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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 12:45
BSS : point de situation du 22 janvier 2015

 

22/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Cette semaine a été marquée par la poursuite des mouvements de relève au sein de la force Barkhane, ainsi que la poursuite des opérations dans l’ensemble de la zone d’action

 

Le 18 janvier 2015, le sous-groupement aéromobile (SGAM), stationné à Gao et armé par le 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) de Phalsbourg, a été relevé à Gao par le 3èmerégiment d’hélicoptères de combat d’Etain. Le 3 novembre dernier, le SGAM a accueilli deux hélicoptères Caïman, en remplacement de deux Puma. Il est constitué d’une quinzaine d’aéronefs, incluant treize hélicoptères et un Pilatus.

 

Le lendemain, le 3ème régiment du matériel (3ème RMAT) de Muret et le 515ème régiment du train (515ème RT) ont relevé le 516ème régiment du train et la quarantaine d’autres unités représentées dans les fonctions d’appui logistique de la force. Le colonel Vincent Buttolo, chef de corps du 3ème RMAT, succède ainsi au colonel Hervé Desmeulles à la tête du bataillon logistique (BATLOG) de la force Barkhane. Le BATLOG assure le soutien essentiel à la conduite des opérations, à savoir la maintenance des véhicules, les ravitaillements de la force en carburant, nourriture et logistique, le soutien du combattant, ou encore le soutien sanitaire de la force.

 

Sur le plan opérationnel, une reprise d’activités des groupes armés terroriste est observée depuis fin décembre au Mali sous la forme d’actions de harcèlement, cependant sans véritable coordination entre les attaques. Les opérations menées par la force Barkhane se poursuivent dans les deux fuseaux de la bande sahélo-saharienne.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

BSS : point de situation du 22 janvier 2015
BSS : point de situation du 22 janvier 2015
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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 12:40
La Russie construit de nouveaux avions ravitailleurs

Ilyushin Il-78 simulating aerial refueling with a Tu-95MS during the Victory Day Parade in Moscow on 9 May 2009 Photo Sergey Ashmarin

 

22.011.2015 Vassili Kachine - La Voix de la Russie

 

Le ministère de la Défense de Russie a conclu avec la Compagnie aéronautique unifiée russe (OAK) un contrat d'achat de deux premiers ravitailleurs construits sur la base de la version cargo de l'avion à large fuselage russe Iliouchine Il-96. Selon un expert du Centre d'analyse des stratégies et des technologies, cette décision suppose que le futur avion à large fuselage russo-chinois pourrait se décliner en versions militaires.

 

Le ravitailleur construit sur la base de l'Iliouchine Il-96 s'appellera Il-96-400TZ. Il doit être en état de ravitailler les avions en 65 tonnes de kérosène à une distance de 3 500 km de sa base. De cette façon ses capacités sont largement supérieures à celles d'Iliouchine Il-78 utilisé par les forces aériennes de Russie et, depuis peu, par l'armée de l'air chinoise.

 

L'Iliouchine Il-78 embarque 60-65 tonnes de carburant pour une distance de 1 000 km. A une distance de 2 500 km, le ravitaillement diminue jusqu'à 32-36 tonnes. Sa version modernisée est capable de ravitailler les avions à une plus grande distance allant jusqu'à 4 000 km, mais sa capacité de ravitaillement baisse également jusqu'à 32-36 tonnes.

 

Un ravitailleur plus puissant et lourd convient mieux pour assurer les activités de l'aviation embarquée. En plus, il peut être utilisé d'une manière efficace pour ravitailler des avions lourds tels que les bombardiers stratégiques et les avions volant à de grandes distances, plus particulièrement sur d'autres continents pour participer à des exercices conjoints.

 

La Russie a pratiquement cessé de construire les avions de ligne Il-96, mais elle construit sur leur base des avions spéciaux, plus particulièrement les avions de communication ou des postes de commandement volants. C'est l'unique avion de ligne à large fuselage construit en dehors des Etats-Unis et de l'Europe de l'Ouest.

 

En 2015, la Russie et la Chine entameront en commun l'avant-projet d'un avion de ligne à large fuselage. Selon le ministère russe de l'Industrie et du Commerce, l'avion conjoint pourrait décoller pour la première fois en 2021 ou en 2022 et son exploitation commerciale pourrait commencer vers 2025.

 

La Chine a récemment acheté à l'Ukraine un certain nombre (pas plus de trois) de ravitailleurs Il-78. En plus elle dispose de plusieurs bombariers H-6 transformés en ravitailleurs. Le développement des capacités de ravitaillement en vol est une priorité pour les forces aériennes chinoises. Les avions de types nouveaux sont dotés d'équipements appropriés et les unités aériennes d'élite organisent des entraînements avec plusieurs ravitaillements pendant un seul vol.

 

En attendant la Chine se propose d'utiliser en tant que ravitailleur son futur avion militaire de transport Y-20. Sa construction en série doit commencer beaucoup avant que celle de l'avion à large fuselage russo-chinois. La Chine a déjà organisé la production des dispositifs de ravitaillement qui copient le système russe UPAZ-1. Un certain nombre de ces ravitailleurs sera évidemment construit avant 2025.

 

Dans une perspective plus lointaine, la construction de ravitailleurs et de certains autres types d'avions spéciaux, notamment des avions de détection, sur la base de l'avion à large fuselage conjoint pourrait être raisonnable. L'avion de transport militaire n'est pas la plate-forme optimale pour un ravitailleur. Les avions de transport sont développés de la façon à faciliter les travaux de transbordement ou le parachutage et à accroître au maximum les performances de décollage et d'atterrissage pour transporter des frets sur les aérodromes avancés. Les ravitailleurs n'en ont pas besoin, c'est pouroquoi en Occident ils sont constuits le plus souvent sur la base des avions de ligne. Pour la Chine un ravitailleur plus lourd et puissant pourrait être particulièrement utile car cela étendra la zone d'action de l'aviation chinoise au-dessus de l'océan Pacifique.

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 12:20
F-35 Integrated Test Force at Edwards Air Force Base 2014 Highlights


22 janv. 2015  Lockheed Martin

 

The Integrated Test Force (ITF) at Edwards Air Force Base met several significant milestones in 2014, including reaching 1,000 flight hours for aircraft AF-2 and completing several weapons separations tests.

