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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 10:55
photo ESCC-DIRCOM

photo ESCC-DIRCOM

 

19/06/2015 Les écoles de Saint-Cyr Coëtquidan

 

Le vendredi 12 juin 2015, s’est tenue aux ESCC une cérémonie de remise de galons et d’adoubement des élèves-officiers sous-contrat des filières spécialistes et pilotes.

 

Rassemblés sur la cour Rivoli sous les yeux de leurs familles et amis, ces jeunes officiers ont reçu des mains de leur parrain leurs premiers galons d’officier. Ensuite, et conformément à la tradition, ils ont été adoubés, symbolisant ainsi leur entrée dans la grande fraternité d’armes du corps des officiers. Ils vont désormais rejoindre leurs affectations afin de parachever leur formation puis servir dans la spécialité qu’ils ont choisie.

Les officiers sous-contrat sont formés au sein du 4e  bataillon de l’école spéciale militaire. Au même titre que leurs camarades issus de l’école militaire interarmes ou de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr, les officiers sous-contrat ont vocation à participer à l’encadrement des formations, à occuper des emplois et exercer des responsabilités au sein de l’environnement des forces et de participer aux missions de l’aviation légère de l’armée de Terre en qualité de pilotes d’hélicoptère. L’armée de Terre propose ainsi un ensemble diversifié d’expériences professionnelles et de parcours aux jeunes bacheliers et diplômés de l’enseignement supérieur, les ESCC en assurant la formation initiale. La cérémonie de remise de galons marque le terme de celle-ci.

 

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:55
Coopération inter-armées

 

11-06-2015 par 4e RE  Réf : 497 | 350

 

Le 4 a participé à l’aide à la formation des marins du CTM France Sud sur les postes de 4ème génération.

C’est avec plaisir que les fortes têtes ont accueilli leurs camarades de la Royale !

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:55
A Brest, c'est bientôt l'été, le bon moment pour visiter la base navale

 

28.06.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


C'est désormais une tradition: la visite de la base navale de Brest dès qu'arrivent les vacances.

Elle se visite en continu à pied, du lundi au vendredi, depuis la porte de la Grande Rivière (rive droite, route de la Corniche) du 29 juin au 28 août inclus de 10h à 16h (sauf les weekends, jours fériés, le 13 juillet et le 14 août). Les marins brestois accueillent les visiteurs durant une à deux heures pour une visite de la base navale et d’un navire de la marine nationale selon disponibilité, le tout parsemé d’anecdotes et d’informations permettant de découvrir la marine d’aujourd’hui.

Informations au 0800 523 535.

Modalités pratiques: 
- visites ouvertes aux ressortissants de l’union européenne, d’un pays de l’Otan ou de la Suisse. Pour les autres, une demande préalable doit être formulée au 02 98 22 06 12.
- Sur présentation d’une carte nationale d’identité en cours de validité.

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:55
Le lieutenant-colonel de Sercey commande le 2e REG depuis le 26 Juin


29-06-2015 par 2e REG Réf : 577 | 297

 

Officier saint-cyrien de l’arme du génie, le lieutenant-colonel Guillaume de Sercey a effectué sa carrière opérationnelle à la Légion étrangère et dans l’arme du génie : au 4e Régiment étranger à Castelnaudary, au 2e Régiment étranger de génie à Saint-Christol, et au 6e Régiment de génie à Angers.

Il a été déployé à deux reprises à Djibouti en 1999 et en 2003, en Bosnie en 2000, et en Afghanistan de 2010 à 2011.

Il a également servi à l’état-major de la 2e Brigade blindée, à l’état-major de l’Armée de terre à Paris et à l’école d’application du génie à Angers.

Le lieutenant-colonel de SERCEY est diplômé de l’Ecole supérieure de commerce de Paris (ESCP) et breveté de l’Ecole de guerre.

Ayant préalablement servi au 2e Régiment étranger de génie comme chef de section, officier traitant et commandant d’unité, le lieutenant-colonel de SERCEY en a pris le commandement le 26 juin 2015 et assume également depuis cette date les fonctions de commandant de la Base de défense de Saint-Christol.

Il est décoré de la médaille d’or de la défense nationale échelon argent et de la croix du combattant.

Né en 1971, lieutenant-colonel de SERCEY est marié et père de six enfants.

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:55
photo DCSSA

photo DCSSA

 

30/06/2015 Service de santé des armées

 

L’hôpital d'instruction des armées (HIA) Legouest et le CHR Metz-Thionville ont inauguré le lundi 22 juin 2015 une nouvelle unité d’hospitalisation : l’Unité d’Hospitalisation Polyvalente (UHP).

