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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:50
L'armée roumaine enverra un tiers de troupes de moins à l'étranger en 2014

 

2013-12-18 xinhua

 

Le Conseil suprême de défense nationale roumain (CSDN) a décidé mardi de réduire d'un tiers ses troupes en mission à l'étranger en 2014.

 

Selon le plan approuvé par le CSDN concernant le déploiement de troupes à l'étranger en 2014, l'armée roumaine enverra en mission et opération à l'étranger un total de 1 311 militaires, soit 725 de moins que cette année.

 

Pour ce qui est du ministère de l'Intérieur, les forces participant en 2014 aux diverses missions sous l'égide de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), de l'Union européenne, de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et des Nations Unies (ONU) seont constitués de 791 soldats et policiers, soit 301 de plus qu'en 2013, a indiqué la présidence roumaine dans un communiqué.

 

"L'effort principal continue d'être la participation au sein de l'opération de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS) en Afghanistan et le maintien de l'engagement de la Roumanie dans le théâtre des opérations des Balkans," précise le communiqué de la présidence.

 

Le CSDN, qui inclut le président, le Premier ministre, les ministres de la Défense et des Affaires étrangères, ainsi que les directeurs des services de renseignement, est l'organe exécutif suprême en Roumanie, qui décide des questions de sécurité et de défense.

 

La Roumanie a commencé à envoyer des troupes en Afghanistan en juillet 2002. Cela constituait la première mission militaire du pays à l'étranger depuis la Seconde Guerre mondiale.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:40
Russie: la défense antimissile regroupée en une seule structure

 

MOSCOU, 18 décembre - RIA Novosti

 

L'agence fédérale spatiale russe (Roskosmos) collabore avec l'état-major des forces armées russes pour créer un groupe réunissant les intérêts des forces de défense aérospatiale (VKO) et des troupes de missiles stratégiques (RVSN), écrit mercredi le quotidien Kommersant.

 

Le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine a déclaré récemment que début 2014, la commission militaro-industrielle préparerait et présenterait au président des propositions pour la gestion de la base technique des forces de défense aérospatiale et des troupes de missiles stratégiques (RVSN).

 

Selon certaines informations, ce projet inspiré par Roskosmos et l'état-major des forces armées russes est pratiquement achevé. "Roskosmos est pressentie comme structure dirigeante de ce groupe, dont trois autres grands holdings feront partie – Almaz-Anteï, Missiles tactiques et la corporation unifiée balistique et spatiale en cours de création", déclare une source au sein du gouvernement.

 

Cette dernière affirme que ce projet vise à renforcer la coordination du potentiel de recherche et technique entre les producteurs d'armements. "Il est nécessaire d'établir une politique technique commune aussi bien dans les entreprises en particulier que dans l'ensemble de l'industrie de la défense", a souligné la source.

 

Il était prévu de présenter ce projet à Vladimir Poutine le 29 novembre lors des réunions à Sotchi avec les représentants de l'industrie spatiale de missiles et du ministère de la Défense, cependant en raison de l'emploi du temps chargé du président personne n'a insisté sur le règlement de cette question le plus rapidement possible.

 

Almaz-Alteï s'est refusé à tout commentaire. Une source de Roskosmos a déclaré que le projet du groupe avait encore besoin d'être mis au point mais que la direction soutenait la formation d'une telle structure.

 

Cette intégration n'est pas vraiment appréciée par la direction des Missiles tactiques. Le holding a déclaré hier qu'il était au courant de l'intention de les intégrer au groupe, mais qu'il n'avait pas participé directement à l'élaboration du projet. "Nous ne sommes absolument pas d'accord avec un tel scénario, déclare une source proche du holding. Nous visons un certain résultat et des changements structurels pourraient y faire obstacle."

 

Les experts sont sceptiques en ce qui concerne les perspectives de fusion des quatre structures et soulignent que cette idée a besoin d'être réfléchie plus en profondeur. "La passion pour le gigantisme héritée de l'époque soviétique pourrait rendre cette structure incontrôlable tôt ou tard, estime Rouslan Poukhov, directeur du Centre d'analyse stratégique et technologique.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:40
Transnistrie: renforcer la présence militaire russe (député)

 

MOSCOU, 18 décembre - RIA Novosti

 

Le député de la Douma Roman Khoudiakov (Parti libéral-démocrate) a proposé mercredi d'accroitre la présence militaire russe en Transnistrie pour éviter une éventuelle reprise du "scénario sud-ossète" dans cette région de Moldavie.

 

"J'estime qu'il est nécessaire d'élargir le contingent militaire russe en Transnistrie en vue de prévenir toute provocation à la Saakachvili, car un tel scénario ne semble plus impossible", a indiqué le parlementaire.

 

Selon lui, la Roumanie se prononce régulièrement en faveur de l'unification avec la Moldavie, ce qui ne peut avoir lieu sans régler le problème de la Transnistrie, "où résident plus de 200.000 citoyens russes".

 

"Est-ce qu'on peut être sûr que les autorités moldaves et roumaines ne seront pas tentées de régler cette question territoriale par un recours à la force?", s'est interrogé M.Khoudiakov.

 

Le député a appelé les autorités russes à prêter une attention particulière à ce problème, prenant en considération l'exemple du "carnage sanglant perpétré en Abkhazie et en Ossétie du Sud".

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:35
Afghanistan: l'idéologie empêche l'Otan de coopérer avec l'OTSC (Lavrov)

 

MOSCOU, 18 décembre - RIA Novosti

 

L'Otan refuse de coopérer avec l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) en Afghanistan pour des raisons exclusivement idéologiques, a déclaré mercredi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov. 

 

"Je suis persuadé que l'Otan refuse de coopérer pour des raisons purement idéologiques. Ceci étant dit, plus de la moitié des pays membres de l'Alliance participent à titre d'observateurs à l'opération "Canal" (menée par l'OTSC, ndlr). Ceci prouve son intérêt, mais l'idéologie empêche l'organisation de coopérer d'égal à égal avec l'OTSC", a indiqué le ministre russe devant le Conseil de la Fédération. 

 

"Le contingent de l'Otan repère les foyers de production de drogue et les trajets des trafiquants à l'intérieur de l'Afghanistan. Quant aux membres de l'OTSC, ils peuvent intercepter ces caravanes à la frontière, ce qui pourrait permettre aux parties de rendre plus efficace la lutte contre la drogue", a ajouté M.Lavrov.

 

Le ministre russe a par ailleurs pointé qu'outre la menace de drogue, l'Afghanistan représentait une menace terroriste. 

 

Créée en 2002, l'OTSC est une organisation à vocation politico-militaire qui regroupe à ce jour l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:35
ADIZ source BBC Asia 26 nov 2013

ADIZ source BBC Asia 26 nov 2013

 

December 18, 2013 By Zachary Keck - thediplomat.com

 

The warning was part of a broader criticism of China’s actions in the South China Sea.

 

On Tuesday, the U.S. rapped China on its actions in the South China Sea, and implored it not to seek to establish an Air Defense Identification Zone (ADIZ) in the area.

In a joint press conference with the Philippine Foreign Secretary, Secretary of State John Kerry reiterated America’s opposition to Beijing’s new East China Sea ADIZ, and warned it against creating new ADIZs in places like the South China Sea.

“Today, I raised our deep concerns about China’s announcement of an East China Sea Air Defense Identification Zone. I told the foreign secretary that the United States does not recognize that zone and does not accept it. The zone should not be implemented, and China should refrain from taking similar unilateral actions elsewhere in the region, and particularly over the South China Sea,” Kerry said during the press conference.

Last month, China surprised the region by announcing an ADIZ in the East China Sea, a move that has been widely criticized by regional powers and the United States. Although most attention has focused on the immediate issue of the new ADIZ, there has also been a lingering concern over Chinese leaders repeatedly pledging to establish additional ADIZs in the future. Although these Chinese officials have not specified what areas such ADIZs might cover, most analysts see the South China Sea as the area most logically place to create a new ADIZ.