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 11:50
First Airbus A400M airlifter for Malaysia rolled out of paintshop

 

23.01.2015 Airbus DS

 

The first Airbus A400M new generation airlifter for the Royal Malaysian Air Force has now been painted in its new colours at the Airbus Defence and Space facility in Seville, Spain. In the coming days the aircraft, known as MSN22, will perform its first ground tests and flights before delivery. RMAF pilots, maintenance engineers and technicians are already undergoing instruction at the Airbus Defence and Space International Training Centre.

 

 

About Airbus Defence and Space
Airbus Defence and Space is a division of Airbus Group formed by combining the business activities of Cassidian, Astrium and Airbus Military. The new division is Europe’s number one defence and space enterprise, the second largest space business worldwide and among the top ten global defence enterprises. It employs some 38,000 employees generating revenues of approximately €14 billion per year.

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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 12:45
photo CRRFR

photo CRRFR

 

19.01.2015 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. – Défense Globale

 

Une nouvelle mission militaire européenne va être lancée en mars en République centrafricaine. Elle se nommera EUMAM RCA et constitue une mission de conseil militaire auprès de l'armée nationale. C'est le général de brigade Dominique Laugel, un " Lillois " de l'état-major du Corps de réaction rapide France, qui a été désigné pour commander cette mission, pour l'instant prévue pour durer un an.

 

L'union européenne a décidé ce lundi 19 janvier de lancer deux nouvelles missions militaires : une au Mali pour former la police nationale (EUCAP Sahel-Mali) et une en Centrafrique pour réformer et réorganiser les Forces armées centrafricaines (FACA). La nouvelle mission prendra la relève de la force européenne en Centrafrique (EUFOR RCA), qui contribue à assurer la sécurité dans la capitale, Bangui, et dont le mandat expire le 15 mars prochain.

 

Le général de brigade Dominique Laugel est depuis 2012 chef de la division Plans/Environnement au CRR-FR de Lille. Au cours de sa carrière, il a commandé le 110e RI de Donaueschingen et la 2e brigade blindée. Il a une longue expérience en OPEX (Liban, Bosnie, Kosovo, Afghanistan en tant que chef d'état-major du commandement de la région centrale de Kaboul, Côte d'Ivoire, Tchad).

 

L'état-major de la mission EUMAM RCA est situé à Bangui, en RCA. Il remplit à la fois les fonctions d'état-major d'opération et d'état-major de force.

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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 08:40
L'armée russe aurait envahi l'Est de l'Ukraine

 

21 janvier 2015 par JDD

 

Plus de 9.000 soldats russes seraient déployés dans l'Est de l'Ukraine, a annoncé mercredi le président ukrainien Petro Porochenko, en visite en Suisse.

 

Les combats s'intensifient dans l'Est de l'Ukraine. A tel point que le président du pays, en déplacement au Forum économique mondial à Davos (Suisse), a dû convoqué un point presse dans l'urgence mercredi. Plus de 9.000 soldats russes sont déployés dans les régions séparatistes, a accusé le chef d'Etat Petro Porochenko, qui a également évoqué "plus de 500 tanks, pièces d'artillerie lourde et véhicules de transport de troupes".

"Je promets qu'il y aura une situation claire et stable en Ukraine si la Russie applique ce point (des accords de paix de Minsk signés en septembre, Ndlr) : la fermeture de la frontière (russo-ukrainienne) et le retrait des troupes étrangères de mon territoire", a-t-il énoncé avant d'insister : "La solution (au conflit) est très simple : arrêter de fournir des armes, arrêter de fournir des munitions, retirer les troupes et fermer la frontière. C'est un plan de paix très simple.

 

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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 07:55
Les armées préservent 7500 postes

Suite aux attaques meurtrières à Paris, un déploiement de militaires sans précédent a été décidé sur le territoire national pour la protection de «sites sensibles»,

 

21/01/2015 Par Alain Barluet – LeFigaro.fr

 

Seuls 18.500 postes seront supprimés d'ici 2019, contre 26.000 prévus initialement. La limitation des réductions d'effectifs doit permettre de «retrouver un peu d'oxygène pour que les restructurations puissent être poursuivies plus sereinement», explique-t-on au ministère de la Défense.

 

Les propositions formulées par Jean-Yves Le Drian à la demande de François Hollande ont abouti à un véritable aggiornamento, annoncé mercredi par l'Élysée. Entre 2015 et 2019, 7500 postes seront préservés dans les armées, sur les 26.000 qui devaient être supprimés. Sur l'ensemble de la loi de programmation militaire (LPM) de 2014 à 2019, les coupes dans les effectifs portaient sur 34.000 postes. Dès cette année, la réduction se limitera à 6000 postes, contre 7500 postes initialement prévus.

Deux facteurs expliquent les décisions rendues publiques à l'issue du Conseil de défense qui s'est tenu autour du chef de l'État. À la suite des attaques meurtrières du 7 janvier et de la mobilisation populaire massive qui a suivi, le 11 janvier, François Hollande a demandé l'activation du «contrat protection» intérieur, prévu par la LPM et qui a été porté en 72 heures à son niveau maximal: 10.500 militaires, dans le cadre de Vigipirate, dont 8900 pour la protection de «sites sensibles», principalement les lieux de culte.

Un déploiement sans précédent sur le territoire national tandis que, par ailleurs, les contraintes liées aux engagements en opérations extérieures (9000 hommes, notamment au Sahel) pèsent lourdement. C'est le deuxième facteur, qui prévaut de plus longue date. Dans ces conditions, «les tensions étaient extrêmement fortes et les restructurations devenaient de plus en difficiles à mener», fait-on valoir dans l'entourage du ministre de la Défense.

La limitation des réductions d'effectifs doit permettre de «retrouver un peu d'oxygène pour que les restructurations puissent être poursuivies plus sereinement», dit-on à l'Hôtel de Brienne. Il s'agit aussi de garantir la mobilisation «à tout moment de 10.000 hommes pendant un mois» face aux diverses calamités et catastrophes survenant sur le front intérieur. L'accent sur le renseignement, domaine prioritaire, est réaffirmé avec 250 postes supplémentaires, dont 185 pour la DGSE.

Aucune limitation dans le temps n'a été annoncée concernant le déploiement intérieur actuel, qui sera maintenu «autant que nécessaire», assure-t-on. Toutefois, compte tenu des relèves et des permissions, un tel dispositif apparaît difficilement tenable sur la durée.

