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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:35
Hyeonmu missiles - source patriotdaily-com

Hyeonmu missiles - source patriotdaily-com

01.10.2013 journal-aviation.com

 

SEOUL, 1er octobre (Reuters) - L'armée sud-coréenne a exposé mardi deux nouveaux types de missiles conçus pour être utilisés contre l'artillerie et les vecteurs à longue portée de sa voisine du Nord.

 

Les modèles Hyeonmu-2 et Hyeonmu-3, dont la portée est respectivement de 300 et 1.000 km, ont été montrés en public dans le cadre d'un défilé militaire assez inhabituel.

 

Les deux missiles, qui ont d'ores et déjà été déployés, avaient été dévoilés en février, après le troisième essai nucléaire de Pyongyang.

 

"Nous devons construire un système de dissuasion fort contre le Nord jusqu'à ce qu'il renonce à son arsenal nucléaire et qu'il fasse le bon choix pour son peuple comme pour la paix de la péninsule coréenne", a déclaré la présidente sud-coréenne Park Geun-hye, lors de ce défilé qui marquait le 65 anniversaire de l'armée nationale.

 

Organisé sur une base aérienne au sud de Séoul, il s'est déroulé en présence du secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel. La veille, sur la frontière entre le Nord et le Sud, il avait indiqué que les Etats-Unis n'envisageaient aucune réduction de leur contingent en Corée du Sud, qui compte 28.500 hommes. (Jack Kim, Jean-Philippe Lefief pour le service français)

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:35
Nucléaire nord-coréen: Washington et Séoul signent un accord de dissuasion

SEOUL, 2 octobre - RIA Novosti

 

Washington et Séoul ont conclu mercredi un accord portant sur la dissuasion de la menace nucléaire émanant de la Corée du Nord et de la prolifération des armes de destruction massive appartenant à cette dernière, rapporte l'agence Yonhap. 

 

"Le présent accord établit un cadre stratégique entre les deux alliés pour prévenir divers scénarios de menaces nucléaires nord-coréennes et consolide l'intégration des capacités de l'union en vue de renforcer l'effet dissuasif", stipule le communiqué commun diffusé suite à la signature du document par les ministres américain et sud-coréen de la Défense, Chuck Hagel et Kim Kwan-jin. 

 

Le chef du Pentagone a garanti à son homologue sud-coréen qu'en cas de menace, les Etats-Unis fourniraient toute l'aide militaire nécessaire, y compris leur parapluie nucléaire pour protéger Séoul. 

 

La Corée du Nord s'est proclamée puissance nucléaire en 2005 avant de mener en 2006, en 2009 et en 2013 des essais nucléaires souterrains qui ont provoqué de vives protestations de la communauté internationale. Pour prévenir une éventuelle attaque de Pyongyang, un contingent US de 28.500 hommes est installé sur le territoire sud-coréen.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:30
Syrie: une ingérence militaire provoquerait une catastrophe (Loukachenko)

MINSK, 2 octobre - RIA Novosti

 

Une ingérence militaire de l'Occident en Syrie provoquerait une catastrophe dans l'ensemble de la région, a déclaré mercredi le président biélorusse Alexandre Loukachenko dans une interview à la chaîne de télévision 24 KZ.

 

"J'ai un sentiment nettement négatif à l'égard de la guerre en Syrie en tant que président, mais aussi en tant qu'homme. Cela finira mal. Si, Dieu nous en garde, les Américains, et l'OTAN en général, s'y mêlent comme ils l'ont fait en Libye, et s'ils commencent des bombardements, ce sera une catastrophe. Toute la "ceinture arabe" s'enflammera", a indiqué M.Loukachenko cité par l'agence biélorusse Belta.

 

La Biélorussie soutient la politique de Moscou dans ce domaine. "Nous sommes catégoriquement opposés à ce qu'un pays, même s'il s'agit d'une superpuissance, s'ingère dans les affaires intérieures d'un autre pays, qu'il renverse des régimes et tue les présidents sous des slogans démocratiques ou autres. Nous l'avons déjà vu, de Saddam Hussein au président libyen Mouammar Kadhafi", a ajouté M.Loukachenko.

 

La situation dans le monde arabe risque de provoquer la propagation du terrorisme vers la Biélorussie, la Russie et le Kazakhstan, selon lui. "A vrai dire, nous craignons que ce terrorisme ne se propage chez nous. C'est une menace grave pour les frontières méridionales de la future Union économique eurasienne. C'est pour cela que nous suivons l'évolution de la situation et que nous exprimons notre position à l'égard de ce conflit", a conclu le président biélorusse.

 

La Biélorussie, le Kazakhstan et la Russie ont formé une Union douanière le 6 juillet 2012 avec l'entrée en vigueur d'un Code douanier commun aux trois pays. Le 1er janvier 2012, Minsk, Astana et Moscou ont également mis en place un Espace économique uni. Ces deux organismes constituent la plateforme nécessaire à la création d'une Union eurasienne d'ici 2015.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:30
Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

Oct. 2, 2013 – Defense News (AFP)

 

ANKARA — Turkey on Wednesday defended its decision to enter talks with China to acquire its first long-range anti-missile system, in spite of protests from its ally Washington.

 

It also made clear that no deal had yet been finalised.

 

"The Chinese gave us the best price," Defence Minister Ismet Yilmaz told Vatan newspaper, explaining that the system's Chinese manufacturer had agreed to a co-production deal with Turkey.

 

Foreign Ministry spokesman Levent Gumrukcu said talks were to begin with the Chinese company, but made it clear that the selection process was still ongoing.

 

"The process has not yet been finalised," he said.

 

In an official statement last week, Turkey said it has "decided to begin talks with the CPMIEC company of the People's Republic of China for the joint production of the systems and its missiles in Turkey".

 

China Precision Machinery Export-Import Corp (CPMIEC) beat out competition from a US partnership of Raytheon and Lockheed Martin, Russia's Rosoboronexport, and the Italian-French consortium Eurosamrs in the tender.

 

The original contract was worth a reported $4 billion dollars, but the Chinese bid reportedly came in at a much lower $3 billion according to Turkish media.

