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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:45
Défense : la carte des pays africains qui dépensent le plus

 

25/04/2014 Par Rémi Carayol - Jeuneafrique.com

 

Dans les pays développés, la course aux armements s'essouffle. C'est loin d'être le cas en Afrique, où les budgets militaires enflent, voire explosent.

 

C'est un constat du Sipri, l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, qui fait référence en la matière : pour la deuxième année consécutive, les dépenses militaires sont en baisse dans le monde (- 0,4% en 2012, - 1,9% en 2013). Le jour où le concert des nations décidera d'en finir avec la course aux armements n'est cependant pas arrivé. Car si les pays développés, atteints par la crise, ont revu pour la plupart leurs budgets de défense à la baisse - dont les États-Unis (- 7,8% en 2013), il n'en va pas de même pour les pays du Sud.

Le dernier rapport du Sipri, publié le 14 avril, note que là où l'on se développe, en Asie, en Amérique latine, au Moyen-Orient ou en Afrique, les dépenses augmentent. Voire explosent, comme en Arabie saoudite, passée en un an du septième au quatrième rang mondial.

 

>> Lire aussi : Armement en Afrique : un business en plein boom

 

L'Afrique n'est pas en reste. Selon le Sipri, c'est le continent où la hausse est la plus forte (+ 8,3 % en un an). En 2013, les États africains ont affecté 44,9 milliards de dollars à leurs armées. C'est très loin des dépenses mondiales (1 747 milliards) et même en deçà du seul budget militaire de l'Inde, mais l'effort est tout de même spectaculaire. En 2013, l'Algérie est ainsi devenue le premier pays africain à avoir franchi le seuil des 10 milliards de dollars (+ 8,8 % en un an) et l'Angola, en deuxième position sur le continent avec 6,1 milliards, a vu son budget de défense croître de 36 %. Le pays lusophone dépasse l'Afrique du Sud (4,1 milliards) : une première.

 

>> Lire aussi : Afrique du Nord : course aux armements et leadership algérien

 

Mais la palme de la plus forte hausse revient au Ghana, et de loin : il a triplé ses dépenses en un an ! Il est vrai qu'Accra partait de très bas (109 millions de dollars en 2012). L'institut suédois relève qu'entre 2004 et 2013, cinq pays africains - l'Algérie, le Ghana, l'Angola, la Namibie et le Swaziland - ont doublé ou triplé leurs budgets militaires et constate que dans la plupart des cas, en Afrique comme ailleurs, l'explosion des moyens alloués aux forces de défense est liée à la découverte de richesses dans les sous-sols.

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16 avril 2014 3 16 /04 /avril /2014 07:55
Comment la recherche militaire irrigue l’industrie française

Le fantassin du futur pour l'armée française se résume à un acronyme : FELIN (Fantassin à Equipements et Liaisons Intégrées). Il intègre un grand nombre de technologies issus de la recherche militaire dont certaines auront des applications civiles.photo Armée de Terre

 

15-04-2014 Par Christelle Dufer, ingénieur en chef des études et techniques d’armement, stagiaire à l’Ecole de Guerre, promotion "Ceux de 14" - Challenges.fr

 

D'ici à 2019, l'Etat a prévu d'allouer 730 millions d'euros aux forces armées pour leurs activités de R&D. Un investissement dont devrait aussi profiter les entreprises civiles.

 

Environ 190 milliards d’euros, soit 1,5% du PIB de la période. Les montants affichés par loi de programmation militaire 2014–2019 ont de quoi impressionner. Ce budget sera-t-il dépensé au profit des militaires ? Pas seulement : le montant alloué au ministère de la Défense comprend en moyenne 730 millions d’euros annuels dédiés à la recherche. Et chaque citoyen bénéficie des résultats de ces recherches, qui permettent des avancées technologiques significatives exploitables également dans les applications civiles.

 

Quel retour sur investissement pour nos impôts?

Prenons le domaine spatial. Qui n’a jamais utilisé un GPS ? Ce système satellitaire, développé pour des besoins militaires, est aussi devenu indispensable pour la navigation, l’automobile et pour certaines opérations bancaires. Plus largement, les satellites sont essentiels à la vie quotidienne : ils servent à communiquer, permettent obtenir des images de la Terre pour des usages scientifiques, des prévisions météo…

La recherche militaire a aussi été un outil précieux pour développer des lanceurs spatiaux performants. L’Europe a pu s’imposer dans ce secteur grâce à la maîtrise des technologies liées à la propulsion anaérobie (n’utilisant pas l’oxygène de l’air), développée pour la dissuasion militaire française. Les mêmes compétences et savoir-faire sont mis en œuvre pour les différentes générations de lanceurs européens, comme Ariane.

Les applications civiles de technologies militaires sont nombreuses : amélioration des gommes de pneus, textiles "intelligents", nanotechnologies, airbags, imagerie médicale (scanners), composants hyperfréquences pour la téléphonie mobile et les radars anti-collision des automobiles, détecteurs infrarouges non refroidis pour la sécurité (caméras de surveillance)... et même internet, développé à l’origine pour des besoins militaires.

De nouvelles pistes sont exploitées. Ainsi, les technologies mises au point pour l’équipement du fantassin, notamment pour la transmission de données, d’images et de vidéo, vont être reprises au profit des sapeurs-pompiers. Il leur sera ainsi possible d’afficher en temps réel et en trois dimensions, leur zone d’intervention en localisant les différentes personnes présentes. L’aéronautique bénéficie aussi à plein des avancées technologiques du domaine militaire, que ce soit dans le domaine des composants moteurs ou dans celui de la navigation.

 

Comment favoriser la synergie militaro-civile?

La défense s’est dotée d’outils pour favoriser les synergies avec le secteur civil. Depuis 2009, plus de 300 projets de recherches duales (pour applications civiles et militaires) ont ainsi été soutenus. Les investissements réalisés vont du financement de thèses à la réalisation de démonstrateurs à échelle réelle ou réduite, dont les performances ou la tenue à des environnements (vibrations, températures…) extrêmes peuvent être testées.

Les travaux à caractère dual sont de nature variée : robotique, matériaux, énergie, biologie, science de l’homme, environnement. Les travaux intègrent notamment la réduction de la consommation des moteurs d’avion et d’hélicoptère, les peintures sans solvant, la dépollution propre à base de plantes et de bactéries, l’assistance du combattant pour porter des charges lourdes et se mouvoir plus aisément (exosquelette) ou l’assistance de paraplégiques…

Les efforts entrepris dans le passé dans la recherche duale commencent à voir apparaître les premières applications civiles. L’exemple le plus emblématique est le drone aérien (avion piloté à distance) qui ouvre un vaste champ de possibilités: informations sur une scène sinistrée à la suite d’une catastrophe naturelle, mission en zone contaminée, voire livraison d’aide humanitaire.

D’autres applications sont à l’étude : surveillance quasi permanente des milliers de kilomètres de rail de la SNCF ou de sites sensibles comme les centrales nucléaires, contrôle de la dégradation des ouvrages architecturaux tels les ponts, réalisation d’études thermiques sur les bâtiments pour déterminer d’où viennent les déperditions de chaleur... Des drones sont déjà proposés aux agriculteurs pour la surveillance et la gestion de leurs terres. Un grand nombre d’applications semble possible, même s’il reste à gérer leur introduction dans la circulation aérienne.

 

Chaque euro dépensé est-il utile?

