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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:45
Visit of the Swedish Chief of Joint Operations Lieutenant General Göran Martensson at EUTM Mali

 

10 February 2015 by EUTM Mali

 

The Swedish Chief of Joint Operations, Lieutenant General Göran Martensson, accompanied by: Lieutenant Colonel Anders HÖGRELL, Lieutenant Colonel Robert ALMSTRÖM and Major Pär ELOFSSON, arrived on Tuesday 10 February 2015 in Bamako, visiting the European Union Training Mission – Mali.

 

The distinguished visitor has been greeted by the Mission Commander of EUTM Mali, General Alfonso GARCIA-VAQUERO PRADAL and departed together for Koulikoro, where the TTF commander presented a brief regarding the training mission followed by a visit of the Training Camp. In the afternoon, at EUTM Mali Headquarters in Bamako, the Chief Of Staff, Colonel Klaus SHIRRA presented a complex brief about the mission and the Advisory Task Force Commander, Colonel Arnaud RICHE presented his team’s specific missions.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:35
PART 1: Big Surprises In LCA Navy NP1's Ski-Jump Fight

 

09.02.2015 by Livefist

 

When the first prototype of India's LCA Navy (NP1) roared off the ski-jump at the Shore-based Test Facility (SBTF) for the first time on December 20 last year, no one from the team observing the jet from the flightline and from telemetry stations knew that something unseen had happened. Something that would only become known later in the day when performance data was analysed. And it was good, solid news, much needed for a team that has seen little more than questions, derision and barely veiled bemusement. Importantly, it was the first time the team felt it had an answer to the 'what use is this platform, really?' question.

 

Read more

 

PART 2: The Four 'Fixes' After LCA Navy's Ski-Jump Flight

 

PART 3: The Official LCA Navy Mk.2 Wishlist

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 11:55
Teaser - Opération Sentinelle, les militaires sur le pied de guerre (JDef)

 

11 févr. 2015 Journal de la Défense (#JDef)

 

Suite aux attentats du 7 et 9 janvier 2015, le Premier ministre a décidé d’élever le dispositif Vigipirate au niveau « alerte attentat » en région Ile-de-France. Le ministère de la Défense mobilise alors un nombre record de soldats, en appui aux forces de police et de gendarmerie, pour protéger les « points » sensibles du territoire.
En quelques jours, les armées multiplient par dix l’effectif militaire déployé en France. Plus de 10 000 militaires sont mobilisés pour l’opération Sentinelle, dont plus de 6 000 en Ile-de-France et 4 000 en province.
Les équipes du Journal de la Défense (#JDef) ont pu suivre les différentes étapes de cette mobilisation sans précédent, au plus près du terrain.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:57
Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

 

10/02/2015 Boursorama (AFP)

 

La privatisation du constructeur de blindés français Nexter (Giat) a été votée lundi soir à l'Assemblée nationale. Elle devrait permettre de lancer la fusion avec l'allemand KMW pour créer le troisième groupe d'armement terreste mondial.

 

La fusion entre les constructeurs des chars Leclerc et Leopard, annoncée le 1er juillet, nécessitait une adaptation législative, dans la mesure où Nexter est aujourd'hui une entreprise publique et que son rapprochement avec KMW constitue une privatisation de fait.

 

L'État français, actuellement actionnaire à 100% de Nexter via Giat Industries, verra sa participation tomber à 50% dans la future entité fusionnée dénommée Kant. Il se retrouvera ainsi à parité au capital avec famille Bode-Wegman, propriétaire de KMW.

 

Avec 1,6 milliard d'euros de chiffre d'affaires et 6.000 salariés, le nouveau groupe sera le premier acteur d'armement terrestre européen et le troisième mondial. Les deux parties s'engageront par un pacte d'actionnaires à ne pas céder de parts pendant 5 ans minimum. La future société aura son siège aux Pays-Bas pour des raisons de "neutralité fiscale" selon le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron.

 

"Ce désengagement brutal de l'Etat, doublé d'un rapprochement avec un groupe étranger, est une faute grave contre notre indépendance stratégique et militaire", a estimé le FN. Cette fusion risque aussi, selon les spécialistes, de se traduire par une casse industrielle et sociale importante accentuée par le positionnement similaire des deux entreprises".

 

"Les liquidateurs de notre outil de défense liquident maintenant ouvertement notre industrie militaire et notre indépendance nationale. Notre mission sera claire: remettre cette indépendance au coeur de nos choix stratégiques, militaires et économiques", a ajouté le parti.

 

"Ce rapprochement permet d'avancer vers l'Europe de la défense et l'Europe industrielle", a plaidé de son côté la présidente de la commission Défense de l'Assemblée, Patricia Adam (PS). "Nous avons besoin d'industriels de taille critique pour l'export et la recherche et développement", a renchéri l'ancien ministre de la Défense Hervé Morin (UDI).

 

Cette fusion est en revanche contestée par le Front de gauche André Chassaigne pour qui elle est "vouée à l'échec car il n'y a pas de marché européen de la défense". "Une industrie nationale d'armement ne peut plus tenir avec les seules commandes publiques, c'est une chimère", lui a répondu le socialiste Jean-Jacques Bridey.

 

Les députés UMP se sont divisés sur le sujet. Nicolas Dhuicq a accusé les socialistes de "forfaiture" en "vendant un bijou de la nation" alors que "l'Allemagne ne paye pas le prix du sang" sur les conflits...

 

Plus modérés, certains d'entre eux se sont interrogés sur la politique traditionnellement restrictive de l'Allemagne en matière de ventes d'armes. "Il y a une sensibilité qui existe, mais elle ne changera pas avec ce rapprochement. Les exportations de Nexter durant ces cinq premières années seront décidées par Nexter", a assuré Emmanuel Macron.