 

The United States reacted with alarm to news that Ankara had chosen the Chinese firm, slapped with US sanctions for delivering arms to Iran and Syria, to build the air defence and anti-missile system.

 

"We had asked for joint production and a technology transfer," the Turkish minister said. "If other countries cannot guarantee us that, then we will turn to ones that can."

 

NATO member Turkey is a key regional ally to the United States, and currently has US-built Patriot missile systems deployed on its border to deter incoming attacks from Syria.

 

Turkey wants to build its own long-range air defence and anti-missile architecture to counter both enemy aircraft and missiles.

 

NATO has also raised concerns over possible compatibility issues between the Chinese-made system and others used within the alliance.

 

Yilmaz dismissed its concerns, saying: "There is no problem on that front."

 

The foreign ministry confirmed that Turkey had been in talks with NATO over the past few days, with Gumrukcu saying that the exchange of views with NATO allies was "only natural."

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:30
Syrie: Bagdad appellera les USA à cesser les livraisons d'armes aux rebelles

DUBAI/BAGDAD, 2 octobre - RIA Novosti

 

Le premier ministre irakien Nouri al-Maliki se rendra la semaine prochaine aux Etats-Unis pour évoquer avec le président Barack Obama le règlement du conflit en Syrie et lui demander de stopper les livraisons d'armes aux rebelles, a annoncé mercredi à RIA Novosti Mohammad al-Sayhood, député de la coalition parlementaire dirigée par Maliki.

 

"Nouri al-Maliki invitera les Etats-Unis à cesser les livraisons d'armes à l'opposition syrienne, car ces armes tombent entre les mains d'al-Qaïda et sont utilisées pour attaquer le peuple syrien et l'Irak", a déclaré le député.

 

Selon lui, Bagdad considère la politique américaine à l'égard de la Syrie comme "erronée" et estime qu'elle a "provoqué de grands bouleversements au Proche-Orient.

 

Le premier ministre irakien a proposé un plan de règlement politique de la crise syrienne, qui prévoit notamment la mise en place d'un cessez-le-feu sur tout le territoire du pays, la suspension du financement et des livraisons d'armes aux parties en conflit, l'expulsion des mercenaires étrangers, ainsi que des démarches visant à contraindre les belligérants à des négociations de paix sous contrôle de l'ONU.

 

Bagdad souligne également la nécessité de mener à bien l'enquête internationale sur l'utilisation d'armes chimiques en Syrie. Il invite en outre les pays arabes à créer un fonds spécial en vue de faciliter le retour des réfugiés syriens.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:20
Minutes, Lives Saved Using Litter Assist in Mine-Resistant Ambulances

Oct 1, 2013 ASDNews Source : US Army

 

The terrain in Afghanistan is tough.

 

Drivers face roads that wind down treacherous hillsides with hairpin turn after hairpin turn, sandy valleys between tree-spotted ranges, snow-chilled mountains and plains, mud from snowmelt, narrow passes filled with boulders, and rivers, and more mud. Add in extremes of temperature, the danger of flash flooding and earthquakes, and the expectation of unexploded land mines and improvised explosive devices. Add in sniper gunfire, heavy artillery, and wounded warriors.

 

How can the U.S. military safely evacuate its casualties without endangering the rescuers?

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:20
Shutdown Suggests Way to Pentagon Savings

October 1, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Lexington Institute; issued October 1, 2013)

 

Shutdown Math Suggests Way to Curb Pentagon Overhead

 

The government shutdown that began at 12:01am on Tuesday should be used as an object lesson for those who understand the necessity of reducing unnecessary and excessive costs of the federal government. As part of the shutdown process, non-essential workers are being directed to remain at home. The percentage of the total workforce on (temporary) unpaid leave varies widely among cabinet departments and agencies.

 

For example, in the Department of Veterans Affairs, 95 percent of the workforce has been directed to report for work while at the Housing and Urban Development Department 96 percent of the workforce has been deemed non–essential. Air traffic controllers, customs and border patrol personnel, FBI agents and the like are all considered essential and will remain on the job.

 

It is reported that the Defense Department will furlough approximately half its civilian employees, roughly 400,000, beginning today. This is by far the largest group of federal employees to be put on leave. In addition, an as yet undefined number of defense contractors, many doing jobs that are similar in nature to those performed by government employees, will be temporarily laid off.

 

The fact that nearly half a million civilians in the Pentagon are considered non-essential is one indicator that this is a place to begin cutting defense overhead expenses. Numerous studies of ways of reducing unnecessary defense spending, including most recently one by the Stimson Center, have identified the bloated size of the civilian workforce as a place to start cutting costs. If half the Department of Defense’s (DoD) workforce can safely be put on temporary leave, it stands to reason that a significant fraction of that half could be permanently eliminated.

 

This does not mean that these workers haven’t been performing their jobs well. It does mean that in an austere budget environment any position that is not considered essential to national defense should be considered a candidate for elimination.

 

What say we begin the process of reducing excess DoD overhead by eliminating 25 percent of the 50 percent of the total civilian workforce in the Pentagon that didn’t show up for work today?

 

This may seem like a large number but it is actually a smaller fraction of total civilian employment at the Pentagon than the 20 percent of headquarters staff including military personnel that Secretary of Defense Chuck Hagel proposes to cut from DoD. Reducing civilian manpower by 100,000 is a good first step and will save tens of billions of dollars.

 

Add to that figure some of the tens of thousands of uniform personnel doing jobs that could be performed by civilians (government employees or contractors) and the savings would go a long way to mitigating the impact of sequestration on military operations and procurement.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 16:55
Des Reaper pour la France: il faut commencer à mettre la main au portefeuille

01.10.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Lu dans la livraison quotidienne des avis d'attribution du Pentagone (avec le shutdown désormais effectif, je ne sais pas si le Pentagone va continuer à passer des commandes...?), un avis concernant la vente de Reaper à la France (voir ci-dessous). Le contrat FA8620-10-G-3038 n'est pas spécifique au contrat avec la France; c'est un contrat beaucoup plus large de construction aéronautique qui englobe l'achat français de deux Reaper.

 

Le marché attribué frôle les 50 millions de dollars mais sa nature n'est pas spécifiée. En tout cas, c'est la preuve qu'il faut commencer à payer...

