure le Standaard.

 

La semaine dernière, de nouveaux documents obtenus par l’intermédiaire d’Edward Snowden et révélés au Brésil ont indiqué que la NSA aurait espionné les réseaux privés de communications du ministère français des Affaires étrangères, le réseau international de transferts bancaires internationaux Swift (dont le siège est en Belgique), Google et Microsoft, ainsi que la compagnie pétrolière brésilienne Petrobras.

 

La Commission européenne a à nouveau demandé le 12 septembre aux autorités américaines de lui fournir des « réponses claires et satisfaisantes » sur ces nouvelles allégations d’espionnage par la NSA.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 18:00
Belgium investigates suspected cyber spying by foreign state

16 September 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Belgium said on it was investigating suspected foreign state espionage against its main telecoms company, which is the top carrier of voice traffic in Africa and the Middle East, and a newspaper pointed the finger at the United States.

 

Federal prosecutors said in a statement that the former state telecoms monopoly Belgacom had filed a complaint in July about the hacking of several servers and computers.

 

"The inquiry has shown that the hacking was only possible by an intruder with significant financial and logistic means," they said.

 

"This fact, combined with the technical complexity of the hacking and the scale on which it occurred, points towards international state-sponsored cyber espionage." The prosecutors declined to say which foreign state they suspected, Reuters reports.

 

Documents leaked by the former U.S. intelligence contractor Edward Snowden have revealed a vast National Security Agency (NSA) electronic surveillance program that has tracked enormous quantities of both Americans' and foreigners' email and telephone data.

 

This has mostly been done by agreement with telecommunications or internet providers or foreign government intelligence agencies.

 

However, the Brazilian television network Globo this month alleged that the NSA had tapped into the computer systems of companies including Google Inc. and the Brazilian state oil firm Petroleo Brasileiro, as well as France's Foreign Ministry and the Belgian-based international banking cooperative SWIFT, which handles international financial transactions.

 

The Belgian daily De Standaard said the NSA had been monitoring international telephone traffic through Belgacom for two years. It said the hackers had been primarily interested in Belgacom's subsidiary BICS, a wholesale provider of international phone lines and biggest voice carrier in Africa and the Middle East.

 

STATE NOT NAMED

 

The government of Belgium, which has a majority stake in Belgacom, condemned the intrusion and the violation of a public company.

 

Prosecutors said the intruder had used malicious software and advanced encryption techniques with the aim of gathering strategic information, and had not sabotaged Belgacom's data or sought to cause direct economic damage.

 

Belgacom itself said it had carried out work over the weekend to improve security and remove an unknown virus from its internal systems, adding that at the moment there was no indication of any impact on customers or their data. It said it had filed a complaint against an unknown third party.

 

Globo's revelations were based on leaked U.S. documents provided by Guardian journalist Glenn Greenwald, who has worked with Snowden to expose the extent of U.S. spying.

 

James Clapper, the U.S. Director of National Intelligence, responded last week by saying U.S. agencies did collect information about economic and financial matters, which was used to combat terrorist financing and predict problems that could lead to financial crises or disrupt financial markets.

 

"What we do not do," Clapper said in a statement, "is use our foreign intelligence capabilities to steal the trade secrets of foreign companies on behalf of - or give intelligence we collect to - U.S. companies to enhance their international competitiveness or increase their bottom line."

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 11:50
Chasseurs et Spahis font bon ménage

12/09/13 par Concetto Bandinelli - mil.be

 

Un exercice conjoint mené par le Bataillon belge des Chasseurs à Cheval et le 1er Régiment français de Spahis vient de se terminer dans le sud-est de la Belgique. Après plusieurs jours, ces troupes de reconnaissance ont renforcé les liens qui les unissent depuis des décennies.

 

Photos >>

 

« Nous installons notre radar en 20 minutes et sommes opérationnels en 40 minutes », explique le sergent Jasper Moreels, de l'Escadron B. Son bataillon, représenté par un peloton belge de Pandur Recce et deux sections de radar, était aux prises avec un escadron et trois pelotons français.

 

À tour de rôle, du 9 au 12 septembre 2013, Français et Belges se sont épiés, cherchés en scrutant l'horizon et au-delà. Ces hommes, formés à l'observation minutieuse des mouvements suspects sur le terrain, circulent sur des Véhicules Blindés Légers (VBL), Pandur Recce, Véhicules Avant Blindés (VAB), Unimog SCB ou Light Multipurpose Vehicle (LMV), équipés de systèmes de surveillance et de transmission modernes.

