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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

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07/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Point de situation sur les opérations de la force Sangaris du 7 mai 2015

 

La République Centrafricaine est actuellement plongée dans le forum de Bangui, qui a débuté le 4 mai 2015. La sécurité de ce grand rendez-vous de politique intérieure est assurée par les forces de sécurité du pays, appuyées par la MINUSCA, pleinement opérationnelle depuis la semaine dernière.

De façon générale, Sangaris constitue désormais une force de réaction mobile et souple, en mesure d’appuyer la MINUSCA si nécessaire, et dont le dispositif s’allègera progressivement dans les semaines à venir, comme cela est planifié depuis plusieurs mois.

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

photo EMA / Armée de Terre

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:35
photo US Navy

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10 mai 2015 by US Navy

 

SOUTH CHINA SEA (May 10, 2015) USS Carl Vinson (CVN 70), USS Gridley (DDG 101) and KD Lekir (FSG 26) participate in a PASSEX exercise, aimed at developing and expanding bi-lateral exercises with the Malaysian Royal Navy. Carl Vinson Strike group is deployed to the 7th Fleet area of operation supporting security and stability in the Indo-Asia-Pacific region. (U.S. Navy video by Mass Communication Specialist 2nd Class Samuel LeCain/Released)

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:30
Colloque du 21 mai 2015 "Des soulèvements au califat improvisé, les États arabes en question"



06/05/2015 par IRSEM

 

Colloque organisé conjointement par l’Université Paris-Sorbonne, l'Institut universitaire de France et l'IRSEM.

Les soulèvements de la société civile, la multiplication des groupes armés et les récentes évolutions de l’islam politique poussent à une véritable réflexion sur le devenir de l’État dans le monde arabe.

 

Les soulèvements de la société civile, la multiplication des groupes armés et les récentes évolutions de l’islam politique poussent à une véritable réflexion sur le devenir de l’État dans le monde arabe. Du Maghreb au golfe Persique, partout, la question de l’Etat se pose. Elle se pose du point de vue des institutions dans certaines régions (Maroc, Algérie, Tunisie, Liban) ; mais au problème des institutions s’ajoute celui du territoire –sa maîtrise, ainsi que celle de ses frontières– dans d’autres régions (Libye, Syrie, Irak, Yémen).

A travers une approche interdisciplinaire –mobilisant l’histoire, la géographie, le droit, la science politique et la sociologie–, il s’agira aussi bien de questionner la notion d’État que d’analyser les différents cas de figure, aussi bien au Maghreb qu’au Machrek. Si l’Etat n’a pas le monopole de l’organisation de la vie en société, sa disparition laisse souvent place à un chaos qui menace les régions voisines. De ce point de vue, la question dépasse le cadre initial que constitue le monde arabe.

 

Programme (Entrée libre)

Maison de la Recherche
Salle D035
28 rue Serpente
75006 PARIS

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 10:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

6 Mai 2015 par Armée de Terre


Depuis quelques jours, une polémique existe sur l'achat de véhicules tout-terrain Ford Ranger par l'armée de Terre. Malheureusement, beaucoup d'informations erronées circulent. Une petite mise au point s'impose.

 

Rappel historique :

L'armée de Terre (et plus généralement l'armée française) possède des véhicules légers tout terrain Peugeot P4. La P4 répondait au besoin, formulé dès la fin des années 1960 par l'armée française. Ce véhicule devait pouvoir transporter 4 personnes avec leur paquetage, être équipé d'un poste radio et avoir une aptitude au transport aérien et au parachutage. À partir de fin 1982, l'usine de Sochaux commence à assembler la P4. Un accord est conclu entre Peugeot et Mercedes-Benz afin de répartir à parts égales la construction du nouveau véhicule militaire. Peugeot installe alors le moteur à essence de sa 504, la boîte de vitesses de sa 604, s'occupe des circuits électriques, réalise le soudage de la caisse. Tout le reste est fabriqué par le constructeur allemand Mercedes-Benz. Plusieurs versions de la P4 ont vu le jour.

Quelle est la situation actuelle ?
Plus de 30 ans après sa mise en place, très sollicité tant en France qu'en OPEX, le parc des P4 souffre d'une très grande usure. La remise en état de ces véhicules a un coût financier très important. Qui plus est, l'armée de Terre est contrainte de retirer du service chaque année environ 600 P4. Trop usées, elles ne peuvent être remises à niveau. Par conséquent, les régiments souffrent de plus en plus d'un manque crucial de ce moyen de transport, en particulier dans leurs activités quotidiennes. 

 

 

Comment combler ce déficit le plus rapidement possible ?
L'idée est bien de permettre aux régiments de disposer en moyenne d'une dizaine de véhicules de soutien à la préparation opérationnelle. Ces véhicules non militarisés sont donc destinés au service courant sur le territoire national et n'ont pas vocation à servir en OPEX. Il a été décidé de commander 1 000 exemplaires d'un véhicule tout-terrain, capable de transporter jusqu'à 5 soldats équipés et 1 tonne de matériel. 

 

Quelle a été la procédure choisie ?
Pour répondre à ce besoin urgent et non spécifique, l'armée de Terre s’est tournée vers l’acheteur gouvernemental qu’est l’Union des Groupements d’Achats Publics (UGAP). Cet organisme permet d'acquérir toutes sortes de matériels dans des délais rapides. Il existe trois véhicules disponibles sur le catalogue UGAP début 2015, tout-chemin ou tout-terrain : 

- le Citroën BERLINGO 4x4 du groupe PSA Peugeot-Citroën, véhicule produit en Espagne ;

- le Dacia DUSTER du groupe Renault, produit en Roumanie ;

- le Ford RANGER, produit en Afrique du Sud.
 