Au-delà des applications civiles de technologies militaires, la défense est aussi un secteur stratégique en lui-même. Sans compter les leaders bien connus (Airbus Group, Groupe Safran, Thales, Groupe Dassault…), environ 4.000 PME travaillent directement pour la défense et 30.000 ont un lien contractuel avec le secteur. Le nombre d’emplois dans l’industrie de défense s’élève à environ 165.000. Chaque euro dépensé est donc 1 euro utile: l’argent investi dans la recherche militaire voit son impact décuplé dans l’économie française. Loin d’être un seul facteur de coûts, la défense est, aussi, un accélérateur de compétitivité.

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 06:50
Military Spending 2004-2013 - SIPRI.org

Military Spending 2004-2013 - SIPRI.org

 

14.04.2014 Romandie.com (AWP)

 

Stockholm (awp/afp) - Les dépenses militaires ont diminué en 2013, tirées à la baisse par la réduction des budgets des armées occidentales et en particulier américaine, a annoncé lundi le Sipri, un centre de recherche suédois.

 

En 2012, ces dépenses avaient, pour la première fois depuis 1998, baissé, de 0,4%, mais le recul s'est accéléré, atteignant 1,9%, selon les calculs de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm.

 

Toutefois, "l'augmentation des dépenses militaires dans les pays émergents et en développement se poursuit sans relâche", a souligné dans un communiqué le directeur de recherche sur les budgets militaires, Sam Perlo-Freeman.

 

"Même si dans certains cas elle est la conséquence naturelle de la croissance économique ou une réponse à des besoins de sécurité réels, dans d'autres cas elle représente une dilapidation des revenus tirés des ressources naturelles, (est) le fait de régimes autocratiques, ou (de) l'apparition de courses régionales à l'armement", a-t-il ajouté.

 

Le monde a dépensé 1750 mrd USD (plus de 1250 mrd EUR) pour ses armées en 2013, relève le Sipri. L'évolution en pourcentage de ces dépenses tient compte de l'inflation.

 

Les États-Unis, pays qui a le plus gros budget consacré à la défense, l'ont abaissé de 7,8%, avec la fin des opérations en Irak, le début du retrait d'Afghanistan, et les coupes automatiques dans les dépenses adoptées par le Congrès en 2011.

 

Les trois suivants (Chine, Russie et Arabie saoudite) font en revanche partie des 23 pays qui ont plus que doublé leur budget depuis 2004.

 

Pékin a dépensé 7,4% de plus en 2013, et les différends territoriaux avec la Chine ont incité certains de ses voisins à accroÎtre les crédits accordés aux militaires.

 

"Les inquiétudes du Japon quant à la puissance militaire croissante de la Chine, s'ajoutant à la politique nationaliste du gouvernement nippon, ont amené Tokyo à mettre fin à la baisse de longue date et progressive de ses dépenses militaires", a expliqué M. Perlo-Freeman.

 

En Asie également, l'Afghanistan a connu la plus forte hausse, 77%, dans la perspective du retrait de la plupart des soldats étrangers de son territoire fin 2014.

 

En Europe, la France se distingue car elle a, "malgré sa croissance économique faible, largement maintenu ses dépenses militaires pendant la crise économique mondiale, avec des dépenses en 2013 inférieures de seulement 4% à celles de 2008", a noté le Sipri.

 

Au Moyen-Orient, les budgets se sont accrus de 4% en 2013. Cette estimation reste sujette à caution, aucun chiffre n'étant disponible pour les Émirats arabes unis, l'Iran, le Qatar et la Syrie.

 

"Et même là où elles sont disponibles les données ne couvrent peut-être pas toutes les dépenses militaires", d'après M. Perlo-Freeman.

 

L'Arabie Saoudite a dépassé en 2013 aussi bien la France (tombée à la 5e place) que le Royaume-Uni (6e). Le Sipri a expliqué le bond de 14% de ses dépenses par les tensions avec l'Iran et les craintes de révolte.

 

En Afrique, les dépenses ont augmenté de 8,3%, dopées par les revenus pétroliers de pays comme l'Algérie et l'Angola.

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 18:56
Armées : la France maintient ses dépenses militaires malgré la crise

 

14/04/2014 Par Antoine Daccord –RTL.fr (AFP)

 

Les dépenses militaires mondiales en 2013 sont en baisse, Etats-Unis en tête. Pas la France, dont les dépenses restent néanmoins inférieures à 2008.

 

Les dépenses militaires ont diminué en 2013, tirées à la baisse par la réduction des budgets des armées occidentales et en particulier américaine, a annoncé lundi 14 avril le Sipri, un centre de recherche suédois. Principale exception, la France, qui se distingue car elle a, "malgré sa croissance économique faible, largement maintenu ses dépenses militaires pendant la crise économique mondiale, avec des dépenses en 2013 inférieures de seulement 4% à celles de 2008", a noté le Sipri.

En 2012, dans le monde, ces dépenses avaient, pour la première fois depuis 1998, baissé, de 0,4%, mais le recul s'est accéléré, atteignant 1,9%, selon les calculs de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm. Toutefois, "l'augmentation des dépenses militaires dans les pays émergents et en développement se poursuit sans relâche", a souligné dans un communiqué le directeur de recherche sur les budgets militaires, Sam Perlo-Freeman. "Même si dans certains cas elle est la conséquence naturelle de la croissance économique ou une réponse à des besoins de sécurité réels, dans d'autres cas elle représente une dilapidation des revenus tirés des ressources naturelles, (est) le fait de régimes autocratiques, ou (de) l'apparition de courses régionales à l'armement".

Le monde a dépensé 1.750 milliards de dollars (plus de 1.250 milliards d'euros) pour ses armées en 2013, relève le Sipri. L'évolution en pourcentage de ces dépenses tient compte de l'inflation. Les États-Unis, pays qui a le plus gros budget consacré à la défense, l'ont abaissé de 7,8%, avec la fin des opérations en Irak, le début du retrait d'Afghanistan, et les coupes automatiques dans les dépenses adoptées par le Congrès en 2011. Les trois suivants (Chine, Russie et Arabie saoudite) font en revanche partie des 23 pays qui ont plus que doublé leur budget depuis 2004.

 

1.750 milliards de dollars au total en 2013

 

Pékin a dépensé 7,4% de plus en 2013, et les différends territoriaux avec la Chine ont incité certains de ses voisins à accroître les crédits accordés aux militaires. "Les inquiétudes du Japon quant à la puissance militaire croissante de la Chine, s'ajoutant à la politique nationaliste du gouvernement nippon, ont amené Tokyo à mettre fin à la baisse de longue date et progressive de ses dépenses militaires", a expliqué Perlo-Freeman.

En Asie également, l'Afghanistan a connu la plus forte hausse, 77%, dans la perspective du retrait de la plupart des soldats étrangers de son territoire fin 2014. Au Moyen-Orient, les budgets se sont accrus de 4% en 2013. Cette estimation reste sujette à caution, aucun chiffre n'étant disponible pour les Émirats arabes unis, l'Iran, le Qatar et la Syrie.

"Et même là où elles sont disponibles les données ne couvrent peut-être pas toutes les dépenses militaires", d'après Perlo-Freeman. L'Arabie Saoudite a dépassé en 2013 aussi bien la France (tombée à la 5e place) que le Royaume-Uni (6e). Le Sipri a expliqué le bond de 14% de ses dépenses par les tensions avec l'Iran et les craintes de révolte. En Afrique, les dépenses ont augmenté de 8,3%, dopées par les revenus pétroliers de pays comme l'Algérie et l'Angola.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:35
L’USFK dévoile comment seront employées les contributions de Séoul au fonds de défense

 

 

SEOUL, 10 avr. (Yonhap)

 

Le commandement des Forces américaines en Corée du Sud (USFK) a dévoilé en mars comment seront employées les contributions inutilisées de Séoul au fonds de défense, a-t-on appris ce mardi dans un rapport du ministère de la Défense.