 

Ils sont l'œil de lynx de l'échelon supérieur à qui ils doivent signaler tout mouvement de troupes. « Mon collègue se trouve à ma gauche, à 50 km. Et l'autre section, à ma droite, se trouve à la même distance. Le chef de peloton circule parmi nous », ajoute le sergent Moreels, le visage zébré par son camouflage. « Nous sommes en position et surveillons les PPO (points de passage obligés) qu'empruntera l'ennemi. » Après quelques minutes, le sergent Moreels et ses hommes rentrent l'antenne radar et replient les filets de camouflage pour gagner la lisière d'un autre bois. Il faut occuper une position le moins de temps possible.

 

 

Chasseurs et Spahis font bon ménage

L'objectif de ces deux unités est d'affiner les techniques et procédures tactiques qui leur sont propres, pour ensuite les confronter et en retirer les principaux avantages. Le 1er Régiment de Spahis, unité de reconnaissance de combat, met à profit la contribution essentielle des radaristes et autres spécialistes du Bataillon de Chasseurs à Cheval, caserné à Heverlee. Ensemble, Belges et Français deviennent complémentaires. Les premiers fournissent l'information de base aux seconds qui l'exploitent pour en faire un renseignement digne d'intérêt. En contrepartie, les Spahis offrent une protection et une puissance de feu suffisante (canon de 105 mm) grâce à leurs AMX 10-RC de 17 tonnes.

 

Cette unité belge communément appelée ISTAR (intelligence, surveillance, target aquisition and reconnaissance) est jumelée aux Spahis français depuis plus de 30 ans lorsque le 4e Régiment de Chasseurs à Cheval se trouvait encore à Arnsberg, en Allemagne. Le Bataillon ISTAR a repris les traditions de son aîné et entretient ainsi les relations historiques qui le lient à cette unité de la cavalerie française.

 

Photos : Daniel Orban - Vidéo : Mathieu Duhembre

Chasseurs et Spahis font bon ménage
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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 18:50
Un Belge à la tête de l'Eurocorps

28 juin 2013 belgiandefence

À Strasbourg, le lieutenant-général Guy Buchsenschmidt est devenu ce vendredi 28 juin 2013 le chef de l'Eurocorps, structure militaire multinationale fondée en 1992 par la France et l'Allemagne. Il est le troisième Belge à accéder à cette prestigieuse fonction.

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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 07:50
Belgique - Munitions à détruire : 15,3KT

25 juin 2013 Source: lavenir

 

18 800 tonnes de munitions sont non-opérationnelles : 15 300 tonnes doivent être détruites. Les munitions non-opérationnelles de la Défense représentent 70 % du stock des munitions réglementaires.

 

On estime qu’elles ne seront plus que de 40 % en 2014 et de 14 % en 2017.

 

3,6 KT seront détruites par la Défense, via l’INES (installation pour la neutralisation d’explosifs), et 11,7 KT par la support agency de l’OTAN. Le coût de la démilitarisation des munitions est de 1 euro par kg.

 

On détermine que les munitions sont opérationnelles par des tests de stabilité de la poudre, des tests de fonctionnement et des tests prédictifs. Le standard minimal est «safe to handle», quand la munition est stable et permet manipulation et transport. Mais, pour être apte au service, elle doit être «safe and suitable for service».

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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 06:50
source RTBF.be

source RTBF.be

25 juin 2013 lavenir.net

 

Qui deviendra secrétaire général de l’OTAN en 2014? Deux candidats sont pressentis, dont notre actuel ministre de la Défense.

 

Deux des candidats supposés au poste de secrétaire général de l’OtAN à partir d’août 2014, l’ancien chef de la diplomatie italienne et commissaire européen Franco Frattini et le ministre belge de la Défense, Pieter De Crem, devraient, sauf imprévu, participer jeudi à Bruxelles à une conférence internationale sur les questions de sécurité.

 

Tant M. Frattini que M. De Crem figurent sur la liste des orateurs lors de cette conférence annuelle. Mais De Crem, qui est également vice-Premier ministre, est ces jours-ci très occupé par le contrôle budgétaire mené par l’équipe Di Rupo 1er.

