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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 16:35
Afghanistan : dans la peau d’un mentor

30/09/2013 Sources : EMA

 

Le commandant Olivier, 43 ans est affecté au 3e régiment d’artillerie de marine à Canjuers depuis 2011. Il y exerce la fonction d’adjoint au chef du bureau opérations et instruction. En Afghanistan, il  occupe le poste de mentor auprès des militaires afghans de l’école des blindés (ABS : Armored branch school). Il est ainsi engagé dans le cadre du détachement EPIDOTE depuis le mois d’avril 2013, pour une durée de 6 mois.

 

« Ma mission ici, est de « mentorer » le chef d’état-major (CEM) de l’école des blindés et de commander l’équipe de mentors pour toute la partie logistique et ressources humaines ».

 

Au début de son mandat, le commandant Olivier est passé par une phase d’observation. « C’est comme ça qu’il faut fonctionner, j’ai déjà exercé une fonction similaire lors d’un séjour de longue durée au Cambodge. D’abord, observer, c’est de cette manière qu’on parvient à nouer des liens sincères mais j’ai aussi une autre astuce…», déclare Olivier : gagner la confiance des afghans. Grâce à sa patience et son observation, il a remporté ce défi. Signe que la glace est brisée et que la méfiance a laissé place à la confiance, Olivier est invité chaque jour à boire le thé avec le lieutenant-colonel Nurzaï, le CEM qu’il accompagne. « Les afghans aiment beaucoup les proverbes, je me souviens d’ailleurs de ce jour où, un des élèves de l’école m’a dit, tant qu’on n’a pas bu le thé Olivier, on ne peut pas faire la guerre. C’était le signe que je  faisais maintenant partie de leur environnement. Ici, avant de commencer à parler des sujets sérieux, la convivialité est de rigueur».

 

Lors de sa mission au Cambodge, le commandant Olivier a appris la langue du pays. Il avait compris que cette étape lui permettrait de tisser des liens de confiance avec les personnes qu’il accompagnait. En 2006, lorsqu’on lui a annoncé son départ comme OMLT (operational mentor liaison team) en Afghanistan, le commandant s’est lance dans l’apprentissage du persan d’Afghanistan, également appelé « Dari », l’une des deux langues officielles de ce pays. « Je savais qu’apprendre la langue permettrait un rapprochement avec la population. On ne partage pas les mêmes choses quand il y a un interprète au milieu de la conversation. Malheureusement, cette mission ne s’est pas faite. J’ai quand même continué à apprendre le persan dans ses différentes variantes (iranien, dari, tadjik) utilisé comme langue officielle en Iran, en Afghanistan et au Tadjikistan. C’était une question de choix personnel car je trouve cela très intéressant. Finalement aujourd’hui je suis en Afghanistan et très content d’avoir poursuivi cet apprentissage ».

 

C’est tout seul qu’il a appris le Dari, sans prendre de cours. Sa particularité, il la tient de sa volonté et de sa ténacité. Il commence par des méthodes d’apprentissage sur CD, regarde des films et s’exerce seul à l’oral. Il ajoute, « en fait, on apprend toujours, je suis encore en plein apprentissage ».  Aujourd’hui, quand le commandant Olivier discute avec le chef d’état-major de l’école des blindés, on sent la connivence et le respect entre les deux hommes. Chacun s’est adapté à l’autre. Mais l’absence de barrière de la langue a bien évidemment contribué à les rapprocher. 

 

Cette complicité et cette proximité lui ont permis de mener à bien sa mission d’instructeur auprès de l’armée afghane. Il ajoute, « Notre rôle ici est de laisser travailler les forces afghanes seules, d’observer et de les conseiller au besoin. Nous ne commandons personne, nous sommes là pour aiguiller, guider et permettre aux militaires afghans d’acquérir des méthodes de travail  pour qu’ils continuent sur la bonne voie quand nous aurons quitté le pays ». Aujourd’hui les instructeurs du détachement d’EPIDOTE ne forment plus les militaires afghans, ils en sont à un stade de conseil. L’armée afghane a pris la main et forme elle-même son personnel.

 

Être instructeur requiert de nombreuses qualités. La première est l’ouverture d’esprit. Apprendre à connaître les différences de l’autre, mais surtout les accepter pour gagner respect et confiance. L’ouverture sur le monde et sur une culture nouvelle sont deux points essentiels pour réaliser une telle mission. « En résumé, un mentor doit savoir faire preuve de curiosité et  de persévérance», confie Olivier.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 16:20
Raytheon's Griffin Missile Demos Maritime Protection Capabilities

Sep 27, 2013 ASDNews Source : Raytheon Corporation

 

Raytheon Company (NYSE: RTN) and the U.S. Navy demonstrated the Griffin® missile's combat proven capabilities in a maritime environment by successfully engaging fast-moving small boats from various platforms throughout a series of at-sea tests.

 

During one of the tests, the MK-60 Patrol Coastal Griffin Missile System was integrated on a Cyclone-class Patrol Coastal-class ship, where the missile was employed against remote-controlled boats simulating a threat to the ship.

 

"The Griffin missile and the MK-60 System provide the accuracy and lethality required to meet the requirements of our operational testing," said Capt. Mike Ladner, major program manager of Surface Ship Weapons, U.S. Navy Integrated Warfare Systems 3.0 program office.

 

The most recent test, conducted at the Navy's Point Mugu, Calif., sea test range, marked the completion of a quick reaction assessment that will lead to fielding of the Griffin missile on forward deployed Patrol Coastal ships later this year.

 

"The Griffin missile is ideally suited for protecting Navy ships against the increasing small boat threat," said Harry Schulte, vice president of Air Warfare Systems for Raytheon Missile Systems. "Griffin is fully developed, lightweight and precise. It is designed with confined lethality to minimize collateral effects and maximize operational effectiveness."

 

The MK-60 Patrol Coastal Griffin Missile System includes a proven laser targeting system as well as a Navy-designed launcher and battle management system featuring the Griffin missile. This system will provide the Navy's Patrol Coastal class ships with their first operational capability against small boat threats outside of current gun range.

 

About Griffin

The Griffin missile is a multi-platform, multi-service weapon that has a proven track record for successful rapid integration with land, sea and air assets. The combat-proven Griffin AGM-176A is an aft-eject missile designed for employment from platforms such as the C-130 aircraft. The Griffin BGM-176B is a forward-firing missile that launches from rotary- and fixed-wing aircraft, ground-launch applications and maritime platforms. The Griffin missile is 43 inches long, weighs 33 pounds, has a 13-pound warhead, and is in production today.

 

Griffin enables the warfighter to engage targets via a simple user interface and guide the weapon to the target using GPS coordinates exclusively or with laser designation. To maximize lethality, the user can choose to engage the target with direct attack or high impact angle, and has the option of using height of burst, point detonation or delayed fuzing.