Conformément à la demande de François Hollande, un vaste travail d'actualisation de la LPM sera entrepris avant le mois de juin. Un chantier, vaste et accéléré, doit être lancé sur l'analyse des nouvelles menaces et des contrats qui en découlent. Cette réflexion aboutira à une véritable «feuille de route» garantissant à la fois les engagements en Opex et la mobilisation sur le théâtre national, insiste un proche de Jean-Yves Le Drian en concédant qu'il reste «de nombreuses questions auxquelles nous devons répondre».

L'imposant édifice de la LPM, fruit de mois d'efforts et déjà en équilibre plus que précaire, est en jeu. Car se pose d'emblée la question du financement de ce recul dans les limitations d'effectifs, dans un contexte budgétaire ultra tendu. Faute de certaines ressources, dites exceptionnelles (ventes immobilières de fréquences hertziennes), quelque 2,2 milliards d'euros sont toujours manquants au budget en 2015 (6 milliards sur la période la LPM). Des pistes innovantes sont explorées à travers les «sociétés de projet».

À ce jour, les décisions annoncées mercredi ne sont pas financées, même si le coût d'un moindre «dégraissage» en 2015 «peut être absorbé», assure-t-on. Il n'en va pas de même pour celui des années suivantes. Au total, il manque «plusieurs centaines de millions d'euros» qui nécessiteront des aménagements budgétaires. L'évaluation précise repose sur une étude des postes à «déflater», souligne-t-on à l'Hôtel de Brienne. Face à une montagne d'incertitudes, on s'en tient fermement au garde-fou de l'assurance présidentielle: la «sanctuarisation» du budget de la défense à 31,4 milliards.

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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 07:30
Après les attentats à Paris, la France s'interroge sur sa politique syrienne

 

21/01/2015 Par Isabelle Lasserre - LeFigaro.fr


Depuis les attentats de Paris, les responsables politiques ont surtout mené la contre-attaque au niveau national. Dans ses vœux au corps diplomatique, François Hollande n'a pas esquissé de révision de la stratégie française au Moyen-Orient. La France ne pourra cependant faire l'économie d'une telle réflexion, si elle veut éviter de nouvelles attaques contre son territoire. Car le djihadisme prend en partie ses racines dans le chaos qui déstabilise cette région. Pour Jean-Pierre Filiu, professeur à Sciences Po Paris et auteur de Je vous écris d'Alep, cela ne fait aucun doute: «Daech est au cœur des attentats de Paris, car les réseaux djihadistes qui les ont menés sont enkystés en Syrie.» Un spécialiste de la défense confirme: «Dans les affaires de djihadisme, presque toutes les filières de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) remontent à Daech.» La source du mal réside en partie au Moyen-Orient, où se trouvent les parrains des terroristes qui sèment la terreur en Europe. D'abord le régime de Bachar el-Assad, puis les djihadistes de Daech qui, depuis qu'ils ont consolidé leur assise territoriale au Levant, exportent leurs combattants en Occident. La France, qui participe aux frappes de la coalition en Irak et arme l'opposition dite modérée en Syrie, doit-elle revoir ses politiques dans la région?

 

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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 07:20
Third Lockheed Martin-Built MUOS Secure Communications Satellite Launched and Responding to Commands

The U.S. Navy's third Mobile User Objective System (MUOS-3) satellite launched at 8:04 p.m. EST tonight aboard a United Launch Alliance Atlas V.

 

CAPE CANAVERAL AIR FORCE STATION, Fla., Jan. 20, 2015Lockheed Martin

 

The third Mobile User Objective System (MUOS) satellite built by Lockheed Martin for the U.S. Navy is now responding to commands after being launched here today. An initialization team, led by the company, is operating the MUOS-3 satellite from the Naval Satellite Operations Center located at the Naval Base Ventura County, Point Mugu, California.

The MUOS satellite constellation operates like a smart phone network in the sky, vastly improving current secure mobile satellite communications for warfighters on the move. Unlike previous systems, MUOS provides users an on-demand, beyond-line-of-sight capability to transmit and receive high-quality, prioritized voice and mission data, on a high-speed Internet Protocol-based system.

“Thanks to the Atlas team for the safe delivery of MUOS-3 into our Geosynchronous Transfer orbit,” said Iris Bombelyn, vice president of Narrowband Communications at Lockheed Martin. “We look forward to completing our on-orbit health checks and delivering this important asset to the U.S. Navy. The addition of this satellite will give the MUOS constellation coverage over more than three-quarters of the globe, further extending the reach of the advanced communications capabilities MUOS will provide our mobile warfighters.”

MUOS-3 launched at 8:04 p.m. EST aboard a United Launch Alliance Atlas V rocket and will transition over the next nine days to reach its geosynchronous orbit location 22,000 miles above the Earth. The solar arrays and antennas will then be deployed, and on-orbit testing will start for subsequent turn-over to the Navy for test and commissioning to service.

Earlier today, before the MUOS launch, Lockheed Martin employees visited six classrooms totaling about 280 seventh and eighth-graders at nearby Ronald McNair Magnet Middle School in Rockledge, Florida, to demonstrate important principles of space engineering through a hands-on activity and to encourage science, technology, engineering and math (STEM) education. Six members of the school’s science department and faculty later attended the launch viewing.

MUOS is the Navy’s next generation secure mobile satellite communications system which will eventually replace the legacy Ultra High Frequency (UHF) Follow-On system. MUOS satellites have two payloads to ensure access to UHF narrowband communications as well as new capabilities. MUOS’ advanced Wideband Code Division Multiple Access (WCDMA) payload incorporates commercial technology and a new waveform to provide users priority-based capacity.

Once fully operational, MUOS will provide 16 times the capacity of the legacy system. More than 50,000 terminals that are in the field today can be retro-fitted with WCDMA.

Prior to its launch, the MUOS-3 satellite was built at Lockheed Martin’s Sunnyvale, California, manufacturing facility. The satellite was shipped to Cape Canaveral Air Force Station on Nov. 5, and encapsulated into its launch fairing on Dec. 18.

The MUOS constellation is expected to provide warfighters full global coverage before the end of 2015. MUOS-1 and MUOS-2, launched respectively in 2012 and 2013, are already operational and providing high-quality voice communications. MUOS-4 is on track to launch later this year. The fourth and final required MUOS ground station also is expected to be delivered to the Navy early this year.

Lockheed Martin Space Systems, Sunnyvale, California, is the MUOS prime contractor and system integrator. The Navy's Program Executive Office for Space Systems and its Communications Satellite Program Office, San Diego, California, are responsible for the MUOS program.

Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 113,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The Corporation’s net sales for 2013 were $45.4 billion.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:55
Les anciens militaires partis faire le djihad sont «d'une extrême rareté», assure Le Drian

 

21.01.2015 Par Blandine Le Cain – LeFigaro.fr

 

Plusieurs anciens soldats français seraient partis en Syrie et en Irak dans les rangs des djihadistes, d'après les informations de RFI et de L'Opinion.

 

À l'heure où le gouvernement annonce plusieurs mesures pour lutter contre le terrorisme, l'information n'est pas anodine: selon RFI, au moins dix anciens soldats français seraient partis rejoindre les rangs islamistes syriens et irakiens. L'Opinion estime de son côté leur nombre à une demi-douzaine. Interpellé sur la question en conférence de presse mercredi, Jean-Yves Le Drian n'a pas souhaité commenter ces informations. Le ministre de la Défense a toutefois précisé que «les cas d'anciens militaires qui sont tentés par une aventure djihadiste sont d'une extrême rareté».

D'après L'Opinion, un ancien membre des forces spéciales se trouverait parmi ces soldats ayant rejoint les 400 djihadistes français partis combattre en Syrie et en Irak. Il aurait été engagé dans l'un des régiments d'élite de l'armée française, rappelle le quotidien, et l'aurait quitté à l'issue de son engagement de cinq ans. Il se serait alors radicalisé en travaillant dans la Péninsule arabique pour le compte d'une société de sécurité privée française.

Les chiffres avancés ne concernent que les départs de djihadistes français. Le journaliste de RFI David Thomson, auteur de l'ouvrage Les Français jihadistes, explique qu'il s'agit des cas dont il a eu connaissance et qu'il a, pour certains, rencontrés dans le cadre de ses recherches. Le journaliste rappelle cependant que quelques cas emblématiques issus d'autres pays ont fait parler d'eux. L'ancien soldat néerlandais Yilmaz fut ainsi «l'un des tout premiers djihadistes partis en Syrie, dès 2012», précise au Figaro David Thomson. Dès le début, il n'a pas hésité à poster des photos de lui et à travailler son image publique auprès de l'opinion internationale.

 

«Ces gens qui arrivent sont déjà des combattants»

La question de la radicalisation d'anciens soldats pose d'autres problèmes que ceux des simples citoyens enrôlés dans des réseaux. «L'un d'eux a mis ses compétences au service des autres djihadistes. Il est à la tête d'un groupe de Français qu'il entraîne au combat», explique ainsi David Thomson. «Ces gens qui arrivent sont déjà des combattants et ils connaissent la manière de combattre l'armée française», souligne-t-il.

Surtout, pour le journaliste, reste la question de la façon dont ces soldats ont fini par choisir le départ: comment en sont-ils venus à adhérer à ces idées? «On peut se rappeler par exemple de la tuerie de Fort Hood», précise David Thomson. En 2009, le soldat Nidal Hasan avait ouvert le feu sur une base militaire américaine, tuant 13 personnes. Il avait indiqué vouloir «combattre du bon côté» et empêcher l'intervention en Afghanistan de son unité. Un événement significatif d'une possible radicalisation dans les rangs de l'armée, selon David Thomson.

 

«Au-delà du marginal»

Pour autant, le spécialiste n'a pas identifié de raisons spécifiquement liées à l'armée expliquant ce départ vers le djihad. Un constat intéressant à l'heure ou certains politiques prônent le retour d'un service militaire obligatoire ou un renforcement du service civique, afin de redonner «un sentiment d'appartenance» ou encore renforcer «l'esprit civique». «Cette idée n'est pas idiote», estime David Thomson. «Insuffler l'esprit d'appartenance à la nation, la mixité sociale, le sentiment de fraternité de cette manière, pour empêcher que des jeunes aillent chercher cela dans le djihad, c'est intéressant», indique-t-il. «Simplement, je constate que des jeunes, qui ont connu ce cadre très structuré, sont malgré tout partis faire le djihad.»

Du côté de l'armée, ces chiffres ne sont ni confirmés, ni infirmés. «Si l'on parle d'un ancien militaire, il faut savoir combien de temps il l'a été et depuis quand il ne l'est plus», souligne-t-on auprès du Figaro, précisant qu'une fois l'engagement terminé, ces situations relèvent du ministère de l'Intérieur. «Fort heureusement, nous sommes dans des proportions qui sont au-delà du marginal», ajoute-t-on au sujet de départs pour le djihad. Concernant la surveillance de potentiels profils radicaux au sein de l'armée, c'est à la DPSD (Direction de la protection et la sécurité de la défense) que revient la gestion des questions de sécurité comme celles d'espionnage ou de la sécurité des personnels. Parmi ses missions figure également le renseignement, qu'elle coordonne avec d'autres services de renseignement de l'État. Un «croisement d'informations» qui doit «être renforcé», résume-t-on du côté militaire.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:45
Côte d’Ivoire: fin de l'opération Licorne

 

21.01.2015 BBC Afrique

 

Aujourd’hui, mercredi 21 janvier, se termine officiellement la mission de la force française Licorne. Après 12 ans d’opération sur le sol ivoirien, elle laisse la place aux forces françaises de Côte d’Ivoire. Cette force n’aura plus vocation à intervenir uniquement en Côte d’Ivoire mais sera une base avancée pour l’Afrique de l’Ouest.

 

La force Licorne a traversé toute les crises ivoiriennes et n’a pas toujours fait l’unanimité auprès des Ivoiriens.

 

Elle a été déployée fin 2002 après le coup d’État manqué contre le régime de Laurent Gbagbo. Sa mission première était d’évacuer les ressortissants français et étrangers, notamment au centre du pays.

 

A l’époque, les forces françaises avaient vivement été critiquées par les deux camps. Ils les accusaient d’avoir enrayé leur progression et de leur avoir volé la victoire en s’interposant entre les combattants.

 

Peu après, la situation s’était stabilisée et le pays avait été coupé en deux par une zone de confiance séparant les belligérants : la rébellion au nord, les forces loyalistes au sud. L’armée française avait alors installé plusieurs bases le long de la zone tampon.

 

L’opération Licorne avait ensuite peu à peu augmenté ses effectifs. En 2004, une attaque par deux sukoi loyalistes contre la base française de Bouake, située en territoire rebelle, avait tué 9 soldats français. En guise de riposte, la France avait détruit tous les avions militaires ivoiriens, ce qui avait déclenché de gigantesques manifestations anti-forces françaises à Abidjan. Après plusieurs jours de fortes tensions, des soldats de Licorne avaient tiré sur les manifestants, faisant officiellement 57 morts.