 

Je rappelle que les équipages français sont en formation aux USA (cliquer ici pour lire mon post à ce sujet) et qu'un Reaper sera livré d'ici à la fin de l'année et un second début 2014.

General Atomics Aeronautical Systems, Inc., Poway, Calif., has been awarded a not-to-exceed $49,813,377 undefinitized contract action (DO 0112) under a previously existing cost-plus-fixed-fee contract (FA8620-10-G-3038) for France's MQ-9 Reaper urgent request program. Work will be performed in Poway, Calif., and is expected to be completed by July 15, 2015. This award is the result of a sole-source acquisition. This contract action is 100 percent foreign military sales for France. Air Force Life Cycle Management Center/WIIK, Medium Altitude Unmanned Aircraft Systems, Wright-Patterson Air Force Base, Ohio is the contracting activity.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 16:50
Airbus célèbre le premier A400M, avec l'export comme objectif

01.10.2013 journal-aviation.com - par Tim Hepher et Brenda Goh

 

SEVILLE/PARIS/LONDRES, 30 septembre (Reuters) - De nombreux responsables politiques européens participent ce lundi à Séville à la cérémonie organisée par Airbus pour célébrer la livraison du premier avion de transport militaire A400M mais ce programme, le plus important à l'échelon européen dans la défense, pourrait bien être le dernier du genre avant longtemps.

 

Après 30 ans de développements laborieux, le premier des 170 A400M commandés par sept pays - livré à l'armée française - permet à l'Europe de franchir une nouvelle étape en matière d'indépendance de ses transports militaires.

 

La cérémonie de Séville, où est installée l'usine d'assemblage de l'appareil, doit aussi donner un nouvel élan à la campagne commerciale à l'export hors d'Europe, indispensable pour assurer l'équilibre financier du programme mais handicapée par quatre ans de retard et de coûteuses difficultés de mise au point des moteurs.

 

Au-delà de l'A400M, Airbus s'interroge sur la manière dont l'Europe, économiquement affaiblie et politiquement divisée, pourra répondre à de futurs conflits comparables à ceux de la Syrie, de la Libye ou du Mali, et sur la volonté des Etats à coopérer dans le cadre de grands projets de défense.

 

"Je pense que nous sommes encore plus loin d'une politique étrangère et de sécurité commune aujourd'hui qu'à aucun moment au cours des 20 dernières années", a dit Tom Enders, le président exécutif d'EADS, la maison mère d'Airbus, lors d'un discours la semaine dernière.

 

"Je ne m'attends pas, dans ma planification stratégique, à ce que, dans les 10 à 15 prochaines années, il y ait un grand projet européen dans notre sphère d'activité. Je constate que les gouvernements cherchent plutôt à arrêter ou à réduire des projets déjà lancés", a-t-il ajouté.

 

L'EUROPE ESPÈRE DES ROYALTIES À L'EXPORT

 

L'A400M a été conçu pour répondre aux besoins de capacités de transport militaire de sept pays de l'Otan: l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, la France, la Grande-Bretagne, le Luxembourg et la Turquie.

 

Mais le budget du programme, fixé initialement à 20 milliards d'euros, a augmenté en chemin de cinq milliards, ce qui a obligé les pays partenaires à remettre la main au portefeuille en 2010 à hauteur de 3,5 milliards, une somme qu'ils sont censés récupérer sous forme de royalties sur les ventes à l'export.

 

Présent à Séville, Jean-Yves Le Drian, qui reviendra en France à bord du premier A400M livré par Airbus Military, a estimé que l'appareil disposait d'un "énorme" potentiel à l'exportation.

 

La décision récente d'interrompre la production du Boeing C-17, peut en effet jouer en faveur de l'A400M.

 

Jusqu'à maintenant, en dehors des sept pays initiateurs du projet, la Malaisie est le seul acheteur de l'A400M, pour quatre appareils, l'Afrique du Sud ayant annulé une commande.

 

Airbus estime à plusieurs centaines d'exemplaires le marché potentiel de l'avion. Mais le constructeur s'inquiète de la volonté affichée de plusieurs pays européens acheteurs, comme l'Espagne, de revendre une partie de leur flotte hors du Vieux Continent.

 

Tom Enders a déclaré à Reuters que de tels projets étaient "compréhensibles" dans le contexte budgétaire actuel mais il a ajouté: "En tant qu'industriel, je ne peux pas être très satisfait de cette approche et je dois faire en sorte que nous ne laissions pas la valeur s'échapper."

 

En France, l'A400M, dont le premier exemplaire est basé à Orléans, est destiné à remplacer le Transall C-160, dont certains exemplaires volent depuis 50 ans. (avec Adrian Croft à Bruxelles; Marc Angrand pour le service français, édité par Jean-Michel Bélot)

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 16:50
First A400M Official Delivery Ceremony held in Seville
Seville, 30th September 2013: OCCAR
 
In a spectacular ceremony held at the A400M Final Assembly Line in Seville, the first production A400M was officially delivered to the French Air Force. In attendance at the ceremony were VIPs including the French Minister of Defence, Jean-Yves Le Drian, the CEO of EADS, Mr Tom Enders, a representative of the Government of Andalucia and His Royal Highness Crown Prince Felipe of Asturias, son of King Juan Carlos of Spain.
 
After a video presentation of the A400M’s production process and capabilities, the A400M was revealed in a lightshow of animations. Using the plane and factory door as a canvas, the audience was shown an animation of how the aircraft is built and then takes flight through a variety of missions in diverse environments to fully demonstrate the aircraft’s capabilities.
Mr Eric Huybrechts, Deputy Director of OCCAR-EA, made a speech during the ceremony, and explained how this ceremony marked a major milestone for A400M and indeed for OCCAR: “... The A400M programme and OCCAR were established at nearly the same time. OCCAR was created to provide an optimised framework for co-operative armaments programmes in Europe and to manage these in a more efficient way than before by adopting common rules. A400M constituted nothing less than a test case for our young organisation. It has passed that test, as a unique programme successfully meeting the requirements of all Participating States together. ...”
 
