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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 12:50
Belgique : Soldats pendant 8 ans, payés pendant 9 ans

 

16 novembre 2013 dhnet.be (Belga)

 

BRUXELLES - La Défense souhaite se rajeunir et compte dès lors engager l'an prochain 1.400 jeunes militaires, confirment samedi plusieurs sources militaires dans Het Nieuwsblad et De Standaard. La majeure partie des futurs soldats acceptent de rejoindre la Défense à la condition de pouvoir quitter l'armée après 8 ans. En échange de leur engagement, ils recevront un parachute doré équivalent à un an de salaire.Le ministre de la Défense Pieter De Crem devrait officialiser ces projets lundi, selon les journaux. La plupart des nouvelles recrues rejoindront la marine, où de nombreux postes sont vacants. Plusieurs centaines de jeunes candidats seront recrutés sous le nouveau statut de carrière à "durée limitée" qui a été approuvé l'été dernier. Sous ce statut, les soldats s'engageront pour une durée maximale de 8 ans. Ensuite, lorsqu'ils auront atteint l'âge de 32 ou 34 selon leurs niveaux, il devront pour la majorité être reclassés. Ils recevront alors la prime de reclassement. "Ce parachute doré leur donne du temps pour trouver un autre emploi, même s'ils auront lors de leur dernière année de leur engagement à 'durée limitée' le temps nécessaire pour postuler ou suivre des formations", explique-t-on. Mais "si la Défense est satisfaite du militaire, si il y un poste vacant et si le militaire le souhaite aussi, il est possible qu'il reste actif au sein de la Défense."

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 12:45
Armée algérienne : à quoi va servir la hausse du budget de la défense ?

 

15/11/2013 Laurent Touchard - Jeuneafrique.com

 

Laurent Touchard travaille depuis de nombreuses années sur le terrorisme et l'histoire militaire. Il a collaboré à plusieurs ouvrages et certains de ses travaux sont utilisés par l'université Johns-Hopkins, aux États-Unis. Il revient cette semaine sur la très forte hausse du budget de la défense algérienne.

 

Intervention occidentale contre Kaddafi, instabilité dangereuse en Libye, menace terroriste en Tunisie, guerre civile en Syrie, guerre au Mali, prise d'otages massive d'In Amenas, résilience des groupes jihadistes dans le Sahara, prise d'otage massive de Nairobi, "terrobanditisme" aux frontières... La litanie des crises ne cesse de s'allonger sur le pourtour méditerranéen et dans de nombreux pays en Afrique. L'Algérie, qui s'affirme chaque année davantage en puissance régionale, observe attentivement ces événements. Elle jauge les menaces potentielles (ou fantasmées) afin de les anticiper plutôt que de les subir. La mesure la plus emblématique de cette logique porte sur un budget de défense, une fois encore, en augmentation. Le projet de loi de finance 2014 présenté le 28 octobre 2013 et adopté le 12 novembre, mentionne 12,45 milliards de dollars de crédits pour le ministère de la Défense soit plus d'un milliard de plus qu'en 2013.

 

>> Lire aussi : Au Maroc, les pays maghrébins et sahéliens s'entendent pour renforcer leur coopération transfrontalière

 

Si un gel des dépenses militaires à partir de 2017 est parfois évoqué, pour l'heure il n'en est rien : l'acquisition de nouveaux matériels et la modernisation des forces se poursuit. Et sur ce marché toujours florissant, les industries d'armement russes ont le vent en poupe : la résolution de Moscou dans la crise syrienne, démontrant par les faits que les Russes ne lâchent pas (plus) leurs alliés, n'y est pas pour rien...

 

Une flotte à prendre au sérieux

Les forces navales sont les premières bénéficiaires de ces dépenses : le contrat ferme pour deux Kilo 636M est sur le point d'être signé. Sitôt opérationnels, ces sous-marins s'ajouteront alors aux quatre autres Kilo (dont deux modernisés récemment). Rappelons qu'un autre gros contrat, d'une valeur de 2,86 milliards de dollars a été signé en 2012 avec le groupe Thyssen Krupp Marine System (TKMS) pour la construction de quatre frégates Meko A200. Contrat qui inclut également l'assemblage de deux des frégates dans un chantier naval national, six hélicoptères Super Lynx et la formation des équipages.

En Chine ont été commandées trois corvettes C28A. Des radars et équipements électroniques de chez Thales seront montés en Algérie. Par ailleurs, en 2015, entrera également en service un bâtiment de projection de type San Giorgio. En cours de construction en Italie, celui-ci pourrait mener des opérations amphibies, de soutien logistique, voire servir de plate-forme anti-sous-marins avec des hélicoptères dédiés. Enfin, Alger réfléchit à l'achat de quatre dragueurs de mines, qui sortiraient eux aussi des chantiers italiens. À l'horizon 2017, plus que jamais, la flotte algérienne devra être prise au sérieux en Méditerranée : dotée de moyens modernes pour des missions diversifiées, avec les moyens financiers pour s'entraîner. À noter cependant un déséquilibre entre les navires de combat et les navires de soutien. Déséquilibre qui nuira à ses capacités océaniques.

 

>> À lire : Voyage au coeur de l'amrée algérienne

 

Montée en puissance régulière des forces aériennes

L'aviation et la défense aérienne profiteront également des investissements en hausse : hélicoptères Mi-28NE, hélicoptères de transport lourd Mi-26. Par ailleurs, le pays envisage de remplacer ses gros porteurs Il-76 par 4 ou 6 appareils de capacité équivalente ou supérieure, ainsi que l'acquisition d'avitailleurs. L'un et l'autre représentent des moyens stratégiques indispensables pour des déploiements et des interventions en-dehors du pays (l'Algérie ayant exprimé son intérêt pour la brigade d'intervention rapide voulue par l'Afrique du Sud).

L'achat de nouveaux appareils offensifs est également au programme : le Su-34 est fréquemment cité en remplacement des Su-24 Fencer. Un problème se poserait alors : la cadence de fabrication de ces bombardiers au profit de l'aviation russe est des plus lentes. La Russie serait-elle en mesure de satisfaire ses exigences en matière de défense tout en honorant d'éventuelles commandes étrangères de Su-34 ? Côté chasseurs-bombardiers, l'hypothèse d'une acquisition de Rafale est désormais invalidée.

L'Armée de l'Air souhaiterait obtenir davantage de Su-30, dans une variante améliorée de celle des SU-30MK actuellement alignés, à savoir le Su-30SM et son armement extrêmement sophistiqué. En 2016, la Russie disposera quant à elle de 60 exemplaires de cette version, capables de mener des missions air-air, air-sol, air-mer, mais aussi, plus spécialisées telle que la guerre électronique ou d'alerte aérienne avancée (caricaturalement, en opérant comme des "mini-AWAC").

Point intéressant, les Su-30SM russes remplaceront une partie des vieux Su-24... De là - à supposer qu'Alger pourrait se doter exclusivement de Su-30SM au lieu d'un panachage Su-30SM/Su-34 - il n'y a qu'un pas. Des Yak-130 d'entraînement et d'attaque légère supplémentaires intéressent aussi les militaires. Au bout du compte, l'Armée de l'Air algérienne montera en puissance jusqu'aux environs de 2017, avec des capacités renouvelées dans le domaine de la guerre conventionnelle, mais aussi face aux menaces hybrides.

 

>> Lire : Algérie-Maroc, le match des armées

 

Quant à la défense aérienne, il est question d'achat de batteries de S400 Triumph (SA-21 Growler). Ces lance-missiles renforceraient les S300PMU2 (SA-20 Gargoyle) tout en autorisant le remplacement d'au moins une partie des antédiluviens SA-3 et des SA-6. Les leçons de l'intervention occidentale en Libye, la menace d'intervention en Syrie (désormais peu probable) sont passées par là... Si l'acquisition de S400 se confirme, la défense aérienne algérienne sera redoutable, à condition toutefois qu'elle poursuive ses efforts quant à l'entraînement des personnels et en décentralisant sa chaîne de commandement. Signe positif en la matière : des exercices de plus en plus réalistes.