 

La force Licorne comprenait alors plus de 5 000 hommes. Pendant la crise post-électorale de 2010 et 2011, l’armée française, agissant sous couvert de l’ONU, avait pris le contrôle de l’aéroport. Cela avait conduit Laurent Gbagbo à accuser l’armée française d’être une force d’occupation.

 

Par la suite, l’armée française avait aidé les forces qui soutenaient le président Ouattara à déloger le président Laurent Gbagbo de sa résidence. Ce dernier avait ensuite été arrêté. Cela aura été la dernière action d’éclat de la force Licorne en Côte d’Ivoire.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:35
US Army UH-72A Lakota Light Utility Helicopter.

US Army UH-72A Lakota Light Utility Helicopter.

 

21.01.2015 by Maki Catama

 

BANGKOK, -- The Royal Thai Army is eyeing to acquire additional UH-72A Lakota light utility helicopter as part of its modernization plans in 2016, Bangkok Post quoted Thai Army Chief Udomdej Sitabutr as saying on January 10.

The announcement did not specify as to how many of the aircraft the army was considering to buy. Thailand had bought six UH-72A helicopters from Airbus March last year at an estimated cost of $34 million.

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:35
Taiwan Army No. 904 UH-60M helicopter.

Taiwan Army No. 904 UH-60M helicopter.

 

January 17, 2015 21stcenturyasianarmsrace.com

 

After eight years of negotiations, Taiwan is finally getting its next-generation utility helicopters.

In December last year, the first four UH-60M Blackhawks for Taiwan’s special forces arrived in Kaohsiung Port.

An additional 56 UH-60M’s are being delivered until 2018 as replacements for Taiwan’s UH-1H Hueys. The deal is worth $3.1 billion.

This transaction is just the latter half of a major helicopter deal that has been in the works since 2002 during the administration of President George W. Bush. It originally included a 2002 request for 30 AH-64D Apaches and in 2005 Taiwan wanted “price and availability data” for 60 utility helicopters.

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:35
People's Liberation Army Navy (PLAN) anti-submarine warfare (ASW) Z-18F Helicopter.

People's Liberation Army Navy (PLAN) anti-submarine warfare (ASW) Z-18F Helicopter.

 

January 15, 2015 defenseworld.net

 

China recently tested a Z-18A helicopter which can be used as an anti submarine warfare, military heavy lift and as a troop and VIP carrier.

According to China Military Online China recently tested it on the Tibetan plateau at an altitude of 8000 meters.

The report said that the Z-18A helicopter is meant to transport the AH-4 155 mm light artillery system developed by the China North Industries Corporation which weighs around 4 tons.

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:20
Renaming Air/Sea Battle a Poor, Parochial Decision


January 21, 2015 by Lazarus - informationdissemination.net

The Pentagon’s 08 January choice to rename the Air/Sea Battle concept is a poor choice that will negatively affect the ability of the Navy and Air Force to modernize their forces for 21st century combat. It is an attempt by the U.S. Army to insert itself into an operational construct for which it is neither equipped nor trained in which to participate. Finally, this decision demonstrates a compelling need to reform the aging Defense Department organization created by the Goldwater Nichols Act in 1986. This reform legislation was designed to empower joint military institutions to make the best decisions for national security outside parochial service concerns. This name change illustrates that service-driven parochialism is alive and well and well in the Pentagon, and is aided and abetted by joint bureaucrats intent on shaping all problems with the same joint tools, whether appropriate or not.

     The U.S. Navy and Air Force are desperately in need of new equipment to wage war in difficult 21st century anti-access/area denial (A2/AD) environments. Both services need new aircraft, (manned or unmanned), to replace aging Cold War platforms. The Navy needs new missiles in order to engage opponents outside A2/AD envelopes. The naval service has conducted an active information campaign to inform members of Congress and the general public as to the importance of seapower in ensuring U.S. economic and physical security. The Chief of Naval Operations’ “SailingDirections” and later "Navigation Plans" specifically identified a need to “communicate our intent and expectations both within and outside the Navy,” and "strengthen alliance relationships and partnerships." The Air/Sea Battle term is one that easily explains service intentions to a wide global audience. Renaming this concept with the awkward joint term “Joint Concept for Access and Maneuver in the Global Commons” (JAM GC) will not resonate with the average U.S. citizen, whose support is vital for continued military funding. Such terms make joint bureaucrats in the deep warrens of the Pentagon’s mezzanine level happy, but will not draw the vital public support necessary for strong legislative action.

     The joint moniker and apparent Army intrusion in an otherwise Naval and Air Force activity represents an unneeded diversion of U.S. Army efforts. The ground force again appears ready to abandon vital lessons learned from a long, hard counterinsurgency campaign in order to preserve its funding relative to the other services. After the Vietnam War the Army quickly disbanded its counterinsurgency (COIN) forces in favor of a return to conventional expeditionary warfare as represented by the Soviet and Warsaw Pact threat on the plains of Germany. Counterinsurgency lessons learned were left in the dustbin of Army history as the service embraced Air/Land battle for both operational relevance and funding concerns. While this doctrinal change was useful in many ways toward developing present, effective expeditionary warfare concepts, its failure to make COIN an institutional part of the Army handicapped the service for wars since 2003. When the conflicts in Afghanistan and Iraq degenerated into insurgencies, the Army was forced to re-learn lessons very similar to those painfully gained over the course of the Vietnam War. The Army would best serve the nation’s interests in the wake of the Southwest Asian conflicts by solving the 50 year old problem of how to have both effective expeditionary and COIN capabilities in its organizational structure rather than attempting to couple itself to Air/Sea battle.

     Finally, the name change illustrates the increasing need to reform the aging, Cold War- era provisions of the Goldwater Nichols Act. This reform legislation was designed to empower joint organizations to make national security decisions independent of parochial service needs. Now, the need to maintain a “joint” face on all military operations has created its own ossified, parochial structure.  The efforts of one or more services to create solutions to national security needs are stifled and suppressed by joint bureaucrats seeking to preserve their own institutional authority. This situation of “joint uber alles” is just one of the problems with the quarter-century old Goldwater Nichols structure. Its transfer of the business of strategy from central, service-based systems that produced successful products like Air/Land Battle and the 1980’s-era Navy Maritime Strategy to regional Combatant Commanders (COCOMs) may have been permissible in a post Cold War environment free of peer competitors with global reach.  This decentralized system is no longer possible in the 2nd decade of the 21st century. The global impact of post 9/11 terrorism; the rise of China; and the return of a revanchist Russia (among many concerns); make this 1986-era construct a prime candidate for significant Congressional reform.