 
Mr Eric Huybrechts, OCCAR-EA Deputy Director

Mr Eric Huybrechts, OCCAR-EA Deputy Director

Mr Domingo Urena, CEO of Airbus Military, paid particular tribute to the role played by OCCAR in successful delivery of the programme. Finally the aircraft was symbolically handed over to the French Minister of Defence. The French delegation then departed on one of the A400M planes to a further ceremony at the A400M’s French home of Orleans.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 16:50
Belgique : Les nouveaux navires de patrouilles prennent forme

2 oct. 2013 belgiandefence

 

La construction de deux nouveaux navires de patrouille pour la marine a débuté mi-juin 2013. En ce moment, les constructeurs de la compagnie navale SOCARENAM assemblent les quatre parties de la coque.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 16:50
La France et l’Allemagne s’associent sur la formation A400M

02.10.2013 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

Le 30 septembre, à l’issue de la réception officielle de l’A400M sur la BA 123 d’Orléans-Bricy, le CEMAA, le général Denis Mercier et son homologue allemand le général Karl Müllner ont signé un accord de partenariat concernant la formation des équipages et des mécaniciens.

 

Ce partenariat prévoit qu’à partir de la mi-2015, les équipages effectueront leur formation de type et leur entraînement logistique sur la BA de Wunstorf, qui accueille depuis 1978 l’escadron de transport 62 de la Luftwaffe. L’entraînement tactique s’effectuera ensuite au centre de formation A400M de la BA 123 d’Orléans. « Nous posons les bases d’un premier partenariat et nous verrons par la suite quel pays souhaitera nous rejoindre » a déclaré le général Müllner, rejoint en ce sens par le général Mercier.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 12:50
Army reserves train on Salisbury Plain

A Challenger 2 engages an enemy position using laser sights – a pyrotechnic element adds realism to the visual simulation  (photo  Richard Watt, UK MoD)

 

1 October 2013 Ministry of Defence

 

Army reserve soldiers from the Royal Wessex Yeomanry are this week training with Challenger 2 tanks on Salisbury Plain.

 

More than 100 soldiers are training to become crewmen on the armoured vehicles and this is the first time in several years that the unit has had the opportunity to train with Challenger 2 on Salisbury Plain.

The reservists are spending a week on the Plain taking part in Exercise Wessex Dragon, which is their annual training camp.

The exercise is also an opportunity for the unit to use and train on its new fleet of Wolf Scout Land Rover vehicles which were recently delivered to the unit’s squadrons as part of the government’s ongoing £1.2 billion investment to revitalise the Army Reserve.

Trooper Elliot Metcalfe said:

The training stands today have been very good and very informative on all different aspects of the Challenger 2, and I have enjoyed using the laser technology system which is fitted to our weapons so we can simulate firing and hitting a target.

Troops work on extracting a casualty from a tank
Troops work on extracting a casualty from a tank [Picture: Richard Watt, Crown copyright]

Captain Damien Thursby said:

Since the Future Reserves 2020 announcement we are actually getting to see the tanks more and having more opportunities for all the guys to get out on exercise with regular units, which is great.

Corporal Nathan Howard said:

The is the first time we have been able to take the tanks out as a troop working under our own steam and it is very beneficial learning to live with our tanks out here for 3 or 4 days.

These reserve personnel are preparing to fulfil a vital role in the future British Army as, by this time next year, the Royal Wessex Yeomanry will formally become the only armoured reinforcement unit in Britain.

Troops being briefed before an exercise
Troops being briefed before an exercise [Picture: Richard Watt, Crown copyright]

The regiment will be working towards fully integrating with the British Army’s 3 regular armoured units, the Queen’s Royal Hussars, the King’s Royal Hussars and the Royal Tank Regiment, who will be based together in Tidworth, Wiltshire.

As a result, the Royal Wessex Yeomanry will be one of only a handful of reserve units to be part of the British Army’s reactive forces which are held at a state of higher readiness and are prepared to deploy anywhere around the world to protect Britain’s interests and national security.

This challenging and exciting new role for the Royal Wessex Yeomanry was bestowed upon them following the recent publication of the white paper ‘Reserves in the Future Force 2020’. This document detailed the restructure of the British Army and the creation of a new, well-trained, well-funded, well-equipped and fully integrated Reserve Force.

In order to successfully fulfil this enhanced new role, the Royal Wessex Yeomanry will work closely with the aforementioned regular regiments and, from now on, will train alongside them in preparation for any possible future deployment.

Lieutenant Colonel Chris MacGregor said:

Integration is absolutely vital so we have borrowed for this training 8 tanks from one of our paired regular units, the King’s Royal Hussars, and a crew from the 1st Royal Tank Regiment, which is another. We also have instructors from these units permanently based with us.

There is a desire on the part of regular forces to invest in their reservists and likewise the reservists want the best capability they can get and that comes through great training and opportunities like this.

The UK Reserve Forces play a vital part in our nation’s defence. Find out how you can get involved and what is on offer for Reserve

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 12:50
Commandos italiens de retour de vol (photo Frédéric Lert)

Commandos italiens de retour de vol (photo Frédéric Lert)

02.10.2013 par Frédéric Lert (FOB)

 

Quatorze nations, plus de 400 hommes et femmes et une vingtaine d’aéronefs engagés : Cazaux accueille depuis mercredi dernier et pour encore deux semaines la 7ème édition du CJPRSC : le cours européen de « personnel recovery » (PR). Autrement dit, l’art et la manière de récupérer des bipèdes en zone hostile.

 

Cette session est menée sous la houlette du groupe aérien européen (GAE). Celui-ci affiche depuis plusieurs années l’objectif de créer un centre d’expertise européen en matière de Personnel Recovery, pour coordonner à l’échelle du continent les entrainements, la doctrine et le support opérationnel.

 

Dès 1995, les opérations sur l’ex Yougoslavie avaient montré le manque criant de coordination et de savoir faire au niveau européen. De 2002 à 2006, le GAE avait en conséquence conduit plusieurs exercices sur le thème de la Combat Search and Rescue (CSAR, ou Resco dans le langage militaire français). Les leçons tirées de ces exercices avaient montré un manque de préparation des personnels impliqués. Le GAE décida alors de passer à l’étape suivante en créant un véritable cours : le CJPRSC (Combined Joint Personnel Recovery Standardisation Course). « Nous sommes dans la logique d’un enseignement, avec une véritable courbe d’apprentissage tout au long de la formation » expliquent les officiers du GAE.

