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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 13:55
Photo Jean-Jacques Le Bail – Marine Nationale

Photo Jean-Jacques Le Bail – Marine Nationale

 

17 mars 2015 par FREMM Languedoc – Marine Nationale

 

Le contre-amiral Frédéric Damlaimcourt, adjoint organique à Brest de l’amiral commandant la force d’action navale, a fait reconnaître, le 13 mars 2015, le capitaine de vaisseau Guillaume Arnoux comme premier commandant de la frégate multimissions « Languedoc ».

 

Suite au transfert de fanion de la frégate multimissions « Provence », entre les équipages de la FREMM « Normandie », équipage prenant, et de la FREMM « Provence », équipage quittant, la cérémonie de prise de commandement s’est déroulée sur la place d’armes de la BFMC de Lorient.

 

Cette cérémonie de prise de commandement sera complétée par une première levée des couleurs et une remise du fanion à bord de la FREMM « Languedoc » en septembre prochain.

Photo Jean-Jacques Le Bail – Marine NationalePhoto Jean-Jacques Le Bail – Marine Nationale

Photo Jean-Jacques Le Bail – Marine Nationale

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 13:35
A UK Royal Air Force's Puma HC Mk2 helicopter in flight. Photo RAF

A UK Royal Air Force's Puma HC Mk2 helicopter in flight. Photo RAF

 

18 March 2015 airforce-technology.com

 

The UK Royal Air Force (RAF) has deployed its newly upgraded Puma HC Mk2 helicopters to Afghanistan.

 

The first operational deployment of the helicopters comes more than three weeks after declaration of initial operating capability (IOC).

 

These helicopters will be flown by 33 and 230 Squadrons at RAF Benson in Oxfordshire, UK.

 

They are scheduled to relieve the Chinook force in Kabul, from providing aviation support to the UK and coalition troops who remain in Afghanistan in non-combat roles assisting the Afghan Government and the Afghan National Defence and Security Forces.

 

33 Squadron commanding officer wing commander Mark Biggadike said: "Our role will be to move troops and equipment around Kabul by air, which is more efficient than moving personnel who would otherwise be travelling by road.

 

"Puma 2 is ideal for operating in urban environments such as Kabul, it's small enough to land in fairly built up areas without creating too much downwash and disruption and it is relatively fast so we can move around the city quickly."

 

Approximateky 24 RAF Puma helicopters are being upgraded by Eurocopter under a £260m Puma life extension programme (LEP) contract awarded in September 2009, with an aim to extend their service life until 2025.

 

The Puma 2 upgrade includes the integration of two Turbomeca Makila engines, new gearboxes and tail rotors, and new engine controls, as well as a digital autopilot, a flight management system, an improved defensive aids suite, and ballistic protection for helicopter crew and passengers.

 

Biggadike said: "The upgrades to the aircraft mean it will fly further for longer, with greater loads in more extreme environments, such as the high attitudes and hot summers we will experience in Kabul."

 

The Puma Mk2 is air-transportable by C-17 Globemaster transport aircraft. It can carry up to 16 fully-equipped troops, and requires only four hours to be ready for deployment in support of both combat and humanitarian missions.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:55
photo  musée de l’Air et de l’Espace

photo musée de l’Air et de l’Espace

 

source musée de l’Air et de l’Espace
 

Pour la cinquième année consécutive, le musée de l’Air et de l’Espace organise le Carrefour de l’Air, événement unique où des musées, associations et collectionneurs aéronautiques se rassemblent afin d’échanger, de partager leur passion et rencontrer le public.

Du vendredi 10 au dimanche 12 avril, le patrimoine aéronautique sera à l’honneur à travers cette manifestation qui se déroule en 3 temps : 1. les 5e Rencontres "Collecter, conserver et valoriser le patrimoine aéronautique", 2. un fly’in d’avions historiques et 3. une exposition des musées et associations spécialisées dans la préservation du patrimoine aéronautique (accès libre sur les trois jours).

 

✈ 1. Les 5e Rencontres "Collecter, conserver et valoriser le patrimoine aéronautique" - Vendredi 10 avril de 10 h à 18 h, auditorium Roland Garros

Cette journée d'études, parce qu'elle s'adresse aussi bien aux passionnés de culture aéronautique qu’aux animateurs et responsables de musées et d’association patrimoniales - qu’ils soient amateurs ou professionnels - et aux historiens du patrimoine technique, scientifique et industriel, a pour ambition de diffuser la connaissance liée à la collecte, la préservation et la valorisation des collections aéronautiques.

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    Programme provisoire de la journée d’études*

 

✈ 2. Le fly’in - Samedi 11 et dimanche 12 avril

Le samedi matin, une vingtaine d’avions historiques en provenance de diverses collections, rejoindront, si les conditions météorologiques le permettent, le mythique tarmac du Bourget. Il est prévu qu’ils repartent dimanche après-midi. Couvrant un champ très large, allant de l'entre-deux guerres aux années soixante, ce fly’in témoigne de l'évolution de l'aviation tant civile que militaire sur quatre décennies ; il remporte un vif succès auprès des visiteurs depuis 2011.

La présence de ces avions, se posant et redécollant du Bourget, est significative de l'importance historique de cette plate-forme dont l'activité n'a jamais été interrompue depuis sa fondation en 1914 (terrain du camp retranché de Paris).

 

✈ 3. L’exposition - Samedi 11 et dimanche 12 avril

Le musée de l'Air et de l'Espace, musée de site, accueille dans ce lieu significatif qu’est l’aéroport du Bourget l'ensemble de l'activité aéronautique patrimoniale telle qu'elle se déploie en France aujourd'hui. Une quarantaine d’exposants présenteront leurs démarche patrimoniale sous les ailes des deux Concorde de notre collection, le samedi 11 et le dimanche 12 avril. Chaque institution présentera ses activités, ses collections et ses trésors (objets, documents, archives, maquettes...)

L’occasion pour les visiteurs de découvrir les musées et associations qui préservent, restaurent et exposent le patrimoine aéronautique en France, et d’échanger avec de nombreux passionnés. Les professionnels auront eux aussi la possibilité de se rencontrer et de discuter autour de projets communs.

Retrouvez toutes les informations utiles dans notre lettre d'information mensuelle, sur le blog, ou les réseaux sociaux du musée.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:55
photo Marine nationale

photo Marine nationale

 

18 Mars 2015 Marine Nationale

 

La brigade de protection du chasseur de mines tripartite (CMT) Croix du Sud a effectué un stage d’une semaine au centre d’initiation commando du Fort de Penthièvre sur la presqu’île de Quiberon.

 

Ce séjour, très intense physiquement, a donné lieu à de multiples activités: escalade, rappel, kayak en mer, marche d’aguerrissement et différents parcours individuels et collectifs parsemés d’obstacles de toutes sortes à franchir.

 

La cohésion de la brigade a par ailleurs été mise à rude épreuve sur les pistes d’audace et les nombreux passages sur des câbles suspendus. Cette succession d’exercices à la fois physiques et techniques était encadrée par des instructeurs du 3ème Régiment d’Infanterie de Marine de Vannes dont dépend le fort.

 

Ce stage d’aguerrissement fut l’occasion de renforcer la cohésion entre les membres de la brigade de protection tout en évoluant dans un cadre interarmées.