     Renaming the well-known Air/Sea Battle concept with an awkward, unfamiliar joint term serves no one well. It forces the Navy and Air Force to change their public modernization campaigns. It is a distraction for an Army that should be preparing for its next expeditionary and COIN operations rather than trying to re-enter the coastal defense business. Finally, it shows that both service and joint bureaucratic parochialism persist within the Department of Defense despite the provisions of Goldwater Nichols. Congress should take action to restore easily identifiable names to military concepts in need of public support. It should direct the Army to concentrate on its traditional service requirements rather than compete with the Navy and Air Force in an operational arena for which it is not equipped. Finally, Congress should look at potential reforms to the dated Goldwater Nichols Act of 1986. It should restore the abilities of services to create strategic and operational solutions to global military needs beyond the purview of individual regional commanders.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:56
Le CEMAT à Lille

 

21/01/2015 ASP Bourceret Armée de Terre

 

Toujours en situation d’alerte maximale, Lille a reçu le 19 janvier le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre. Celui-ci s’est rendu à la gare de Lille Flandres et à l’état-major interarmées de la zone de défense nord, afin de rencontrer les soldats en mission Vigipirate.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:55
La frégate Latouche-Tréville rencontre l’équipage de l’Hermione

 

19 Janvier 2015 Source : Marine nationale

 

Le 14 janvier 2015 a eu lieu la journée de la frégate Latouche-Tréville. Destinée à fédérer l’équipage autour de son histoire commune,  cette journée s’est tenue, quasiment jour pour jour, 236 ans après la prise de commandement de la frégate L’Hermione par le comte de Latouche-Tréville, le 16 janvier 1779. Cette dernière conduisit en 1781, le marquis de La Fayette à Yorktown où il combattit aux côtés des Insurgents américains.

 

C’est donc tout naturellement que cette année l’association « Hermione-La Fayette » a été sollicitée pour présenter à l’équipage l’extraordinaire aventure de reconstruction de la frégate du XVIIIe siècle et de traversée de l’Atlantique.

 

La frégate, dont les deux tiers du financement proviennent des visites du public pendant les 17 ans de chantier, peut s’enorgueillir de performances impressionnantes : jusqu’à 14 nœuds par vent de travers ! Et ce pour un déplacement de plus de 1200 tonnes.

 

Le défi est donc de taille pour l’équipage de 78 personnes de tous horizons (contre plus du double au XVIIIe). D’autant que les marins, pour la plupart bénévoles, ont tout à apprendre de la manœuvre et de la vie en mer. La formation est ainsi essentielle et repose sur quelques spécialistes, dont 4 marins de la Marine nationale, qui transmettent leur savoir et leur passion. L’ardeur au travail, le dépassement de soi, la discipline, la cohésion, l’endurance et l’humilité sont indispensables pour faire naviguer ce vif trois-mâts dans la brise.

 

Ces valeurs, communes à celles de la Marine nationale, ont permis à L’Hermione de réussir ses essais à la mer. Pendant les 2600 nautiques parcourus de Rochefort à Brest dans des conditions parfois difficiles l’équipage a pu éprouver sa maitrise de la navigation côtière et des manœuvres, notamment d’homme à la mer : le zodiac doit ici être mis à l’eau en 2 minutes 30 !

 

Prochaine étape : appareillage mi-avril de l’île d’Aix pour la traversée de l’Atlantique dans le sillage de Latouche-Tréville et de La Fayette. Arrivée prévue à Yorktown, 8 semaines plus tard,  le 4 juin 2015.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:54
Convention "classe défense"


21/01/2015 SCH Beltran - Armée de Terre

 

Le 6e régiment du matériel de Besançon et le collège Sainte Marie de Lons-le-Saunier ont signé une convention, le vendredi 16 janvier, dans le but de concrétiser le jumelage officialisé entre la ville avec le régiment en novembre dernier.

 

Très attachée à l’armée de Terre, la commune a souhaité établir cette relation entre les élèves de son collège et nos soldats afin de mieux informer les jeunes et leur entourage sur les missions du 6e RMAT et l’environnement dans lequel il évolue. Cela contribue également au rayonnement de notre institution dans une région  qui, en termes d’effectifs, est la deuxième place militaire après l’Île-de-France.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:50
First ever UK-Japan Foreign and Defence ministers meeting

 

21 January 2015 The Rt Hon Michael Fallon MP and The Rt Hon Philip Hammond MP - Foreign & Commonwealth Office, Ministry of Defence

 

Foreign Secretary and Defence Secretary meet Japanese counterparts in London

 

Foreign Secretary Philip Hammond and Defence Secretary Michael Fallon have met the Japanese Foreign Minister Fumio Kishida and Defence Minister Gen Nakatani, in the first ever Foreign and Defence Ministerial Meeting between the UK and Japan.

During the meeting, the ministers discussed the global security situation, including the challenge posed by ISIL and international terrorism, and what more the UK and Japan can do together in the areas of defence and security to promote international peace and security.

Foreign Secretary Philip Hammond said:

“The UK and Japan have long shared a very strong relationship. We work together in the G7 and G20 on issues that affect the whole world, including security, energy, cyber crime and healthcare, and we share a common belief in freedom of speech and freedom of expression.

“This week’s appalling threat by ISIL against two Japanese hostages demonstrates just how much these beliefs are at risk, and how important it is we work together to defeat those who would destroy our way of life.

“Today’s discussions have come at an important moment and demonstrate the unity between Japan and the UK, as strategic partners and as friends. We will continue to work together on the dangers we face and the interests we share.”

Defence Secretary Michael Fallon said:

“I’m delighted to welcome His Excellency Gen Nakatani here today. This is the first ever meeting of this kind between the UK and Japan. That is not just hugely symbolic, it also clearly reaffirms our resolve to deepen and broaden our defence relationship.

“It will be vital to build on the progress we’ve made today. We therefore welcome the plan for greater cooperation and the important role which Japan is increasingly playing on the international stage.”