 

Ces contributions inutilisées s’élèvent à 621 milliards de wons (598,7 millions de dollars). L’opposition refuse pour cette raison de ratifier l’Accord des mesures spéciales (SMA) qui traite du maintien des 28.500 soldats américains présents dans le pays et notamment du partage de la charge financière que cela représente.

 

Selon la feuille de route soumise par l’USFK, ces fonds seront utilisés pour financer le déménagement des troupes américaines du district Yongsan, au centre de Séoul, à la ville de Pyeongtaek, située à environ 70km au sud de Séoul. Plus précisément, la majorité de cet argent servira à financer l’installation de systèmes d’approvisionnement en eau et de drainage et servira également à construire la nouvelle base militaire.

 

Il s’agit de la première fois que l’USFK dévoile son plan de dépenses depuis la signature du SMA en 1991.

 

Le nouvel SMA est bloqué à l’Assemblée nationale depuis février à cause de l’opposition des députés libéraux. Séoul et Washington ont signé ce nouvel accord en janvier, dans le cadre duquel la Corée du Sud devra payer près de 1.000 milliards de wons par an pendant cinq ans, à compter de 2014, pour le maintien des troupes américaines sur son territoire.

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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 11:20
photo US Navy

photo US Navy

 

Apr.8, 2014 by Jon Hemmerdinger - FG

 

Washington DC - The US Navy insists that its decision to exclude eight Boeing P-8 Poseidon anti-submarine warfare aircraft from its fiscal year 2015 budget request will not affect its plan to transition to a fleet of the type.

 

However, Boeing says a reduction of eight aircraft orders would likely cause P-8 unit prices to climb."There is no impact on the transition plan," says Martin Ahmad, the USN's P-8 deputy programme manager. "The transition has not changed as a result of those aircraft at all."

 

Ahmad made his comments at the Navy League's Sea-Air-Space Exposition near Washington, DC, on 8 April.

 

The USN's budget proposal, which still requires Congressional approval, calls for the service to buy eight Poseidons in FY2015: down from an original plan to order 16. The service now plans acquire 109 P-8s through FY2019.

 

While the USN has removed the eight aircraft from its budget request, the service indicates it still wants to buy them by including eight P-8s in a list of unfunded priorities it sent to Congress in recent weeks.

 

The eight aircraft have "essentially been rephrased", Ahmad says, noting that the USN's requirement for P-8s remains unchanged at 117 aircraft.

 

But if Congress doesn't add those aircraft back into the budget, the cost of P-8s will likely increase, says Rick Heerdt, Boeing's P-8 vice-president and programme manager.

 

"Will there be a cost impact [with] the lower numbers? That's probably likely. We don't really know much right now," says Heerdt.

 

He adds, however, that the cost impact will likely be less substantial than if Boeing's production line was solely dedicated to P-8s, which are partly made on the commercial 737 production line. "The commercial production line mitigates [the impact] somewhat," he says.

 

The USN's budget request estimates P-8s will have unit flyway costs of nearly $271 million, including weapons systems, in FY2015.

 

Meanwhile, Ahmad and Heerdt describe the P-8 programme as having made great strides since the beginning of 2013, with Boeing delivering eight aircraft to the USN and the first international P-8 to India. The US service now has 13 of the type.Boeing reached initial operational capability with the P-8 in 2013, and also last year won a contract to produce 13 aircraft as part of a fourth lot of low-rate initial production.

 

In February 2014, the company also announced it had won its first full-rate initial production contract for the type, with an order for 16 P-8s from the USN. It also secured an order from Australia for eight aircraft, plus four options.

 

The USN says the new aircraft brings much more capability to its fleet of anti-submarine warfare (ASW) aircraft, which has for decades been composed primarily of Lockheed P-3 Orions.

 

Ahmad says the service and Boeing are working on "increment two" improvements that will give P-8s the ability to conduct wide-area ASW acoustic search; a capability currently available on upgraded P-3Cs.

 

Increment two upgrades, which are scheduled to be introduced on aircraft in FY2016, will also allow P-8s to deploy weapons from higher altitudes and give the aircraft an automatic identification system that will identify other ships, including commercial vessels, says the USN.

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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 07:20
The active US Army will receive National Guard Apache attack helicopters under a new plan. (US Army)

The active US Army will receive National Guard Apache attack helicopters under a new plan. (US Army)

 

Apr. 8, 2014 - By PAUL McLEARY – Defense News

 

WASHINGTON — In a surprising move, the head of the US National Guard Bureau has given his blessing to the US Army’s plan to move all of the Guard’s Apache attack helicopters into the active force while receiving several hundred Black Hawk and Lakota multi-use helicopters in return.

 

“As a member of the Joint Chiefs of Staff, we have fought, and we have discussed many, many times, these topics,” the National Guard Bureau chief, Army Gen. Frank Grass, told the Senate Armed Services Committee on Tuesday “And I provided my best military advice. I’ve assessed the risk. I’ve given the cost.

 

“But the decision’s been made, Mr. Chairman,” he said. “And my job now is to begin to look at the effects across the states, and figure out how we’re going to execute this plan.”

 

The general’s acquiescence came as a surprise in what many anticipated to be a contentious hearing, especially after Grass told the House Defense Appropriations subcommittee on April 3, “I do not agree with the proposal to take all Apaches out of the guard.”

 

Grass testified before the committee with Army Chief of Staff Gen. Ray Odierno, who has been campaigning for the aviation restructuring for months, but has encountered stiff resistance from the Guard leadership and sharp questions from Congress.

 

The chief emphasized that the aviation plan is a necessity given the tightening fiscal picture for the Army, and the expense of upgrading its helicopter fleets.

 

“No one is fully satisfied with the final outcome, including myself,” he offered. “However, the reality is the funding in the future will not allow us to have everything we may want. These cuts will still occur, even if we delay our decisions or fail to address the issue as the total Army. The results will be hollowing out of our Army.”

 

The plan calls for the Army to retire its fleet of Kiowa Warrior scout helicopters and replace them with the Guard’s Apaches, which will team with Army drones to perform the scout mission. Overall, the Army will lose 687 aircraft, including 600 Kiowas.

 

The active component will also eliminate three of its 13 Combat Aviation Brigades while the Guard will retain all of its 10 aviation brigades.

 

The Army expects to save about $12 billion over the next several years by taking this approach, beginning with $2 billion in fiscal 2015 alone.

 

The strategy “salvages our plans to modernize our aviation fleet,” said Col. Frank Tate, the Army’s chief of aviation force development, at an event across town at the same time the chiefs were testifying on Capitol Hill.

 

“We were lowering our rates of procurement on our biggest systems” due to the cost of maintaining seven different helicopter platforms, Tate told an audience at the Center for Strategic and International Studies.

 

The Army’s proposal to get rid of two models of the Kiowa and the TH-67 trainer helicopter would eliminate three aircraft models of the Army’s seven, as it continues to modernize the Chinook, Apache and Black Hawk until replacement helicopters begin to enter the fleet some time in the 2030s.