Les trois modèles sont produits à l’étranger, même s’il existe une étape de transformation finale en France. Les coûts d’acquisition sont similaires. Mais seul le Ford Ranger propose une charge utile satisfaisante.

 

Pourquoi l'armée n'a-t-elle pas préféré malgré tout un véhicule 100% français ?
Il n'y avait tout simplement pas de véhicule 100% français répondant à ce besoin, immédiatement disponible sur le marché.


Les Ford Ranger vont-elle remplacer toutes les P4 de l'armée française ?

Non, en résumé, cet achat de court terme, pour une quantité réduite, sur un catalogue sélectionné pour l’ensemble des acheteurs publics du gouvernement, constitue une problématique différente du remplacement du P4 à long terme.


Qu'en est-il du remplacement définitif et global des P4 ?

Le besoin de remplacer tout le parc des P4 est identifié depuis quelques temps déjà. Une reconstruction complète a été étudiée, mais elle coûtait extrêmement cher et n'aurait pas forcément répondu aux besoins actuels et futurs. il a donc été décidé de lancer un programme d'armement, sous la responsabilité de la direction générale de l'armement (DGA) pour des livraisons à partir des années 2020. Ce programme est en cours de définition. Il portera sur un véhicule léger tactique polyvalent (VLTP). Une première commande de 2450 exemplaires devrait être faite, suivie d'une seconde d'environ 2000 exemplaires. Ce marché, comme tous les programmes d'armement, fera l'objet d'un appel d'offres et d'une mise en compétition, à laquelle les constructeurs français pourront bien évidemment concourir.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 07:55
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

11/05/2015 Le Point

 

Un A400M s'est écrasé avec six personnes à bord, samedi, à Séville. La France dispose de six de ces avions qui ont déjà cumulé 1 700 heures de vol.

 

Au lendemain du crash d'un A400M à Séville, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a précisé que seuls les vols "prioritaires en opérations" des avions de transport militaires A400M de l'armée française seraient autorisés, dans l'attente des résultats de l'enquête sur l'accident. "Nos A400 sont en opérations, seuls les vols extrêmement prioritaires en opérations seront autorisés (...) jusqu'à ce que nous ayons les éléments de l'enquête qui va être diligentée", a déclaré le ministre de la Défense à l'issue d'une rencontre à Lorient (Morbihan) avec ses homologues allemand, polonais et espagnol. "La France dispose aujourd'hui de six A400M qui ont cumulé plus de 1 700 heures de vol de manière extrêmement performante. C'est un appareil de très grande qualité", a insisté M. Le Drian à propos de cet avion construit par Airbus Defence and Space, filiale du constructeur aéronautique européen Airbus Group.

Un porte-parole de l'armée de l'air avait auparavant déclaré que la France continuerait à utiliser sa flotte d'avions Airbus A400M, jugeant ne "pas avoir d'éléments à ce stade" pour les immobiliser. L'Allemagne, la Grande-Bretagne et la Turquie ont quant à elles suspendu tous les vols de leurs A400M.

 

Un soutien à l'entreprise Airbus

M. Le Drian s'est associé à son homologue espagnol Pedro Morenés pour exprimer un "soutien à l'entreprise" européenne Airbus et demander "que tout soit clarifié le mieux possible, qu'on examine les causes, qu'on en décline les conséquences, que cela se fasse de la manière la plus transparente".

"On ne saurait bâcler une enquête d'une telle importance, elle prendra le temps qu'il faudra", a souligné M. Morenés.

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6 mai 2015 3 06 /05 /mai /2015 11:55
Comment Realmeca s’est préparé à absorber "l’effet Rafale"

Le châssis du radar à antenne active du Rafale est fourni par RealMeca, une PME de Clermont-en-Argonne (Meuse)

 

06 mai 2015 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

Embauches, achat de machines, audits des sous-traitants...la PME de la Meuse avait anticipé, sous l’impulsion de Thales, les commandes du Rafale en Egypte, en Inde et au Qatar.

 

Il n'y a pas qu'en Gironde où sont assemblés les Rafale qu'on se réjouit des récents contrats gagnés par Dassault Aviation en Egypte, en Inde et au Qatar. Au cœur de la campagne meusienne, à Clermont-en-Argonne, l'équipe dirigeante de Realmeca a aussi le sourire...et s'est déjà retroussé les manches pour commencer à produire plus vite les équipements électroniques de l’avion de combat. Jusqu'ici, le Rafale était livré à une cadence d'un avion par mois, la plus basse envisageable. Il est désormais question de le produire à 2,5 voir 3 exemplaires par mois. Realmeca (140 salariés, 25 millions d'euros de chiffre d'affaires) est un partenaire aussi discret qu'essentiel pour Thales, qui fournit toute l’électronique du Rafale. La PME lui fournit en effet un élément critique : le châssis du radar à antenne active. "Une pièce qui nécessite plus de mille heures de travail", précise Bruno Gailly, son directeur général délégué. Elle fabrique également le boîtier d’optronique et de brouillage ainsi que des têtes-chercheuses des missiles de MDBA qui équipent le chasseur.

