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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:40
L’armée russe modernise son missile S-400

S-400 Triumph photo Almaz-Anteï

 

22 novembre 2013 Info-Aviation

 

Le consortium russe Almaz-Anteï achève la conception d’un missile à plus longue portée pour le système sol-air S-400, a annoncé le 20 novembre à Moscou Vladislav Menchtchikov, directeur général du consortium.

 

« L’usine du groupe chargée de fabriquer les nouveaux missiles, en produit actuellement le premier lot », a indiqué M.Menchtchikov.

 

Le consortium se prépare à lancer la production en série des nouveaux missiles. En 2014, Almaz-Anteï effectuera « des tirs d’essai du nouveau missile avant de signer un contrat sur la production en série », a ajouté le responsable.

 

Le S-400 Triumph (code OTAN: SA-21 Growler) est un système de missiles sol-air de grande et moyenne portée destiné à abattre tout type de cible aérienne: avions, drones et missiles de croisière hypersoniques.

 

La Russie compte cinq régiments dotés de systèmes de missiles S-400 Triumph (deux pour la région de Moscou, deux pour les flottes de la Baltique et du Pacifique et un régiment pour le district militaire du Sud). Deux régiments de l’armée russe seront dotés de systèmes sol-air S-400 Triumph d’ici la fin de 2013, a précisé Mr Menchtchikov.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:35
La Corée du Sud décide d'acheter 40 chasseurs F35 à partir de 2018

 

2013-11-22 xinhua

 

La Corée du Sud a décidé d'acheter 40 avions de chasse F-35A du groupe américain Lockheed Martin pour un déploiement de quatre ans à partir de 2018 pour mieux répondre à d'éventuelles attaques nucléaires de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), a indiqué vendredi le Comité des chefs d'état-major (JCS).

 

Le président du JCS, Choi Yun-hee, s'est entretenu avec les hauts commandants de l'armée de terre, de la marine et de l'armée de l'air pour décider du nombre et des caractéristiques techniques requises pour les nouveaux chasseurs dans le cadre du programme d'acquisition de chasseurs nouvelle génération.

 

"Les capacités opérationnelles nécessaires (COR) pour des avions de chasse de la prochaine génération ont été révisées pour se préparer à l'éventuelle concrétisation des menaces nucléaires et balistiques émanant de la RPDC. Le système de frappe 'Kill Chain' requiert un avion pouvant s'infiltrer discrètement pour frapper la cible", a indiqué aux journalistes le porte-parole du JCS, le colonel Eom Hyo-sik, lors d'un point de presse.

 

Il a également déclaré que des avions de chasse avec des fonctions furtives de pointe et des capacités avioniques poussées pour les offensives aériennes seraient nécessaires pour dissuader de futures provocations de la RPDC.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:35
La Corée du Sud doit-elle participer à la «guerre des étoiles» américaine?

Les nouveaux missiles de croisières sud-coréens Hyunmoo-3 and Hyunmoo-2 déployés durant les festivités du 65e anniversaire de l’armée à l’aéroport militaire de Seongnam, au sud de Séoul le 1er octobre 2013.

 

21 novembre 2013 Par Frédéric Ojardias, correspondant à Séoul - RFI

 

La Corée du Sud doit-elle acquérir de coûteux systèmes de défense anti-missiles américains ? Alors que le programme nucléaire et balistique du régime nord-coréen continue de progresser, Washington insiste pour que la Corée du Sud, son allié militaire, rejoigne son très sophistiqué bouclier anti-missile balistique. Mais les médias et les analystes sud-coréens s’inquiètent : une telle participation risque de fâcher le puissant voisin chinois et rendrait la Corée du Sud encore plus dépendante des Etats-Unis.

 

Ce bouclier anti-missile américain est un système extrêmement complexe dont l’objectif est de détecter puis d’intercepter en vol des missiles intercontinentaux ennemis, dotés d’ogives nucléaires. Cela nécessite un réseau sophistiqué de satellites, de radars, et de fusées.

 

Or, depuis que son ennemi nord-coréen a réussi, l’année dernière, le tir d’une fusée à longue portée, la Corée du Sud envisage d’acquérir ces systèmes stratégiques capables, en théorie, de détruire des missiles en vol à très haute altitude.

 

Les médias sud-coréens font même état de pressions de la part des Etats-Unis pour que Séoul achète ses derniers systèmes d’intercepteurs, appelés THAAD et SM3. Et beaucoup d’analystes sud-coréens s’inquiètent : ils redoutent qu’un tel achat soit en réalité le prélude à l’intégration complète de la Corée du Sud au bouclier américain.

 

C’est déjà le cas du Japon voisin. Tokyo, allié fidèle de Washington, a accepté d’intégrer son système de défense, et dans ce but a déjà installé un radar américain très sophistiqué sur son territoire.

 

Suite de l’article

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:35
Séoul teste avec succès un missile israélien (agence)

 

 

SEOUL, 22 novembre - RIA Novosti

 

L'armée sud-coréenne a testé avec succès un missile israélien de haute précision Spike, a annoncé vendredi l'agence Yonhap se référant au commandement de la Marine sud-coréenne.

 

"Le missile a frappé avec précision une cible maritime se trouvant à 20 kilomètres au sud-ouest de l'île  de Yeonpyeong", indique un porte-parole de la Marine, cité par l'agence.

 

Les missiles Spike téléguidés par satellite ont été déployés dans l'île de Yeonpyeong (mer Jaune) afin de parer d'éventuelles provocations de la part de la Corée du Nord. La portée de ces missiles destinés à détruire tant des cibles mobiles que stationnaires est de 20 kilomètres.

 

La situation dans la péninsule coréenne s'est nettement détériorée suite au bombardement nord-coréen de l'île de Yeonpyeong, qui avait fait trois morts et dix-sept blessés le 23 novembre 2010. Pyongyang avait alors justifié son attaque en évoquant une riposte aux manœuvres de Séoul

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:35
Japon: quatre navires chinois dans des eaux revendiquées par Pékin

 

22 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

TOKYO - Quatre bateaux de garde-côtes chinois ont brièvement pénétré vendredi dans les eaux qui entourent des îles que se disputent âprement la Chine et le Japon, ont annoncé les garde-côtes japonais.

 

Les quatre bâtiments sont entrés vers 09H30 (00H30 GMT) dans ces eaux qui entourent les îles Senkaku contrôlées par le Japon, et revendiquées par Pékin sous le nom de Diaoyu. Ils en sont repartis environ trois heures plus tard, ont ajouté les garde-côtes.

 

La dernière incursion chinoise, de quelques heures, remonte au 7 novembre. La précédente, le 28 octobre, avait fait nettement monter le ton entre les deux pays.

 

Le ministre japonais de la Défense, Itsunori Onodera, avait alors estimé que ces incursions chinoises répétées menaçaient la paix et constituaient une zone grise entre temps de paix et situation d'urgence.

 

Quelques jours plus tôt, le ministère chinois de la Défense avait utilisé l'expression acte de guerre pour mettre en garde Tokyo contre toute action éventuelle contre ses drones.