 

Les deux hommes sont régulièrement cités dans la presse comme de possibles successeurs de l’ex-Premier ministre danois (2001-2009) Anders Fogh Rasmussen comme secrétaire général. Les discussions sont déjà engagées en coulisses pour sa succession. M. Frattini a exprimé publiquement son intérêt pour le poste et a effectué plusieurs tournées des capitales européennes. Des pays d’Europe de l’est pourraient également présenter un candidat, comme la Pologne avec son chef de la diplomatie, Radek Sikorski.

 

Parmi les autres candidats possibles figurent les ministres norvégien et slovaque des Affaires étrangères, l’ancien président slovène, Danilo Tur, voire le président turc Abdullah Gül. Mais la désignation du futur secrétaire général de l’OTAN sera aussi influencée par celles qui auront lieu au sein des institutions européennes (Commission, Conseil) après les élections de mai prochain.

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 11:50

12 juin 2013 belgiandefence

 

La Marine a procédé aux derniers tests relatifs à ses navires de patrouille la semaine dernière. Ils se sont déroulés sur modèle réduit à l'institut d'enquêtes néerlandais afin d'analyser leur comportement en mer ainsi que leur vitesse maximale à la surface de l'eau. Les résultats ont été très concluants pour la délégation de la Défense en visite sur les lieux le 7 juin 2013.

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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 11:50
Belgique : L’armée solde ses bâtiments et terrains

10/06/13     Emmanuel HUET Source: lavenir

 

La Défense enchaîne les ventes de ses biens immobiliers. Cette année, plus de 13 millions d’euros de vente ont déjà été réalisés.

 

Un bunker à Herve pour 350 €, un hôpital à Bruges à plus de 4 millions d’€, une île sur la Meuse à Jambes à 46 000 €, un aérodrome à Bierset pour 1 million d’€ ou encore des appartements à Pékin pour 372 000 €… La Défense vend ses biens immobiliers et on peut trouver un peu de tout…

 

La Défense doit-elle renflouer ses caisses? Ce n’est pas forcément l’argument principal. Depuis la réforme de notre armée, entamée en 1994, le personnel militaire est passé de 114 000 personnes à 32 000 unités aujourd’hui. Et dans la foulée, des casernes se sont vidées, des terrains d’entraînement se sont libérés… «On n’a plus besoin d’autant de domaines militaires qu’auparavant», explique-t-on au cabinet du ministre de la Défense.

 

En 2013, les ventes se sont accélérées. Alors que la Défense avait vendu pour 17,1 millions d’€ en 2012, au début du mois de mai, 12,8 millions d’€ étaient déjà rentrés dans les caisses de l’État. Accélération du processus ou hasard? C’est la seconde hypothèse qui est privilégiée par le cabinet.

 

Il faut aussi savoir que la plupart de ces grands domaines sont souvent acquis par des communes. Et 2012, année électorale, certains projets ont été placés sous cocon et sont ressortis des cartons quand les nouvelles majorités ont été formées.

 

La réforme a complètement remodelé la manière de travailler et de s’entraîner des militaires. Les chars sont nettement moins utilisés qu’avant. Lors des manœuvres, il fallait éviter d’utiliser les routes que ces engins mettent à mal. De grands terrains dégagés étaient nécessaires, notamment pour les exercices de tir. Désormais, ce type d’exercice se déroule à l’étranger. En Pologne, par exemple, où on trouve encore de larges étendues inoccupées.

 

L’aéroport de Bierset a aussi vu ses hélicoptères Agusta s’envoler vers la base de Beauvechain : «Pourquoi fallait-il les garder à Bierset alors qu’on avait la même chose ailleurs?» Autre évolution : les simulateurs de vol. Ils ont remplacé partiellement les heures de vol et la nécessité de disposer de plusieurs bases.

 

Quant à l’argent engrangé par ces ventes immobilières, il ne sera pas forcément réaffecté à l’entretien des bâtiments existants. Il sera ventilé en fonction des besoins de l’armée. «On peut très bien les utiliser pour de l’investissement», précise le cabinet. Et de rappeler que les dépenses sont souvent faramineuses : on n’achète pas un avion au même prix qu’une ambulance!