 

Un inventaire des capacités de production

Avec l'espoir de la signature du contrat indien pour 126 Rafale, l'entreprise avait anticipé la situation avec son donneur d'ordres dès 2013. Le 20 mars dernier, Pierre-Eric Pommellet, directeur général adjoint des systèmes de mission de défense de Thales, avait encore rendu visite à son fournisseur pour s'assurer qu'il saurait monter en cadence. "Les moyens de production, les moyens humains, notre supply-chain, nos approvisionnements... Nous avons passé en revue tout nos process industriels pour être sûrs qu'on ne rencontre pas de goulets d'étranglement", détaille Bruno Gailly. L'entreprise a commencé par faire un inventaire précis de ses capacités de production. "Pour atteindre une cadence 2,5 par mois d'ici 18 ou 24 mois, il faudrait augmenter au minimum de 25 % le parc de machines", calcule le dirigeant. Sur les huit derniers mois, quatre nouvelles machines ont été acquises et le budget maintenance gonflé pour être sûr que la production tienne les rendements attendus.

 

Une extension de l’usine

Une extension de l'usine d'environ 300 m2 dédiée aux activités d'intégration est déjà prête pour accueillir des équipements supplémentaires et pour former de nouveaux salariés. Pour relever le défi, il faudra également recruter : une trentaine d'embauches devrait renforcer l'équipe de 80 à 85 salariés dédiés aux activités Rafale. Le groupe pourra s'appuyer sur les élèves en Bac Pro et BTS qu'il forme en permanence notamment au pôle usinage. "Nous avons réalisé sept embauches l'an dernier, et déjà quatre en 2015. Nous serons vigilants sur les postes d'intégrateur (les personnes qui assemblent les différents composants - NDLR) qui nécessitent entre six mois et un an d'expérience pour être opérationnels". Plus que jamais, tous les CV sont épluchés soigneusement et l'entreprise participe aussi activement aux journées Recrutement organisées par l'antenne régionale de Pôle Emploi.

 

De la sous-traitance locale

Realmeca s'assure également que ses propres sous-traitants tiendront le choc. "Sur nos 150 fournisseurs, nous en avons identifié une dizaine qui sont critiques" poursuit le patron de PME. Un ingénieur va venir renforcer l'équipe Achats qui réalisera toute cette année des audits d'environ une journée chez les fournisseurs pour mesurer leur niveau de qualité et de ponctualité. Et d'autres sous-traitants seront recrutés pour absorber l'augmentation de la charge. "Les opérations et les tests (tests électriques et thermiques des pièces -NDLR) standards seront sous-traités à des partenaires de la région et nous nous concentrerons sur les opérations à valeur ajoutée", explique Bruno Gailly. Enfin pour s'assurer que son nouveau dispositif marche, Realmeca a fait des essais. L'entreprise a doublé la cadence de production sur certaines pièces critiques durant six mois. Avec succès. "Avec ces nouveaux contrats Rafale, nous savons où nous mettons les pieds", se félicite le directeur général délégué de Realmeca.

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5 mai 2015 2 05 /05 /mai /2015 16:30
photo 13e DBLE

photo 13e DBLE

 

05-05-2015 par 13e DBLE Réf : 476 | 521

 

Du 27 mars au 2 avril, la 13e Demi-brigade de Légion étrangère s’est déplacée à 300 km à l’ouest de ses quartiers pour profiter des possibilités d’entraînement, aujourd’hui quasi introuvables en France, offertes par un espace de manoeuvre désertique mis à disposition par ses hôtes.

 

Cette activité comprenait 36 heures de manoeuvre tactique puis 4 jours intenses de campagne de tir, séparé et conjoint, pour la compagnie d’infanterie et le détachement CAESAR. La 13 poursuivait trois objectifs à travers cette activité complète : manoeuvrer en interarmes dans le cadre de la coopération bilatérale (avec un peloton de chars Leclerc allié), entraîner ses fantassins et ses artilleurs aux différents types de tir dans des conditions proches de l’engagement réel, mais également intensifier sa coopération interarmées (4 créneaux de guidage Rafales pour l’équipe JTAC (Joint tactical air controller), dont un spécifiquement dédié à l’entraînement dans le cadre de l’opération Chamal). Ce dernier objectif a été largement complété par les stages effectués au cours de la même semaine sur le quartier “Brunet de Sairigné” par le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au Moyen-Orient (CECAM) au profit des personnels du groupe aéronaval (GAN) et de la Base aérienne 104.

photo 13e DBLE

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 16:55
photo 4e RE

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04-05-2015 par 4e RE Réf : 480 | 696

 

Les chauriens ont honoré le régiment en venant en force!

 

S'il est une fête à la Légion où le légionnaire s'ouvre , c'est bien celle de Camerone!

 

Fier de présenter son univers , le légionnaire se fait  un devoir d'ouvrir ses portes et son coeur à ceux qui viennent le visiter et apprendre à le découvrir pendant les festivités de Camerone.

 

Cérémonie de Naturalisation présidée par monsieur le Maire, messe en ville célébrée par l'Eveque de Carcassonne, prise d'armes impeccable avec une trés émouvante remise de Képi Blanc, vin d'honneur offert à tous les spectateurs  de la prise d'armes, kermesse et bal gratuit avec l'élection de miss Képi Blanc, les légionnaires sont sur tous les fronts pour accueillir dignement leur invités.

 

Ces deux jours de festivité furent, paroles de chauriens, exceptionnels !

 

Merci à vous tous qui avaient pris le temps de venir à la rencontre de cet inconnu qui sert la France avec Honneur et Fidélité !

 

Merci de votre gentillesse et vos attentions à l'encontre de cet homme extraordinaire que l'on nomme Monsieur Légionnaire !