China claims nearly the entirety of the South China Sea under its nine-dotted-lines sovereignty claim. This sweeping claim to sovereignty puts China at odds with numerous other states with claims of sovereignty over the South China Sea, including Indonesia, Malaysia, Vietnam, Brunei and the Philippines.

Of these other claimants, China has been especially at odds with the Philippines in recent years over the territorial dispute. In the spring of 2012, Chinese maritime agencies used a dispute involving a Chinese fisherman in the Scarborough Shoal to wrest control over the area from the Philippines. It has also been seeking to push the Philippines out of the Second Thomas Shoal. More generally, China’s Coast Guard and Navy have significantly increased their patrols and military maneuvers in the disputed waters, aided in part by the establishment of a division-level military garrison in Sansha City.

Besides warning China against creating an ADIZ in the South China, Kerry also offered a broader criticism of China’s actions in the areas. Much of this was criticism was implicit, though the target of it was undeniable. Thus, the secretary of State reaffirmed that the United States “strongly support[s] ASEAN’s efforts with China to move quickly to conclude a code of conduct as a key to reducing the risk of accidents or miscalculation.” Although Beijing has in theory endorsed discussing a joint Code of Conduct for the South China Sea, it has largely stonewalled efforts to begin negotiations. At the same time, it has continued to strongly encourage discussing the territorial disputes on a bilateral basis, where Beijing’s clout over its smaller neighbors will be greatest.

Kerry also implicitly criticized China on the basis of its claims of sovereignty over nearly the entire South China Sea. “We think that claimants have a responsibility to clarify their claims and to align their claims with international law.” This comment was undoubtedly aimed at Beijing, which bases its claims on ancient maps that are not generally recognized as conferring sovereignty under international law.

Finally, Kerry stated that “We support internationally recognized dispute resolution mechanisms such as those that are provided in the Law of the Sea Convention. The United States strongly opposes the use of intimidation, coercion, or aggression to advance territorial claims.” The first part of this statement seemed to be implicitly endorsing the Philippines’ efforts to have an international arbitrator decide its territorial dispute with China. Beijing has refused to acknowledge a third party’s jurisdiction over the case, and has not shown up to any of the hearings. The second part of Kerry’s statement again seemed to implicitly indict China for using increased maritime patrols to intimidate and coerce its weaker neighbors.

Kerry is currently in the Philippines as part of an almost week long trip to Southeast Asia that also included a stop in Vietnam. While in Vietnam earlier this week, Kerry announced that the U.S. was increasing its maritime security aid to Southeast Asian nations. The move was largely interpreted as aimed at strengthening the ability of regional powers to enforce their sovereignty claims against an increasingly assertive China.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:35
Avions de combat : 38 MiG-21 se sont crashés en Inde en dix ans

Le Rafale devrait remplacer une grande partie de la vieillle flotte de MiG-21 encore en service dans l'armée de l'air indienne

 

17/12/2013 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

Alors que l'armée de l'air indienne subit une forte attrition de sa flotte de MiG-21, Dassault Aviation tente de boucler toutes les négociations pour mettre dans les mains de New Delhi un contrat prêt à être signé vers mars 2014.

 

Durant les dix dernières années entre 2003 et 2013, l'armée de l'air indienne (Indian Air Force ou IAF), quatrième puissance aérienne mondiale, a perdu 38 MiG-21, a révélé mardi le ministère de la défense indien. Des pertes assez fréquentes en Inde. L'IAF dispose encore d'une flotte de 254 MiG-21 en service, qui vont progressivement être retirés des bases aériennes, notamment les MiG-21 T-77. Les premiers MiG-21 sont entrés en service dans l'armée de l'air indienne en mars 1963.

La semaine dernière, la base aérienne de Kalaikunda a retiré du service trois vieux MiG-27 T-77 en présence du chef d'état-major de l'armée de l'air indienne, N.A.K. Browne. Ce dernier avait estimé que cet "événement" marquait une nouvelle page dans l'histoire de l'IAF après "presque cinq décennies de service opérationnel remarquable rendu par cet avion de combat  iconique". La flotte de MiG-21 T-77 a volé en moyenne 9.000 heures par an.

 

Et le Rafale ?

Selon le ministère de la défense, "aujourd'hui, tandis que nous avons des Sukhoï 30 et sommes impatients d'accueillir le Rafale, les MiG-21 (toutes les versions) continuent à fièrement contribuer à la force opérationnelle de l'IAF". Dassault Aviation négocie depuis janvier 2012 la vente de 126 Rafale à New Delhi.

Le ministère a rappelé ce mardi que le remplacement de la flotte par une nouvelle génération d'avions de combat dépendait de la sécurité nationale et des objectifs stratégiques ainsi que des exigences opérationnelles des forces armées.

Selon nos informations, toutes les équipes de négociations sous le leadership de Dassault Aviation, qui planchent sur l'ensemble des transferts de technologies (ToT), mettent depuis ces deux derniers mois les bouchées doubles pour terminer le plus vite possible la rédaction de tous les contrats. Objectif du PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier : terminer la négociation vers mars 2014 pour que le contrat soit "signable" avant les élections législatives indiennes prévues en mai. Ce qui ne veut pas dire que le contrat sera signé dans la foulée.

 

Deux ans d'attente pour MBDA

MBDA est par exemple en attente de signer le mégacontrat SRSAM (Short Range Surface to Air Missile), un missile sol-air de nouvelle génération, co-développé avec le DRDO (Defence Research and Development Organisation) et coproduit avec l'industriel indien Bharat Dynamics Limited, depuis deux ans que les négociations sont terminées, en décembre 2011 exactement. Aujourd'hui, certains industriels du Team Rafale (Dassault Aviation, Thales et Safran) comptent désormais sur un contrat pour la fourniture de 126 Rafale à l'armée de l'air indienne en 2015, selon des sources concordantes. Peut-être fin 2014 sans trop y croire.

Un contrat, pour être notifié, doit être approuvé successivement par le ministère de la Défense, puis par celui des Finances et enfin par le CCS (Cabinet Committee on Security), présidé par le Premier ministre. Le CCS réunit également les ministres indiens de la Défense, des Finances, de l'Intérieur et des Affaires étrangères.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 11:50
L’introuvable armée européenne

 

17 décembre 2013 Jan Rood, Kees Homan - De Volkskrant Amsterdam

 

Que ce soit pour intervenir militairement ou investir dans l’industrie de la défense, les Européens manquent cruellement de coordination et y perdent en crédibilité. Relancée par l’intervention française en Centrafrique, la question sera débattue au sommet des 19 et 20 décembre

 

Mieux vaut tard que jamais. Voilà une réaction que pourrait susciter le Conseil européen du 19 et 20 décembre, où pour la première fois depuis très longtemps, les chefs d’Etats et de gouvernements européens discuteront de la politique de sécurité et de défense commune. Un type de discussion qui a toute sa raison d’être.

En 1991, le ministre belge des Affaires étrangères de l’époque, Mark Eyskens, avait comparé l’Europe à “un géant économique, un nain politique et un verre de terre lorsqu’il s’agit d’élaborer une capacité de défense”. Certes, ces dernières années, l’UE est devenue plus active dans le domaine de la sécurité. Mais la grande ambition, maintes fois exprimée, d’investir dans une réelle politique commune de défense et de sécurité, y compris une capacité militaire autonome, ne s’est pas réalisée. Tandis que le monde qui nous entoure change et nous oblige, nous, Européens, à considérer notre sécurité plus sérieusement comme un dossier commun.