 

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 14:12
A400M First Delivery

30 sept. 2013 airbus

A400M First Delivery Ceremony will take place in Seville, Spain, next 30th September.

This aircraft, the most modern airlifter in the world, will be delivered to its first customer, the French Air Force, after seven nations have worked together to achieve today´s answer to tomorrow´s challenges.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 13:45
Chaos en Centrafrique

30 Septembre 2013 Par valeursactuelles.com

 

Afrique. Autoproclamé président depuis sa prise du pouvoir, en mars dernier, Michel Djotodia n’arrive plus à faire régner l’ordre.

 

Son pays est déchiré par des rébellions pseudo-politiques — du simple grand banditisme. La population en est la première victime. Après le Mali, la Centrafrique devient donc le dossier prioritaire de la France en Afrique. Ce 24 septembre, à New York, François Hollande espérait convaincre l’Onu de la nécessité d’une “opération de maintien de la paix”. Près de 300 soldats français supplémentaires sont prêts à être projetés à Bangui.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 13:30
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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 12:55
First Tranche 4 Rafale Fighter Jet Delivered With New Generation Sensors

September 27, 2013. David Pugliese Defence Watch

 

From the DGA, the French procurement agency:

 

On September 12, 2013, the French defense procurement agency (DGA: Direction Générale de l’Armement) officially took delivery of the first Rafale issued from the “Tranche 4” production batch, which covers the production of 60 aircraft. All of them will be equipped with new-generation, advanced sensors, and, therefore, will be the most advanced Rafales delivered to the warfighters.

 

These new sensors are:

 

· the RBE2 Active Electronically-Scanned Array (AESA) radar;

· the DDM-NG 1 missile warning system;

· the Front-Sector Optronics (FSO) “IT” (Identification and Telemetry).

 

Thus, the new Rafale “Tranche 4” is the most advanced Rafale (to date) delivered to the warfighters.

 

Indeed, the Rafale is the only European combat aircraft in operational service to incorporate today the cutting-edge “AESA” radar technology. The RBE2 AESA brings the Rafale a number of key operational benefits:

 

· extended range capabilities supporting low-observable target detection and full use of new weapon systems such as the Meteor air-to-air missile;

 

· higher reliability for reduced maintenance and lower through-life support costs;

 

· greater waveform agility for SAR (Synthetic Aperture Radar) imaging and improved resistance to jamming.

 

The first Rafale “Tranche 4” delivered, the two-seater “B339”, is the 121st production aircraft and it landed at Mont-de-Marsan Air Force Base on September 17, 2013.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 12:30
Assemblée nationale : Audition de M. Philippe Burtin, président de Nexter, sur le projet de loi de programmation militaire

30.09.2013 Assemblée Nationale

 

- Audition, ouverte à la presse, de M. Philippe Burtin, président de Nexter, sur le projet de loi de programmation militaire

Compte rendu n° 98 - mercredi 18 septembre 2013 - séance de 18 heures

 
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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 12:03
DGA : une industrie de défense préservée - video

30.09.2013 Par  

 

Le délégué général pour l'Armement s'exprime sur le projet de la loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019. Cette loi constitue, pour le ministère de la Défense, la première étape de la mise en œuvre des nouvelles orientations stratégiques publiées dans le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:55
Exercice amphibie de validation pour le VHM

Photos: Le VHM en configuration amphibie, muni d’un dispositif de flottabilité latéral (crédits: Armée de terre)

 

30.09.2013 Par Guillaume Belan (FOB)

 

Le Véhicule Haute Mobilité (VHM) va participer à un exercice amphibie interarmées de niveau intermédiaire, qui se déroulera du 1er au 3 octobre dans la région de Sainte Maxime (Var). Cette manœuvre sera l’occasion pour la STAT (Section Technique de lʼArmée de Terre) de réaliser la dernière étape de validation du VHM (véhicule haute mobilité) BvS10 aux opérations amphibies. Cet exercice est donc l’aboutissement du processus de validation du nouveau VHM, qui vient remplacer les vieillissants BV206 en service dans l’armée de terre. Le VHM aura subi plusieurs tests, dont l’exercice Cerces lʼannée dernière mené par la 27ème  BIM (Brigade d’infanterie de montagne).

 

Au total l’armée de Terre va recevoir 53 BvS10 (commande ferme). Alors qu’initialement le besoin exprimé concernait 129 véhicules, les difficultés budgétaires auront eu eu raison des tranches conditionnelles . Avec une capacité dʼemport dépassant les 5 tonnes (PTAC de 14 tonnes), le VHM peut embarquer jusqu’à 12 fantassins équipés du Félin avec leur armement individuel et collectif (missiles, roquettes et mortiers), les radios et les systèmes dʼinformation. Le VHM est décliné en 3 versions : version «Rang» (transport de troupes), version «Poste de commandement» et version «Logistique», équipée dʼun plateau déposable pour le transport de matériels.

 

Construit par le groupe suédois Hagglunds (groupe BAe), l’adaptation du véhicule aux spécifications françaises (« francisation ») est réalisée par Panhard (groupe RTD). Le VHM dispose de très intéressantes capacités de franchissement et peut facilement évoluer hors des routes, donc des itinéraires tracés qui, en Afghanistan, étaient souvent piégés. Il va apporter à l’armée une réelle capacité en combat embarqué en milieu montagneux et/ou enneigé mais aussi en terrain accidenté et peut se présenter comme un intéressant complément aux VAB et VBCI dans le combat du SGTIA à dominante infanterie. Il sera mis en œuvre par la 27ème BIM et la 9ème Blbima (brigade légère blindé d’infanterie de marine. Équipé d’un toureleau PL80 (12.7) servit manuellement par un soldat exposé, à terme il pourrait recevoir un toureleau télé-opéré (type Wasp ou Prector à l’instar du VAB Top).

Exercice amphibie de validation pour le VHM
Exercice amphibie de validation pour le VHM
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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:55
Rencontre avec le Directeur de l’Intelligence économique du groupe Total

28.09.2013  ANAJ-IHEDEN
 

Le Comité « Défense économique » de l’ANAJ-IHEDN a le plaisir de vous inviter à sa prochaine conférence :

« Les rencontres de l’I.E. »

Jean-Michel SALVADORI
Directeur de l’Intelligence Economique du groupe TOTAL

Mercredi 16 octobre 2013
19h30 à 21h00

Amphithéâtre Des Vallieres
Ecole militaire

« Les rencontres de l’IE » du Comité de Défense économique de l’ANAJ-IHEDN proposent un environnement propice à la rencontre des principaux acteurs de l’IE, du privé comme du public, des grands groupes industriels comme des représentants de TPE et de PME, autour de l’actualité du secteur, de thèmes de fonds comme des besoins du secteur. L’objectif pour les participants est de mieux comprendre les différents univers de l’IE et d’appréhender les préoccupations du secteur et les orientations déjà empruntées.