 

Reportage photos

photo 4e RE

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 16:45
photo DLEM - Légion Etrangère

photo DLEM - Légion Etrangère

 

04-05-2015 DLEM  Réf : 129 | 542

 

Comme il est de tradition partout dans le monde, la Légion honore les héros de CAMERONE. Le DLEM n'a pas failli et c'est de jour au milieu de la population Mahoraise que la prise d'armes a rendu hommage aux hommes du capitaine DANJOU.

 

Le 30 avril reste pour les Légionnaires la fête de tradition (la seconde est celle de Noel). Dés 8h30 sous un soleil radieux, les pionniers avec leur hache et tablier de cuir se présentent au public parcouru déjà d'un premier frisson de fierté et d'honneur d'assister à cette prise d'armes.

 

La CCL aux ordres du CNE VANNINI rentre en scène avec son traditionnel chant "en Afrique"suivi de la 1°compagnie qui ne démérite pas et assure avec des voix graves et un pas légion rapidement maitrisé.

 

Le décorum est en place avec les cadres sans troupe et les amicales toujours fidèles au rendez-voous. Après la présentation au LCL(ta) de MESMAY les honneurs sont rendus à l'étendard au son juste des clairons. Second frisson pour le public déjà conquis. Les autorités civiles (monsieur le préfet MORSY) et militaires (GBR REIGNIER commandant les FAZSOI) saluent l'étendard et rejoignent la tribune officilelle particulièrement garnie des principales personnalités de Mayotte.

 

Après une remise de décorations (dont une médaille militaire à un caporal chef du 2°REI en MCD pour 4mois) le moment tant attendu arrive avec l'émouvant récit du combat de CAMERONE prononcé avec passion et justesse par le CNE MARTINET (officier à titre étranger)

 

Cette magnifique cérémonie est bien sûr cloturée par un défilé dans la rue principale de DZAOUDZI LABATTOIR au son du traditionnel boudin. C'est bien connu la rue appartient à celui qui y descend.  "PERICULA LUDUS"

photo DLEM - Légion Etrangèrephoto DLEM - Légion Etrangèrephoto DLEM - Légion Etrangère
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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 16:30
Chammal : chargement de fret militaire à Aqaba en provenance du détachement chasse déployé en Jordanie

 

04/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans la matinée du 25 avril 2015, dans le cadre de l’opération Chammal, 111 tonnes de fret militaire ont été chargées à bord du MN Tangara, sur le port militaire d’Aqaba, en Jordanie.

 

En amont de l’opération, des camions avaient été chargés sur la base aérienne accueillant le détachement chasse français, sous la direction du personnel du Centre de Coordination Interarmées des Transports, Transits et mouvements (CCITTM) œuvrant sur le théâtre d’opération, puis acheminés vers Aqaba. Rassemblé en convoi et escorté  par un détachement prévôtal ainsi que par la police militaire jordanienne, dans le cadre d’un accord de coopération entre la France et la Jordanie, l’ensemble des camions avait parcouru des centaines de kilomètres à travers le désert pour rejoindre le port d’Aqaba.

 

Après avoir accosté sur le quai de la base navale jordanienne, l’équipage a ballasté le Tangara, relevant ainsi l’arrière du navire, afin de rendre la rampe latérale accessible. Dès lors, grâce à la collaboration des militaires du CCITTM de l’opération Chammal, de l’officier responsable de l’affrété (un aviateur inséré au 519 e  Groupe de Transit Maritime de Toulon) et de l’équipage du navire, l’opération de chargement a pu être effectuée. Elle a nécessité des moyens externalisés de la base navale jordanienne et la grue de bord.

 

Le Tangara, navire de la marine marchande, a été affrété par le Ministère de la Défense via le Centre du Soutien aux Opérations et des Acheminements (CSOA). Sur sa route, il a fait escale dans les ports de Beyrouth, Aqaba, Djibouti, Abu Dhabi, Mayotte et la Réunion. Cet arrêt à Aqaba a eu lieu sur le trajet retour vers la France. Ce mouvement logistique est indispensable pour réinsérer dans la chaîne logistique des matériels dont la régénération technique est essentielle pour la poursuite des opérations.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion de contrôle aérien E3F et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2 de la Marine nationale.

Chammal : chargement de fret militaire à Aqaba en provenance du détachement chasse déployé en Jordanie
Chammal : chargement de fret militaire à Aqaba en provenance du détachement chasse déployé en Jordanie
Chammal : chargement de fret militaire à Aqaba en provenance du détachement chasse déployé en Jordanie
Chammal : chargement de fret militaire à Aqaba en provenance du détachement chasse déployé en Jordanie
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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 11:50
Elephant Recovery: Bergeübung der Luftwaffe


29 avr. 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 04/2015 15e19301

 

Wenn Flugzeuge von der Landebahn abkommen oder abstürzen, kommen die Bergeteams der Luftwaffe zum Einsatz, ziehen die Havaristen aus dem sprichwörtlichen Dreck. Welches Bergematerial gibt es und wie wird es angewendet? Auf der Bergeübung "Elephant Recovery" optimieren die Soldaten ihre Bergetechniken.



 

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre

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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 06:45
Deux islamistes armés tués en Algérie

 

03 mai 2015 Romandie.com (AFP)

 

Alger - Deux islamistes armés ont été tués par l'armée à Ain Defla, à une centaine de kilomètres à l'ouest d'Alger, et Bouira, 100 km à l'est d'Alger, a annoncé dimanche le ministère de la Défense.