 

Cette unité de 14 lits, implantée dans les locaux de l’HIA, a pour mission la prise en charge de patients adultes, en provenance de services d’urgences ou directement adressés par leur médecin traitant lorsque le projet thérapeutique nécessite une hospitalisation courte (moins de 8 jours) avant un retour à domicile ou un transfert vers un service spécialisé ou un SSR.

 

Le concept de service polyvalent, recevant des patients post urgences ou directement hospitalisés par leur médecin traitant, est encore rare en France. C’est une nouvelle façon d’envisager le lien ville-hôpital, de structurer le réseau de soin et le parcours du patient. Cette réponse ajustée de la prise en charge des patients ne pouvant rester à domicile évite également la saturation des structures hospitalières.

 

Deux médecins généralistes civils, détachés du CHR, exercent dans cette unité, rattachée par ailleurs au Service de Maladies Infectieuses et Systémique (SMIS) de l’hôpital d’instruction des armées Legouest. Les équipes civilo-militaires travaillent en pleine collaboration et réalise une garde commune.

 

Cette unité concrétise un point de plus du partenariat qui unit l’HIA Legouest et le CHR Metz-Thionville.Très attendue par les acteurs de santé du territoire, elle répond à un besoin local important des médecins généralistes et des services d’urgences, confirmé par l’Agence Régionale de Santé.

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:55
photo Dassault

photo Dassault


30.06.2015 Frédéric Brillet - capital.fr
 

En Afghanistan, au Yémen et au Mali, les drones ont fait la preuve de leur utilité. Bien moins chers que les avions de combat, ils égaleront probablement un jour leurs performances.

 

Et de cinq ! En janvier dernier, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a annoncé qu'il allait commander aux Etats-Unis trois drones Reaper supplémentaires. L’armée française en opération en Afrique contre les djihadistes ne peut plus se passer de ces appareils. Non seulement les Reaper volent plus vite et plus longtemps que les drones Harfang dérivés des Heron israéliens qui équipaient jusque-là nos troupes, mais ils disposent de caméras à la résolution plus performante et affichent un coût inférieur à l'heure de vol ; de plus, ils nécessitent moins de maintenance et sont plus fiables : trois mois après sa mise en service, en janvier 2014, l'un de nos Reaper a repéré dans la région de l'Adrar (dans le nord-est du Mali) dix terroristes d'alqaida au Maghreb islamique (AQMI) qui manipulaient des lance-roquettes. Dépêchés sur place peu après, des Mirage 2000 et des hélicoptères Tigre se sont chargés de les éliminer.

Une preuve de plus, s'il en était besoin, du rôle irremplaçable des drones dans les guerres modernes. Initialement voués à faire de la reconnaissance, ils sont de plus en plus utilisés pour désigner des cibles aux avions, voire les détruire directement. Et ils ne renâclent jamais devant les missions qu'on surnomme 3D, c'est-à-dire «dirty, dangerous or dull» («sales, dangereuses ou barbantes»). Aucun pilote de chasse ne peut ainsi voler quarante-deux heures d'affilée comme le fait le Reaper, dont les équipages se relaient au sol jour et nuit en attendant qu'une cible apparaisse. Les drones sont une arme de prédilection pour les «conflits de basse intensité», qui mettent aux prises une armée régulière et des adversaires évanescents multipliant les escarmouches avant de se fondre dans la population. En outre, les considérations économiques jouent en leur faveur. Un Reaper revient au ministère de la Défense trois fois moins cher qu'un Rafale, et son entretien et sa formation sont très bon marché. Les drones ont aussi un avantage politique, car en Occident, l'opinion publique supporte difficilement les pertes de soldats au combat.

 

Le débat sur la «moralité» des tirs de drones se poursuit

En effet, ces engins peuvent s'approcher de l'ennemi sans risquer la vie du pilote. Quant aux victimes civiles collatérales, elles représentent, selon l'organisation The Bureau of Investigative Journalism, de 15 à 25 % des cibles touchées en Afghanistan et au Pakistan de 2004 à 2015. Rien ne prouve que les pilotes, qui envoient des missiles depuis des avions volant beaucoup plus vite, sont plus précis dans leurs tirs. Le débat sur la «moralité» des tirs de drones n'en continue pas moins d'agiter les experts militaires et de mobiliser les intellectuels. Dans son essai «Théorie du drone» (publié par La Fabrique Editions), le philosophe Grégoire Chamayou s'insurge ainsi contre l'emploi par l'armée américaine de drones armés qui transforment la guerre en chasse à l'homme permanente, suscitant l'hostilité des populations, qui redoutent d'être victimes de frappes.