 

Notre intervenant, Jean-michel Salvadori va dans un premier temps définir certaines notions de l’Intelligence Economique au sens où l’entend le Groupe TOTAL. Il développera ensuite des éléments du contexte macroéconomique et concurrentiel mondial dans lequel évolue une compagnie comme TOTAL. La troisième partie sera consacrée à l’organisation et la pratique de la discipline IE. Des réflexions tirées de l’expérience du groupe concluront la présentation et laisseront voix aux questions des participants.

 

Jean-Michel Salvadori est diplômé de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées. Il entre dans le Groupe TOTAL en 1981, où, après avoir occupé diverses fonctions dans le domaine de l’Exploration-Production en France et au Cameroun, il est nommé successivement Directeur des Opérations de Total ABK en Abu Dhabi aux Emirats Arabes Unis, Directeur «Business Development» de Total Oil Marine à Londres puis Aberdeen, Chargé d’affaires Amont à la Direction Stratégie Planification du Groupe à Paris, puis en 1998 Directeur Algérie et Afrique de l’Ouest.


Après la fusion des Groupes Total-Fina et Elf, il est nommé en  2000 Directeur Caspienne et Asie Centrale puis, en 2006, Directeur Afrique Subsaharienne au sein de la Direction Générale Exploration Production de Total.


Depuis l’automne 2009, il occupe la fonction de Directeur de l’Intelligence Economique du Groupe Total, au sein de la Direction de la Stratégie et de l’Intelligence Economique elle-même directement rattachée au Président Directeur Général.

 

Informations : defense-economique@anaj-ihedn.org

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:55
photo France 3 Bretagne

photo France 3 Bretagne

27/09/2013 Par Krystell Veillard - France 3 Bretagne

 

C'était [le 27 septembre] à Concarneau le baptême de l'Almak, le dernier né des chantiers Piriou. Un bateau  destiné à la formation des officiers des Marines étrangères. Une diversification prometteuse pour les chantiers finistériens : pour Piriou, l'Almak est une sorte de démonstrateur

 
Suite de l'article

 

Le reportage à Concarneau (29) de Muriel Le Morvan et Gilbert Quéffelec

Interviews :
- Pascal Piriou, PDG des Chantiers Piriou
- Amiral François Dupont, PDG de Défense Conseil International
- Amiral Bruno Nielly, Directeur de DCI-NAVFCO
- Al Hattab Abdullah, aspirant de la Marine Koweitienne

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:54
Caméra embarquée, la nouvelle campagne de recrutement de la Marine nationale

30/09/2013 Marine Nationale

 

À partir du 30 septembre 2013, sur etremarin.fr, la Marine nationale diffuse une série de pastilles vidéos baptisée «Caméra embarquée» dans le cadre de sa campagne de recrutement. Avec un concept inédit : montrer sans détour la vie de marin.

 

La campagne de recrutement de la Marine nationale entre dans une nouvelle phase

 

Ce nouvel outil vidéo à la fois immersif et percutant poursuit l’objectif du Service de Recrutement de la Marine de faire connaître à de futurs candidats, le quotidien de la vie de marin. Cette détermination à montrer sans détour la vie à bord d’un bâtiment et à la rendre accessible à tous s’inscrit en continuité des visuels de la campagne de recrutement «Et si vous étiez déjà marin sans le savoir?» qui affiche clairement une volonté immersive d’un jeune «civil» aux côtés de marins en action.

 

Un format volontairement réaliste et moderne

 

Pour présenter au plus juste ce qu’est la vie embarquée, le réalisateur Christophe Fonseca a partagé le quotidien des marins sur une frégate, un sous marin nucléaire d’attaque et à terre, auprès de fusiliers marins. L’objectif est simple: témoigner d’un large éventail des moments qui rythment la vie du bord. Des plus emblématiques aux plus atypiques. Des plus opérationnels aux plus courants. Disponibles par thème, par lieu ou encore par métier, ces pastilles pourront être regardées sur etre marin.fr, sur ordinateur, tablettes, Smartphone, sur la chaîne éponyme de YOUTUBE ou encore sur la chaîne de la Marine nationale de Dailymotion.

 

3000 recrutements chaque année

 

En 2013, la Marine recrute et forme 3000 personnes de 16 à 29 ans, d’un niveau 3ème à Bac+5. Elle offre de nombreuses possibilités d’emploi parmi lesquelles chacun peut trouver ce qu'il souhaite, en fonction de ses aspirations, de ses études ou de ses compétences. Les différents métiers sont exercés dans des domaines de compétences très variés sous le biais de carrière, contrats ou stages.

3000 recrutements chaque année

 

Caméra embarquée, la nouvelle campagne de recrutement de la Marine nationale

En 2013, la Marine recrute et forme 3000 personnes de 16 à 29 ans, d’un niveau 3ème à Bac+5. Elle offre de nombreuses possibilités d’emploi parmi lesquelles chacun peut trouver ce qu'il souhaite, en fonction de ses aspirations, de ses études ou de ses compétences. Les différents métiers sont exercés dans des domaines de compétences très variés sous le biais de carrière, contrats ou stages.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:50
Britain to host Nato summit

27 Sep 2013 By Ben Farmer, Defence Correspondent

 

Britain will host next year’s Nato summit as the military alliance draws up plans for Afghanistan after combat troops pull out, David Cameron has announced.

 

The summit will be the first time the biennial gathering of alliance leaders has been held in the UK since 1990.

 

Downing Street said that the dates and venues would be announced later, but Mr Cameron confirmed the agenda would be dominated by the lengthy Afghan campaign.

 

He said: "It will be an opportunity for leaders to recognise the contribution and the sacrifice made by our service men and women as the [international] mission in Afghanistan draws to a close, and as Nato draws down its forces and looks to help Afghanistan in different ways.”

 

The Nato-led international coalition is quickly withdrawing the more than 80,000 troops it still has in the country. Nato has said all combat troops will leave by the end of 2014 and fully handover security duties to Afghan forces.

 

American and British commanders believe Afghan forces will not be ready in time to stand on their own against the Taliban though, and want to keep a force of military trainers and special forces troops in the country.

 

Last week The Telegraph disclosed that the Army was pushing a plan to keep up to 200 advisers in Camp Bastion in Helmand province to help the Afghan army.

 

Gen Sir David Richards, former head of the Armed Forces, said having the summit was “excellent news” for the UK.

 

He said: “It confirms the leading role the country continues to play in Nato and on the world stage. In terms of combat effectiveness UK armed forces are the second most powerful in Nato. Given other nations’ defence cuts this will still be the case well into the 2020s.

 

“I am delighted that the UK will play a leading role in devising alliance strategy in the post Afghanistan era. In what is a very troubled world, working closely with allies and friends will be as important as at any time in our history".

