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18 février 2015 3 18 /02 /février /2015 12:45
 source Sénat r12-72011

source Sénat r12-72011

 

16/02/2015 Par Frédéric Saint Clair  - Figaro Vox Monde

 

Dans une vidéo diffusée ce week-end, l'État islamique revendique la décapitation de 21 coptes égyptiens sur une plage proche de Tripoli. Pour Frédéric Saint Clair *, l'intervention française en Libye ne doit cependant pas être militaire mais diplomatique.

 

La question d'une potentielle intervention militaire française en Libye se pose à nouveau. Elle se posera encore, probablement dans tous les pays où l'implantation d'organisations terroristes est engagée et se développe. Cette volonté d'intervenir est compréhensible, car la nature et l'ampleur des massacres perpétrés suscitent une indignation telle qu'il est difficile de n'être pas tenté de réagir. A plus forte raison dès lors qu'est acté le principe d'une guerre contre le terrorisme, c'est-à-dire dès lors que l'approche stratégique prend le pas sur l'approche diplomatique, comme c'est le cas désormais. Et pourtant, rien n'est plus contraire à la fois à nos intérêts et aux intérêts des pays concernés. Pourquoi?

Le Général De Gaulle, en 1965, rappelait la position de la France en ces termes: «Nous faisons le nécessaire pour n'être […] intégrés dans aucune guerre qui ne serait pas la nôtre». Disons-le donc clairement: Ces guerres ne sont pas les nôtres; et pourtant, de façon incompréhensible, nous nous positionnons constamment en première ligne. Ceux qui croient se revendiquer du gaullisme en donnant faussement à la France une position de premier plan sur les théâtres d'opérations extérieures de Lybie, de Syrie, d'Irak, etc., et en engageant une guerre sans fin contre un soit-disant État islamique, lequel n'a d'ailleurs aucune des caractéristiques d'un État, se trompent lourdement. Ils ne grandissent pas la France mais l'affaiblissent. Cela ne signifie pourtant pas que nous devions demeurer inactifs.

La clef de l'influence internationale n'est pas tant stratégique que diplomatique. Les États-Unis, dont la tendance est bien souvent de vouloir gendarmer le monde par la force armée, semblent en avoir perdu la notion. Et pourtant la victoire peut-être la plus emblématique de la diplomatie sur la stratégie militaire brute a été celle de JFK en 1962 dans le cadre de la crise des missiles de Cuba. La leçon à tirer était celle-ci: quel que soit l'opposant, aussi déterminé soit-il, aussi idéologisé soit-il, il est possible de trouver, en combinant des approches diplomatiques différenciées et subtiles, un réseau d'intérêts à même de faire taire les armes. Nous n'en avons pas tiré les leçons. Les États-Unis n'en ont pas tiré les leçons, et plus particulièrement les républicains, dont l'attitude va-t-en-guerre n'est plus à démontrer. Depuis plus de dix ans, les bombardements aériens et les déploiements de forces terrestres sont les seules réponses occidentales apportées aux problématiques moyen-orientales. Cela ne peut plus durer.

Par notre volonté d'établir, par les armes, la démocratie au Moyen-Orient et au Maghreb, nous avons contribué non seulement à déstabiliser la région, mais également à favoriser le développement de groupes islamistes terroristes et à placer notre pays en première ligne en matière de représailles. Le claquement des kalachnikovs dans les rues occidentales est en partie la conséquence de notre inconséquence en matière stratégique. Si l'intention de prévenir les troubles dans ces régions était louable, si l'intervention militaire se devait d'être envisagée, la façon dont nous nous sommes positionnés était dépourvue de toute prudence et de tout pragmatisme; elle a été contraire à nos intérêts et probablement aussi contraire à l'intérêt des populations locales. Si, pour reprendre le slogan des «neo-cons» américains, choc des civilisations il y a, alors nous l'aggraverons en ne tenant pas compte des enjeux locaux et des spécificités culturelles régionales.

Ces régions sont fragmentées, culturellement, politiquement et religieusement. C'est donc la proximité culturelle, religieuse et politique qui doit servir de base à une compréhension nouvelle de la manière d'intervenir, y compris militairement, mais pas seulement. Cette triple proximité implique obligatoirement une proximité géographique. Si l'armement aveugle de factions opposées n'est jamais une solution, l'implication des acteurs locaux demeure un préalable à toute intervention -de second plan- de l'Occident. Si la diplomatie échouait -comme cela a déjà été le cas- à susciter l'intérêt des pays directement concernés par ces conflits, c'est qu'elle ne serait pas allée assez loin, et l'option militaire n'en deviendrait pas pour autant envisageable. Il faudrait alors redoubler d'efforts, sortir de nos conceptions limitées et étroites des enjeux régionaux et internationaux, et remettre sur la table des propositions politiquement plus offensives et mieux adaptées. Ainsi les interventions stratégiques deviendraient de plus en plus ponctuelles, coordonnées et donc efficaces.

 

* Frédéric Saint Clair est mathématicien et économiste de formation. Il a été chargé de Mission auprès du Premier ministre pour la communication politique (2005-2007). Il est aujourd'hui Consultant Free Lance.