 

Depuis plus d'un an les relations sino-japonaises sont au plus bas en raison de ce conflit territorial en mer de Chine orientale. En septembre 2012, le Japon a nationalisé trois des cinq îles de l'archipel de la discorde, déclenchant une semaine de manifestations antijaponaises, parfois violentes, dans plusieurs villes de Chine.

 

Depuis lors, Pékin envoie régulièrement des patrouilles de garde-côtes dans les eaux territoriales de ces îles situées à 200 km au nord-est de Taïwan et 400 km à l'ouest d'Okinawa (sud du Japon), faisant redouter un incident avec les navires japonais qui y croisent aussi.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:20
Block 40 Global Hawk goes to 'war': USAF

 

Nov. 22, 2013 by Jon Hemmerdinger – FG

 

Washington DC - Northrop Grumman’s unmanned RQ-4 Block 40 Global Hawk has gone to “war” for the first time, according to the US Air Force.

 

The service announced today that on 19 September a Block 40, which has synthetic-aperture radar and ground-moving target indicators, departed Grand Forks Air Force Base in North Dakota on a mission that marked the “first time this specific model has been deployed into war.”

 

That comment was made by the 69th Reconnaissance Group’s Col Lawrence Spinetta in an article written by the public affairs division of the air force’s 319th Air Base Wing at Grand Forks.

 

The public affairs office declined to say where the aircraft went and did not provide additional details about the flight.

 

The office adds that the announcement needed to be cleared by high-level defense officials, which is why it was released more than one month after the flight.

 

Global Hawks can fly 12,300nm (22,780km), and the air force flies them on missions from the US to the Middle East.

 

“Any time we send a jet out of Grand Forks and 24 hours later it arrives right on center line... in the Middle East, that amazes me,” Spinetta told Flightglobal last week during a media briefing at the base.

 

“Lack of a manned pilot onboard is a strength,” Spinetta added.

 

Block 20s, which fly communications relay missions, have been used in Afghanistan to transmit messages over mountains, Spinetta added.

 

Block 40s have a multi-platform radar technology insertion programme (MP-RTIP), an air-to-surface radar that provides wide-area surveillance of stationary and moving targets, according to Northrop’s website.

 

The aircraft has a wingspan of 131ft (40m), length of 47.6ft (14.5m) and a gross takeoff weight of 32,250lb (14,628kg), says the manufacturer.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 11:55
"L'ensemble de la loi de programmation militaire est blindé !" (Jean-Yves Le Drian)

 

21/11/2013 par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Pour le ministre de la Défense, il est hors de question de réduire le budget de 750 millions d’euros alloué à la recherche amont car il est nécessaire au maintien des compétences dans tous les domaines: nucléaire, aéronautique, naval, spatial. Quant à la rallonge de 500 millions d’euros obtenue auprès de Bercy, elle permettra de lancer des programmes d’équipements, afin de conforter l’activité des industriels.


 

LA TRIBUNE - Quand vous avez lancé votre plan pour les PME de la défense, pas mal d'observateurs étaient dubitatifs. Quel est le bilan un an après ?
 

JEAN-YVES LE DRIAN - Je constate que le Pacte Défense PME fonctionne bien. Il existe une dynamique entre les grands groupes et les PME. Culturellement, nous sommes en train de changer à la fois au sein du ministère de la Défense et dans les grands groupes pour mieux prendre en compte les PME.

 

Par exemple ?
Les acheteurs du ministère de la Défense et des grands groupes ont par exemple l'obligation de faire une place aux PME pour les marchés de moins de 15.000 euros qu'ils lancent. Nous demandons chaque fois que cela est possible de découper certains marchés en plusieurs lots de façon à favoriser les PME. Le ministère a également mis en place les pôles régionaux d'économie de défense (Pred), destinés à être le point d'entrée unique au niveau régional pour les acteurs institutionnels et les PME sans connaissance de la défense. Et nous avons aussi beaucoup simplifié les procédures administratives.

 

Les grands groupes jouent-ils le jeu ?
Nous avons déjà signé avec les grands groupes six conventions bilatérales de soutien aux PME dans le cadre du Pacte Défense PME. En janvier, nous en signerons deux autres avec Dassault Aviation et Renault Trucks Défense. Ces accords permettent un changement dans les relations entre PME et les grands groupes.

 

Les PME de défense sont-elles moins isolées pour l'exportation ?
Il y a des séminaires de mobilisation au niveau des Pred. J'ai également aidé financièrement le Gifas à faire venir cette semaine 19 PME sur le salon aéronautique de Dubai. Nous allons poursuivre l'accompagnement des PME à l'export.

 

Justement, les exportations d'armements seront-elles en 2013 meilleures qu'en 2012 ?
Les chiffres 2013 vont être singulièrement supérieurs à ceux de 2012. La France a engrangé des commandes significatives cette année à l'image du contrat LEX avec l'Arabie saoudite. Ce succès repose sur la qualité des équipements et des technologies proposés par les industriels. C'est pour moi une grande source de satisfaction.

 

Mais sans accompagnement politique, les industriels ont souvent peu de chance de gagner…
L'accompagnement politique a effectivement du sens. Mais dès les premières rencontres, chacun doit bien jouer sa partition dans son domaine. Ce n'est pas au ministre de la Défense d'arriver dans un pays avec le catalogue de produits des industriels. En revanche, je m'attache à créer une relation politique de confiance entre la France et les pays intéressés par les équipements français à travers un partenariat stratégique. Enfin, je facilite si nécessaire la mise en place d'une coopération industrielle pour réunir le maximum de chances d'aboutir à une décision favorable pour la France.

 

C'est quoi la méthode Le Drian pour réussir à l'exportation ?
Je fais le job, en tant que ministre de la Défense. Je considère que ma première mission est d'assurer la sécurité de mon pays. Parmi les autres missions, je défends aussi l'autonomie stratégique de la France. Ce qui veut dire que je soutiens les capacités, le savoir-faire et les emplois des industries de défense. Mon action à l'étranger a pour objectif d'obtenir des prises de commandes suffisantes à l'exportation. Je suis quelqu'un de très déterminé, voire obstiné sans être têtu. Pour moi, c'est une qualité. Par exemple, j'ai réalisé dimanche dernier mon sixième voyage aux Émirats arabes unis depuis mon arrivée à la tête de ce ministère.

 

L'ensemble des industriels salue souvent votre capacité à « mouiller la chemise » à l'exportation. Quelle est votre influence ?
Pour réussir à obtenir des commandes, il faut créer une bonne complicité avec les industriels. Si je l'ai acquise, tant mieux pour la France et pour nous.

 

L'innovation est-elle également une priorité de votre action ?
Parallèlement à mon action en faveur de l'exportation, je fais en sorte de préserver de manière suffisante la préparation de l'avenir. Je le dis et je le répète : nous avons sanctuarisé le budget annuel de la recherche amont à 750 millions d'euros. Ce budget ne bougera pas. La cyberdéfense est l'une des inflexions nouvelles que j'ai souhaité privilégier dans le cadre de la loi de programmation militaire. Pas question de laisser sur la route certaines de nos compétences. Aussi, il est important d'en maintenir sur l'ensemble du spectre, que ce soit dans le nucléaire, l'aéronautique, le naval et le spatial.