 

Plus efficace et plus visible

Dans un monde de plus en plus multipolaire, les Etats-Unis ne sont plus prêts à intervenir en derniers recours si la sécurité européenne est menacée. On observe aussi une instabilité croissante dans le voisinage direct de l’UE – l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient, le Caucase. De plus, les menaces se diversifient et, surtout, imbriquent sécurité externe et interne.

La réponse logique à cela semble être davantage de coopération et de prise de responsabilité européennes, et le Conseil européen mise là-dessus : l’Europe doit être plus efficace et plus visible dans le domaine de la sécurité, il faut plus d’investissements dans les capacités militaires, et il faut renforcer l’industrie européenne de défense. Les documents publiés par la Commission européenne et par [la Haute Représentante de l’UE pour les Affaires extérieures] Catherine Ashton en amont de ce Conseil européen, en soulignent la nécessité.

L’intervention en Libye a montré que – par manque d’unité et de moyens – l’UE est obligée de laisser les Etats-Unis et l’OTAN prendre l’initiative.

On observe que ces dernières années, les missions en dehors du territoire sous drapeau européen ont été moins nombreuses et à plus petite échelle. La contribution européenne à la sécurité et la stabilité mondiales est surtout constituée de formation et de soutien, et non pas d’un véritable déploiement de moyens militaires. L’intervention en Libye a montré que – par manque d’unité et de moyens – l’UE est obligée de laisser les Etats-Unis et l’OTAN prendre l’initiative.

Dans le cas du Mali et de la République centrafricaine, la France n’a pas attendu l’avis de l’UE. “Attendre l’Europe, c’est comme attendre Godot”, comme le disait un diplomate français, cité par le Figaro. La décision d’intervenir a été prise de façon entièrement unilatérale. Et ceux qui veulent et peuvent, ont la possibilité d’y contribuer, mais au fond l’opération reste française [l’Espagne.

 

Des coopérations bilatérales

Ce qui est encore plus grave, est la situation des capacités militaires. Celles-ci étaient déjà insuffisantes, mais sous pression de la crise financière et économique, tous les Etats membres coupent dans leur budget de la défense. Et une quelconque coordination au niveau européen est quasiment inexistante. C’est justement aujourd’hui, compte tenu des insuffisances déjà existantes en matière de moyens cruciaux, qu’une coordination des mesures d’austérité ainsi que des investissements s’imposent, si on souhaite maintenir une défense européenne crédible.

Mais ici encore, les Etats de l’UE préfèrent des coopérations bilatérales pour des raisons pratiques, comme la coopération [aérienne] belgo-néerlandaise, aux coopérations européennes. Le pooling and sharing sur une base bilatérale est l’adage. Ce n’est pas mauvais en soi, mais à long terme ce type de coopérations ne sera viable que si elles sont encadrées dans une stratégie européenne plus large. Or, celle-ci n’existe pas.

L’achat et le déploiement de matériaux et la coopération nécessitent plus que jamais une coopération entre pays, mais cela vaut aussi pour l’industrie de la défense européenne qui est très fragmentée. Comparés à d’autres pays, les Etats de l’UE investissent peu en recherche et développement militaire. Le peu d’investissements effectués ont par ailleurs peu d’impact parce que les Etats membres – surtout les grands – protègent leur propre industrie. Résultat : des doublons, des frais de production trop élevés, des matériels très coûteux et une perte de compétitivité sur les marchés internationaux.

Mais la plus grande perte serait que, si cette situation se poursuit, l’Europe ne soit plus en mesure de garantir sa propre sécurité en s’appuyant sur sa puissance industrielle.

Bref, face aux ambitions militaires confondues, la réalité n’est faite que de coupes claires. La question est de savoir si les 19 et 20 décembre, les Etats de l’UE seront prêts et capables de renoncer à leur propres intérêts en faveur de l’intérêt général. Sinon, ce sera un nouveau sommet européen de perdu, et les propos de Mark Eyskens seront toujours d’actualité, tant d’années après.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 08:55
Premier séminaire bilatéral franco-indonésien de réflexion stratégique

 

Source IHEDN

 

L’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) et le National Resilience Institute of the Republic of Indonesia, aussi appelé « Lemhannas RI », ont organisé leur premier séminaire bilatéral de réflexion stratégique à Paris, le 26 novembre 2013. Les échanges entre les deux parties ont principalement porté sur la relation bilatérale franco-indonésienne, ainsi que l’importance de l’Indonésie comme pays émergent et 1ère puissance régionale en Asie du Sud-est. Une seconde édition de ce séminaire aura lieu à Djakarta au mois de mai 2014. »

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 08:50
New TRS-4D naval radar for German F125 frigates demos capabilities in sea trials

 

Dec 17, 2013 ASDNews Source : Cassidian

 

    High precision, particularly when detecting small targets

 

Cassidian’s new radar for the German Navy’s F125 class frigates has demonstrated its particular reconnaissance and surveillance capabilities during tests in the North Sea and Baltic Sea and during factory acceptance tests. In two test series of several weeks, the TRS-4D naval radar showed an extraordinarily high precision, particularly when detecting small targets such as UAVs, guided missiles and periscopes. Subsequently, the customer confirmed the system’s capabilities during the factory acceptance test at Cassidian’s Ulm location.

 

At the beginning of the test series, which ran for over a year, the radar underwent functional tests on the beach, which were carried out by the Bundeswehr Technical Centre No. 71 in Surendorf. Next year, the first system is planned to be integrated into the “Baden-Württemberg” lead ship.

 

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 08:45
Corymbe : Le « Commandant L’Herminier » en escale à Port-Gentil

 

17/12/2013 Sources : EMA

 

Du 13 au 15 décembre 2013,l’aviso « Commandant l’Herminier » a fait escale à Port-Gentil au Gabon à l’issue d’une patrouille dans le Golfe de Guinée.

 

Cette relâche opérationnelle de 48 heures a été l’occasion pour l’équipage du « Commandant l’Herminier » de partager son expérience avec 110 élèves du Centre d’Instruction Navale (CIN) de Port-Gentil. Les échanges ont porté sur de  nombreux domaines tels que la détection, les transmissions, l’artillerie, le secrétariat, la sécurité, la navigation et la manœuvre.

 

Les élèves gabonais, engagés depuis quelques semaines seulement, ont pu découvrir un bâtiment de combat étranger. Ils se sont immergés, selon leur spécialité, dans les différents services du « Commandant l’Herminier ». Chacun s’est retrouvé dans le poste qu’il aura dans sa future affectation. Les détecteurs ont ainsi pu découvrir le radar et son fonctionnement, les transmetteurs se sont vus présenter les différents moyens de communication du bord, les artilleurs ont visité les installations et manipulé la mitrailleuse de 12,7 mm. Les timoniers ont visité la passerelle et se sont perfectionnés dans la réalisation d’un point ; les manœuvriers se sont fait présenter l’amarrage et ont manipulé la ligne de mouillage. Enfin, pendant que les élèves secrétaires ont travaillé sur les tâches administratives du bord, les « sécuritards » se sont formés à l’attaque d’un sinistre et ont pu mettre en œuvre une manche à incendie.

 

Corymbe est une mission de présence quasi permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée, en place depuis 1990. Le dispositif est armé au minimum par un bâtiment de la Marine nationale qui peut être ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués.

Corymbe : Le « Commandant L’Herminier » en escale à Port-GentilCorymbe : Le « Commandant L’Herminier » en escale à Port-Gentil
Corymbe : Le « Commandant L’Herminier » en escale à Port-Gentil
Corymbe : Le « Commandant L’Herminier » en escale à Port-GentilCorymbe : Le « Commandant L’Herminier » en escale à Port-GentilCorymbe : Le « Commandant L’Herminier » en escale à Port-Gentil
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 08:45
Détermination et neutralité, Jean-Yves le Drian en visite en RCA et au Tchad

 

17/12/2013 Asp. Camille Martin

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu en République centrafricaine et au Tchad le vendredi 13 décembre. Lors de ses différents entretiens avec les forces déployées et les représentants des hautes autorités institutionnelles et religieuses, le ministre a insisté sur le message clef de l’opération Sangaris : détermination et neutralité.