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18 février 2015 3 18 /02 /février /2015 12:35
Training Afghan Army Officers (NATO and Afghanistan)


17 févr. 2015 NATO

 

The next generation of Afghan army officers is being forged in a rigorous training camp near Kabul, which aims to produce men and women of the highest calibre to lead their country in the fight against the insurgency. We speak to 2 young officers cadets currently in training at the Afghan National Army Officer Academy in Kabul.

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18 février 2015 3 18 /02 /février /2015 12:35
IAF To Induct 1st Indo-Brazilian AEW&C Jet In Sept


15.02.2015 by Livefist

The Indo-Brazilian EMB-145i AEW&C platform, that made its first public appearance at AeroIndia 2013, returns to the show this year. But unlike two years ago, when the jet was steeped in a busy and extended period of systems trials, including sorties in the Eastern sector and over the Arabian Sea, the Indian Air Force gets all set to receive its first aircraft in seven months.

 

The team is looking to wrap up development flight & systems trials by the end of March (a Centre for Airborne Systems, CABS, officer tells me the aircraft at AeroIndia will still be notching up test points at the show too). With two aircraft in flight test, the Defence R&D Organisation (DRDO) has enough to meet its March 2015 deadline to complete development tests. But choosing to deploy one of the two jets at the Bangalore show wasn't a difficult decision, given the remarkable level of interest in the platform. CABS sources say at least two countries could sign MoUs declaring their interest in getting more information about the platform to support potential acquisitions. A confidential list of nations that have asked for briefings on the platform includes Malaysia, Indonesia, Brazil, Oman, and UAE. Embraer has taken it upon itself to (a) look at consolidating the EMB-145i into a standard marketable product that the two countries can jointly pitch in the global market, and (b) handle South American operations by itself.

 

Director of the Centre for Airborne Systems (CABS), lead integrator on the programme, Dr Christopher says, "Currently though the system is customised for the Indian Air force, the AEW&C India can fine tuned to any specific user‐oriented early warning product through appropriate programming/software which can be defined by the user. Many countries are evincing keen interest in the AEW&C system and discussions are in progress for export of this system."

 

But exports are in the future. The more immediate good news for the programme is what the Indian Air Force thinks of the EMB-145i. In the words of a senior officer associated with the programme, and one who will be part of 4-6 month user evaluation trials aimed for April, the IAF is 'impressed and satisfied'. Those are important words from a customer that hasn't had much faith in the past in long-gestation systems, especially critically needed platforms like early warning jets.

 

But September, the Indian Air Force hopes to be ready to induct the first of three EMB-145i. A third platform arrives from Brazil by the end of June or early July. The second EMB-145i will also likely enter service by the end of the year.

 

User trials with the IAF will include the deployment of the aircraft in a special live exercise to be jointly held by the Western and Central Commands, and involve operational situations for the AEW&C. A team from CABS will, of course, be embedded through this phase. Most importantly, there's a rare confidence in the systems and platform.

 

The IAF officer quoted above says, "These are impressive timelines. Our team has been satisfied with the performance. There are still some ends to tie up in the process of matching requirements with performance, but all major requirements have been demonstrated, including intercept control, battle management, Electronic Support Measure (ESM) and Communication Support Measure (CSM), data handling and the crucial SATCOM links. This could be one of the most trouble-free developments we have had so far."

 

The official literature on the platform, to be released at Aero India this year, says, "The AEW&C India has managed to pack in several sub-systems namely a highly versatile active array  Radar system, Identification friend or foe system, ELINT, COMINT systems, along with multiple combination of ‘C’-Band& SATCOM ‘Ku’-Band voice and Data Links, UHF/VHF/HF communications, & Self Protection Systems - in order to enhance mission capabilities, add redundancies to foolproof operations, and implant self‐protection against missile attacks from ground as compared with its contemporaries on same Embraer aircraft elsewhere in the world."

 

Speaking of the primary sensor, the heart of the platform, and India's contribution to the system, the Director of CABS Dr S. Christopher says, "While India has caught up with the rest of the world in adopting the Active Electronically Steering Array (AESA) Antenna for its radar; the two building-block components of the radar, the Transmit-Receive Multi-Module (TRMM) and the teflon-clad ultra light Antenna Panel are notable Indian innovations in the radar sub-system. These are developed by CABS and with a joint patent along with M/s Astra Microwave, Hyderabad for TRMM. The most important outcome of the efforts is the realisation of a system that is both operation-efficient and cost-effective."

 

The reloaded Indian AWACS programme, first revealed here on Livefist, is also gathering speed, with the DRDO expected to move forwarded in choosing an aircraft platform for the project this year.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 17:55
Rétrospective 2014 : l’accompagnement des blessés de l’armée de Terre


15/02/2015 Armée de Terre

 

Aller jusqu’au bout de son engagement, c’est ce qu’ont vécu dans leur chair les blessés en opération.