 

Alors que André Chassaigne a exprimé ses doutes sur la complémentarité des deux sociétés, Emmanuel Macron a assuré au contraire qu'il n'y avait "pas de risque de cannibalisation d'une société par rapport à l'autre".

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
Interview du GCA Bernard de Courrèges d’Ustou, Directeur de l’IHEDN et de l’EMS

 

10/02/2015  par Alain Establier SECURITY DEFENSE Business Review

 

SDBR : Général, avez-vous fait l’IHEDN ?

GCA de Courrèges d’Ustou * : Non je n’ai pas suivi de session de l’IHEDN mais, comme la plupart des gens, je connaissais l’IHEDN par sa partie émergée, à savoir les deux sessions nationales: la session «Politique de défense» et la session «Armement et économie de défense». En fait, l’IHEDN ne se réduit pas à cela et il y a derrière beaucoup d’autres choses: une dimension régionale, une dimension internationale, des actions vers la jeunesse, des séminaires thématiques, etc. et un formidable réseau, avec des liens très forts entre anciens auditeurs ou participants de telle ou telle session ou séminaire.

 

« L’IHEDN sera le lieu de la formation et de la réflexion aux enjeux de défense, celui du renforcement du lien défense-nation, celui de l’élaboration d’une communauté de défense et de sécurité… », me déclarait le vice-amiral d’escadre Richard Laborde le 9 mars 2010. Est-ce que c’est la réalité de l’IHEDN de 2015?

Au-delà des grandes missions de formation et d’information de responsables et d’acteurs de la défense, l’IHEDN s’est en effet vue proposer, dans le Livre Blanc, la promotion de l’esprit de défense. Faire travailler ensemble des personnes qui s’intéressent déjà aux questions de défense et les faire progresser dans le domaine des relations internationales, des questions d’armement et d’économie de défense, et à toutes les questions connexes, est un des savoir-faire de l’IHEDN. En revanche, nous devons probablement progresser pour aller toucher ceux qui ne connaissent pas la Défense et ceux qui ne savent pas ce que sont les enjeux de défense. Donc nous faisons ce que déclarait l’amiral Laborde en 2010, mais la question est de savoir si nous le faisons bien ? L’IHEDN est aujourd’hui très ouvert sur l’international et nous avons des liens étroits avec un certain nombre de pays dans le monde. Concernant le renforcement du lien défense-nation et l’élaboration d’une communauté de défense et de sécurité, je considère que nous sommes à un palier et que nous devons encore progresser.

 

Quelles sont les pistes de progrès ?

Lorsque je suis arrivé, j’ai été très vite capable de décrire ce que faisait l’IHEDN. J’ai un peu plus de mal à définir ce que nous cherchons réellement à faire et vers quelle finalité nous cherchons à emmener nos auditeurs. Quel que soit le type de formation dispensée, nos auditeurs sont enthousiastes à son issue. Comment par contre matérialiser cet esprit de défense en France? Il n’y a pas de définition de l’esprit de défense mais nous allons, dans les prochains mois, donner des repères pour le caractériser au travers de deux ouvrages, l’un, « Esprits de défense » d’une centaine de pages avec textes de personnes d’horizons divers, tant militaires que civils, l’autre qui est une réédition de «Comprendre la défense» et qui donne la parole à 70 contributeurs. Nous avons besoin de points de repères, pour pouvoir ensuite discuter. Essayer de définir l’esprit de défense passe par un certain nombre de questions. Qu’avons-nous à défendre ? Une population de femmes et d’hommes (qui peuvent être menacés, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur du territoire on l’a vu), un territoire (avec la spécificité des départements d’outre-mer qui font de ce territoire l’ensemble du monde), un ensemble de valeurs, des intérêts (qui ne sont pas qu’européens et peuvent donc s’avérer spécifiques, comme le Pacifique et les Caraïbes). La question «qu’avons-nous à défendre» amène, vous le comprenez bien, des questions induites de cohésion nationale et de citoyenneté.

 

La question « Quoi défendre ?» ne pose t’elle pas la question de la Menace ?

Bien évidemment, nous devons nous interroger sur les menaces, sur les menaces extérieures et sur les menaces intérieures, sur les menaces physiques et sur les menaces numériques entre autres. La question suivante concerne les réponses à apporter à ces menaces. Il y a des acteurs ministériels qui travaillent sur ces questions (quoi ? qui ? comment ?), car tous les ministères sont concernés : Défense, Intérieur, Affaires Etrangères, Culture, Education, Enseignement supérieur et Recherche…). La question que nous devons nous poser est de savoir ce que l’IHEDN, institut de formation sous la tutelle du premier ministre, peut et doit apporter dans ce domaine ? Sa spécificité est justement d’être interdisciplinaire, intersectorielle et donc interministérielle. C’est pourquoi, en liaison avec les acteurs ministériels mais pas seulement, nous devons travailler sur ces différents champs. Pour ne pas nous disperser, sachant que nos moyens sont limités, nous devons nous donner des priorités. Nous avons, depuis 2006,  un séminaire «Cohésion  nationale et citoyenneté», mais nous ne pouvons pas informer  directement tous les citoyens du territoire national. Nous devons donc aussi définir quels sont les acteurs et les responsables que nous devons toucher, pour qu’ils soient eux-mêmes des relais dans cette mission d’information du plus grand nombre. Nous avons aujourd’hui à préciser ces relais et à définir notre mission à leur égard.

 

Vous avez parlé d’un séminaire « cohésion  nationale et citoyenneté ». Pouvez-vous nous en préciser le contenu ?

