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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 13:30
Syrie: Washington propose de détruire les armes chimiques dans la mer

 

MOSCOU, 20 novembre - RIA Novosti

 

Plusieurs pays ayant refusé de détruire les arsenaux chimiques syriens sur leur sol, les Etats-Unis ont proposé de le faire dans les eaux internationales via un navire dévolu à cela, écrit le New York Times se référant à des officiels américains.

 

Selon un plan détaillé de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), toutes les substances susceptibles d'être utilisées pour la fabrication d'armes chimiques, à l'exception de l'isopropanol, seront évacuées de Syrie au plus tard le 5 février 2014. Toutefois, plusieurs pays qui s'étaient vus invités à détruire ces arsenaux sur leur sol ont refusé de participer à cette opération. 

 

Les sources du New York Times affirment que ce refus a poussé la communauté internationale à rechercher une alternative. Les Etats-Unis examinent deux scénarios possibles susceptibles d'être mis en place dans 75 jours seulement.

 

Conformément au premier projet, les précurseurs des arsenaux chimiques seront détruits dans cinq incinérateurs installés à bord d'un navire flottant dans les eaux internationaux. L'opération en question prendra 60 jours au maximum. Les substances qui en résulteront ne représenteront aucun danger, indique l'interlocuteur de l'agence. 

 

La participation de compagnies, navires ou experts américains n'est pas prévue. Toutefois, les Etats-Unis se déclarent prêts à assurer la sécurité du navire et s'engagent à envoyer leurs bâtiments de guerre et chasseurs dans sa zone de localisation. 

 

Le second scénario prévoit le recours à un système mobile high-tech développé par le Pentagone afin de neutraliser les précurseurs d'armes chimiques. Par le biais de la combinaison entre de l'eau, d'autres substances et de la chaleur, l'équipement en question permet de transformer les précurseurs des armes chimiques en combinaisons ne pouvant plus servir à la fabrication des arsenaux en question. La durée de la mise en place de ce projet est estimée à 10 jours.

 

Toutefois, le New York Times souligne que Washington continue à chercher un pays qui accepterait de recevoir sur son sol les plus de 1.000 tonnes de substances chimiques et de précurseurs déclarés par Damas.

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19 novembre 2013 2 19 /11 /novembre /2013 13:58
Steadfast Jazz- Dernière partition

 

19/11/2013 Armée de Terre

 

Pologne, novembre 2013, un engin explosif vient d’être découvert sur le bas-côté de la route. Le bataillon nucléaire biologique et chimique (NBC) du 2e régiment de dragons (2eRD) doit intervenir aux côtés des démineurs du génie. Il s’agit ici d’une simulation dans le cadre d’un exercice multinational dont l’objectif est d’évaluer les différents postes de commandement en vue de leur certification pour la prise d’alerte Nato Response Force (NRF). Certification qui permettra à la France d’assurer notamment le commandement de la composante NRBC de la force de réaction rapide de l’OTAN en 2014.

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19 novembre 2013 2 19 /11 /novembre /2013 12:40
Les USA pas prêts à participer au contrôle des armes bactériologiques (Lavrov)

 

MOSCOU, 19 novembre - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis n'ont pas l'intention de participer au combat contre les armes bactériologiques, a déclaré le ministre russe des affaires étrangères Sergueï Lavrov dans un entretien au journal Nezavissimaya Gazeta.

 

"Malheureusement, s'agissant des armes biologiques (pour lesquelles, soit dit en passant, il n'existe pas de mécanisme d'encadrement), nos partenaires américains ne sont pour le moment pas très enclins à faire un pas dans la voie d'un contrôle multilatéral, ce qui aurait été pourtant très pratique", a affirmé le ministre.

 

Et d'ajouter que la Russie soutenait la mise en place de mécanismes extrêmement précis visant à contrôler ces armes de destruction massive, qui représentaient pour Moscou une "ligne rouge absolue".

 

"Nous participons sans exception à tous les structures internationales visant à empêcher la violation des régimes, que ce soit à propos des armes nucléaires, chimiques ou biologiques. Dans le cadre du Traité sur la non prolifération des armes nucléaires (TNP) ou de la Convention sur l'interdiction des armes chimiques et bactériologiques, nous avons un rôle actif et cherchons à ce que ces mécanismes dits de vérification soient très clairement rétablis", a précisé le haut responsable russe.

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19 novembre 2013 2 19 /11 /novembre /2013 08:30
L'Allemagne refuse d'accueillir les armes chimiques syriennes (Westerwelle)

 

BERLIN, 18 novembre - RIA Novosti

 

Le ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle a fait savoir que son pays refusait d'accueillir les armes chimiques syriennes en vue de leur destruction, même si Berlin était prêt à apporter un soutien technique et financier à ce processus.

 

"Nous offrirons des fonds et du matériel, nous proposerons notre soutien logistique afin que les armes chimiques soit détruites. Cependant, c'est toute la contribution que nous pouvons apporter si l'on examine cette question du point de vue géographique", a indiqué le ministre.

 

En refusant de détruire les armes chimiques sur son territoire, l'Allemagne a repris la position adoptée la semaine dernière par l'Albanie. Le premier ministre de ce pays, Edi Rama, a annoncé vendredi que Tirana déclinait la demande américaine d'autoriser la destruction de l'arsenal chimique syrien sur le sol albanais.

 

Damas a déclaré 1.300 tonnes de substances chimiques et de précurseurs utilisés pour la production d'armes chimiques, ainsi que plus de 1.200 munitions non chargées. Il a en outre déclaré 41 installations sur 23 sites pouvant être utilisées pour fabriquer des armes chimiques.

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 12:50
Destruction/armes chimiques: pas en Belgique

 

18/11/2013 Par Le Figaro.fr (AFP)

 

Le ministre belge de la Défense, Pieter De Crem, a déclaré aujourd'hui qu'il n'était pas favorable à la destruction d'une partie des armes chimiques syriennes en Belgique.