 

L’armée de Terre ne les oublie pas, elle les accompagne au quotidien. La cellule d’aide aux blessés de l’armée de Terre suit plus de 650 blessés en service et plus de 150 familles de décédés. Elle est aidée en cela par les associations, comme Terre Fraternité ou l’association pour le développement des œuvres d’entraide dans l’armée

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 17:30
Enduring freedom : Fin de mission pour la FLF Guépratte

 

17/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le vendredi 13 Février, la frégate légère furtive Guépratte a franchi le canal de Suez au côté de la frégate antiaérienne Jean Bart, en direction de la Méditerranée, mettant ainsi fin à sa participation à l’opération Enduring Freedom, après plus de deux mois d’activité en zone océan Indien.

 

Le Guépratte, patrouillant dans ces eaux pendant plus de deux mois, a envoyé plusieurs fois son équipe de visite à bord ou à proximité de navires suspects, mené des rencontres avec des navires d’intérêt, fait parvenir de l’eau et des vivres à trois bâtiments en détresse, et réalisé dans le golfe d’Aden l’évacuation médicale d’un marin indien grièvement blessé.

 

Ces patrouilles exigeantes, qui assurent une présence permanente et dissuasive dans ces eaux sensibles, ont requis un engagement constant de la part de l’ensemble de l’équipage : la veille renforcée des équipes passerelles, les vols fréquents du Panther, la mise à l’eau des embarcations et le déploiement de l’équipe de visite ont rendu l’activité particulièrement intense.

 

Les marins du Guépratte rentrent à présent en France, fiers du travail réalisé au cours de ce long déploiement. Après un entretien nécessaire du bateau pour reprendre la mer, celui-ci repartira dès le mois d’avril.

 

L’opération Enduring Freedom, mise en place par les Etats-Unis à la suite des attentats du 11 septembre 2001, rassemble une coalition de nations dont la mission est de lutter contre les trafics liés au terrorisme dans une vaste zone allant de la mer rouge au golfe d’Oman en passant par le golfe d’Adan et la mer d’Arabie.

Enduring freedom : Fin de mission pour la FLF Guépratte
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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:55
Rétrospective 2014 : Le territoire national

 

14 Février 2015 Armée de Terre

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:50
Rome devrait maintenir sa commande de 90 avions de chasse F-35

 

16/02/2015 zonebourse.com

 

Le gouvernement italien va résister aux pressions politiques émanant de son propre camp et maintenir sa commande de 90 avions de chasse F-35 fabriqués par l'américain Lockheed Martin, a-t-on appris de sources à Rome et aux Etats-Unis.

 

Cette décision est motivée par deux facteurs: le gros contrat d'entretien obtenu par la compagnie publique de défense Finmeccanica pour ces F-35 et la nécessité de renouveler la flotte de chasseurs.

 

"Le nombre approprié (de chasseurs) pour que l'Italie joue le rôle industriel auquel elle aspire est 90", a dit à Reuters une source italienne proche du dossier. "Respecter le programme est conforme aux différentes résolutions parlementaires et 90 est le nombre qui nous permet de couvrir les besoins du pays en terme de défense."

 

Cette opinion est partagée à Washington.

 

"La participation industrielle est proportionnelle au nombre d'avions que vous commandez. S'ils réduisent leur commande, le travail qu'ils auront à faire sur le site (d'assemblage et de vérification) et l'entretien diminueront", dit-on aux Etats-Unis.

 

L'achat de F-35 permettra à l'Italie de renouveler une flotte de plus en plus obsolète, alors que les tensions géopolitiques sont vives en Europe et dans son environnement, en raison de la crise en Ukraine et de l'islamisme radical.

 

Des élus du Parti démocrate, la formation du président du Conseil Matteo Renzi, ont réclamé en mai dernier de diviser par deux la somme consacrée à ce programme, estimé à 12 milliards d'euros. Certaines formations d'opposition réclament même l'abandon pur et simple du projet.

 

Matteo Renzi a lui-même évoqué l'an dernier une réduction de ce programme pour financer des baisses d'impôts pour les revenus les plus modestes.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:45
Contre Boko Haram, la CEEAC s'organise

Boko Haram, né au Nigeria, est désormais une préoccupation pour plusieurs pays, notamment de l'Afrique Centrale.

 

16 février 2015 BBC Afrique

 

Six chefs d'Etat de la Communauté Economique des Etats d'Afrique Centrale (CEEAC) sont réunis à Yaoundé au Cameroun pour une session extraordinaire consacrée à l'insécurité liée à l'activité du groupe islamiste nigérian, Boko Haram.