Nous faisons une ou deux sessions par an avec des responsables et des élus locaux, et je regrette que peu de responsables d’associations de terrain ne s’y soient pas intéressés jusqu’à maintenant. Participer à ce séminaire est louable, mais reste ensuite à définir jusqu’où l’IHEDN peut s’impliquer dans ce domaine, sachant que nous ne sommes pas les principaux acteurs en matière de cohésion nationale et de citoyenneté. Que ce soit sur ce sujet ou sur le thème des réponses aux menaces, il me semble que la communauté IHEDN, au centre de laquelle se trouve l’institut, prend tout son sens. En effet nous ne sommes pas seuls et il nous faut travailler de façon collective avec les responsables des ministères concernés et avec les élus. Nous touchons 10.000 personnes environ par an au travers des sessions et des diverses conférences, et en formation d’au moins une semaine nous touchons plus de mille personnes par an. A titre d’exemple,  nous organisons 4 sessions en région par an sur le territoire national, y compris l’outre-mer. Elles se déroulent sur 18 jours, selon le triptyque pédagogique propre à l’Institut qui est conférences/débats, travaux en comité et visites sur le terrain. Les auditeurs de ces sessions trouvent un prolongement à leur formation au sein des 32 associations régionales de l’Union-IHEDN. Les sessions en région ont commencé en 1954 et nous allons fêter la 200ème en mai à Bordeaux. Vous voyez, au travers de quelques exemples, qu’il y a beaucoup d’activités et de bonnes volontés au sein de la communauté IHEDN. Il nous reste à donner plus de cohérence, en fonction des buts à atteindre, à ce formidable bouillonnement de défense. Pour cela nous devons jouer collectif et faire circuler l’information, à l’intérieur et à l’extérieur de l’institut, pour pouvoir définir l’esprit de défense avant même de déterminer quel doit être le rôle de l’institut dans cet environnement.

 

Quels indicateurs avez-vous de la progression ou de la régression de l’esprit de défense dans la nation ?

Je n’ai pas d’indicateurs, mais j’ai des observations liées à mes postes précédents. Tout d’abord, j’ai des observations concernant les responsables politiques ou de la haute administration et les élus; ce ne sera pas une surprise si je vous dis que la plupart ne connaissent pas bien la Défense en général et les Armées en particulier. Pourquoi? Parce qu’on peut arriver à haut niveau sans rien connaitre à la Défense, ce qui est moins vrai pour l’Education, le Social ou l’Economie, et sans avoir jamais eu d’information particulière sur les sujets de défense. Ainsi, j’ai travaillé avec des hauts fonctionnaires en charge des budgets qui ne comprenaient pas que les dépenses de défense, plus que dans d’autres secteurs, s’inscrivaient dans le temps long! C’est vrai pour les équipements, mais c’est vrai aussi pour la formation capacitaire des personnels. Donc il me semble que l’information et la formation des responsables à ces sujets sont essentielles.

 

Vous me parlez des responsables et je vois bien le souci, mais je vous posais la question sur la Nation au sens large. Comment toucher le plus grand nombre? Par les écoles?

Je suis d’accord mais il faut déjà convaincre les responsables. Pour la suite, les partenariats régionaux avec des écoles permettent de toucher le plus grand nombre et d’essaimer les messages. Il y a des actions à envisager auprès du corps professoral des écoles après bac pour les sensibiliser aux sujets de défense. Sur ces sujets, nous devons être force de proposition face à nos autorités de tutelle.

 

* Le général de corps d’armée Bernard de Courrèges d’Ustou choisit l’arme blindée cavalerie à sa sortie de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr en 1981. Affecté, en 1982, au 3e régiment de hussards à Pforzheim (RFA), il y sert successivement comme chef de peloton AMX10RC, comme chef de peloton Boeselager (Challenge interallié des unités de reconnaissance) et enfin, comme officier traitant au bureau opérations instruction. Affecté, en 1988, au 12e régiment de cuirassiers de Müllheim (RFA), il commande le 1er escadron de chars AMX30B2, pendant trois ans. Reçu, en 1993, au concours de l’Enseignement militaire supérieur scientifique et technique (EMSST), il suit une scolarité de deux ans à l’École nationale supérieure des techniques avancées (Ensta) et obtient le titre d’ingénieur en recherche opérationnelle. Promu colonel en 2001, il reçoit le commandement du 1er/11e régiment de cuirassiers à Carpiagne (13), régiment de 80 chars de la 3e brigade mécanisée. De septembre 2002 à janvier 2003, il exerce les fonctions de RepFrance Pamir, commandant les forces françaises en Afghanistan, comprenant, notamment, le bataillon français de la Force internationale d’assistance à la sécurité (Fias) à Kaboul et le détachement "Epidote" de formation de l’armée nationale afghane. En 2007, chargé de mission auprès du secrétaire général au Secrétariat général de la défense nationale (SGDN), il participe, notamment, aux travaux d’élaboration du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, puis aux travaux d’élaboration du projet de loi de programmation militaire pour les années 2009 à 2014. Le 11 mars 2010, il est nommé chef du cabinet militaire du Premier ministre. Il est nommé directeur de l’Institut des hautes études de défense nationale et de l’Enseignement militaire supérieur à compter du 14 août 2014.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
Le CNDH ouvre ses portes

 

10 févr. 2015 Armée de Terre

 

Le 5 février, le général de division Patrick Alabergère, commandant l’école du génie, a inauguré le nouveau centre national de déminage humanitaire (CNDH) situé au cœur de l’école du génie à Angers.