 

Unifier la Resco à l’échelle européenne est un vaste chantier, dont l’ampleur se reflète dans la diversité des matériels réunis à Cazaux. La palme de l’exotisme revient aux Polonais, observateurs lors des précédentes éditions du CJPRSC et venus pour la première fois cette année avec deux de leurs hélicoptères (2000 kilomètres parcourus en deux jours et douze heures de vol pour rallier Cazaux depuis Inowroclaw, 80 km au nord ouest de Varsovie !)

 

La Resco européenne fait aujourd’hui face à plusieurs défis, le premier portant sur les communications. On ne parle pas ici de la langue de travail, l’anglais étant à présent bien entré dans les mœurs, mais des matériels et des procédures. Deuxième défi, l’interopérabilité : « un des intérêts du  cours est d’obliger les gens à remplir les missions avec les moyens dont ils disposent » explique-t-on à Cazaux. Troisième problème cité, celui des règles d’engagement (ROE, pour Rules Of Engagement) qui restent un facteur critique en opération. Le cours dispensé à Cazaux permet d’informer les différents contingents sur les limitations des uns et des autres. Mais une uniformisation des règles d’engagement entre les différents participants reste illusoire. « Il n’y a pas de solution à ce problème des ROE notent les officiers présents. Ce n’est pas nous qui faisons les règles, elles nous sont imposées par le pouvoir politique. Notre travail est d’apprendre à vivre avec les différences qui existent d’un contingent à l’autre dans le cadre d’un travail en coalition ».

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 12:35
L’Inde veut des missiles BrahMos sur ses futurs sous-marins

2 octobre 2013. Portail des Sous-Marins

 

Les compétiteurs occidentaux pourraient devoir affronter une compétition plus acharnée de la part des Russes, dans l’appel d’offres qui sera lancé par l’Inde pour l’achat de 6 sous-marins classiques. Le ministère indien de la défense exige que les sous-marins proposés soient capables de lancer le missile de croisière BrahMos, de conception indo-russe.

 

La Defence Research and Development Organisation, qui fabrique le missile en commun avec la Russie, a persuadé le ministère d’insérer cette exigence dans l’appel d’offres, qui devrait être lancé vers la fin de l’année.

 

DCNS, Navantia et HDW vont proposer leurs sous-marins. De leur côté, les Russes ont déjà informé ce mois-ci la marine indienne que les sous-marins de la classe Amur pourraient lancer le missile BrahMos avec peu de modification.

 

Aucun responsable de DCNS, Navantia ou HDW n’a fait de commentaire sur la capacité de leurs modèles respectifs à lancer le missile.

 

Référence : Defense News (Etats-Unis)

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:55
L’ONERA donne rendez-vous aux équipementiers aéronautiques

1er octobre Aerobuzz.fr

 

Pour rester compétitifs, répondre aux besoins de leurs clients et anticiper l’évolution des exigences environnementales et réglementaires, les équipementiers de l’aéronautique doivent s’appuyer sur l’innovation, indissociable de la R&T. La plupart n’en n’ayant pas les moyens, l’ONERA se positionne comme un partenaire

 

L’Onera dispose des disciplines scientifiques et techniques de l’aéronautique nécessaires à la conception des avions, de leurs équipements et systèmes. Doté de moyens numériques et expérimentaux de pointe reconnus au niveau mondial, l’Onera est aussi à même de fédérer les compétences clés des acteurs de son domaine pour apporter la réponse la plus pertinente et la plus complète aux besoins des équipementiers et ce, au plus haut niveau technique.

 

A l’occasion d’une convention organisée le 22 octobre, l’Onera présentera les domaines d’expertise nécessaires à l’innovation des équipementiers et les différents modes de coopération. Des experts Onera seront également présents pour s’entretenir avec les équipementiers dans le cadre de rendez-vous B2B individuels et sur-mesure.

 

Inscription gratuite : Sylvie.Moitel-Gin [ a t] onera.fr

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:55
Réception du 1er avion de la tranche 4 du programme Rafale

A ce jour, 180 Rafale de série ont été commandés par la DGA et 121 appareils livrés dans ses 3 versions – photo Dassault Aviation

 

1er octobre Aerobuzz.fr

 

La DGA (Direction générale de l’armement) a pris livraison le 12 septembre 2013 du premier exemplaire de la 4e tranche de production du programme Rafale. Les 60 avions de cette tranche de production sont tous équipés en série de capteurs nouvelle génération, à savoir du radar RBE2 AESA à antenne active, du détecteur départ missile nouvelle génération (DDM NG) et de l’optronique secteur frontal "identification et télémétrie". Le radar RBE2 AESA aurait un portée double de celle du RBE2. Il présente également de meilleures caractéristiques de résistance au brouillage. Ainsi équipé le programme Rafale affiche une longueur d’avance sur son concurrent européen Eurofighter/Typhoon.

 

Le Rafale est le premier avion de combat européen en service à bénéficier de la technologie AESA (Active ElectronicallyScannedArray), qui permet d’améliorer significativement sa portée de détection. C’est l’aboutissement de plus de 10 ans d’efforts de R&D sur les antennes actives. L’avion, qui est le 121e Rafale de série livré, est un appareil biplace immatriculé B 339 destiné à l’armée de l’air. Il rejoindra dans les prochains jours la base aérienne de Mont-de-Marsan.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:55
4° Journées d’études « Electromagnétisme et Guerre Electronique » 13 et 14 novembre 2013 à Toulouse

Source Onera

 

La contribution de l’électromagnétisme à la détection radar via les propriétés des cibles, des antennes ou de la propagation des ondes est reconnue de longue date, et fait l’objet de sessions dans les colloques spécialisés. Mais sa contribution au domaine de la Guerre Electronique, qui rassemble les techniques de renseignement et de lutte contre les systèmes de radiocommunication adverses ainsi que la problématique des agressions électromagnétiques, est tout aussi importante. C’est ce lien entre l’électromagnétisme et la Guerre Electronique qui sera mis en évidence et discuté à l’occasion de ces nouvelles journées, organisées comme les précédentes (en mars 2006, novembre 2009, novembre 2011) par la SEE groupe régional Midi-Pyrénées avec la DGA, l’ONERA et l’ISAE sur le campus ENSICA qui accueillera la manifestation.