 

Les présidents de la CEEAC ont exprimé dans leurs discours respectifs la nécessité d'unir leurs efforts pour éliminer le groupe islamiste. Le Cameroun et le Tchad sont déjà en guerre ouverte contre le mouvement dont le berceau est le nord du Nigeria. Actif depuis 2009, Boko Haram veut instaurer un Califat au Nigeria et sous-tend ses offensives par un rejet idéologique de l'éducation occidentale. Selon le correspondant de la BBC à Yaoundé, la présence des six chefs d'Etat de la CEEAC sur les dix qui étaient attendus est un signe que la menace de Boko Haram est sérieusement une préoccupation pour l'Afrique Centrale. Toujours selon notre correspondant, il ressort de la réunion que les chefs d'Etat sont plus que jamais déterminés à jouer "collectif" contre Boko Haram. "On a convenu que la réponse militaire est insuffisante; il faut désormais ajouter une réponse économique," indique-t-il. Les chefs d'Etat veulent initier des tractations aux Nations Unies pour faire adopter une résolution par le Conseil de Sécurité en vue de donner une envergure internationale à leurs efforts contre la secte islamiste.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:45
Barkhane : Entrainement au tir du DETPRO de Niamey

 

16/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le mercredi 11 février, dans le cadre de son maintien en condition opérationnelle, une section du détachement de protection (DETPRO) s’est rendue sur un champ de tir nigérien en périphérie de Niamey au Niger, pour effectuer une séance de tir.

 

L’objectif de cet exercice était la réalisation d’une séance de tir d’entraînement, obligatoire pour chaque commando. L’ensemble du groupe avait effectué en amont deux semaines de stage de validation avant projection, sur la base aérienne 126 de Solenzara.

 

Après avoir effectué des tirs de réglage, les fusiliers commandos ont procédé à des tirs statiques et dynamiques avec leurs armes de dotation, le FAMAS et le PAMAS G1. Le tireur d’élite du groupe a quant à lui effectué un tir au fusil de précision FRF2.

 

Le détachement de protection du Détachement air (DETAIR) de Niamey, assure la sécurité des installations contre toute action qui pourrait mettre en péril l’activité opérationnelle de la base.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Entrainement au tir du DETPRO de Niamey
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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:45
Ghana’s military receives donated equipment from Germany

 

11 February 2015 by defenceWeb

 

The Ghana Armed Forces has received 1.5 million euros worth of equipment from Germany and will use the hardware in support of its contribution to the Economic Community of West African State (ECOWAS) Standby Force.

 

The equipment was handed over earlier this week by German representative Doris Barnett (on behalf of German ambassador Ruediger John) and included nine Man trucks, two speedboats, vehicle maintenance equipment and at least a couple of Mercedes Benz 4x4s.

 

The equipment was handed over by the German Armed Forces Technical Advisory Group (GAFTAG) at Burma Camp, the headquarters of the Ghana Armed Forces. The GAFTAG has been at the forefront of the Federal Republic of Germany Equipment Aid programme to the Ghana Armed Forces since 2005 and its focus is mainly on supporting the Ghana Engineer Company as they train as part of the Economic Community of West African State (ECOWAS) Standby Force.

 

The ceremony, attending by high ranking Ghanaian defence officials and various German representatives, also marked the completion by GAFTAG of various infrastructure projects involving the Electrical and Mechanical Engineering Technical Training School (EMETTS) and the renovation of various workshops and facilities.

 

The Ghana Armed Forces noted that GAFTAG had also completed the construction of a one storey, seven-classroom building, a 70-man building for student accommodation, an administration block and eight mechanical and electrical workshops, which were commissioned in 2010.

 

The Deputy Minister for Defence, Alex Segbefia, speaking on behalf of Defence Minister Benjamin Kunbuor, said the equipment would help in the fight against terrorism in the region.

 

Barnett said Germany was happy to assist Ghana improve its infrastructure and, with the German Advisory Group, “Ghana has become a pillar of the African Standby Force and this will improve the bilateral relation between Ghana and Germany’.’

 

Barnett is in Ghana as part of a budget committee delegation visiting the country between 8 and 12 February to see first-hand the assistance Germany is providing the West African nation. Germany’s support to Ghana’s military is aimed at strengthening Ghana’s participation in the ECOWAS Standby Force as well as the United Nations and African Union.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 11:50
L’armée allemande possède 28 NH90TTH photo NHIndustries

L’armée allemande possède 28 NH90TTH photo NHIndustries

 

11 février 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

La Bundeswehr décide de suspendre provisoirement sa flotte de NH90, suite à un incident survenu à l’un de ses hélicoptères en Afghanistan, en juin 2014. Pour les militaires allemands, les vols reprendront quand NHIndustries aura remédié à un défaut de conception du circuit électrique. Les causes sont identifiées, une solution est déjà à l’étude.

 

Alors qu’il entre progressivement en service, sous les cocardes des pays partenaires du programme, et qu’il est engagé avec succès sur plusieurs théâtres d’opération, le NH9O est confronté à d’inévitables défauts de jeunesse que s’emploie à corriger, au fur et à mesure qu’ils apparaissent, le consortium NHIndustries. Le dernier événement en date est la décision de l’armée allemande de suspendre temporairement sa flotte de NH90 TTH, soit 28 appareils. Une mesure radicale en réponse à un problème qualifié de sérieux par les militaires allemands.

 

Les faits remontent à juin 2014. A cette époque, l’Allemagne mettait en œuvre quatre NH90 en mission d’évacuation médicale en Afghanistan. Lors d’une de ces interventions, un équipage a été victime d’une explosion en vol d’un des moteurs RTM322. Dans le feu de l’action, les pilotes ont activé la commande des extincteurs. Cette action a entrainé un court-circuit dans le panneau de commande supérieur du cockpit. L’équipage a, alors, recherché le terrain le plus proche pour s’y poser en toute sécurité, en l’occurrence, la plateforme de Termez, en Ouzbékistan.