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:45
Départ du bataillon « Elou »

28 septembre 2013 eutmmali.eu

 

Samedi 28 septembre 2013, le bataillon malien « Elou » a quitté le camp de Koulikoro en vue de son déploiement au Nord du Mali, à l’issue de ses 10 semaines de formation par la Mission européenne d’entraînement au Mali (EUTM Mali). Fort de 700 hommes et de 60 véhicules, le bataillon Elou, qui doit rejoindre dans un premier temps la ville de Gao, sera désormais accompagné par un détachement d’assistance opérationnelle (DAO) français appartenant à la force SERVAL.

 

De retour sur le camp de Koulikoro le 25 septembre, les soldats du bataillon Elou se sont vus remettre leur insigne de brevet de fin de formation par les instructeurs européens d’EUTM Mali le vendredi 27 septembre. La mission EUTM Mali s’apprête maintenant à accueillir sur le camp de Koulikoro le troisième bataillon malien, dont la formation débutera au début du mois d’octobre. Depuis le 16 septembre, 25 officiers de ce bataillon suivent un stage de formation préliminaire sur le camp de Koulikoro.

 

 Departure of “Elou” battalion

 

 Saturday, 28th September 2013, the Malian battalion « Elou » left Koulikoro training camp to be deployed in northern Mali, after 10 weeks of training received by European Union Training Mission in Mali (EUTM Mali). With 700 men and 60 vehicles, the battalion Elou, which will be first deployed in the city of Gao, will be accompanied by a French detachment of operational assistance (DAO) of the Serval.

 

Back to Koulikoro training camp on September 25th, the soldiers of the Elou battalion received the badges symbolizing the successful completion of their training by EUTM Mali European instructors on Friday, September 27th. EUTM Mali is now preparing to host the 3rd Malian battalion, which training will begin in early October. Since September 16th, 25 officers of this battalion are following a basic training course in Koulikoro training camp.

Départ du bataillon « Elou »
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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:35
Afghanistan : la présence de troupes américaines en discussion

30/09/2013 Le Point.fr

 

Le chef du Pentagone américain souhaite que des contingents américains exercent des missions antiterroristes et de formation des forces afghanes.

 

Le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel a dit lundi espérer "d'ici la fin octobre" la conclusion d'un accord avec Kaboul sur le maintien de troupes américaines en Afghanistan après 2014 et la fin de leur mission de combat. "J'espère que nous aurons cet accord d'ici la fin octobre, parce que nous ne pouvons simplement rien faire sans", a expliqué le chef du Pentagone à des soldats américains lors d'une visite sur un champ de tir à Potcheon (Corée du Sud), proche de la zone démilitarisée intercoréenne. Les États-Unis négocient depuis plusieurs mois avec le président afghan Hamid Karzai un accord bilatéral de sécurité devant définir les modalités de la présence d'un contigent américain en Afghanistan après la fin de la mission de combat des troupes de l'Otan en 2014.

 

Ces troupes serviraient à des missions antiterroristes et de formation des forces afghanes. "Aucun président n'autoriserait à aucun moment l'envoi des troupes américaines quelque part sans qu'il y ait un accord clair" sur les conditions de leur présence, a-t-il expliqué pour rappeler le caractère "crucial" de cet accord pour l'avenir de la présence américaine en Afghanistan. "Tout le monde comprend qu'un accord bilatéral de sécurité constituera la structure qui nous permettra, ainsi qu'à nos partenaires de l'Isaf, d'avancer et de prendre une décision", a-t-il martelé.

 

En Irak, les États-Unis comptaient maintenir un contingent au-delà de 2011 mais, faute d'accord, avaient finalement dû rapatrier l'ensemble de leurs troupes, Bagdad ayant refusé d'accorder l'immunité juridique aux forces américaines. Hamid Karzai avait temporairement suspendu cet été les discussions sur ce traité, ulcéré par les conditions d'ouverture la veille d'un bureau politique des talibans à Doha, au Qatar. En février, le secrétaire à la Défense de l'époque, Leon Panetta, avait estimé que ce contigent comprendrait 8 000 à 12 000 militaires américains et de l'Otan. Le chef du Pentagone effectue une visite en Corée du Sud à l'occasion du soixantième anniversaire de l'alliance entre les deux pays. Il doit ensuite se rendre au Japon.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:35
Le secrétaire américain à la Défense à Séoul pour quatre jours

SEOUL, 29 sept. (Yonhap)

 

Le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel est arrivé ce dimanche à Séoul pour une visite de quatre jours, au cours de laquelle il s’entretiendra avec son homologue sud-coréen et se rendra près de la frontière avec la Corée du Nord.

 

Il s’agit de la première visite de Hagel en Corée du Sud depuis sa prise de fonctions en février. Il est accompagné du général Martin Dempsey, le chef d’état-major interarmées américain. Le but principal de la visite du secrétaire américain est la tenue de la Réunion consultative annuelle sur la sécurité (SCM) avec le ministre de la Défense Kim Kwan-jin, où l’ordre du jour sera la demande de report de la part de Séoul du transfert du contrôle opérationnel en temps de guerre (OPCON).

 

Séoul désire repousser l’OPCON, prévu pour décembre 2015, pour cause de menaces nord-coréennes. Les Etats-Unis avaient hérité du commandement en temps de guerre peu après la guerre de Corée. La réunion de mercredi ne devrait cependant pas être à l’origine de grandes avancées sur la question.

 

Le général Jung Seung-jo, le chef d’état-major interarmées sud-coréen et son homologue américain Martin Dempsey tiendront mardi la Réunion annuelle du comité militaire pour finaliser l’ordre du jour de la réunion ministérielle du lendemain. Hagel devrait aussi se rendre dans la Zone démilitarisée, une visite symbolique soulignant l’engagement des Etats-Unis à la défense de la Corée du Sud.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:30
Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

27/09/2013 by Paul Fiddian - Armed Forces International's Lead Reporter

 

Turkey has selected China's CPMIEC firm to co-manufacture its long-range ground-based air defence system, thereby eliminating Russian, European and US companies from a $4 billion co-development contract.

 

Turkey's air defence system choice was made public on 26 September by the country's Defense Minister, Ismet Yilmaz, who at the same time confirmed the termination of a ship-building contract through which six new corvettes would have been delivered to the Turkish Navy.

 

Right now, Turkey doesn't have an extended-range missile defence system in operation but, via its NATO membership, does have Patriot systems deployed there.

 

CPMIEC's winning offering is the HQ-9 system. It was up against the Patriot (offered by Lockheed Martin and Raytheon), the S-300 (Rosoboronexport) and the SAMP/T Aster 30 (Eurosam).

 

Turkish Air Defence Contract

 

Responding to the Turkish air defence contract choice, Raytheon seemed to express disappointment. "NATO has long supported the system, deploying Patriots in five aligned countries and, in 2012, providing a requested Patriot deployment to Turkey", said representative Mike Doble. "Given this strong performance, we hope to have an opportunity to debrief and learn more about this decision."