 

Situé sur la presqu’île de Quiberon, le fort est intimement lié à son histoire. Construit en 1748, il a successivement protégé le territoire d’un débarquement anglais puis fut utilisé au cours des guerres de 1870 et 1914. En juin 1933, il fut désaffecté et classé monument historique avant de tristement reprendre du service sous l’occupation où il fut utilisé par les Allemands comme lieu de détention et de torture. Outre son activité de centre d’initiation commando, il est aujourd’hui un lieu de mémoire en hommage aux 59 innocents torturés et exécutés par les nazis à la fin du conflit.

photo Marine nationale

photo Marine nationale

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:55
Nexter robotise l'assemblage de ses munitions

 

17 mars 2015 Par Stéphane Frachet - Usinenouvelle.com


Le fabricant de munitions Nexter investit 10 millions d'euros sur son site près de Bourges (Cher). Le but : mieux réagir à la demande. Nexter lance un chantier de dix millions d'euros à La Chapelle-Saint-Ursin, près de Bourges (Cher), pour bâtir une nouvelle usine de 2 000 mètres carrés. Il s'agit de développer l'assemblage de munitions de moyen calibre. La nouvelle chaîne de production sera robotisée.

 

Cet agrandissement vient conclure un programme d'investissement de 40 millions engagés depuis 2011 sur les sites de Nexter munitions afin d'automatiser la production, depuis les gros calibres destinés aux chars et aux canons d'artillerie jusqu'aux dispositifs atténués pour le maintien de l'ordre. "Cet effort particulier a pour objectif de rendre l'outil industriel plus réactif", dit Eric Perronno, directeur des projets industriels de Nexter munitions, filiale de Nexter.

 

Suite de l'article

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:50
XP2 (Nexter) - IFV Puma (KMW)

XP2 (Nexter) - IFV Puma (KMW)

 

17/03/2015 Par Lefigaro.fr (AFP)

 

Le groupe public français d'armement terrestre Nexter Systems  affirme que le projet de rapprochement avec l'allemand KMW "se développe et devrait se concrétiser sur 2015", à l'occasion de la présentation de ses résultats annuels.Les deux groupes s'étaient fixé comme date début avril pour le concrétiser, mais cela avait fait l'objet de réserves outre-Rhin, exprimées notamment par le ministre de l'Economie, Sigmar Gabriel.

 

En décembre dernier, le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron avait jugé que la position de fermeté de l'Allemagne en matière d'exportations d'armes pourrait poser un "problème" pour des projets franco-allemands, qu'il s'agisse des blindés Nexter ou du groupe Airbus. "Je suis parfaitement conscient des réticences du (ministre social-démocrate de l'Economie) Sigmar Gabriel sur le sujet des exportations d'armement", avait-il dit. Concernant le rapprochement Nexter-KMW, il avait ajouté: "On n'ira pas plus loin dans cette aventure si on n'a pas purgé ce sujet" franco-allemand.

 

Ce rapprochement, baptisé KANT (pour KMW and Nexter Together), a été entamé le 1er juillet dernier.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:50
Credits : MBDA

Credits : MBDA

 

March 16, 2015 By Pierre Tran – Defense News

 

PARIS — MBDA expects Britain and France to sign an intergovernmental agreement by the end of the year to allow the legal transfer of technology and production, a key note in cross-border cooperation in a highly sensitive area, said Antoine Bouvier, chairman of the European missile maker.

 

"The intergovernment agreement allows a necessary convergence," Bouvier told journalists Monday as he announced 2014 financial results and set out the major issues for the company.

 

Airbus and BAE Systems each hold 37.5 percent of the company and Finmeccanica the remaining 25 percent.

 

The bilateral agreement reflects four years of detailed, discreet work since the 2010 Lancaster House bilateral treaty, with MBDA taking on the role of "laboratory" for industrial specialization in the defense industry, Bouvier said.

 

Under the specialization, four centers of excellence will be the base for research and development (R&D) and production of subsystems. For example, the Lostock site, near Manchester, has just produced the actuator fin for the Missile Moyenne Portée (MMP), a medium-range weapon to replace the antitank Milan for the French Army, he said. There is also a British center specializing on datalinks.

 

The Bourges factory, in central France, has a test bench for Brimstone, a British missile, he said. Another French site will specialize on weapons controller technology. Those are four of 12 centers of excellence that will handle the work share packages agreed on programs.

 

That specialization concept aims to curb duplication in research and development and production of missiles in Britain and France, which are already close partners in Europe. New programs, notably the Future Anti-Surface Guided Weapon (Heavy), or Anti-Navire Léger, helicopter-borne missile, will be developed and built under that industrial specialization, while current programs will gradually be transferred to that system.

 

That European duplication, which reflects a national insistence on retaining a defense industrial capability, handicaps MBDA as it competes with Lockheed Martin and Raytheon in world markets, Bouvier said. The US companies did not have the overlap of competences commonly found in Europe.

 

The specialization accepted the principle of a certain level of "mutual dependence," he said. That goes beyond R&D and production, and includes a handover of export rights to the partner country and development of capability, which is a strategic issue.

 

That export accord has yet to be fully tested. For instance, would the UK agree if France granted export rights of missiles to Argentina? a defense source asked.

 

The missiles to arm the Rafale and multimission frigate for Egypt gave MBDA one of its biggest foreign sales in years, said Bouvier, who declined to give any details. The company expects a second large export deal this year.

 

MBDA seeks the foreign orders to offset the fall in spending in Europe, with 2014 marking a low point in the company's annual sales, he said.

 

The company posted 2014 sales of €2.4 billion (US $2.5 billion), down from €2.8 billion in the previous year.

 

Orders edged higher to €4.1 billion, with exports accounting for €2.5 billion. The foreign sales exceeded domestic orders as seen in 2013 and 2012. The company booked orders of €4 billion in 2013. The total of €8.1 billion signaled a recovery in future sales, and boosted the total order book to €12.6 billion from €10.8 billion.

 

MBDA hit its target of annual profit of about 10 percent of sales, Bouvier said.

 

Poland and Turkey are two major export prospects with their respective tenders for air defense systems, he said. Italy is expected to sign an agreement this year on the Aster New Technology weapon as the Italian Navy wishes to arm its new multifunction, 4,500-ton frigate. That naval interest compares to the French Army's interest in the Aster, he said.

 

The Aster NT would extend the reach of the current Aster block 1 weapon to hit ballistic missiles with a range of 1,000 kilometers. That compares to the block 1's ability to intercept missiles with a range of 600 kilometers.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:50
NATO Ships Conduct Exercise in The Black Sea


17 mars 2015 US Navy

 

CONSTANTA, Romania (March 13-16, 2015) A Romanian port police escort vehicle pulls out to sea as the guided-missile cruiser USS Vicksburg (CG 69) arrives in Constanta Harbor. Vicksburg is the flagship for Standing NATO Maritime Group 2 (SNMG2), a multinational integrated force that projects a constant and visible reminder of the Alliance's solidarity and maritime capability for operations and other activities in peacetime and periods of crisis. The other ships involved are HMCS Fredericton (FFH 337), TCG Turgutreis (F 241), FGS Spessart (A 1442), ITS Aliseo (F 574) and ROS Regina Maria (F 222). Later the cruiser leads a formation of ships through the Black Sea, March 16. (NATO video/Released)

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:50
Nato Tiger Meet 2014 – photo O.Ravenel – Armée de l’Air

Nato Tiger Meet 2014 – photo O.Ravenel – Armée de l’Air

 

18/03/2015 DICOD

 

Le saviez-vous ? Derrière beaucoup de coutumes, usages, traditions et expressions militaires se cachent bien souvent des anecdotes insolites, amusantes ou historiques. Alors pour étoffer votre culture générale et briller le matin devant vos collègues à la machine à café, plongez-vous dans notre rubrique du mercredi. Aujourd’hui, la rédaction vous dévoile les dessous d’un exercice aérien pas comme les autres, le « Tiger Meet ».