 

Êtes-vous satisfait du dispositif Rapid ?
Nous allons renforcer le dispositif Rapid, qui soutient des projets de recherche industrielle ou de développement expérimental dual, civil et militaire, à fort potentiel technologique des PME de moins de 250 personnes. Il fonctionne bien. Nous allons augmenter son budget de 25%.

 

Pouvez-vous clarifier la fin de gestion du budget 2013 ?
Nous avons obtenu plusieurs éléments positifs dans la fin de gestion du budget 2013. Nous avons décidé que le budget de l'État prendrait à sa charge les 578 millions de surcoûts générés notamment par l'intervention au Mali. C'est acquis. Sur les 720 millions d'euros de gel, qui a touché le ministère de la Défense au titre de la rigueur budgétaire, ces crédits sont bien annulés. Mais à l'issue d'une discussion avec Bercy, nous avons obtenu 500 millions d'euros de ressources exceptionnelles, sécurisant notamment le financement des équipements en fin d'année. Dans ces conditions, je peux lancer plusieurs programmes, qui conforteront l'activité des industriels. La commande de défense est intégralement maintenue.

 

Quels sont les programmes que vous souhaitez lancer d'ici à la fin de l'année ?
Le standard F3R du Rafale (qui intègrera notamment une nacelle de désignation laser de nouvelle génération, ndlr) et le missile MMP notamment.

 

La loi de programmation militaire repose sur plusieurs paris, dont l'obtention des ressources exceptionnelles. Est-ce réaliste ?
La LPM repose sur certains paris. Ce qui veut dire que nous allons être extrêmement vigilants. Cette LPM est exigeante mais équilibrée à condition que tous les crédits affectés à cette programmation soient exécutés. Si une brique est absente, à ce moment-là, c'est l'ensemble de l'édifice qui tombe.

 

Y a-t-il un lien entre la cession d'une partie du capital de Safran et les ressources exceptionnelles ?
Il n'y a aucun lien. Ce sont deux opérations différentes. Bercy a opportunément décidé de la vente de cessions d'actifs du groupe Safran. Par ailleurs, nous devons financer les ressources exceptionnelles dans le cadre de la LPM. Nous avons déjà identifié l'origine des 1,8 milliard d'euros de ressources exceptionnelles pour 2014 (programme d'investissements d'avenir, cessions d'actifs, cessions immobilières…). Je n'ai aucune inquiétude sur ce dossier.

 

Donc les reports de charge vont augmenter ?
Oui, à 3,6 milliards d'euros, mais c'est transitoire. Nous limiterons leur croissance, en cas de besoin, avec 500 millions de ressources exceptionnelles supplémentaires.

 

La crédibilité et l'exécution de la LPM repose principalement sur votre personnalité. Allez-vous rester ?
La question ne se pose pas. Mais je ne crois pas que la LPM en cours d'examen repose sur ma personne. Avec ou sans moi, l'ensemble du dispositif est solide. Blindé !

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 11:55
Nexter Robotics, NBC-Sys et Euro-Shelter présents aux salons Milipol et MIDEST

source Nexter Goup

 

A l’occasion de la 18e édition du salon de la Sécurité Intérieure des Etats (Milipol Paris), Nexter Robotics et NBC-Sys présentent sur leur stand (R038) une possible association entre les mini-robots de reconnaissance NERVA et les détecteurs NRBC qui permettrait notamment de limiter l’exposition des personnels sur le terrain.

Présentée pour la première fois à Milipol, la gamme NERVA y est également mise en valeur de façon innovante au travers d’un parcours thématique et dynamique. DSC 0080Reprenant diverses situations opérationnelles auxquelles les NERVA peuvent être confrontés (Ascension de pentes raides, détection de menaces NRBC, chutes, évolutions dans un environnement à luminosité réduite, immersion dans l’eau), ce parcours vise à mettre en avant de manière ludique la résistance, la polyvalence mais aussi la simplicité d’utilisation des mini-robots de Nexter Robotics. La protection face aux menaces NRBC avec notamment la présence du masque à gaz SIRANO de NBC-Sys, est également à l’honneur sur ce stand commun.

 

 Juste en face du salon MDSC 0085ilipol, au hall 6 du Parc des Expositions, les visiteurs pourront également se rendre au salon MIDEST où Euro-Shelter présente sa nouvelle maquette de « concept-train » réalisée entièrement en panneaux sandwich. L’utilisation originale de ce matériau, alliant rigidité et légèreté, a d’ailleurs permis à Euro-Shelter de remporter le prix de l’innovation du salon dans la catégorie « Bureau d’Etude ».

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
Visite officielle du chef-d’état-major de la Marine en Roumanie



21/11/2013 Marine nationale

 

Les 18 et 19 novembre 2013, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Rogel s’est rendu en Roumanie pour une visite officielle. Cette visite a débuté par un entretien à Bucarest avec le chef d’état-major des armées, le général de corps aérien Danila, puis avec le chef d’état-major de la marine roumaine, le vice-amiral Popa.

Elle s’est poursuivie par une visite du port militaire de Constanza où le CEMM s’est fait présenter par son homologue différentes unités dont le SSK Delfinul de la classe Kilo et leurs missions.

Les participations à des opérations interalliées communes (Atalanta ou Active Endeavour) et les retours d’expérience respectifs des deux marines ont été évoqués ainsi que des pistes de coopérations futures, par exemple, dans les domaines de l’hydrographie, de la plongée ou de la formation des officiers-élèves.

À l’occasion de cette visite, l’amiral a été décoré de l’emblème d’honneur des forces navales roumaines. Cette distinction est conférée par  le chef d’état-major des forces navales roumaines à un chef militaire étranger à titre exceptionnel lorsqu’il souhaite l’honorer.

 

Visite officielle du chef-d’état-major de la Marine en Roumanie
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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
UK MoD orders Type 23 CESM system from Babcock

The UK Royal Navy's type 23 frigate HMS Richmond during an exercise. Photo Gaz Weatherston.

 

21 November 2013 naval-technology.com

 

The UK Ministry of Defence (MoD) has awarded a contract to Babcock for delivery of an off-the-shelf communications electronic support measures (CESM) system for installation on the Royal Navy's Type 23 Duke-class ships.

 

Working in collaboration with principal subcontractor Argon, the company will supply a high technology readiness level (TRL) system for rapid replacement of the ships' existing obsolete Lighthouse CESM system.

 

The system, delivered under the seven-year contract, will provide the vessels with an enhanced electronic surveillance capability.

 

Babcock Integrated System and Support Group director, Charles John, said the high-technology readiness, low-risk solution will provide MoD the maximum value for money.

 

''We will also be delivering through-life supportability and upgradeability through the planned project life to 2021 and beyond,'' John said.

 

''This programme will enable the MoD to drive coherency across the capability and derive significant benefit.''

 

Also called as Hammerhead, Babcock's Type 23 CESM system is designed to offer a low risk, mature solution tailored to Type 23 requirements and surveillance capability, which supports both tactical indicators and warnings, as well as other tasked requirements.