 

About six months ago, CPMIEC had sanctions imposed on it by the United Nations in connection with Iran, North Korea and Syria Nonproliferation Act violations. It is not known precisely what these violations involved but this wasn't the first time the firm had found itself in that situation.

 

HQ-9 Missile System

 

The HQ-9 missile defence system has been in production since the 1980s. The missile itself boasts an inertial guidance system, has a horizontal range of up to 200 kilometres and travels at Mach 4.2. It is launched by a Taian TAS5380 8×8 TEL (transporter erector launcher) vehicle.

 

In 2012, China was the world's fifth-largest arms exporter with a five per cent market share, according to SIPRI (the Stockholm International Peace Research Institute). The lion's share of its arms exports involved sales to Pakistan, SIPRI stated.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:30
La Marine israélienne va recevoir de nouveaux navires patrouilleurs

30.09.2013 ( Xinhua )

 

La société Israël Aerospace Industries (IAI), propriété de l'Etat, a emporté un contrat pour fournir à la Marine israélienne trois navires patrouilleurs rapides de prochaine génération, a indiqué dimanche la société dans une déclaration.

 

IAI, le plus important fournisseur de la défense israélienne, a expliqué que le Super Dvora III, doté d'un équipage de 12 personnes, développé et fabriqué par sa division Ramta, disposait d'un système de propulsion avancé qui permet des manoeuvres rapides et précises, de capacités de défense et d'attaque, et d'une autonomie de croisière de 1000 miles nautiques, selon la déclaration.

 

Les détails sur le montant du contrat et la date de livraison n'ont pas été révélés.

 

La Marine israélienne déploie à l'heure actuelle quatre Super Dvora dans des patrouilles de sécurité de routine le long des côtes du pays et des frontières maritimes avec le Liban et la bande de Gaza, dans le cadre d'opérations anti-terrorisme et anti-infiltration. Ces navires ont également pour mission de prévenir la contrebande ou toute autre activité illégale mettant en danger des avoirs stratégiques, tels que les gisements de gaz naturel découverts récemment, a indiqué IAI.

 

L'entreprise a décrit le vaisseau de quatrième génération inclus dans le contrat comme "un des plus avancés au monde" dans la catégorie d'attaque rapide du fait de sa vitesse exceptionnelle, sa robustesse et détection avancée, sa navigation, ses communications, ses missiles de défense et ses mesures pour des tirs de précision, expliquant qu'il est adapté pour avoir la supériorité en cas de combat rapproché.

 

La division Ramta de IAI, dont le quartier général est situé dans la ville de Beersheba, au milieu du désert, a déjà vendu plus de 120 Super Dvora des générations précédentes aux différentes Marines du monde entier.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:30
L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

30/09/2013 Par Arielle Thedrel - LeFigaro.fr

 

Les premiers experts internationaux en armes chimiques sont attendus mardi à Damas. La guerre civile qui fait rage et les délais impartis par la résolution de l'Onu rendent leur mission aussi difficile que périlleuse.

 

 

Un premier contingent d'une vingtaine d'experts de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) est attendu mardi matin à Damas pour commencer à démanteler l'arsenal chimique de la Syrie. Leur mission s'annonce aussi compliquée que périlleuse. Dimanche, Bachar el-Assad a déclaré qu'il se conformerait à la résolution des Nations unies adoptée vendredi dernier à l'unanimité après d'âpres négociations russo-américaines. Le président syrien a assuré que «bien évidemment», son pays assurera l'aide et la protection des experts de l'OIAC. Leur sécurité dans un pays en guerre constitue en effet un défi de taille. Pour Dina Esfandiary, chercheur à l'Institut international pour les études stratégiques de Londres, «les inspecteurs feront des cibles parfaites. Quiconque voudra saboter l'opération, et je suis sûre que beaucoup voudront le faire, pourra les prendre en joue».

 

Damas a remis le 21 septembre dernier l'inventaire de son arsenal à l'OIAC. Mais ses experts devront travailler d'arrache-pied pour tenir des délais jugés impossibles. La résolution de l'ONU fait en effet obligation à Bachar el-Assad de détruire la totalité de ses stocks avant la mi-2014. Selon certains spécialistes, ce délai suffira à peine pour inventorier les armes chimiques et les sortir de Syrie. De telles opérations ont déjà été entreprises en Irak et en Libye, mais jamais en pleine guerre. Pour éliminer les produits toxiques stockés dans tout le pays, il faudra près de deux cents inspecteurs. Or, l'OIAC n'en a pas assez. Moscou et Pékin ont proposé leurs services. Les Etats-Unis, l'Allemagne et d'autres pays ont aussi offert leur aide technique ou financière -l'addition devrait s'élever à un milliard de dollars-. L'Italie a mis à disposition des appareils militaires C-130 pour transporter depuis les Pays-Bas, siège de l'OIAC, jusqu'en Syrie les experts et leur matériel.

 

Les spécialistes sceptiques

 

La priorité des inspecteurs de l'OIAC sera de rendre les sites de production inutilisables. Dans un premier temps, les experts devraient recourir à des «méthodes expéditives» pour s'assurer que les sites ne sont plus opérationnels. Des méthodes plus propres et durables seront ensuite mises en place. Selon le porte-parole de l'OIAC, ces méthodes expéditives consisteraient à «détruire quelque chose avec une masse», à «rouler dessus avec un tank» ou à «utiliser des explosifs». Bon nombre de spécialistes se disent cependant sceptiques. Selon eux, les obus ou roquettes chimiques déjà prêtes à l'emploi devront être détruites sur place dans un incinérateur spécial et il semble impossible d'organiser de telles installations en Syrie. En Irak, les experts creusaient parfois des trous dans le sol en plein désert, versaient de l'essence et actionnaient un détonateur pour brûler les produits chimiques. Mais il est hors de question de procéder ainsi en Syrie. Pour Hamish de Bretton-Gordon, un ancien officier des forces de l'Onu nucléaires britannique, «l'idéal serait que les Syriens livrent les armes chimiques à la frontière où l'Onu et les grandes puissances en prendraient livraison».

 

L'arsenal chimique syrien, qui aurait été créé pour contrebalancer le programme nucléaire d'Israël, est considéré comme l'un des plus importants au Moyen-Orient. Le programme chimique syrien a débuté dans les années 1970 avec l'aide de l'Egypte, puis de l'ex-URSS. Selon l'organisation Nuclear Threat Initiative, la Russie dans les années 1990, puis l'Iran depuis 2005 lui ont également fourni un soutien.

 

La Syrie possèderait plus de 1000 tonnes d'armes chimiques, dont 300 tonnes de gaz moutarde. Le reste de l'arsenal serait composé d'éléments chimiques liquides, stockés sous forme binaire, c'est à dire sous la forme de deux produits chimiques appelés précurseurs, qui sont mélangés juste avant l'emploi. Les services de renseignement français indiquent qu' outre les stocks d'ypérite (gaz moutarde) et de gaz sarin, les Syriens ont travaillé sur l'ypérite à l'azote, un agent vésicant (qui attaque la peau) de première génération, ainsi qu'un neurotoxique organophosphoré dont la toxicité est supérieure à celle du sarin.