 

Tiger Meet ou rencontre du Tigre… Drôle de nom pour qualifier un exercice aérien qui a lieu tous les ans ou presque depuis maintenant 50 ans. Explications. Le NATO Tiger Meet, ou NTM pour les initiés, est un exercice qui regroupe les unités des armées de l’Air qui font partie de l’Otan (Organisation du traité de l’Atlantique nord) et qui ont pour emblème un tigre. C’est au début des années 1960 que l’idée de réunir les escadrons ayant pour emblème cet animal vient à un lieutenant de l’US Air Force. Fort de son succès, l’expérience se renouvelle chaque année sur une base aérienne différente.

 

Pendant une dizaine de jours, les aéronefs présents, que ce soit des avions de chasse ou des hélicoptères, participent à de nombreux exercices dont les scénarii se complexifient au fur et à mesure que les jours passent. Leur but est de s’entraîner à des missions diverses et variées, d’échanger ses expériences, d’améliorer l’interopérabilité et de renforcer les liens entre les différentes nations participantes.

 

Mais l’originalité de ces rencontres tient aux traditions colorées qui y sont attachées, ce qu’on appelle le « Tiger spirit ». Tout d’abord, les escadrons qui participent au Tiger Meet ont la possibilité de décorer et de peindre un aéronef qui participe à l'exercice, ce qui donne lieu à de petits chefs d’œuvre que les fanas d’aéronautiques s’empressent d’immortaliser avec leurs appareils photos. Dans les escadrons, il y a aussi un militaire qui porte un costume de tigre, les casques sont peints, on échange des patchs entre les unités et les soirées sont animées… Pour vous donner une petite idée de ces petites fêtes, sachez par exemple que  le "Dead bug !", "cafard mort" en français, est le signe de ralliement de tous les "tigres" : on les voit à cette occasion, s'allonger sur le sol et agiter frénétiquement bras et jambes.

 

A la fin de la semaine, plusieurs trophées sont remis aux escadrons qui se seront distingués pour l'avion le mieux décoré, le meilleur costume ou encore pour avoir mis la meilleure ambiance. Mais c’est surtout le trophée du "Silver Tiger" qui est attendu puisqu’il récompense l'escadron qui s'est le mieux illustré lors des missions.

 

Aujourd’hui, 23 escadrons, dont trois français, sont membres de droit et 10 sont honoraires. En 2014, la 50e édition s’est déroulée sur la base aérienne de Schleswig en Allemagne. En 2015, ce sera au tour de la Turquie d’accueillir les rugissements des escadrons Tigre.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:45
Première Visite de terrain du Chef de la MINUSMA


18 mars 2015 MINUSMA

 

Le Nouveau Représentant spécial du Secrétaire général et chef de la MINUSMA, M. Mongi Hamdi, s’est rendu pour la première fois depuis son arrivée au Mali à Tombouctou pour une visite d’une journée
En se rendant dans la cité des 333 saints, M. HAMDI voulait s’enquérir auprès des leaders religieux, les élus locaux, la société civile et les plus hautes autorités de la région des défis sécuritaires du moment mais aussi et surtout échanger avec eux du processus de paix en cours au Mali.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:45
ISS: What does the Boko Haram-ISIS alliance mean for terrorism in Africa?

 

17 March 2015 by Martin Ewi, Senior Researcher, Transnational Threats and International Crime Division, ISS Pretoria - defenceWeb

 

On 7 March, Abubakar Shekau – the leader of the feared Nigerian terrorist group, Boko Haram, opened a new page in the history of the group when he announced his allegiance to Abu Bakr al-Baghdadi, the self-proclaimed ‘caliph’ and leader of the Islamic State (IS, also known as ISIS or ISIL).

 

Al-Baghdadi’s acceptance of Shekau’s bay’ah, or pledge of allegiance, has formalised the alliance between two of the world’s most ruthless terrorist organisations. Boko Haram joins a growing number of extremist groups in Egypt, Libya, Algeria, Morocco and Tunisia that have since the beginning of 2014 voluntarily given up their independence by proclaiming the supreme authority of ISIS. Shekau, however, is known for his uncompromising views, raising questions as to how he would respond to orders from al-Baghdadi.

 

The practice of giving bay’ah has become common among African terrorist groups and is often mistaken to be a sign of weakness or imminent demise. Many factors – including strategic, organisational, leadership and ideological reasons – may account for a group’s decision to pledge loyalty to another.

 

The Nigerian government has viewed the recent development as a sign that Boko Haram has been defeated as a result of intensified military reprisals, which would pave the way for the postponed elections to take place on 28 March.

 

Boko Haram is officially known as Jama'atu Ahlis Sunna Lidda'awati wal-Jihad, or People Committed to the Propagation of the Prophet's Teachings and Jihad. Indeed the fight against the group has seen some solid achievements in recent weeks, including the liberation of territories that had fallen under their control in Nigeria and Cameroon. Boko Haram has also been resorting to increasingly desperate tactics, such as suicide bombings (often involving children and young girls), using livestock as shields and forced kidnappings for recruitment, which could be indicative of its declining popularity.

 

While it is true that some progress has been made in containing Boko Haram, it would be misleading to take Shekau’s pledge of allegiance to ISIS as a sign of defeat, as Boko Haram has continued to perpetrate deadly attacks. There were already hints of a future alliance with ISIS in June last year when Shekau congratulated al-Baghdadi and pledged support for his declaration of a ‘Caliphate’. At the time, Boko Haram was believed to be at its peak.

 

The group’s tactics have since become increasingly similar to those used by ISIS, as demonstrated by its excessive use of violence and its desire to establish an Islamic Caliphate through the conquering and controlling of territories, which was not previously part of the group’s practices. Boko Haram also began to practise brutal and dramatic public executions, which have become the hallmarks of ISIS.

 

This new alliance with ISIS not only confirms Shekau as an opportunist, but also as an unreliable partner. This is not the first time that Shekau has pledged allegiance to a foreign terrorist group. In 2011, Boko Haram officially joined the ranks of al-Qaeda-affiliated groups in an initiation that was completed with the August bombing of the United Nations Headquarters in Abuja, in which 23 people died and several others were injured.

 

Joining al-Qaeda also brought about a paradigm shift in the group’s philosophy and modus operandi – particularly in tactical terms. Boko Haram started carrying out al-Qaeda style simultaneous attacks and suicide bombings, kidnapping foreigners, threating the United States of America and other western countries, as well as participating in other jihadist operations – such as in northern Mali.

 

The merger can also be seen as a personal victory for Shekau, whose propensity for violence matches that of al-Baghdadi. For the past several years Boko Haram has been plagued by in fighting, essentially between the so-called ‘Yusufiyyas’ in the group – those who want to preserve the philosophy and doctrine of Boko Haram’s founder, Mohammed Yusuf – and Shekau hardliners. Yusufiyyas are believed to be less violent and pro al-Qaeda, while the pro-Shekau militants within the group are the most violent.

 

When Shekau began to show his open support for ISIS, along with an intention to create a Caliphate, the Yusufiyyas opposed him and distanced themselves from the doctrine. Khalid Al-Barnawi, one of the group’s leaders, decried it as Shekau’s ‘misguided adventurism,’ calling him ‘a clear enemy of the jihad.’ Since the pledge of allegiance, nothing else has been heard from the group and none of the group’s other leaders have come forward to oppose the merger.

 

As ISIS’ biggest partner in Africa, the alliance is likely to give Boko Haram a new continental influence. It could however, also alienate Boko Haram from its support bases in northern Nigeria and the region. Strategically, the new alliance will secure new funding, arms and foreign fighters from around the world for Boko Haram.

 

For ISIS, the alliance will facilitate its African expansion, especially in sub-Saharan Africa, and strengthen al-Baghdadi’s global legitimacy and influence. Boko Haram may also provide an important front for ISIS to attack countries taking part in Obama's international coalition, set up to ‘degrade and destroy’ the terror group.