 

The system exhibits commonality with Lighthouse CESMs, which provide the opportunity for common spares, training and operator flexibility, enabling the MoD to address current requirements within the specified budget.

 

In addition, the system's modular design block approach provides potential for enhancement or life extension in future, if funding is available, to help the ministry also address changes in operational requirements.

 

Manufactured by Yarrow Shipbuilders and Swan Hunter, the Type 23 frigates were originally designed for anti-submarine warfare, but have proven their versatility in warfighting, peace-keeping and maritime security missions worldwide.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
Spain’s revolutionary new frigate, the F-110

 

11/21/2013 Richard de Silva - defenceiq.com

 

The Spanish Navy’s F-110 Frigate, being manufactured by Navantia, aims to replace the country’s six Santa Maria-class ships as they approach the end of their operational life from 2020.

 

With a full service date of 2025, the fleet will seek to provide a multi-purpose capability for at least forty years and will deliver a platform for unmanned surface, subsurface and aerial vehicles. The ships will work as an intermediate solution between the BAM (Buque de Acción Marítima) ships and Álvaro de Bazán class frigates, providing maritime security, mine countermeasures, escort duties and many other possibilities.

 

While official information on the development of the programme is limited, Captain Juan Gonzalez-Aller Lacalle, the Navy’s F110 Frigate Programme project officer, will be addressing the delegation at Surface Warships 2014 to explain the strategy behind the incoming fleet and the process involved in the Navy’s partnership with the industry in seeing this capability take to the waves. Before his presentation, he enlightened Defence IQ about the programme’s current status.

 

“The F-110 will be integrated within the Spanish Fleet in a new frigate squadron, under the Admiral of the Fleet Chain of Command,” he says. “The Admiral of the Fleet will be in charge of the readiness, training and certification process of the new units, to make them ready to be integrated in any naval, combined or joint force to undertake real operations. The squadron will then replace the FFG class squadron and, being an oceanic escort as well, the F-110 is expected to have enhanced capabilities to operate the littoral.

 

“In Spain, for every programme, the capability development process has four phases: Conceptual; Definition and Decision; Execution; and Service. The ‘Conceptual’ phase has already finished as of January 2013. This phase includes the development of two documents – the ‘Mission Need Document’ and the ‘Staff Target Document’.

 

“Right now, we are in the middle of the first stage of the ‘Definition and Decision’ phase, which is, in other words, the development of the ‘Staff Requirements’, which should be completed by June 2014. This stage is headed by the Navy Staff. Once this stage is complete, the Ministry of Defence and the Navy Logistic Command will take the reins of the following stages regarding the capability development and procurement processes.”

 

The programme’s core value in being a multipurpose and modular solution will of course promote a cost-effective solution. However, some of the installations will presumably need to be permanent, so we are curious as to the extent to which physical space on the ship will be limited for specific missions, or whether there is a risk that capability shortfalls will be unavoidable on certain occasions.

 

“Most of the F-110 capabilities will be permanent, what we call the ‘basic capabilities’ of the ship,” explains Lacalle. “In addition, the F-110 will have a flexible multi-mission space dedicated to allocate modular capabilities, non- permanent, that will increase the basic capabilities of the ship only for specific mission profiles. Every modular capability is composed of a mission module, which is the mission systems and support equipment, plus the personnel that is required to operate them at sea.

 

“A number of modular capabilities have been identified, and will be outlined in that Staff Requirement Document. These include naval special warfare, unmanned vehicles operations (UAV, USV, et cetera), medical support, a prison module, and others. In accordance with the mission profile, a different combination of mission modules will be embarked. We are now fully involved in deep studies to identify all the requirements with regard to the frigate, not only those directly related to the ship but also those related to doctrine, organization, infrastructure, facilities ashore, and so on. We have already identified the additional capabilities that the F-110 is going to provide through its modular capabilities (both the Mission Modules and the personnel responsible for maintaining and operating them). Meanwhile, it is expected to provide some Mine Warfare modular capabilities based on Autonomous Underwater Vehicles, Support to Divers, Remote Controlled Mine Sweeping System (SIRAMICOR), and so on.”

 

With modernisation in today’s climate, there also comes the inevitable issue of cutting back on crew sizes, shifting the task of efficiency to improved systems data fusion and other emerging initiatives.

 

“Yes, the F-110 is also following this trend and, at this stage, we are analyzing different ways that may allow us to reduce the ship complement, compared with our FFG and F-100 frigates. The overall concept of a reduced crew that the Navy is adopting for all the new units has a direct impact in the procurement cost, decreasing the cost of the life cycle, and also in the displacement (less accommodation areas on board); minimizing as well the probability of casualties in combat or accidents at sea.

 

“Besides, new technologies allow ship designs with a higher degree of automation and unmanned systems on board, capable of conducting some of the tasks that traditionally the crew would have to perform, and there are other designs involved that will at least not require the permanent attention of crewmembers.”

 

Of course, such ambitious projects are rarely undertaken without installing partnerships with the right people. Having this support structure in place and in constant motion defines the Navy’s strategy to ensuring a lack of conflict and a smooth production road over the next twelve years.

 

“From the very beginning, we have been working shoulder to shoulder with NAVANTIA,” says Lacalle. “A team of their engineers are supporting us and sharing information with the Spanish Navy Staff and Logistic Command to identify most of the F-110 technical requirements. NAVANTIA´s feedback on our operational requirements is therefore allowing us to correctly assess the viability or difficulties to get what we need.

 

“We are also working with INDRA and other industry partners in key aspects like sensors, weapons and the integrated mast, as an example. All of this work and communication with NAVANTIA and the industry provides real added value to the project as we progress.”

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
AR4 Light Ray unmanned air system  - photo Tekever Group

AR4 Light Ray unmanned air system - photo Tekever Group

 

Nov. 21, 2013 by Craig Hoyle – FG

 

Dubai - Multinational collaboration was the key to Tekever’s pitch at the Dubai air show, with the Portuguese company’s new UK unit inviting discussion with Gulf-based industry.

 

“We’re looking for a local partner for production and support,” says business development director Robert Whitehouse, who showcased the firm’s AR4 Light Ray unmanned air system on the UK Trade & Investment stand.

 

Now used by the Portuguese police, the hand-launched design has a 2h flight endurance and an operating range of 10.8nm (20km). “It’s a very intuitive system, and can be controlled from an iPad, PC laptop or Android phone,” says Whitehouse. Applications range from traffic and infrastructure monitoring to supporting disaster relief activities, with its 5kg (11lb) maximum take-off weight including a payload of 2kg.

 

"Attendance at the Dubai air show is central to Tekever's strategy in developing its presence and partnerships in the United Arab Emirates and Middle East," the company says. "The engagement opportunity will allow new relationships to be formed between Tekever and local partners."

 

Whitehouse says this ambition has been met, with strong local interest having been shown in the Evolution-version AR4 Light Ray UAS positioned on the stand. “People have asked us to come back and fly,” he says, identifying one potential customer as being in the UAE.

