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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:35
Le ministre kirghize de la Défense effectuera une visite officielle en Azerbaïdjan

 

Bakou, 9 février, AzerTAc

 

Le ministre de la Défense de la République kirghize, Abibilla Koubayberdiyev, effectuera le 10 févier une visite officielle en République d’Azerbaïdjan.

En marge de sa visite le ministre kirghize aurait une rencontre au Ministère de la Défense de l’Azerbaïdjan.

La délégation conduite par Abibilla Koubayberdiyev se rendrait à l’Académie militaire des Forces armées, la Haute école militaire d’Azerbaïdjan Heydar Aliyev et le Centre de formation et d’enseignement des armées.

La visite en Azerbaïdjan du ministre kirghize de la Défense se terminera le 13 février.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:35
Visite du ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon en Inde le 17 février.

 

06.02.2015 IsraëlValley

 

Le ministre de la Défense Moshe Yaalon, se rendra le 17 février en Inde, première visite du genre pour un ministre de la Défense depuis l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays. Jérusalem accorde une importance stratégique à cette visite, qui marque un tournant dans les relations sécuritaires avec New-Delhi et qui pourrait ouvrir la voie vers de nouveaux marchés dans le domaine de la défense.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:35
UIMC to present promising aviation developments in India

 

06.02.2015 by Rostec

 

The modernization of equipment for the Su-30MKI will be discussed at Aero India-2015

 

During the international exhibition in Bangalore, India, United Instrument Manufacturing Corporation will present promising developments in aviation radio communications, which may be of interest to Asian partners.

 

The Aero India-2015 exhibition will be held from February 18-22. During this time, planned meetings will take place with representatives from the Indian Air Force and aircraft manufactures from the corporation Hindustan Aeronautics Limited (HAL). The sides will discuss the possibility of upgrading the communication equipment of the Su-30MKI Indian fighter jets and also outfitting Russian-Indian aircraft such as the FGFA fighter jet and the MTA transport aircraft with communication equipment.

 

“Our Asian partners immediately expressed interest in several models of Russian technology,” said Sergey Skokov, Deputy CEO of UIMC. “First of all, we have one of our latest developments for export, the S-112 aviation communication system, which provides a new level of data transmission efficiency. In addition, we are presenting in India the NKVS-27 system for multi-voice communication and information exchange between command posts and tactical aircraft.”

 

Since 2006, Polyot Research & Production Company, a subsidiary of UIMC, has manufactured the NKVS-27 system for foreign customers with Russian planes in the inventory. India may also be interested in acquiring the system for communication between aircraft command points and the Su-30MKI fighter jets, the Ka-31 helicopters, and the FGFA and MTA airplanes.

 

During the Aero India-2015 exhibition, the corporation will also present the on-board S-404 communication system developed by Polyot Research & Production Company, which features an integrated antenna system designed for the Ka-62 helicopter and other types of civilian aircraft. In comparison with similar products, the system has improved quality and range of communication. The system adheres to all international standards regarding radio communication equipment, including signal reception for selective calls. Its military modification provides anti-jamming protection and encryption of data and voice information on both the hardware and software levels.

 

The AT-E aviation information exchange terminal, also developed by ,  Polyot Research & Production Company will also be presented at the exhibition. This terminal solves problems related to communication, navigation, identification, and management of various branches of the armed forces, particularly in relation to aviation. The terminal utilizes information exchange network technology, and its characteristics correspond with all similar products (such as JTIDS/MIDS system terminals) utilized by the armies of both the USA and NATO.

 

The international aerospace exhibition Aero India has been held in Bangalore since 1996. Traditionally, it hosts leading representatives of the aerospace industry. In 2013, over 300 companies from 50 countries attended the exhibition.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:30
Dans les pays arabes des experts israéliens chassent des contrats de défense

 

07.02.2015 IsraelValley Desk | Défense

 

Selon letemps.ch "La loi israélienne interdit aux ressortissants de l’Etat hébreu de se rendre dans les pays avec lesquels il est en guerre. Elle prévoit également des peines pour ceux qui y mèneraient des tractations commerciales. Mais en Israël comme partout ailleurs au Proche-Orient, tout est négociable. Il suffit d’avoir les bonnes connexions pour obtenir l’accord de la commission ad hoc, du Shabak (la Sûreté générale), voire du gouvernement lorsque les contrats sont importants.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:30
Des chercheurs d'Israël préparent la fin des périscopes dans les sous-marins.

 

06.02.2015 israël Valley (LesEchos.fr)
 

Sortez le périscope ! » Cette phrase ne résonnera peut-être plus dans les futurs sous-marins grâce aux recherches d’une équipe de l’institut de technologie israélien Technion.

Les chercheurs sont partis de ce que tout plongeur a pu expérimenter : si l’on regarde l’extérieur quand on se trouve juste sous la surface, on peut voir relativement loin, en raison de la réfraction de la lumière passant de l’air à l’eau.

Le problème est la qualité de l’image, qui parvient très déformée à cause de la surface de l’eau, qui n’est jamais parfaitement plane. « La distorsion peut être considérablement réduite en estimant l’ondulation à la surface de l’eau à l’instant précis où l’image est prise », explique l’article scientifique publié par les chercheurs.

Cette solution, comparable à celle utilisée pour améliorer les images en astronomie, a permis de mettre au point un premier « périscope virtuel », composé d’un appareil photo et d’un calculateur permettant de corriger les images.

L’intérêt du système, appelé Stella Maris, est évidemment la discrétion en supprimant le risque de se faire repérer à cause du périscope. Dans l’avenir, les chercheurs espèrent même en développer une version nocturne.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:20
17 (Reserve) Squadron begin UK F-35 testing


10 févr. 2015 Royal Air Force

 

The arrival of the UK's first F35 Lighting II Stealth Fighter Aircraft at Edwards Air Force Base in the USA on the 13th Jan 2015. The Aircaft was flown in to Edward's by Wing Commander Jim Beck ,Officer Commanding for 17(R) TES Squadron.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 11:50
Pour une politique industrielle de défense européenne

 

10/02/2015 Par Noël Farnault, stagiaire de la promotion Maréchal Leclerc, Ecole de guerre – LaTribune.fr

 

Construire une Europe de l'industrie de la Défense est plus que jamais essentiel. Si les gouvernements ne le font pas, les industriels s'y résoudront, au risque de voir passer au second plan les enjeux stratégiques.