 

The alliance does not augur well for the ongoing regional campaign to contain Boko Haram, as the Islamist sect could get more sophisticated, posing serious operational and tactical challenges to the African Union (AU)-approved multinational joint task force (MNJTF).

 

This underscores a need for greater coordination among the frontline countries, and for the rapid deployment of the envisaged 10 000 MNJTF troops to maximise recent gains and prevent foreign assistance to Boko Haram.

 

The Peace and Security Council of the AU may wish to consider a summit-level meeting to declare a no-fly zone for non-commercial and non-military aircraft in the region, and to request states to ensure that no military goods exported to Cameroon, Chad, Niger or Nigeria end up in the hands of Boko Haram.

 

The international community should also intensify non-military responses. These include community programmes and strong national criminal justice institutions to eliminate the culture of impunity, and ensure that the millions of Boko Haram victims get justice. In this light, the International Criminal Court should expedite the process of indicting those responsible for mass atrocities in northern Nigeria, including Boko Haram’s leaders.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:45
A donated Cessna 208B Caravan

A donated Cessna 208B Caravan

 

17 March 2015 by defenceWeb

 

The US government has donated two Cessna 208B Caravan light aircraft to the Uganda People's Defence Force (UPDF) Air Wing to support the Ugandan contingent battling Al Shabaab militants in Somalia.

 

The aircraft were handed over by Deputy Chief of Mission at the US Embassy in Kampala, Patricia Mahoney, on March 16 at Entebbe Airport.

 

The aircraft, worth $15 million including spare parts and training, were donated by the US Department of Defence and will be deployed to the main UPDF Air Wing air base in the northern city of Gulu from where they will support the hybrid African Union/United Nations Mission in Somalia (AMISOM) according to a statement from the US embassy in Kampala to local newspaper New Vision. They will be used for transport, medical evacuation and intelligence, surveillance and reconnaissance flights over Somalia.

 

“The donation aims at increasing Uganda’s national air forces’ capacity to conduct AMISOM counter-terrorism operations. These aircraft will enhance the capacity of Uganda’s air forces to provide mobility, reconnaissance, and evacuation support,” US ambassador to Uganda Scott Delis said.

 

In addition to donating the Caravans, the US government is considering replacing the three Mi-24 helicopters that crashed on Mount Kenya on their way to Somalia in August 2012, according to the chief of Uganda’s military, General Katumba Wamala. “We have been having these discussions and they have hinted on the possibility of replacing them with their own kind of aircraft,” Wamala is quoted by The Monitor as saying.

 

The Caravan handover comes a month after the US government donated eight armoured Toyota Land Cruiser vehicles to the UPDF. They were handed over on February 20 by Lieutenant Colonel Giff Haddock of the US Army on behalf of the US Ambassador to Uganda.

 

Earlier this year the UPDF and Burundian contingents of AMISOM received 20 Cougar Mine Resistant Ambush Protected (MRAP) vehicles from the US Combined Joint Task Force–Horn of Africa (CJTF-HOA) as part of measures to boost the force protection capabilities of AMISOM. The MRAPS were donated under the Excess Defense Articles programme. The vehicles were used to replace 20 South African-made Casspir armoured personnel carriers which had been in use since 2010.

 

The United States has promised to deliver additional MRAPS to Uganda.

 

Uganda joins a growing list of African militaries to benefit from the US Army's continental counter-terrorism programme. So far, Mauritania and Niger have each taken delivery of at least two Cessna 208B Caravans. The US has also contracted Cessna to deliver aircraft to the Kenyan Defence Force (KDF).

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:20
T-38 A and T-38 C - photo USAF

T-38 A and T-38 C - photo USAF

 

03/18/2015 by Defence IQ Press

 

Following months of speculation about future capabilities of the U.S. Air Force’s T-X trainer jet platform, the requirements for one of the Pentagon’s most important and valuable acquisition programmes have finally been released.

 

The Air Force Materiel Command, the procurement agency for the T-X, has not committed to a single or twin engine design but has specified a requirement that, “Takeoff and IFR [Instrument Flight Rules] climb out performance in the event of single engine failure for a two engine aircraft on a no wind day at a density altitude of 7400 ft.” The requirement is for a climb gradient of 200 feet per nautical mile. Defence IQ reported last June that Gen. Robin Rand, commander of Air Education and Training Command (AETC), confirmed the requirements proposal will “not express a preference for a single-engine aircraft versus a twin.”

The T-X, a long-term replacement for the ageing T-38 trainer, must have a minimum threshold requirement of 6.5 Gs for sustained G but the development objective is to get this to 7.5 Gs under standard configuration, 80% fuel weight, and 15,000 ft Pressure Altitude (PA), and no greater than 0.9Mach.

In terms of aircraft sustainment, operational availability is to be greater than or equal to 80% at 20,000 fleet hours and material availability at ≥ 76% at 20,000 fleet hours.

Questions about the T-X requirements have been circulating ever since it was included in the President’s FY16 budget, with analysts particularly looking at the possibility of using it as an aggressor training system as well as using it for its core purpose of advanced pilot training. Since it’s expected to be in service for decades, the platform needs to be flexible enough to allow for upgrades in the future, which may include the aggressor training element.

Lockheed Martin’s advanced development facility, known as Skunk Works, revealed earlier this month that it had been working on a brand new platform for the T-X programme, which may be fast-tracked depending on the final requirements. The company currently plans to offer a version of it T- 50 trainer.

Also in the running, Boeing and Saab AB joined forces last year to develop and build a “clean sheet” platform for the T-X Family of Systems training solution. Boeing are the prime contractor and Saab AB primary partner.

Textron Air Land is proposing its Scorpion light attack and ISR aircraft while the team of General Dynamics and Alenia Aermacchi have joined forces to offer an advanced trainer system, dubbed the T-100, based on Alenia's M346 platform. Northrop Grumman recently announced it was moving away from using the BAE Systems Hawk platform for its bid to replace the T-38 and will instead offer a new design.

In February, Defence IQ reported that the requirements would be released “within weeks,” according to Gen. Rand, speaking at the Air Force Association Air Warfare Symposium.

 

Military Flight Training : View the conference agenda here.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
Crédits : MBDA

Crédits : MBDA

 

16/03/2015 France 3 Centre

 

L'industrie de l'armement se porte bien. Le groupe de défense MBDA a annoncé aujourd'hui plus de 4 milliards euros de commande, pour l'année 2014. Une bonne nouvelle pour l'emploi en région Centre-Val de Loire.

 

En 2013, MBDA avait déjà battu tous les records : 4 milliards d'euros de commande, dont plus de la moitié réalisées à l'export (2,2 milliards d'euros). L'année 2014 a été tout aussi réussie pour le missilier, avec 4,1 milliards d'euros de commande collectée, dont plus de 2 milliards d'euros à l'export. Le groupe affiche 12,6 milliards d'euros de commandes cumulées fin 2014, contre 10,8 milliards fin 2013.

 

Bonne nouvelle pour l'emploi

 

Ouverture de marchés vers l'Arabie Saoudite, vente des Rafale à l'Egypte (et donc des missiles qui vont avec), si le groupe de défense a souffert en 2014 de la sanctuarisation des dépenses militaires décidée par le chef de l'Etat, en 2013, la situation du groupe devrait s'améliorer en 2015, avec un rebond de son activité.