Pour ces raisons, les Français se sont jusqu'ici refusés à armer leurs Reaper. Mais leur position pourrait s'infléchir, car le missilier européen MBDA, filiale commune à Airbus, à BAE Systems et à Finmeccanica, a obtenu l'homologation qui lui permet d'effectuer des tirs de missiles Brimstone à partir du Reaper. A en croire son fabricant, le Brimstone peut «réduire les dommages collatéraux dans un environnement complexe». Or quoi de plus complexe que les conflits africains qui opposent l'armée française et des djihadistes ?

L’emploi des drones pose aussi la question de la dépendance de la France et de l'Europe vis-à-vis des industriels américains et israéliens, qui dominent ce marché. Cette dépendance constitue le plus grand loupé de l'Europe de la défense depuis vingt ans. Après la chute du mur de Berlin, les gouvernements ont en effet rogné les budgets militaires et tergiversé pour élaborer un cahier des charges favorisant l'émergence d'une filière européenne de drones. Pour leur part, les entreprises présentes dans l'aéronautique militaire ont été longtemps incapables de s'entendre pour monter des projets et se partager d'éventuels contrats. Enfin, certains membres des états-majors ont tardé à comprendre l'intérêt opérationnel des drones.

D'où un énorme retard qu'il faut tenter de combler, en définissant des priorités sur un marché divisé en segments plus ou moins encombrés. Le plus connu, celui des drones MALE (Moyenne altitude longue endurance), dont le Reaper est un des produits stars, est verrouillé par l'américain General Atomics et Israel Aerospace Industries (IAI). La France a, de son côté, accumulé les revers. En 2012, EADS a abandonné son projet de drone MALE Talarion, faute de soutien financier. Et l'achat du Harfang, dérivé du modèle israélien Heron, a été calamiteux pour nos finances publiques. Il a fallu dépenser 440 millions d'euros, au lieu des 100 prévus, pour l'adapter au cahier des charges de l'armée de l'air, selon Daniel Reiner, vice-président de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées au Sénat. Dépassés avant l'heure, les Harfang ont été ensuite remplacés par les Reaper. Cette nouvelle acquisition a «un peu traumatisé» Eric Trappier, le P-DG de Dassault Aviation, qui espère qu'il s'agit d'une solution provisoire. Il a déclaré en mars 2015 vouloir convaincre, avec ses partenaires Airbus et Finmeccanica, la France, l'Italie et l'Allemagne d'investir dans un successeur du Reaper.

 

Le X-37B américain a volé dans l'espace durant 22 mois

Quant aux drones tactiques, à l'autonomie et à la portée moindres, ils font l'objet d'une vraie foire d'empoigne en Europe. Entre le Watchkeeper conçu par Thales UK et l'israélien Elbit, le Patroller de Safran et le Shadow M2 proposé par Airbus Group et l'américain Textron, les armées du Vieux Continent ont l'embarras du choix. Mais leurs budgets ne pourront pas satisfaire tout le monde, et certains de ces programmes risquent donc de disparaître.

Enfin, sur le segment des drones HALE (Haute altitude longue endurance) qui servent à l'espionnage, les Etats-Unis sont maîtres du jeu avec le Global Hawk de Northrop Grumman, et surtout le X-37B. Propulsé en partie par énergie solaire, il est revenu en octobre 2014 d'une mission de presque deux ans dans l'espace. Pouvant servir de future navette, ce drone spatial de Boeing devrait aussi neutraliser des satellites hostiles et déployer de nouvelles générations de satellites espions pour surveiller les théâtres d'opérations.

Reste l'avenir lointain. Les Européens ont une carte à jouer dans les futurs drones de combat, dont la vitesse et la puissance de feu s'approcheront de celles des jets. Parmi les projets en cours, le nEUROn, dont Dassault Aviation est maître d'œuvre, a réalisé 100 vols d'essai et impressionne même les Américains. Il continuera à être développé dans le cadre du projet franco-britannique «Future Combat Air System», doté d'un budget de 250 millions d'euros, et dont Dassault Aviation et BAE Systems sont les chefs de file. Son rival américain, le X-47B de Northrop Grumman, atteint Mach 1 et sera opérationnel vers 2023. Conçus pour voler avec des avions, ces drones serviront notamment à assurer les premières frappes sur les défenses ennemies au sol. A terme, on pourrait voir des combats aériens entre drones. Ce jour-là, les pilotes de la «Chair Force» («l'armée de la chaise») regardés avec condescendance par les pilotes d'avions de combat, deviendront eux aussi des Chevaliers du ciel.