Today’s meeting took place at Lancaster House in London and was first announced by the Prime Minister during Japanese Prime Minister Abe’s visit last year. The Defence and Foreign Ministers also met separately this morning for detailed discussions around their individual briefs, including the wider relationship between Japan and the UK and bilateral trade and investment

 

Further information

  • The joint Japanese-British statement issued after the meetings can be found here: UK-Japan 2+2 Statement (ODT, 8.34KB) ; UK-Japan 2+2 Statement - Annex (ODT, 15.6KB)
  • The Prime Minister agreed with Japanese Prime Minister Abe during Mr Abe’s visit to the UK in May 2014 to hold a Foreign and Defence Ministerial Meeting between the UK and Japan.
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:50
Eurofighter Typhoon espagnol, ou C.16 - Photo Ejercito del Aire

Eurofighter Typhoon espagnol, ou C.16 - Photo Ejercito del Aire

 

21 Janvier 2015 defens-aero.com

 

Depuis plusieurs mois, à tour de rôle, les forces aériennes des pays membres de l'OTAN prennent la permanence opérationnelle afin d'identifier et d'intercepter les appareils qui survoleraient les pays baltes (Lettonie, Estonie, et Lituanie), étant donné que ces états ne disposent pas d'une force aérienne. Bien que la mission Baltic Air Policing soit mise en place depuis 2004, elle a été renforcée depuis le mois d'Avril après la crise de Crimée, avec la mise en place de plusieurs plots de permanence opérationnelle, et non d'un seul, lorsque les relations avec la Russie étaient apaisées.

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:45
Senegal orders offshore patrol vessel

 

21 January 2015 by defenceWeb

 

Senegal has ordered a 58 metre offshore patrol vessel from France’s OCEA, as it prepares to take delivery of a 45 metre vessel from STX.

 

The OPV 190 Mk II vessel will be delivered to Senegal’s navy in late 2016, according to Mer et Marine. Rumours of a possible acquisition surfaced in mid-2014.

 

Senegal’s vessel will be made in three segments at the Ocea site in Fontenay-le-Comte and transferred to Les Sables d’Olonne for final assembly.

 

The OPV 190 is a 58 m (190 foot) long, 9.4 metre wide vessel made from aluminium for less corrosion and lighter weight. Its shallow draft (2.3 metres) allows operation close to the shore. It has a crew of 30 but can take 24 passengers on board. Range is between 4 and 5 000 km at 12 knots, while maximum speed is 30 knots. Endurance is three weeks.

 

OCEA says the vessel can be used for missions such as law enforcement, exclusive economic zone (EEZ) surveillance, immigration control, search and rescue, anti-smuggling, disaster relief, fisheries patrol, anti-piracy etc.

 

For the offshore patrol vessel (OPV) role the ship can be equipped with sensors and weapons such as machineguns and cannons as well as two 7.5 metre speedboats, lowered into the water via davits. Various options are available for different missions, such as a holding cell, water cannons etc.

 

The acquisition of the OCEA OPV comes as Senegal’s new 45 metre vessel Kedougou undergoes sea trials ahead of delivery. The vessel was launched by French shipyard STX Lorient in October last year and was seen undergoing sea trials in December. Senegal ordered the OPV from Raidco Marine, which subcontracted construction to the STX Lorient shipyard.

 

The Kedougou is 45.6 metres long, 8.4 metres wide and crewed by 17, with the option of accommodating four to eight passengers such as special forces personnel. The vessel has a steel hull and aluminium superstructure. It is powered by two Cummins engines developing 1 940 kW. Endurance is ten days with a range of 2 000 nautical miles. It is able to launch two small boats.

 

Senegalese Navy Commander Serigne Fallou Diouf at the launch said the new vessel was part of the country’s plan to renew its naval fleet and allow the maritime arm of service to carry out missions such as fisheries inspection, fighting drug trafficking and piracy.

 

As part of its expansion process, Senegal’s Navy in the third quarter of 2013 took delivery of the Ferlo, a Raidco RPB 33 offshore patrol vessel. The 33 metre long vessel can accommodate a crew of 17 and travel 1 500 miles at 15 knots for an endurance of one week at sea, although top speed is over 40 knots. Armament includes a 20 mm cannon and two 12.7 mm machineguns and a boat can be launched from its stern.

 

Senegal has ordered vessels from OCEA in the past, placing an order for four FPB 98 Mk I patrol boats in October 2012.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:45
Dutch Apaches strike Mali rebels

 

21 January 2015 by defenceWeb (Reuters)

 

Dutch AH-64 Apache attack helicopters with the United Nations carried out air strikes on Tuareg rebel forces in northern Mali on Tuesday, the first such engagement by Dutch forces serving in the UN mission in Mali.

 

The U.N. mission, known as MINUSMA, said it was responding to heavy weapons fire directed at its peacekeepers in the town of Tabankort. It said the helicopters only destroyed a rebel vehicle after firing warning shots that were ignored.

 

A spokesman for the MNLA Tuareg separatist rebels, who are involved in peace talks with the Malian government in Algeria, denied warning shots had been fired and said five fighters had been killed and several others wounded.

 

U.N. peacekeepers have deployed across northern Mali to help the weak Bamako government secure desert zones that were occupied by a mix of rebels and al Qaeda-linked Islamists in 2012 until a French military intervention two years ago.

 

The incident highlights how Mali's north is still awash with various armed groups and is likely to complicate the last round of U.N.-backed peace talks due to take place next month between the government and the rebel factions that are involved.

 

The U.N. mission had been for days seeking to end a standoff over Tabankort, a desert town that the MNLA had surrounded and where there are rival pro-government militia fighters, as well as a contingent of U.N. peacekeepers protecting civilians.

 

"These actions were taken in line with our mandate which authorizes MINUSMA to use force to protect civilians, its personnel and its positions from attack or imminent danger," the mission said in a statement.

 

The U.N. mission did not give a toll and it said clashes were still taking place on Tuesday evening.

 

Some 450 Special Forces troops, intelligence operatives and four Apache helicopter gunships from the Netherlands have been deployed in northern Mali as part of a force of up to 12,000 men.

 

U.N. troops mostly help Mali's army occupy key towns while French soldiers hunt down resurgent Islamist militants. However, the Dutch contingent is tasked with intelligence gathering and has the force's only attack helicopters.

 

MNLA spokesman Moussa Ag Acharatoumane said cooperation with U.N. peacekeepers would be suspended as a result of the clash.

 

"There was no negotiation. There was no warning," he told Reuters. "That was an error, and bombing our positions was also a very serious political error."