Le rôle de ce centre est de sensibiliser la population civile au danger des mines, apprendre à reconnaître les différentes mines, leurs compositions et leurs mécanismes… Tout le savoir-faire du génie est au service de la population civile afin de prévenir et d’alerter en cas de menaces.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
Plutôt 3 000 par an, vers un étalement des suppressions de postes dans les armées

 

10.02.2015 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale

 

La décision présidentielle et du Conseil de Défense du 21 janvier de réduire les déflations de 7 500 postes au sein du ministère de la Défense mène à une puissante bataille d'influence interne. Chaque DRH d'armées, de structures organiques, d'administration se promettant d'en bénéficier au maximum (au détriment du voisin, bien sûr)... Dans les armées, les premiers comptes aboutissent à la suppression d'environ 3 000 postes par an avec la nouvelle répartition des déflations sur toute la durée de la Loi de programmation militaire.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
L’île de Beauté forme les futurs plongeurs

 

10/02/2015 Armée de l'air

 

L’armée de l’air forme chaque année de nouveaux plongeurs sauveteurs, appelés les « ploufs ». Du 13 janvier au 13 février 2015, une vingtaine de jeunes stagiaires ont alterné cours théoriques et cours pratiques sur la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara.

 

Le cursus de formation des plongeurs sauveteurs se décline en plusieurs étapes qu’il faut impérativement réussir. La première, d’une durée de 5 semaines, est réalisée au sein de la marine nationale à Saint-Mandrier, où les apprentis plongeurs doivent acquérir les techniques de base de la plongée. Ensuite, si les stagiaires n’en sont pas déjà titulaires, ils doivent obtenir les qualifications spécifiques aux premiers secours en équipe premier et second degrés (PSE 1 et 2). Enfin, c’est sur la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara, à l’escadrille d’instruction des sauveteurs plongeurs héliportés (EISPH) de l’escadron d’hélicoptères 1/44 «Solenzara» qu’ils vont s’imprégner des techniques du sauvetage héliporté, pendant 5 semaines.

 

Sous l’eau, en surface, dans les airs, en montagne… le programme est varié, intensif et progressif. Les instructeurs, des sauveteurs plongeurs aguerris, encadrent, dispensent les cours et évaluent bien sûr leurs élèves. Ils en profitent également pour leur transmettre de nombreuses astuces acquises au cours de leurs carrières.

 

Basée en Corse, l’EISPH bénéficie d’un environnement de travail idéal, avec à proximité la mer, mais aussi la montagne. A l’issue de cette phase de formation, les stagiaires de l’armée de l’air poursuivront leur apprentissage au sein de leur unité d’affectation : soit à Cazaux, soit à Ventiseri-Solenzara, sous la forme d’un parrainage.

 

L’île de Beauté forme les futurs plongeurs
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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:50
Futur proche ? Les Queen Elizabeth et Illustrious

Futur proche ? Les Queen Elizabeth et Illustrious

 

10 février 2015 Le Fauteuil de Colbert

 

La France décidait en 1986 puis 1994, 2007 et 2011 d'agir mieux que tout le monde en renouvelant à moitié sa composante aéronavale. Sorte de French touch dans l'art de la guerre aéronavale dans le monde, il ne sera pas nécessaire de revenir sur le pourquoi du comment le budget de l'Etat alimente autant un second porte-avions imaginaire sans cesse amélioré au fil des années.

 

Une fois que nous avons dit cela, c'est pour mieux saisir le contraste mondial qui dépasse l'hémispère occidental qui nous englobe. Le couant de pensée dominant nous entraînait lentement mais sûrement vers un reniement de la guerre navale au sens large : puisque la Méditerranée, l'Atlantique et l'océan Indien sont des lacs américano-otaniens, la mer est utilisable par nous pour supporter nos voies de communication et donc servir à déplacer porter le fer à terre.

 

Depuis la fin du conflit Est-Ouest (1991), rien n'est venu entravé cette vue stratégique à court terme. Les engagements des Etats-Unis d'Amérique, des alliés ou de la France en dehors de leur sol ne craignaient pas une menace navale critique ayant la capacité d'entraver une action aéronavale et aéroamphibie. La configuration stratégique est telle qu'il n'y a plus lieu de lutter pour acquérir la maîtrise temporaire et locale de la mer pour agir à terre. Configuration stratégique tellement favorable que les priorités sont à terre où il y a toujours à faire. Les Etats-Unis pouvaient même imaginer descendre leur nombre de navire porte-avions de 15 (tentative d'apogée sous l'ère Reagan) à 8, voire 6 (projets de l'administration Obama avec Robert Gates comme secrétaire d'Etat à la Défense).

 

Pourquoi pas : si la Défense est le premier devoir de l'Etat, alors il nous incombe de nous adapter ?

 

La fin de l'Histoire ne s'est jamais produite. Mieux encore, certains peuples, certaines nations croient toujours au sens de l'Histoire. Tout du moins, les ambitions ne sont pas une denrée rare parmi des puissances émergentes. En tous les cas, l'expansion de leur économie en dehors de leurs frontières nationales se combine avec un volet maritime et naval.

 

Pékin développe des porte-avions. Pour un pays qui tente de récupérer toutes les coques de ces navires qui sont à démolire de par le monde, ce n'est pas une surprise qu'il y ait une ambition autre que de devenir le champion mondial de la déconstruction de porte-avions. La refonte de l'ex-Varyag puis l'apparition sur la toile de clichés montrant de nombreuses infrastructures terrestres liées au fait aéronaval atteste d'une volonté chinoise de s'approprier cet outil. De là à s'étonner que depuis 2006, la Chine communique à chaque grande étape sur la construction de trois porte-avions en plus de son "navire-école", c'est plus un aboutissement de près d'une trentaine d'années d'efforts qu'une surprise.

 

L'Inde ne désarme pas encore le vieux Viraat (1953-?). L'ancien joyau de la couronne britannique acquiert lui aussi un ancien porte-aéronefs soviétique : l'amiral Gorshkov qui devient depuis 2013 le Vikramaditya. Le programme Air Defense Ship puis Indigenous Aicraft Carrier vise, ce jour, à livrer deux unités à la marine indienne. Elles seront de conception locale (avec le concours de l'ingéniérie italienne). La première unité, le Vikrant, est espérée pour 2018. La seconde pour le milieu de la décennie suivante. Reste à savoir comment vont évoluer les ambitions aéronavales indiennes au fur et à mesure des années. Par exemple, l'Inde ne s'oriente actuellement que sur dans la filire STOBAR et non pas CATOBAR. En attendant, New Delhi table sur trois porte-avions d'ici à 2025.