 

Un détachement de l'ANP (Armée nationale populaire) a abattu un terroriste ce matin du 3 mai 2015, au niveau de la localité de Sidi Khlifa (préfecture de Ain Defla), affirme le ministère dans un communiqué publié sur son site internet.

 

L'opération a permis de saisir un pistolet mitrailleur de type kalachnikov et trois chargeurs de munitions, selon le communiqué.

 

Cette opération fait suite à une autre déclenchée samedi par l'armée dans la même localité, et qui avait permis d'éliminer un terroriste et de récupérer un pistolet mitrailleur de type kalachnikov et deux chargeurs de munitions.

 

L'armée, citée par l'agence APS, a annoncé dimanche soir avoir tué un second islamiste armé à Bouira, à l'est d'Alger, dans une autre opération.

 

Les violences impliquant des islamistes armés, qui ont ensanglanté l'Algérie durant la guerre civile des années 1990, ont considérablement baissé mais des groupes restent actifs notamment dans le centre-est du pays, où ils s'en prennent généralement aux forces de sécurité.

 

Depuis le début de l'année, l'armée a tué 31 islamistes armés en incluant ceux de dimanche.

 

Plus de 100 islamistes armés ont été tués durant l'année 2014, selon l'armée.

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 05:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

30.04.2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre de la poursuite du déploiement de la MINUSCA en province, la force Sangaris a rétrocédé, le 25 avril 2015, l’emprise française de Dékoa. Une cérémonie présidée par le colonel Espitalier, commandant le groupement tactique interarmes (GTIA) Turco, en présence de la préfète de la région de Kémo et du maire de Dékoa, a officialisé le transfert de la base opérationnelle française aux militaires de la MINUSCA récemment déployés à Dékoa. Le désengagement de Dékoa ne signifie pas un retrait de Sangaris de la région. Le GTIA Turco poursuivra ses patrouilles dans la zone, à partir de Sibut.

 

La semaine a été marquée par la visite du Secrétaire général adjoint des Nations Unies, chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU, monsieur Hervé Ladsous.  Le 28 avril 2015, il a présidé une cérémonie marquant la déclaration de la pleine capacité opérationnelle de la MINUSCA.

 

Le dispositif de la force Sangaris s’articule désormais autour du principe d’une force de réaction au profit de la MINUSCA, avec un GTIA déployé dans Bangui, le couloir central et l’est du pays, et un second déployé selon les besoins, en appui des forces internationales.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

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3 mai 2015 7 03 /05 /mai /2015 11:55
Yamaha XTZ 660 TENERE photo Armée de Terre

Yamaha XTZ 660 TENERE photo Armée de Terre


30 avr. 2015 Armée de Terre

 

L’armée de Terre s’est vu dévoiler, au siège de Yamaha Motor France à Cergy-Pontoise, la toute dernière moto XTZ660 Ténéré qui équipera les régiments du train, le 13 avril 2015. Destinée à remplacer la Cagiva 350 cm3 qui date d’une vingtaine d’années, la XTZ660 Ténéré promet un meilleur confort et une plus grande autonomie à ses futurs utilisateurs militaires. Résolument moderne et polyvalente, cette nouvelle moto est adaptée aux besoins et exigences militaires. En tout, 150 motos sont attendues dans les régiments du train. Les premiers modèles seront livrés dans les unités de circulation d’ici mai 2015 et serviront en particulier pour le défilé du 14 juillet.

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3 mai 2015 7 03 /05 /mai /2015 11:35
Partners from a large island: Australia and CSDP

 

Last week – virtually on the eve of the centenary of the battle of Gallipoli, in which so many Anzac soldiers lost their lives – Australia’s Foreign Minister Julia Bishop signed a Framework Participation Agreement (FPA) with HR/VP Federica Mogherini. Australia thus became the 17th country to date to become a partner in EU crisis management. The aim of the FPA is, essentially, to provide the legal basis for third states to contribute to CSDP missions and operations.

This latest milestone in cooperation between Australia and the EU is all the more auspicious given that the Abbott government is preparing a new White Paper on defence due to be released before the end of the year, thereby redefining its overall security priorities in the light of a changed environment.

 

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2 mai 2015 6 02 /05 /mai /2015 12:55
Chacun sa pucelle

Pucelle du 32e Régiment d'artillerie (32e RA). On y voit Jeanne d'Arc en armure, ainsi que le blason de la ville d'Orléans. photo SHD

 

29/04/2015 DICOD

 

Le saviez-vous ? Derrière beaucoup de coutumes, usages, traditions et expressions militaires se cachent bien souvent des anecdotes insolites, amusantes ou historiques. Alors pour étoffer votre culture générale et briller le matin devant vos collègues à la machine à café, plongez-vous dans notre rubrique du mercredi. Aujourd’hui, la rédaction propose explique pourquoi les insignes militaires sont appelés "pucelles".

 

Les militaires portent des insignes nombreux et variés, que ce soit sur leurs uniformes ou leurs tenues de cérémonie. Certains sont appelés « pucelles ». Que désigne ce nom pour le moins curieux ? Et d’où vient-il ?

 

Aujourd’hui, le mot pucelle est le terme officiel pour désigner la plaque métallique qui s’accroche sur une patte de cuir ou à même l’uniforme. Il en existe désormais plus de 2 000, de formes très diverses, marquant l’appartenance à un groupe clairement identifié.