 

La croissance économique est proche de zéro en France mais également dans de nombreux pays européens. La plupart des économistes s'accordent à dire que les taux de croissance de 6 à 7 % connus avant les chocs pétroliers risquent de rester de simples souvenirs. Sans aller aussi loin, la France peine à atteindre une croissance à peine positive et les prévisions ne sont pas optimistes. Dans ce contexte économique morose, il convient d'analyser les impacts sur notre industrie de défense. Acteur essentiel de notre autonomie stratégique, notre industrie de défense, a permis la modernisation de nos armées. Dans des domaines aussi variés que la dissuasion, l'aviation de chasse jusqu'aux SNLE(1), nos industriels sont à la pointe de la technologie. Cependant, cet aboutissement est le fruit d'une vision stratégique qui a abouti grâce à des efforts économiques conséquents et réguliers, efforts peu compatibles de la situation économique prévisible à moyen terme.


Pourquoi concrétiser la défense européenne ?

Que l'on soit pro-européen ou non, il semble admis que l'Europe, en tant que puissance économique est une réussite. Au vue de sa relative jeunesse, les initiatives lancées à six ont permis d'établir à 28, en un temps record, une zone de libre échange suivant des normes et des règlements communs. Néanmoins, en terme de défense, force est de constater que l'Europe ne pèse pas sur la scène internationale. Certes elle s'est dotée d'une politique de gestion de crise aussi bien militaire que civile, cependant, elle n'a pas de moyens dédiés et fait appel aux états membres pour constituer les forces d'intervention. Cette absence de moyens prive l'UE d'une autonomie stratégique primordiale.

La crise ukrainienne en est la preuve indéniable, aux portes de l'Europe, la stratégie de l'UE ne repose que sur les sanctions économiques. Le manque de leadership de l'UE est prégnant, tout comme il l'était lors des opérations en Lybie ou au Mali.

 

Trois raisons principales

Trois raisons principales imposent de concrétiser la défense européenne. Dans un premier temps, le recentrage de la politique américaine vers le pacifique, avec une nette volonté de voir l'Europe assurer sa défense et sa sécurité. Les États-Unis ne souhaitent plus être l'unique gendarme du monde, à l'UE maintenant de prendre en compte les crises européennes et de reprendre sa place de « gendarme de l'Afrique ».
Dans ce contexte, la dégradation du contexte sécuritaire du bassin sud méditerranéen, s'impose aux pays de l'UE. Elle met clairement en évidence les lacunes capacitaires et institutionnelles de l'UE, et souligne la nécessité de se doter d'une stratégie et de moyens dédiés.
Enfin, dans un contexte de crise économique, la baisse des budgets de défense de l'ensemble des pays de l'UE est notable et impose aux industriels de la défense, de se tourner vers l'exportation.


Les enjeux du développement d'une industrie de défense européenne

Les conflits en Libye mais également au Mali ou en Irak mettent en évidence les lacunes capacitaires de l'UE. Elles sont nombreuses, nombre insuffisant d'avions ravitailleurs, absence de moyens SEAD(2), manque de drone, capacités ISR3insuffisantes, faible protection anti-missile...L'UE est incapable d'intervenir seule sans l'aide de l'OTAN ou des Etats Unis.
Il est illusoire pour un état d'acquérir et maintenir seul l'ensemble de ces capacités.

L'unique solution repose sur un effort financier concerté, une politique de recherche et de développement commune, et la volonté politique de développer des programmes industriels communs. Excepté les Etats-Unis, aucun pays ne dispose de l'ensemble des capacités nécessaires pour mener un conflit d'envergure. L'établissement d'un outil de défense européen est le gage d'une autonomie stratégique militaire qui permettrait à l'UE d'assumer ses responsabilités sur la scène internationale.

 

La survie d'un secteur industriel essentiel

Au delà des enjeux capacitaires et géopolitiques, il en va de la survie d'un secteur industriel essentiel. Comment croire que la France pourra seule construire le successeur du Rafale tout en améliorant son arsenal nucléaire et construire un successeur au « Charles De Gaulle »... Les programmes modernes, à l'image du programme F-35, atteignent fréquemment des coûts prohibitifs et respectent rarement les délais. Les risques sont nombreux, aussi bien financiers que technologiques. Dans un contexte économique morose, il semble compliqué pour un État seul d'assumer ces risques. Face à la domination de l'industrie américaine, combinée à la concurrence des pays émergents, ce sont des secteurs entiers de l'industrie de défense qui pourraient disparaître.

 

Conduire des programmes internationaux

Cependant, ceci n'est pas une fatalité. L'établissement d'une politique industrielle de défense n'est certes pas une tâche aisée mais doit être réalisable. Conduire des programmes internationaux est bien plus compliqué, mais la réussite de l'A400 M ou du NH90 démontre que nous pouvons les mener à terme avec succès. L'UE s'est dotée d'organismes pour mener les programmes européens (OCCAr (4)) et d'agences afin de faciliter les échanges et le partage de données, l'Agence Européenne de Défense(5) est devenue une réelle plateforme d'échange, de réflexion et de génération de projets.

 

Un marché européen gigantesque

 Les processus et les structures se mettent en place mais il manque une réelle volonté politique se traduisant par des actes fondateurs. A quand un porte avion européen, un avion de chasse européen, un char européen, un drone européen, une dissuasion européenne... Le marché est gigantesque, 28 pays, 3000 avions de chasse, 1500 avions de transport, 6500 chars et plus de 1,5 million de combattants à équiper. De plus, même dans cette période économique de crise, il reste de l'argent. Les pays européens ont investi 8 milliards d'euros dans le développement du programme F-35, soit 75% du coût total du développement du Rafale.

Les initiatives se développent, la signature par les ministres de la défense anglais et français d'un contrat sur le système aérien de combat du futur est encourageant, mais ne faut-il pas aller au-delà des alliances bilatérales ?

Avons-nous seulement le choix? Si les états de l'UE n'établissent pas une politique industrielle commune de défense, les industriels le feront. Le risque est alors de voir les enjeux stratégiques des États passer après les seuls enjeux économiques et de voir se creuser les lacunes capacitaires européennes. La crise ukrainienne doit faire évoluer notre approche des conflits sur le continent européen. Au vue de cette crise, la construction d'une Europe de la défense s'impose comme une évidence, mais sans politique industrielle européenne de défense, aucune autonomie stratégique ne sera vraiment acquise.

 

1 Sous-marin Nucléaire Lanceur d'Engins
2 Suppression of Enemy Air Defenses
3 Intelligence, Surveillance, and Reconnaissance
4 Organisation Conjointe de Coopération en matière d'Armement
5 Agence Européenne de Défense

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:50
A Dutch Patriot system in Adana, Turkey - photo Defensie-NL

A Dutch Patriot system in Adana, Turkey - photo Defensie-NL

 

04-02-2015 Defensie.nl

 

After exactly 2 years, the Dutch Patriot mission in Turkey has come to an end. This afternoon, the Dutch mission's tasks were officially transferred to fellow NATO member Spain during a ceremony at Incirlik air base. The ceremony was attended by the Commander of the Royal Netherlands Army, Lieutenant General Mart de Kruif.