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 15:50

7 juin 2013 belgiandefence

 

Les Journées des Troupes de Manœuvre se sont clôturées le mercredi 5 juin 2013 par la parade de fin de formation des futurs chefs de peloton et de section. Ils ont été félicités par les plus hautes autorités de la Composante Terre, réunies pour l'occasion au camp Bastin, à Arlon

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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 18:50

5 juin 2013 belgiandefence

Une guerre civile s'annonce dans la ville fictive de Baltonia. Depuis l'élection du président, le désordre politique grandit, mettant ainsi en péril la sécurité des citoyens. Tel est le scénario de Crazy Trip : un exercice d'évacuation à grande échelle de la Brigade Légère qui s'est déroulé du 27 au 31 mai. Le Westhoek et la Province de Namur ont servi de théâtre d'opérations

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 21:50

31 mai 2013 belgiandefence

 

Par rapport à l'année dernière, plus de 25% de candidats supplémentaires ont posé leur candidature à la Défense en 2013. En avril, l'augmentation a même atteint les 35%.

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 16:30
Syrie: la Belgique contre une levée totale de l'embargo sur les armes

BRUXELLES, 27 mai - RIA Novosti

 

La Belgique est opposée à une levée totale de l'embargo sur les armes pour la Syrie, car elles risquent de "tomber entre de mauvaises mains", source majeure d'inquiétude pour la communauté internationale, a indiqué lundi le chef de la diplomatie belge, Didier Reynders.

 

"Pour qu'il y ait une levée totale de l'embargo, il doit y avoir suffisamment de garanties (que les armes ne tombent pas entre les mains d'extrémistes)", a déclaré le ministre à son arrivée à Bruxelles pour une rencontre des chefs de diplomatie des 27 pays de l'Union européenne.

 

Les ministres devront décider du sort de l'embargo sur les armes pour la Syrie qui expire le 31 mai, tout comme les autres sanctions frappant ce pays.

 

Il n'y a toujours pas de position unique au sein de l'UE sur la levée ou la prorogation de l'embargo sur les armes pour la Syrie. Plusieurs pays proposent de maintenir cet embargo, alors que la France et la Grande-Bretagne insistent sur une levée totale de l'embargo et des livraisons d'armes à l'opposition syrienne. Enfin, d'autres pays suggèrent la prorogation des sanctions durant deux à trois mois afin de ne pas compromettre la tenue de "Genève 2", conférence internationale sur la Syrie proposée par Moscou et Washington.

 

Fin février, l'UE a déjà assoupli ses sanctions contre la Syrie, en autorisant la livraison à l'opposition syrienne de matériel non létal et d'une assistance technique pour assurer la protection des civils.

 

Selon l'Onu, le conflit en Syrie a fait plus de 80.000 morts et plus d'un million de réfugiés depuis mars 2011. Damas affirme que les rebelles bénéficient d'un soutien étranger, et que des milliers de mercenaires étrangers, y compris des commandos terroristes, combattent dans les rangs de l'opposition armée.

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 16:45
Interaction entre la fregate la Touche-Tréville et l'équipage du Fennec de la force Licorne

Interaction entre la fregate la Touche-Tréville et l'équipage du Fennec de la force Licorne

01/05/2013 Sources : EMA - Opérations

 

Les 21 et 22 avril 2013, la frégate anti-sous-marine (FASM) Latouche-Tréville a réalisé des manœuvres aviation (MANAVIA) avec un hélicoptère Fennec de la force Licorne et a conduit, en parallèle, un passing exercice (PASSEX) avec le navire de commandement et de soutien logistique belge Godetia, en mission aux larges des côtes africaines.

 

Le 21 avril, l’hélicoptère de l’armée de l’Air Fennec du dispositif de la force Licorne en République de Côte d’Ivoire (RCI), a mené plusieurs exercices de manœuvre aviation avec la FASM Latouche-Tréville au large de la RCI. L’hélicoptère a effectué des vols d’approche, guidés par le contrôleur tactique du bâtiment (ship control approach – SCA), des vols à vu, des séries d’appontages (Touch and go – TAG) et du transport de charge lourde au moyen d’un élingue (vertical replenishment – VERTREP).

Corymbe : série d'exercices pour le Latouche-Tréville

Ces MANAVIA ont été reconduites le lendemain et ont permis au colonel Vincent Giraud, commandant de la force Licorne (COMANFOR) et chef de corps du 1er régiment de Spahis (1erRS), de venir rencontrer l’équipage de la FASM Latouche-Tréville.