 

Détermination et neutralité, la France ira jusqu’au bout de la mission qu’elle s’est fixée. A l’occasion de sa visite en République centrafricaine (RCA) et au Tchad, le vendredi 13 décembre, le ministre de la Défense a souligné la détermination de Paris à mener à bien l’opération Sangaris, lancée le 5 décembre en RCA. Un message adressé aux principaux acteurs du conflit rencontrés par Jean-Yves Le Drian lors de sa visite. Le ministre s’est entretenu, vendredi matin, à Bangui, avec les chefs de la Misca (Mission internationale de soutien à la Centrafrique), avant de rencontrer les forces françaises déployées à Bossangoa dans le nord du pays. De retour à Bangui, il s’est entretenu avec le représentant de l’autorité de transition, M. Djotodia. Dans la soirée, le ministre a rejoint N’Djamena où il a rencontré le Président Déby et des éléments de la mission Epervier.

 

Pour accéder au désarmement des milices de l’ex-Séléka, principale mission des forces françaises en RCA, la France compte sur la montée en puissance de la force africaine, la Misca, dont les effectifs devraient passer dans les prochains jours de 3 200 à environ 4000 hommes. Des contingents marocain et béninois sont actuellement attendus en RCA. Ce renforcement de la Misca doit permettre à la force africaine d’occuper le terrain, notamment à Bangui, et de libérer les unités françaises pour des missions à l’extérieur de la capitale, en particulier dans l’ouest du pays.

 

Le ministre a demandé aux soldats français de veiller à ce que « les populations civiles musulmanes comme chrétiennes, ne soient pas les cibles de représailles aveugles » et ainsi écarter tout risque de conflit confessionnel. Paris compte sur la neutralité des forces en place et sur les appels à l’apaisement des autorités religieuses pour faire baisser les tensions. Une demande clairement exprimée par le ministre de la Défense qui a rencontré, lors de sa visite à Bossangoa, les autorités religieuses locales.

Détermination et neutralité, Jean-Yves le Drian en visite en RCA et au Tchad
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 08:35
Le Japon élève ses dépenses militaires

 

17/12/13 - 7sur7.be (Belga)

 

Le gouvernement japonais a décidé mardi d'augmenter de 5% ses dépenses militaires dans les cinq ans à venir, afin d'acheter des équipements de défense de territoires insulaires en pleine tension avec la Chine.

 

Le Premier ministre conservateur Shinzo Abe a donné son feu vert à des dépenses de 24.700 milliards de yens (175 milliards d'euros) entre 2014 et 2019, qui comprennent l'achat de drones, d'avions à décollage vertical, de véhicules amphibies et de sous-marins.

 

L'ensemble vise à faire basculer la priorité de défense du Japon vers les îles de l'ouest et du sud de l'archipel, alors qu'elle restait focalisée jusqu'à présent sur les plans de protection du nord et de l'est du pays face à l'ex-Union soviétique, datant de la guerre froide. Avec ces nouveaux équipements et priorités, le Japon veut se doter "de forces de défense conjointes dynamiques" capables de faire face à une invasion combinée dans les airs, sur mer et sur terre.

 

"La Chine (...) prend un chemin dangereux qui peut entraîner des situations d'urgence imprévues", a précisé la nouvelle stratégie adoptée mardi. Le Japon et la Chine connaissent depuis l'année dernière un fort regain de tension à propos de la souveraineté sur un archipel inhabité de mer de Chine orientale, administré par Tokyo sous le nom de Senkaku mais revendiqué avec force par Pékin qui les appelle Diaoyu.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 08:35
Le lieutenant-général Compernol visite les Belges en Afghanistan

 

17/12/13 Stephan Boonen – MIL.be

 

Du 12 au 13 décembre 2013, le lieutenant-général Marc Compernol a visité les militaires belges et luxembourgeois en Afghanistan. Le sous-chef d'état-major Opérations et Entraînement s'est rendu à Mazar-e-Sharif, Kaboul et Kandahar avec plein de cadeaux. La Défense veut, de cette manière, redonner courage aux militaires qui ne seront pas auprès de leur famille pendant les fêtes.

 

Photos Nicolas Deplanque >>

 

Le premier stop après environ sept heures de vol est Mazar-e-Sharif. Cinquante-trois Belges travaillent sur cette base allemande. Sous une grande tente, nous rencontrons entre autre le jeune sergent C. B. du 4e Bataillon Génie. Il est responsable de la protection de l'équipe EOD (Explosive Ordenance Disposal - en d'autres termes : les démineurs). Il explique : « En fait, nous protégeons les démineurs. Cela va de la détection des paquets suspects dans le camp au démantèlement d'instruments improvisés en dehors du camp. Nous sortons donc régulièrement. Pendant ma dernière mission au Liban nous étions moins libres. Nous devions travailler davantage en peloton. Actuellement, j'ai la chance d'être plus indépendant et de travailler avec de plus petites équipes. »

 

Il a reçu un cadeau des mains du lieutenant-général Compernol. Dans la belle petite boîte bleue, se trouve une montre qui peut également mesurer son rythme cardiaque lorsqu'il fait du sport. Le sergent B. commente : « Super cadeau. Je suis content car on se dit qu'on pense tout de même à nous. »

 

Avant de souhaiter une bonne santé et un équilibre harmonieux entre travail et famille, le lieutenant-général Marc Compernol a dressé le bilan de l'année écoulée : « 2013 était une bonne année pour la Défense. La mission au Mali où l'on a aidé les Français était un succès. Un samedi, j'ai reçu un coup de téléphone pour envoyer un C-130 et le mardi, il était déjà sur place. Le redéploiement de Kunduz est un exemple à citer. Et la formation des trois bataillons en République Démocratique du Congo a déjà porté ses fruits » a-t-il conclu.

 

Le matin suivant, la délégation s'est envolée vers Kaboul. Sur place, 24 militaires y travaillent. L'adjudant C. H. du Centre de Compétence de la Composante Terre - Département Manœuvre est l'un d'eux. Il a également un job particulier. « Ici, je travaille pour le counter IED Team. Cela signifie que je donne cours à des personnes sur l'ensemble du territoire afghan quant à l'explosion contrôlée des engins improvisés. Je forme également les instructeurs. Avec cette équipe mobile, je travaille dans toutes les provinces de l'Afghanistan. Je ne prends évidemment pas la route sans protection. Parfois ce sont les Américains qui effectuent la Force Protection, parfois ce sont les Italiens ou les Croates.

 

Il a également reçu un cadeau. « Il s'agit, cette fois, d'un vrai cadeau pour les militaires. Ce n'est pas quelque chose que l'on découvre pour ensuite le mettre de côté. Cela arrive à point nommé. Je suis content que la Défense offre ce genre de chose car elle pense aussi à la condition physique des militaires. Je suis très content et je m'excuse car je dois prendre mon avion. » Pendant cette visite de la délégation, l'adjudant H. est parti avec son équipe mobile vers Hérat pour donner cours à une unité afghane.