 

Rumeurs et réalités pour l'Armée de Terre

L'Armée de Terre, enfin, bénéficie des nombreux contrats signés depuis deux ans (blindés Fox et option sur le blindé de combat d'infanterie Boxer, NIMR 4x4 et 6x6, pléthore de véhicules utilitaires et de transport non-blindés). Tandis que se poursuit la modernisation des BMP, des rumeurs parlent de l'achat de T-90MS, ce qui n'est pas dénué de sens. Ces chars remplaceraient alors les plus vieux toujours en service. En revanche, rien n'est moins sûr quant au véhicule blindé de combat d'infanterie lourd BMPT Terminator qui n'a d'ailleurs trouvé aucun acheteur en dépit de son concept original.

Jusqu'à preuve du contraire, l'artillerie constitue le parent pauvre de l'effort en cours.

En parallèle à la fabrication sous licence de NIMR, Alger fabriquera à Khenchela des pistolets semi-automatiques émirati de la firme Caracal International. Ceux-ci seront assemblés par Caracal Algérie ; d'autres armes légères, dans un premier temps destinées aux forces armées algériennes, suivront (toujours de chez Caracal) : fusils de précision et pistolets-mitrailleurs. Viendra aussi le moment du remplacement des fusils d'assaut, le calibre 5,56 mm étant pour l'heure privilégié à celui de 7,62 mm des Modèle 89 et Modèle 89-1 actuellement en service. Le Caracal CAR 816 pourrait alors être sélectionné et fabriqué sur place. De plus, l'infanterie et les unités commandos profitent également de commandes d'équipements divers dans un contexte d'efforts de professionnalisation. Jusqu'à preuve du contraire, l'artillerie constitue le parent pauvre. Or, les pièces vieillissent, on observe un déficit en obusiers automoteurs ; un système d'arme du type Caesar appuierait parfaitement les futures unités d'infanterie motorisée dotées de Fox (éventuellement Boxer) et NIMR blindés...

 

>> Lire aussi : Coup de sirroco à l'état-major algérien

 

Conclusion : la crainte d'une dérive sécuritaire

Ces dépenses en matériels s'accompagnent de réflexions, par exemple sur la pertinence du service national, ce qu'il pourrait devenir, ainsi que de projets qui concernent les forces de sécurité. Outre des nouveaux hélicoptères pour la Gendarmerie et la Protection Civile, ainsiq que des véhicules, sont prévus le recrutement de 20 000 à 30 000 douaniers. Ils permettront notamment d'organiser 80 postes de surveillance frontalière en sus de ceux qui existent déjà. S'il s'agit clairement de combattre le "terrobanditisme", un autre recrutement, cette fois-ci de 20 000 policiers, est plus ambigu. L'on songe évidemment en premier lieu à la lutte contre le terrorisme. Mais, comment ne pas également penser à une dérive sécuritaire du régime algérien (soulignée par ailleurs) nourrie par la crainte des contestations sociales tunisiennes, libyennes, égyptiennes et syriennes ?

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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 11:55
Programmation militaire : les industriels nerveux

 

15/11 Alain Ruello, Les Echos

 

Le report en 2014 de 500 millions de crédits sous forme de recettes exceptionnelles ne rassure pas.

 

Déjà très dubitatifs sur la bonne exécution de la loi de programmation militaire 2014-2019, les industriels de l'armement n'ont pas trouvé de quoi se rassurer avec les derniers arbitrages budgétaires du gouvernement. A l'issue d'un bras de fer avec Bercy tranché par François Hollande, la Défense a obtenu de pouvoir compenser, l'année prochaine, une grande partie des crédits d'équipements annulés cette année. Précisément, sur les 650 millions perdus, 500 pourront être récupérés.

 

En apparence, le compromis est acceptable. Seul problème, ces 500 millions sont censés provenir de ressources exceptionnelles, les fameuses Rex, c'est-à-dire de ventes de bijoux de famille, par nature incertaines. Or, le budget 2014 a déjà prévu pour 1,7 milliard de Rex ce qui porte le total à trouver l'année prochaine à 2,2 milliards !

 

Pour Christian Mons, le président du Conseil des industries de défense françaises (Cidef), la question est toujours la même : cet argent sera-t-il au rendez-vous ? « La LPM repose sur quatre paris : recettes exceptionnelles, exportation du Rafale, opérations extérieures et inflation », rappelle-t-il. En rajoutant 500 millions de Rex supplémentaires, on ne fait qu'augmenter le pari. Un responsable de grand groupe déplore la situation : « Il aurait mieux fallu annuler 500 millions il y a six mois. Cela aurait été un bain de sang, mais au moins on se serait préparé. Là, on risque d'avoir le bain de sang, mais en catimini. » La LPM est mort-née, estime-t-il.

 

Clause de sauvegarde

 

Une clause de sauvegarde a bien été incluse dans la LPM qui prévoit que des crédits budgétaires prendront le relais des Rex si celles-ci manquent à l'appel. Mais là encore, où trouver ces crédits ? Et puis, le scénario de 2013 risque fort de se rejouer en 2014 : le coût des Opex (opérations extérieures comme le Mali) peut très bien dépasser les 450 millions prévus, et le gouvernement devra forcément faire face à des dépenses inattendues. Il faudra alors trouver autant d'économies ailleurs. Nul doute que les militaires seront en première ligne...

 

On n'en est pas encore là. Misant sur ces 500 millions, la Défense peut espérer contenir son report de charges - c'est-à-dire le trou de trésorerie pour régler les factures d'équipements - à hauteur de 2 milliards (3 milliards pour l'ensemble du ministère). Un seuil très élevé, mais gérable. Au-delà, ce serait la spirale infernale : sauf à ne plus rien dépenser, la dette de la grande muette vis-à-vis de ses fournisseurs irait en s'emballant.

 

A ce stade, aucun programme d'armement en cours n'est donc remis en cause, et la DGA n'a pas décalé ceux qu'elles a prévu de lancer l'année prochaine - drones, avions ravitailleurs ou encore satellites de renseignement.

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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 11:55
Le projet de loi de programmation militaire adopté en commission à l'Assemblée

 

14/11 LesEchos.fr (AFP)

 

La commission de la Défense de l'Assemblée nationale a adopté le projet de loi de programmation militaire (LPM), en s'éloignant peu du texte déjà voté par le Sénat en octobre, a-t-on appris jeudi de source parlementaire.

 

Le projet de loi ainsi amendé sera débattu dans l'hémicycle le 26 novembre, et éventuellement le 27.

 

La LPM, qui fixe le cadre budgétaire de la défense pour les six années à venir, prévoit 183,9 milliards d'euros de crédits de 2014 à 2019, auxquels s'ajoutent 6,1 milliards de "ressources exceptionnelles". Le texte prévoit aussi la suppression de 34.000 nouveaux postes en six ans dans les armées, dont 7.881 en 2014.

 

La commission de la Défense a adopté mercredi soir un amendement prévoyant qu'une personne puisse être géolocalisée en temps réel par les services de renseignement durant trente jours, au lieu de dix jours renouvelables comme l'avait voté le Sénat.

 

La commission des Lois de l'Assemblée, saisie pour avis, avait proposé pour sa part que la durée de ces géolocalisations soit alignée sur celle en vigueur pour les interceptions de sécurité, soit quatre mois.

 

La commission de la Défense a aussi adopté un amendement visant à exclure certaines informations personnelles (origine raciale, convictions religieuses, opinions politiques, données sur la santé ou la vie sexuelle) du traitement automatisé de données mis en place à partir des informations des transporteurs aériens lors de la réservation et l'enregistrement des passagers, aux fins de prévention du terrorisme. Ce traitement automatisé de données doit être expérimenté jusqu'en 2017.