 

La Belgique avait été l'un des pays, avec notamment la France, à avoir été approchés par les États-Unis afin de participer à l'élimination de l'arsenal chimique syrien.

 

"Je veux bien faire un effort pour y contribuer, mais faire cela chez nous, à première vue et sur le long terme, je n'y suis pas favorable", a déclaré Pieter De Crem à la radio flamande VRT. Il a précisé que la Belgique était prête à contribuer à l'inventaire des armes chimiques. "Nous pouvons proposer notre aide pour les neutraliser", mais "je pense que cela devrait plutôt se dérouler dans les environs au sens large du territoire syrien", a ajouté le ministre, cité par l'agence Belga. "Le déplacement de ces armes est en soit une mission difficile".

 

L'Albanie, également approchée par Washington, avait déjà exclu vendredi qu'une partie de la destruction puisse se dérouler sur son territoire.

 

L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a approuvé vendredi le plan de destruction de l'arsenal chimique syrien d'ici à la mi-2014. Il prévoit que les armes soient transportées hors du pays, afin d'assurer leur destruction de la manière "la plus sûre et plus rapide" possible.

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 19:30
Syrie: l’OIAC adopte le plan de destruction de l’arsenal chimique

 

16/11/2013 45eNord.ca (AFP)

 

Albanie, démantèlement, arsenal chimique, OIAC, plan de destruction,

 

L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques a approuvé vendredi à La Haye le plan de destruction de l’arsenal chimique syrien d’ici la mi-2014, opération que l’Albanie a refusé d’accueillir sur son sol.

 

«Le plan est adopté», a déclaré à l’AFP Christian Chartier, porte-parole de l’OIAC, à l’issue d’une réunion des 41 membres du Conseil exécutif de l’OIAC à La Haye.

 

Vendredi était en effet une date butoir aux termes d’un accord russo-américain ayant permis d’éviter des frappes militaires américaines en Syrie, date avant laquelle le Conseil exécutif de l’OIAC était censé approuver les différentes échéances pour la destruction de plus de 1.000 tonnes d’armes chimiques.

 

D’autre part, alors que l’opposition syrienne a subi dernièrement plusieurs revers, dont la mort jeudi de cinq commandants rebelles, une conférence de paix, plusieurs fois reportée, a été annoncée pour le 12 décembre à Genève par un quotidien syrien proche du régime. Ni Damas, ni les rebelles n’ont confirmé cette date.

 

Le régime se dit prêt à y participer tant que le départ du président Bachar al-Assad n’est pas à l’ordre du jour, mais l’opposition insiste sur le départ du président et son exclusion d’un éventuel processus de transition.

 

Les discussions au siège de l’OIAC ont été interrompues deux fois avant qu’un accord ne soit trouvé, vendredi vers 20h00 GMT.

 

Aux termes de cet accord, les armes chimiques syriennes seront transportées hors du pays en guerre, afin d’assurer leur destruction de la manière «la plus sûre et plus rapide» possible, a indiqué l’OIAC dans un communiqué.

 

Presque toutes les armes chimiques et les précurseurs entrant dans la composition des produits toxiques, à l’exception de l’isopropanol pouvant servir à la fabrication de gaz sarin, doivent être retirés du pays d’ici le 5 février 2014.

 

Les armes chimiques les «plus critiques» doivent être retirées du pays d’ici la fin de l’année, a indiqué l’OIAC.

 

Les installations de production déclarées par le régime seront détruites entre le 15 décembre et le 15 mars 2014, selon l’organisation.

 

Les armes chimiques dont l’élimination est jugée «prioritaire» seront détruites en dehors de la Syrie d’ici avril 2014, et toutes les autres armes chimiques d’ici la date butoir du 30 juin 2014, selon le calendrier approuvé par l’OIAC.

 

Mais qui accueillera l’opération?

 

Parallèlement, le Premier ministre albanais Edi Rama a exclu vendredi la destruction en Albanie des armes chimiques syriennes, contrairement à ce que lui demandait Washington, un de ses proches alliés.

 

Dans cette nation des Balkans qui a détruit tout l’arsenal chimique datant de son époque communiste, quelque 4.000 personnes réunies à Tirana, la capitale, ont acclamé la décision du Premier ministre. Ce dernier a déclaré que son pays n’avait «pas les capacités» nécessaires pour cette opération.

 

Malik Ellahi, conseiller politique du chef de l’OIAC Ahmet Uzumcu, a indiqué ne pas encore savoir dans quel pays les armes chimiques syriennes pourraient être transportées pour être détruites, après le refus de Tirana.

 

«Mais le Conseil exécutif a adopté une décision et est confiant quant au fait qu’il existe des alternatives et que ce matériel sera transporté hors de la Syrie», a-t-il déclaré à la presse.

 

«Les dates butoir ont été fixées avec l’assurance qu’il y aura des alternatives pour la destruction», a-t-il ajouté.

 

La France et la Belgique auraient été contactées par les États-Unis, tandis que la Norvège a d’ores et déjà exclu de détruire les armes chimiques sur son sol, disant que les délais sont trop courts et qu’elle ne possède pas l’expertise nécessaire.

 

La Norvège et le Danemark se sont engagés à fournir des navires pour aider à transporter les armes hors de la Syrie, Copenhague ayant également promis une équipe de protection pour la délégation de l’OIAC sur place.

 

Une équipe conjointe ONU-OIAC est en Syrie depuis octobre pour inspecter l’arsenal chimique syrien. Les sites de production ont été rendus inutilisables et les armes placées sous scellés.

 

Les inspecteurs travaillent dans «une zone de guerre active, une situation extrême sur le plan de la sécurité», a déclaré la coordinatrice de la mission, Sigrid Kaag, à l’ouverture de la réunion à La Haye.