 

Le 26 septembre dernier, un rapport américano-russe confidentiel présenté à la Maison-Blanche et cité par le Washington Post, a cependant affirmé que l'arsenal syrien est en grande partie «inutilisable» en l'état et pourrait par conséquent être détruit plus rapidement que prévu.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:25
EADS North America to provide support and service to 4 CN235 Maritime Patrol Aircraft for Mexican Navy

Sep 27, 2013 ASDNews Source : European Aeronautic Defence and Space Company EADS N.V.

 

EADS North America will deliver contractor logistics support and service (CLSS) to four CN235-300 Maritime Patrol Aircraft (MPA) for Mexican Navy. The CLSS contract consists of one base year with four one-year options. The contract includes a field service representative to provide on-site technical support, management of parts and depot maintenance.

 

EADS North America delivered the four Airbus Military CN235-300 MPAs to the Mexican Navy in 2011 and 2012 under a U.S. Coast Guard managed foreign military sales agreement. The CN235-300 MPAs enhance Mexico’s ability to support the Mérida Initiative, a cooperative security arrangement between the U.S., Mexico and Central American countries. The aircraft’s missions include homeland security, search and rescue, military readiness, cargo and personnel transport, drug interdiction and maritime environmental protection.

 

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:20
Navy Accepts Delivery of the Future USS Coronado (LCS 4)

Sep 27, 2013 ASDNews Source : US Navy

 

The Navy accepted delivery of the future USS Coronado (LCS 4) during a ceremony at the Austal USA shipyard here Sept. 27.

 

Coronado is the fourth littoral combat ship (LCS) to deliver to the Navy, the second of the Independence variant - noted for its trimaran hull - to join the fleet.

 

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:13
A400M: "Le transport aérien militaire va entrer dans une nouvelle dimension"

30/09/2013 Par Valérie Lion - lexpansion.lexpress.fr

 

Délégué général pour l'armement, Laurent Collet-Billon explique à Lexpansion.com comment le projet de coopération européenne A400M a échappé de peu à l'échec, et souligne les atouts du nouvel avion.

 

La France réceptionne officiellement ce lundi, à Séville chez Airbus Military puis sur la base aérienne d'Orléans, son premier A400M. Très attendu, cet avion de transport militaire de nouvelle génération a été commandé à 50 exemplaires par Paris. Dernier grand programme de coopération européenne, il a bien failli ne jamais aboutir. Le Délégué général pour l'armement, Laurent Collet-Billon, explique pourquoi cet appareil devait absolument voir le jour.

Le premier exemplaire de l'A400M a été livré avec quatre ans de retard à l'armée française. Le programme a bien failli virer au fiasco. Quelles leçons en avez-vous tiré?

Sans l'implication forte des Etats clients, le programme aurait en effet pris fin en 2009. Mes homologues des nations partenaires (Allemagne, France, Espagne, Royaume-Uni, Turquie, Belgique, Luxembourg, NDLR) et moi-même, nous nous sommes mobilisés pour éviter cela.

 

>> Lire: L'histoire mouvementée de l'A400M

 

Nos experts techniques respectifs ont retroussé leurs manches pour sortir un programme alors dans l'impasse. Les leçons à tirer sont multiples, à la fois sur l'empilement toxique des spécifications opérationnelles, sur le niveau de contrôle par le client des travaux industriels et, enfin, sur la nécessité d'organiser la répartition industrielle selon les compétences et non selon la nationalité... C'est aussi, je pense, une démonstration de plus qu'il est beaucoup plus simple d'initier des coopérations à deux, de définir clairement les règles du jeu ensemble avant d'élargir à d'autres partenaires.

Que va apporter cet appareil à l'armée française ? Quels sont les défis à relever lors de la mise en opération?

C'est un avion trois en un : il fait du transport tactique, en opérant depuis des pistes courtes et non préparées en milieu hostile, il fait du transport stratégique, avec un long rayon d'action, et du ravitaillement en vol. Avec l'A400M, le transport aérien militaire français va entrer dans une nouvelle dimension. Concrètement, il pourra convoyer directement sans escale vers des terrains sommaires à plusieurs milliers de kilomètres de la métropole un volume conséquent de soldats accompagnés de leur matériel. Sans parler de sa capacité à ravitailler en vol tous types d'aéronefs, y compris des hélicoptères.

Pour ce qui est des défis à relever, je vois principalement la mise en place d'un soutien en opérations le plus commun possible afin d'éviter les errements de programmes européens passés. Dans les mois à venir, nous allons amorcer cette logique avec un contrat de soutien franco-britannique dans le cadre du Traité de Lancaster House. Ce sera un très bon test et pour nos équipes un réel challenge.

Seul l'export permettra de rentabiliser ce programme très coûteux. Quelles sont les perspectives de ventes?

Il existe déjà un client export qui est la Malaisie. C'est logique, l'A400M constitue le meilleur compromis entre la capacité de transport stratégique d'un C-17 (construit par Boeing) et les qualités requises pour les missions tactiques, telles que permises par le C130J (construit par Lockheed Martin). Les clients potentiels sont notamment au Moyen-Orient, en Asie et en Afrique.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 10:55
Credits JJ Chatard - DICoD

Credits JJ Chatard - DICoD

30/09/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Ce lundi, le groupe EADS livre le premier avion de transport européen à la France. La Tribune revient sur les déboires de ce programme hors norme depuis la signature du contrat en 2001.


 

Quand l'A4000 a décollé dans le ciel bleu de Séville le 11 décembre 2009 pour son premier vol, qui durera trois heures et quarante-cinq minutes, il y avait à la fois beaucoup de soulagement d'avoir amené ce programme jusqu'à cette étape importante mais aussi... beaucoup d'inquiétudes pour l'avenir de l'appareil de la part de son maître d'œuvre EADS et des responsables politiques invités à la cérémonie. Car le financement des surcoûts faramineux de l'avion de transport européen, qui faisait à cette époque travailler environ 40.000 personnes, était loin, très loin d'être réglé fin 2009.

L'A400M avait traversé depuis la signature du contrat en décembre 2001 tant de turbulences que ce programme, le plus emblématique de l'Europe de la défense, était déjà un rescapé : ce vol s'est effectué avec un an et demi de retard et d'importants dépassements de budget. Un cauchemar pour EADS et son président exécutif, Louis Gallois. Il faut dire que fin 2009 le surcoût de l'appareil de transport militaire est évalué fin 2009 entre 7,5 et 8 milliards d'euros, contre 5 milliards pour le gros porteur A380. « Pratiquement le chiffre d'affaires d'Aerospatiale juste avant son intégration dans EADS », soufflait-on alors perfidement en interne.