 

While the Army might be losing helicopters, it is increasingly eyeing shipboard operations for the 690 Apaches that it is keeping.

 

Operating from ships at sea “seems to be a growth capability, and we do sense that there is increasing demand out there” in South Korea and the Central Command area of operations, said the Army’s director of aviation, Col. John Lindsay.

 

“We’ve gotta make sure that we have the appropriate demand signal coming in from the combatant commanders,” however, in order to determine “how much maritime capability does the Army need to invest in,” he added.

 

Lindsay acknowledged that over the long term, “we still have some work to do” to determine how much the Army wants — or needs — to invest in operating Apache helicopters from naval vessels.

 

In a nod to Marine Corps sensitivities over the issue, Tate was quick to point out that flying Army helicopters from the decks of ships isn’t necessarily anything new. He was involved in operations in Haiti in the early 1990s where the Army flew Apaches off the back of short-deck Navy frigates.

 

“The Army is not new to this idea of maritime operations and ship operations,” he insisted

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 16:50
 photo Richard Harvey

photo Richard Harvey

Lord Dannatt said events in Syria and Ukraine showed how the strategic landscape had changed since the Government's 2010 defence review

 

08 Apr 2014 By Ben Farmer, Defence Correspondent

 

A former head of the Army has said Britain must have another 5,000 regulars to show it takes its defence responsibilities seriously.

 

The Government should roll back Armed Forces cuts and recruit another 5,000 regular soldiers, sailors and airmen, a former head of the Army has said.

 

Lord Dannatt said new threats from Vladimir Putin and the civil war in Syria had left the Coalition’s cost-cutting defence reforms outdated.

 

He said there were also “genuine concerns” over whether the Army could meet its plan to train and recruit 30,000 reservists to make up for the loss of 20,000 regulars by 2020.

 

He told the House of Lords: “I believe there’s an increasingly strong case to uplift the manning of our regular Armed Forces by some 5,000 posts."

 

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 16:20
Les trois versions différentes du F-35 - photo  Lockheed Martin

Les trois versions différentes du F-35 - photo Lockheed Martin

 

07/04/2014 par François Julian – Air & Cosmos

 

C'est inédit dans l'histoire du F-35 de Lockheed Martin : le coût total du programme Joint Strike Fighter (JSF) aurait baissé l'an dernier, si l'on en croit les estimations du GAO, la cour des comptes américaine. Selon un rapport publié récemment, le coût de revient du F-35, pour le contribuable américain, serait passé de 343,8 Md$ pour l'année fiscale 2013, à 332,3 Md$ pour l'année fiscale en cours. Ces montants incluent la mise au point des trois versions du F-35 et l'acquisition de 2443 machines de série, pour les besoins de l'US Air Force, l'US Navy et les Marines.

 

Le GAO ne détaille pas avec précision ce calcul, ni la raison de cette baisse de coût. Pour autant, il semble que cela soit le résultat de la restructuration du programme entamée en 2012, visant à rationaliser l'ensemble des coûts, à la fois de développement et de production.

 

Dans rapport séparé, le GAO donne également une estimation du cout unitaire de chacune des versions de l'avion. Le prix du F-35A (version conventionnelle) est évalué à 124,8 M€, celui du F-35B (version à décollage court et atterrissage vertical) est de 156,8 M$, et celui du F-35C (version embarquée) est de 142,6 M$. A l'horizon 2019, il est prévu de faire baisser le prix du F-35A aux alentours de 80 M$, celui du F-35B à un peu moins de 110 M$ et celui du F-35C à environ 90 M$.

 

Le GAO maintient tout de même l'alerte sur le programme F-35  : si ce dernier ne connait plus de dérapage budgétaire et calendaire, l'inquiétude demeure sur l'avancement de la mise au point du logiciel faisant fonctionner l’avionique de bord. De même, il n'est pas impossible que le programme JSF ait à subir des coupes budgétaires, le Pentagone ayant sur le bras d'autres programmes d'aéronefs très couteux, comme par exemple le ravitailleurs KC-46A ou bien encore le très mystérieux nouveau bombardier LRS-B.

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 11:50
LMV - photo Composante Terre

LMV - photo Composante Terre

 

8/04/14 – 7 sur 7.be (Belga)

 

Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, est contrarié car il ne peut pas acheter de nouvelles jeeps blindées en raison des mesures d'économies imposées à l'armée. La décision pour cet achat important a été reportée à la prochaine législature, rapportent mardi Het Belang van Limburg et la Gazet van Antwerpen.

 

Sur la période 2012-2014, la Défense doit économiser un total de 382 millions d'euros.

 

Le ministre souhaitait acheter 97 jeeps blindées pour un montant de 30 millions d'euros avant la fin de cette législature, mais les restrictions budgétaires ne le permettront pas. Ces véhicules sont toutefois nécessaires afin de remplacer les jeeps Iltis qui datent de 1982 et ne sont pas blindées.

 

L'armée va par ailleurs devoir diminuer de 8% ses dépenses destinées aux programmes d'entraînement de ses différentes composantes.

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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 20:50
Anders Fogh Rasmussen photo Nato

Anders Fogh Rasmussen photo Nato

 

06 Apr 2014 By David Blair, Chief Foreign Correspondent - telegraph.co.uk

 

Anders Fogh Rasmussen, Nato's Secretary General, says allies need to modernise armed forces

 

Britain and its Nato allies must respond to Russia’s “illegal aggression” against Ukraine by spending more on defence, the alliance’s secretary general has said.

 

Writing in The Telegraph, Anders Fogh Rasmussen appeals for Nato members to modernise their armed forces as Russia tries to “carve up” Europe.

 

“Every ally needs to invest the necessary resources in the right capabilities,” writes Mr Rasmussen. “That means modern equipment, intensive training for our forces, and closer cooperation among Nato allies and with our partners. I know how challenging this is in today’s economic climate, but the security climate makes it vital.”

 

Mr Rasmussen adds: “In the long run, a lack of security would be more costly than investing now and we owe it to our forces, and to broader society.”

 

The burden of defending Nato’s 28 members falls increasingly on just one: the United States. Last year, America accounted for 72 per cent of Nato defence spending, up from 59 per cent in 1995.

 

This reflects cuts in military budgets across Europe. Of the 25 European members of Nato, only Britain, Greece and Estonia met an unofficial target of spending at least 2 per cent of national income on defence last year. The average figure was only 1.3 per cent. America, by contrast, devoted 4.4 per cent of its national income to defence.

 

 

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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 14:30
Les partisans du Gripen concoctent un plan B en cas de refus

 

 

06.04.2014 Romandie.com (ats)

 

Des partisans du Gripen ont déjà un plan B sous la main, au cas où le peuple refuserait l'achat des avions de combat. Le président de la commission de politique de sécurité du Conseil national, Thomas Hurter (UDC/SH), souhaiterait alors acheter les avions dans le cadre du budget ordinaire des forces armées.

 

Le conseiller national Thomas Hurter a confirmé une information parue dans plusieurs journaux dominicaux alémaniques. "En cas de rejet par le peuple de la loi sur le fonds d'acquisition du Gripen, on pourrait payer les avions par tranches via le programme d'armement de l'armée", a-t-il déclaré.

 

Après décision du Parlement, le Département de la défense pourrait ainsi financer tous les quinze ans une escadrille de 12 jets. De cette façon, les vieux F5-Tiger puis les F/A-18 pourraient être remplacés par 50 ou même 70 nouveaux avions de combat, sans passer par une votation populaire. Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 86 avions.