 

Elle a assuré que son équipe était en contact avec «des groupes armés de l’opposition» afin de s’assurer de la sécurité de la mission.

 

Selon une source diplomatique, le directeur de l’OIAC Ahmet Uzumcu a écrit le 11 novembre à Mme Kaag, lui présentant une ébauche du plan.

 

Selon cette ébauche, du matériel pour emballer et manipuler les armes chimiques sera envoyé vers 12 sites de stockage d’ici au 13 décembre, après quoi les armes chimiques seront transportées vers le principal port syrien, Lattaquié, d’où elles partiront par bateau avant le 5 février.

 

Damas a demandé de l’aide logistique pour ce processus, dont des 4×4 blindés et de l’équipement électronique de pointe. Mais les puissances occidentales rechignent à fournir ce genre de matériel, qui pourrait être utilisé dans la guerre civile.

 

Moscou, allié de Damas, pourrait toutefois fournir de tels équipements sans broncher.

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16 novembre 2013 6 16 /11 /novembre /2013 08:30
L'Albanie refuse de détruire l'arsenal chimique syrien sur son sol

 

15.11.2013 Le Monde.fr ( AFP)

 

Après une forte contestation de la population et de l'opposition albanaise, le premier ministre a annoncé vendredi 15 novembre que l'Albanie refusait de détruire l'arsenal chimique syrien sur son sol.

Le gouvernement faisait en effet face à des critiques croissantes de la part de l'opposition, qui dénonce la demande présentée par les Etats-Unis à l'Albanie de procéder au démantèlement.

"Il est impossible pour l'Albanie de participer à une telle opération (…) puisqu'elle n'en a pas les capacités", a affirmé M. Rama, dont les propos, retransmis en direct sur la grande place de Tirana, ont été accueillis par les acclamations de milliers de manifestants.

M. Edi Rama, premier ministre en fonction depuis deux mois, s'était dans un premier temps pourtant montré favorable à la requête américaine, estimant que celle-ci était assortie d'une compensation financière dont le pays a besoin. 

 

NOUVEAU REVERS POUR LES ÉTATS-UNIS

 

A Tirana, capitale du pays, des manifestants ont défilé jeudi 14 novembre devant le Parlement, brandissant des pancartes avec des slogans tels que "Non au sarin, oui à l'oxygène" ou "Non aux armes chimiques en Albanie".

L'Albanie possède une expérience dans le démantèlement des armes chimiques. En 2004, elle s'était débarrassée, avec l'aide des Etats-Unis, de celles héritées de sa période communiste.

Il s'agit d'un nouveau revers pour les Etats-Unis. Le 25 octobre, la Norvège avait déjà rejeté la demande américaine, excluant formellement de détruire une partie de l'arsenal chimique syrien sur son sol.

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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 12:30
Le Danemark enverra un navire pour évacuer des armes chimiques de Syrie

 

08.11.2013 Par La Voix de la Russie

 

Le Danemark enverra un navire de transport militaire embarquant un commando spécial pour évacuer des armes chimiques de Syrie, a communiqué aujourd'hui le ministre de la Défense, Nicolai Wammen. Une demande appropriée a été adressée au Danemark par l'ONU.

 

« Le Danemark est disposé à répondre par l'affirmative », a-t-il déclaré ayant ajouté qu'il attentait un demande formelle plus concrète d'ici le 15 novembre.

 

Le ministre du Développement Christian Friis Bach a démenti les rumeurs d'après lesquelles les armes seraient détruites au Danemark.

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 18:30
Syrie: la Russie refuse de détruire elle-même les armes chimiques (officiel)

 

NEW YORK (Nations unies), 5 novembre - RIA Novosti

 

La Russie  refuse de détruire elle-même les armes chimiques syriennes, mais accepte de prendre part à ce projet sous une forme ou sous une autre, a annoncé mardi aux journalistes l'ambassadeur russe auprès de l'ONU Vitali Tchourkine.

 

"La Russie n'envisage pas d'effectuer la destruction physique des armes chimiques syriennes, mais la participation russe au démantèlement de ces arsenaux est parfaitement réelle", a-t-il affirmé à l'issue de consultations au Conseil de sécurité.

 

Selon M. Tchourkine, plusieurs scénarios de cette participation sont actuellement à l'étude.

 

Le directeur général de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), Ahmet Uzumcu, a déclaré mardi que la proposition syrienne visant à détruire les armes chimiques à l'extérieur du pays était "la plus opportune" vu les difficultés pratiques liées à la destruction de ces armes sur fond de conflit armé.

 

M. Uzumcu a également fait savoir que les travaux visant à démanteler les arsenaux chimiques étaient en cours sur sept sites syriens.

 

"Des travaux analogues ont également débuté sur cinq autres sites", a ajouté le directeur général de l'OIAC.

 

Les autorités syriennes ont déclaré 1.300 tonnes de substances chimiques et de précurseurs utilisés pour la production d'armes chimiques, ainsi que plus de 1.200 munitions non chargées. Elles ont en outre déclaré 41 installations sur 23 sites pouvant être utilisées pour fabriquer des armes chimiques.

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 18:30
Syrie: le pays qui détruira les armes chimiques annoncé l'année prochaine (Damas)

 

MOSCOU, 5 novembre - RIA Novosti

 

Le pays où seront acheminées les armes chimiques syriennes en vue de leur destruction ne sera pas annoncé avant l'année prochaine, a annoncé mardi à Moscou l'ambassadeur de Syrie en Russie, Riad Haddad.

On ne le sait pas pour le moment. Les négociations se poursuivent, le processus va durer jusqu'à l'année prochaine", a indiqué le diplomate.

Le quotidien russe Kommersant a récemment annoncé que les armes chimiques syriennes seraient très probablement transportées en Albanie. Le journal écrit également en référence à une source diplomatique qu'il est possible que la Russie mette à disposition des moyens de transport pour évacuer les arsenaux chimiques syriens à l'étranger et participe au financement de l'opération en accordant près de 2 millions de dollars à cet effet.  