 

A resident in the town of Kidal, an MNLA stronghold, said the bodies of five rebels had arrived and were being buried on Tuesday evening.

 

The Dutch contingent in Mali is mainly involved in conducting reconnaissance and gathering intelligence, serving, as it were, as the 'eyes and ears' of the mission. The Dutch contribution chiefly consists of, Special Operations Forces; intelligence personnel; Apache attack helicopters; Chinook transport helicopters (from October 2014); and police trainers. The first two Apaches arrived in Mali in May last year.

 

Troops from the Dutch Commando Corps and the Marine Corps, working in three teams, make up the operational core in the field. They have various types of vehicles at their disposal, including lightly armoured Bushmasters; Mercedes Benz tactical wheeled vehicles; Fennek tactical wheeled reconnaissance vehicles; and quad bikes.

 

The main task of the three Chinook helicopters is medical evacuation. The Dutch Chinooks have been fully deployed since October 2014. Until the arrival of the Chinooks, Dutch units only operated at distance from their base in Gao on condition that the French Operation Serval was able to guarantee medical evacuation.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:30
Le Canada fournira du matériel militaire aux Forces de sécurité irakiennes

Des approvisionnements de première nécessité pour soutenir l’opération Impact, qui se déroule au Moyen-Orient sont chargés à bord d’un aéronef CC-177 Globemaster III à Trenton le 15 octobre 2014. (Archives/Caporal Rod Doucet)

 

20 janvier 2015 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca

 

Avant son départ pour Londres, où il participera à des discussions de haut niveau sur le groupe l’État islamique, le ministre canadien de la Défense, Rob Nicholson, annonce que le Canada s’engage à fournir du matériel militaire aux Forces de sécurité irakiennes.

 

Le ministre Nicholson a annoncé en effet ce mardi 20 janvier l’intention du Canada de donner du matériel militaire non létal afin d’accroître les capacités des Forces de sécurité irakiennes.

Le don prévu aux Forces de sécurité iraquiennes, dans le cadre du Programme d’aide au renforcement des capacités antiterroristes (PARCA) du MAECD, précise le communiqué de la Défense qui annonce cette nouvelle, comprendra 6 000 articles hivernisés et pour temps pluvieux, dont 1 000 manteaux, pantalons, ainsi que des gilets et des pantalons molletonnés pour les opérations en temps froid, en plus de 1 000 vestes et pantalons pour les temps pluvieux, qui ont été jugés comme excédentaires par les Forces armées canadiennes.

Entre le 15 août et le 26 septembre 2014, les Forces armées canadiennes ont transporté des fournitures militaires comprenant des armes légères, des munitions et du matériel donnés par des alliés, comme l’Albanie et la République tchèque. En date du 26 septembre 2014, 25 vols ont été réussis, et plus de 1 600 000 livres (725 000 kilogrammes) de fournitures militaires ont été livrées aux Forces de sécurité irakiennes.

L’annonce d’aujourd’hui a été faite avant une réunion à laquelle le ministre assistera à Londres, au Royaume-Uni, et qui aura lieu le 22 janvier 2014, avec 23 délégations de divers pays et organisations. Cette réunion vise à discuter des efforts déployés par la coalition mondiale pour lutter contre le groupe l’État islamique.

La réunion ministérielle de Londres se concentrera sur les cinq niveaux d’effort de la coalition: fournir de l’appui militaire à nos partenaires; freiner le flux de combattants étrangers dans la région; arrêter le financement de l’État ilsamique; traiter les crises d’ordre humanitaire dans la région et exposer la véritable nature du groupe l’État islamique.

La réunion présentera également une occasion aux partenaires de faire le point sur le travail de la coalition jusqu’à présent, et d’explorer des occasions pour améliorer la coordination des opérations à l’avenir, dit le communiqué de la Défense canadienne..

Le 5 septembre 2014, le premier-ministre Harper a annoncé que les Forces armées canadiennes enverraient du personnel pour conseiller et pour aider les Forces de sécurité irakiennes dans le but de planifier et de réaliser des opérations contre l’État islamique. Le 30 octobre 2014, les FAC ont mené leur première mission avec la Force de stabilisation du Moyen-Orient, menée par les États-Unis.

On a pu voir lors de la dernière séance d’information lundi à Ottawa du commandement canadien des opérations que les forces spéciales canadiennes jouent un rôle de premier plan en Irak.

Lors de cette séance d’information, le lieutenant-général Jonathan Vance, commandant du Commandement des opérations interarmées du Canada (COIC), a indiqué que que la Force opérationnelle aérienne en Irak a effectué 358 sorties aériennes en date du 18 janvier à 15h, soit 230 sorties pour les CF-18; 61 sorties pour l’aéronef de ravitaillement CC-150T et 67 missions de reconnaissance pour les aéronefs de patrouille CP-140.

Qui plus est, on a appris à cette occasion que les Canadiens, outre entraîner, conseiller et assister les forces irakiennes, étaient les yeux de la coalition au sol.

Les membres des forces spéciales canadiennes ont pris part directement aux frappes de la coalition contre des cibles de l’État islamique en aidant les avions de chasse amis à localiser des cibles ennemies à 13 reprises.

« Je suis extrêmement fier des résultats atteints par les Forces armées canadiennes au moyen de l’opération IMPACT. Nos efforts pour lutter contre l’EIIL [le groupe l’État islamique, ndlr] et le soutien que nous fournissons au peuple irakien sont essentiels pour freiner cette menace croissante, avant qu’elle puisse se propager ailleurs. », a déclaré le ministre Nicholson.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 16:55
Le zapping de la Défense 2014


21 janv. 2015 ECPAD

 

Une compilation d'événements qui ont marqué l'activité et rythmé le quotidien des forces armées françaises en 2014.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 16:45
Côte d’Ivoire : fin de l’opération Licorne, place aux Forces françaises

 

21 janvier 2015  par Frédéric Schneider - afrik.com

 

La mission française baptisée Licorne, installée en Côte d’Ivoire, depuis le début de la guerre civile en 2002, prend fin ce mercredi 21 janvier 2015, au cours d’une cérémonie militaire. Elle va être remplacée par les Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI).

Après 12 ans de mission, l’opération française Licorne prend fin, ce mercredi, au cours d’une cérémonie militaire. Elle va être remplacée par les Forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), selon un communiqué de l’armée française, dont le terrain d’action est étendu à toute l’Afrique de l’Ouest.

 

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