 

The systems deployed by the Defence organisation to help protect the Turkish city of Adana from possible air attacks from Syria had to be brought back to the Netherlands for a number of reasons. The continuous deployment of the systems means that major maintenance is now required, which cannot be carried out in the field. At the same time, the personnel of Defence Ground-based Air Defence Command need to be rested after their prolonged and demanding period of deployment in Turkey.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:50
Counter-IED training photo EDA

Counter-IED training photo EDA

 

Brussels - 06 February, 2015 European Defence Agency

 

Homemade bombs are threats that are not going to go away, and ever closer civil-military cooperation is needed to neutralise them, as EDA Capability, Armament and Technology Director Pete Round explains in this opinion piece originally published by Security Europe.

 

Improvised explosive devices remain the single largest killer of coalition soldiers in the war in Afghanistan – and a favoured weapon of Europe’s home-grown terrorists as well. This has put the devices at the forefront of public debate, with the acronym ‘IED’ now used and widely understood well beyond just military circles.

However, even if they have gained a lot of public attention in the last few years, IEDs are nothing new. With their low cost and ability to cause significant damage they have been the weapon of choice for insurgents fighting technologically superior forces for decades.

 

Biggest threat

With this asymmetric warfare likely to remain the norm, IEDs will continue to be the biggest single threat to our soldiers on the ground – as well as being a growing threat to civilian populations. It is vital that the experience and knowledge gained in fighting IEDs in Afghanistan is not lost. Moreover, we need to ensure the best possible collaboration between military and civilian law enforcement entities.

The European Defence Agency (EDA) has played an important role in ensuring that skills and knowledge in tackling IEDs are maintained. One important element of its counter-IED work is technical exploitation. This refers to the recording and analysing of information related to events, scenes, technical components and the materials used in an IED attack.

The objective of counter-IED exploitation is to gather the technical and tactical data about the attack whilst at the same time identifying the IED “supply chain” in order to gather intelligence about those involved in IED production and use. Exploitation allows bomb disposal experts to better understand the threat they are dealing with, helping them to predict future activity and allowing them to attack the network involved in producing the devices. A number of the EU’s civil security research projects financed by the European Commission aim for similar goals, for example.

Counter-IED exploitation was the rationale behind the 2011-2014 deployment of a multi-national theatre exploitation laboratory in Afghanistan, where it helped disrupt networks making and using IEDs. In parallel to that effort, a new programme, called the “Joint Deployable Exploitation and Analysis Laboratory” (JDEAL) was begun in May 2013. Under Dutch lead, its aim was to establish a permanent IED exploitation training facility in the Netherlands, staffed by a permanent multinational team. Under the project, a further two deployable laboratories could be procured for use in future operations.

 

Pooling and sharing

Initiatives such as JDEAL aim to ensure that the knowledge gained at a considerable price in wartime is not lost to other defence actors, but also made available to the bomb disposal community as a whole, whether military or civil. Indeed, IEDs are not only a threat to our soldiers overseas: for decades, they have also been used against civilians in Europe often with lethal results. They will continue as the weapon of choice for individuals planning terror attacks against Europe’s homeland.

In order to ensure an efficient “spillover” of know-how between these two interconnected worlds, dedicated events have recently been jointly organised by the EDA and Europol. These have brought together experts from as many as 16 different European countries.

The overarching idea is really quite simple: participants take part in realistic training scenarios that involve homemade explosives based on situations experienced in the real world. By doing so, they share best practices and improve their skills through multinational and civil-military cooperation. Even the United States has showed interest in the initiative by sending experts from the FBI and US Department of Justice.

 

Winning the IED war

This combined approach ought to be extended to the whole spectrum of C-IED activities – and not just for the disposal of homemade explosives. Other critical skills, such as exploitation techniques currently tackled via the JDEAL project, are needed to win the IED war.

If we want to effectively predict and prevent further IED-related incidents on the battlefield or the homeland – and develop the means to safely neutralise them in a variety of conditions – then we need to push this civil-military cooperation as far as we can. The lives of European soldiers and citizens might very well depend on it.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:50
UK’s First A400M Aircraft Named “City of Bristol”

 

09 February 2015 Royal Air Force

 

The UK’s first A400M Atlas has been named “City of Bristol” by the Royal Air Force in a rare honour to highlight the important role industry in the city has played in the delivery of the aircraft.

 

The wings of the next-generation military transporter plane were designed and manufactured at the Airbus factory in Filton, Bristol, with a number of other businesses in the city, including Rolls-Royce, GKN Aerospace, and Atkins, demonstrating a range of high quality aerospace skills which support the A400M programme.

A total of 22 A400M Atlas aircraft have been ordered by the Ministry of Defence’s procurement arm, Defence, Equipment and Support (DE&S), which is also based in the city at Abbey Wood.

The naming of the aircraft is a special privilege for Bristol, since it is unusual for the RAF to name an individual aircraft in this way.

Speaking at a ceremony at the Airbus site to mark the event, Defence Minister Philip Dunne said:

“The A400M programme has created or secured work for around 900 people at companies based here in Bristol and is providing skilled jobs in manufacturing, engineering and supply chain roles. Many of these jobs require training to acquire specialist new skills needed to help keep the UK aerospace sector at the forefront of this high technology industry.

“The MOD is playing its part in contributing to our long-term economic plan and this A400M programme will become an important contributor to the defence supply chain, here in Bristol, for years to come”

To mark the honour, the “City of Bristol” A400M Atlas recently completed a fly-past of the Clifton Suspension Bridge which also served as a reminder of the engineering history of the city.

Chief of Materiel Air, Air Marshal Simon Bollom said:

“The naming of the Royal Air Force’s first A400M aircraft as City of Bristol reflects a continuation of historical ties between Bristol and the Royal Air Force. Bristol is at the heart of the UK aerospace community which has progressed through time and industry from the Bristol built engines like Jupiter - the most successful aero engine of the 1920s - through to the famous jets such as Concorde.

“This tradition continues with state of the art work being carried out at Airbus’s Filton site on wings for the A400M, supported by complex work packages from GKN, Rolls-Royce and Atkins and this rare naming honour is recognition for the long and entrenched affiliation between the City of Bristol and British aviation.“

Manufactured by Airbus Defence & Space the A400M Atlas will replace the existing fleet of C-130 Hercules and represents major advances on its predecessor, with it capable of flying considerably faster, twice as far and able to carry almost twice as much cargo.