 

Après plusieurs mois d’enquête par des spécialistes militaires, industriels et indépendants, l’incident a été qualifié de sérieux mais pas de nature à nécessiter l’arrêt des vols des NH90. Comme d’habitude en aéronautique, les situations délicates sont souvent la résultante de plusieurs actions erronées. Le cas de Termez ne fait pas exception. L’enquête a, en effet, déterminé que l’équipage n’avait pas, respecté la procédure de démarrage « à chaud » des moteurs, qui prévoit de ventiler les turbines pendant deux minutes avant de lancer la séquence de démarrage des moteurs Turbomeca RTM322. De plus, suite à l’explosion, l’équipage malgré, l’absence d’incendie, a déclenché les extincteurs, en appuyant plus de trois secondes sur le bouton d’activation. Cette action prolongée et inattendue, a entrainé un court-circuit.

 

Suite de l’article

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 10:45
How Egypt sees the IS threat in Libya

 

16 February 2015 by Jane Kinninmont Senior research fellow, Chatham House  - BBC Middle East

 

Egypt will have extensive support in the West for its actions against the Islamic State in Libya this week, in response to the killing of Egyptian Christians there.

 

Its wider policies towards Libya are more controversial, however. Egypt has been intervening in Libya for months, backing one of the two rival coalitions that claim to represent the country's legitimate government. As militants in both countries develop closer ties, Egypt has become increasingly concerned about instability in Libya spilling over to its own Sinai peninsula. Support for Egypt from European countries was underscored this week when Egypt announced it had concluded a deal to buy 24 Rafale fighter jets from France, at an estimated cost of $5.9bn (£4bn). And the US has been keen to emphasise the role of Sunni Arab nations like Egypt in combating jihadists in the region.

 

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 10:45
Abdel Fattah al-Sisi

Abdel Fattah al-Sisi

 

16 February 2015 by BBC Middle East

 

Egypt has called on the international community to intervene against Islamic State (IS) militants in Libya.

 

President Abdel Fattah al-Sisi said that what was happening in Libya was a threat to world peace and security. His remarks came as Egyptian jets bombed IS targets in response to a militant video of the apparent beheadings of 21 Egyptian Christians. Libya has been in chaos since 2011, with militias battling for control of territory and two rival governments. But the BBC's Jim Muir says there is little international appetite for military involvement and the emphasis remains on trying to find a political and diplomatic solution to the country's problems.

 

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 10:45
L'Egypte a bombardé Daesh en Libye

Des avions de combats F-16 ont pris pour cible des camps d'entrainement et des dépôts d'armes de l'EI.- photo Egyptdailynews.com

 

16 février 2015 BBC Afrique

 

L'aviation égyptienne a bombardé lundi des positions de l'Etat islamique (EI) en Libye après la revendication par les djihadistes de la décapitation d'un groupe de chrétiens coptes égyptiens.

 

Sur la vidéo diffusée sur internet, des hommes portant des combinaisons de couleur orange sont alignés sur une plage les mains liés dans le dos, avant que leurs bourreaux ne les décapitent au couteau. Selon l'armée, des avions de combats F-16 ont pris pour cible des camps d'entrainement et des dépôts d'armes de l'EI. Un porte-parole du premier ministre libyen Abdullah al-Thinni a indiqué que les huit raids sur Derna, fief des djihadistes, ont été mené en coordination avec le gouvernement libyen. Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi avait convoqué d'urgence dimanche soir le Conseil national de défense et juré de punir les "assassins" de la manière "adéquate".

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:55
Des valeurs communes mises à l’honneur

Partenariat entre l'école de rugby UST et l'escadron d'instruction en vol 3/13 "Auvergne"

 

13/02/2015 Armée de l'air

 

Mercredi 4 février 2015, dans le cadre d’un partenariat, le joueur de rugby Jean-Marcellin Buttin et Franck Azéma, entraîneur de l’équipe de l’association sportive montferrandaise (ASM) ont effectué un vol d’information sur Alphajet.

 

Des jeunes de l’école de rugby de l’US Tours ont été invités à participer à cette rencontre au cours d’un goûter au sein de l’escadron d’instruction en vol 3/13 « Auvergne ». Ce moment de partage a abouti à la mise en place d’un partenariat entre l’école de rugby et la base aérienne au travers de futurs stages de découverte. Il a également permis de rappeler les valeurs chères à l’armée de l’air : respect, intégrité, service et excellence.