 

L'Angleterre revient elle aussi sur le devant de la scène. Le concept de Sea Control ship incarné par la classe Invincible réduite de 6 à 3 navires n'a pu convaincre lors de la guerre des Malouines. A leur décharge, une seule de ces unités était alors en service : le HMS Invincible. Il devait être vendu à l'Australie quand éclata la guerre... Les deux porte-aéronefs en cours de finition ou de construction, de 65 000 tonnes à pleine charge, illustrent un retour à des ambitions aéronavales plus importantes. Le choix confirmé de la formule STOBAR et les problèmes rencontrés dans la mise au point du F-35 retarderont la montée en puissance du nouvel outil aéronaval de la Royal Navy. Et le rendez-vous de la refonte CATOBAR est toujours une question pendante de l'autre côté de la Manche.

 

Citons, pour terminer ce tour d'horizon, que l'Australie réfléchi à voix haute sur une possible reconstruction de ses deux navires amphibies achetés à l'Espagne en porte-avions, que la Russie maintient ses ambitions de remplacer et compléter le Kuznetsov, tout comme le Brésil qui souhaite au moins remplacer le Foch avec l'intérêt de l'Argentine, que le Japon et la Corée du Sud construisent et mettent en service de lourds porte-aéronefs ou que la France devra se pencher sur le cas du second porte-avions assez rapidement...

 

Le basculement océanique mondial ainsi que le pivotage d'une partie des forces américaines de la façade Atlantique à l'Asie du Sud-Est invite à reconsidérer des espaces qui ne sont ni des lacs américains ni des lacs otaniens. Le porte-avions était contesté du fait de l'existence d'une stratégie d'interdiction, notamment et surtout portée par la Chine, qui devait le condamner. Stratégie d'interdiction qui ne fait qu'imiter ce que développait l'URSS face à l'US Navy dans les années 70 et 80 du XXe siècle, période où le porte-avions n'était pas non plus abandonné.

 

De plus, l'acquisition d'un outil aéronaval hauturier par des puissances navales émergentes déplaçe l'horizon des confrontations navales potentielles de demain. La menace d'une fleet in being, quelles que soit ses capacités, rendra impératif de considérer et la menace d'un groupe aéronaval en pleine croisière avant d'envisager une action à terre, tout du moins, sans consacrer les moyens nécessaires à une maîtrise locale et temporaire de la mer. C'était l'exemple britannique en 1982 où la Royal Navy ne trouvait pas le porte-avions argentin.

 

A partir de 2015 et la rencontre du porte-avions Charles de Gaulle avec un ou deux porte-avions Indien, voire une possible croisière lointaine du porte-aéronefs chinois, nous pourrions assister à une reconsidération de la nécessaire acquisition d'une maîtrise temporaire et locale de la mer afin de projeter une force aéroamphibie contre un littoral ou pour utiliser tout simplement les communications maritimes. Dans pareil cadre, le rôle du porte-avions pour acquérir ou défendre cette maîtrise risque fort d'être reconsidéré.

 

Faudra-t-il invoquer l'effet mimétique ou l'incapacité de trouver un autre outil que la projection de la puissance aérienne depuis la mer pour expliquer la reconsidération de ce navire ? En tous les cas, nous pourrions très bien voir surgir des débats aux Etats-Unis sur un nombre de porte-avions trop bas. Tout comme les croisières des unités indiennes, chinoises et anglaises stimuleront de nouvelles diplomaties navales qui changeront les regards portés sur la maîtrise des espaces maritimes. En 2022, nous serons dans une toute autre configuration stratégique...

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:50
EDA releases 2014 annual report

 

Brussels - 10 February, 2015 European Defence Agency

 

The European Defence Agency has just released its 2014 annual report. The document highlights the Agency’s achievements during the past year and showcases the progress made on key programmes and projects.

 

Working on the taskings set by the December 2013 European Council, where Heads of State and Government addressed defence issues, the European Defence Agency has made significant progress on the four key capability programmes identified by Member States. It also developed innovative proposals to incentivise and promote cooperation, while maintaining its efforts in multiple domains such as training and exercises, standardisation or research & technology.

 

Transparency

The Agency’s annual report aims to provide EDA’s stakeholders with a clear and transparent overview of its activities in the field of capability development, armament cooperation, research and technology, industry and market as well as coordination with other European institutions and partners. The document also includes updated facts and figures on the Agency’s activity in 2014.

 

The 2014 annual report is available for download HERE.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:45
Ebola : Washington retire ses soldats

U.S. soldiers prepare a crate as a CH-47 Chinook helicopter approaches as part of a slingload operation at Roberts International Airport in Monrovia, Liberia, Dec. 12, 2014. U.S. Army photo by Sgt. 1st Class Brien Vorhees

 

11.02.2015 par BBC Afrique

 

Les États-Unis ont commencé à retirer les troupes envoyées en Afrique occidentale pour aider à lutter contre Ebola, estimant que la maladie a été largement contenue.

 

Presque tous les soldats américains déployés sur place auront réintégré leurs bases d'ici le 30 avril, grâce au succès de la mission américaine lancée en septembre 2014, a indiqué mardi le porte-parole du Pentagone, le contre-amiral John Kirby dans un communiqué. Il a précisé que près de 1.500 soldats ont déjà quitté l'Afrique.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:45
Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.