 

Un programme sans pilote

L'A400M est un véritable fiasco industriel et politique provoqué par de très nombreux facteurs : beaucoup d'incompétences, dont celle de la filiale espagnole EADS CASA, sousdimensionnée pour gérer techniquement et industriellement un programme aussi ambitieux mais à qui pourtant la direction d'EADS a confié les clés du programme ; des rivalités entre les dirigeants d'EADS et d'Airbus, qui ont laissé l'A400M longtemps en complète déshérence ; une sous-estimation de la complexité du programme. Sans oublier un système de retour géographique de la charge de travail qui a conduit EADS à confier des contrats à des sociétés ne maîtrisant pas les technologies exigées. Bref, un programme sans gouverne, ni pilote.

Fabrice Brégier, alors numéro deux d'Airbus, ne fuit pas les responsabilités "Tout d'abord, explique-t-il fin 2009 à La Tribune, à la signature de contrat, tous les industriels se sont bercés d'illusions et se sont engagés sur une mission impossible : développer un avion militaire comme un avion  commercial. Dès le départ, le référentiel était faussé. Et puis pendant longtemps, EADS et Airbus n'ont pas géré ce programme avec toute la rigueur nécessaire. Nous reconnaissons notre part de responsabilité". Ce que confirmait déjà en février 2009 un rapport parlementaire : « EADS s'est engagé à réaliser un type d'avion qu'il n'avait jamais construit sans se doter de la meilleure organisation pour le faire ». À quoi s'ajoute une expérience très (trop ?) limitée d'Airbus en matière d'intégration de systèmes militaires.

Dans le groupe, on confirme qu'effectivement "il n'y a eu personne aux commandes de l'A400M pendant très longtemps". Après les retards de l'A380 et la valse-hésitation du lancement de l'A350 à cette époque, EADS montre une nouvelle fois à cette époque son incapacité à bien gérer la maîtrise d'œuvre de grands programmes aussi bien civils et militaires. Car ce qui est vrai pour l'A400M l'est aussi alors pour l'hélicoptère de transport NH90 et les drones Harfang et Talarion.

 

De l'euphorie à l'oubli

Pourtant, le 27 mai 2003, lorsque est enfin ratifié à Bonn, après deux ans de tergiversations allemandes, un contrat de 180 avions pour 20 milliards d'euros (développement compris), c'est l'euphorie. EADS tient enfin son premier grand programme militaire, qui va l'aider à rééquilibrer ses activités, trop dépendantes des cycles de l'aéronautique civile. Les politiques européens, de leur côté, espèrent avoir ainsi relancé une défense commune en panne. Et les querelles semblent oubliées entre les États et le constructeur, qui s'est fait tordre le bras au nom de l'emploi en Europe pour choisir des motoristes européens (Snecma, Rolls-Royce, l'allemand MTU et l'espagnol ITP, regroupés dans le consortium EPI), au détriment de Pratt & Whitney Canada, pourtant bien mieux-disant. À la grande rage de Noël Forgeard, le PDG d'Airbus à l'époque.

Puis le programme tombe dans l'oubli ou presque, le groupe saluant en 2005 ses premiers succès à l'export (Afrique du Sud, Malaisie, Chili). Ce seront les derniers… mais il ne le sait pas encore.

 

EADS nie tout retard jusqu'en mars 2007

Tout s'accélère en juillet 2006. La Tribune révèle, sur la base de témoignages de fournisseurs de l'A400M, que le programme pourrait connaître des retards d'un an et demi à trois ans. Pluie de démentis d'EADS et d'Airbus Military. Mais, fin juillet, EADS lance une « revue très approfondie » du programme, au cas où… Tout en continuant à réfuter tout problème, et a fortiori tout retard. Les deux coprésidents du groupe, Tom Enders et Louis Gallois, assurent que l'A400M a un « calendrier très serré » mais « faisable ». En octobre, le PDG d'Airbus, Christian Streiff, affirme que le programme est « à la limite » en termes de calendrier. Mais il lâche aussi une bombe qui passe alors relativement inaperçue : « Nous n'avons pas encore trouvé une base de coûts appropriée pour atteindre nos objectifs de rentabilité ».

L'A400M commence à sentir le roussi. Le feu couve mais les alarmes ne fonctionnent pas. Ainsi, l'audit confirme bel et bien les difficultés du programme mais EADS continue de nier tout retard… jusqu'en mars 2007, où, du bout des lèvres, le groupe admet « trois mois » de dérapage pour le démarrage de la chaîne d'assemblage finale. Pourtant, Tom Enders veut encore y croire : « Peut-être y aura-t-il des retards mais, pour l'instant, nous collons à la date de livraison prévue en octobre 2009 », explique-t-il.

 

Un aveuglement inquiétant

Le crash est proche d'autant que les capitaines continuent de piloter en aveugle. Pourquoi une telle cécité ? « Le management d'EADS et d'Airbus n'avait plus de contact avec le terrain pour comprendre la réalité d'un programme difficile, tente-t-on d'expliquer parmi les fournisseurs. La multiplication des intervenants a aussi entraîné la dilution des responsabilités ».

En juillet 2007, EADS commence enfin à voir l'orage qui s'annonce. Mais il est loin encore de l'évaluer avec toute la finesse requise. Le groupe a surtout identifié un problème sur le moteur et ne cache plus son irritation vis-à-vis d'EPI, le consortium de motoristes. Pendant longtemps, EADS va s'acharner sur ces derniers. Pourtant, c'est l'arbre qui cache la forêt. « La livraison du premier avion au standard définitif serait retardée de quatre ans, ce qui est le double du retard découlant du Fadec [le logiciel du moteur, Ndlr], notait le rapport parlementaire de février 2009. Le retard du Fadec serait sans conséquence sur la date de la livraison au standard définitif ».

 

De nombreux équipements sont en retard, dont ceux d'EADS

Au-delà des moteurs, certains des programmes d'avionique confiés à Thales, Sagem (groupe Safran) et EADS sont très en retard, voire en souffrance. À tel point qu'EADS demande aux clients l'abandon de deux d'entre eux que, ironie du sort, il gère lui-même ! Fin juillet 2007, EADS reporte de six mois le premier vol. C'est le début alors de l'escalade des provisions (qui se montent alors à 2,4 milliards d'euros) et d'une communication au fil de l'eau du groupe. Lequel va subir les dérapages financiers et calendaires de l'A400M pendant dix-huit mois.

Début 2009, tout le monde (maître d'œuvre, fournisseurs, États) est alors au bord de l'implosion. Quelques mois plus tôt, Safran et EADS se sont publiquement déchirés, sous les yeux médusés de la presse, se rejetant mutuellement la responsabilité des retards. Et EADS commence à entonner le couplet du partage du fardeau avec les États. « Nein », répond Berlin, Paris se montrant plus conciliant.