 

Un achat par tranches aurait plusieurs avantages, selon M. Hurter. L'acquisition, aujourd'hui prévue dans un délai d'environ 15 ans, pourrait être raccourcie à 5 ou 7 ans. Ce qui permettrait de s'adapter plus rapidement aux innovations technologiques.

 

Volonté du peuple?

 

Un paiement par tranches via le budget de l'armée permettrait cependant avant tout d'éviter un financement particulier, tels les 3,126 milliards du fonds Gripen, et ainsi d'esquiver une votation populaire.

 

Le Parlement avait soumis la loi sur le fonds d'acquisition du Gripen au référendum facultatif, afin que le souverain puisse s'exprimer. Le référendum lancé par la gauche et les Verts a abouti, et les citoyens voteront sur l'achat des 22 avions suédois le 18 mai prochain.

 

L'UDC, parti de Thomas Hurter, insiste toujours sur le respect strict de la volonté du peuple. Selon M. Hurter, sa proposition respecte toutefois la volonté du peuple, car ce dernier s'est maintes fois prononcé en votation pour une armée et des forces aériennes fortes.

 

"Ce n'est en outre pas au peuple de se prononcer sur l'équipement de l'armée", a déclaré M. Hurter.

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5 avril 2014 6 05 /04 /avril /2014 21:40
La Défense russe doit réduire sa dépendance à l'égard des technologies étrangères (Rogozine)

 

05-04-2014 French.china.org.cn

 

La Russie doit revoir le travail de son complexe militaro-industriel pour réduire la dépendance vis-à-vis des technologies étrangères, a indiqué vendredi le vice-Premier ministre Dmitri Rogozine.

 

"A l'heure actuelle nous cherchons des mesures pratiques mais je crois que ce serait mieux de d'abord compter sur nos propres technologies et produits qui sont vraiment nécessaires et bénéfiques pour notre industrie de la Défense", a expliqué M. Rogozine, en charge de l'industrie de la Défense, au cours d'une réunion dans la ville de Novossibirsk, en Sibérie.

 

Prenant en compte la situation internationale et les sanctions occidentales, l'industrie de la Défense russe devrait se mettre sur "la voie de la mobilisation", a-t-il indiqué, ajoutant que la Russie devait remplacer l'achat direct d'équipement en relocalisant sa production et créant ses propres logiciels pour les machines industrielles.

 

Il a reconnu que l'industrie spatiale russe dépendait fortement des pièces détachées et équipements importés, précisant que cette dépendance atteignait 90% "malgré une multiplication par 100 du financement de l'industrie spatiale nationale ces dix dernières années".

 

Si l'approvisionnement étranger pour ces équipements s'interrompt, les programmes spatiaux russes, y compris ceux à but militaire, seront menacés, a estimé M. Rogozine.

 

Il a en particulier mentionné les menaces récentes de l'Ukraine d'annuler la coopération avec la Russie dans les secteurs militaro-industriels et spatiaux.

 

Si Kiev annule ses contrats avec la sphère militaro-industrielle russe, cela ruinera l'industrie ukrainienne, dans la mesure où "leurs approvisionnements (à la Russie) de produits liés aux moteurs, à l'aviation ou à l'industrie spatiale créent des dizaines de milliers d'emplois", a-t-il noté.

 

C'est leur seule source de revenu à l'heure actuelle, a-t-il affirmé.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 11:30
Budget 2015 : Tsahal exige une énorme rallonge budgétaire. Le Trésor israélien est perplexe.

 

04.04.2014 Jacques Bendelac – Israel Valley

 

8 milliards de shekels: c’est la rallonge que demande le ministère israélien la Défense pour 2015. C’est aussi toute l’augmentation du budget 2015.

 

C’est dans un mois, c’est-à-dire juste après la trêve de Pessah, que le gouvernement israélien va entreprendre les préparatifs du budget 2015. L’ampleur du budget de la Défense est déterminante pour l’allocation des différents postes de dépense civile : en 2014, Tsahal aura dépensé plus de 50 milliards de shekels (10 milliards d’euros) sur un budget total d’environ 400 milliards de shekels, soit 12% de la dépense publique.

 

Cette année, les militaires israéliens ont pris les devants : ils exigent une énorme rallonge budgétaire pour 2015, soit 8 milliards de shekels. Or, l’augmentation totale du budget de 2015 est évaluée à 8 milliards de shekels ; il ne restera donc rien pour améliorer les dépenses civiles de l’Etat, comme éducation, santé et infrastructures.

 

LA GUERRE DES CHIFFRES

 

Pour 2014, le budget prévisionnel de la Défense se montait à 51 milliards de shekels. Or en octobre 2013, une première rallonge de 3 milliards était accordée à Tsahal soit 54 milliards de shekels. Entretemps, en mai dernier, le gouvernement décidait qu’en 2015, la défense recevrait une nouvelle rallonge de 1 milliard de shekels.

 

Pour le Trésor israélien, la rallonge de 3 milliards accordée pour 2014 n’était que provisoire : elle ne doit donc pas être reportée automatiquement sur 2015. Autrement dit, le budget de base qui déterminera la dépense militaire de 2015 est de 52 milliards. Pour le ministère de la Défense au contraire, le budget de base doit être 55 milliards de shekels et non 52 milliards.

 

L’ÉCART SE CREUSE

 

Pour 2015, la Défense demande une rallonge de 5 milliards de shekels, en sus des 3 milliards déjà accordés dans le courant de 2014, soit un total de 60 milliards de shekels. C’est 17% de plus que le budget militaire qui figure dans la loi de finances prévisionnelle de 2014.

 

Au Trésor, on se dit prêt à accorder 1 milliard de shekels supplémentaires pour 2015, qui s’ajouteront aux 51 milliards votés dans le budget prévisionnel de 2014, soit un total de 52 milliards. L’écart entre la position du Trésor (52 milliards) et l’exigence de la Défense (60 milliards) est donc de 8 milliards de shekels.

 

BUDGET PEAU DE CHAGRIN

 

Seulement voilà : 8 milliards de shekels, c’est le montant de l’ensemble de l’augmentation des dépenses budgétaires pour 2015. Si la Défense s’arroge la totalité de la rallonge de 2015, il ne restera rien pour les autres postes de dépenses civiles.

 

En 2015 aussi, le budget civil pourrait donc se réduire comme une peau de chagrin au profit du budget militaire qui poursuivra sa progression. Le ministre des Finances Yaïr Lapid aura fort à faire pour convaincre son collègue de la Défense Moshé Yaalon de serrer la ceinture des militaires.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:20
Missile Defense Programs Still High-Risk: GAO

 

April 3, 2014 defense-aerospace.com

(Source: US Government Accountability Office; issued April 2, 2014)

 

Missile Defense: Mixed Progress in Achieving Acquisition Goals and Improving Accountability



Testimony by Cristina T. Chaplain, director, acquisition and sourcing management, before the Subcommittee on Strategic Forces, Senate Committee on Armed Services.


The Department of Defense's (DOD) Missile Defense Agency (MDA) made progress in its goals to improve acquisition management, and accountability and transparency. The agency gained important knowledge for its Ballistic Missile Defense System (BMDS) by successfully conducting several important tests, including the first missile defense system-level operational flight test. Additionally, key programs successfully conducted developmental flight tests that demonstrated key capabilities and modifications made to resolve prior issues. MDA also made some improvements to transparency and accountability. For example, MDA improved the management of its acquisition-related efforts to deploy a missile defense system in Europe and MDA continued to improve the clarity of its resource and schedule baselines, which are reported to Congress for oversight.