 

Le lieutenant-général Compernol a également donné une petite explication. « 2014 sera une année particulière. Il y a évidemment les élections qui approchent. Si la Belgique veut rester active en Afghanistan, le gouvernement devra confirmer la chose en 2014. Au Liban, les points de déminage sont presque achevés et il faudra également connaître nos tâches futures. La Marine participera avec une frégate à l'opération Atalanta le long des côtes somaliennes. L'année prochaine, elle reçoit aussi deux navires ready duty. Et du matériel sera encore acheté. C'est le cas pour les sniper-pods des F-16. La Composante Terre se dote également du système ROSS (Remotely Operated Self-defense System) sur 70 LMV. »

 

Tout le monde a embarqué dans un avion pour être accueilli deux heures plus tard à Kandahar par le personnel de l'OGF (Opération Guardian Falcon). Sur place, 127 militaires veillent en permanence à l'engagement de six F-16 dans l'appui aux troupes de l'OTAN. Le commandant T. F., pilote de F-16, voit clairement la différence entre les premières missions à Kandahar et la mission actuelle : « Nous venons juste de prester la 15 millième heure de vol et effectuerons, fin décembre, notre 5 millième mission en Afghanistan. Mais nous en ressentons également la fin. Les demandes pour une intervention en GCAS (ground close air support) sont en chute libre. Nous pouvons uniquement appuyer les troupes de l'OTAN, mais comme celles-ci sont progressivement remplacées par les Afghans, les missions deviennent moins fréquentes.

 

La Composante Médicale est également active à Kandahar. Le commandant J. D. y travaille en tant que medical planner. Une fonction unique dans le milieu médical. Elle oeuvre dans une équipe de 15 militaires dont certains sont Américains ou Australiens.

Elle se charge du planning médical à court et à moyen terme. Son équipe veille à ce que chaque soldat blessé soit amené dans l'heure dans un hôpital pour y recevoir les soins chirurgicaux nécessaires. « Dans la zone du Commandement Régional Sud, il y a trois tâches. La première est relative aux opérations et le planning. La deuxième concerne le PECC ou Patient Evacuation Coordination Cell. Elle veille à faire parvenir le bon matériel à la bonne personne le plus rapidement possible. De plus, il reste la tâche de Clinical Operations relative à la prévention et au développement.

 

Le lieutenant-général Compernol a ensuite distribué les cadeaux avant de clôturer sa visite. Il s'est exprimé une dernière fois : « 2013 était une très belle année pour les opérations. Il n'y a pas eu d'incidents majeurs et personne n'a été blessé. En 2014, les F-16 quitteront probablement Kandahar. Dans quelques jours, les avions de chasse américains quitteront Kandahar et les Britanniques suivront l'année prochaine. J'attends énormément du statut BDL (Berpekte Duur, Durée Limitée) dans les prochaines années. Nous allons recruter davantage de jeunes et rajeunir notre personnel. Pour 2014, et certainement 2015, de nombreuses incertitudes en rapport avec les prochaines élections demeurent. Pour l'an neuf, je vous souhaite bon nombre d'accomplissements personnels et professionnels. Veillez à rentrer sains et saufs à la maison. »

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 08:20
Rolls-Royce work ongoing on engines used on V-22s

 

LONDON, Dec. 17 (UPI)

 

The Naval Air Systems Command has exercised a final option year of a contract with Rolls-Royce for the company's support of AE 1107C engines for V-22 aircraft.

 

The option, the fifth for the company's MissionCare services, carries a value of $57.1 million and includes repair and support services at Rolls-Royce's facilities in Indianapolis and Oakland, Calif.

 

"Rolls-Royce is committed to providing innovative and affordable support to our U.S. military customers," said Rolls-Royce President Paul Craig. "We are focused on keeping their aircraft flying while continually seeking new solutions that will enhance their mission capability in future."

 

The Bell Boeing V-22 has both vertical takeoff and landing and short takeoff and landing capabilities. It is flown by the U.S. Marine Corps and U.S. Air Force.

 

Rolls-Royce said it has developed modifications to the AE 1107C engine which enable it to deliver 17 percent additional power. The modifications are being implemented under the MissionCare support contract and have increased "hot and high" performance while significantly increasing time on wing.

 

Details of the modifications were not provided.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:55
 Eurosatory 2014

source Eurosatory

 

Eurosatory 2014 continues its development:

- Latest technologies in French Overseas Military Operations, with the presence of the French Ministry of Defence and the French Army Forces on a 3523 m² exhibition area.
- A special area dedicated to security and assistance to population, with Police, Gendarmerie and Firefighters stands.
- A growing exhibition area, including 34 international pavilions (2012 figures). New countries in 2014: Colombia and Japan.
- Two fully reorganized halls for optimal visitor circulation and a large area of outdoor display.

 

mosaique1

Eurosatory 2014, the entire supply chain offering at one single event:

- Major multinational industry prime contractors, OEMs, innovating and specialized companies, and Defence & Security subcontractors.
- The entire Land and Air-Land D&S Supply chain, from core components to final products
- Access proven solutions at controlled cost as well as high-technology products.

The always acclaimed technology clusters, expanded in 2014 and linked to latest trends:

- Simulation & training
- Unmanned aerial and ground vehicles
- Embedded electronics
- Measurements, tests and testing centers
- CBRNe
- Infrastructure & Critical facilities protection
- Civil security & Emergency Response

Eurosatory is also:

The CEO’s exhibition - Over 50 % of exhibiting companies are represented by their Chairman or CEO, underlining the exceptional value of this unique event.

The simulation exhibition - The large number of simulation exhibitors makes Eurosatory one of the world’s major simulation events and the first in Europe.
 

  Get your free e-badge
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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:50
New Typhoon squadron announced

An RAF Typhoon jet accelerates and climbs rapidly during a training sortie (library image) [Picture: Senior Aircraftman Andrew Seaward, Crown copyright]

 

13 December 2013 Ministry of Defence

 

One of the oldest squadrons in the Royal Air Force is to be re-equipped with the latest Typhoon jets.


 

The move is part of a transformation of the RAF’s combat air capability which will see battle-proven Tornado GR4 aircraft replaced by advanced Typhoon and F-35B Lightning II fighters.

Number 2 (Army Co-operation) Squadron, based at RAF Marham, celebrated 100 years of service in 2012 and its personnel are currently training for their next tour of duty early next year flying Tornado jets in Afghanistan.

After that, the unit will begin the process of swapping its Tornados for Eurofighter Typhoons and transfer to its new base at RAF Lossiemouth.

The move was announced by the Minister of State for the Armed Forces, Mark Francois, who said the change was part of the planned realignment of the RAF’s long-serving Tornado Force, under which all GR4s will leave the service by 2019.

Tornado during operations in southern Afghanistan
An RAF Number 2 (Army Co-operation) Squadron Tornado during operations in southern Afghanistan (library image) [Picture: Corporal Neil Bryden RAF, Crown copyright]

Mr Francois said:

Number 2 (AC) Squadron has the distinction of being one of the oldest fixed-wing flying squadrons in the world, having formed in 1912.

Since being equipped with Tornado aircraft in 1989 it has served with distinction on operations in Libya, the Balkans and Iraq and will complete its final tour of duty in Afghanistan in early 2014.

I can announce that it will formally disband as a Tornado squadron on 31 March 2015 and will re-equip to form a new front line Typhoon squadron based at RAF Lossiemouth the next day on 1 April 2015.

I am sure that Number 2 (AC) Squadron’s valuable contribution to operations throughout its long and distinguished history will continue as it helps maintain the strong traditions of RAF Lossiemouth as a main operating base for the RAF into the future.

The newly-reformed Number 2 (AC) Squadron will be the fifth front line RAF Typhoon squadron.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:45
Envoi de 150 soldats belges en Centrafrique: «prématuré» selon la défense [belge]

 

17.12.2013 G.My avec agences - lesoir.be

 

L’information selon laquelle des militaires belges effectueront une « mission de protection » des aéroports en Centrafrique a été démentie par la Défense et par l’état-major de l’armée. L’armée n’en est qu’à « examiner » la demande française pour ce qui va au-delà du transport aérien a affirmé une source militaire.