Corymbe : série d'exercices pour le Latouche-Tréville

En parallèle, un PASSEX a été effectué avec le navire de commandement et de soutien logistique belge Godetia.  Les équipes de ravitaillement à la mer (RAM) de la FASM Latouche-Tréville et du Godetia se sont entrainés aux procédures de présentation au ravitaillement (PRERAM) et à des transferts de charges légères (TRALER).

Corymbe : série d'exercices pour le Latouche-Tréville

Le Latouche-Treville est engagé au sein de l’opération Corymbe depuis le 12 avril 2013. Corymbe est une mission de présence quasi permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée, en place depuis 1990. Le dispositif est armé par au moins un bâtiment de la marine Nationale qui peut être ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués. Le dispositif Corymbe complète le dispositif français prépositionné en Afrique occidentale, au Gabon et au Sénégal. Il peut soutenir toute opération, en cours ou nouvelle comme des opérations d’aide aux populations, de sécurisation ou d’évacuation de ressortissants. Corymbe permet également la réalisation de missions de coopération bilatérale avec les pays de la région.

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 16:45
De Crem confirme le déploiement supplémentaire d'un contingent de 50 militaires belges au Mali

22 Avril 2013 sudinfo.be (Belga)

 

Le ministre belge de la Défense, Pieter De Crem, a réitéré lundi la disponibilité de la Belgique de fournir un contingent d’une cinquantaine de militaires pour assurer, à partir de la fin du mois de juin, la protection des instructeurs européens déployés au Mali pour encadrer l’armée locale.

 

 

M. De Crem a rencontré lundi après-midi à Paris son homologue français, Jean-Yves Le Drian, pour évoquer la situation au Mali, la défense européenne et la coopération militaire bilatérale entre les deux pays, avant de gagner Luxembourg - où ces thèmes seront à nouveau largement abordés mardi entre les ministres européens de la Défense lors de leur réunion semestrielle.

 

Lors de cet entretien d’une heure, dans une atmosphère qualifiée de «cordiale», M. De Crem a notamment confirmé la disponibilité du gouvernement belge à fournir un peloton - soit une trentaine d’hommes, renforcés avec des moyens logistiques - pour contribuer, avec d’autres pays, à la protection des formateurs de la mission de formation et de conseil à l’armée malienne (EUTM) que l’Union européenne vient de lancer au sein de l’académie militaire de Koulikoro, une localité située à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Bamako.

 

Cette participation à l’EUTM devrait débuter vers la mi-juin, comme convenu le 13 mars au sein du conseil ministériel restreint, a précisé l’entourage du ministre.

 

Deux hélicoptères belges Agusta A109 médicalisés sont déjà affectés à l’EUTM depuis le 22 mars, après avoir été engagés durant deux mois dans l’opération française Serval dirigée contre les groupes islamistes armés occupant le nord du Mali. Ils opèrent depuis Bamako.

 

M. Le Drian a pour sa part expliqué à son homologue belge les plans français pour la fin de l’opération Serval et son remplacement par une force de l’ONU, la Mission intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), qui comprendra environ 11.200 hommes.

 

L’Assemblée nationale française a autorisé lundi la prolongation de l’opération Serval, qui verra toutefois ses effectifs allégés à 1.000 hommes à la fin de l’année - contre 4.000 encore aujourd’hui.

 

MM. Le Drian et De Crem ont également évoqué le sommet européen de décembre prochain, qui sera consacré à la relance de «l’Europe de la défense». Ils ont convenu que cette discussion entre les chefs d’État et de gouvernement des 27 (28 avec l’adhésion prévue de la Croatie en juillet) devrait se renouveler chaque année «avec une obligation de résultats», selon la même source.

 

Les ministres belge et français de la Défense ont enfin évoqué la coopération militaire bilatérale, en convenant de «continuer» les projets en cours.

 

Tous les pilotes militaires belges sont ainsi formés en France depuis près d’une dizaine d’années - même des changements sont prévus, comme le regroupement de la formation des pilotes de chasse à Cazaux (sud-ouest) après l’abandon de Tour (centre). Les deux pays coopèrent aussi étroitement pour l’introduction des nouveaux hélicoptères moyens de type NH90, la version belge de cet appareil dans sa variante de transport tactique (TTH) étant très proche des Caïman acquis par l’armée française.