 

Should it reach a local agreement, Whitehouse says Tekever would seek to maintain responsibility for the system's datalink and flight control software, with an in-country partner to produce the air vehicles and deliver in-service support.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
A400M photo Airbus Military

A400M photo Airbus Military

 

21 novembre 2013 Par Olivier James - Usinenouvelle.com

 

En raison de la baisse des effectifs au sein de l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (AESA), certains grands programmes pourraient voir leurs certifications retardées. C’est le patron de l’AESA lui-même qui tire la sonnette d’alarme.

 

Le risque est bien réel. Alors que le secteur européen de l’aéronautique engrange les commandes, il pourrait être freiné dans son élan par des problèmes de… certification. C’est Patrick Ky, le nouveau directeur exécutif de l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (AESA), qui a pointé du doigt cette menace jeudi 28 novembre lors d’une conférence organisée par l’Association des Journalistes professionnels de l’Aéronautique (AJPAE). "L’année 2015 sera critique et si nous ne pouvons pas certifier dans les délais, les industriels risquent de livrer leurs appareils en retard et seront dans une situation difficile vis-à-vis de leurs clients", a-t-il prévenu.

Raison invoquée par le patron de l’AESA, dont l’un des rôles est de certifier les appareils : la baisse des effectifs imposée par la Commission européenne à toutes les agences européennes. A l’heure de l’austérité, la Commission souhaite en effet réduire de 5% les effectifs de l’ensemble des institutions et des agences d’ici 2018. "Aujourd’hui, cette consigne de réduction des effectifs inquiète les industriels, assure Patrick Ky. Si cet objectif est maintenu pour notre agence, ils auront du mal à faire face au pic de production que nous prévoyons en 2015".

 

Demande de 70 postes supplémentaires

Pour le patron de l’AESA, l’année 2015 sera particulièrement à risque en raison de nombreuses demandes de certification sur de nouveaux modèles d’appareils ou sur des programmes existants. Patrick Ky cite en particulier la certification du Falcon 5X de Dassault Aviation, celle de modifications de l’A400M, mais également de l’Airbus A380, dont une nouvelle version rallongée obligera à des modifications au niveau des issues de secours. Des industriels comme Eurocopter et l’italien Agusta Westland seraient aussi concernés.

"Nos experts sont communs à tous ces projets, précise Patrick Ky. Ils travaillent en panel sur chaque type de pièces, ce qui représentent autant de goulets d’étranglement en cas de manque de personnel". C’est le chevauchement des multiples programmes européens qui inquiète le patron de l’AESA, agence dont l’effectif est d’environ 700 personnes. Le directeur exécutif estime que l’agence pourrait effectuer correctement son travail de certification avec un effectif supérieur d’au moins 10%, soit environ 70 postes supplémentaires.

 

Un budget assuré par les industriels

Un autre programme, non européen celui-ci, vient encombrer un calendrier déjà bien chargé : le C919, l’avion de ligne du chinois Comac. Si sa date de certification reste incertaine, le patron de l’AESA réfléchit à un rapprochement avec la FAA (Federal Aviation Administration, l’équivalent américain de l’AESA) afin de simplifier le processus. "Un programme de ce type nécessite des ressources particulières, deux fois supérieures à un programme européen", admet Patrick Ky.

La Commission européenne argue de nécessaires économies en période d’austérité et ne prévoit pas d’exception. Réponse de Patrick Ky : le budget de l’AESA dévolu aux certifications est assuré à 100% par les industriels. Le budget total s’élève à environ 130 millions d’euros par an. "Le Parlement européen nous soutient mais pas les Etats membres en raison de la rigueur budgétaire", déplore Patrick Ky. Le nouveau directeur exécutif de l’AESA compte bien poursuivre les négociations dans les prochains mois et trouver une issue favorable.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
Italian Air Force, Alenia to develop MC-27J Praetorian

The Praetorian is expected to provide 360° coverage for the Italian Forces against air-to-air and surface-to-air threats in the battlefield. Photo Alenia Aermacchi

 

21 November 2013 airforce-technology.com

 

Alenia Aermacchi will provide development, testing, certification, industrialisation and logistic support for the Italian Air Force's Praetorian fleet.

 

The Finmeccanica Company and the Italian Air Force signed the agreement at the ongoing Dubai Airshow 2013.

 

The Praetorian, which is a specialised version of the MC-27J, is expected to support the Italian Special Forces and Comando Operativo Forze Speciali (COFS) in their missions.

 

Designed to provide 360° coverage against air-to-air and surface-to-air threats in the battlefield, the Praetorian is an advanced electronic warfare (EW) suite, including computers, cameras and unspecified fire-support systems.

 

As part of the two-phased Praetorian project, Alenia Aermacchi will first develop and deliver the Praetorian prototype to the Italian Air Force in spring 2014, for immediate testing in the threatre.

 

The industrialisation of the Praetorian configuration and related logistic support will form part of the phase two.

 

The Italian Air Force plans to convert its current three C-27Js into the Praetorian configuration throughout 2016 and will include mission systems, C3ISR equipment and palletised support / fire systems.

 

An additional three aircraft will also have the same mission package capabilities, according to the company.

 

Alenia Aermacchi will partner with US-based ATK to develop the Praetorian mission and air-to-ground support systems while Selex, a Finmeccanica Company, will coordinate with Alenia Aermacchi for communication and data link solutions.

 

Jointly developed by Alenia Aermacchi and ATK, the MC-27J is an advanced defence system, which is based on the C-27J, a twin-engine turboprop tactical transport aircraft.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:40
Le ministère russe de la défense rend responsable le constructeur pour l’échec du lancement d’un missile Boulava

 

21 novembre 2013, Portail des Sous-Marins.

 

Le dernier échec du lancement d’un missile nucléaire russe Boulava a été provoqué par un problème de fabrication, a expliqué le ministère russe de la défense.

 

Le 6 septembre dernier, le lancement d’un missile Boulava pendant les essais officiels du sous-marin Alexander Nevsky s’est conclu par un échec à la 2è minute de vol. Une commission d’enquête conduite par le chef de la marine russe, l’amiral Viktor Chirkov, a enquêté sur cet échec.

 

« La commission a terminé ses investigations. Les causes de l’échec sont liées à des problèmes de fabrication de la tuyère du réacteur du missile, » a expliqué le vice-ministre de la défense, Yury Borisov.

 

Borisov a ajouté que la même défaillance avait été corrigée sur 3 autres missiles du même lot de fabrication, mais prétend que la fabrication du missile est « technologiquement saine ».

 

Référence : RIA Novosti (Russie)

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:35
Pas de décision sur la présence de soldats en Afghanistan après 2014

 

21 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - Les Etats-Unis ont affirmé jeudi qu'ils n'avaient pas encore pris de décision sur le maintien ou non de soldats en Afghanistan après 2014, malgré l'accord de sécurité conclu avec Kaboul.

 

Nous n'avons pas encore déterminé si des soldats continueraient à être présents en Afghanistan à l'issue de la mission de combat de l'Otan fin 2014, a indiqué le porte-parole adjoint de la Maison Blanche, Josh Earnest.