 

Tant le cabinet du ministre de la Défense que l’état-major de l’armée ont indiqué mardi tout ignorer du projet d’envoyer quelque 150 militaires belges en Centrafrique pour assurer une « mission de protection » des aéroports du pays. C’est l’Agence France presse qui avait évoqué un peu plus tôt cette option.

 

Le conseil des ministres restreint a donné vendredi dernier son feu vert à la mise à disposition de l’opération française Sangaris en République centrafricaine (RCA) d’un avion de transport gros-porteur Airbus A330 et d’un avion de transport tactique C-130H « Hercules » mais écarté l’envoi de troupes terrestres, comme demandé «  informellement  » par Paris, ont rappelé des porte-parole du ministre de la Défense, Pieter De Crem, et de l’état-major.

 

Alors que l’envoi de troupes avait jusqu’ici été écarté, l’Agence France Presse annonçait avoir appris ce mardi de source militaire que la Belgique envisageait d’envoyer 150 soldats en Centrafrique pour une «  mission de protection  » des aéroports. Une décision qui autait été prise à la demande de la France.

 

 

photo Composante Air

photo Composante Air

Le gouvernement belge, qui a déjà donné son feu vert à la mise à disposition de l’opération Sangaris d’un avion de transport gros-porteur Airbus A330 et d’un avion de transport tactique C-130 Hercules, étudierait la «  faisabilité  » d’aller plus loin, à la suite d’une demande «  informelle  » de Paris.

 

«  C’est totalement prématuré  », a réagi une source militaire informée, expliquant que l’armée n’en était qu’à «  examiner  » la demande française pour ce qui va au delà du transport aérien.

 

Des soldats de pays européens « bientôt » déployés

 

Laurent Fabius, chef de la diplomatie française, a de son côté annoncé que des soldats d’autres pays européens seraient bientôt déployés en Centrafrique où intervient déjà l’armée française. «  Je tiens à le souligner car c’est l’une des premières fois que cela se produit  », a déclaré Laurent Fabius à l’Assemblée nationale. Aucune précision n’a pu être obtenue au ministère sur le nombre de pays et leur identité.

 

L’opération française Sangaris en Centrafrique a officiellement commencé le 5 décembre. Quelque 1.600 soldats français interviennent en soutien des troupes africaines (3.200 hommes à ce jour) de la force Misca pour rétablir l’ordre et la sécurité et désarmer les milices dans ce pays où les violences ont pris un tour confessionnel entre chrétiens (80 % des 4,5 millions d’habitants) et musulmans.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 20:55
photo Olivier Berger - Défense globale

photo Olivier Berger - Défense globale

 

12.12.2013 propos receuillis par Antoine Fouchet - La Croix

 

 La nouvelle loi de programmation militaire (2014‑2019) constitue  « un défi »  sur le plan de la gestion des effectifs, mais permet de mener deux opérations à l’étranger en même temps, explique à  La Croix  le général Bertrand Ract-Madoux, chef d’état-major de l’armée de terre.


La Croix. La loi de programmation militaire 2014-2019 a été votée mardi, succédant à celle de 2009-2014. Comment accueillez-vous ce vote ? 

 Bertrand Ract-Madoux : Je note avec satisfaction que la nouvelle loi a été votée avant la fin de cette année, ce qui lève les incertitudes en termes de calendrier. La succession de ces deux lois constitue un défi, en raison surtout des diminutions d’effectifs qu’elle prévoit. Le reliquat des diminutions de la loi précédente (10 000 suppressions de postes restant encore à réaliser) et les déflations fixées par la nouvelle loi (environ 24 000 suppressions) font un total important pour le ministère. Bien entendu, ce n’est pas à l’armée de terre d’en subir seule les conséquences. C’est à la totalité du personnel de la défense. Ces déflations doivent, année après année, faire l’objet d’études et d’arbitrages complexes pour ne pas mettre en péril le bon fonctionnement de telle ou telle composante de l’ensemble.

 

Quelles sont les réductions d’effectifs envisageables dans l’armée de terre ? 

 B. R.-M. : Une brigade inter­armes devrait être dissoute, sur les huit qui existent. Soit environ 6 000 militaires. Seront concernés un petit état-major, deux régiments d’infanterie, un régiment de cavalerie et un régiment d’artillerie. Il y aura aussi quelques restructurations internes à certains régiments. La suppression d’un régiment d’infanterie (le 110e  RI de la ville allemande de Donaueschingen) et d’un régiment de cavalerie (le 4e  régiment de dragons de Carpiagne) a déjà été annoncée et sera effective en 2014. L’été prochain, la suppression des autres régiments devrait être annoncée. J’espère qu’on s’arrêtera là.

 

L’armée de terre pourra-t-elle mener plusieurs opérations à l’étranger en même temps ? 

 B. R.-M. : Le format de l’armée de terre défini par la loi est en cohérence avec le nouveau contrat opérationnel des armées, fixé par le livre blanc de la défense, rendu public le 29 avril par la présidence de la République et à la rédaction duquel les chefs d’état-major ont été associés. Ce contrat opérationnel prévoit une armée de terre dotée de 66 000 hommes projetables – au lieu de 72 000 aujourd’hui – et capable d’envoyer 15 000 hommes sur un théâtre de crise majeure et jusqu’à 7 000 en cas de crises internationales de faible intensité. Actuellement, nous avons plus de 6 000 hommes dans des opérations à l’étranger, essentiellement au Mali et en Centrafrique, ce qui entre dans le cadre conçu par le livre blanc. Enfin, le chiffre de 15 000 militaires correspond, par exemple, aux effectifs que l’armée de terre avait déployés lors de la première guerre du Golfe, en 1990-1991.

 

Quel est votre constat concernant les programmes d’équipements et les crédits de fonctionnement prévus par la loi ? 

 B. R.-M.  : Dans ce texte, les programmes d’équipements me paraissent faire l’objet d’un compromis adapté au nouveau contrat opérationnel. C’est un aspect positif. Bien qu’étalés dans le temps et en réduction, ils n’en assureront pas moins une modernisation de l’armée de terre. Qu’il s’agisse du renouvellement des véhicules blindés médians (programme Scorpion), des hélicoptères (Tigre et NH90), des missiles (Missile de moyenne portée) et de l’équipement du fantassin (Félin). Aucune capacité n’est oubliée. Les parlementaires ont, par ailleurs, inscrit une « clause de revoyure » permettant de contrôler l’application de la loi. Il est fondamental que ces engagements soient respectés.

En ce qui concerne les crédits de fonctionnement, une certaine stabilité doit permettre de maintenir les conditions de vie et de travail de nos soldats au niveau actuel, même si ce niveau est « juste insuffisant », comme l’ont dit les parlementaires.

 

Quel est le moral des troupes ? 

 B. R.-M.  : Au sentiment d’inquiétude diffus résultant des réductions d’effectifs s’ajoutent des difficultés dans la vie quotidienne et les conditions d’exercice du métier. Commencé voilà plusieurs années, le programme de rénovation des logements dans les casernes a pris du retard à cause de la diminution des crédits. Il y a aussi la catastrophe du système informatisé de paie Louvois. Le moral de nos soldats reste satisfaisant, mais il est en baisse, du fait de ces difficultés. Nous sommes obligés de leur expliquer que ce train de vie a minima va durer quelque temps encore.

 

Par  « a minima »,  voulez-vous dire que c’est un niveau au-dessous duquel il ne faut pas descendre ? 

 B. R.-M. : Exactement. Toutes les autorités civiles et militaires le savent. À force de rationalisation et de restructurations sur plusieurs années, les moyens de l’armée de terre ont atteint un niveau minimum, quelquefois au-dessous du minimum, comme pour l’entretien des équipements.