 

Les députés ont aussi voté en commission le principe que devant le comité d'indemnisation des victimes des essais nucléaires, les requérants pourront défendre leur demande en personne. De plus, le comité devra motiver toute décision défavorable.

 

En outre, les sénateurs avaient voté que la Délégation parlementaire au renseignement (composée de députés et sénateurs) puisse entendre des agents des services de renseignement. La commission de la Défense a voté un amendement prévoyant simplement que les directeurs des services, entendus par la Délégation, puissent se faire accompagner des collaborateurs de leur choix.

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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 07:55
Le Drian va annoncer des mesures pour améliorer les conditions de vie des militaires

 

15.11.2013 Le Monde.fr ( AFP)

 

Jean-Yves Le Drian doit annoncer, vendredi 15 novembre, une série de mesures visant à améliorer le cadre de vie et de travail des militaires, lors d'une visite auprès des régiments de parachutistes de Carcassonne et de Castres.

 

Le 25 octobre, le ministre de la défense avait débloqué 30 millions d'euros pour renforcer les moyens des "bases de défense", les organismes chargées du soutien et des infrastructures des unités militaires.

 

Au terme d'un travail concernant chacune des 60 bases de défense, "1 212 projets concrets seront financés. Au total, grâce aux 30,4 millions d'euros débloqués, le budgets des bases de défense passera à 773 millions d'euros", précise le ministère.

 

Suite de l’article

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:50
12 (Bomber) Squadron Tornado GR4 - photo UK MoD

12 (Bomber) Squadron Tornado GR4 - photo UK MoD

 

13/11/2013 Par Guillaume Steuer – Air & Cosmos

 

Comme sa voisine outre-Manche, la Royal Air Force n'échappe pas à une restructuration du format de son aviation de combat. "Deux escadrons de Tornado GR4 seront dissous l'an prochain", expliquait aujourd'hui l'Air Commodore Dave Waddington, commandant de la flotte de Tornado britannique. Cette annonce a été faite lors de la conférence "International Fighter" organisée à Londres par IQPC.

 

"Le 12(B) Squadron est rentré d'Afghanistan et sera dissous en mars prochain", a précisé l'aviateur. "Le 617 Squadron est actuellement déployé sur ce théâtre et sera lui aussi dissous courant 2014, après son retour prévu cet hiver", a-t-il ajouté. Au final, seuls trois escadrons de première ligne resteront opérationnels sur Tornado GR4 ; ceux-ci seront stationnés sur la base de RAF Marham. Il s'agit des II(AC)Sqn, IX(B)Sqn et 31 Squadron.

 

Cette réduction de format devrait se poursuivre au-delà de 2015, dans des proportions qui seront déterminées par la future revue stratégique de défense et de sécurité (SDSR). D'ici là, "nous pouvons encore faire évoluer les capacités du Typhoon" dans le domaine de l'air-sol, a insisté le militaire britannique. Il a aussi souligné que Londres "ne disposerait pas d'un grand nombre de F-35" et que le principal défi à venir pour la RAF sera "d'intégrer cette petite flotte le plus efficacement possible avec les avions de combat de quatrième génération comme le Typhoon".

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:50
SHAPE photo Nato

SHAPE photo Nato

 

14 novembre 2013 Caroline Tichon - dhnet.be

 

Mons-Centre -  La menace atomique qui pèse sur les quelque 270 travailleurs civils du quartier général des forces alliées semble s’apaiser mais jusqu’à quand ?

 

Hier, en commission de la Défense à la Chambre, la député-bourgmestre Jacqueline Galant (MR) a, à nouveau, interpellé le ministre de la Défense, Pieter De Crem, quant à la situation des travailleurs civils du Shape, le quartier général des forces alliées situé à Casteau.

 

Dans deux mois, l’échéance fixée par le Traité de Lisbonne de 2011 touche à son terme. Cette interpellation de Jacqueline Galant tombe à pic et fait suite à une série d’interpellations sur le sujet.

 

Au 1er janvier 2014, l’État belge, dans le cadre du Traité de Lisbonne, doit prendre en charge financièrement le personnel local travaillant au sein de la base. Ces travailleurs sont entre autres chargés de la maintenance et de la logistique au sein du Shape.

 

À de nombreuses reprises, les travailleurs civils sont montés au créneau en réclamant des garanties quant à leur sort tantôt auprès du ministre de la Défense tantôt auprès du Premier ministre, Elio Di Rupo. Plusieurs actions de grève avaient mobilisé le personnel ces derniers mois. Elles étaient montées d’un cran, bloquant toute la circulation à la fin du mois juin dernier.

 

Ce mercredi, le ministre a affirmé que la "situation du personnel civil du Shape ne changerait pas au 1er janvier 2014". Le ministre a par ailleurs confirmé en commission que le personnel civil resterait pris en charge par le Shape après la date butoir.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 11:55
Budget de la Défense : le Gouvernement concilie souveraineté nationale et souveraineté budgétaire

 

13/11/2013 19:55 Ministère de la Défense

 

Communiqué de presse conjoint du ministre de l'Économie et des Finances, du ministre de la Défense et du ministre délégué auprès du ministre de l’Économie et des finances, chargé du Budget.

 

Pierre Moscovici, ministre de l’Économie et des Finances, Jean-Yves Le Drian, Ministre de la Défense, et Bernard Cazeneuve, ministre délégué chargé du Budget, soulignent que dans le projet de Loi de finances rectificative présenté ce matin en conseil des ministres, le surcoût des opérations extérieures (OPEX) fait l’objet d’ouvertures de crédits à hauteur de 578 millions d’euros, assurées par la solidarité interministérielle.Cela permet notamment de financer les opérations de l’armée française comme celle engagée cette année au Mali.

 

Par ailleurs, le ministère de la Défense participe, comme tous les ministères, à l’effort d’économies nécessaire au rétablissement des comptes publics, via une auto assurance sur les crédits de masse salariale et à une participation à la solidarité interministérielle.

 

Le Gouvernement garantit cependant les opérations d’investissement prévues par la Loi de programmation militaire (LPM) discutée en ce moment au parlement, qui témoigne de l’ambition portée pour notre outil de défense. Cette assurance sera retranscrite par un amendement du gouvernement dans le texte de la LPM.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:55
Le gouvernement s'accroche pour sanctuariser le budget de la Défense, une rallonge de 578 M€ pour les OPEX

 

13/11/2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale

 

Répondant à une question du député-maire UMP de Lunéville, Jacques Lamblin, le ministre délégué auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens combattant, Kader Arif, a tenu à rassurer l'Assemblée nationale ce mercredi lors des questions au gouvernement sur la " sanctuarisation " du budget de la Défense.

 

Le trou dans le budget à 4,1 % du PIB (soit 71,9 milliards d'euros) définit l'enveloppe du Projet de loi de finances rectificatives. Le PLFR avance la plus grande ouverture de crédits aux opérations extérieures (OPEX). Avec l'opération au Mali, le budget de 630 M€ a logiquement explosé. En cohérence politique, on prévoit ainsi une rallonge de 578 M€.

 

S'exprimant au nom du ministre de la Défense, Kader Arif a lancé aux députés des phrases claires et à retenir :

" Tous les programmes prévus dans cette loi de programmation seront lancés comme indiqué dans le projet qui vous est soumis.

S'agissant de la fin de gestion 2013, un accord équilibré a été trouvé entre le ministère du Budget et le ministère de la Défense. Il prévoit :

- une dotation au titre de nos opérations extérieures pour compenser le coût de l'opération Serval, qui a fait l'unanimité ;

- la prise en charge par le budget de la défense de l'accroissement de dépenses salariales résultant principalement des dysfonctionnements du système Louvois ;

- une contribution du ministère de la défense à la réduction des dépenses publiques, rendue indispensable pour garantir l'équilibre des comptes de l'Etat comme cela a été exposé ce matin en conseil des ministres. En effet, pour nous, souveraineté financière et autonomie stratégique vont de pair.