200 postes auraient dû être supprimés fin 2015, conséquence du gel des dépenses militaires, avait prévu MBDA. Entreprise de dimension européenne, filiale d'EADS, BAE Systems et Finmeccanica, MBDA emploie 1.500 personnes sur les sites de Bourges et du Subdray, dans le Cher, et Selles-Saint-Denis, dans le Loir-et-Cher.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

March 14, 2015 defense-aerospace.com

(Source: French navy; issued March 13, 2015)

(Issued on French; unofficial translation by Defense-Aerospace.com)

 

A French navy NH90 Caiman anti-submarine warfare helicopter seen here during operational trials of its primary ASW weapon, the MU90 lightweight torpedo. The helicopter has now obtained its combat qualification in the ASW role. (FR navy photo)

Friday, March 13, 2015 will remain an important date in the history of the NH90 Caiman Marine helicopter, which after qualifying to operate the MU90 lightweight torpedo has been certified as having attained an initial combat capability by the French navy staff.

This is a significant milestone for the FREMM frigate / Caiman operational duo, which is qualified for engaging the most up-to-date submarine threats at longer stand-off ranges.

The French navy’s Caiman saga began with the delivery of the first helicopter on May 2010. It was followed in December 2011 by the type’s first “rescue alert” mission on the Atlantic coast and on a nation-wide stand-by for “maritime anti-terrorism” missions. In February 2103, the Caiman qualified for the “ship-based anti-submarine warfare” mission, in support of the navy’s strategic missile submarines and of the aircraft carrier task force.

A naval Caiman is currently deployed on board the air-defense frigate “Chevalier Paul,” which is currently deployed to the Middle East on “operation Arromanches”.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
photo BPC Mistral - Marine Nationale

photo BPC Mistral - Marine Nationale

 

2 mars 2015 par BPC Mistral – Marine Nationale

 

Le BPC « Mistral » a conduit durant ces trois dernières semaines, en Méditerranée, de nombreux exercices visant notamment à qualifier de jeunes pilotes de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre (ALAT) à l’appontage, mais aussi différents régiments de l’armée de terre au débarquement amphibie. Le « Mistral » a par ailleurs mené des entraînements de ravitaillement à la mer, de lutte contre un sinistre, de tir sur buts flottants et contre avions.

 

Au cours de cette sortie à la mer, riche en activités, le « Mistral » avait également pour objectif d’acquérir la qualification supérieure pour la maîtrise de ses capacités opérationnelles (MACOPS) en situation de combat. En effet, lorsqu’un bâtiment navigue sous menace, une organisation interne spécifique est mise en place afin de maintenir son aptitude à poursuivre sa mission, suivant la priorité d’action fixée par le commandant. Elle permet également au commandant de connaître, en temps réel, au poste de combat, la situation matérielle et humaine de son bâtiment.

 

Nécessitant entraînement et investissement de la part de tout l’équipage, la maîtrise des capacités opérationnelles est évaluée par la division entraînement d’ALFAN. Embarqués à bord du « Mistral », les entraîneurs ont évalué l’aptitude de l’équipage à faire face à de nombreux sinistres et avaries, à des pertes humaines et matérielles conséquentes et aux reconfigurations nécessaires. Ils ont également examiné l’arrimage de combat dans tout le bord, les connaissances théoriques et pratiques des marins sur le secourisme de combat ainsi que l’organisation générale : mini-vérifications et investigations de contrôle, comptes-rendus correspondants, diffusions régulières de la situation etc. Ils ont également assisté au « mess in action », temps calme permettant à l’ensemble de l’équipage de se restaurer, tout en restant au poste de combat, en se répartissant sur un créneau total de moins de 75 minutes (préparation-repas-rangement du matériel compris).

 

A l’issue de cette journée et après un débriefing très constructif au cours duquel les experts ont souligné en particulier une grande implication des marins, le BPC « Mistral » s’est vu attribuer la qualification supérieure attestant la maîtrise significative de ses capacités opérationnelles au combat. Cette certification, motif d’une grande satisfaction pour l’équipage, est le fruit de nombreux entraînements, de sessions de formation du personnel au secourisme de combat ainsi qu’aux techniques de lutte contre un sinistre et de l’exploitation des retours d’expériences.

 

Après avoir mené à bien, sans relâche, ces entraînements difficiles, le BPC « Mistral » reste ainsi prêt à remplir tous les types de missions en situation de menace et de combat qui pourraient lui être confiées.

photos BPC Mistral - Marine Nationalephotos BPC Mistral - Marine Nationale

photos BPC Mistral - Marine Nationale

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
ANL missile - credits : MBDA

ANL missile - credits : MBDA

 

16/03/2015 Vincent Lamigeon – Challenges.fr



Un chiffre d’affaires en berne, mais des prises de commandes record. MBDA, le missilier européen codétenu par Airbus Group,  BAE et Finmeccanica, a présenté ce lundi 16 mars des résultats 2014 contrastés, mais encourageants. Le point négatif, c’est évidemment le chiffre d’affaires : à 2,4 milliards d’euros, il baisse de 14% par rapport à 2013, du fait de la contraction des budgets de défense européens. « Un point bas qui était prévu, et totalement conforme à nos objectifs, assure Antoine Bouvier, PDG du groupe. Le chiffre d'affaires devrait connaître une remontée significative dès 2015 sous l'effet des prises de commandes exceptionnelles enregistrées ces deux dernières années. »

 

Car, et c’est le point positif, MBDA a réussi deux superbes années en termes commerciaux, avec 4,1 milliards d’euros de contrats décrochés en 2014, dont 2,5 milliards à l’export, avec des succès en Inde (missiles air-air ASRAAM sur les antiques Jaguar, Exocet pour le Brésil, et le contrat de missiles Meteor pour les Eurofighter saoudiens, révélé par la Tribune début février). Le carnet de commandes atteint désormais 12,6 milliards d’euros, soit quatre ans de production. Et 2015 a commencé très fort avec la commande de Rafale et de frégates FREMM en Egypte, dont la part MBDA dépasse le milliard d’euros.

 

Le champion européen des missiles, un des trois géants mondiaux du secteur avec les américains Raytheon et Lockheed Martin, est donc en passe de réussir son pari : compenser la baisse des commandes des clients traditionnels (France et Royaume-Uni, notamment) grâce à l’export. « Pour la première fois, la part de notre carnet de commandes hors d’Europe dépasse celle des clients européens », souligne Antoine Bouvier. MBDA estime être à peu près à égalité sur les missiles tactiques avec ses deux rivaux américains, avec une part de marché de 20 à 25%. Et des compétitions majeures sont encore à gagner : système de défense aérienne en Pologne, en Turquie, contrat indien de missiles sol-air SRSAM…

 

L’autre pari du groupe était tout aussi osé : accepter, notamment en France, une baisse des livraisons sur les équipements actuels, pour privilégier les lancements de nouveaux programmes. Là encore, la recette semble efficace : douloureuse au départ (350 millions d’euros de crédits de paiements encaissés en France en 2014, contre 500 millions en 2013), elle a permis de lancer le successeur du Milan, le missile antichar MMP (missile moyenne portée), le missile franco-britannique ANL (anti-navire léger) ou encore le nouvel Aster Block 1NT, un programme franco-italien.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
photo Sciences Po

photo Sciences Po

 

24/11/2014 Ministère de la Défense

 

Organisé conjointement par l'OED (SGA/DAF) et Sciences Po en présence du ministre et de ses grands subordonnés

 

De façon à stimuler les échanges dans le domaine de l’économie de la défense, l’OED organise désormais chaque année un événement public. En 2013, un colloque ayant pour titre « Economie et choix stratégiques de défense » s’est tenu à l’école militaire en partenariat avec HEC et l’IRSEM.

 

Ce mercredi 19 novembre 2014 s’est tenu un grand débat à Sciences Po, en présence de Jean-Yves Le Drian, ministre de la défense ; du général Vincent Lanata, sous-chef plans à l’EMA ; de Christophe Fournier, directeur des plans, du programme et du budget à la DGA et de Hughues Bied-Charreton, directeur des affaires financières du ministère sur "les choix de défense dans un environnement budgétaire contraint".