 

Cette décision reviendra au président Barack Obama, et c'est une décision que le président n'a pas encore prise, a affirmé M. Earnest lors du point de presse quotidien de l'exécutif américain.

 

Il a remarqué qu'en février prochain, il y aurait environ 34.000 soldats américains en Afghanistan, et le retrait en cours continuera à descendre sous 34.000. Donc, nous parlons pour après 2014 de quelques milliers de soldats environ éventuellement maintenus sur place.

 

Ces soldats, si décision est prise de les maintenir, auront une mission très précise de formation et de lutte contre l'insurrection, a rappelé M. Earnest.

 

Le secrétaire d'Etat John Kerry et le président afghan Hamid Karzaï se sont mis d'accord mercredi sur un texte régissant la présence de soldats américains à partir de 2015.

 

Mais jeudi, les Etats-Unis ont prévenu l'Afghanistan qu'ils souhaitaient signer cet accord d'ici à la fin de l'année.

 

Nous devons avancer le plus vite possible pour signer cet accord bilatéral de sécurité (BSA), a déclaré la porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki, répétant la nécessité de conclure d'ici à la fin de l'année 2013.

 

Le président Karzaï a de son coté déclaré jeudi que le traité, s'il est approuvé la Loya Jirga, grande assemblée traditionnelle, ne serait promulgué qu'après l'élection présidentielle du 5 avril.

 

Nous en sommes en train de chercher à y voir clair sur la signification et l'objectif de ces commentaires, a dit Mme Psaki à propos des déclarations du président afghan.

 

Pour nous, il n'est ni pratique, ni possible de retarder encore (la signature du BSA) en raison des incertitudes que cela provoquerait et parce qu'il serait impossible pour les Etats-Unis et leurs alliés de planifier leur présence après 2014, a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine.

 

Jusqu'à 15.000 soldats étrangers pourraient rester en Afghanistan après le retrait de la force de l'Otan fin 2014 si Kaboul signe un traité de sécurité avec Washington, avait annoncé auparavant le président Karzaï en estimant que cet accord pourrait ramener la stabilité dans le pays.

 

Quelque 75.000 soldats étrangers sont actuellement présents en Afghanistan dans le cadre la Force internationale de l'Otan (Isaf) dirigée par Washington, mais la grande majorité de ces troupes doit se retirer d'ici la fin 2014. Ce départ fait craindre une flambée de violences dans le pays, en partie contrôlé par les insurgés talibans.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:30
Boeing confirms launch deal for armed AH-6i

 

Nov. 20, 2013 by Craig Hoyle – FG

 

Dubai - Boeing has received the green light to start building AH-6i light attack helicopters for an undisclosed customer.

 

“Boeing has recently signed an FMS [Foreign Military Sales] agreement with the US Army that will lead to production of the AH-6i for a first international customer,” Leanne Caret, the company’s vice-president, vertical lift, revealed at the Dubai air show on 18 November.

 

Derived from the MD Helicopters AH-6 Little Bird platform, the i-model has been the subject of previous FMS requests from Jordan and Saudi Arabia. While Boeing declines to name its launch buyer, or to disclose how many aircraft will be supplied, Flightglobal’s Ascend Online Fleets database suggests that Riyadh will acquire 36 examples.

 

The aircraft will be produced at Boeing’s Mesa plant in Arizona, under the terms of an existing agreement with MD Helicopters.

 

Meanwhile, Caret says Boeing sees “a number of export opportunities” for its CH-47F Chinook, and cites the success of the type’s introduction by operators including the US Army, Canada and the UK. Potential additional buyers exist “in this region, and elsewhere around the world,” she adds.

 

The United Arab Emirates has now received seven F-model examples from a 16-unit order, says Ascend.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:30
Armes chimiques syriennes: l'OIAC lance un appel au secteur privé

 

21 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

LA HAYE - L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques a lancé un appel au secteur privé en vue de la destruction des deux tiers des armes chimiques syriennes, a-t-on appris jeudi auprès de l'organisation.

 

L'OIAC cherche à identifier les sociétés commerciales intéressées à une participation à un éventuel processus d'appel d'offres, a indiqué l'OIAC sur son site internet.

 

L'organisation évoque le traitement et la destruction de produits chimiques dangereux ou inoffensifs, organiques ou pas, de matériel de conditionnement et de conteneurs dans le cadre de la destruction des armes chimiques syriennes.

 

Le conseil exécutif de l'OIAC a adopté le 15 novembre à La Haye une feuille de route sur la destruction de l'arsenal chimique syrien d'ici à la mi-2014, hors de la Syrie.

 

Un plan détaillant les méthodes possibles de destruction de ces armes doit être approuvé avant le 17 décembre par le Conseil exécutif.

 

Mais, en dépit du consensus sur la destruction de l'arsenal chimique syrien hors du pays en guerre, aucun Etat n'a à ce jour accepté qu'elle s'effectue sur son sol.

 

L'OIAC a d'ailleurs indiqué mercredi que les armes chimiques pourraient être détruites en mer.

 

Le processus de destruction des armes chimiques par une société privée dépend lui aussi de l'accord d'un Etat pour accueillir ces armes sur son territoire.

 

L'OIAC a fourni dans son appel d'offres une liste des produits chimiques, des déchets résultants de la destruction des armes chimiques et du matériel qu'elle souhaite voir détruits par la société privée. Il ne s'agit que d'une partie de l'arsenal chimique syrien.

 

L'organisation basée à La Haye a répertorié quelque 800 tonnes de produits chimiques, 7,7 millions de litres de déchets et 4.000 conteneurs de capacités différentes.

 

Il s'agit de produits chimiques qui peuvent être détruits de manière sûre par le secteur industriel, parmi lesquels des composants chimiques parmi les plus toxiques et qui n'ont pas encore été mélangés, a déclaré à l'AFP Christian Chartier, porte-parole de l'OIAC.

 

Les sociétés seront choisies comme dans n'importe quel appel d'offres, sur des critères comme les délais proposés, les compétences, le prix offert, a-t-il précisé.

 

Certaines armes chimiques, comme le gaz moutarde, sont détruites par le processus d'hydrolyse, au terme duquel des déchets appelés effluents sont obtenus, qui doivent être détruits. D'autres armes chimiques comme le gaz sarin sont plus facilement détruits par incinération.

 

Si la destruction des armes doit être achevée pour la mi-2014, la destruction des déchets, ou effluents, doit être achevée pour le 30 décembre 2014.

 

La Syrie, qui coopère avec l'OIAC et qui a sur son sol une mission conjointe OIAC-ONU composée d'inspecteurs, a déclaré posséder 1.290 tonnes d'armes chimiques, précurseurs ou ingrédients.

 

Les sociétés ont jusqu'au 29 novembre pour renvoyer un document à l'OIAC exprimant leur intérêt et assurant que l'entreprise a les capacités de réaliser la tâche demandée. Une destruction par une société privée serait effectuée sous la supervision de l'ONU.

 

Le plan de destruction de l'arsenal chimique syrien résulte d'un accord russo-américain ayant permis d'éviter des frappes militaires américaines en Syrie, après des attaques chimiques mortelles en août que Washington attribue au régime du président Bachar al-Assad.