S'agissant de la loi de programmation militaire, le ministre du Budget et le ministre de la Défense sont tombés d'accord pour que soient garantis les investissements prévus pour les programmes d'armement qui doivent être lancés en début de programmation. "

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:55
Défense : la fuite en avant des recettes exceptionnelles

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian pourra compter en 2014 sur 500 millions d'euros de recettes exceptionnelles supplémentaires

 

13/11/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

En contrepartie à sa contribution à l'effort financier dans le cadre du collectif budgétaire, le ministère de la Défense va bénéficier de 500 millions d'euros de recettes exceptionnelles supplémentaires en 2014.

 

Match nul entre Bercy et Brienne, qui s'opposaient sur les nouveaux efforts financiers du ministère de la Défense demandés par le ministère de l'Economie dans le cadre du collectif budgétaire de fin d'année. C'est le président François Hollande, qui a signé la fin de la partie entre les deux ministères. Lors du conseil des ministres de mercredi, le Chef de l'Etat rappelé son engagement pour les armées et, à ce titre, a demandé à respecter les grands équilibres financiers définis par le projet de loi de programmation militaire (LPM), actuellement examiné par le Parlement.

 

L'hôtel de Brienne contribuera bien à l'effort budgétaire mais en contrepartie Jean-Yves Le Drian pourra compter en 2014 sur 500 millions d'euros de recettes exceptionnelles supplémentaires, les fameuses REX, selon nos informations. Ces nouvelles seraient déjà identifiées, a-t-on précisé à "La Tribune". Le ministère doit déjà bénéficier de 1,77 milliards d'euros de REX dans l'actuel projet de la LPM. Soit un montant de 2,27 milliards à trouver en 2014. Le ministre de la Défense, qui était auditionné mercredi après-midi par la commission de la défense de l'Assemblée nationale, doit rapidement déposer un amendement au projet de la LPM pour inclure cette nouvelle disposition.

 

"Un accord équilibré"

 

Dans l'après-midi, le ministre délégué à la Défense, Kader Arif, a expliqué que les ministres du Budget et de la Défense avaient trouvé un accord pour garantir "les investissements prévus pour les programmes d'armement qui doivent être lancés en début" de la LPM. "Un accord équilibré" selon lui. Cet accord prévoit "une dotation au titre de nos opérations extérieures pour compenser le coût de l'opération Serval" au Mali non prévue par le budget 2013 du ministère de la Défense et qui sera pris en charge par le budget de l'Etat. Soit une enveloppe de 578 millions d'euros, qui n'avaient pas été pris en compte dans la provision initiale du ministère de la Défense (650 millions). "Cela permet notamment de financer les opérations de l'armée française, comme celle engagée cette année au Mali", ont expliqué dans unn communiqué commun les ministères de la Défense et de l'Economie.

 

En revanche, le ministère prendra "en charge l'accroissement de dépenses salariales résultant principalement des dysfonctionnements du système Louvois". "Une contribution du ministère de la Défense à la réduction des dépenses publiques rendue indispensable pour garantir l'équilibre des comptes de l'Etat", est également prévue. A ce titre, le ministère de la Défense "participe, comme tous les ministères, à l'effort d'économies nécessaire au rétablissement des comptes publics, via une auto assurance sur les crédits de masse salariale et à une participation à la solidarité interministérielle", ont précisé les deux ministères.

 

3,2 milliards d'ouvertures de crédits

 

Les ouvertures de crédit s'élèvent au total à 3,2 milliards d'euros, dont 2,1 milliards sur le budget général et une "ouverture massive pour le budget de l'Union européenne", avec 1,1 milliard d'euros de plus que ce qui était prévu auparavant.

 

Les opérations extérieures de défense comptent pour 578 millions, la politique de l'emploi pour 230 millions, l'hébergement d'urgence pour 100 millions, 300 millions seront affectés à des programmes de recherche et développement dans la filière numérique, les aides personnelles au logement comptent pour 265 millions d'euros et l'aide médicale d'Etat pour 156 millions.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:55
Le budget de la Défense sous pression

 

12 novembre 2013 Patrick Déniel, avec Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

Le Monde évoque des tensions entre le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et son homologue du Budget, Bernard Cazeneuve, autour du budget 2013. Ce dernier aura du mal à tenir la promesse du Président de sanctuariser le budget de la Défense, et à respecter les grands équilibres de la Loi de programmation militaire (LPM) actuellement en débat à l’Assemblée.  

 

Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a démenti les tensions avec Bercy autour de l’élaboration de la loi de Finances rectificative concernant le budget de la Défense. Le ministre indique qu’il travaille avec Bernard Cazeneuve pour que les ressources nécessaires à la Défense soient au rendez-vous pour respecter les objectifs de la loi de programmation militaire (LPM) qui définit les crédits qui seront alloués aux militaires et aux financements des grands programmes industriels de Défense sur la période 2014-2019, actuellement débattue au Parlement.

 

Le Monde évoque dans son édition du 12 novembre de vives tensions entre les deux ministères suite au refus de dégeler des crédits sur lesquels compte la Défense. Les industriels se sont inquiétés par la voix du Gifas, et de son président Marwan Lahoud, de coupes de l’ordre de 600 millions dans un budget 2013 que le Président de la république s’est engagé à préserver à hauteur de 179,2 milliards d’euros par an sur les six prochaines années (190 milliards en euros courants).

 

Une Loi de programmation militaire caduque avant d'être votée

 

Au-delà du fait que le ministre de la Défense risque de ne pas tenir cet engagement présidentiel, la loi de programmation militaire est déjà presque caduque avant même d’être votée. D’ailleurs, aucune des précédentes lois de programmation n’a été respectée. La version en cours d’examen s’appuie sur des ressources financières exceptionnelles de 6 milliards d’euros liées à des ventes d’actifs immobiliers et de fréquences hertziennes qui ne sont pas totalement garanties.

 

La finalisation du contrat du Rafale, qui s’éloigne semaine après semaine devrait également compromettre les équilibres financiers de la LPM.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:55
France : L'armée de terre tire la sonnette d'alarme

 

13/11 LesEchos.fr (Reuters)

 

L'effet Mali et le relatif soulagement d'avoir échappé au pire en période de restrictions budgétaires ont vite cédé la place à de nouvelles inquiétudes pour l'armée de terre française, qui craint une addition plus salée que prévu.

 

Si le Livre blanc et la Loi de programmation financière (LPM) qui en a découlé ont écarté les scénarios les plus dramatiques, les milieux militaro-industriels redoutent les effets des arbitrages décidés par le gouvernement.

 

L'armée de terre, particulièrement touchée une fois plus, sait déjà qu'elle devra fermer plusieurs régiments et s'accommoder de blindés vieillissants pendant encore plusieurs années. Ses cadres s'interrogent à voix haute sur la capacité de leurs troupes à pouvoir mener efficacement des opérations extérieures dans un avenir proche.

 

En passe d'être votée par le Parlement, la LPM 2014-2019 avait été saluée lors de sa présentation début août comme un compromis entre la nécessité de réduire les déficits publics et celle de préserver la cohérence de l'outil militaire français.

 

Sur ses quelque 280.000 emplois, la deuxième armée d'Europe après celle du Royaume-Uni va en perdre 34.000 d'ici à 2019.

 

Cela était connu, de même que le fait que le budget de la défense sera gelé à hauteur de 31,4 milliards d'euros pour les trois prochaines années, soit son niveau 2013, représentant 11,3% du budget total de l'Etat.