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 19:53
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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 11:18
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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 12:26
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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 13:53

A330 Belgium AF

 

18/01/13 par Maxime de Valensart - 7sur7.be (belga.be)

 

La Belgique souhaite que l'opération militaire de la France au Mali redevienne "le plus vite possible" "une opération internationale", a déclaré vendredi son chef de la diplomatie, Didier Reynders, mais en s'abstenant de proposer des combattants belges.

 

"Le souhait c'est que le plus vite possible l'opération redevienne une opération internationale", a déclaré M. Reynders sur la radio Europe 1, en se défendant d'une inaction de la Belgique.

 

"Nous avons immédiatement apporté notre soutien à la France, il y a 75 militaires belges qui sont déjà partis, nous avons donné un support logistique avec des avions de transport", un hélicoptère et une aide médicale, "et donc nous avons des soldats sur place qui seront y compris au Mali mais qui ne seront pas des forces combattantes", a-t-il dit.

 

"Je reconnais, c'est évident, que l'opération qui est en cours au Mali démontre à nouveau les retards pris dans la construction d'une Europe de la Défense. On a vraiment un problème de mobilisation de moyens en Europe quand des évènements importants se produisent", a poursuivi le ministre belge.

 

"En défense, l'Europe doit accélérer"

 

L'Europe "progresse très lentement en politique étrangère et en défense, on doit accélérer", a conclu Didier Reynders en considérant qu'au Sahel, il s'agit d'un "combat international où l'Europe doit s'engager très fortement".

 

Depuis son entrée en guerre au Mali il y a une semaine contre des groupes islamistes, la France est le seul pays occidental à recourir à des avions-bombardiers et à des troupes dotées de blindés. Plusieurs pays lui apportent une aide logistique qui reste très limitée. Jeudi, le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a souhaité à Bruxelles qu'un "maximum de soutien" soit apporté à la France dans son engagement militaire.

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 11:40
La Belgique financera les forces de sécurité afghanes

 

18/04/12 - Julien Collignon 7sur7 (belga.be © reuters)

 

Le gouvernement a marqué son accord de principe pour la Belgique contribue à l'effort financier en faveur des forces de sécurité afghanes après 2014, date prévue du retrait des troupes de combat occidentales d'Afghanistan, a annoncé mercredi le Premier ministre Elio Di Rupo, à l'issue d'un entretien avec la chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, en précisant que les modalités restaient à décider.

 

Les Etats-Unis ont adressé à la Belgique une demande pour qu'elle contribue - à hauteur de 15 millions de dollars par an (11,4 millions d'euros) pendant dix ans - au financement des forces de sécurité afghanes (ANSF, armée et police) à partir de 2014, après le retrait de la force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf), dirigée par l'Otan.

 

"Il y a un accord de principe au sein du gouvernement pour que la Belgique contribue à l'effort" financier en faveur des forces de sécurité afghanes après 2014, a affirmé le Premier ministre à la presse télévisée à l'issue de cet entretien avec Mme Clinton au Lambermont, sa résidence de fonction à Bruxelles.

 

Le gouvernement doit toutefois encore discuter au cours des prochaines semaines et mois des modalités et du montant de ce soutien financier, a précisé M. Di Rupo.

 

A l'approche du sommet de l'Otan qui se tiendra les 20 et 21 mai à Chicago (Etats-Unis) pour baliser le retrait des troupes de combat étrangères d'Afghanistan d'ici fin 2014 et la poursuite de l'assistance occidentale à Kaboul, l'administration américaine a approché ses alliés et ses partenaires pour solliciter leur contribution au financement des forces de sécurité afghanes comptant 228.000 hommes - doit 120.000 de moins qu'actuellement -, afin d'assurer la sécurité dans le pays.

 

Le montant annuel nécessaire à partir de 2015 est estimé à 4,1 milliards de dollars par an. Les Etats-Unis prévoient d'en prendre en charge environ 2,3 milliards, laissant le soin à leurs partenaires et au gouvernement afghan de se répartir le solde (dont 500 millions de dollars pour l'Afghanistan, un pays dont la situation économique reste fragile).

 

Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, ouvrant une réunion ministérielle de deux jours à Bruxelles à laquelle Mme Clinton doit participer, a pour sa part appelé les pays participant à la mission de l'Alliance en Afghanistan à fournir une "part équitable" au financement des ANSF à partir de 2014.