 

La première journée présentera un certain nombre de problèmes à connotation électromagnétique qui se posent en Guerre Electronique comme la réduction de signature radar des plates-formes, la prédiction des effets des agressions électromagnétiques et de nouveaux concepts d'antennes pour applications en écoute ou en brouillage ; elle sera classifiée et la participation sera sur invitation seulement. La deuxième journée, ouverte à tous, sera consacrée aux méthodes et outils aussi bien expérimentaux que numériques qui contribuent à la solution de ces divers problèmes, et complétera le panorama du domaine de la Guerre Electronique. En conclusion, une table ronde permettra de faire le point sur l'avancement et les perspectives des principaux outils de simulation numérique pour l'électromagnétisme.

 

Comité de programme : B. Aknin (MBDA), A.Bellion (CNES), Y. Beniguel (SEE, IEEA), G. Bobillot (Onera), C.Carel (TCF), F. Christophe (Onera, SEE), E. Duceau (EADS-IW), JC. Gautherot (SEE), JL. Guiraud (SEE, ISAE), V. Gobin (Onera), G. Kubicke (DGA), P.Lalande (DGA), G.Leflour (Dassault), G.Mazé-Merceur (CEA), M. Nouvel (TSA, SEE), B. Pecqueux (CEA), P. Pouliguen (DGA), P. Ratajczak (Orange Lab), O.Vacus (CEA)

 

Organisateurs: SEE*, DGA ; ISAE ; ONERA

(*) :Groupe Régional Midi-Pyrénées en liaison avec le Club Technique Systèmes d'Observation

 

Point de contact: jlguird [at] isae.fr

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:50
Strasbourg-Lisbon-Chicago: NATO Quo Vadis? - SEDE
19-08-2013 Source European Union, 2013 - EP
 
The past three summits of NATO in Strasbourg / Kehl (2009), Lisbon (2010) and Chicago (2012) have addressed rather turbulent developments in the alliance's strategic environment, requiring it to adapt to new situations faster than ever before. NATO's structures have been revised several times, and from the 16 headquarters with 20 000 staff in the 1990s only 7 will survive, with less than 9 000 staff. Territorial defence, once key element of NATO's defence posture, will mainly consist of missile and cyber defence, and - perhaps - critical infrastructure protection. So far, NATO has become much more focused on sustainable high-end operations abroad, but the perspective of more such action is rather unlikely. With the financial crisis and the concentration of the US on its security interests on their pacific coast, the European allies are required to do more for European security. Previous such attempts in the 1990s 'drowned' during the war on terror; NATO and the EU now need to emerge in a true and mutually benefiting cooperation. With the arrival of the Lisbon treaty abolishing the pillar divides between the security and defence policy and the other Union policies, the EU can play its security role thoroughly. The Treaty on European Union requires the 'progressive framing of common Union defence policy'. This process, however, is all but well underway. It is unclear if the forthcoming European Council on defence matters in December 2013 will put this issue on its strategic agenda. The model of NATO, on which the EU treaties are based since Maastricht and Amsterdam, refers to a NATO that has significantly changed since. This is why reflecting on this matter becomes more important than ever before.
 

 
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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:50
Navantia and US Navy Sign Service Contract for Four Destroyers

October 01, 2013 by Navantia - naval-technology.com

 

Navantia has signed a service contract with the US Navy for four destroyers, which will be deployed during 2014 and 2015 in the Naval Base of Rota, as part of the BMDl, according to the agreement reached between both governments in 2011 and signed in 2012. The contract includes the maintenance of these units in the periods of immobilization in Rota, and has a duration of one year, plus six optional years.

 

Navantia's experience in the design, construction and maintenance of the ships, as well as its excellent infrastructure and workforce skill capacity, have been decisive for the adjudication of this contract.

 

Likewise, the attainment of this contract with the US Navy, with the highest level of requirements, gives Navantia substantial international prestige, guaranteeing its leading position in naval military construction.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:50
Belgique : Un nouveau chef ad interim à la tête de la communication de la Défense

01 octobre 2013 Le Vif (Belga)

 

 Le colonel Koen Hillewaert est devenu lundi le "patron" ad interim du service de communication de l'armée belge après le départ le 30 septembre - mais dans les faits vendredi dernier - à la retraite du lieutenant-général Michel Singelé, a-t-on appris de sources militaires.

 

Le colonel Hillewaert, au départ un pilote d'hélicoptère, était jusqu'ici chef d'état-major (c'est à dire "numéro deux") de la Direction générale de la communication (DG-Com) du ministère de la Défense. En l'absence de désignation d'un successeur par le ministre de la Défense, Pieter De Crem, qui n'a pas convoqué cette année de comité d'avancement pour les généraux, c'est lui qui assurera la direction de ce service. Il succède au général Singelé, un ex-pilote de chasse ensuite passé au transport, qui dirigeait la DG-COM depuis mars 2008. C'est sous son égide que le nom du service a été modifié, après s'être appelé jusqu'en avril 2010 Direction générale Image et Relations publiques (DG-IPR), et qu'à été lancé un nouveau bimensuel à usage uniquement interne, portant le nom de 'dbriefing' pour remplacer les anciens 'Vox' et autres 'Direct' militaires. La DG-COM compte actuellement 159 personnes, rassemblées au sein de différents services, comme sa division création (englobant notamment la chaîne de télévision Télévox, visible sur internet), son service de presse, ses deux porte-parole. Elle s'occupe aussi des campagnes publicitaires de la Défense, principalement en matière de recrutement, et chapeaute les trois musiques militaires.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:45
Mali : retour sur l'opération Serval avec le général Barrera

01.10.2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. - Défense globale

 

Le général Bernard Barrera, ancien patron de la 3e brigade mécanisée de Clermont-Ferrand, désormais directeur-adjoint de la DICOD, est revenu lundi, à l'invitation de l'Association des journalistes de défense (AJD), sur l'opération Serval, dont il a commandé la composante terrestre du 21 janvier à la début mai.