 

Mais les milieux militaro-industriels craignent un régime plus sec encore, notamment parce sur les 190 milliards promis pour l'effort de défense sur la période 2014-2019, 6,1 milliards reposent sur des ressources exceptionnelles incertaines.

 

Ces dernières doivent provenir notamment de la cession de biens immobiliers et de participations de l'Etat dans des entreprises publiques ainsi que de la vente de nouvelles fréquences très recherchées par les opérateurs de téléphonie mobile dont le produit, estimé à plusieurs milliards d'euros, reviendra intégralement au ministère de la Défense.

 

"Il est de mon devoir de rappeler que cette loi de programmation militaire est bâtie sur des fragilités, qu'elle prend des risques et que donc (...) nous devons être vigilants car les dérives budgétaires pourraient avoir de désastreuses conséquences", dit Christian Mons, président du Groupement des industries de défense terrestre (Gicat).

 

MOINS 30% POUR L'ARMEMENT

 

Pour ce dernier, la LPM repose sur des paris, notamment les recettes exceptionnelles et la vente à l'export de Rafale, dont rien n'assure qu'ils seront tenus. Les dotations budgétaires pour les surcoûts des opérations extérieures sont par ailleurs en réduction sensible et en deçà des besoins constatés, dit-il.

 

"Nous faisons l'hypothèse du respect des budgets jusque dans leur exécution mais nous sommes lucides et nous savons aussi que, sauf gigantesque surprise, ce ne sera pas le cas", ajoute-t-il en rappelant qu'aucune LPM n'a été respectée dans le passé.

 

Les industriels signalent que les ressources prévues pour les grandes opérations d'armement classique et la dissuasion s'élèvent à environ 10 milliards d'euros par an, soit un retrait de l'ordre de 30% au total par rapport à la précédente LPM.

 

Si certains grands programmes sont maintenus, d'autres seront retardés, notamment Scorpion, indispensable plan de modernisation d'un parc de blindés vieillissants, avec l'horizon 2019 pour les premières livraisons, déplore un officier supérieur du contrôle général des armées.

 

photo Guillaume Belan (FOB)

photo Guillaume Belan (FOB)

"Pas grand-chose n'est fait pour combler nos lacunes connues, notamment en matière de drones et d'avions de ravitaillement, sans parler des chars et des hélicoptères, et on attend avec une certaine appréhension la clause de revoyure de 2015", dit-il en référence au réexamen de la LPM à mi-parcours, qui se traduit généralement par un nouveau tour de vis.

 

Quant au plan social rendu nécessaire par la suppression programmée de 34.000 postes, il n'a été qu'ébauché avec l'annonce le mois dernier par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, de la fermeture d'un seul régiment, le 4e Régiment de dragons installé à Carpiagne, près de Marseille.

 

D'autres unités sont menacées, notamment la très symbolique brigade franco-allemande, dont l'état-major est stationné à Müllheim, en Allemagne, où l'affaire suscite beaucoup d'émoi.

 

"Il faudra certainement attendre après les municipales pour savoir exactement à quelle sauce on sera mangé", dit un général.

 

PLUS AUCUNE MARGE

 

L'armée de terre, traditionnelle variable d'ajustement selon les termes d'un cadre de son état-major, sait donc déjà qu'elle perdra plusieurs régiments, des hélicoptères et des chars.

 

"Rien dans l'environnement international ne justifie un tel désengagement, bien au contraire", fait valoir Etienne de Durand, directeur du centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales (Ifri).

 

Ce spécialiste des questions stratégiques et militaires rappelle que les Etats-Unis abandonnent leur rôle de protecteur de l'Europe pour se tourner vers l'Asie, que les tensions avec la Russie grandissent et que plusieurs régions sont très instables, notamment le Proche-Orient et la zone sahélienne.

 

Le ministère de la Défense "s'en tire un peu moins mal" que ce qui était redouté, succès de l'opération Serval aidant, mais ne dispose plus d'aucune marge, estime le chercheur.

 

L'Europe de la défense, présentée par Jean-Yves Le Drian comme un recours, reste à l'état embryonnaire et toutes les armées du continent doivent se serrer la ceinture, y compris au Royaume-Uni, l'autre géant militaire du Vieux Continent.

 

L'ambitieuse coopération militaire entre Paris et Londres définie par les accords de Lancaster House en 2010 progresse à tout petits pas. L'Allemagne est quant à elle quasiment absente des opérations extérieures, explique Etienne de Durand.

 

Le général Bertrand Ract-Madoux, chef d'état-major de l'armée de terre, respecte les choix faits par le gouvernement et qualifie la réduction des déficits d'objectif de souveraineté au même titre que la sécurité nationale.

 

L'armée de terre respectera son contrat et la déflation d'effectifs sera conduite à son terme mais elle doit disposer des crédits nécessaires, sous peine de s'exposer à des échecs sur le terrain, a-t-il dit mardi lors d'un débat devant un parterre de décideurs du secteur de la défense.

 

La crise n'est pas simplement sécuritaire mais d'abord financière et il appartient à l'ensemble du monde économique de contribuer à l'effort de guerre, a-t-il estimé.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:35
NZ Government to Close Defense Funding Gap

 

November 13, 2013 defense-aerospace.com

(Source: New Zealand Ministry of Defence; issued Nov. 13, 2013)

 

Government Remains Committed to Sustainable, Affordable Future Defence Force

 

Defence Minister Jonathan Coleman told the Defence Industry Association annual conference today that the Government remains committed to a sustainable and affordable future Defence Force out to 2030.

 

“The Government inherited a substantial long term funding gap in defence, and the 2010 Defence White Paper signalled that new money would be required over time to maintain and improve NZDF capabilities,” says Dr Coleman.

 

“It is important New Zealand plays our part in international security. The Government is committed to having a future Defence Force which is capable, sustainable, deployable and affordable.”

 

The NZDF has undergone a period of significant change, and has focused on moving resources from non-deployable to deployable areas of the NZDF. Progress made on the Savings and Redistribution Programme has resulted in $193 million reinvested into frontline capabilities.

 

The Defence Mid-Point Rebalancing Review (DMRR) was commissioned by Ministers to develop a robust long term funding plan. It was a thorough analytical process which looked at the costs of various combinations of capabilities that would be able to deliver on the Government’s expectations.

 

DMRR was a combined effort by NZDF, MoD, Treasury and DPMC. It has been identified as a model process for understanding costs across the public service.

 

The DMRR has been completed and the Government has agreed to a sustainable long term funding approach for the NZDF out to 2030. The details of the funding will be announced in the Budget.

 

“This funding approach allows the NZDF to plan strategically for its long term future, and it will ensure the NZDF can maintain and improve its current mix of capabilities,” says Dr Coleman.

 

“It will enable the NZDF to meet the Government’s expectations set out in the 2010 Defence White Paper to protect and advance New Zealand’s interests at home, in the South Pacific and globally.

 

“The NZDF remains committed to making on-going savings and efficiencies as part of its long term future planning. This continued focus is vital for the NZDF to sustain its capability.”

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:20
CRS Update: Navy Force Structure and Shipbuilding Plans

November 13, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Congressional Research Service; issued Nov. 8, 2013)

 

Navy Force Structure and Shipbuilding Plans



The Navy’s proposed FY2014 budget requests funding for the procurement of 8 new battle force ships (i.e., ships that count against the Navy’s goal for achieving and maintaining a fleet of 306 ships). The 8 ships include two Virginia-class attack submarines, one DDG-51 class Aegis destroyer, four Littoral Combat Ships (LCSs), and one Mobile Landing Platform/Afloat Forward Staging Base (MLP/AFSB) ship.

The Navy’s proposed FY2014-FY2018 five-year shipbuilding plan includes a total of 41 ships—the same number as in the Navy’s FY213-FY2017 five-year shipbuilding plan, and one less than the 42 ships that the Navy planned for FY2014-FY2018 under the FY2013 budget submission.