UK’s First A400M Aircraft Named “City of Bristol”
UK’s First A400M Aircraft Named “City of Bristol”
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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:50
Sweden Awards Sogitec Industries a Contract for NH90 Training Services

Sogitec Industries has been awarded a contract for training Sweden NH90 crew at the French Army NH90 Joint Training Center (Centre de formation interarmées, CFIA) in Le Cannet-Des-Maures
 

Sogitec, February 09, 2015 - Sogitec Industries

 

Sogitec Industries has been awarded by Sweden’s Defence Materiel Administration (Försvarets materielverk, FMV) a contract for the training of Swedish Air Force (AF) and FMV T&E (Test and Evaluation) NH90 crews.

Training will be delivered to Swedish AF and FMV T&E personnel and will take place at the French Army Aviation Academy’s NH90 Joint Training Center (Centre de formation interarmées, CFIA) in Le Cannet-Des-Maures, south-eastern France.

CFIA is equipped with a Full Flight Simulator (FFS) and a Multi-Role Training Device (MRTD). The MRTD is a fixed-base full mission simulator (FMS) with all FMS tactical, flight and procedure training capabilities.

The agreement is valid until the end of 2021. After France and Finland, Sweden is SOGITEC’s NH90 Training Media’s third customer. Spanish and Belgian Forces also use CFIA facilities.

SOGITEC INDUSTRIES is in charge of the development, the production, and the delivery of seven NH90 training devices, in both TTH and NFH versions, for the French Army, the French Navy and the Finnish Army Aviation.

About Sogitec Industries ( www.sogitec.com ) Sogitec Industries is a leading company in the market of support products and services for Aerospace and Defense systems. Sogitec offers a comprehensive range of instruction and training solutions for military and civil aerospace needs, from full training systems to simulation subsystems. The company also operates in major technical publications and documentary systems programs. Sogitec employs over 400 personnel and delivered revenue of 69 million euros in 2013. The company is headquartered in Suresnes (Paris). Two other main facilities are located in Bruz (Rennes, Britanny) and Mérignac (Bordeaux).Sogitec Industries is a subsidiary of aircraft manufacturer Dassault Aviation.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:50
photo MinDefFR

photo MinDefFR

 

05.02.2015 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale

 

Les ministres de la Défense de l'OTAN, réunis ce jeudi [5 fev.] après-midi à Bruxelles, ont annoncé en fin d'après-midi le renforcement, pas seulement symbolique, de la défense de l'Alliance à l'est. Une nouvelle force " fer de lance " de 5 000 hommes va voir le jour en 2016, ainsi que six " centres de commandement ". Suffisant pour contenir et impressionner l'ours russe, considéré comme agresseur en Ukraine ?

 

" C'est une réponse aux actions agressives de la Russie de la Russie qui a violé la loi internationale et annexé la Crimée ", a résumé le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, avant même la réunion des ministres. Ce renforcement remonte au sommet de septembre au Pays-de-Galles et voit son prolongement logique face au défi russe.

La nouvelle force " fer de lance " (spearhead) comptera autour de 5 000 hommes au sein de l'alerte NRF (Nato Response Force) qui va passer de 13 000 à 30 000 soldats. Sous appellation contrôlée OTAN, elle sera nommée VJTF (Very High Readiness Joint Task Force), soit en bon français Force interarmées à très haut niveau de préparation (et d'exécution).

Elle sera capable de se déployer sur très court préavis (une critique de la NRF actuelle), " en particulier à la périphérie du territoire des pays de l'OTAN ", précise-t-on sur le site Internet otanien.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:50
Factsheet on EU Intelligence Analyses Center (INTCEN)


5/2/2015 Ref: EU15-064EN
 

Summary: 5 February 2015, Brussels - The EU Intelligence Analysis Centre (EU INTCEN) is the exclusive civilian intelligence function of the European Union, providing indepth analysis for EU decision makers. Its analytical products are based on intelligence from the EU Member States' intelligence and security services.

 

EU INTCEN's mission is to provide intelligence analyses, early warning and situational awareness to the High Representative of the European Union for Foreign Affairs and Security Policy, Ms Federica Mogherini and to the European External Action Service (EEAS).

The Centre does this by monitoring and assessing international events, focusing particularly on sensitive geographical areas, terrorism and the proliferation of weapons of mass destruction and other global threats. EU INTCEN also offers its services to the various EU decision making bodies in the fields of the Common Foreign and Security Policy (CFSP), the Common Security and Defence Policy (CSDP) and counterterrorism (CT), as well as to the Member States. EU INTCEN is not an operational agency and does not have any collection capability. The operational level of intelligence is the member states’ responsibility. EU INTCEN only deals with strategic analysis.

 

History

The creation of the EU INTCEN - or the EU Situation Centre (EU SITCEN) as it was called until 2012 - is intimately linked to the establishment of the European Security and Defence Policy (ESDP) and the creation of the post of High Representative in 1999. The development of the ESDP crisis management capabilities, and deployment of both civilian and military missions, made it clear that a broader intelligence analysis structure was needed. The events of 11 September 2001 and the increasing threats of global terrorism also emphasised the need of timely and accurate intelligence analysis to support EU policy making.

In 2002, EU SITCEN was established in the Council General Secretariat, directly attached to the office of the High Representative, Dr Javier Solana. The same year, staff from Member States' intelligence services were seconded to EU SITCEN. In 2005, EU SITCEN was reinforced by the arrival of a team of counter-terrorist experts seconded from Member States’ security services. This enabled EU SITCEN to provide the Council with strategic terrorism threat assessments based on intelligence from national services.

In 2007, the EU SITCEN reinforced its collaboration with the EU Military Staff (EUMS) Intelligence Directorate by concluding a functional arrangement, the so-called Single Intelligence Analysis Capacity (SIAC). All intelligence assessments issued to Member States are joint products prepared under SIAC. With the entry into force of the Lisbon Treaty on 1 December 2009, EU SITCEN came under the authority of the High Representative of the European Union for Foreign Affairs and Security Policy/Vice-President of the Commission. On 1 January 2011, the EU SITCEN was transferred to the European External Action Service (EEAS). Following organisational changes in the EEAS in March 2012, the EU SITCEN was renamed into EU Intelligence Analysis Centre (EU INTCEN).

 

Main functions and tasks

  •  Provide exclusive information that is not available overtly or provided elsewhere to the High Representative/Vice President and the PSC, based on contributions from Member States' intelligence and security services;
  •  Provide assessments and briefings and a range of products based on intelligence and open sources to the High Representative/Vice President and to the EEAS, to the various EU decision making bodies in the fields of CSFP/CSDP and CT, as well as to the Member States;
  •  Act as a single entry point in the EU for classified information coming from Member States' civilian intelligence and security services;
  •  Support and assist the President of the European Council and the President of the European Commission in the exercise of their respective functions in the area of external relations.