 

Un RETEX (retour d'expérience) épique d'une opération qui marque le soldat pour longtemps...

 

La préparation

 

" A la brigade, on savait que nous serions d'alerte Guépard début 2013 et qu'une fenêtre de projection majeure existait avec le Mali. On s'est donc entraîné dessus pendant un an et demi. L'Afghanistan, on savait faire. Là, il fallait se préparer à quelque chose de très différent avec de grandes élongations. La Kapisa et la Surobi, c'était tout petit. On savait qu'il faudrait jouer la subsidiarité, l'interarmes et l'interarmées. On a habitué les chefs de corps et les capitaines à se débrouiller seuls et ça nous a énormément servi. "

 

La mission

 

" La mission politique était claire et je peux vous dire que c'est un vrai régal pour un militaire. Libérer le pays et détruire les terroristes avec acceptation des pertes dans une campagne à risques.

 

Il fallait prendre Tombouctou. Ça résonne aux oreilles des gens depuis René Caillé (premier occidental à Tombouctou en 1828). Nous sommes montés à Bamako, pas par la route la plus facile ou dépendante des bacs mais par un grand raid à l'ouest de 1 000 km. C'était un peu l'axe Joffre en 1894... "

 

Les clés du succès

 

" Un bon entraînement, bien sûr, mais la brigade était surtout animée par un esprit de victoire. On y allait pour leur casser la figure. Avec tous ces gens avec leurs drapeaux français sur le bord de la route, c'était un peu la libération de la France. Ce n'était pas une guerre religieuse, une croisade, mais il s'agissait de libérer un pays.

 

Nous avons mis le paquet sur les appuis, l'aviation, les hélicos qui ont parfois sauvé la vie des hommes, la surprise dans la manœuvre. On a fait preuve d'imagination en allant plus vite et plus loin qu'eux. Ce fut une très belle opération car on ne s'est pas bridé. Et voilà, le soldat français a gagné car c'est un soldat très rustique dans ces très grandes chaleurs. Les hommes de l'ombre de l'état-major ont été aussi les artisans de la victoire.

 

Les armées de Terre et de l'Air, ça fait vingt ans qu'elles font la guerre, dans les Balkans, en Afrique, en Afghanistan. Même s'il y avait des jeunes, ils savaient combattre. "

 

Un grand moment de solitude

 

" J'ai connu un grand moment de solitude le 26 février quand on a attaqué la vallée d'Ametettaï. Les Tchadiens venaient de perdre 26 hommes quatre jours plus tôt. On se demandait " sur quoi je vais tomber ? " On a attendu deux canons Caesar de Gao qui sont arrivés à 6 h à Tessalit. A 7 h, on attaquait. A 8 h, les Caesar tiraient. Les légionnaires (2e REP) étaient, eux partis à pied, à 4 h. Je me suis dit : " Les ordres sont donnés. Maintenant, je croise les doigts. "

 

On était prêt à plusieurs dizaines de morts car on craignait une vallée fermée. Eux sur des positions solides et nous avec le ballet des hélicos et des blessés. C'est pour ça que je voulais prendre les puits en moins d'une semaine. En plus, nos soldats étaient en limite physique. Si ça tardait, ils allaient s'écrouler.

 

En face, il y avait des trous. Ce n'était pas Verdun mais bien installé. On ne pouvait les laisser gagner une bataille psychologique : battre l'armée française. Finalement, le 1er ou le 2 mars, ils craquaient partout. On avait gagné. "

 

Les otages français

 

" Les otages, c'est y penser toujours, en parler jamais. Nous avons toujours essayé de les trouver. On continue. "

 

Les adversaires

 

" On s'est souvent demandé au début s'ils n'avaient pas fui. Il est difficile de faire une évaluation des pertes adverses, plusieurs centaines, de 600 à mille. Au nord, il y avait surtout des gens de la bande nord sahélienne ou extérieurs. Nous avons retrouvé des passeports égyptiens, canadiens... C'était un peu le Woodstock du terrorisme. On a découvert un site prêt à installer une base terroriste avec fabrications de bombes, de détonateurs, des ordinateurs... Plus au sud à Gao, nous avons rencontré des Mauritaniens, des gens provenant d'ethnies noires ou arabes, sous le contrôle du MUJAO. Au nord, les petits mercenaires payés par AQMI sont repartis chez eux rapidement.

 

C'était une zone grise en fait avec des groupes terroristes et trafiquants. Au nord, les hommes, à l'est, la drogue et les cigarettes. Ce n'était absolument pas une guerre religieuse. Ce sont des troupes courageuses mais pas valeureuses. Nous ne partageons pas les mêmes valeurs.

 

En Afghanistan, on nous tirait de loin comme des lapins. Là, ils venaient sur nous. Le 92e RI a eu une opération au contact à 800 m au début et ça s'est fini à 10 m au pistolet. Ils se sacrifaient. C'est pour ça que je disais qu'il fallait aller au pas de la légion, 1 km par jour, pas plus mais détruisez-les tous, ils cherchent l'imbrication. "

 

Les enfants soldats

 

" On ne s'y attendait pas. Pour nous, il n'y avait que des jihadistes aguerris. On aurait dû avoir la puce à l'oreille quand des bergers nous disaient qu'on avait volé leurs enfants. Je ne connais pas d'exemples de soldats français ayant tiré sur un enfant soldat mais ça s'est parfois joué à une seconde. Nous avons trouvé des enfants morts dans des bombardements ou blessés par des éclats. Ceux-ci, nous les avons tous sauvés. "

 

Les Touaregs

 

" Nous avons profité des services de guides maliens dès le début février. C'étaient des Touaregs, des gens issus d'une minorité loyale à Bamako. On ne voulait surtout pas favoriser une guerre ethnique. Depuis, ça a un peu évolué. Les MNLA, on passait devant, on les voyait. Mais pour nous, le MNLA, c'était ni ami ni ennemi. "

 

Les armes ennemies

 

" Beaucoup d'armes venaient des stocks de l'armée malienne, pris lors des mois précédents, quelques munitions venant de Libye. Nous avons trouvé également des pièces d'artillerie, des mortiers mais ils ne savaient pas s'en servir. Nous avions peur de tomber sur de l'antiaérien mais non, ce sont des combattants légers. "

 

L'influence

 

" Nous avons touché la population en rétablissant rapidement, à Gao, à Tessalit, les relais GSM coupés car la population était favorable aux armées malienne et française. Nous avons relancé des radios locales maliennes pour expliquer notre action. Nous avons eu en retour une foule de renseignements par des Maliens courageux.