Although some progress has been made, MDA acquisitions are still high risk, due to inherent technical and integration challenges, tight timeframes, strategies that overlap development and production activities, and incomplete management tools. More specifically:

MDA faces challenges stemming from higher-risk acquisition strategies that overlap production activities with development activities. While some concurrency is understandable, committing to production and fielding before development is complete often results in performance shortfalls, unexpected cost increases, schedule delays, and test problems. GAO found that the Aegis Ballistic Missile Defense SM-3 Block IB and Ground-based Midcourse Defense programs, which have already produced some of their assets before completing testing, discovered issues during testing that have affected or continue to affect production.

Testing continues to fall short of goals. For example, the first ever system-level operational flight test failed to demonstrate true integration. MDA also combined, delayed, and deleted some tests, and eliminated test objectives in other tests. These challenges reduced the knowledge they had planned to obtain in order to understand the capabilities and limitations of the BMDS.

MDA has not yet fully developed or implemented a complete management strategy for synchronizing its efforts to deploy missile defense in Europe. As a result, it remains unclear how different European Phased Adaptive Approach (EPAA) efforts are aligned together and what constitutes success in delivering capabilities in Europe.

Issues with the content and presentation of resource and schedule baselines continue to limit their usefulness as management tools. For the fourth year, GAO has found that MDA's cost estimates are unreliable for some BMDS elements and do not include certain costs for military services which may significantly understate total costs. Recently, Congress took steps to require that improvements be made to MDA's cost estimates, so GAO did not make any new cost recommendations. MDA's schedule baselines continue to be presented in a way that makes it difficult to assess progress. For instance, MDA's schedule baselines identify numerous events, but provide little information on the events and why they are important.

Why GAO Did This Study

In order to meet its mission, MDA is developing a diverse group of BMDS components including (1) land-, sea-, and space-based sensors; (2) interceptors; and (3) a battle management system. These systems can be integrated in different ways to provide protection in various regions of the world. Since its inception in 2002, MDA has been given flexibility in executing the development and fielding of the ballistic missile defense system. This statement addresses recent MDA progress and the challenges it faces with its acquisition management. It is based on GAO's March and April 2014 reports and prior reports on missile defense.

What GAO Recommends

In April 2014, GAO recommended that MDA verify any changes needed for the SM-3 Block IB missile through flight testing before approving full production; retest the fielded GMD interceptor to demonstrate performance and the effectiveness of changes; and take actions to improve the clarity of its schedule baselines.

DOD partially concurred with the recommendation on the SM-3, stating that MDA will verify the efficacy of any modifications by testing and that the production decision will be vetted through the DOD process. DOD did not agree with the recommendation on GMD, stating that the decision to flight test the interceptor will be made by the Director, MDA, based on the judgment of other stakeholders.

GAO previously made recommendations on EPAA and testing. DOD generally concurred with them. GAO continues to believe all recommendations are valid.


Click here for the full testimony (19 PDF pages) on the GAO website.

Click here for the related report (49 PDF pages) on the GAO website.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:20
Air Force leaders insist new tanker is key to airpower

 

April 4th, 2014 By Air Force News Agency - defencetalk.com

 

The top three acquisition priorities for the Air Force are the KC-46A aerial tanker, the F-35A Joint Strike Fighter and the Long Range Strike Bomber, officials told members of Congress during a hearing of House Armed Services Committee’s subcommittee on seapower and projections forces, April 2.

“On any given day, the Air Force’s mobility aircraft deliver critical personnel and cargo, and provide airdrop of time-sensitive supplies, food and ammunition on a global scale,” said Dr. William LaPlante, the assistant secretary of the Air Force for acquisition.

LaPlante was joined by Assistant Deputy Chief of Staff for Operations, Plans and Requirements Maj. Gen. James Jones and Air Force Program Executive Officer for Tankers Maj. Gen. John Thompson.

“The KC-46 remains essential to overall strategy,” Jones said. “Our air refueling fleet is critical to operations for all services, and our coalition partners.”

LaPlante explained the new tanker is essential to replacing an aging tanker fleet, and ushering air mobility and sustainment into the future.

“The backbone of rapid U.S. global operations is our tanker fleet,” LaPlante said. “Based on the budget submitted, we expect to see about 54 KC-46 deliveries across the Future Years Defense Plan, as part of the tanker fleet recapitalization.”

The first delivery of Low Rate Initial Production aircraft will be in Fiscal Year 2016, with an estimated program completion date of 2028.

“Tankers are the lifeblood of our joint force’s ability to respond to crisis and contingencies, and are essential to keeping our Air Force viable as a global force,” LaPlante added.

The Air Force is also investing in the sustainment of the current bomber and cargo fleets, and will make upgrades to various systems to keep these airframes practical in the future of the force, he explained.

Overall, Air Force officials said they are optimistic about the future of the air mobility and bomber fleets, and are confident in the continued capabilities to support the warfighter.

“In the midst of the challenges ahead, we will aim to keep these programs on track and deliver these systems both as vital capabilities to our forces, but also as the best value to our taxpayer,” LaPlante said. “These systems will provide the future capabilities necessary to operate effectively in the national security environment of tomorrow.”

 
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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:20
USAF Submits $8B Unfunded List to Congress

The Air Force's 2015 unfunded priorities list includes five HC-130Js. (Air Force)

 

Apr. 3, 2014 - By MARCUS WEISGERBER – Defense News


 

WASHINGTON — The US Air Force has sent Congress an $8 billion unfunded priorities list, with more than $3.3 billion eyed for new procurement programs, according to a copy of the list obtained by Defense News.

The undated list includes $200 million for the Combat Rescue Helicopter program, a last-minute add to the five-year spending projection contained in the Pentagon’s fiscal 2015 budget proposal, which was sent to Capitol Hill in early March.

The list also includes more than $400 million for five Lockheed Martin F-35 joint strike fighters — two for the Air Force and three for international sales.

The list includes funding for five Lockheed MC-130Js, five HC-130Js and 12 General Atomics MQ-9 Reaper unmanned aircraft. Two F-35s, the C-130Js and Reapers also appeared in the White House’s Opportunity, Growth and Security Initiative.

About $1.6 billion of the funding would go toward more than five dozen weapons programs, for upgrade and enhancement work.

Another $3 billion would go toward facility maintenance.

In addition, the Air National Guard sent Congress a separate $2.6 billion 2015 unfunded priority list.

The wish list includes $720 million that would be used to purchase 10 new C-130Js. The aircraft would replace a squadron of C-130H aircraft.

The list includes $1.4 billion for modernization of Guard airlift, fighter and rescue aircraft. The eyed upgrades include electronic warfare suites, sensors, situational awareness displays and navigation equipment.

Another $40 million is eyed for five Air Guard cyber protection teams

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:20
DoD Sends Congress $36B Wish List, But Passage Unlikely

The US Air Force requested 12 General Atomics Reapers in the unfunded list.

 

Apr. 3, 2014 - By MARCUS WEISGERBER  - Defense News


 

WASHINGTON — The US military services have sent Congress wish lists that include $36 billion in priority items that were not included in the Pentagon’s 2015 budget proposal.

But actual passage of the lists seems unlikely.

The lists are very similar to the White House’s Opportunity, Growth and Security Initiative (OGSI), which includes $26 billion in defense items not included in the Defense Department’s $496 billion spending request.