Le plan détaillé de destruction des armes chimiques syriennes est encore à l'étude, a indiqué vendredi la chef de la mission conjointe de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) et des Nations unies Sigrid Kaag.

La mission OIAC/Onu est chargée de superviser la destruction de l'arsenal chimique syrien suite à la résolution 2118 du Conseil de sécurité des Nations unies qui ordonne le désarment chimique complet de la Syrie d'ici la mi-2014.

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 18:30
Syrie: les lieux de production d'armes chimiques sont inutilisables

 

31/10/2013 Par LEXPRESS.fr

 

L'OIAC assure ce jeudi que les installations de production d'armes chimique en Syrie sont neutralisées, dans le cadre du démantèlement de l'arsenal syrien.

 

Le démantèlement de l'arsenal chimique suit son cours en Syrie. Une source à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) affirme ce jeudi que les sites de production sont désormais inutilisables, avant la date butoir de samedi. Une annonce officielle est attendue plus tard dans la journée.

 

La Syrie s'est conformée à la décision du conseil exécutif de l'OIAC, qui l'enjoignait d'avoir procédé à cette "destruction fonctionnelle aussi rapidement que possible et pas plus tard qu'au 1er novembre 2013", a souligné cette source.

 

Le pays a soumis le 24 octobre son programme général de destruction, permettant d'établir les plans visant une "destruction systématique, intégrale, et vérifiée" des armes chimiques.

 

Suite de l’article

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 18:55
Jean-Yves Le Drian inaugure le laboratoire P4 de la DGA

28/10/2013 CNE Laetitia Périer - Economie et technologie

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a inauguré jeudi 24 octobre le laboratoire P4 de la Direction générale de l'armement (DGA). Cette installation, la première de ce type au sein du ministère de la Défense, a pour mission de permettre aux scientifiques d'étudier les virus les plus dangereux dans les meilleures conditions de sécurité et de permettre aux forces armées d'anticiper les menaces biologiques et d'évaluer les équipements de détection et de décontamination.

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a inauguré jeudi 24 octobre dans l'Essonne le laboratoire P4 de la DGA. Cette installation, la première au sein de la Défense, vient combler une lacune capacitaire face au risque biologique. En effet, le laboratoire permettra de manipuler et d'étudier en toute sécurité les virus les plus dangereux et de permettre ainsi aux forces armées de mettre au point et de tester des équipements de détection, d'identification, de protection et de décontamination biologique.

 

Cette capacité P4 de la Défense comprendra par ailleurs un second laboratoire distinct, celui du Service de santé des armées (SSA), qui sera dédié à la mise au point de vaccins et antiviraux. Ces installations visent à renforcer la sécurité des armées et de la Nation face à une menace biologique réelle et dont le dernier Livre blanc sur la défense et le sécurité nationale avait souligné la nécessité d'anticiper les évolutions.

 

"Pour mieux répondre aux menaces grandissantes dans le domaine biologique, la Défense a décidé d'investir dans deux laboratoires qui sont complémentaires, permettant de manipuler des virus vivants de classe 4 [NDLR : Ebola, fièvre de Lassa...]. Des virus contre lesquels il n'existe encore aucun traitement connu" a rappelé le ministre à cette occasion.

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 18:30
La Syrie a présenté son plan général de destruction des armes chimiques, confirme l’OIAC

28/10/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a confirmé dimanche 27 octobre que la Syrie lui a bien a soumis sa déclaration formelle initiale couvrant son programme d’armes chimiques.

 

La soumission de la Syrie respecte donc, souligne le communiqué de l’OIAC, la date limite fixée par le Conseil exécutif de l’OIAC , dans sa décision du 27 septembre 2013 exigeant une déclaration initiale complète d’ici le 27 octobre 2014.

 

L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC, l’organisme chargé de faire appliquer toutes les dispositions de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques (CIAC), a pour mandat de poursuivre les objectifs et le but de la Convention, de veiller à l’application de ses dispositions, y compris celles qui concernent la vérification internationale du respect de ses dispositions.

 

Quand la résolution 2118 des Nations unies avait ordonné la destruction de l’arsenal chimique syrien d’ici la mi-2014, écartant la menace d’une frappe américaine en représailles à une attaque chimique meurtrière imputée au régime syrien le 21 août en banlieue de Damas, la Syrie, réputée posséder plus de 1000 tonnes d’armes chimiques, avait aussitôt demandé son adhésion à l’OIAC et, depuis, coopère totalement avec la mission conjointe ONU-OAIC chargée du démantèlement de son arsenal chimique.

 

«Ces déclarations», [de la Syrie], note également l’OIAC, «constituent la base sur laquelle les plans sont conçus pour une destruction systématique, totale et vérifiée d’armes chimiques déclarées et des installations de production.»

 

Le document de la Syrie, dit l’organisation, comprend un plan général de destruction pour examen par le Conseil exécutif de l’OIAC .

 

Damas avait précédemment transmis un inventaire de ses 23 sites de production et de stockage de ses armes chimiques, dont 21 sur 23 ont déjà été inspectés par des experts dans le cadre de la mission conjointe entre l’ONU et l’OIAC.

 

Aux termes de la Convention sur les armes chimiques , les nouveaux États membres de l’organisation sont également tenus de présenter une déclaration portant sur les activités et les installations qui ne sont pas interdites par la Convention , «mais peuvent être soumis à des mesures de vérification de routine comme mesure de renforcement de la confiance et pour [mieux] établir l’intention pacifique des activités commerciales.», note encore l’OIAC, qui précise que la Syrie a également soumis une telle déclaration.