The planned size of the Navy, the rate of Navy ship procurement, and the prospective affordability of the Navy’s shipbuilding plans have been matters of concern for the congressional defense committees for the past several years. The Navy’s FY2014 30-year (FY2014-FY2043) shipbuilding plan, like the Navy’s previous 30-year shipbuilding plans in recent years, does not include enough ships to fully support all elements of the Navy’s 306-ship goal over the long run.

The Navy projects that the fleet would remain below 306 ships during most of the 30-year period, and experience shortfalls at various points in cruisers-destroyers, attack submarines, and amphibious ships.


Click here for the full report (92 PDF pages) on the FAS website.

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 18:20
Boeing Partners with USAF to Reduce Supply Chain Costs

 

 

Nov 8, 2013 ASDNews Source : The Boeing Company

 

Boeing and the U.S. Air Force Sustainment Center (AFSC) have entered into an overarching public-private partnership that will streamline supply chain contracting, saving money and speeding up execution by as much as 10 months.

 

The partnership – the first of its kind – allows the three Air Force logistics complexes that are under the AFSC to immediately execute implementation agreements with Boeing, reducing administrative costs and increasing efficiency.

 

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 12:56
Budget de la Défense: Le Drian dément toute tension avec Bercy

 

11/11/2013 boursorama.com (AFP)

 

Jean-Yves Le Drian a démenti lundi toute tension avec Bercy dans l'élaboration de la loi de finance rectificative concernant le budget de la Défense, contrairement à ce qu'affirment des informations de presse.

 

Dans un communiqué, le ministre indique qu'il travaille avec son homologue du Budget pour garantir que les ressources nécessaires à la défense "seront au rendez-vous" pour respecter les objectifs de la Loi de programmation militaire en discussion devant le Parlement.

 

Celle-ci est "l'expression la plus complète de la politique de Défense définie par le président de la République", poursuit-il.

 

Dans le même temps, "ces objectifs tiennent compte (...) de la nécessité de garantir notre souveraineté financière aussi bien que notre autonomie stratégique".

 

La mise au point de M. Le Drian fait suite à des articles de presse, notamment dans Le Monde daté de mardi, faisant état de vives tensions entre Bercy et la Défense en raison d'un refus du budget de dégeler des crédits sur lesquels comptait la Défense.

 

Ces informations "ne reflètent ni la qualité des relations que j'entretiens depuis longtemps avec Bernard Cazeneuve, ni le travail que mon équipe et la sienne entreprennent de concert, y compris pour résoudre de la meilleure façon possible les difficultés qui marquent la fin de la gestion 2013 du budget de l'Etat", écrit M. Le Drian.

 

"Notre objectif commun est de garantir que les ressources nécessaires à notre défense seront au rendez-vous, en particulier à travers le respect des objectif de la Loi de programmation militaire 2014-2019", assure-t-il.

 

Une "communication commune avec le ministre du Budget permettra de le vérifier" mercredi, jour où la loi de finances rectificative doit être présentée en Conseil des ministres.

 

Les industriels de la défense se sont notamment inquiétés de voir le ministre du Budget préparer des coupes dans le budget de la Défense que le président Hollande s'était engagé à préserver.

 

"On parle d'annuler 600 millions d'euros de crédits sur le budget de la Défense 2013", avait déclaré vendredi à l'AFP Marwan Lahoud, président du Gifas qui regroupe les sociétés spécialisées dans l'industrie aéronautique, spatiale et militaire.

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 12:55
Le général Jean-François Furet-Coste.- photo ZDSO

Le général Jean-François Furet-Coste.- photo ZDSO

 

12/11/2013 Par Christophe Lucet - sudouest.fr

 

Le patron de la région militaire relativise l’impact des coupes budgétaires.

 

Comment adapter l’outil militaire à la « forte contrainte budgétaire » actuelle ? C’est le défi auquel s’est attaqué le général Jean-François Furet-Coste, le nouvel officier général de la zone de défense Sud-Ouest. Et l’expérience de sa mission précédente (il était chef de la division ressources humaines de l’état-major des armées à Paris) va lui être utile pour gérer la baisse d’effectifs prévue pour la période 2014-2019 par la loi de programmation militaire en discussion au Parlement.

 

« Notre région militaire est loin d’être la plus impactée », relativise ce général de corps aérien de 54 ans qui chapeaute aussi l’état-major interarmes d’une zone de défense couvrant quatre régions (Limousin, Aquitaine, Poitou-Charentes, Midi-Pyrénées) : sur les 7 500 suppressions de postes prévues en 2014 (1), les unités des 20 départements de la zone « cotiseront » à hauteur de 500 postes - dont 15 à l’état-major -, chiffre à comparer avec les 43 000 personnes (civils et militaires) employées dans les dix bases militaires régionales.

 

La zone Sud-Ouest, qui abrite de nombreux régiments de choc et forces spéciales préservés par les coupes, a plutôt profité des récentes réorganisations. La base aérienne (BA) 120 de Cazaux (Gironde) a été désignée pour accueillir l’escadron 2/2 Alphajet en provenance de Dijon en vue de mutualiser le soutien à ces escadrilles, dont les liens se renforcent avec les forces spéciales. Cela représente une centaine de personnes. Et, en 2012, la BA 106 de Mérignac a accueilli les 850 membres du personnel de la Simmad, structure hier implantée à Brétigny qui maintient en condition opérationnelle 1 300 aéronefs de 42 modèles pour un budget annuel de 1,8 milliard d’euros.

 

Démenti sur la Simmad

 

Jean-François Furet-Coste a tenu à démentir les rumeurs faisant état du retour prochain de la Simmad en région parisienne : « Je n’ai pas la moindre information indiquant un éventuel retour sous d’autres cieux, ou même une baisse de ses effectifs. » Le général quatre étoiles préfère insister sur le maintien des capacités militaires, sur le plan tant régional que national, et sur les perspectives ouvertes par le renforcement des capacités de cyberdéfense, de transport lourd (l’arrivée de l’A400M) ou du nombre de drones (l’unité est à Cognac).

 

Le successeur du général Jean-Marc Laurent (dont il n’a plus la tâche de commandement des forces aérienne, confiée au général Soulet à Dijon) a profité des cérémonies du 11 Novembre pour évoquer les commémorations de la guerre de 14-18. « Le préfet de chaque département est en train de recenser les initiatives », indique le général Furet-Coste, qui a chargé le général Beaussant de gérer ce dossier lourd, car presque toutes les communes de la région voudraient faire appel à l’armée pour leur cérémonie. « On ne pourra pas être partout », prévient le général, qui rappelle que 2014 coïncide aussi avec le 70e anniversaire de la Libération.

 

Des hommages régionaux sont déjà envisagés, comme celui consacré aux tirailleurs sénégalais, dont le camp d’entraînement était à Arcachon. On prépare aussi un hommage au défunt 144e RI de Bordeaux, qui était monté au front le 5 août 1914, fut décimé et ne reprit jamais sa place dans la capitale aquitaine…

 

(1) Il y en aurait 24 000 d’ici à 2019, s’ajoutant aux 10 000 déjà supprimés.

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 12:50
Army Air Corps Apache attack helicopter takes off from the deck of the Royal Navy's amphibious assault helicopter carrier HMS Ocean - photo UK MoD

Army Air Corps Apache attack helicopter takes off from the deck of the Royal Navy's amphibious assault helicopter carrier HMS Ocean - photo UK MoD

 

November 10, 2013 by martin – Think Defence

 

Due to the ongoing sequestration and budget battle in Washington the US Army has been forced to delay its Apache new build and rebuild programs to AH 64 E standards. This means the current type as used by the British Army is likely to be supported for longer giving the MOD some vital breathing space to decide what to do about its Apaches.