 

J'ai fait aussi monter en première ligne dans la vallée d'Ametettaï une équipe avec des hauts-parleurs. Je leur passais des messages pour qu'ils se rendent. Bon, on n'a pas eu une foule de gens. Beaucoup ont fui par le sud mais les enfants soldats n'ont pas résisté.

 

L'armée malienne

 

" Nous avons eu très souvent des FAMA avec nous. On les mettait en tête et je peux vous dire qu'ils fonçaient. Des généraux nous disaient qu'au contact des Français, ils étaient galvanisés. On a souvent une mauvaise perception mais il n'y a pas que des bataillons formés par l'Union européenne dans l'armée malienne. "

 

Les forces africaines

 

" Je n'ai pas trouvé que la force africaine se soit constituée lentement. Fin mars, début avril, la MISMA devenue MINUSMA a commencé à nous remplacer. Les Tchadiens ont été très courageux dans le nord avec une tactique de rezzou. On entendait à la radio les jihadistes. Nous c'était " les chiens " ; les Tchadiens, c'était " les mouches ". Ça résume. "

 

La suite

 

" La guerre n'est pas finie, on le sait. Les attentats récents à Tombouctou ou Kidal ne sont pas des surprises. Les jihadistes ont pris une raclée mais il reste des éléments qui vont tenter de mener des combats asymétriques à forte résonance médiatique. C'est pour ça que la France va laisser une force de réaction rapide, que la force africaine est déployée et que l'Europe mène la formation de bataillons maliens. Il y a encore des explosions et il y en aura encore mais ça n'a rien à voir avec une zone complètement coupée. "

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:45
MINUSMA màj 1er juillet 2013

MINUSMA màj 1er juillet 2013

01 octobre 2013 Par RFI

 

L'ONU devrait débloquer dans les prochains jours les fonds destinés à rembourser les pays contributeurs de troupes pour la Minusma, la Mission de maintien de la paix de l'ONU au Mali. Il y a une quinzaine de jours une centaine de militaires tchadiens avaient quitté leur position de Tessalit pour rejoindre Gao en signe de protestation contre le non-paiement de primes liés à la participation à cette opération, mais aussi à l'absence de relèves. Depuis, ils sont rentrés chez eux. Le président tchadien Idriss Deby avait pointé du doigt la responsabilité de l'ONU dans cette affaire, appelant la Minusma à assumer ses responsabilités. Comment et par qui ces soldats doivent-ils être payés ? Eléments de réponse.

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:45
MQ-1 Predator armed with an AGM-114 Hellfire missile - photo USAF

MQ-1 Predator armed with an AGM-114 Hellfire missile - photo USAF

01 octobre 2013 Par Romain Mielcarek - RFI

 

Courant septembre 2013, les drones américains ont dû mettre fin à leurs vols depuis Camp Lemonnier, à Djibouti. Après une série de crash, le Pentagone a dû se résigner à déménager ces engins un peu plus au sud, pour pouvoir continuer de mener des raids depuis cette position où Washington prévoit encore d'investir un milliard de dollars.

 

À l'aéroport international d'Ambouli, à Djibouti, les passagers des vols civils ont toujours la surprise de voir, par les hublots, les avions militaires stationnés à proximité de la piste. Locataires de structures sur place, les Français, les Japonais, mais surtout les Américains déploient depuis ce micro-Etat au cœur de la Corne de l'Afrique des moyens stratégiques. Ces derniers opèrent depuis Camp Lemonnier, un important détachement de transport aérien, d'avions de combat et de drones armés.

 

Les célèbres Predator de l'aviation américaine mènent depuis 2011 jusqu'à 16 vols de drones par jour. La demi-douzaine d'engins sans pilote effectue des missions de renseignement ou de bombardement vers l'ensemble de la Corne de l'Afrique, ainsi que vers le golfe Arabo-Persique. Leurs cibles : les combattants d'al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) au nord, et les shebabs somaliens à l'est.

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:35
Guns Up For Australian Army 6x6 G-Wagons

02.10.2013 W&E Platt Pty Ltd - army-guide.com

 

The Australian Army will soon take delivery of the first Mercedes-Benz G-Wagon 6x6 surveillance reconnaissance vehicles (SRV) fitted with a new customised weapons suite.

 

Under Phase 3A of Project Land 121, around 200 G-Wagon 6x6 SRVs will each receive front and rear weapon mounts developed by Australian weapon mount specialist W&E Platt.

 

In a AUD$2.5 million contract with Australia’s Defence Materiel Organisation (DMO), the company is currently building the mounts at a rate of about 10 sets per week. The contract also includes a spare parts package and technical documentation.

 

In collaboration with the DMO, Platt undertook extensive in-house design and engineering evaluations of the bespoke weapon mount solutions throughout much of 2012, including Commonwealth of Australia sponsored live fire trials of advanced prototype mounts.

 

Designed specifically for the unarmoured 300 CDI G-Wagon 6x6 SRV platform, the weapon mount fit comprises a front rail mount for both left and right-handed gunners that is installed on the upper dash structure for the vehicle commander; and a rear skate mount fixed to the rear stowage compartment. The latter enables the gunner to engage targets left, right and to the rear of the vehicle but not to the front of the vehicle, where arcs of fire are restricted by rotation stops.

 

Each weapon mount can accept a Minimi 5.56mm light machine weapon or a MAG-58 7.62mm general purpose machine gun.

 

Australian Army units earmarked to receive the 6500kg gross vehicle mass G-Wagon 6x6 SRV include the three Regional Force Surveillance Units: the Pilbara Regiment, NORFORCE and the 51st Battalion, Far North Queensland Regiment. It is understood that Royal Australian Air Force Airfield Defence Guards units will also receive the vehicle.

 

Delivery of the Platt weapon mounts will continue through the first quarter of 2014.

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