 

Par ailleurs, le premier rapport mensuel sur les travaux de la mission conjointe de l’OIAC des Nations Unies en Syrie a été publié à l’intention des États membres par le Directeur général et transmis au Conseil de sécurité pour examen par le Secrétaire général .

 

Il couvre les progrès accomplis depuis que les inspections ont commencé en Syrie après le déploiement de l’équipe d’avant-garde le 1er octobre .

 

La tâche prioritaire de l’équipe, rappelle le communiqué de l’OIAC, est de rendre inopérantes les installations de production, de mélange et de remplissage d’armes.

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 08:55
Inauguration du laboratoire biologique P4 de la DGA

Le laboratoire biologique P4 de DGA maîtrise NRBC a été inauguré le 24 octobre 2014

 

25/10/2013 DGA

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a inauguré aujourd’hui le laboratoire P4 de la Direction générale de l’armement (DGA). Situé dans l’Essonne, ce laboratoire - le premier de ce type au sein du ministère de la Défense - vient combler une lacune capacitaire face au risque biologique.

 

Le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale a rappelé que face au risque Nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique (NRBC), il convient d’anticiper les évolutions de la menace en maintenant une avance technologique dans le domaine de la protection.

 

La capacité P4 de la Défense comprendra deux laboratoires distincts. Le premier, celui de la DGA, est dédié aux activités de connaissance du risque, de caractérisation et d’essais des équipements de protection contre la menace biologique. Le second, celui du Service de santé des armées (SSA), sera, quant à lui, dédié à la mise au point de thérapeutiques et prophylaxies (vaccins et antiviraux).

 

Les principales missions du P4 DGA sont de lutter contre la prolifération biologique, de développer la connaissance des menaces dans ce domaine, ainsi que d’évaluer les équipements de détection et de décontamination.

 

« Pour mieux répondre aux menaces grandissantes dans le domaine biologique, la Défense a décidé d’investir dans deux laboratoires qui sont complémentaires, permettant de manipuler des virus vivants de classe 4. Des virus contre lesquels il n’existe encore aucun traitement connu », a déclaré le ministre de la Défense devant les personnels de la DGA Maîtrise NRBC réunis pour l’occasion.

 

Cet investissement vise à renforcer la sécurité des armées et de la Nation face à une menace biologique. Ce laboratoire va mettre au point et tester des équipements de détection, d’identification, de protection et de décontamination biologique. Ce P4, dont la maîtrise d’oeuvre a été confiée au groupe français d’ingénierie Artelia, a été conçu selon les normes de sécurité les plus strictes.

 

La DGA contribue au développement d’un savoir français dans la lutte contre le risque NRBC. Les offres d’équipement des sociétés françaises, dont de nombreuses PME, permettent de couvrir l’ensemble des besoins du domaine. Le chiffre d’affaires global réalisé par l’industrie française est de l’ordre de 500 millions d’euros, dont 40% réalisé à l’exportation. Le secteur emploie en France près de 1000 personnes.

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 07:50
Mais que fait l'armée belge?

26.10.2013 Christophe Lamfalussy et Christian Laporte - lalibre.be



Le chef de la Défense nationale souligne l'éclectisme de son armée, présente sur bien des terrains.

 

Un an après son entrée en fonction, le chef de la Défense, le général Gérard Van Caelenberge avait prévu de faire le point avec la presse spécialisée. Le rendez-vous était programmé en juillet mais la passation de pouvoir royale l’a reporté à cette fin octobre.

Qu’à cela ne tienne : le bilan mais aussi les perspectives de la Défense pour l’année à venir tiennent clairement compte de l’agenda politique. On est au début de la dernière session parlementaire de la législature, soit à un moment où le gouvernement sortant ne prendra plus vraiment de décisions qui engageront celui qui sortira des urnes en mai 2014. Il a donc surtout été question des opérations en cours ou en voie de finition.

Afghanistan. La fin de la présence militaire belge s’y profile. Et donc d’un désengagement progressif aussi de Mazar-i-Sharif (60 hommes sur place) et de Kandahar (une centaine). Parmi les principales missions de l’heure, il y a la sécurisation de la base de Kandahar. On sait que l’Otan a prévu un nouveau programme d’assistance (Training Advice Assistance) sur place dont la Belgique devrait être logiquement partie prenante. Rien n’est décidé mais cela se situerait dans le Nord, en appui des Allemands.

Liban. Actuellement, le Génie y participe au marquage des frontières avec Israël.

Syrie. Forte de son expertise qui remonte à la guerre de 1914-1918, l’armée pourrait contribuer à la destruction de l’arsenal chimique. Concrètement, il s’agirait d’inventorier ces armes afin de les neutraliser. L’aide consisterait à faire bénéficier des connaissances technologiques de nos labos mais aussi de l’action du DOVO qui aujourd’hui encore désamorce des obus sur le front de l’Yser.

 

Toujours en Afrique

 

Congo et Burundi. L’armée s’y concentre surtout sur la formation de cadres et de troupes congolaises, ce qui permet dans la foulée d’améliorer les conditions de vie locales. "Nous y soutenons des petits projets mais qui sont très utiles pour former, par exemple, des maçons, des forgerons, des menuisiers. En même temps, on contribue à la formation d’unités de réaction rapide."

La Défense y travaille aussi avec les Affaires étrangères et la Coopération au développement, ce qui permet de construire des lieux de vie plus agréables. "Cela permet de former de bons soldats et des hommes loyaux tout en gardant encore un œil sur le Kivu."

Toujours au Congo, une compagnie du 3e bataillon para de Tielen se rendra dans la région de Kindu pour s’entraîner et participer à l’exercice de certification d’un bataillon d’élite congolais formé par des instructeurs belges.

Piraterie. La Belgique reste très active dans le projet Atalante "mais la vraie solution est sans doute en Somalie où le gou vernement doit assurer la sécurité de sa population" . Le général Van Caelenberge insiste aussi sur le fait que la piraterie touche la côte Ouest où l’on forme des gardes-côtes locaux.