 

Le débat était animé par Ghassan Salamé, doyen de l’Ecole des Affaires internationales de Sciences Po et Jean‐Michel Oudot, économiste à la direction des affaires financières du ministère de la Défense et enseignant à l’Ecole des Affaires internationales de Sciences Po.

 

A un moment où le Parlement doit se prononcer sur l’exécution de la loi de programmation militaire, l’enjeu de ce débat était de partager les points de vue et les analyses sur les orientations prises ou envisageables pour rendre compte à la fois des ambitions stratégiques et des contraintes économiques. Ont été notamment abordés les arbitrages en matière de programmes d’armement, les choix capacitaires, les externalisations, les conditions de maintien des compétences (tant en interne au ministère qu’au sein de l’industrie) ou encore les opérations extérieures.

 

Vous pouvez retrouver l’allocution du ministre.

 

Les débats sont également accessibles en vidéo sur le site de Sciences Po / PSIA.

 

 

L’Observatoire Economique de la Défense (OED) fait partie de la Direction des Affaires Financières (DAF) au sein du Secrétariat Général pour l’Administration du ministère de la Défense.

Service statistique ministériel, l’OED remplit une mission à la fois de nature statistique et économique. Il collecte, rassemble et synthétise l’information utile aux autorités du ministère et engage des études économiques sur l’ensemble des domaines d’intervention du ministère (contrats d’armement, analyse industrielle, impacts des efforts de défense, externalisations, ressources humaines, etc.). L’objectif poursuivi est d’éclairer les décideurs, tant publics que privés, en leur fournissant l’information adéquate ainsi que des clés de lecture des mécanismes économiques à l’œuvre dans les opérations envisagées ou en cours.

Pour remplir ses missions transversales à tous les services du ministère, l’OED dispose de compétences originales structurées autour de statisticiens de l’INSEE et de docteurs en économie.

 

2 questions à Christian Calzada, chef de l’OED :

 

La question du poids économique de la Défense dans notre pays revient régulièrement et plus particulièrement en période de réorganisation territoriale. Peut-on le mesurer et si oui comment ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le budget 2014 du ministère de la Défense avec 42,2 Mds €, représente 13,8 % du budget général de l’Etat et compte près de 279 000 agents. Il finance en moyenne 15 % de la R&D publique. Le ministère est également le premier acheteur et premier investisseur public en France. Il alimente également par ses achats, 26 000 entreprises en France, pour un montant de 14,5 Mds € en 2013. 9 entreprises sur dix sont des PME. A ces achats s’ajoutent ceux réalisés par les grands maîtres d’œuvre industriels auprès des PME / ETI, soit 20,2 Mds € en 2012. Enfin les entreprises de la Base industrielle et technologique de défense réalisent un quart des exportations totales françaises. On estime à 165 000, les emplois directs et indirects générés par les efforts de défense en France.

 

Il y a encore peu de recherches universitaires sur l’économie de défense, pourquoi et comment souhaitez-vous développer ces relations ?

Il n’existe pas « d’économie de la défense » au sens strict du terme mais plutôt un domaine qui constitue un cas d’application des outils développés par la science économique. En France et ce contrairement à d’autres pays, les travaux en « économie de la défense » restent dispersés et peu référencés dans les revues internationales. « L’économie de la défense » manque de représentation et de structuration. Et pourtant la défense mérite toute l’attention des économistes et ce au regard des montants investis et des mutations majeures qui ont marqué la défense depuis les années 80 (professionnalisme, nouvelles missions, externalisation, dualité, etc.). L’OED a pour vocation à contribuer à la diffusion d’une culture économique de la défense originale et féconde en entretenant des contacts étroits avec les décideurs publics et privés. L’OED couvre un vaste éventail de thématiques et reste la référence dans un vaste ensemble de domaines (économie industrielle, politiques publiques, commerce international, etc.). Par les conférences et séminaires qu’il organise ou auxquels il participe, il est un lieu d’échange privilégié entre acteurs. Il permet également la rencontre entre chercheurs et praticiens sur les grandes questions économiques d’actualité. Il assure ainsi la diffusion d’une meilleure culture économique dans son domaine. Son action s’oriente également vers le développement de programmes de formation permettant aux professionnels d’acquérir la maîtrise des instruments de l’analyse économique contemporaine.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
photo Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationale

photo Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationale

 

 

14 mars 2015 par PA Charles De Gaulle

 

La plongée, une qualification ouverte à tous

La plongée est une qualification, et non une spécialité. Elle est accessible à tous les marins sur la base du volontariat. Les conditions? Être âgé entre 17 et 33 ans, être apte médicalement et surtout, ne pas avoir peur de l’eau! A bord, les plongeurs appartiennent à différentes spécialités et services: les fusiliers marins, le service vie, le service météo ou encore la conduite de navigation.

L’Ecole de plongée de Saint Mandrier, école interarmées forme aussi bien les nageurs de combat, les plongeurs démineurs que les plongeurs de bord (destinés à être embarqué ou à travailler dans les formations de l’aéronautique navale). Ces derniers, après 5 semaines de formation, se voient délivrer un certificat et sont prêts à s’immerger dans les profondeurs du grand bleu.

Nous vous invitions à plonger dans leur univers !

 

«La cellule plongée », un système d’armes à part entière du porte-avions

A bord du porte-avions Charles de Gaulle, la «cellule plongée» est aujourd’hui composée de 16 plongeurs dits « de bord » (pour les différencier des plongeurs d’hélicoptères). De l’officier au matelot, la plongée est une qualification pour laquelle il n’y a pas de distinction entre les grades. Elle représente une force spécifique en elle-même. «Nous sommes considérés comme un véritable système d’armes à part entière du porte-avions. Nous sommes les yeux, les oreilles et les mains du bâtiment pour tout ce qui se passe en dessous de la ligne de flottaison» explique le Maître Julien, 33 ans. La ligne de flottaison c’est le niveau de la mer, qui sépare la partie immergée (environ 12 m de tirant d’eau) et émergée (une cinquantaine de mètres) du bâtiment.

Formés à l’exécution d’opérations militaires subaquatiques, ce qui implique des embarquements très fréquents sur tous les types de bâtiments de la Marine et la participation à de nombreuses campagnes, les plongeurs endossent un rôle essentiel pour la sûreté du bâtiment. « En cas de menace terroriste élevée, nous effectuons plusieurs plongées par jour, afin de vérifier qu’il n’y ait rien de suspect à proximité du porte-avions» indique le Second maître Jérémy, 28 ans. Des visites de contrôle sont aussi de rigueur afin de «blanchir le quai», autrement dit s’assurer qu’aucune menace n’est présente avant une manœuvre importante, en particulier l’accostage. Les plongeurs sont ainsi parfois héliportés vers le port d’escale quelques jours à l’avance afin d’assurer l’arrivée du porte-avions en toute sécurité.

 

Un important travail de maintien en condition opérationnelle du bâtiment

Les plongeurs ont également une part importante à jouer dans le maintien en condition opérationnelle du porte-avions, qui passe évidemment par l’entretien régulier de sa coque, dont la surface est de 30 000m2 l’équivalent de 5 terrains de foot réunis.