 

Sources, products and services

EU INTCEN's analytical products are based on information provided by Member States’ security and intelligence services, open sources (media, websites, blogs etc.), diplomatic reporting, consular warden networks, international organisations, NGOs, CSDP missions and operations, EU Satellite Centre, visits and field trips.

EU INTCEN offers its customers the following products:

  • Intelligence assessments: Long-term strategic papers, mainly based on intelligence.
  • Intelligence reports: Follow-up of a crisis or an event, or a thematic paper focusing on a specific topic of current interest.
  • Intelligence summaries: Focusing on current important events with a short intelligence based analysis.
  • Threat assessments: Focusing on risks for EU personnel in a given country.

In addition to these products, EU INTCEN gives ad-hoc briefings, e.g. to the HR/VP, EU Special Representatives, various Council bodies and the European Parliament.

 

Structure

The EU INTCEN is a Directorate of the EEAS, reporting directly to the High Representative. It is composed of two Divisions: The Analysis Division and the General and External Relations Division.

 

Staff

The majority of EU INTCEN staff are EU officials and temporary agents. Furthermore a number of national experts from the security and intelligence services of the EU Member States are seconded to EU INTCEN.

 

Budget

The EU INTCEN does not have its own budget. All expenditure is paid from the EEAS budget. The needs for staff and budget are assessed in the same way and through the same procedures as for other EEAS departments. The EEAS budget is broken down and managed for the headquarters as a whole by nature of expenditure (e.g. staff, buildings, information and communication technologies) and not by department.

 

Legal basis

The EU INTCEN (EU Intelligence Analysis Centre) is the successor of the EU Situation Centre (EU SITCEN), which is mentioned in Article 4, paragraph 3, sub (a), third indent of the Council Decision (2010/427/EU) of 26 July 2010 on establishing the organisation and functioning of the European External Action Service. The reference to the EU SITCEN in the Council Decision serves as legal basis for EU INTCEN, which took over the intelligence and analytical tasks of EU SITCEN.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:45
Guinée : le CTS reçoit l’équipe interministérielle chargée de la lutte contre Ebola

 

09/02/2015 Sources : EMA

 

Samedi 7 février 2015, l’équipe interministérielle de la Task force Ebola était en visite au centre de traitement des soignants de Conakry mis en œuvre par les armées françaises. L’occasion de découvrir l’expertise du service de santé des armées dans la gestion des crises sanitaires.

 

Mme Fages, ambassadrice et le Pr Delfraissy coordonnateur national, accompagnés par Monsieur l’ambassadeur de France, ont été accueillis par le lieutenant-colonel Lion, commandant le détachement. Ils ont visité le poste de commandement médical qui organise et supervise les équipes qui entrent en zone rouge, le laboratoire P3 qui réalise les bilans sanguins dont le test Ebola, les sas d’habillage et de déshabillage et une tente d’hospitalisation.

 

Mme Fages a particulièrement apprécié l’offre de soins spécifique du CTS avec ses chambres individuelles à usage unique adaptées à la culture et à la religion du patient. « C’est un travail remarquable que d’avoir déployé un outil aussi efficace et d’une telle qualité » a-t-elle déclaré.

 

Deux soignants guinéens contaminés par Ebola sont actuellement hospitalisés en zone rouge depuis sept jours. Le CTS a spécialement été conçu pour prendre en charge tous ceux qui sont en première ligne dans la lutte contre l’épidémie. 180 soignants ont été contaminés, plus de 100 sont décédés sans autre alternative que d’être mélangés à leur propres malades. « Ils peuvent désormais compter sur l‘expertise des militaires pour être bien soignés » a conclu Mme FAGES.

 

Le CTS a été construit en un  mois sur la base aérienne principale de Conakry. 120 militaires français y sont déployés dont 70  soignants des hôpitaux militaires.

 

Depuis cet été, les armées prennent pleinement part à l’action gouvernementale de lutte contre le virus Ebola. Cette participation a d’abord consisté à mettre à disposition des capacités d’évacuation sanitaire et d’hospitalisation de patients contagieux au sein des hôpitaux militaires français, à participer à la viabilisation d’une piste sommaire en Guinée et à participer aux différentes structures du plan interministériel Ebola. Les armées assurent le fonctionnement d’un centre de traitement des soignants (CTS) destiné à prendre en charge les soignants guinéens et ceux de toute autre nationalité amenés à œuvrer dans la lutte contre le virus Ebola dans le pays.

Guinée : le CTS reçoit l’équipe interministérielle chargée de la lutte contre EbolaGuinée : le CTS reçoit l’équipe interministérielle chargée de la lutte contre Ebola
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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:45
Contre-insurrection : étude n°36 de l'IRSEM et de HotFoot à LightFoot

 

09.02.2015 par Laurent Touchard - CONOPS

La lecture de l'étude numéro 36 de l'IRSEM, La stratégie américaine en Afrique, sous la direction de Maya Kandel, me donne l'occasion de revenir sur le concept de « l'empreinte légère » particulièrement bien présenté à l'aulne de l'Afrique via l'étude mentionnée. Si l'Afrique constitue bien un laboratoire de la smart power  qui s'appuie sur le concept de l'empreinte légère, les éléments constitutifs dudit concept existent depuis des décennies. L'innovation consiste à les avoir assemblés et structurés comme ils ne l'avaient jamais été auparavant1. En l'occurrence, l'adage « faire du neuf avec du vieux » décrit très bien la démarche américaine.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:45
FAZSOI : Hommage aux anciens combattants à Toamasina

 

09/02/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le patrouilleur austral Albatros a profité d’une escale dans le port de Toamasina à Madagascar, du 15 au 19 janvier 2015, pour rendre hommage aux anciens combattants morts pour la France.

 

Lors de cette escale, l’équipage de l’Albatros a participé à une cérémonie en hommage aux anciens combattants locaux morts pour la France, le 16 janvier, au cimetière de Toamasina. Cette cérémonie était coprésidée par le commandant de l’Albatros et le consul honoraire de France. Les derniers anciens combattants malgaches à Tamatave étaient présents, ainsi que le consul honoraire de Grande-Bretagne, le proviseur du lycée français de Toamasina, le directeur de l’alliance française

 

Une gerbe a été déposée, au nom des Forces Armées dans la Zone Sud de l’Océan Indien (FAZSOI), sur la stèle érigée en mémoire des combattants malgaches morts pour la France au cours des différents conflits depuis 1800.

 

La rencontre s’est achevée par des échanges chaleureux entre les marins de l’Albatroset les anciens combattants, dont un âgé de 103 ans qui a participé à la libération de la France lors de la Deuxième Guerre Mondiale, émus par l’hommage rendu à leurs anciens camarades.