 

Avions de combat et effectifs

 

Etudes en cours. Les politiques qui ont réagi au quart de tour lorsque Pieter De Crem a évoqué l’après-F-16 ont été rapides en besogne… Comme l’a précisé le chef de la Défense, le gouvernement a demandé à la Défense de lancer des études préalables en vue d’un remplacement se situant au plus tôt après 2020, lorsque les F-16 actuels auront atteint le bout de leur potentiel.

Le chef de la Défense pense que la Belgique se dotera d’un nouvel avion de combat "multirôle" pour remplacer les F-16 après cinquante ans de carrière. "Nous voulons rester dans ce créneau, une force aérienne qui n’en dispose pas n’est pas une force aérienne" , a-t-il commenté.

Il va de soi que l’on devra aussi intégrer la donne européenne et la coopération militaire future. Et également tenir compte de toutes les retombées économiques et sociales. C’est ce qui explique que tout aviateur qu’il soit, le chef de la Défense n’exprimera certainement pas de préférence, s’efforçant plutôt d’aligner les avantages et les désavantages de tous les candidats potentiels.

Nouveau statut. La question de la limitation des effectifs à 32 000 (30 000 militaires, 2 000 civils) a aussi été abordée : l’introduction de la carrière militaire limitée doit permettre une nouvelle dynamique dans la gestion du personnel, mais aussi de reconstruire une pyramide des âges qui puisse compenser le départ du grand nombre d’engagés pendant la Guerre froide arrivant en bout de parcours.

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 17:30
Syrie: les armes chimiques détruites dans le pays (officiel)

 

 

MOSCOU, 17 octobre - RIA Novosti

 

Les armes chimiques syriennes sont détruites sur le territoire du pays, aucun armement ne quitte la Syrie, a déclaré jeudi le vice-premier ministre syrien Qadri Jamil lors d'une conférence de presse organisée par RIA Novosti.

 

"Tout est détruit sur place", a indiqué le responsable, à la question de savoir si les armes chimiques étaient acheminées dans un pays tiers pour être détruites.

 

Auparavant, des médias ont annoncé que Damas aurait donné son feu vert afin de transférer ses armes chimiques dans un pays tiers.

 

La Syrie est devenue lundi 14 octobre le 190ème membre de l'OIAC, 30 jours après le dépôt de sa demande d'adhésion officielle.

 

60 inspecteurs de l'OIAC et de l'ONU se trouvent actuellement en Syrie et vérifient les informations concernant les sites chimiques fournies par le gouvernement syrien. Sous contrôle des inspecteurs, dont le nombre s'élèvera prochainement à 100 personnes, les autorités syriennes ont entamé la destruction de munitions et d'équipements servant à fabriquer des armes chimiques.

 

Selon les Nations unies, la Syrie compte près d'un millier de tonnes d'agents chimiques militaires toxiques.

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 12:30
Syrie: Sigrid Kaag à la tête de la mission ONU-OIAC

 

NEW YORK (Nations unies), 16 octobre - RIA Novosti

 

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a nommé mercredi la Néerlandaise Sigrid Kaag à la tête de la mission conjointe ONU-OIAC, chargée de démanteler l'arsenal chimique syrien, a annoncé mercredi à New York le porte-parole de l'ONU Martin Nesirky.

 

"Sigrid Kaag a été nommée coordinatrice spéciale de la Mission conjointe OIAC-ONU chargée de mettre fin au programme syrien d'armes chimiques", est-il indiqué dans le communiqué conjoint de l'ONU et de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).

 

"Mme Kaag occupe actuellement le poste de sous-secrétaire générale du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Elle a une grande expérience de coopération avec les organisations internationales (...) et dispose d'amples connaissances sur le Proche-Orient", a indiqué M.Nesirky.

 

L'ONU et l'OIAC ont créé leur Mission conjointe en Syrie suite à des consultations intenses entre le secrétaire général de l'ONU et le directeur général de l'OIAC et conformément à une décision prise le 27 septembre dernier par le conseil exécutif de l'OIAC et à la résolution 2118 du Conseil de sécurité de l'ONU.

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 12:30
Syrie/armes chimiques: équipements de production détruits sur six sites

 

 

MOSCOU, 16 octobre - RIA Novosti

 

Les experts de l'OIAC ont vérifié jusqu'à aujourd'hui 11 sites de l'arsenal chimique syrien et attestent que les équipements de production ont été détruits sur six d'entre eux, rapporte l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques dans un communiqué. 

 

D'après la source, l'équipe de la mission de l'OIAC visitera prochainement plusieurs autres sites identifiés par Damas dans le but d'identifier et de détruire les équipements de production d'armes chimiques. 

 

Le 27 septembre, l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques a approuvé le plan de démantèlement des arsenaux chimiques en Syrie. Aux termes de ce plan, les inspections devaient débuter le 1er octobre au plus tard. Sous 30 jours à compter du 27 septembre, les experts devront achever l'inspection de tous les lieux indiqués par les autorités syriennes et visiter dans les plus brefs délais les autres sites qui pourraient être signalés par les pays membres de l'OIAC.  

 

Il est prévu de détruire avant fin novembre 2013 les équipements destinés à la production d'armes chimiques et de démanteler les armes proprement dites au cours du premier semestre de 2014. 

 

Le prix Nobel de la paix a été décerné le 12 octobre à OIAC, chargée de superviser le démantèlement de l'arsenal chimique syrien. L'initiative visant à placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international a été formulée par la Russie, qui cherchait à éviter une opération occidentale en Syrie.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 11:50
International CBRNE Institute

International CBRNE Institute

October 16, 2013 by Hotzone Solutions

 

The International CBRNE Institute opened in Belgium on 5 October 2013.