Les travaux sous coque représentent l’activité principale de la cellule plongée. Ceux-ci consistent en plusieurs tâches : les plongeurs sont notamment amenés à exécuter des visites de coque à quai ou en mer, de jour comme de nuit, pour la localisation d’avaries (trous, brèches). En outre, pendant l’escale de Djibouti en février, les plongeurs se sont particulièrement illustrés, rappelant leur concours essentiel à la disponibilité du porte-avions : ils ont effectué une opération d’ampleur en bouchant des orifices de coque pour permettre le démontage d’une pompe défectueuse, le tout avec une visibilité nulle. « C’était la première fois qu’on réalisait un chantier aussi important. L’ensemble des plongeurs a été monopolisé pendant toute la durée de l’escale » indique Christian, l’officier chargé de plongée. Le 9 mars, lors d’une cérémonie sur le pont d’envol, tous les plongeurs se sont vus attribué une lettre de félicitations par le Capitaine de vaisseau Vandier, commandant du Charles de Gaulle, pour cette intervention majeure.

Les plongeurs de bord sont également compétents pour accomplir des expertises et investigations sommaires de la coque et de réaliser des travaux de découpage ou d’obturation (ils sont un peu comme des «mécanos aquatiques») pour étanchéifier une zone inondée.

De plus, ils ont un minutieux travail de nettoyage à effectuer : « Il pourrait arriver qu’un filet de pêche se coince dans les hélices. Nous contrôlons et assurons aussi l’entretien des sondeurs et des lochs (différents appareils permettant de mesurer la profondeur et la vitesse du bateau) et mettons en place des plaques de chloration, pour éviter la prolifération de crustacés dans les appendices et orifices de coque » détaille le Maître Olivier. Les plongeurs peuvent aller jusqu’à une profondeur maximale de 35 mètres dans le cadre de leur missions.

 

Qui dit polyvalence, dit entraînement!

« Polyvalents » est le mot qui qualifierait le mieux les plongeurs, car ceux-ci ont aussi d’autres fonctions, comme par exemple la récupération d’objets de faible poids (jusqu’à 100 kilos) qui consiste la plupart du temps à repêcher des badges ou des coiffes tombées à l’eau.

Un de leurs rôles est également celui de sauvetage : un appel au 55 (numéro interne d’urgence pour signaler l’homme à la mer), 4 klaxons et nos marins revêtent leur uniforme de super-héros (ou plutôt leur combinaison néoprène thermo-isolante) pour aller porter secours à la victime. « Je suis prêt en 3 minutes » affirme Julien, le plongeur d’alerte.

Pour être habilité à effectuer des sauvetages en mer, les plongeurs sont tous détenteurs du certificat de premiers secours en équipe (PSE 1). Car c’est bien en équipe qu’ils interviennent : en l’espace de 15 minutes chrono, un zodiac est envoyé auprès de la personne en détresse, à bord duquel se trouvent un mécanicien (pour le pilotage de l’embarcation et des réparations éventuelles), un manœuvrier, en contact direct avec la passerelle de navigation du bâtiment, et un plongeur de bord. Le plongeur est ainsi amené à établir un bilan santé de la victime et lui prodiguer si nécessaire les premiers secours (ventilation, massage cardiaque) en attendant la prise en charge par l’équipe médicale du bord.

Afin d’être 100% opérationnels, les plongeurs se doivent de suivre des entrainements rigoureux. Chaque semestre, ces derniers doivent effectuer cinq exercices de plongée obligatoires pour leur permettre de conserver leur qualification. Ils s’exercent entre autres à remonter 15 m sans détendeur (embout placé dans la bouche qui distribue de l’air), assister un plongeur blessé et le ramener à la surface et plonger de nuit sous le bateau. En plus de cela, il existe des entrainements propres au bâtiment comme la plongée à la dérive en pleine mer, pendant laquelle les hélices du porte-avions sont stoppées. Un exercice conjoint entre les plongeurs du porte-avions américain USS Carl Vinson et ceux du Charles du Gaulle est actuellement en cours d’élaboration.

 

Sous la mer, des hommes et des dauphins

Mais comment devenir un bon plongeur ? L’entrainement ne suffit pas, il faut aussi faire preuve de certaines qualités. « Le plongeur doit être calme et autonome, tout en ayant le souci de son camarade » souligne Jérémy. Pour minimiser les risques, les plongées s’effectuent en effet toujours par groupes de plusieurs plongeurs (qui travaillent par binômes), qu’on appelle « palanquée ». Car la plongée comporte des dangers, principalement « la routine, la fatigue et le manque d’entrainement » selon Christian, officier chargé de plongée. Il y a aussi la faune sous-marine (à Djibouti un plongeur s’est fait mordre par un barracuda, d’où la nécessité de disposer d’un couteau pour se protéger) et surtout le bâtiment lui-même (les hélices, les aspirations possible par des orifices de coque) qui peuvent constituer une menace. Sous l’eau, tout peut vite devenir très compliqué.

En ce qui concerne les contraintes, outre les températures de l’eau (7°C en hiver à Toulon), elles sont plutôt matérielles : les plongeurs sont équipés de tout un attirail composé de «blocs» (bouteille d’air), de détendeurs, palmes, gilets et masques. « 18 kg de matériel, c’est lourd et encombrant. Le plus dur c’est d’arriver jusqu’à l’eau, après ça va ! » sourit Julien. Pour pouvoir porter ces lourdes charges, avoir une hygiène de vie saine et faire du sport est indispensable.

L’esprit d’équipe est tout aussi important. Christian, plongeur depuis 24 ans (il a effectué environ 1500 plongées) et instructeur plongeur bénévole à la Société Nationale de Sauvetage en Mer à Hyères, décrit l’atmosphère du groupe : « c’est une « dream team »; le mélange de grades et d’ancienneté en font une alchimie de qualité. Chacun donne de soi-même, de son temps, car la plongée se fait en plus du travail quotidien ». Et leur patch l’illustre bien : le symbole des plongeurs du Charles est le dauphin, car « c’est beau (!), gentil, inoffensif et surtout protecteur ».

Il faut avant tout « aimer la mer » (la plupart des plongeurs sont en effet férus de sports nautiques) et avoir une aisance aquatique. «Je me sens à l’aise. Quand on sort de l’eau on a envie d’y retourner de suite » raconte Jérémy, qui pratique la chasse sous-marine. Olivier plongeur de bord, membre de la brigade de sécurité (face à l’eau et au feu, il est sur tous les fronts!) et papa de deux enfants qui adorent aussi l’eau, témoigne : « il y a une sensation de plénitude, c’est calme, il n’y a pas un bruit. C’est le paradis ».

Leurs meilleurs moments ? Pour Olivier « une rencontre avec des lamentins, à Valparaiso au Chili », tandis que pour Jérémy, « une attaque de crabes par centaines à Djibouti » reste l’instant le plus marquant de la mission. Et quels sont les projets de nos plongeurs ? « Arrêter de fumer ! » s’exclame Julien. Ce toulousain, guitariste à ses heures perdues, va présenter les épreuves du Brevet Supérieur très bientôt. Quant à Olivier, il sera affecté à Abu Dhabi l’année prochaine. Jérémy lui, se voit continuer dans la voie subaquatique en s’orientant vers l’hydrographie.

 

Voilà ce qui s’appelle voir la vie en bleu.

photo Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationalephoto Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationale
photo Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationalephoto Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationale

photo Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationale

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:50
Aerospace and defense outlook for 2015

 

March 17, 2015 source deloitte.com


Growth for commercial aerospace; defense decline continues

According to our 2015 Global aerospace and defense industry outlook, the industry is likely to grow around 3 percent. This increase is due to the continued strength of the commercial aerospace sector from rising passenger travel demand and production of next generation fuel-efficient aircraft.

Commercial aerospace
Based on information in the Outlook, the commercial aerospace sector is expected to set new records for aircraft production in 2015 with revenue growth close to 8 percent. The accelerated replacement cycle of obsolete aircraft with next generation fuel-efficient aircraft, and growing passenger travel demand, especially in the Middle East and the Asia-Pacific region, are key drivers behind this trend.