 

Cette tradition, informelle en premier lieu, remonterait à la Première Guerre mondiale. C’est la piété des « Poilus » qui serait à l’origine de cette appellation. Issus pour beaucoup des milieux pauvres et croyants, les soldats s’en remettaient à la Vierge Marie ou à la plus célèbre des pucelles, Jeanne d’Arc. Au moment de monter au combat, et bien que ce fût interdit, ils auraient accroché sous le revers de leur capote une médaille de la Sainte Vierge ou de Jeanne d’Arc pour se protéger sur le champ de bataille, à la façon d’une amulette qui les préserverait du mauvais sort.

 

Une autre explication avance que certains insignes militaires de l’armée française étant ornés d’images évoquant Jeanne d’Arc - surnommée « la Pucelle d’Orléans » - ou la ville d’Orléans. Par extension,  ces emblèmes auraient pris le nom de ce qu’ils représentaient.

 

Enfin, une dernière explication trouve sa source dans la tradition militaire : lorsque l’on accroche la première insigne de son unité ou de son régiment, on ouvre la boutonnière de son vêtement pour la première fois. Ce faisant, on « dépucelle » la boutonnière jusqu’alors restée vierge.

 

Les pucelles se portent à droite pour l’armée de Terre et la Gendarmerie, et sur le cœur pour l’armée de l’Air. À l’exception des marins pompiers, la Marine n’en porte pas. Depuis 1945, tout projet d’insigne, assorti de l’explication des éléments de sa composition, doit être présenté au service historique de la Défense. Pour être homologuée, le symbolisme de la pucelle doit être en accord avec l’historique et la mission des unités.

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1 mai 2015 5 01 /05 /mai /2015 11:55
photo Dassault Aviation

photo Dassault Aviation

 

01 mai 2015 Par Hassan Meddah – UsineNouvelle.com


Le 4 mai, Dassault Aviation et le Qatar vont signer à Doha un contrat pour la fourniture de 24 appareils. Les livraisons vont démarrer mi-2018 au rythme d’un Rafale par mois. Ce contrat va imposer de doubler au moins les cadences de production de l’avion tricolore et positionner la France comme l’un des tout premier exportateurs d’armes au niveau mondial, derrière les Etats-Unis.

 

Le 21 avril dernier, Jean-Yves Le Drian rencontrait à Doha, en secret, les dirigeants qatariens. Le déplacement ne figurait pas à l’agenda du ministre de la Défense. Et pour cause : les deux parties souhaitaient un maximum de discrétion pour conclure leurs négociations pour l’achat de 24 Rafale. Au total, depuis sa première visite à Doha en février 2013, il aura fallu au ministre une dizaine de déplacements pour décrocher ce troisième contrat après l’Egypte (24 appareils) et l’Inde (36 appareils). C’est beaucoup plus de temps que pour le contrat égyptien signé en quelques semaines.

"Cela faisait environ trente ans que le Qatar n’avait pas signé un contrat aussi significatif dans le domaine de la défense (douze Mirage 5 de Dassault Aviation à l'époque, ndlr). Il ne disposait donc pas de toutes les habitudes nécessaires à la signature rapide d’un tel contrat", explique-t-on dans l’entourage des négociateurs français. Jean-Yves Le Drian n’a négligé aucun renfort dans cette opération : en janvier dernier, il s’était entouré du délégué général à l’armement, Laurent Collet-Billon, et du chef d’état-major de l’armée de l’air Denis Mercier pour finir de convaincre ses homologues qataris.

La France a donc officialisé ce jeudi 30 avril la signature, qui devrait se dérouler le 4 mai prochain à Doha, entre Dassault Aviation et le Qatar, d’un contrat pour l’achat de 24 Rafale dont six versions biplaces, et seize monoplaces. Le montant est de l’ordre de 6,3 milliards d’euros, armement compris. L’avion tricolore sera vendu avec sa panoplie complète de missiles fabriqués par Safran et MBDA : Scalp (missile de croisière), 2ASM (missile de précision pour les attaques au sol), Mica (défense aérienne)... L’armée française formera également sur sa base de Mont-de Marsan (Landes) quelque 36 pilotes et plus d’une centaine de mécaniciens.

Les conséquences d’un tel contrat sont multiples aussi bien pour l’avionneur et sa supply chain que pour le ministère français de la Défense.

 

Sûrement plus de 2000 créations d’emplois

A partir de mi-2018, le contrat prévoit de livrer un Rafale par mois aux forces armées qatariennes. C’est la cadence à laquelle la France reçoit ses appareils actuellement. Il faudra aussi compter sur cette cadence à partir de 2017 pour les 24 engins pour l'Egypte. Les négociations pour les 36 appareils indiens sont encore en cours. Sur cette base, et même avec le prélèvement directement sur chaine de 40 appareils destinés à l’armée française au profit des clients export sur la période 2016-2019, il faudra au minimum doubler les cadences de production de la ligne d’assemblage de Mérignac (Gironde) de Dassault Aviation. Les 500 sous-traitants du Rafale totalisant environ 7000 emplois devront suivre et donc embaucher. Ainsi Thales a déjà testé sa supply-chain à une cadence de 2,5 appareils par mois. Avant l’annonce du contrat qatarien, L’Usine Nouvelle avait estimé le potentiel de création d’emplois à 2000 postes. Ce chiffre est désormais sans doute en deçà de la réalité.

 

La France devant la Russie en terme d’exportations ?