 

Les FAZSOI garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du théâtre « océan Indien » pour lutter contre de nouvelles menaces comme la piraterie ou l’immigration illégale, assurer la surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) associées à l’ensemble des îles de la zone de responsabilité et conserver une capacité régionale d’intervention rapide.

FAZSOI : Hommage aux anciens combattants à ToamasinaFAZSOI : Hommage aux anciens combattants à Toamasina
FAZSOI : Hommage aux anciens combattants à Toamasina
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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:35
Défense : le Vietnam participe à une réunion de l'ASEAN

 

09/02/2015 Vietnam +

 

Une haute délégation de l'Armée populaire du Vietnam conduite par son chef d'état major général, le général de corps d'armée Do Ba Ty, participe à la 12e réunion informelle des commandants en chef des forces armées de l'ASEAN (ACDFIM-12) qui a lieu du 9 au 11 février à Kuala Lumpur, en Malaisie.

 

Lors de ce sommet, le Vietnam continue d'affirmer son rôle et son prestige dans la région et dans le monde, d'appliquer la politique extérieure de multilatéralisation et de diversification des relations internationales, ainsi que la préconisation du Parti et de l'Etat en matière d'intégration internationale active et avec responsabilité.

 

La participation de la délégation vietnamienne témoigne du souhait de l'Armée populaire du Vietnam (APV) de promouvoir l'amitié avec les forces armées des autres pays membres de l'ASEAN, pour garantir la paix, la stabilité et le développement de la région, s'orientant vers la création de la Communauté de l'ASEAN en 2015. L'occasion également d'exprimer le soutien de l'APV pour le pays hôte, et de renforcer davantage les relations Vietnam-Malaisie. -VNA

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:35
Kabul Cabs – The Chinook Force In Afghanistan

Photo Cpl Andrew Morris - RAF

 

06 February 2015 Flt Lt Henderson- RAF

 

Royal Air Force Chinooks are continuing to make a significant contribution towards Afghanistan’s future security and stability following the end of the UK combat mission in the country on 31st December 2014.

 

Three Chinooks helicopters from RAF Odiham in Hampshire are currently deployed to assist the servicemen and women remaining in Afghanistan supporting the Afghan government and Afghan National Security Forces (ANSF) in non-combat roles. The focus of the UK’s efforts in the country has evolved from leading combat operations to training, advising and assisting the ANSF, this includes leading the training at the Afghan National Army Officers Academy (ANAOA).

 

In November 2014, three of the eight heavy lift support helicopters previously assigned to operations in Helmand Province in southern Afghanistan relocated to Kabul in support of the NATO-led mission, Operation Resolute Support. Sqn Ldr Hannah Brown, Officer Commanding Op TORAL Aviation Detachment said,

 

“The British mission in Afghanistan, known as Operation TORAL, is to support the institutional development of the Afghan government and the strengthening of the Afghan Security Forces. For us [the Chinook Force] this involves flying diplomats, UK and coalition military and freight around the capital.”

 

“The primary difference we’re making is that we’re keeping people off the roads. By far the highest threat at the moment in the capital are road side bombs and vehicle-borne improvised explosive devises. By using air we can transport people quickly and more safely to various locations in the city.”

 

“We’re not the only aviation assets here, there’s a large presence from the americans but we’re having a disproportionate affect with just our three aircraft. We’re a small detachment but we’re currently providing up to ten hours flying a day moving troops and equipment around Kabul.”

 

“I’m particularly proud that even within our first month here, we were already achieving a hundred percent of the flying task we were asked to do. That equates to roughly 2400 people being kept off the roads. When you consider how many convoys that haven’t had to happen, that is really rewarding.”

 

Later this spring the Chinook Force in Kabul will be replaced by three RAF Puma HC 2 helicopters from RAF Benson, they will remain in Afghanistan until the mission is complete.

 

Sqn Ldr Brown said, “There are people on the Chinook Force now who don’t remember a time when we haven’t been in Afghanistan. After 14 years it will be a big step change for us but also a chance for a reset back at RAF Odiham.”

 

“We will have the opportunity to start supporting other exercises and contingency operations as required and we will also be able to focus on training in other environments that we haven’t been able to concentrate on while our main effort has been flying in Afghanistan.”

 

Engineers from 1310 Flight, normally based at RAF Odiham get to work on a Chinnok while it sits on the pan at Kabul.

 

“The Chinook has become synonymous with Afghanistan, every time you see an image of troops in Helmand, chances are you will see an RAF Chinook in the background.”

 

“We’re extremely proud of the support we provided to operations in Afghanistan so it will be a sad day when we leave this country but I think we’re leaving it a better state than when we arrived and it’s a chance for the Chinook force to look ahead to new things.”

Kabul Cabs – The Chinook Force In AfghanistanKabul Cabs – The Chinook Force In Afghanistan
Kabul Cabs – The Chinook Force In Afghanistan
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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:35
K9 Thunder - photo Samsung Techwin

K9 Thunder - photo Samsung Techwin

 

SEJONG, 06 fév. (Yonhap)

 

Le ministère du Commerce, de l’Industrie et de l’Energie a donné au groupe Samsung le feu vert pour la vente de Samsung Techwin et Samsung Thales au groupe Hanwha, ouvrant la voie à un rachat avant la fin du premier semestre de cette année.

 

En novembre dernier, Hanwha, un conglomérat spécialisé à l’origine dans l’industrie de la défense, avait annoncé son intention de reprendre quatre filiales appartenant à Samsung, dont les deux fabriquant des moteurs d’avion et des radars.

 

La valeur globale du contrat, comprenant deux autres sociétés chimiques, Samsung General Chemicals et Samsung Total Petrochemicals, est estimée à 1.900 milliards de wons (1,74 milliard de dollars).

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:20
Flight Ready: Innovation Challenge


9 févr. 2015 NAVAIRSYSCOM

 

Ready, set, innovate! Naval Air Systems Command leadership challenges the youngest minds in the organization to find creative solutions to warfighter needs. Learn more about the first ever NAVAIR Innovation Challenge and meet the three NAWCAD teams selected to participate in this exciting competition.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:55
Atterrissage réussi pour Cats à l’aéroport de Brie-Champniers

Le patron de Cats, Laurent Blattner, a reçu le chef d’état-major de l’armée de l’air sénégalaise pour qui l’entreprise refait à neuf quatre avions-écoles. Photo Phil Messelet - charentelibre.fr

 

06 février par François GOUBAULT - charentelibre.fr

 

La filiale d’Airbus, présente à la BA 709 de Cognac, vient de s’installer à Brie-Champniers. Elle y remet en état des avions, dont quatre Epsilon pour l’armée du Sénégal.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:55
photo Thomas Baronnet - PR / Elysée

photo Thomas Baronnet - PR / Elysée

 

09 Février 2015 valeursactuelles.com

 

COULISSES. Il y a un an, alors qu’il venait d’avoir 61 ans, le général Benoît Puga, chef d’état-major particulier du président de la République, a vu son mandat prolongé de manière exceptionnelle, retardant ainsi une retraite qu’il se voyait prendre à la grande chancellerie de la Légion d’honneur.