 

10 février 2015 par EUTM Mali

 

Le Chef des Operations Conjointes de la Suède, Lieutenant Général Göran Mårtensson,  accompagné par le Lieutenant-Colonel Anders HÖGRELL, le Lieutenant-Colonel Robert ALMSTRÖM et le Commandant Pär ELOFSSON, est arrivé ce mardi 10 février 2015 à Bamako pour une visite à la Mission Européenne d’Entraînement au Mali. Ce visiteur distingué a été reçu par le Général de Brigade Alfonso GARCIA-VAQUERO PRADAL, commandant l’EUTM Mali, et ils sont partis ensemble pour le Camp d’entrainement de Koulikoro où le commandant du TTF a exposé une mémoire au sujet de la mission de formation.

 

Celle-ci à été suivie d’une visite du camp d’entraînement avant de se rendre au Quartier General de l’EUTM à Bamako. Le Chef d’Etat-Major de l’EUTM Mali, Colonel Klaus SHIRRA, a présenté les différents aspects de la mission alors que le chef de l’Équipe de Conseil, Colonel Arnaud RICHE, a exposé les missions spécifiques de son équipe auprès de l’État-Major malien.

Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.
Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.
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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:45
Sangaris appuie la MINUSCA dans une opération à Bria

 

10/02/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Mardi 10 février 2015, la MINUSCA, appuyée par des éléments de Sangaris, est intervenue dans la ville de Bria pour libérer plusieurs édifices publics illégalement occupés par des hommes armés du Front Populaire pour la Renaissance de la Centrafrique (FPRC).

 

Tôt dans la matinée, la MINUSCA a lancé une opération afin de reprendre le contrôle des bâtiments appartenant à l’Etat illégalement occupés par des miliciens du FPRC. Se heurtant à l’hostilité des membres du groupe armé qui ont ouvert le feu, les casques bleus ont dû riposter. A la demande de l’ONU, cette opération a été appuyée par les militaires français de la force Sangaris qui ont été associés à la phase de planification.

 

La force française a engagé à Bria un sous-groupement tactique, plusieurs hélicoptères, ainsi que des moyens de coordination avec l’ONU, notamment dans le domaine du renseignement.

 

Après plusieurs heures de combat, la préfecture, la sous-préfecture, le commissariat et l’ensemble des autres édifices publics ont été libérés puis fouillés par les forces internationales. Les affrontements, qui ont fait plusieurs morts parmi les miliciens du FPRC, ont cessé en fin de matinée. L’opération est dorénavant entrée dans une phase de contrôle de zone pour stabiliser la ville et prévenir toute action de la part d’éléments armés isolés du FPRC.

 

Cette opération est a été conduite après que le FPRC a répété son refus d’évacuer pacifiquement les emprises publiques. Ce refus a été constamment manifesté malgré plusieurs mois de dialogue mené par la MINUSCA et Sangaris pour tenter de restaurer l’autorité de l’Etat centrafricain et permettre la tenue des consultations populaires décidées par le gouvernement et s’inscrivant dans le cadre du processus de réconciliation.

 

Cette opération à Bria marque la détermination des forces internationales dans la résolution de la crise.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:45
Pour l'EUFOR RCA et le général Pontiès, la fin de partie sera sifflée le 15 mars

 

01.02.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

Le général Philippe Pontiès, le patron de l'EUFOR RCA, était à Bangui en fin de semaine; il a assisté à l'inauguration d'un pont provisoire dans le centre de la capitale (voir mon post ici).

Il en a aussi profité pour rencontrer l'ensemble du contingent européen. "C'était la dernière occasion de voir tout le monde", m'a-t-il dit depuis Bangui. En effet, le général français ne reviendra en RCA que pour le démontage de l'EUFOR RCA, à la mi-mars, "et certains des militaires européens seront déja rentrés".

Philippe Pontiès a été nommé il y a déjà un an (le 28 janvier), "pour six mois à compter du jour où l'EUFOR RCA allait atteindre sa pleine capacité" (700 hommes dont 250 Français), soit du 15 juin au 15 décembre 2014. Mais son mandat a été prolongé de trois mois, jusqu'à la fin totale de la présence de l'EUFOR en RCA.

En attendant, l'officier dresse un bilan plutôt positif, préférant voir "le verre à moitié plein" et se dire que "les objectifs opérationnels ont été parfaitement atteints" et qu'au plan politique, l'EUFOR RCA a démontré "la solidarité de l'UE avec la population de RCA" et a "participé à la résolution de la crise".

"Et puis, il n'a fallu que deux mois et demi entre les premiers déploiement et la pleine capacité", grâce à la "procédure fast track".

Du côté du verre à moitié vide, le général reconnaît qu'il y a des leçons à tirer, sur la pertinence des battle groups, sur le besoin d'un état-major opératif permanent à Bruxelles, sur les synergies avec l'agence européenne de défense, sur l'efficacité du mécanisme Athéna pour financer les opérations...

Après? Le général Pontiès retrouvera son EMF marseillais. A temps pour mettre en place un exercice majeur franco-britannique en juin. Et après? Ce sera une autre histoire...

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:40
Sommet de Minsk : les pièges à déminer pour un accord

 

11/02/2015 Par Isabelle Lasserre – LeFigaro.fr

 

Vladimir Poutine, Petro Porochenko, François Hollande et Angela Merkel doivent se retrouver mercredi soir à Minsk. L'une des dernières chances de trouver une porte de sortie au conflit en Ukraine.

 

● Quels sont les enjeux du sommet de Minsk?