 

The opening of the International CBRNE Institute, established by the directors of Hotzone Solutions Group at Les Bons Villers (Frasnes-Lez-Gosselies - Brussels), Belgium, took place on 5 October 2013. The mayor of the municipality, Mr Emmanuel Wart, presented the region and explained how the establishment of the ICI fits in the general framework of the rural development policy implemented by the local authorities and supported by the EU.

 

The director of the United Nations Mine Action Service (UNMAS) Mrs Agnès Marcaillou, who honoured the Institute with her presence and by accepting to be its patron, highlighted the importance of setting up a CBRNE training institute and centre of expertise in the heart of Europe, given the recent international developments and emerging threats.

 

Hotzone Solutions Group's co-owner and CEO Oliviern Mattman and Hotzone Solutions Group's co-owner, Director of Operations, and President of the ICI Dieter Rothbacher explained the principles and ideas underlying the establishment of the ICI, which is a non-profit, fully-independent entity, and outlined its structure, consisting of the CBRNE Training Centre, The Expert Knowledge Centre, and an administrative and support unit.

 

The Group' management also seized the occasion to thank all consultants and the Headquarters' staff for their professional skills and extraordinary commitment, which have allowed Hotzone Solutions Group to grow rapidly over the last four years and expand to seven countries and four continents. The Director of the ICI, Mr. Yves Dubucq, informed the local authorities and the representatives of the local community of his intention to run the ICI in line with the highest quality, safety, and eco-friendliness standards, by respecting the spirit of the local community and contributing to the enhancement of the local economy.

 

142 outstanding guests, including representatives from UNO,NATO, EDA, EU,EC, OPCW, ICCSS, attended the grand opening, witnessed the ribbon-cutting ceremony, the reveal of the commemorative engraving, and had the opportunity to visit the facility, which features a very functional layout and organisation, state-of-the-art audio, video, and conference equipment, as well as HZS's top-quality CBRNE training material and simulants.

 

An open-day for the local population took place on 6 October, which recorded very good turnout and significant interest.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 07:30
Nucléaire: les USA prêts à une rencontre bilatérale avec l'Iran

MOSCOU, 15 octobre - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis saluent la perspective d'une rencontre bilatérale avec les représentants iraniens en marge des négociations entre Téhéran et les Six qui se déroulent en ce moment à Genève, rapportent mardi les médias internationaux en référence à un porte-parole du département d'Etat américain.

Auparavant, les représentants de la délégation de négociateurs iraniens sur le programme nucléaire de Téhéran ont déclaré leur intention de rencontrer des diplomates américains en marge des négociations qui se déroulent mardi et mercredi à Genève.

Les négociations actuelles entre l'Iran et les Six médiateurs internationaux sur son programme nucléaire (Russie, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Chine et Allemagne) sont les premières depuis l'arrivée au pouvoir à Téhéran de Hassan Rohani, un président perçu comme modéré. Elles se déroulent sur fond d'optimisme prudent après six mois d'interruption.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 20:50
Un peu de Nobel pour la Défense Belge

15/10/13 MIL.be

 

Le laboratoire d'analyses chimiques de la Défense a été chaleureusement félicité par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), ce vendredi 11 octobre 2013. L'OIAC, qui venait de recevoir officiellement le prix Nobel de la Paix, a tenu à remercier les laboratoires avec lesquels elle collabore.

 

Le travail de l'OIAC repose sur un réseau de laboratoires désignés. Celui de la Défense, situé à Peutie, en fait partie. « Vous avez toutes les raisons d'être fiers », a conclu Hugh Gregg, directeur du laboratoire de l'OIAC, après avoir remercié l'expertise et le professionnalisme de ses collaborateurs scientifiques.

 

L'OIAC est l'organisme chargé de faire respecter la convention sur l'interdiction des armes chimiques. Mettre fin à la fabrication d'armes chimiques et vérifier leur destruction sont dans ses attributions. Il a été mandaté par le conseil de sécurité de l'ONU pour démanteler l'arsenal syrien de ses armes de destruction massive.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 16:50
Head of Agency Publishes Report on CSDP

Brussels | Oct 15, 2013 European Defence Agency

 

Catherine Ashton, High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy and Head of the European Defence Agency, published her final report in preparation of the European Council in December where Heads of State and Government will discuss security and defence topics.

 

The report follows the three clusters defined by President van Rompuy in December last year to guide the Council discussion: strengthening CSDP, enhancing defence capabilities, strengthening Europe’s defence industry. Mainly the second and third cluster include suggestions and proposals in EDA’s area of responsibility of which key points are highlighted here below.

 

Systematic and long-term European defence cooperation

Cooperation in the area of military capability is essential. The report asks for a strong impulse at European Council level, both to embed Pooling & Sharing in Member States’ defence planning and decision-making processes, and to deliver key capabilities through major projects. Key elements are more transparency between Member States, sharing of future plans for key capabilities and of lessons learned, rationalisation of demand as well as a push for harmonised requirements. Through the Code of Conduct on Pooling & Sharing EDA is ready to act as a framework of coordination and transparency to enhance and facilitate synergies and identify best practises. Systematic and long-term defence cooperation with agreed priorities and milestones could be supported by a strategic level Defence Roadmap. This roadmap could also lead the way to closer synergies with OCCAR, the Organisation for Joint Armament Cooperation. The report makes a case for incentives for defence cooperation which could include innovative financing arrangements as well as protecting cooperative projects and initiatives from budget cuts.