 

Dans le cadre du démantèlement de l'arsenal chimique syrien, les sites de production ont d'ores-et-déjà été rendus inopérants et les armes chimiques mises sous scellés.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:20
Les systèmes de détections «Deep Vision» équiperont les «Colt» des «snipers» canadiens

Colt Canada est depuis longtemps un fournisseur de fusils et d'armes légères pour l'armée canadienne et ses tireurs d'élite (Colt)

 

21/11/2013 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca

 

Deep Vision et Colt Canada signent un accord en vue d’intégrer le système de détection autonome de Deep Vision aux systèmes de contrôle de tir automatiques Colt Canada, y compris le système «Sword» (Sniper Weapon & Observer Reconnaissance Devices (SWORD) Technology Demonstrator).

Le système SWORD de Colt non seulement permet à l’observateur de désigner des cibles pour plusieurs tireurs, mais, avec ce système, les tireurs d’élite peuvent également partager des données à travers le réseau (Colt)

Deep Vision a déclaré par voie de communiqué à ce propos que cet accord permettra aux systèmes automatisés de contrôle de tir de Colt de se démarquer grâce à l’intégration de son système de détection automatique de cible.

Colt Canada pour sa part affirme dans le communiqué annonçant cet accord que l’entente avec Deep Vision permettra d’augmenter la capacité , les opportunités de marché et la valeur de son offre de systèmes de contrôle de tir automatiques en intégrant la technologie d’ exploitation de la sonde Deep Vision.

Le protocole d’entente vise à établir des principes concernant cette proposition de collaboration qui, disent les deux sociétés, devrait aboutir à des résultats commerciaux positifs mutuellement bénéfiques pour les deux parties – en particulier en ce qui a trait à l’amélioration des prototypes de systèmes de contrôle de tir de Colt Canada et démontrer ainsi clairement la capacité qu’a Deep Vision d’améliorer leur capacité fonctionnelle en ce qui concerne l’autonomie , l’exactitude , l’utilité et la précision .

Deep Vision développe des capteurs et systèmes de perception pour l’industrie de la défense et l’aérospatiale.

La technologie de Deep Vision permet le suivi d’objets en temps réel.

Le système de «tracking» Deep Vision (Deep Vision)

Les données des capteurs sont traitées rapidement et présentées dans une forme qui permet un classement et une analyse efficace.

Les images, créées à partir des données brutes, couplé avec leur position sur le capteur et les positions relatives dans le temps, fournissent la base pour le suivi d’objets en temps réel.

Avec et sans connaissance préalable des objets ciblés, ou de leurs caractéristiques, la technologie de suivi d’objets de Deep Vision offre une solution de verrouillage de cible fiable, en temps réel.

Quant à Colt Canada, il est est depuis longtemps un fournisseur de fusils et d’armes légères pour l’armée canadienne et ses tireurs d’élite, en plus d’être le fournisseur de plusieurs corps de police dans le monde.

«Pendant plus de 35 ans», souligne le communiqué de l’entreprise, «les armes Colt Canada ont été testées et éprouvée au combat à travers la jungle de la boue, la neige et la glace arctique, le désert et les conditions de combat extrêmes.».

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:20
Navy awards SeaPort-e contract to Spin Systems Inc.

 

STERLING, Va., Nov. 21 (UPI)

 

The U.S. Navy has selected Spin Systems Inc. to provide engineering and consulting services under the Seaport Enhanced multiple award contract vehicle.

 

The term of Spin System's indefinite-delivery/indefinite-quantity award from the U.S. Naval Sea Systems Command Warfare Center is five years, with two five-year option periods.

 

"SeaPort-e provides an effective and valuable means of contracting for professional support services and enhancing small business participation," said Wael Ali, president and chief executive officer of Spin Systems. "As a small business, Spin Systems will leverage this contract to provide cost-effective solutions and services to our existing client base and also introduce our solutions and services to potential new clients, expanding our footprint in the Department of Defense community."

 

The Navy described SeaPort-e as a web-based, e-business procurement portal to facilitate performance-based service acquisition, leverage buying power, improve business intelligence and reduce cycle time.

 

It is used by the Military Sealift Command, Strategic Systems Programs, Office of Naval Research, Defense Threat Reduction Agency, U.S. Marine Corps and others.

 

Spin Systems will provide engineering, technical and programmatic related services in response to task orders issued under the contract.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:20
E-11A - Battlefield Airborne Communications Node (BACN)

E-11A - Battlefield Airborne Communications Node (BACN)

 

SAN DIEGO, Nov. 21 (UPI)

 

Northrop Grumman reports its Battlefield Airborne Communications Node for the U.S. Air Force has been used on 5,000 combat missions and proved its worth.

 

BACN is a high-altitude airborne system that translates and distributes voice communications, video and other battlespace communications from various sources for enhanced situational awareness and command-and-control coordination. It is being used in Afghanistan on four E-11A manned aircraft and three unmanned aerial systems.

 

"Initially deployed by Northrop Grumman to satisfy a joint urgent operational need, BACN is now a key enabler of surface and airborne missions theaterwide," said Mike Twyman, sector vice president and general manager of the Defense Systems division for Northrop Grumman Information Systems. "BACN's continuous mission availability, quick reaction capability and flexibility have made it a real game changer in theater."

 

Northrop notes the system's beyond-line-of-sight communications capability has been particularly in Afghanistan by overcoming the communications limitations posed by the country's rugged terrain.

 

"We constantly get feedback from theater telling us how important BACN is for their missions," said Maj. William Holl, the Air Force BACN program manager at Hanscom Air Force Base, Mass. "Without BACN, ground forces would have to rely on much slower satellite communications -- and a few seconds can make all the difference when you are under fire."

 

BACN, developed by Northrop Grumman under a 2005 U.S. Air Force contract, was first deployed in 2008.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:20
US Navy’s X-47B unmanned aircraft completes further carrier tests

X-47B Unmanned Combat Air System Demonstrator

 

21 November 2013 naval-technology.com

 

The US Navy's Northrop Grumman-built X-47B unmanned combat air system has successfully completed an additional round of carrier testing.

 

During the testing, conducted onboard fourth Nimitz-class aircraft carrier USS Theodore Roosevelt (CVN 71), the unmanned air system demonstrated its integration capability within the aircraft carrier environment.

 

Unmanned Carrier Aviation programme manager, captain Beau Duarte, said the X-47 demonstrated its capability in winds of higher magnitude and differing directions.

 

"This resulted in more stimulus provided to the aircraft's guidance and control algorithms and a more robust verification of its GPS autoland capability," Duarte said.

 

Tests included deck handling, carrier approaches and landings in off-nominal wind conditions, digitised ship systems interfaces and concept of operations development.

 

Unmanned Combat Air System deputy programme manager Barbara Weathers said the US Navy and industry team have performed productive flight operations in the CVN environment.

 

"The carrier systems installation and system checkouts were performed in record time, quite an amazing feat," Weathers said.

"The carrier systems installation and system checkouts were performed in record time, quite an amazing feat."