 

Ce vol s’inscrivait dans le cadre du partenariat conclu le 11 octobre 2014 entre l’escadron d’instruction en vol 3/13 « Auvergne » de l’école de l’aviation de chasse et l’ASM Clermont-Auvergne afin de favoriser l’échange des cultures et la promotion de valeurs communes.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:55
Rétrospective 2014 : les équipements


15/02/2015 Armée de Terre

 

Des hélicoptères aux véhicules blindés, des équipements félins aux drones et aux engins du génie, les principaux matériels engagés dans les opérations en 2014 sont présentés en images

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:55
Rétrospective 2014 : Les opérations extérieures

14 Février 2015 Armée de Terre

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:55
Rétrospective 2014 : la coopération internationale

 

15/02/2015 Armée de Terre

 

 Retour sur les exercices internationaux auxquels a participé l’armée de Terre en 2014, sur le sol national ou à l’étranger.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:50
En décrochant le contrat égyptien, Dassault réaffirme son statut face à la concurrence européenne - photo Dassault

En décrochant le contrat égyptien, Dassault réaffirme son statut face à la concurrence européenne - photo Dassault

 

16/02 Alain Ruello / Chef de service adjoint – LesEchos.fr

 

L'Eurofighter est en retard sur le plan technologique et le Gripen ne boxe pas dans la même catégorie que le Rafale.

 

A Saint-Cloud, au siège de Dassault en proche banlieue parisienne, l'heure est évidemment à la fête. Depuis le temps… Mais le contrat égyptien n'est pas la seule raison de crier victoire. D'abord parce qu'il en appellera probablement d'autres. Le prochain sur la liste a de grandes chances d'être signé en Inde ou au Qatar. Et les Emirats arabes unis savent déjà tout ou presque de l'appareil. Les deux pays arabes ont pour point commun de devoir remplacer un jour où l'autre leurs Mirage 2000.

Si Dassault a de quoi se réjouir, c'est aussi parce que le contrat en Egypte fait de l'avionneur (et donc de la France), la puissance dominante en matière d'aéronautique de combat en Europe. S'il a déjà été exporté, et même bien avant le Rafale, l'Eurofighter traîne de fâcheux soupçons de corruption en Arabie saoudite et en Autriche, même si ce n'est pas le cas d'Oman.

 

Un succès tourné vers l'avenir

L'appareil fabriqué par le trio BAE-Airbus-Finmeccanica souffre d'un double handicap. D'abord, parce que ses quatre pays domestiques - Royaume-Uni, Allemagne, Italie et Espagne - ne veulent pas commander la totalité des exemplaires prévus au contrat. Les chaînes d'assemblage risquent donc de fermer dès 2017, à moins que des contrats à l'exportation ne prennent le relais.

Mais, et c'est là le second handicap, l'Eurofighter, est non seulement plus cher que le Rafale mais il est surtout en retard d'un point de vue technologique, au point d'avoir systématiquement perdu dans toutes les compétitions ouvertes dans lesquelles il a été engagé (le meilleur exemple étant l'Inde). Londres, Berlin, Madrid et Rome ont fini par lâcher de quoi le doter d'un radar moderne, mais ses grands concurrents en sont déjà dotés.

L'autre rival européen du Rafale, le Gripen du suédois Saab, est incontestablement un très bon appareil, qui se vend d'ailleurs relativement bien, mais qui ne joue pas dans la même division. Stockholm ne pouvant pas tout financer, l'industrie suédoise ne maîtrise pas l'ensemble des technologies liées aux avions de combat.

Dans ce contexte, Dassault sort renforcé vis-à-vis de BAE Systems dans leur partenariat pour préparer le système de combat aérien futur (piloté ou non), c'est-à-dire celui qui prendra le relais du Rafale et de l'Eurofighter.

Dans le cadre du traité franco-britannique de défense de Lancaster House, Paris et Londres financent à parité des études préliminaires aux deux industriels. Nous n'en sommes qu'au début d'un projet qui ne verra pas le jour avant 2025 au mieux. Et rien ne dit que l'alliance n'explosera pas en vol d'ici là. Mais au moins, Dassault a l'assurance que l'histoire du Rafale, elle, est loin d'être finie.

 

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:45
Roberta Pinotti, ministre italienne de la défense, plaide pour une action en Libye

 

15 février 2015 Liberation.fr

 

C’était son ancienne colonie et elle connaît le terrain. «L’Italie est prête à guider en Libye une coalition de pays de la région, européens et d’Afrique du Nord, pour arrêter la progression du califat, qui est parvenu à 350 kilomètres de nos côtes», a affirmé, dimanche, la ministre de la Défense Roberta Pinotti, du gouvernement de centre gauche de Matteo Renzi. L’hypothèse de l’instauration d’un califat en Libye alarme Rome.

 

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:35
Photo F. Robineau, Dassault Aviation

Photo F. Robineau, Dassault Aviation

 

February 17, 2015 Rediff.com (Business Standard)

 

Air force brass is ignoring a project to develop a fifth-generation fighter for fear it will take attention away from buying the Rafale. Ajai Shukla reports

 

The priceless Indo-Russian project to co-develop the eponymous Fifth Generation Fighter Aircraft is dying of neglect. With the Indian Air Force brass focused single-mindedly on procuring 126 Rafale fighters, the air marshals fear that an FGFA on the horizon would undermine their argument that the Rafale is essential. With the costly Rafale procurement imploding in slow motion, the FGFA is becoming collateral damage.