 

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La mort de deux soldats, « une épreuve douloureuse »
Après la mort de Nicolas Vokaer et Antoine Le Quinio, tués mardi à Bangui, le général Ract-Madoux nous a confié : « La mort de soldats en opérations constitue une épreuve douloureuse pour leur famille, mais aussi pour leurs camarades et chefs. Mes premières pensées se tournent vers leurs proches pour leur dire que la communauté militaire s’associe à l’immensité de leur peine. Le dévouement absolu de ces deux héros rejoint le sens du devoir des Français qui, avant eux, ont combattu sur notre sol pour éviter à notre pays l’effondrement et sous d’autres horizons pour défendre ceux qui ne peuvent se défendre seuls. Par leur courage, ils rappellent que la France demeure une Nation forte prête à défendre, au mépris des dangers, les valeurs qui fondent son identité. »

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:50
Signing of EDA-Serbia Administrative Arrangement
 

Brussels - 13 December, 2013 European Defence Agency

 

Catherine Ashton, High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy and Head of the European Defence Agency (EDA), and Nebojša Rodić, Serbian Minister of Defence, signed today an Administrative Arrangement between the EDA and the Serbian Ministry of Defence. 

The conclusion of the Administrative Arrangement follows a mandate provided by the EDA Steering Board. The EU Council approved the Administrative Arrangement in May 2013.
The Administrative Arrangement formalises the relationship between EDA and Serbia, enabling Serbia’s potential participation in EDA’s projects and programmes. Cooperative areas remain to be further defined, but Research & Technology and training are examples of possible cooperative areas.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:45
Corymbe : soutien au déploiement des forces françaises en Centrafrique

 

17/12/2013 17:41 Sources : EMA

 

Le 12 décembre 2013, le bâtiment de projection etde commandement (BPC) Dixmude, aaccosté à Douala, au Cameroun, pour débarquer du matériel au profit del’opération Sangaris en République Centrafricaine

 

Les véhicules débarqués ont été chargés le 6 décembre au Gabon, au large de Libreville, auprès des forces françaises du Gabon (FFG). Au mouillage, le BPC a mis en œuvre ses capacités amphibies pour embarquer le matériel des FFG. Les liaisons entre le bâtiment et la plage de Libreville ont été effectuée avec un engin de débarquement amphibie rapide (EDAR) et deux chalands de transport de matériel (CTM). Au cours du chargement, des manœuvres aviations ont eu lieu avec les FFG, afin de qualifier à l’appontage les pilotes de l’hélicoptère Fennec de l’armée de l’Air.

 

Le 8 décembre, le Dixmudea effectué une escale technique à Abidjan, en Côte d’Ivoire, pour procéder à son ravitaillement en carburant. A nouveau, des manœuvres aviations ont eu lieu avec les pilotes de l’hélicoptère Fennecde l’armée de l’Air de la force Licorne. Là encore, le but était de les qualifier à l’appontage. A l’issue de ce ravitaillement, le Dixmude a repris sa route vers Douala, où il avait déjà accosté le 28 novembre dernier. A cette occasion, les éléments de la réserve opérationnelle embarquée (ROE) avaient quitté le bâtiment le 1er décembre pour rejoindre la République Centrafricaine par la route.

 

Corymbe est une mission de présence quasi permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée, en place depuis 1990. Le dispositif est armé par un ou plusieurs bâtiments de la Marine nationale qui peuvent être renforcés par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués.

 

Le dispositif Corymbe complète le dispositif français prépositionné en Afrique occidentale, au Gabon et au Sénégal. Il peut soutenir toute opération, en cours comme Licorne en Côte d’Ivoire, ou nouvelle comme des opérations d’aide aux populations, de sécurisation ou d’évacuation de ressortissants. Corymbe permet également la réalisation de missions de coopération bilatérale avec les pays de la région.

Corymbe : soutien au déploiement des forces françaises en Centrafrique
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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:35
Tensions Chine-Japon: Tokyo va augmenter ses dépenses militaires

 

17 décembre 2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Le gouvernement japonais a annoncé qu’il allait augmenter sensiblement ses dépenses militaires au cours des cinq prochaines années, afin d’acheter des équipements de défense de territoires insulaires en pleine tension avec la Chine.

 

Le Premier ministre conservateur Shinzo Abe a ainsi donné son feu vert à des dépenses de 24 700 milliards de yens (254 milliards $) entre 2014 et 2019, soit une hausse de 5%. Le gouvernement prévoit acheter des drones, des avions à décollage vertical, des véhicules amphibies et des sous-marins.

Tous ces équipements ont pour but de refocaliser la priorité de défense du Japon du nord et de l’est (ex-URSS) vers le sud et l’ouest de l’archipel.

«La Chine [...] prend un chemin dangereux qui peut entraîner des situations d’urgence imprévues», a précisé la nouvelle stratégie adoptée mardi.

Depuis plus d’un an maintenant, la Chine et le Japon font monter les tensions en mer de Chine, notamment à cause de la souveraineté d’un archipel inhabité, administré par Tokyo sous le nom de Senkaku mais revendiqué avec force par Pékin qui l’appelle Diaoyu.

 

 

La Chine envoie régulièrement des navires dans les eaux territoriales de ces îlots à 200 km au nord-est de Taïwan et à 400 à l’ouest d’Okinawa (sud du Japon), où croisent aussi des bateaux des garde-côtes japonais, ce qui fait craindre un éventuel incident armé entre les deux puissances asiatiques.

Le 22 novembre dernier, la Chine a franchi un nouveau palier en décrétant une «zone aérienne d’identification» (ZAI) sur une large partie de la mer de Chine orientale, qui chevauche celle du Japon et surtout englobe les îles de la discorde.

Techniquement Pékin exige de tout appareil étranger qui la traverse de s’identifier, mais le Japon, les États-Unis et la Corée du Sud y ont depuis fait voler des appareils militaires sans en informer Pékin, afin de montrer qu’ils faisaient fi de cette demande.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:30
MEKO 200T series of the Turkish Navy

MEKO 200T series of the Turkish Navy



HAIFA, Israel, Dec. 17 (UPI)

 

The Israeli navy is getting two German-built frigates under a $1.37 billion contract that will build up its maritime firepower, officials said.

Their primary mission is expected to be protecting the Jewish state's rich natural gas fields in the eastern Mediterranean.

The warships, which the Israelis are expected to pack with their own weapons and electronic systems, such as the Barak 8 medium-range air defense system produced by Israel Aerospace Industries, will be the most advanced surface vessels in the Israeli navy.

The frigates will reinforce three advanced Super Dvora Mark III missile corvettes, known as Sa'ar 5s, currently on order from state-run IAI's shipyards in Haifa. These ships will join four already in service and will be primarily deployed to shield the offshore fields that currently contain an estimated 30 trillion cubic feet of natural gas, with more expected that will earn an estimated $150 billion in export revenue over the next two decades.

That makes the gas fields, and the attendant production infrastructure, a high-value strategic asset that will transform the country's economy after decades of dependence on imported energy.

The German vessels are believed to be MEKO class F221 frigates developed by Blohm + Voss at their Hamburg yards equipped with 76mm guns, surface-to-air missiles, torpedoes and Harpoon anti-ship missiles.

Defense sources say the Israelis were split between buying four low-end corvettes or two high-end frigates, but opted for the more advanced vessels because they can undertake other missions, such as countering the growing submarine threat in the Mediterranean and the Red Sea.

Iran has said it will deploy its Russian-built Kilo-class submarines in these waters, while Egypt is negotiating with Germany to acquire at least two Type-209 diesel-electric attack submarines produced by Howaldtswerke-Deutsche Werft AG of Kiel.

HDW also builds the advanced Dolphin-class submarines deployed by the Israeli navy, with four operational and two more under construction. The Dolphin is based on the Type-209 but with classified Israeli missiles and electronic systems.

The 7,000-strong Israeli navy, long the Cinderella service of the armed forces, has been expanding at a time when Israel's defense budget is being heavily cut.