 

Hervé Morin sauve le programme

En février, le ministre français de la Défense, Hervé Morin, qui va mouiller sa chemise tout au long de 2009, s'acharne à mettre tout le monde autour d'une table de négociations. Notamment les Britanniques, qui veulent filer à l'anglaise grâce à une clause du contrat, et les Allemands, qui demandent l'application pure et simple du texte. Tandis qu'EADS, très tactique sur le dossier, se dit prêt à jeter l'éponge. Hervé Morin arrache en avril un premier moratoire de trois mois aux États clients qui restent dans le programme.

En juillet, au Castellet, dans le Var, il obtient des sept pays clients une révision des termes du contrat, qui ouvre la voie à une renégociation complète, tant sur les surcoûts (pénalités comprises) que sur le calendrier et les spécifications de l'appareil. Le programme semble une fois pour toutes sauvé. Mais, dernier rebondissement, le gouvernement allemand sorti des urnes en septembre 2009 reprend sa parole en s'éloignant de l'esprit du Castellet. Il réclame l'application du contrat. Berlin prendra-t-il le risque de faire échouer le programme ? C'est la question qui trotte à cette époque dans toute les têtes.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 09:20
photo Pierre Bayle

photo Pierre Bayle

29/09/2013 Bruno Besson - lanouvellerepublique.fr

 

Lundi matin, à Séville, le premier Airbus A400M sera officiellement remis à la France. Il sera baptisé à Orléans l’après-midi.

 

A Séville, la cérémonie avec le ministre français de la Défense sera symbolique. En réalité, le premier A400M est déjà sur sa base orléanaise depuis août. Mais le symbole se veut fort : l'initiative de ce nouvel avion fut européenne, le sauvetage du programme, un temps menacé, fut une décision européenne, et France et Allemagne mutualiseront sa mise en œuvre. Jean-Yves Le Drian veut exprimer tout cela et souligner : « Cet avion est sans équivalent sur le marché mondial. »

 

Remplacer le Transall

 

L'A400M est appelé à remplacer le vieux (plus de 40 ans) C160 Transall qui était déjà un avion européen. Il remplacera aussi, à terme, le C130 Hercules américain (plus de 25 ans). L'Airbus A 400M Atlas est une révolution technologique qui aura des répercussions pas seulement tactiques : si l'armée est un instrument de la diplomatie, ses avions de transport en sont un outil privilégié.

 

« Notre mission est de découvrir toutes les capacités de cet avion et d'en rédiger, en quelque sorte, les notices d'emploi », résume le lieutenant-colonel Paul Creuset, patron de la structure mise en place par l'armée de l'air pour « l'intégration de l'avion dans nos forces opérationnelles ».

 

L'officier et son adjoint, le lieutenant-colonel Luneau, ont été formés par Airbus Military ainsi que huit autres pilotes, quatre navigateurs-système d'armes et huit mécaniciens-chefs de soute. Demain, ce sont eux qui formeront les équipages de l'armée de l'air. Pour l'instant, ils testent tout ce que l'avion a dans le ventre. Le défi n'est pas mince : l'A400M doit faire tout ce que faisait le Transall, tout ce que fait l'Hercule, encore plus et mieux. « On sait déjà qu'il va deux fois plus vite que le Transall, a plus d'autonomie (on peut faire l'aller-retour au Mali dans la journée), et peut transporter trois à quatre fois plus. »

 

Comme ses prédécesseurs, cet avion devra être capable d'être mis à toutes les sauces : poser d'assaut (1) – pour des opérations militaires ou humanitaires –, largages en tous genres à basse ou haute altitude, de nuit comme de jour, par tout temps. « Après quelques heures de vol, on sait déjà que le pilotage est un vrai plaisir et que la technologie Airbus libère l'équipage de tâches lui permettant d'être fixé sur sa mission ».

 

« Après les tests tactiques (2), la mise en service opérationnelle devrait intervenir en septembre 2014 », indique le lieutenant-colonel Creuset.

 

1. Déchargement rapide de personnels et/ou de matériels sur la piste suivi d'un redécollage immédiat. 2. Utilisations spécifiquement militaires.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 07:50
La Saônia, correspondant au Jura français, décide d'attaquer la Suisse à partir de trois points de passage, proches de Neuchâtel, Lausanne et Genève, selon une carte reproduite par "Le Matin Dimanche".

La Saônia, correspondant au Jura français, décide d'attaquer la Suisse à partir de trois points de passage, proches de Neuchâtel, Lausanne et Genève, selon une carte reproduite par "Le Matin Dimanche".

29.09.2013 Le Monde.fr (AFP)

 

D'année en année, l'état-major suisse fait preuve d'une imagination débordante. L'an dernier, l'armée suisse avait imaginé, dans son exercice militaire Stabilo Due, une Europe plongée dans le chaos par la chute de l'euro et un afflux massif de réfugiés dans la petite République helvétique. Cette simulation avait fait le tour du monde, faisant jaser jusque dans la presse américaine. Cette année, le scénario du nouvel exercice des brigades blindées de Suisse romande, baptisé Duplex-Barbara, simule rien moins qu'une attaque française contre la Confédération, révèle le journal Le Matin Dimanche.

 

L'exercice, qui s'est déroulé du 26 au 28 août, suppose que la France, en complète déroute financière, s'est désintégrée en plusieurs entités régionales sous l'effet de la crise. L'une d'elle, baptisée Saônia, correspondant au Jura français, décide d'attaquer la Suisse à partir de trois points de passage, proches de Neuchâtel, Lausanne et Genève, selon une carte reproduite par Le Matin, qui a pu consulter les détails de l'opération. Une organisation paramilitaire proche du gouvernement de Saônia et appelée BLD (brigade libre de Dijon) veut "venir chercher l'argent que la Suisse a volé à Saônia" afin d'éponger la dette saônienne, et organise des attentats en Suisse.

 

"Pour sa crédibilité, l'armée suisse devrait travailler aux menaces du XXIe siècle", a réagi Antoine Vielliard, conseiller général de Haute-Savoie, dans les colonnes du Matin Dimanche. Selon Daniel Berger, commandant de la brigade blindée suisse, "l'exercice n'a strictement rien à voir avec la France que nous apprécions, il a été préparé en 2012, alors que les relations fiscales franco-suisses étaient moins tendues. Des villes françaises sont citées uniquement pour donner des échelles réelles aux soldats".

 

Dimanche dernier, les Suisses ont voté à une très large majorité le maintien de leur système d'armée de milice, fondé sur la conscription militaire obligatoire. Ainsi, 73,2 % des votants ont dit "non" à la proposition du Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), qui demandait la fin du service militaire obligatoire et de le remplacer soit par des volontaires, soit par une petite armée de métier.

 

L'armée de milice constituée de citoyens-soldats est considérée comme l'un des piliers fondateurs de la nation suisse. Ses effectifs sont de 155 000 aujourd'hui. En Europe, la majorité des pays ont abandonné le service militaire au profit d'une armée de métier.

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