Mais à l’été prochain, la question de son départ se posera de nouveau. Au sein de la “grande muette”, beaucoup voient le général Didier Castres, qui a déjà travaillé à l’Élysée, occuper ce poste, à défaut d’avoir pu devenir chef d’état-major de l’armée de terre. À moins qu’un marin ne revienne à l’Élysée. Dans ce cas, tout le processus de succession de l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la marine, promis pour la retraite dans quelques mois, se trouverait gelé.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:55
France: exportations de l’industrie de l’armement en hausse de 17%

 

10-02-2015 Par RFI

 

En France, la direction générale de l'armement (DGA) vient de lever un coin du voile sur les résultats 2014. Les chiffres officiels ne seront donnés qu’en fin d’année, mais déjà la DGA annonce des exportations d'armes de l'ordre de 8 milliards d'euros l'an dernier. Des exportations qui sont en hausse de 17 %. Avec ce montant, la France devrait se maintenir au quatrième rang mondial des exportateurs d’armes, derrière les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Russie, au coude à coude avec Israël et l’Allemagne.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:55
La réserve du RICM en mission Vigipirate


09/02/2015  SCH Beltran - Armée de Terre

 

300, c’est le nombre de réservistes qui prennent part quotidiennement à la mission Sentinelle dans le cadre du renforcement du plan Vigipirate, aux côtés de leurs camarades d’active et en complément des forces de police et de gendarmerie.

Les réservistes du régiment d’infanterie chars de marine (RICM) de Poitiers interviennent aux abords des lieux publics et contribuent activement au retour du sentiment de sécurité des français. Après quelques jours de remise à niveau dans leur unité, ces volontaires sont déployés sur le terrain et mettent en œuvre efficacement les savoir-faire du combattant.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:55
Armement : les sept "bug" de l'exportation française

Le Rafale pour le moment jamais exporté reste le fer de lance de la politique d'exportation de la France - photo Dassault Aviation

 

06/02/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Bien que les exportations d'armes françaises soient en hausse ces deux dernières années, le système français montre toutefois des limites, dont certaines sont facilement "gérables".


 

L'exportation de systèmes d'armes est un atout majeur pour la France, notamment pour sa diplomatie et les relations bilatérales qui en découlent. Un contrat majeur tel que Prosub (sous-marins) signé au Brésil en 2009 va verrouiller un grand pays émergent pendant 30 ans dans ce qu'il a de plus stratégique et intime : sa défense. Ce sera le cas aussi si la France signe enfin le contrat Rafale en Inde, un autre grand pays émergent.

En 2014, les exportations françaises sont également importantes pour l'emploi et le maintien des compétences dans une filière dite de souveraineté nationale et également pour l'exécution de l'actuelle loi de programmation militaire. Le ministère de la Défense a d'ailleurs programmé une première vente du Rafale à l'export pour réduire les livraisons de l'avion de combat à l'armée de l'air et donc tenir l'enveloppe financière de la LPM. En attendant la vente du Rafale à l'Égypte ou au Qatar, les exportations devraient s'élever autour de 8 milliards d'euros, dont 4 milliards générés par l'Arabie Saoudite. Soit un un très bon millésime sur les dix dernières années (8,2 milliards en 2009).

 

Des points forts...

La France a les moyens de signer des contrats majeurs à l'image du Brésil. Car elle a un système d'exportation relativement efficace, très bien soutenu par l'actuel ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Oui, la France a des armements (des avions, des blindés, des navires de guerre, des missiles) qui intéressent les armées du monde entier. Oui, les industriels sont en règle général plutôt bien organisés pour gagner des contrats export (même si certains ont encore des marges de progrès). Oui, l'administration a fait beaucoup de progrès pour valider rapidement les demandes d'export des industriels. Oui les ambassadeurs aujourd'hui mouillent beaucoup plus leur chemise pour défendre les chances des industriels tricolores à l'exportation.

Enfin, Paris dispose d'un industriel clé dans la majorité des contrats d'armements internationaux que la France négocie, le missilier MBDA. Il est partie prenante dans toutes les campagnes majeures et fait souvent la différence grâce à ses produits performants développés pour les besoins de ses armées en partenariat avec la direction générale de l'armement (DGA). Si la Pologne hésite encore dans les sous-marins c'est parce que la France vend le missile balistique Scalp naval (frappe dans la profondeur). Si le Rafale a sa chance en Inde, c'est grâce au missile air-air Meteor et au Scalp aéroporté. Si la France a récemment exporté à Singapour, c'est grâce au système de défense aérien de MBDA l'Aster 30, etc, etc...En outre c'est un bel exemple d'une intégration européenne réussie avec préservation des intérêts clés français. Paris doit continuer à soutenir l'effort de recherche de MBDA en France, les résultats commerciaux du missilier en 2014 ayant été essentiellement réalisés grâce aux produits britanniques.

 

...mais sept "bug"

Un tableau idyllique peut-être. Il y a malheureusement un mais. Au-delà des points forts, il y a aussi certaines carences de ce système et de temps en temps une certaine cacophonie entre les différents intervenants dans des appels d'offre. Le cas le plus célèbre étant celui du Maroc où la DGA et l'industriel ont proposé deux prix différents pour vendre le Rafale. Le soutien du réseau diplomatique est très important pour les industriels et les succès à l'export. Les ambassades ont un rôle clé. Notamment pour les PME - sujet cher à Jean-Yves Le Drian - dans la remontée des informations. Des PME qui n'ont pas le réseau commercial des grands groupes. Les ambassades sont donc leurs yeux et leurs oreilles.

Mais chacun doit rester dans son rôle : politiques, diplomates et industriels. Ce n'est ni aux politiques ni aux diplomates de se transformer en négociateurs d'un contrat sur le plan technique et financier. On a même vu un secrétaire général de l'Elysée se transformer en VRP le week-end. Avec un succès plus que mitigé... Jean-Yves Le Drian l'a en revanche bien compris, en plaçant son action au niveau politique et géostratégique.

 

Le partage des informations est crucial

Pour gagner un contrat, il faut une équipe unie dont chacun des acteurs doit jouer sa partition, et uniquement sa partition. Car ce qui est vital, c'est le partage des informations. Dans certain cas, ce n'est malheureusement pas toujours le cas, comme l'expliquent encore aujourd'hui certains industriels. Ce qui est également vital, c'est la coordination entre les différentes missions étatiques et industrielles, voire des administrations qui peuvent jouer une partition en solo comme on l'a vu au Maroc.