Le contrat qatari s’ajoute à beaucoup d’autres : ventes de frégates et de Rafale à l’Egypte, négociations bien engagées avec l’Inde pour 36 Rafale, ventes d’hélicoptères prévues à la Pologne d’ici la fin de l’année... La cuvée 2015 pour les exportations d’équipements militaires promet d’être exceptionnelle. Au ministère de la Défense, on estime qu’elle pourrait atteindre un total de 12 à 15 milliards d’euros. "Pour la première fois les exportations pourraient dépasser le montant des commandes pour notre armée", explique-t-on à l’Hôtel de Brienne. C’est encore loin des Etats-Unis (entre 60 et 80 milliards de dollars par an). Toutefois, au ministère de la Défense, on caresse l’espoir de passer devant la Russie !

Il n’y pas que l’ego des industriels qui en sera gonflé. Les conséquences économiques sont directes. En 2013, des ventes militaires à l’exportation de 6,8 milliards d’euros avaient permis de conforter l’équivalent de 40 000 emplois et de contribuer pour 8% à la balance commerciale du pays.

 

Au tour de Nexter, DCNS, et d’Airbus Helicopters ?  

Le secret espoir des industriels français de l’armement est que ce contrat fasse des petits. A l’occasion d’une visite à Doha de Jean Yves Le Drian en février 2013, la France et le Qatar avait organisé des exercices militaires conjoints auxquels une centaine de militaires français avaient participé. Nexter avait pu ainsi faire la démonstration de ses véhicules blindés (VBCI). Par ailleurs, le Qatar a confirmé récemment son intérêt pour les hélicoptères militaires du groupe Airbus. Le fabricant de navire DCNS ne serait pas en reste. "Ils ont également des projets dans le domaine naval qui progressent bien", assure-t-on du côté français.

 

La loi de programmation militaire (LPM) respectée

Dans un cadre tendu pour le budget de la Défense, le contrat qatari permet à Jean-Yves Le Drian de respecter le cadre fixé par la Loi de programmation militaire (LPM) votée en 2013, qui prévoyait la vente de 40 exemplaires du Rafale afin de pouvoire diminuer les commandes de l’Etat. Techniquement et même s’il est bien engagé, le contrat indien n’est pas concrêtement signé. Mais les contrats  égyptien et qatari (48 Rafale au total) permettent déjà de remplir cet objectif.

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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 16:55
Première manoeuvre pour le LRU (Photo  armée de Terre)

Première manoeuvre pour le LRU (Photo armée de Terre)

 

22 avril, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

Le 3 avril 2015, le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre, a officielement adopté le lance-roquette unitaire (LRU) pour le compte de l’armée de Terre. Dix jours plus tard, le 1er régiment d’artillerie (RA) lui offre sa première manoeuvre.

 

En effet, du 13 au 16 avril, les Centaures du 1er RA ont effecté un exercice interarme afin d’entretenir les savoir-faire techniques du système d’arme LRU, tester en terrain civil un concept d’emploi d’une unité LRU et s’entraîner avec le système ATLAS (automatisation des tirs et liaisons de l’artillerie sol/sol). Pour se faire, le 1er RA a été rejoint par des hommes et des moyens du 19e régiment du génie. Des appareils de l’armée de l’Air ont également participé à l’exercice, à savoir un Rafale, un Mirage 2000D et un Alpha Jet.

 

Le LRU remplace le LRM (lance-roquettes multiples) dans les armées française, allemande et italienne. Ces trois pays ont signé la Convention sur les armes à sous-munitions  qui est un traité international humanitaire et de désarmement qui interdit totalement l’emploi, la production, le stockage et le transfert des armes à sous-munitions. Or, le LRM (MLRS chez les anglo-saxons) a été conçu pour expédier des roquettes non-guidé M26, contenant un grand nombre de sous-munitions.

 

Pour satisfaire aux obligations du traité et pour s’adapter dans le même temps au champs de bataille modernes, les pays européens pré-cités ont décidé de transformer leurs LRM en LRU. Ces derniers sont adaptés au lancement de la munition M31, dite Guided Unitary MLRS qui est capable d’atteindre une cible à plus de 70km avec une précision inférieure à 5 mètres.

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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 16:50
The European Union's External Action CFSP basics

 

27 April 2015 EUISS

 

Produced for the occasion of the EUISS conference with HR/VP Mogherini in April 2015, the leaflet goes back to basics on the EU’s external action.

Infographics and illustrations, as well as a glossary of terms and relevant actors, present facts and figures about the European Union’s Common Foreign and Security Policy (CFSP), as well as its broader external action activities – in an easily accessible manner.

 

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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 16:50
Opening speech by HRVP Mogherini at the 4th EU Symposium on security and defence cooperation between the EU and the US


29/4/2015 EU source: European Union Ref: EU15-191EN
 

Summary: 29 April 2015, Washington, DC - Opening speech by High Representative and Vice-President Federica Mogherini at the 4th EU Symposium on security and defence cooperation between the European Union and the United States

 

- Check against delivery -

 

  • (…)The global security environment is changing dramatically. We are talking about big pictures, but it's about people's life(…).
  • (…)Now finally as Europeans we are increasing our efforts to tackle the humanitarian crisis we are facing. As we do that, though, we must also tackle the causes of migrations. Including the conflicts in Europe’s neighbourhood.