 

The X-47B aircraft conducted a total of 26 total deck touchdowns including 21 precise touch-and-goes and five arrested landings as well as five catapults, five commanded and two autonomous wave-offs over the flight test period.

 

Programme executive officer for unmanned aviation and strike weapons, rear admiral Matt Winter, said the trials demonstrated the feasibility and realistic path to achieving the manned / unmanned air wing of the future.

 

"The navy is committed to developing, maturing, and fielding unmanned carrier aviation capabilities into our carrier air wings and carrier environments," Winter said.

 

The X-47B aircraft will undergo further land and carrier based testing to mature unmanned technologies and refine concept of operations to further inform future unmanned carrier requirements for the US Navy.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 00:01
Blindés : changement à la tête de Renault Trucks Defense

 

21/11 Par Alain Ruello - LesEchos.fr

 

Le PDG, Gérard Amiel, a été démis de ses fonctions. Il sera remplacé par Stefano Chmielewski.

 

Renault Trucks Defense (RTD), la filiale armement française de Volvo spécialisée dans les blindés légers, va changer de PDG : Gérard Amiel a en effet été démis de ses fonctions, selon nos informations qui confirment celles de la lettre spécialisée TTU. L’annonce de son remplacement va être faite aux salariés ce vendredi. C’est Stefano Chmielewski, son supérieur hiérarchique, responsable des ventes gouvernementales du fabricant de camions suédois et qui coiffe à ce titre Renault Trucks Defense qui va prendre en direct la direction de l’entreprise.

 

Outre les camions militaires de Renault Trucks, RTD inclut les marques Acmat et Panhard. La société a réalisé en 2012 un chiffre d’affaires de 350 millions d’euros.

 

Un moment important pour l’entreprise

 

Cela fait quelques jours déjà que la rumeur du départ de Gérard Amiel circule dans le milieu de l’armement terrestre. L’intéressé n’était d’ailleurs pas présent sur le stand de RTD à Milipol, le grand Salon de la sécurité, cette semaine à Villepinte, au nord de Paris. En interne, on évoque des « divergences sur le management » avec Stefano Chmielewski, qui n’a pas souhaité commenter.

 

Gérard Amiel ne sera resté que deux ans et demi en poste. Ancien responsable des ressources humaines de Renault Trucks France, il avait été nommé en lieu et place de Serge Perez, lui-même sanctionné pour avoir perdu, après une compétition homérique, un contrat de camions face au tandem Iveco-Lohr.

 

Le changement de PDG de RTD intervient à un moment important. Début 2014, la DGA va, en principe, lancer l’appel d’offres pour le remplacement des blindés VAB, Sagaie et AMX-10 RC de l’armée de terre, dans le cadre du grand programme Scorpion. D’ici là, RTD et Nexter doivent s’entendre pour prolonger leur alliance qui arrive à échéance mi- décembre, s’ils veulent formuler une réponse unique.

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 21:55
Le BPC "Dixmude" embarque des militaires et des équipements qui seraient destinés à gagner le Centrafrique.

Le BPC "Dixmude" embarque des militaires et des équipements qui seraient destinés à gagner le Centrafrique.

 

20/11/2013 lemarin.fr

 

Le BPC Dixmude embarque une "réserve opérationnelle embarquée" (ROE) dans son actuel déploiement dans le golfe de Guinée où il remplace un aviso. L’état-major des armées a confirmé cette mission, sans en détailler la mission exacte, ni sa composition.

 

Selon les sources du marin, des véhicules ont pris place à bord avant le départ à Toulon, ainsi qu’au moins deux hélicoptères légers Gazelle, et l’unité de commandement et de logistique (UCL) du 8e régiment de parachutistes de marine.

 

Ce régiment est actuellement déployé en Centrafrique, ce qui pourrait signer la nature exacte de cette ROE, qui serait, de fait, chargée de renforcer l’effectif en Centrafrique, sans doute en accostant à Douala (Cameroun). Ce mode opératoire avait déjà été utilisé en 2007 lors de l’opération européenne Eufor, au Tchad voisin.

 

En cas de confirmation, ce serait la première fois qu’un BPC (bâtiment de projection et de commandement) est utilisé pour injecter des véhicules au cœur de l’Afrique.

Manoeuvres amphibies du BPC Dixmude au Liban (mission Jeanne d'Arc 2012)

Manoeuvres amphibies du BPC Dixmude au Liban (mission Jeanne d'Arc 2012)

Note RP Defense : Merci à Philippe Chapleau (Lignes de Défense) pour l'information.

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 20:55
VOLFA 13-04 : les forces aériennes en action

 

21/11/2013 Lieutenant Simon PICCOT - Armée de l'air

 

Les 21 et 22 novembre 2013 s’est déroulée la 4èmeédition de l’exercice de synthèse VOLFA 2013, planifiée autour de la mission combat search and rescue / personnal recovery (recherche et sauvetage au combat / récupération de personnel). Cet exercice a pour but de s’entraîner au large spectre des missions dévolues au commandement des forces aériennes.

 

Le centre et le sud-ouest de la France sont aux mains de prétendus ennemis. Le scénario réaliste de VOLFA 13-04 prévoyait des frappes aériennes pour reprendre Aurillac, tombée aux mains des rebelles.

 

Par ailleurs, le crash simulé d’un C160 Transall en zone hostile va mener au déclenchement d’une mission de récupération. Cette mission complexe a mis en œuvre deux EC725 Caracal, escortés par 14 chasseurs, le tout supporté par des avions ravitailleurs et avitailleurs.

 

VOLFA 13-04 : les forces aériennes en action

Le convoi constitué a du faire face aux menaces aériennes, sol-air et sol des forces ennemies, pour assurer la récupération de 6 personnes.

 

VOLFA 13-04 : les forces aériennes en action

En marge de cet exercice, le groupement de transport s’est entraîné depuis le lundi 18 novembre. Le commandant Fabrice Decamp, directeur exercice du groupement de transport répond à quelques questions.

 

Mon Commandant, quels sont les objectifs de cet entraînement pour le groupement transport ?

L’implication du groupement de transport dans l’exercice VOLFA 13-04 a pour objectif d’entraîner et de valider des équipages transport aux qualifications Element leader (chef de mission à deux avions) et Package leader (chef de mission à trois avions ou plus).

 

Comment s’organise cet entraînement ?

L’entraînement est scindé en deux parties. La première est consacrée aux missions tactiques à plusieurs avions. Elles comportent notamment des phases de largage au profit des commandos de la brigade aérienne des forces de sécurité et d’intervention (BAFSI).

La seconde partie est entièrement consacrée à l’exercice VOLFA 13-04. Le groupement de transport est placé en support des deux hélicoptères EC725 Caracal afin de leur fournir l’avitaillement tactique nécessaire à l’exécution de leurs missions.

 

Quels sont les moyens humains et aériens engagés ?

 40 personnes sont déployées sur la base aérienne 123 d’Orléans, afin de mettre en œuvre deux C160 Transall et un CN235 Casa français.

 

La prochaine édition de l’exercice VOLFA se tiendra au premier trimestre 2014.

               

VOLFA 13-04 : les forces aériennes en action
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