 

Currently UK thinking seems to be slanted towards going for a rebuild on the current fleet but reported costs for the US program would put a rebuild on the entire UK Apaches fleet some where north of $600 million which is probably not something the MOD can consider for the next few years at the very least.

 

However as the rebuild will see the fuselage and main rotor replaced, if it was to go ahead would it be worth the UK looking at a marinised version? The aircraft is said to have performed very well from Ocean but it has some severe maintenance issues when being used in a salt water environment. Could a rebuild offer us the chance to solve some of these issues and produce a truly purple asset.

 

ADEX 2013: US sequestration buys time for UK Apache decision makers

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 12:45
A South African Air Force Gripen flies over the Union Buildings

A South African Air Force Gripen flies over the Union Buildings

 

11 November 2013 by Guy Martin – defenceWeb

 

Enhancing the Reserve force, building up the South African Army and strengthening peacekeeping capacity are some of the Department of Defence’s main priorities, according to its annual report.

 

The report, for the 2012/13 financial year, said the enhancement of the South African National Defence Force’s (SANDF’s) Landward Defence Capabilities was “essential” in order for it to carry out all the missions required of it.

 

The report noted that the South African Army received no equipment from the Strategic Defence Procurement Package, like the other arms of service did, and is thus lacking technologically advanced equipment. Enhancement “is considered a priority”, especially if the Army is to operate jointly with the Navy and Air Force.

 

More money was allocated last year to the landward defence programme, due mainly to extra maintenance requirements for the SA Army’s ageing vehicles and the renewal of some equipment. The SA Army will further be enhanced in the coming years with the delivery of Badger armoured vehicles, which are being built by Denel Land Systems.

 

Enhancing the SANDF’s peacekeeping capability and deployability was another priority, as “the role of the SANDF in promoting peace and security in the region and on the African continent necessitates the enhancement of the SANDF’s peacekeeping capability that will include the SANDF’s Forward Deployment Capability.”

 

The Department of Defence report noted that the revitalisation and transformation of the reserves was an important ongoing task, as the Reserves are needed to fulfil various defence tasks in support of the regulars. “The Reserves were transformed to fulfil their primary role of providing the majority of the conventional landward capability of the SANDF, whilst at the same time supplementing the peace support missions conducted by the Regulars,” the report noted. Thousands of reserve forces personnel were used during the 2012/13 financial year to support everything from border safeguarding to peacekeeping deployments.

 

In its report, the Department of Defence stated that it was important to review the arrangement for the repair and maintenance of defence force facilities, with the aim of establishing an in-house DoD Works Capability. This would allow the SANDF to assume full responsibility in looking after its own facilities, following problems encountered with the National Department of Public Works (NDPW).

 

“The DOD has steadily progressed with the establishment of the Defence Works Formation which is currently functional and executing identified renovation projects for facilities occupied by the DOD in close co-operation with the NDPW,” the report said. “The creation of the Works capability has enabled the DoD to assume selected custodian responsibilities from NDPW and in the process created job opportunities.”

 

Other priorities outlined in the annual report included job creation, the National Youth Service, enhancing maritime security (primarily through the South African Maritime Strategy) and restructuring and supporting the defence industry (through the Defence Review Committee).

 

A number of capacity constraints were identified by the DoD’s accounting officer that impacted on priorities, such as skills losses, which “continued throughout the period under review, resulting in some critical skills needing to be acquired from industry at exorbitant cost. Although new personnel were recruited and trained, it will take time for these members to gain the necessary experience.”

 

The skills shortage affected peace support missions, leading to the to the non-compliance with minimum standards of serviceability of major equipment. Consequently, the Department of Defence was not fully reimbursed by the United Nations for the use of its equipment.

 

As previously mentioned, the state of primary equipment, particularly within the Army, “continued to decline to unacceptable levels. Additional funding provided for maintenance and repair of the operational vehicle fleet has had some effect, but is not sufficient to address this concern adequately. The rejuvenation of these capabilities therefore remains one of the DOD’s top priorities.”

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 11:55
France: L'industrie de la défense s'alarme de nouvelles coupes budgétaires

 

08/11/2013 boursorama.com (AFP)

 

L'industrie de la défense est très inquiète de voir le ministre du Budget préparer des coupes dans le budget de la défense que le président François Hollande s'était engagé à préserver, a déclaré vendredi le président du syndicat qui la représente.

 

"On parle d'annuler 600 millions d'euros de crédits sur le budget de la défense 2013 (...) L'impact immédiat sur le tissu industriel va être colossal", a déclaré à l'AFP Marwan Lahoud, président du Gifas, qui regroupe les sociétés spécialiste du secteur de l'industrie aéronautique, spatiale et militaire.

 

Le ministre délégué au Budget Bernard Cazeneuve a annoncé jeudi dans une interview au journal Les Echos que des économies de 3 milliards d'euros seraient "réparties sur l'ensemble des ministères".

 

"C'est une inquiétude très forte de toute l'industrie", a poursuivi M. Lahoud, également chef de la stratégie du groupe d'aéronautique et de défense EADS.

 

"Ces annulations vont porter sur les dépenses d'équipement, elles ne vont pas porter sur les dépenses incompressibles, comme les opérations extérieures ou la rémunération".

 

Et d'après lui, ce ne sont pas tellement les grands groupes qui seront touchés, les deux tiers des annulations affecteront les équipementiers avec qui ils sous-traitent. "On attaque directement le tissu de la sous-traitance", a prévenu le dirigeant d'EADS.

 

"Le président de la République a déclaré solennellement qu'on conserverait ces crédits là, avant même que l'exécution de la Loi de programmation militaire 2014-2019 ait commencé, on voit qu'elle n'est pas garantie".

 

L'industrie de la défense avait accepté contrainte et forcée la réduction des crédits militaires qui va entraîner des réductions et des étalements de programme dans les années à venir.

 

"On savait qu'il y avait des adaptations nécessaires et on était prêt à les gérer, mais ce qui est en train de se passer c'est qu'on va sortir du cadre de ce qui est gérable et maîtrisable", a insisté M. Lahoud

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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 11:32
La LPM prévoit un budget de 190 milliards d'euros sur six ans pour la Défense

La LPM prévoit un budget de 190 milliards d'euros sur six ans pour la Défense

 

8 novembre 2013 Par Jean-Baptiste Le Roux - economiematin.fr

 

Rien ne va plus entre Bercy, Matignon et le ministère de la Défense.

 

Les deux premiers veulent annuler 500 millions d'euros de crédits en 2013. L'hôtel de Brienne refuse catégoriquement.

 

Le gouvernement doit trouver 3 milliards d'euros de crédits nouveaux

 

Loi de Finances rectificative oblige, il va falloir trouver 3 milliards d'euros de crédits nouveaux. Et pourquoi, dans ce cas, ne pas aller en chercher un peu… chez les militaires ? Bien que ces derniers commencent à être habitués d'être tondus aux besoins de la République, cette fois-ci rien ne va plus entre Bercy, Matignon, et le ministère de la Défense qui s'oppose catégoriquement à ce nouveau prélèvement sur les fonds de l'armée.

 

La Défense doit y participer à hauteur de 500 millions d'euros

 

Car après le Livre blanc de la Défense et la Loi de Programmation Militaire (LPM) qui a déjà fortement, dans les faits, entamé les moyens de la Défense, ces 500 millions d'euros ne passent vraiment pas en travers de la gorge des militaires. Cette loi de Finances rectificative doit être présentée en Conseil des ministres mercredi prochain.

 

Dans une interview accordée aux Echos jeudi, Bernard Cazeneuve, ministre délégué au Budget, a tenté d'être rassurant. Pour lui, ces 3 milliards de crédits supplémentaires seront compensés "à l'euro près par autant d'annulations réparties sur l'ensemble des ministères, y compris d'ailleurs ceux qui bénéficient des ouvertures". Et cela en se servant dans les crédits gelés durant l'année. Ainsi, à ce sujet, les militaires ont dû mettre de côté 1,54 milliard d'euros de côté.