That situation could change once gas exports get underway, possibly via underwater pipelines to Turkey or Europe, or via liquefied gas terminals from which exports are shipped by tanker.

The Israeli press has reported on more than one occasion that the cost of bolstering the navy's capabilities could be partly underwritten by state-owned companies involved in constructing and operating the gas field infrastructure.

In April, Capt. Ilan Lavi, director of the Israeli navy's planning division, said the new offshore gas industry offers Israel's adversaries a tempting target whose destruction would have a strategic impact on Israel's economy.

"We have to build an entirely new defensive envelope," he said.

The navy has been gradually building up patrols around the gas fields, primarily the largest fields, Leviathan and Tamar off the coast of northern Israel.

Tamar, with some 8.4 trillion cubic feet of gas, began production in March. Leviathan, which covers around 125 square miles and contains around 17 trillion cubic feet of gas, is expected to follow in 2016.

Security concerns grew this year when Russia supplied Syria with 72 supersonic Yakhont anti-ship missiles, some of which the Israelis fear could be handed over the regime's Lebanese ally Hezbollah.

The Yakhonts have the range to reach the Israeli gas fields, particularly if fired from south Lebanon.

"Another danger is a proximity attack, by frogmen, by boats, by terrorists in some fashion," Gen. Giora Eiland, a former Israeli national security adviser, told the Globes business daily recently.

Hezbollah, backed by Iran and Syria, is viewed as a particular threat.

Its guerrillas drove Israeli forces out of south Lebanon in May 2000 to end 22 years of occupation and fought Israel's vaunted military to a standstill in a 34-day war in 2006. Hezbollah is currently believed to have an arsenal of more than 60,000 missiles and rockets.

In February 2012, the Israeli navy seized an Iranian arms shipment that authorities said was bound for the Palestinian Hamas group in the Gaza Strip bordering southern Israel. It contained 50 tons of arms, including six Nasr-1 radar-guided anti-ship missiles.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:20
B-2 Stealth Bomber – 20 Years In Operational Service

 

December 17, 2013. David Pugliese - Defence Watch

 

News release from Northrop Grumman Corporation:

 

On a grey, chilly afternoon 20 years ago today, the first operational B-2 stealth bomber, the Spirit of Missouri, circled the airfield at Whiteman Air Force Base, Mo., once, then landed, marking the start of a remarkable history that has given the U.S. one of its most powerful defensive – and diplomatic – weapons.

 

Developed, produced and sustained by a U.S. Air Force/Northrop Grumman Corporation-led (NYSE:NOC) industry team, the B-2 is the nation’s premier long range strike aircraft. The fleet of 20 bombers is based at Whiteman, near Kansas City, ready to defend the nation’s interests anywhere in the world, anytime day or night.

 

“For 20 years, the B-2 has been one of the nation’s most decisive, most effective weapon systems for defending America’s interests around the world. It deters our enemies and assures our allies of our capabilities and our commitment,” said Brig. Gen. Thomas Bussiere, commander of the Air Force’s 509th Bomb Wing.

 

The B-2, which can carry both conventional and nuclear weapons, is the only aircraft that combines stealth, long range, large payload and precision weapons. Its stealth characteristics allow it to penetrate sophisticated enemy air defenses and threaten heavily defended targets.

 

 “The strength of the B-2 lies not simply in its warfighting capabilities, but also in the passion and the spirit of innovation of the men and women who have kept it lethal and effective against evolving threats for the past 20 years,” said Dave Mazur, vice president and B-2 program manager, Northrop Grumman Aerospace Systems. “It remains one of America’s most important symbols of strength and freedom.”

 

Northrop Grumman leads all B-2 modernization efforts. It also performs programmed depot maintenance on the fleet at its B-2 program office in Palmdale, Calif. Current modernization efforts will enhance the bomber’s communications, defensive and weapons capabilities.

 

“The capabilities of the B-2, and the technological innovations behind it, are part and parcel of U.S. defensive and diplomatic leadership around the world,” said Mazur. “As it has helped define the present, so it will continue to inform and help define the future.”

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 17:55
Défense : quel changement pour demain ?

 

15.12.2013 par Olivia Gesbert - Les Retours du dimanche
 

Définitivement votée au Sénat mardi dernier, la loi de programmation militaire prévoit une réduction des effectifs ainsi que des programmes d'équipement, tout en maintenant les principales missions de l'armée (protection du territoire, capacité de projection et dissuasion).

 

Entérine-t-elle un changement de cap stratégique ? Quelle perspective pour l'armée en France ? En misant sur le renseignement, la cyberdéfense et les forces spéciales, la France sera-t-elle capable de répondre aux défis sécuritaires (inter)nationaux de demain ? Faut-il rouvrir le débat sur la dissuasion nucléaire ? Les engagements de la France à l'étranger resteront-ils cohérents avec ses capacités ? Dans un contexte de réduction des politiques de défense nationale, l'armée de demain sera-t-elle européenne ?

 

 

Avec :

 

Claude-France Arnould, directrice exécutive de l'Agence européenne de défense depuis 2011 Membre de la Commission du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale en 2012.

 

Bruno Tertraispolitologue, maître de conférence à la Fondation pour la recherche stratégique. Membre de la Commission du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale en 2007-2008 et 2012.Auteur de La menace nucléaire, (Armand Colin), L’Apocalypse n’est pas pour demain. Pour en finir avec le catastrophisme (Denoël) etl'Atlas mondial du nucléaire civil et militaire (Autrement) tous publiés en 2011.

 

Pierre Conesachercheur associé à l’IRIS, spécialiste des questions stratégiques internationales et en particulier militaires.Auteur de La fabrication de l’ennemi, ou comment tuer avec sa conscience pour soi (Robert Laffont, 2011).

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 17:50
New investment in Successor submarines

A computer-generated image of a Successor Class submarine [Picture: BAE Systems]

 

16 December 2013 Ministry of Defence

 

The Defence Secretary has announced £79 million of investment in the next generation of Royal Navy submarines.

 

 

The Successor submarines, which will carry the UK’s strategic nuclear deterrent, will be the largest and most advanced boats operated by the Navy, and their design and construction will be the most technologically complex in the history of the UK.

Two contracts worth £47 million and £32 million have been awarded to BAE Systems Maritime-Submarines who are leading on the design of the vessels.

The investment will allow BAE Systems, who currently have more than a thousand people working on the Successor programme, to begin work on some initial items for the submarines that are due to replace the Vanguard Class from 2028. It is essential these items, which include structural fittings, electrical equipment, castings and forgings are ordered now to ensure the submarines are able to meet their in-service date.

MOD has also released a picture today which shows for the first time how the early designs of Successor are taking shape. The image forms part of an update on the Successor programme that has been presented to Parliament.

Defence Secretary Philip Hammond said:

This £79 million investment is another important milestone in our preparations to build these world-leading submarines. The current Vanguard Class of deterrent submarines perform a vital role in the defence of the UK and the replacement for this capability is of national importance.

The Successor programme is supporting around 2,000 jobs, and up to 850 British businesses could benefit from the supply chain as we exploit the most modern technologies and employ a significant portion of the UK’s engineers, project managers and technicians over the coming years.

First Sea Lord Admiral Sir George Zambellas said:

The Royal Navy has been operating continuous at-sea deterrent patrols for more than 40 years and the Successor submarines will allow us to do so with cutting-edge equipment well into the future.

The submarines are being designed to be some of the stealthiest in the world and are expected to see operational service from the late 2020s right up to the 2060s.

The Successor design and build programme is amongst the most complex ever undertaken by British industry. The total number of MOD and industrial staff currently working on the Successor programme is around 2,000, with more than half working as engineers and designers.

Over 850 potential UK suppliers have so far been identified as benefiting from investment in the programme and as many as 6,000 people will be involved by the time that the construction reaches a peak

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