Il faut absolument parler le même langage au client. Sinon, il va prendre un malin plaisir à jouer les uns contre les autres pour son seul profit. Et puis la France oublie souvent un acteur clé pour conclure des contrats, les banques. Il faut davantage les intégrer dans le processus des négociations. Car elles ont souvent une très bonne expertise pays, une connaissance fine des marchés, des interlocuteurs variés dans les pays clés qui apportent un éclairage essentiel à la compréhension des clients de la France.

 

Rivalités entre industriels

La France doit régler les rivalités et la concurrence féroce que peuvent se livrer les industriels français entre eux dans un appel d'offre. Souvent une attitude contre-productive. Trois exemples : passé, actuel et à venir. Premier cas, une guerre en coulisse brutale et incroyable que se sont livrés à partir de 2011 MBDA et Thales en Arabie Saoudite pour livrer un système de défense aérien. Résultat, aucun des deux groupes n'a vendu son système à ce jour à Ryad. La France a-t-elle perdu un contrat d'au moins de 2,5 milliards d'euros ? Personne n'est aujourd'hui capable de le dire.

Dans le domaine naval les chantiers DCNS et OCEA sont actuellement en guerre frontale pour livrer des patrouilleurs à l'Arabie Saoudite, qui a choisi la France comme pays vendeur et DCNS plus précisément. Ce n'est pas acceptable. Enfin dernier exemple, Thales Alenia Space, qui vient de développer de nouveaux produits à l'export, et Airbus Space Systems vont se livrer une guerre à outrance dans les satellites d'observation dans un avenir très, très proche.

Il faut absolument que l'État décide qui doit faire quoi, quel industriel a le plus de chance dans tel ou tel pays. Car au final c'est à l'État d'arbitrer. La commission interministérielle pour l'étude des exportations de matériels de guerre (CIEEMG) est faite pour arbitrer. Car l'intérêt de la France est bien de faire exporter. Mais l'État manque d'une boussole impartiale et objective. Peut-être faut-il évaluer dans chacune des offres la part France la plus importante dans le produit ou le contrat afin de privilégier les emplois, ou encore en souhaitant conserver un domaine d'expertise chez un industriel... Les autorités françaises doivent fonder leur décision sur des critères nationaux. L'Allemagne le fait. La France doit le faire. Et puis l'État français a une arme de dissuasion. C'est lui qui passe les commandes nationales.

 

Faiblesse de l'intelligence économique

L'une des carences les plus graves du système français, c'est la faiblesse de l'intelligence économique française. A l'exception du Quai d'Orsay, les industriels et le ministère de la Défense n'ont pas ou plus une véritable expertise des pays. Et pourtant c'est très souvent décisif dans un appel d'offre internationale : qui décide ? Qui fait quoi ? Connaît-on les circuits de décision en Inde, en Birmanie - un pays qui va très certainement s'ouvrir - ou au Qatar ? Sait-on vraiment qui décide en Inde aujourd'hui ? Où en est-on exactement dans le processus de décision du Rafale ? La France connaît-elle l'opposition birmane, qui sera peut-être un jour au pouvoir, et connait-on ses circuits de décision ? Sait-on qui décide au Qatar à l'exception de l'émir. Ce qui est éminemment plus complexe... Connaît-on la pensée émirienne en matière d'achat d'armes ? Le Japon sera-t-il un concurrent ou un partenaire ? etc, etc.... Ce sont des dossiers que la France doit absolument maîtriser.

Sans cette expertise pays qu'il faut bien évidemment sans cesse renouveler, les industriels avancent au mieux à tâtons, au pire en aveugle. Du coup, ils se tournent vers des consultants internationaux, qui travaillent pour la terre entière. Ce qui n'est pas forcément le mieux pour acquérir une expertise pays indépendante et non biaisée. Des industriels comme DCNS et MBDA ont l'intelligence de laisser sur le long terme des directeurs de zone capables d'identifier des inflexions dans la politique d'acquisition d'armement d'un pays. Ce qui compense les carences en matière d'expertise de l'État. Mais le Quai d'Orsay doit aujourd'hui partager son expertise pays et la mettre au service de la diplomatie économique préconisée par Laurent Fabius.

 

L'absence de coopération entre les services et les industriels

Autre manque crucial pour l'exportation française. Les industriels se plaignent régulièrement que les informations récupérées par la DRM (direction du renseignement militaire) de la DGSE ne leur parviennent rarement ou jamais. La France doit être d'ailleurs plus offensive. Elle ne doit pas hésiter à espionner ses concurrents. Nos "amis" le font sans vergogne. Notamment les États-Unis. De façon plus générale, le partage de l'information entre l'État et les industriels est primordiale pour comprendre et évaluer l'offre des concurrents et la contrer si nécessaire. Sans ces informations, les industriels français sont affaiblis. Il faut donc un climat de confiance entre l'État et les industriels pour que circule ces informations.

C'est aussi le cas du partage des informations entre les armées, notamment l'armée de terre, et les industriels au moment du retour d'expérience opérationnel. Il n'est pas rare que l'armée de terre puisse évaluer techniquement un missile ou une roquette d'un concurrent étranger pris sur un théâtre d'opération. Là aussi l'information doit circuler entre les industriels et les armées.

 

Ne pas négliger le facteur humain

Enfin, il est important de ne pas négliger le facteur humain, trop souvent occulté par les élites françaises sures d'elle, voire arrogantes. Il est pourtant très important. Même si cela ne fait pas gagner un contrat, le relationnel entre un acheteur et un vendeur peut être un facteur déterminant dans la conclusion d'une affaire.

Un exemple, s'il n'y avait pas eu ce "fit", cette complicité entre Jean-Yves le Drian et le prince héritier d'Abu Dhabi, Sheikh Mohammed bin Zayed, la France n'aurait jamais vendu deux satellites d'observation très sophistiqués aux Émirats Arabes Unis. Sans une relation privilégiée entre les deux hommes, les satellites seraient certainement en fabrication actuellement chez Lockheed Martin.

 

L'OTAN, un boulet pour l'export d'armements français?

Quelle est aujourd'hui la plus-value ou l'avantage diplomatique de l'entrée de la France dans l'OTAN en matière d'achats d'armement ? Le Qatar, les Émirats arabes unis ou d'autres pays ont-ils une plus-value en achetant à la France qui pouvait jouer avant son entrée dans l'OTAN une musique différente... Car la seule valeur ajoutée française qui demeure après l'intégration de la France dans l'OTAN est le transfert de technologie plus souple et des armements différenciés (Scalp, Meteor). Mais il peut être jugé sensible par les Américains...

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