 

Clause de solidarité ministérielle VS facture des opérations extérieures

 

C'est ce qu'on appelle la clause de solidarité interministérielle. Chaque ministère doit donc se serrer la ceinture, au prorata de son poids dans le budget de l'Etat. Plus un ministère est important, plus il doit concéder une somme importante, dans ce cas. Ce qui explique les 500 millions d'euros réclamés à la Défense cette année.

 

Mais pour les militaires, ce n'est pas possible. On estime que Bercy récupère les fonds qu'elle avait accordé pour régler la facture des opérations extérieures, comme le Mali, par exemple, pour lequel la facture a explosé. L'autre problème, c'est que pour régler toutes ses factures, et éviter que le report de charges sombre dans le rouge, la Défense doit récupérer 100 % des crédits gelés. Un tableau à double entrée qui fait figure de casse-tête pour le gouvernement.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 17:50
CSDP between internal constraints and external challenges

Report No17 - 06 November 2013 - edited by Eva Gross, Anand Menon

 

Improving Europe’s military and civilian capabilities in a shifting security environment represents a major challenge for the EU and its member states. For one thing, European countries are having to contend with a climate of economic austerity that makes arguments in favour of investment in defence less convincing than they may (or may not) have been in more affluent times; second, broader geopolitical and strategic trends point towards Europeans assuming greater responsibility for their own security and the protection of European interests abroad; finally, the changing nature of conflict and projections concerning the coming decades call for a recalibration of the EU’s approach and appropriate instruments for its engagement in conflicts in its neighbourhood and beyond.

 

This report is the outcome of a conference held together with King's College London in September 2013 entitled 'CSDP between internal constraints and external challenges: the road ahead'.

 

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 12:45
An SA Army 120 mm mortar in action

An SA Army 120 mm mortar in action

 

06 November 2013 by Guy Martin - defenceWeb

 

The state of the South African Army’s vehicles and other so-called prime mission equipment (PME) is declining to unacceptable levels while modernisation remains stagnant due to budget constraints and hurdles from entities like Armscor, according to the Department of Defence.

 

In its annual report for the period April 1, 2012, to March 31, 2013, the Department of Defence (DoD) noted that the period “remained a challenging year for the SA Army as a result of ever-increasing costs of the sustainment of PME, facilities, personnel, ammunition for training and operations.”

 

“The state of prime mission equipment, particularly in the Landward Defence programme, continued to decline to unacceptable levels. Additional funding provided for maintenance and repair of the operational vehicle fleet has had some effect, but is not sufficient to address this concern adequately. The rejuvenation of these capabilities therefore remains one of the DoD’s top priorities,” the DoD’s accounting officer said in the annual report.

 

As the Army did not receive any equipment from the Strategic Defence Packages (‘arms deal’), the DoD said it is lacking the required human resources, infrastructure and technologically advanced equipment.

 

Modernising the South African Army and acquiring more equipment “has remained stagnant” and has been hampered by a lack of funding and the delays to the finalisation of the Defence Review “which will inform the required future Landward Defence Capabilities of the SANDF”, the DoD said.

 

The serviceability and repair of equipment and vehicles was highlighted as a challenge to the landward arm of the SANDF due to the long process of acquisition, distribution of spares and shortage of personnel.

 

Although the SA Army said it was fully motivated to support its equipment, it said that support from Armscor and the Central Procurement Service Centre (CPSC) “remained extremely challenging.” Reliance on Armscor and the CPSC “created challenges for the SA Army resulting in the underutilisation of National Treasury funding.”

 

The South African Army actually underspent in the last financial year, something that was attributed to “external spending hurdles” such as the CPSC, Public Works department and Armscor, “which the SA Army is unable to influence.” Indeed, actual expenditure for 2012/13 was R12.367 billion, versus the R12.68 billion budgeted for.

 

The DoD said the defence budget allocation for landward renewal was “adequate” for the short term, but that rejuvenating the Army’s equipment, human resources and infrastructure was “compromised by a variety of institutional challenges central to which is the limited budget”. Indeed, the Strategic Capital Acquisition Master Plan (SCAMP) faces a budget deficit of R3 billion between FY 2017 and FY2020.

 

While the DoD highlighted the poor state of the Army’s vehicle fleet in its report, some relief came this year when Denel Land Systems received a contract for the production of 264 Badger armoured vehicles, to be produced over ten years, with the first delivery in 2015.

 

Apart from budget issues affecting equipment, the DoD said the SA Army’s personnel are insufficiently rejuvenated, directly affecting its ability to provide and sustain operational obligations in the future. A number of units were singled out as being in adequate to sustain operations, notably 16 and 17 Maintenance Units, 101 and 102 Field Workshops, Hospitality Services and VIP Protectors.

 

For the year under review, the DoD said the SA Army, as part of the Landward Defence Programme, made a significant contribution, notably through border protection duties and external deployments in Africa. “The SA Army fulfilled all its Joint Force Employment (JFE) commitments, notwithstanding the fact that it was overstretched, especially in the infantry, engineer, intelligence, signal and support capabilities. Reserve and MSDS [Military Skills Development System] members were utilised for both internal and external deployments to alleviate the pressure on Regular units.”

 

The external deployments included United Nations missions to the Democratic Republic of Congo (Monusco), Darfur (Unamid) and in support of training and protection in the Central African Republic. The SANDF also sent personnel to train DRC military forces. Two SA Army Reserve sub-units supported the Monusco and Unamid operations respectively

 

During the year under review, the SA Army provided 11 combat-ready sub-units for Border Safeguarding Operations as part of internal deployments. Eight SA Army Reserve sub-units were deployed for border safeguarding. A total of 10 784 reserves were called up for 1 647 109 man-days. 65% of the full call-up complement were employed for operational and force preparation duties.

 

The SA Army was also used to support the South African Police Service, particularly during the Marikana unrest, supported the African Cup of Nations and assisted the Mozambican Defence Force with counter-piracy operations in the Mozambique Channel.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 08:55
Audition de P. Errera, directeur chargé des affaires stratégiques, sur le projet de loi de programmation militaire et le projet de loi de finances pour 2014

06.11.2013 Assemblée Nationale

Audition de M. Philippe Errera, directeur chargé des affaires stratégiques, sur le projet de loi de programmation militaire et le projet de loi de finances pour 2014

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 18:20
Le potentiel militaire US menacé par les coupes budgétaires (Pentagone)

 

WASHINGTON, 5 novembre - RIA Novosti

 

Les réductions actuelles du budget fédéral des Etats-Unis risquent d'affecter le potentiel militaire du pays, estime le se secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel.

 

"Les réductions actuelles - rigoureuses, brutales et substantielles - risquent de provoquer une dégradation de nos capacités militaires", a déclaré M. Hagel dans un discours prononcé mardi au Centre d'études stratégiques et internationales de Washington lors d'une réunion organisée dans le cadre de la Conférence de Munich sur la sécurité.

 

M. Hagel a rappelé que dans le cadre des coupes budgétaires en vigueur depuis mars, les dépenses du Pentagone seraient réduites de 500 milliards de dollars au cours des dix prochaines années et ce, en plus d'une réduction de 487 milliards approuvée auparavant.

 

Faute de budget normal, le Pentagone aura du mal à planifier ses opérations, a affirmé M. Hagel. Il a également cité les domaines dans lesquels le département de la Défense envisage faire des économies. Selon M. Hagel, les Etats-Unis doivent créer des unités plus mobiles et plus souples dotées d'effectifs moins importants, privilégier les unités de combat sur les garnisons et empêcher une hausse incontrôlable des dépenses.

 

Malgré ces réductions, le budget militaire des Etats-Unis constitue toujours environ 40% des dépenses mondiales dans ce domaine.

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