Defense
Over the next few years, the defense sector will likely be challenged in two major ways: how to grow profitably in a declining market and what actions are necessary to cut costs in order to maintain acceptable financial performance. Many defense companies are addressing these challenges by branching out into adjacent markets, focusing on foreign military sales, and investing in next generation product development.
 

2015 Global Aerospace & Defense Outlook Download the report

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:50
Troops of 20th Armoured Infantry Brigade on operations and exercise


17 mars 2015 British Army

 

The British Army's 20th Armoured Infantry Brigade (The Iron Fist) is based in Paderborn, northern Germany, as part of the 3rd (United Kingdom) Division. Soldiers serving with the Brigade wear the insignia of a white mailed fist with a blue background - a symbol of the hard punch that this armoured formation gives the enemy. Find out more: http://bit.ly/1vOkcCM

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:50
Rencontre du CEMA avec le commandant de l’Eurocorps.

 

17/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 16 mars 2015, le CEMA a rencontré le général de corps d’armée BUCHSENSCHMIDT, commandant l’Eurocorps. 

 

Cette rencontre avec le commandant du Corps européen, plus traditionnellement connu sous le nom d’Eurocorps, a été l’occasion de faire le point sur l’avenir de cette formation qui fête ses 20 ans d’opérations en 2015.

Sous l’impulsion du général BUCHSENSCHMIDT, l’Eurocorps s’est recentré vers les missions de l’Union Européenne (UE) et évolue vers une modularité qui le rend plus facilement employable.

Les engagements à venir cet été au Mali au sein d’EUTM en sont une illustration, tout comme le tour d’alerte qu’il prendra en 2016 pour l’UE.

Comme toutes les structures de commandement, l’Eurocorps sera probablement amené à évoluer pour rester au plus près des engagements opérationnels futurs.

Ces évolutions se déroulent dans le cadre des comités communs réunissant les CEMA des nations partenaires.

 

Repères

Créé en 1992 et déclaré opérationnel en 1995, l’Eurocorps est constitué d’unités appartenant à l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la France et le Luxembourg. Son quartier général est situé à Strasbourg.

L’état-major de l’Eurocorps peut commander une force terrestre de près de 60 000 hommes.

Officier général belge, le général de corps d’armée BUCHSENSCHMIDT arrivera prochainement au terme de son temps de commandement. Cet été, il sera relevé par le général de corps d’armée RAMIREZ de nationalité espagnole.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:45
Côte d'Ivoire : DIO « MEDO »au profit d'officiers du « CPCO » ivoirien

 

17/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 10 et 11 mars 2015, un détachement d’instruction opérationnelle  du Centre Opérations des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) a  conduit une formation d’état-major au profit d’officiers ivoiriens sur le camp Gallieni, en Côte d’Ivoire.

 

Cette instruction, au profit exclusif de six officiers ivoiriens du centre opérationnel interarmées (COIA), avait pour objectif d’affermir leurs connaissances des outils de méthode d’élaboration de décision opérationnelle (MEDO), afin de maîtriser pleinement la planification opérationnelle.

 

La formation s’est déroulée en trois temps :

    une présentation de la MEDO et le rappel de ses outils ;

    une présentation d’un thème tactique, comprenant les différentes phases et procédés applicables ;

    la familiarisation des stagiaires à la technique de rédaction de l’ordre d’opération (chaîne de transmission des ordres).

 

Afin d’appliquer ces savoir-faire théoriques, les stagiaires se sont entrainés plusieurs fois à l’élaboration d’ordre de planification, sur des thèmes axés sur la Côte d’Ivoire et dans un temps limité.

 

A la fin de cette formation, le lieutenant-colonel et chef opérations des FFCI a présidé la traditionnelle cérémonie de remise de diplômes. Dans le cadre de sa mission d’assistance militaire opérationnelle et sur demande des forces républicaines de Côte d’Ivoire, les FFCI mettent régulièrement en œuvre des détachements d’instruction opérationnelle (DIO) au profit des forces républicaines de Côte d’Ivoire. Douze officiers du COIA ont bénéficié à ce jour de cette formation.

 

Les FFCI, créées le 1er janvier 2015, assurent la protection des ressortissants français et aident à entretenir la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire. Elles sont en mesure d’appuyer les partenaires de la région, dont l’ONUCI. Elles constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

Côte d'Ivoire : DIO « MEDO »au profit d'officiers du « CPCO » ivoirien
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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:45
Armement: le Maroc prévoit un budget de 221 MMDH entre 2015 et 2019

 

17/03/15 Par Anas Bougataya - leseco.ma

 

Strategic Defence Intelligence, le site spécialisé dans les informations actualisées sur le marché de l’armement militaire, rapporte que la taille des investissements marocains dans le secteur de la défense et de l'armement vont augmenter. Ainsi, l'analyse prévisionnelle détaillée de la défense marocaine durant la période 2015-2019 porte sur les points saillants de la demande et des stimulateurs de croissance pour l'industrie de la défense. Ainsi le budget du Maroc pour l'armement durant les quatre années à venir est estimé à près de 221 MMDH.

 

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:35
Japan and India's Warming Defense Ties

U.S., Japanese, and Indian officers during Malabar 2014. Credit: U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist Seaman Apprentice Patrick Dionne

 

March 04, 2015 By Mina Pollmann – The Diplomat

 

From defense sales to joint exercises, Tokyo and New Delhi are expanding the scope of military cooperation.

 

The assertiveness of China’s People’s Liberation Army Navy in the Indian Ocean is forcing the government of Narenda Modi to look to modernize India’s naval forces as quickly as possible. This venture, as would be expected, includes overtures to the U.S. (for example, to share technology for India’s next aircraft carrier), but India is increasingly seeking cooperation with Japan as well. India has asked Japan to consider working with India to build submarines and recently announced its plans to purchase Japanese amphibious search and rescue (SAR) aircraft.

Russian-made SAR flying boats had also been considered, but India chose the Japanese option because the Indian defense ministry valued the US-2’s ability to take off and land on waters with high waves. If the export of Japan’s Maritime Self-Defense Force’s US-2 air-sea SAR aircraft to India is realized, it will be the first export under Japanese Prime Minister Shinzo Abe’s new three principles on defense equipment transfers, declared in April 2014.

Aside from defense equipment deals, Japan and India have been working to improve their bilateral cooperation in the fields of maritime security, counter-terrorism, and anti-piracy operations since January 2014, when then-Indian Defense Minister A.K. Antony met with then-Japanese Defense Minister Itsunori Onodera.

At the time, the two defense ministers put off the issue of Japanese US-2 sales to India, but it was given added momentum during Modi’s trip to Japan last September. Modi declared during a  joint press briefing with Abe, “We intend to give a new thrust and direction to our defense cooperation, including collaboration in defense technology and equipment, given our shared interest in peace and stability and maritime security.” At the same meeting, Abe and Modi agreed to upgrade “two-plus-two” security talks, increase working level talks on defense equipment and technology cooperation, hold regular maritime exercises, and continue Japanese participation in U.S.-India drills.

Abe and Modi have capitalized on their close personal ties with each other – and the increasingly uncertain external environment created by China’s bellicose foreign policy – to increase security cooperation despite several remaining obstacles, such as the lack of a civilian nuclear cooperation agreement.

Last July, Japan participated in the Malabar exercises, traditionally a bilateral India-U.S. exercise, at India’s invitation. Prior to 2014, the last time Japan had participated was in 2007 and 2009. There is no word yet on Japan’s participation in this year’s exercises — whether India and Japan will stand firm in the face of Chinese criticism of Japan’s participation is a critical test of how strong and resilient India-Japan relations can be in the near future.

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