 

In October 2012, then IAF boss, Air Chief Marshal N A K Browne, announced the IAF would buy only 144 FGFAs instead of the 214 that were originally planned. Having cut down the numbers, the IAF is now undermining the FGFA project itself.

 

After the apex Indo-Russian Inter-Governmental Commission for Military Technical Cooperation met on January 22 to discuss military cooperation, IAF officers whispered to a gullible media that the FGFA was dead. It was reported that Defence Minister Manohar Parrikar had told his Russian counterpart that joint research and development was a waste of time. This was factually incorrect. What is true is that the IAF -- for reasons that can only be guessed at -- is scuttling a project to develop a fighter that would rank alongside the world's best.

 

Why is the FGFA important, more so than the Rafale? It is a fifth-generation fighter, which makes it operationally more capable than contemporary fourth-generation fighters like the Rafale and the Eurofighter Typhoon. Gen-5 fighters are designed to be stealthy, which means enemy radar cannot detect them until it is too late. They "supercruise", i.e. fly at supersonic speeds without lighting engine afterburners (the Rafale can do this too); and Gen-5 aircraft have futuristic avionics and missiles. In a war with China, stealthy Gen-5 aircraft would be ideal for missions deep into Tibet, evading China's radar network, to destroy the Qinghai-Tibet railway and roads leading to the Indian border -- to prevent China from quickly switching troops around on its superior border infrastructure.

 

So vital was the FGFA considered to India's aerospace capabilities that, in October 2007, New Delhi and Moscow signed an Inter-Governmental Agreement to co-develop the fighter, which placed the project above defence ministry procurement rules. The IGA states that Hindustan Aeronautics Ltd would partner Rosoboronexport, Russia's defence exports agency, in co-developing the fighter. Furthermore, Indian engineers say the expertise gained from the FGFA would be valuable in building the planned indigenous Gen-5 fighter, designated the Advanced Medium Combat Aircraft.

 

Following the IGA, New Delhi and Moscow signed a General Contract in December 2008, stipulating general principles of cooperation such as the share of work and cost, and the sale of the FGFA to third countries. In December 2010, a preliminary design contract was signed in which both sides contributed $295 million towards finalising the fighter's basic configuration, systems and equipment. With that completed in June 2013, the central R&D Contract is now being negotiated. This will govern the bulk of the work - the actual design and development of the FGFA.

 

Even as the IAF stonewalls the R&D contract negotiations, the need for India to come on board grows ever more pressing. Russia has already designed, built and flown the first prototypes of a Gen-5 fighter they call the PAK-FA (Perspektivny Aviatsionny Kompleks Frontovoy Aviatsii, or "Prospective Airborne Complex of Frontline Aviation"). The PAK-FA, built to Russian Air Force specifications, has already completed 650 test-flights. India's work share will lie in adapting this fighter to the IAF's requirements -- which include advanced capabilities like all-round radar that can detect threats in a 360-degree envelope, and voice recognition software that allows the pilot to call out commands. In all, the IAF has specified some 40-45 improvements that they want over the PAK-FA. Indian designers, who will have to integrate these improved capabilities with the existing PAK-FA, are losing out by not participating in the on-going design and test flying in Russia.

 

How Rafale is killing the (Indian) air force's future

Gen-5 fighters are designed to be stealthy, which means enemy radar cannot detect them until it is too late.

 

The IAF's objections to the FGFA are (a) The Russians are reluctant to share critical design information; (b) The fighter's current AL-41F1 engines are inadequate, being mere upgrades of the Sukhoi-30MKI's AL-31 engines; and (c) It is so expensive that "a large percentage of IAF's capital budget will be locked up." It is ironical that an air force that is eager to spend an estimated $20 billion on the entirely foreign, Gen-4 Rafale is baulking at spending a fraction of that on co-developing and indigenously manufacturing a Gen-5 fighter, which can be maintained and upgraded cheaply for decades to come.

 

An entire mythology has come up around the cost with even senior air marshals incorrectly stating that India will spend $11 billion on the FGFA. Even this inflated figure would be modest compared to the $40 billion that America spent in the 1980s and 1990s to develop the Gen-5 F-22 Raptor. Yet, in fact, this $11 billion figure was a defence ministry estimation in 2010, which included numerous items that have nothing to do with R&D. Firstly, the amount included both Russian and Indian expenditure; second, it included several options that India may not require, e.g. $1.5 billion for developing a twin-seat FGFA (which the IAF now says it does not want), and $1.5 billion for a new engine. Third, this included the cost of infrastructure that India must establish to manufacture the aircraft in large numbers for the IAF.

 

Since India urgently needs to start participating in the flight-test programme, of which the PAK-FA has already completed some 20 per cent, Sukhoi would have to build another prototype for India. That cost too is included in the estimation, along with the ground support equipment and training needed for a full-fledged Indian flight-test programme. With all of this factored in, officials closely involved in the negotiations say that India's share in the project could be about $3.5 to 4 billion.