 

Il s'agit de remettre sur la table les accords de Minsk, signés le 5 septembre 2014 mais jamais respectés, et surtout d'obtenir rapidement un cessez-le-feu pour mettre fin aux combats qui ont fait plus de 5 500 morts dans l'est de l'Ukraine depuis dix mois. Pourquoi la réunion dans la capitale biélorusse a-t-elle lieu maintenant? Inquiet des voix qui s'élèvent aux États-Unis pour armer les Ukrainiens, Vladimir Poutine, sans doute aussi préoccupé par l'effondrement de l'économie russe, a proposé aux Européens de relancer les négociations, à ses conditions initialement. Parce qu'ils craignent que la situation sur le terrain ne dégénère en guerre totale, parce qu'ils ont compris que les sanctions n'avaient pas atteint leur but politique - un recul de l'offensive prorusse en Ukraine -, François Hollande et Angela Merkel, au nom de l'Europe, ont saisi la perche du Kremlin. «Mais aujourd'hui, c'est sur notre papier que l'on discute», assure un diplomate français. Cette nouvelle initiative est présentée comme l'une des dernières chances diplomatiques de régler la crise. «On ne peut pas discuter indéfiniment», affirment les responsables français.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:40
Il-38N photo Ilyushin

Il-38N photo Ilyushin

 

rusnavyintelligence.com

 

La modernisation des capacités et des infrastructures des forces aéronavales russes devrait se poursuivre en 2015 avec la réception de nouvelles plateformes aériennes et la mise à niveau de bases existantes.

 

Le commandant en chef des forces aéronavales de la marine russe, le général major Igor Kozhin, a fourni des précisions sur le contenu du programme de modernisation pour 2015 lors d'une conférence de presse qui s'est tenue le 9 février. L'aéronavale russe devrait ainsi recevoir des nouveaux chasseurs embarquées MiG-29K, dont l'entrée en dotation au sein de la flotte du Nord a été amorcée dès 2013. L'objectif 20 nouvelles unités pourrait être atteint cette année. En matière de lutte anti-sous-marine (ASM), les forces aéronavales devraient recevoir des appareils de patrouille maritime Il-38N. Ces avions peuvent également assurer des mission de lutte ASM, tout comme les Be-12, dont le programme de modernisation du complexe embarqué devrait se poursuivre en 2015. Il est également question de poursuivre la modernisation des hélicoptères de lutte ASM Ka-27PL qui reçoivent progressivement de nouveaux instruments radio-électroniques embarqués, ainsi qu'un nouveau complexe embarqué de lutte ASM.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:35
photo Livefist

photo Livefist

 

7 févr. 2015 Shiv Aroor - Livefsit

 

The second prototype of India's 1st indigenously built naval fighter, the LCA Navy, takes off on its debut flight in Bengaluru on Feb 7, 2015. More details here

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:35
La Chine construit des îles artificielles pour revendiquer des zones maritimes

 

10/02/2015 Par Julien Licourt – LeFigaro.fr

 

La République populaire entend asseoir son influence sur des ilôts inhabités mais stratégiques de la mer de Chine.

 

Une île artificielle en forme de porte-avion. La Chine est en train d'agglomérer des milliers de tonnes de terre sur un récif corallien afin de le transformer en piste d'atterrissage. L'objectif: asseoir sa domination sur une zone stratégique très disputée, la mer de Chine.

Jusqu'à présent, la majeure partie de l'île de Fiery Cross, ou Yongshu, en Chinois, se trouvait sous l'eau, à l'exception de quelques rochers et d'une surface de béton artificielle, servant à héberger une petite garnison de soldats. Des images satellites, analysées par des experts anglo-saxons de l'IHS, ont montré que depuis quelques mois, des navires chinois draguaient les fonds environnants. Les images ont également montré que ces derniers rassemblent les sédiments sur la barrière de corail, afin de faire émerger des eaux une piste de 3000 mètres de long sur 300 mètres, au plus, de large. Un port, à l'est de l'île, serait également en train d'être créé par les dragues chinoises. Il serait suffisamment grand pour «accueillir des pétroliers ou de grands navires de guerre», selon les experts de l'IHS.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:30
How can Jordan aid the fight against Islamic State?

 

10 February 2015 By Omar Ashour University of Exeter – BBC Middle East

 

Messages written on Jordanian air-to-surface missiles before they were fired at alleged Islamic State (IS) positions in Raqqa, Syria, summed up the mood of many in the country.

They included "This one is for the enemy of Islam, Omar Shishani", a reference to a Chechen IS commander, and "Our soldiers will be victorious", a Koranic verse.

The air strikes were a reaction by the Jordanian authorities to the immolation by IS of the Jordanian pilot, Flight Lt Moaz al-Kasasbeh, whose F-16 was allegedly shot down near Raqqa in December.

They were preceded by the executions of two operatives from al-Qaeda in Iraq, a precursor to IS. Sajida al-Rishawi and Ziyad Karboli, both Iraqis, had previously been sentenced to death in connection with attacks in the kingdom in 2005 and 2008.

 

What will the current escalation between IS and the Hashemite regime mean for Jordan?

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:30
Islamic State crisis: UAE resumes air strikes

 

10 February 2015 by BBC Middle East
 

The United Arab Emirates has resumed air strikes against Islamic State (IS) militants for the first time since halting operations last year. The UAE had suspended its involvement in coalition strikes after a Jordanian pilot was captured in Syria by IS. But after a video of him being burnt alive emerged, the UAE said it was sending F-16 fighters to Jordan. The UAE jets returned safely, a statement published on state media said giving few other details. Jordan vowed to wipe IS "off the face of the earth" after the murder of pilot Moaz al-Kasasbeh. The US-led coalition, including a number of Arab states, has been carrying out strikes against IS targets in Iraq and Syria. Until now, Arab states have only been involved in a fraction of the air campaign against the militants. The news comes after Syrian President Bashar al-Assad told the BBC in an exclusive interview he is receiving information from a third party about the strikes.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:25
FAA : la France à la conférence internationale de sécurité des nations de la Caraïbe

 

10/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 20 au 22 janvier 2015, la France était présente à la 13ème édition de la conférence internationale de sécurité des nations de la Caraïbe, à Nassau au Bahamas. Le commandant supérieur des forces armées aux Antilles, le contre-amiral Georges Bosselut, s’est rendu sur place afin d’échanger avec les représentants de la Défense et de la Sécurité des différents pays de la Caraïbe.