 

"Je m'attendrais à ce que les alliés de l'Otan et les partenaires (au sein de l'Isaf) s'engagent à payer une part équitable de la facture", a-t-il dit, tout en précisant que la réunion de Bruxelles n'était pas "une conférence des donateurs".

 

L'Espagne a quant à elle été sollicitée par Washington pour un montant de 30 millions d'euros, selon une source diplomatique.

 

La Belgique, comme d'autres alliés européens et même le Canada, se pose toutefois des questions sur le bien-fondé d'une telle demande, souhaitant des clarifications de Washington sur les montants évoqués et leur destination finale.

 

Au moment où le gouvernement fédéral est à la recherche d'économies, se pose également la question de l'imputation d'un tel montant.

 

La Défense, présente en Afghanistan depuis 2003, où elle a dépensé des dizaines de millions d'euros, estime avoir rempli son contrat. La Coopération au développement, qui consacre chaque année douze millions d'euros à la reconstruction de l'Afghanistan, se voit pour sa part mal financer l'armée et la police d'un pays indépendant, même s'il émerge de trois décennies de guerre qui l'ont ravagé.

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 08:55
La Belgique et les Pays-Bas s'engagent à renforcer leur coopération militaire

 

29 février 2012 RTBF.be

 

La Belgique et les Pays-Bas se sont engagés mercredi à renforcer leur coopération militaire dans l'année, en étudiant des projets concrets, comme la formation en commun de pilotes d'hélicoptères et de parachutistes ou l'achat d'équipements individuels pour les fantassins, avant, peut-être l'acquisition à terme ensemble de nouveaux avions de combat, ont indiqué les ministres de la Défense des deux pays.

 

"Nous allons faire plus dans les prochaines années", a affirmé le ministre néerlandais, Hans Hillen, lors d'une visite de son homologue belge, Pieter De Crem à la grande base navale de Den Helder (nord-ouest des Pays-Bas), qui abrite depuis 1996 un état-major opérationnel binational commun aux deux marines, "l'amiral Benelux" (ABNL).

 

Pieter De Crem était accompagné par des membres de la commission de la défense de la Chambre, dont plusieurs l'avaient récemment interrogé sur les formes de coopération militaire multinationales dans lesquelles l'armée belge est engagée et qui sont appelées à se multiplier sous l'appellation de "Pooling and Sharing" - en français "partage et mutualisation" - au sein de l'Union européenne et de "Smart Defence" pour l'Otan.

 

Cette coopération maritime, aussi appelée Benesam, "se passe bien et est exemplaire", a souligné Hans Hillen devant la presse belge et néerlandaise, en assurant qu'il s'agissait d'un "produit d'exportation" au moment où les pays de l'Otan et de l'UE sont contraints de réduire leurs budgets militaires.

 

Au fil des ans, la coopération opérationnelle s'est étendue aux aspects de formation et logistiques, a expliqué le "patron" de la Marine belge, l'amiral de flottille Michel Hofman, parlant opération "win-win". La frégate belge "Leopold 1" est ainsi en cours de modernisation à mi-vie dans l'arsenal néerlandais de Den Helder qui entretient les navires de ce type, alors que les chasseurs de mines des deux pays (six et cinq) sont entretenus par la marine belge à Zeebruugge.

 

"C'est un succès à élargir", a pour sa part lancé Pieter De Crem. Il a cité des exemples de nouvelles coopération en cours ou envisagées entre les deux armées, comme la formation en commun de pilotes d'hélicoptères - les deux pays ont acheté de appareils de type NH90 dans des configurations embarquées quasi-identiques - et des para-commandos, la mission de police aérienne assurée par les forces aériennes de chaque pays et la participation conjointe à des groupements tactiques européens (EUBG, des unités "en stand by" par semestre. Il a également évoqué une collaboration pour la mission de police aérienne assurée par les chasseurs F-16 des deux pays sous l'appellation de "Quich Reaction Alert" (QRA).

 

A terme, Belgique et Pays-Bas pourraient aussi acheter en commun, avec le Danemark et la Norvège, l'avion de combat qui succédera aux actuels F-16. "Mais aucun des deux pays n'a encore choisi" cet appareil, a souligné Hans Hillen, bien que les Pays-Bas soient fortement engagés dans le programme de chasseur américain F-35, alias "Joint Strike Fighter" (JSF), dont ils ont acheté deux prototypes.

 

Hans Hillen s'est toutefois dit confiant qu'à terme les deux pays feront "le même choix".

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