 

Both sides have already talked around the R&D contract in such detail that it can be concluded in one sitting, provided Indian negotiators are given the green light from a clear-minded political leadership. The FGFA perfectly fits the "Make in India" idea; the strategy of being ready for a two-front conflict; and the IAF force structure of the future. From the standpoint of negotiation strategy, the timing is perfect. The rouble has plummeted more than 60 per cent against the dollar and the rupee in the last five months after the Ukraine crisis. The Russians will agree to the lower dollar rate that New Delhi has been proposing. The time to strike is now.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:55
Biathlon des Sous-officiers

 

16-02-2015 GRLE Réf : 176 -202

 

Du 02 au 05 février 2015 une équipe fanion du GRLE à participé au biathlon des sous-officiers. Lors de cette épreuve, ski de randonnée et tir étaient au programme. Face à des équipes aguerries dans le domaine de la montagne, les parisiens ont terminé à une très belle 4ème place . Rendez-vous pris en 2016 pour monter cette fois sur le podium.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:55
Une audition inédite du chef d’état-major des armées devant la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale


13/02/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 10 février, le général de Villiers s’est exprimé devant les membres de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, dont les domaines de compétence recouvrent « la politique étrangère et européenne, les traités et accords internationaux, les organisations internationales, la coopération et le développement, la francophonie et les relations culturelles internationales ».

 

Il s’agissait d’une audition inédite dans la mesure où, traditionnellement, le chef d’état-major des armées s’adresse à la représentation nationale lors de ses rencontres avec les députés de la commission de la défense nationale et des forces armées. 

Au cours de cette audition, le CEMA a livré sa vision des enjeux stratégiques, ainsi qu’un point de situation sur l’actualité de l’engagement opérationnel des forces françaises.

Après avoir donné sa vision du  contexte sécuritaire, qui montre que le lien entre la sécurité extérieure et la sécurité intérieure n'a jamais été aussi fort, le CEMA a décrit l'action des armées françaises en opérations extérieures, soulignant que toutes contribuent à la défense de l'avant de notre pays. 

Insistant sur l’excellence du travail accompli, il a fait part des enseignements qu’il en tire, estimant que ces dernies confortent la pertinence du choix d'un modèle complet d'armée porté par la LPM.

Enfin le CEMA a fait part de ses points de vigilance pour la période à venir.

 

 

REPÈRES 

L’Assemblée nationale compte huit commissions permanentes. Leur rôle est double :

- sauf lorsqu’une commission spéciale est constituée, tout projet ou proposition de loi est envoyé pour examen devant une commission permanente, qui en débat ; depuis la réforme constitutionnelle de juillet 2008, c’est le texte adopté par la commission saisie qui est discuté en séance publique ;

- les commissions permanentes informent l’Assemblée pour lui permettre d’exercer son rôle de contrôle de l’action du Gouvernement.

  •    La commission de la défense nationale et des forces armées

Conformément à l'article 36, alinéa 12, du Règlement de l’Assemblée nationale, les domaines de compétence de la commission de la Défense nationale et des forces armées sont l’organisation générale de la défense, les liens entre l’armée et la Nation, la politique de coopération et d’assistance dans le domaine militaire, les questions stratégiques, les industries de défense, les personnels civils et militaires des armées, la gendarmerie, la justice militaire et les anciens combattants.

  •  La commission des affaires étrangères

Conformément à l’article 36, alinéa 8, du Règlement de l’Assemblée nationale, les domaines de compétence de la commission des Affaires étrangères sont la politique étrangère et européenne, les traités et accords internationaux, les organisations internationales, la coopération et le développement, la francophonie et les relations culturelles internationales.

 

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:55
Appel aux anciens des unités GE (Armée de l'Air)

 

13/02/2015 Armée de l'Air

 

À l’occasion de ses 10 ans de création à l’été 2016, l’escadron électronique sol (EES) 21.054 souhaite éditer une histoire « des unités sol de guerre électronique dans l’armée de l’air ».

 

Cette étude envisage de couvrir la période des premières missions en Indochine jusqu’à nos jours. Aussi, l’unité fait appel à tous les anciens aviateurs de la guerre électronique afin de recueillir leurs témoignages et bénéficier de leurs fonds iconographiques.

 

Pour tout renseignement, contacter l’officier traditions de l’unité  à l’adresse suivante :

EES 21.054

Base aérienne 123 - BP 30130

45143 ST JEAN DE LA RUELLE CEDEX

Téléphone : 02 38 42 67 54 ou 02 38 42 67 79

Mail :  ees21054.10ans@laposte.net

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:55
Tir HK 416 d'un commando du CPA 20 - photo Armée de l'Air

Tir HK 416 d'un commando du CPA 20 - photo Armée de l'Air

 

13/02/2015 Armée de l'air

 

Exercices dans la neige pour le commando parachutiste de l’air (CPA) n°20, qui a mené une campagne de tir de type « temps froid » du 9 au 12 février au camp du Valdahon, dans le Doubs.

 

Organisé tous les ans à cette période de l’année, cet entraînement a permis aux commandos de travailler différentes phases de tir tactique et technique par -10°C et 70 cm de neige. L’ensemble du personnel engagé a pu s’exercer aux fondamentaux du combat en zone enneigée, ainsi qu’au tir sur différents types d’armement.

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