 

ON A STRONGER EUROPE IN SECURITY AND DEFENCE

  • Since assuming my functions, 6 months ago, I have stressed the need to work on a stronger Europe when it comes to security and defence matters. Getting at least some integrated defence capacities is something we cannot do without. (…)
  • It is to draw a clearer picture of this more connected, contested and complex world, that I have launched in the EU a Strategic Review, a process of reflection on the implications of the evolving international security environment and the role that EU can and must play in it. (…)
  • (…)This is intended to be a first step in the process that might culminate in a new EU external strategy. This first step will be completed by the end of June, and will provide the basis for further decisions by the EU on how better to prepare for and act upon the challenges to peace and prosperity that we face on both sides of the Atlantic. (…)

 

BUILDING ONWARD

  • (…) Over the years the EU has gained significant experience and can deploy its missions on many different scenarios. (…) Ultimately, we believe that the best approach is to enable our partners in Africa to handle crisis management with minimal outside intervention. Yesterday the Commission adopted a Communication based on my proposal to enable the EU to "train and equip" forces of local partners. Since they will bear the brunt of crisis management, they deserve our strongest support. (…)
  • (…)As we expand our ambitions, we also need to fill our defence capability gaps. At a time of reduced public spending, states seek ways to engage in pooling and sharing of capacities and resources, especially at the high-end capabilities. This can end up providing Europe with a good opportunity to reshape its defence spending. (…)
  • The European Parliament reminds us that the cost of "non-Europe" in defence amounts to some €26bn per year, an enormous amount of money. And even more: 70% of European citizens support more integration in defence. For us, that is a call to action, and we want to fill this gap. (…)

 

ON THE EU-US COOPERATION ON SECURITY AND DEFENCE

  • (…)The United States and the EU are reliable partners on security and defence. Our commitment as Europeans is to move further in this direction.
  • (…)One of the promising strands of our cooperation has been increased military-to-military interaction. We must further step up information-sharing and collaboration between US and EU's military and civilian planners at all levels. We cannot afford to be duplicating efforts. (…)
  • (…)The same applies to transatlantic cooperation on intelligence. Countering violent extremism and stopping foreign fighters has become an all-hands-on-deck job. We can only succeed if we join forces. (…)

 

ON EU-NATO COOPERATION

  • (…)Our work to strengthen our capabilities through CSDP goes hand in hand with deepening ties with NATO. Hybrid, non-linear risks have put a premium on enhanced cooperation and contingency planning. And indeed the EU is strengthening its cooperation with the Alliance; we have developed an excellent working relationship. (…)

Read the full speech [75 KB]

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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 16:40
Les médias étrangers ont salué le nouveau char russe T-14 « Armata »

Le nouveau char russe T-14 a dépassé le Léopard 2 allemand et l’Abrams américain par sa technologie (plateforme chenillée, tourelle plate, capsule blindée d’équipage, canons mitrailleurs télécommandés, station radar de guidage des obus, nouveau type d’acier et de céramique du blindage)

 

27 avril, 2015 Aleksandar Le Comte - Les réflexions d'Arès

 

La première apparition officielle du nouveau char russe T-14 « Armata » en public se produira le 9 mai 2015, lors de la parade militaire de Moscou commémorant le Jour de la Victoire. Les médias étrangers ne cessent d’aborder ce thème depuis des mois. Le magazine illustré allemand Stern a même publié un article le 31 Mars 2015 intitulé « Une nouvelle arme-miracle de Poutine ».

 

En cette matière, les Allemands ont décidé de rassembler toutes les informations à caractère secret concernant ce char. Outre l’unique vidéo provenant de Nizhny Tagil, de nombreuses vidéos-animations amateurs faites par informatique sur l’aspect supposé de ce char que les Allemands ont qualifiée de « Wunderwaffe ». Les conclusions et les notations vont bon train, et il faut le noter que la création ex-nihilo d’un nouveau modèle de char de combat de base est une grande rareté pour la plupart des armées du monde. Le « Leopard-2 » est le char principal de la Bundeswehr — créé il y a plus de 35 ans, le M1 « Abrams » américain n’est pas plus jeune. Parmi les modèles existants de véhicules de combat occidentaux, il y a toujours des refit ou un certain nombre d’améliorations, mais la conception de base ancienne.

 

Une attention particulière des articles est accordée au canon de 120-mm, qui d’après les rumeurs, surpassera l’un des meilleurs armements de char au monde – à savoir, l’arme du char allemand Leopard-2. Les médias allemands méticuleux n’ont pas non plus ignoré la tourelle plate inhabitée T-14 « Armata ».

 

La plus grande différence fondamentale caractérisant ce nouveau char est qu’aucun des membres de son équipage ne sera placé dans la tourelle et, par conséquent, ne sera pas exposé à un risque accru. Selon divers témoignages, les deux ou trois membres de l’équipage seront protégés dans une capsule spéciale située dans la partie avant de la machine. L’équipage sera mieux protégé que dans tous les autres chars au monde (Source : Stern)

 

L’éloge du char russe ne se termine pas là, puisque les observateurs américains ont également fait l’éloge du nouveau char, de sa mobilité, et de la plateforme technique de son système de chenille, blindage ultramoderne à base d’acier et de céramique.

 

« Imaginez que vous êtes responsable de la flotte d’une brigade de chars, et que vous avez des châssis chenillés différents, alors, vous devez garder en réserve une quantité suffisante de pièces de rechange, puis enseigner aux personnels l’assemblage de toutes les pièces sur chaque châssis différent. Or, il est beaucoup plus facile de prévoir le succès d’une réparation et sa mise en œuvre lorsque vous n’avez plus qu’à vous soucier que d’un seul type de châssis », a commenté l’expert américain sur la technologie russe Charles Bartlay sur ce même portail.

 

Rappelons que divers autres modèles de matériel militaire sont à l’étude pour la plate-forme T-14 « Armata », telle que la pièce d’artillerie automotrice 2S35 « Coalition-SV », ainsi que le futur véhicule de combat d’infanterie russe T-15.

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