Some of the overlap items include:

■ Two Air Force Lockheed Martin F-35 joint strike fighters ($372 million).

■ 10 Air Force Lockheed C-130Js, five MC-130J and five HC-130J variants ($1 billion).

■ 12 General Atomics Reapers ($192 million).

■ Eight Boeing P-8 maritime patrol aircraft ($1.1 billion)

■ Two Boeing CH-47 Chinook helicopters, according to Bloomberg (about $100 million).

■ 28 Sikorsky Black Hawk helicopters, according to Bloomberg (about $500 million).

■ One Northrop Grumman E-2D command-and-control plane ($146 million).

■ One Lockheed KC-130J tanker for the Marine Corps ($75 million).

But the service wish lists include other procurement items, including:

■ $200 million for the Air Force Combat Rescue Helicopter program.

■ $2.1 billion for 22 Boeing EA-18 Growler jamming aircraft for the Navy.

■ $720 million for 10 C-130J for the Air National Guard.

■ $1 billion for six F-35, five F-35Cs and one F-35B for the Marine Corps.

The wish lists also include tens of billions of dollars for upgrades, maintenance and construction projects, that have been reduced or deferred due to lower defense spending levels imposed by defense budget caps or cuts by sequestration.

Rep. Buck McKeon, R-Calif., chairman of the House Armed Services Committee, requested the lists from the services this year. The Army, Navy, Marine Corps, Air Force, Army National Guard and Air National Guard all sent the list to him this week. Defense News obtained all of the lists except the Army’s.

The top lines figures for each wish list are:

■ Army, $10.6 billion, according to Bloomberg.

■ Navy, $10.6 billion.

■ Marine Corps, $2.5 billion.

■ Air Force, $8 billion.

■ Army National Guard, $1.5 billion.

■ Air National Guard, $2.6 billion.

But the chances of any of the items in these wish lists and OGSI getting approved is slim, since defense spending is capped at $496 billion.

“It is not going to happen,” said Gordon Adams, a Stimson Center analyst who ran defense budgeting during the Clinton administration.

During a roundtable with reporters on Thursday, McKeon was asked what kind of chance the $26 billion OSGI had of passage. He made a “zero” gesture with his fingers.

“We already did the budget this year,” he said.

Lawmakers are unwilling to renegotiate the spending caps established in the two-year budget deal struck late last year by Rep. Paul Ryan, R-Wis., and Sen. Patty Murray, D-Wash., Adams said.

“This is political three-ring circus, but it’s not budgeting,” Adams said. “The thing that really concerns me about it is that it totally undermines planning discipline in the Pentagon.”

DoD submitted a five-year spending plan to Congress that exceeds the spending caps between 2016 and 2019 by $115 billion.

The wish lists submitted to Congress this week — called unfunded priorities or unfunded requirements — were a flashback to last decade when the services would send lawmakers lists totaling tens-of-billions of dollars.

At its high point, the Air Force submitted a $20 billion wish list of items desired by service brass, at a time when military spending, already at an all-time high.

Then-Defense Secretary Robert Gates truncated the lists substantially during his tenure at the Pentagon to the point where they were no longer produced in 2013.

Unlike in prior years, the National Guard submitted unfunded lists this year.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:20
New York Army National Guard soldiers train at Camp Smith, N.Y. (Army)

New York Army National Guard soldiers train at Camp Smith, N.Y. (Army)

 

 

Apr. 3, 2014 - By PAUL McLEARY – Defense News

 

WASHINGTON — The US Army National Guard is asking Congress to find an extra $1.5 billion to meet its unfunded requirements in fiscal year 2015, primarily to fund training and operations, according to a copy of the list obtained by Defense News.

 

Due to budget cuts and the winding down of troop requirements in Afghanistan, the Guard was not funded for any brigade-sized Combat Training Center (CTC) rotations in 2015. The Guard, therefore, is requesting $45 million to send two brigades through to intensive operational training.

 

The active Army is being funded for 19 brigade CTC rotations in 2015, Army Secretary John McHugh told the Senate Armed Services Committee on Thursday morning. Until Congress offered some sequester relief in January, the Army was only planning on seven CTC rotations this year.

 

The biggest line in the Guard’s request also involves training. The service is requesting $480 million to “allow 3 BCTs [brigade combat teams] to achieve company level of readiness; 3 BCTs to achieve platoon levels of readiness … and all Functional/Multi-Functional units to achieve company level of readiness.”

 

The Guard has said that under the current budget cuts, its units would be able to train only to squad and company levels of readiness, while not being able to afford to train for complex operations, such as brigade-sized maneuvers with air and ground elements working in tandem.

 

The Guard is also asking for $137 million for depot maintenance, which is funded only to 33.6 percent of its requirement. “The increase improves funding to 48.83% for maintenance of aviation end items and spares HEMTTs, PLS, M915A3 Tractors, and M917 Dump Trucks to improve readiness and support an Operational Force,” the Guard wrote

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 16:55
quartier Roc Noir de Barby

quartier Roc Noir de Barby

 

 

02 avril 2014 Romandie.com (AFP)

 

BARBY (France) - Premier site militaire à faire sa mue écologique, le quartier du 13e bataillon de chasseurs alpins (BCA), en Savoie, a réduit de moitié sa consommation d'énergie et pourrait servir de modèle aux autres casernes hexagonales.

 

Ce qui est fait ici sert évidemment de laboratoire, estime le colonel Jacques Massot, chef de division au service d'infrastructure de la défense de Lyon.

 

Le quartier Roc Noir de Barby (Savoie), qui accueille quelque 1.100 chasseurs alpins au pied du massif des Bauges, a connu ces deux dernières années une mutation profonde mais presque invisible.

 

Les bâtiments à deux étages des années 1970 ont gardé leur façade grisâtre et sans charme. Mais des moquettes solaires installées sur les toits permettent désormais de produire de l'eau chaude. L'isolation a été revue de fond en comble et les chauffages électriques, installés à l'âge d'or du nucléaire, ont été remplacés par une chaufferie au bois, alimentée par les massifs forestiers de la région. Un réseau de chaleur court sous le gazon et des pompes à chaleur font l'appoint.

 

Au total, ce sont 30 bâtiments (pour une superficie chauffée de plus de 41.500 m^3) qui ont été rénovés. Et le contrat passé avec une filiale d'EDF (EDF Optimal Solutions) prévoit une baisse de 46% de la consommation d'énergie et une réduction de 50% des émissions de CO2. Plus de la moitié des besoins (58%) sont couverts par des énergies renouvelables. Et l'ensemble est piloté par informatique.

 

Lancés dans le cadre du Grenelle de l'Environnement, ces travaux étaient rendus nécessaires par la vétusté des installations, à bout de souffle, qui tombaient régulièrement en panne, selon le colonel Massot.

 

Parfois, le chauffage ne marchait pas et il y avait très souvent des coupures d'eau chaude. Au retour de 15 jours de mission en montagne, on était obligé de mettre une veste et d'allumer un chauffage d'appoint, témoigne le caporal Clément Moreau, 28 ans. Aujourd'hui, ça s'est bien amélioré.

 

- Des sources d'économie considérables -

 

Cela participe au confort de nos hommes. Et en tant que montagnards, on est très attaché à la préservation de l'environnement, appuie le lieutenant-colonel Thomas Guérin, commandant en second du 13e BCA.