 

 

Commitment to major projects

Taking into account severe gaps in some capability areas, the report points out the need for Member States to commit to major projects in air-to-air refuelling, satellite communication, remotely piloted aircraft systems (RPAS) and cyber defence. As regards air-to-air refuelling, EDA is already working on short, mid and long-term solutions to increase tanker/receivers interoperability and maximise the use of existing assets, the establishment of a multinational multirole tankers fleet, foreseen for 2020, is under way. Pioneer Projects have been promoted by EDA to develop capabilities that have both military and civil applications They are designed to harness synergies in the military and civil domains; maximise dual-use technologies; and generate economies of scale. Defence ministers have already endorsed proposals to prepare projects in the areas of remotely piloted aircraft systems and cyber defence. RPAS are very likely to constitute a key capability for the future with applications in the civil and the military domains. EDA is ready to prepare a programme for the next generation of Medium Altitude Long Endurance (MALE) RPAS. Such a programme needs to include regulatory aspects regarding insertion into normal airspace as well as technology development possibly through joint investment programme between the European Commission, EDA, Member States and the industry. In terms of governmental SATCOM, the report mentions the objective of a future dual civil-military capability by 2025 via a user-driven approach based on a detailed roadmap. As regards cyber defence, the objective is to establish a comprehensive European approach. EDA activities, based on the recently adopted cyber strategy, focus on realistic deliverables within its remit and expertise: training, exercises, protection of headquarters, and Cyber Defence Research Agenda (focusing on dual use technologies).

 

Strengthening Europe’s defence industry

In the chapter on measures to strengthen Europe’s defence industry a strong, healthy and globally competitive European Defence and Technological Industrial Base is acknowledged as a prerequisite for developing and sustaining defence capabilities and securing the strategic autonomy of Europe. Its importance for the wider economy is mentioned as well. This industrial base has to be safeguarded through substantive and strengthened cooperation at European level, including through major new cooperative programmes. While big industry plays a leading role in the defence sector, the defence supply chain and notably SMEs play a very important part and should be supported. EDA together with its Member States is also working on concrete measures to increase both short- and long-term Security of Supply, whether related to supply chains, European non-dependencies, raw materials, or investments in key industrial and technological capabilities. Some tangible measures EDA is already working on in cooperation with the European Commission and the European Aviation Safety Agency to improve competitiveness and to reduce development and production costs include standardisation, military airworthiness and certification.

 

European commitment to R&T

National defence research and development expenditure decreased substantially in the last years with possible negative impact on the long-term competitiveness of the European industry. Strong investment is needed if Europe is to retain its R&T expertise. Building on the list of critical defence technologies elaborated in the EDA framework, the technologies that need to be developed at the European level for defence, space, and the civil sector should be identified on a systematic basis to underpin long-term planning for European R&T. It will also ensure that Europe is addressing the challenge of technology non-dependence on a strategic level. The report therefore suggests that Member States should be encouraged to commit to multi-annual investment in defence R&T through cooperation. Synergies between civil and defence research for dual-use technologies should be exploited. EDA closely works with the European Commission and European Space Agency on dual use research; important areas of cooperation are key enabling technologies, critical space technologies, CBRN, cyber defence and RPAS.

 

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:30
Syrie/armes chimiques: vers la création d'une mission conjointe Onu/OIAC

NEW YORK (Nations unies), 11 octobre - RIA Novosti

 

Le Conseil de sécurité des Nations unies a donné son feu vert à la création d'une mission conjointe de l'Onu et de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), chargée d'éliminer l'arsenal chimique syrien, a appris vendredi à RIA Novosti une source diplomatique au sein de l'Onu.

 

"Dans sa lettre (au secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon, ndlr), le Conseil de sécurité annonce avoir examiné sa proposition et approuvé la mise en place de la mission", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

 

M.Ban avait recommandé lundi la création d'une mission conjointe Onu/OIAC, forte d'une centaine d'hommes. Basée à Damas avec une base arrière à Chypre, elle serait dirigée par un "coordinateur civil spécial". Cette mission sera chargée de détruire les armes chimiques syriennes d'ici le 30 juin 2014.

 

Pour gagner du temps, le Conseil de sécurité a décidé jeudi d'envoyer une lettre au secrétaire général au lieu d'adopter une résolution spéciale.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:30
Syrie: des terroristes formés en Afghanistan (Moscou)

 

MOSCOU, 11 octobre - RIA Novosti

 

Des pays tiers entraînent illégalement en Afghanistan des commandos chargés de lutter contre le régime syrien, en leur apprenant notamment à manier des armes chimiques, a indiqué vendredi à Moscou le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

"On a appris dernièrement que des pays tiers ont illégalement utilisé le territoire afghan échappant au contrôle de Kaboul pour y entraîner des terroristes chargés de combattre le régime syrien, en leur apprenant notamment à manier des substances toxiques", a déclaré M.Lavrov lors d'une conférence de presse.

D'autre part, selon les informations de Moscou, la fameuse cellule islamiste Jabhat al-Nosra ("Front du soutien", ndlr) envisage de livrer sur le territoire irakien des substances toxiques et des spécialistes afin d'organiser des attentats en Irak.

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 11:30
Les démineurs belges se préparent pour la Syrie

 

10 octobre 2013 dhnet.be (Belga)

 

La Défense "anticipe" une éventuelle demande, a indiqué le ministre de la Défense Pieter De Crem.

 

Les démineurs belges suivent des préparations pour désamorcer des armes chimiques en Syrie au cas où une demande internationale en ce sens arriverait, rapportent jeudi Het Nieuwsblad et De Standaard.

 

Des dizaines de militaires, essentiellement du SeDEE, le service de déminage des engins explosifs, ont mis en règle ces derniers jours leurs documents de voyage dans l'hypothèse d'une mission en Syrie, selon des sources internes de la Défense.

 

La destruction de l'arsenal chimique syrien sous l'égide des inspecteurs de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a débuté il y a quelques jours en Syrie. Une demande d'assistance émanant du conseil de sécurité de l'ONU est envisageable à court terme. Les militaires de Poelkapelle pourraient ainsi réagir dans les quinze jours.

 

La Défense "anticipe" une éventuelle demande, a indiqué le ministre de la Défense Pieter De Crem (CD&V). La décision ultime réside dans les mains du gouvernement.

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