 

Dans le cadre des mécanismes de coordination entre les entités régionales, les deux thématiques principales abordées ont été la lutte contre le crime organisé transnational et les menaces contre la souveraineté territoriale. La nécessité d’un effort régional commun pour le partage de l’information, du renseignement et la coordination des actions de formation, a été dégagée.

 

Cette conférence était également l’occasion pour le contre-amiral Bosselut de rencontrer ses homologues américains, britanniques, et néerlandais lors de réunions bilatérales. Le renforcement des relations franco-américaines, notamment dans le domaine du partage de renseignement et du soutien aérien par des aéronefs américains a été décidé, ainsi que la solidification des échanges des requêtes et des réponses juridiques avec la Grande-Bretagne dans le domaine de la lutte contre le narcotrafic. Le commandant des forces néerlandaises de la Caraïbe et le contre-amiral Bosselut se sont eux particulièrement intéressés aux sujets d’intérêt commun dans la région de Saint-Martin, île partagée entre la France et les Pays-Bas.

 

Les forces armées aux Antilles (FAA) garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis les départements de la Martinique et de la Guadeloupe. Elles constituent un dispositif interarmées à dominante aéromaritime de premier plan sur le « théâtre » Antilles-Guyane, en coordination avec les forces armées en Guyane (FAG). La lutte contre le narcotrafic dans la zone Caraïbe est effectuée en coopération inter-administrations et internationale, principalement en lien avec les États-Unis, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, le Mexique, le Brésil et la Colombie.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:25
HARPIE : une relève de génie

 

10/02/2015 ASP Bourceret - Armée de Terre

 

Le 20 janvier, le capitaine Maillot, commandant la 2e compagnie de combat du génie (2e CCG) du 3e régiment du génie, a reçu des mains du colonel Fromaget, chef de corps du 9e régiment d’infanterie marine, le fanion de la 3e compagnie.

 

La 2e CCG du 3e RG a été projetée en Guyane dans le cadre de l’opération HARPIE succédant ainsi au 1er régiment étranger de génie. Quatre sections seront déployées dans la zone d’action Nord du régiment à partir de la base opérationnelle avancée de Saint-Jean du Maroni. Elles seront engagées aux côtés des forces de l’ordre dans la lutte contre l’orpaillage illégal et devront s’adapter à un climat hostile, un terrain difficile et un adversaire rompu à ces conditions particulières. Bienvenue aux sapeurs du 3e RG !

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:20
Army Asks for More Money to Upgrade Abrams Tanks

 

, February 9th, 2015 By Michael Hoffman - dodbuzz.com

 

Army leaders have thus far taken up a losing battle against Congress to temporarily halt funding for its Abrams tanks. However, that changed in its latest budget proposal as the service has reversed course and asked for 50 percent more funding for the M1 Abrams tank over last year.

 

Army Chief of Staff Gen. Ray Odierno told Congress in 2o12 that the Army wanted to spend money on other modernization priorities. Congress pushed back saying it was a mistake to shut down the production line of the M1 tank, which is located in Lima, Ohio, even if it’s a temporary shut down. The Army would risk losing the skilled workers at the plants and spend more on training when they needed to reopen the production line for the Abrams upgrades the Army had said it needed in 2017.

The Army apparently listened to the critique, as service officials requested $368 million for upgrades to the M1 tank. Last year, the Army asked for $237 million.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:20
Les Etats-Unis créent une nouvelle agence de sécurité informatique

 

10.02.2015 Le Monde.fr

 

Pour lutter contre les attaques informatiques, les Etats-Unis vont adopter un outil similaire à celui mis en place après les attentats du 11 septembre 2001 pour lutter contre le terrorisme : une agence centralisée, chargée de faire remonter les différentes informations provenant des différentes administrations, et de coordonner les actions du gouvernement. Cette annonce survient deux mois après le piratage massif dont a été victime Sony Pictures.

 

Ce « Cyber Threat Intelligence Integration Center (CTIIC) », dont la création doit être officiellement annoncée ce mardi, sera calqué sur le modèle du National Counterterrorism Center ; au lendemain des attentats du 11-Septembre, une enquête interne avait montré que les services de renseignement américains disposaient d'énormément d'informations sur les auteurs des attentats, et auraient potentiellement pu les empêcher s'ils avaient été mieux coordonnés.

 

Cette agence « nous aidera à nous assurer que nous avons la même approche, intégrée et multioutils, que nous avons développée pour lutter contre le terrorisme », a déclaré Lisa Monaca, conseillère spéciale de Barack Obama sur la sécurité intérieure et l'antiterrorisme, au Washington Post.

 

Les critiques du projet notent cependant que plusieurs organismes déjà existants auraient pu reprendre ce rôle. Le FBI et la NSA, parmi d'autres, disposent déjà de leurs propres centres de lutte contre les attaques informatiques.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 07:45
credits BBC

credits BBC

 

11.02.2015 BBC Afrique

 

Le gouvernement nigérien a proclamé mardi l'état d'urgence dans la région de Diffa (sud-est), où les populations fuient par crainte d'une nouvelle attaque des islamistes nigérians de Boko Haram.

 

Diffa, capitale provinciale située à quelques kilomètres du Nigeria où sévissent depuis des années les militants de Boko Haram, a été attaquée vendredi à sa périphérie, puis dans son centre-ville dimanche et encore à deux reprises lundi. Par cette décision, le gouvernement nigérien accorde des pouvoirs supplémentaires aux forces de sécurité, dont celui d'ordonner des perquisitions à domicile de jour et de nuit. D'après les experts, Boko Haram dispose de cellules dormantes au Niger pour perpétrer des attaques.

 

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