 

C'est EDF Optimal Solutions qui a financé les travaux dans le cadre d'un partenariat public-privé. Pendant 18 ans, l'Etat paye un loyer d'environ 1,5 million d'euros par an, comprenant notamment l'exploitation des installations et le remboursement de l'investissement.

 

En contrepartie, l'Etat réalise un gain financier de 300.000 euros par an sur sa facture d'énergie.

 

Une deuxième opération similaire a d'ores et déjà été lancée pour le camp militaire de La Valbonne (Ain), qui accueille le 68e régiment d'artillerie d'Afrique et le régiment médical (3.000 militaires).

 

Le marché a cette fois été conclu avec Cofély, une filiale de GDF Suez, avec des travaux financés directement par l'Etat.

 

Il y a d'autres projets qui vont se nourrir de cette expérience, avance le Colonel Massot. Car, en cette période de disette budgétaire, dépenser moins, c'est rendre plus acceptable la contrainte qui pèse sur nos budgets, souligne-t-il.

 

Et les sources d'économie d'énergie au sein du patrimoine immobilier de l'armée sont potentiellement considérables.

 

Selon un rapport du Sénat, le ministère de la Défense utilisait, au 31 décembre 2008, 90 bases aéronavales et 8 bases navales, 41 camps d'entraînement, 99 camps militaires, 5.552 casernes, 25 centres de recherches et d'essais, 179 dépôts et 151 entrepôts, 875 locaux de bureaux, 98 immeubles administratifs ou à usage de bureau, 7.635 appartements, 737 immeubles collectifs d'habitation, etc.

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 16:50
Swedish Auditor Criticizes Low Defense Spending

April 2, 2014 defense-aerospace.com/

(Source: Radio Sweden; published April 1, 2014)

 

Sweden's New Defence Poorly Planned

 

The National Audit Office criticised the government and the armed forces on Tuesday for not doing enough to ensure the long-term funding of the nation's defence.

 

In 2009, Sweden's armed forces went from a conscript system to become a professional force, but according to the National Audit Office, the budget for the big change has been too tight. The government is now told it needs to "improve the economic conditions to reach the goals long-term".

 

The equipment budget for the next ten years alone needs another SEK 30-50 billion, according to the report.

 

The switch-over to professional armed forces also means recruiting new staff with different competencies, something that has not happened fast enough.

 

In a statement, the auditor Jan Landahl said "extensive rationalisations" are necessary. But whether that is enough, or more money is needed, he did not want to say. "It is pretty tough. You are supposed to lower the staffing costs at the same time as you have to add new staff for the new organisation," Landahl told the news agency TT.

 

In a comment, Defence Minister Karin Enström said the Ministry of Defence and the armed forces have been working hard for the past year and a half to review the budget. She says the government has already decided on a gradual increase in the defence budget. "I can also see that further increases will be necessary," she told TT.

 

She adds that the crisis in Crimea has changed the security situation in Europe. "We are prepared to strengthen our capability, and then you also have to pay what it costs," she said.

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 16:20
Assistant Air Force Secretary Hopeful F-35 Cost Could Drop To Mid-$80 Million Range By 2019

 

 

April 2, 2014. David Pugliese - Defence Watch

 

Reuters is reporting that the U.S. military is working closely with Lockheed Martin Corp and other suppliers to lower the per-plane cost of the F-35 fighter jet and improve its reliability.

 

More from Reuters:

 

Assistant Air Force Secretary William LaPlante said the price of the new A-model F-35 is on track to drop from $112 million now to the mid-$80 million range by 2018 or 2019, but the program is developing plans to drive the price even lower.

 

The Government Accountability Office, a congressional watchdog agency, remains skeptical about those efforts, noting that the A-model jets procured in 2013 cost $124.8 million each, about $41 million above the Pentagon’s target for 2019.

 

The U.S. military was also focused on improving the reliability of the jets, which are breaking down between flights more often than expected, he said.

 

The F-35 A-model was intended to cost around $50 million per plane, giving the United States and its allies a low-cost way to replace a dozen warplanes now in service.

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 07:50
Swiss-Swedish fighter deal could triple in cost

 

 

Mar 31, 2014 ASDNews (AFP)

 

A key Swiss defence deal with Sweden to buy 22 fighter aircraft could cost three times more than the government claims, opponents said Monday, ahead of a referendum on the plan.

 

Campaigners who are gearing up for the May 18 plebiscite warned that the price tag could swell to 10 billion Swiss francs (8.2 billion euros, $11.3 billion).

 

"As with all fighter plane deals, on top of the actual purchase price of 3.1 billion francs, you have to add operating and maintenance costs, as well as upgrades needed in the future," Green Party lawmaker Daniel Vischer, a member of the campaign coalition, said in a statement.

 

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 20:50
Now even neutral Switzerland has more tanks than Britain

 

31 March 2014 By William Turvill dailymail.co.uk

 

Now even neutral Switzerland has more tanks than Britain even though it has not fought in a war for more than 150 years

 

    Switzerland has kept 380 Leopard 2 Tanks, while Britain has 227 active Challenger 2 tanks

    The number of British tanks reduced by 40 per cent in a 2010 spending review, while overall military spending was cut by 5 per cent in 2013

    Meanwhile, regular army numbers are to be reduced from 102,000 to 82,000

 


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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 18:50
Les Gripen vont engloutir 10 milliards, selon les opposants

 

31.03.2014 Romandie.com (ats)

 

Le Gripen coûterait bien plus cher que ce que le Département fédéral de la défense (DDPS) veut faire croire à la population. Forte de cet avis, l'alliance "Non aux milliards pour des avions de combat" est entrée en campagne contre l'achat de ces appareils, dont le coût d'achat est estimé à 3,1 milliards de francs.

 

"Ces avions de combat vont en fait engloutir 10 milliards au cours de leur durée de vie", a affirmé le conseiller national Daniel Vischer (Verts/ZH) devant la presse. "Face aux caisses vides de la Confédération, des cantons et des communes, la Suisse ne peut pas prendre un tel risque financier".

 

Au prix d'achat - 3,1 milliards de francs, il faut rajouter les coûts d’exploitation et d’entretien ainsi que les futures mises à niveau, a ajouté sa collègue Evi Allemann (PS/BE). Ces milliards manqueront nécessairement ailleurs, dans des domaines comme la formation, les transports publics ou encore l’AVS.

 

Sécurité déjà assurée

 

L’achat du Gripen est également très risqué, puisque l'avion commandé par la Suisse n’est pas encore développé et n’existe que sur le papier, a rappelé Amanda Gavilanes, secrétaire romande du Groupe pour une Suisse sans armée GSsA. La Suisse paie un acompte extrêmement élevé de 40% du prix d’achat, selon Evi Allemann. Si les avions n'étaient pas livrés, ou trop tard, les contribuables suisses devraient en assumer les conséquences.

 

Or, selon Mme Gavilanes, la sécurité aérienne de la Suisse est déjà assurée. "Les forces aériennes possèdent 32 F/A-18, à même de mener à bien leur mission pour les prochaines décennies". Environ 400 millions de francs viennent d’être investis pour leur mise à niveau.

 

Un quart de million pour la campagne

 

L’Autriche possède 15 appareils pour assurer sa mission de police du ciel, la Suisse devrait donc pouvoir assumer la sienne avec plus du double d’appareils, argumente-t-elle.

 

Le budget de la campagne des opposants se monte à 250'000 francs, selon IIias Panchard, co-président des Jeunes Verts Suisses. Les Suisses se prononceront le 18 mai.

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