Les différents types de drones militaires :

 

La surveillance et l’attaque

- Mission : Capables d'identifier des cibles et de les éliminer en tirant des missiles, les drones de surveillance et d'attaque peuvent parcourir jusqu'à 1 800 kilomètres.

- Modèles : Le Reaper de General Atomics (ci-dessus), qui succède au Predator, et le Heron israélien sont les plus connus.

 

Le combat

photo Christophe Patenaire - Armée de l'air

- Mission : Ces drones à l'étude en Europe et aux Etats-Unis dépasseront 1 000 km/h et rempliront des missions aujourd'hui réservées aux avions de combat.

- Modèles : Les démonstrateurs de drones de combat furtif nEUROn de Dassault (ci-dessus) et X-47B de Northrop Grumman préfigurent les modèles qui apparaîtront après 2020.

 

L'espionnage

- Mission : Les drones HALE (Haute altitude longue endurance) surveillent l'ennemi. Ils peuvent parcourir plus de 20 000 kilomètres à 18 000 mètres d'altitude.

- Modèles : Le Global Hawk de Northrop Grumman (ci-dessus), dont l'envergure atteint 40 mètres, a volé de la Californie à l'Australie.

 

Cet article est issu du magazine Capital Hors série de mai- juin 2015, actuellement en kiosque et disponible sur abonnement en cliquant    ici    .


 
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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:55
photo R. Nicolas-Nelson - Armée de l'Air

photo R. Nicolas-Nelson - Armée de l'Air

 

30/06/2015 DCSSA

 

Le 51e Salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget 2015 vient de se terminer.

 

Le dispositif de sécurité est très important et rassemble des acteurs de différents corps et ministères.

 

Le SSA a, cette année encore, engagé pendant une quinzaine de jours deux équipes médicales et paramédicales armées par les centres médicaux de Creil, Paris (Balard), Villacoublay et Vincennes, sous la direction médicale du médecin en chef Hélène.

 

Une équipe « secours piste » était postée chaque jour à côté des agents du Service de sauvetage et de lutte contre l’incendie de l’aéroport et des militaires de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris.

 

L’autre équipe occupait l’antenne médicale temporaire de la base aérienne projetée, soit plus de 500 militaires à soutenir au plus fort de l’évènement : logisticiens, maîtres-chiens, cuisiniers, commandos de l’air postés pour assurer la sécurisation du site,  etc.

 

Des médecins de réserve ont participé au soutien de  cette prestigieuse manifestation.

 

Aucune catastrophe ou crash n’a finalement, et heureusement, mobilisé l’équipe piste qui a pourtant chaque jour été fidèle au poste. L’antenne médicale a, elle, été mise à contribution avec des consultations quotidiennes et même quelques urgences.

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:45
Ebola est de retour au Liberia, plus de trois mois après le dernier cas connu

 

lemonde.fr (AFP)

 

Alors qu’il se pensait débarassé d’Ebola, le Liberia doit faire face à la réapparition du virus. Le pays avait pourtant été officiellement déclaré exempt de l'épidémie le 9 mai.

« Un nouveau cas d'Ebola a été enregistré dans la province de Margibi, le malade est décédé et a été confirmé positif avant sa mort. Il a depuis été enterré », a affirmé le ministre adjoint de la santé, Tolbert Nyensuah.

Les autorités ont identifié et placé en quarantaine toutes les personnes qui ont été en contact avec le patient mort, a assuré le ministre à une radio locale, sans donner de chiffre, ni de détails sur la victime.

« Nous enquêtons pour déterminer l’origine de ce nouveau cas. Nous demandons aux Libériens et à toutes les personnes vivant au Liberia de continuer de prendre des mesures préventives », a poursuivi le ministre.


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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:35
 Philippine Air Force to operate ultra-modern MRFs


30.06.2015 ptvnews.ph
 

The Philippine Air Force (PAF) will be joining the ranks of nations operating ultra-modern multi-role fighters (MRFs) by 2021.

This was highlighted by "Flight Plan 2028," a document released by the PAF early this June.

This is the Air Force's strategic acquisition and tactical plan.

Under Flight Plan 2028, the PAF intends to acquire and commission 12 MRFs by 2021 to augment the then existing fleet of South Koren-made F/A-50 jet fighters.

An MRF is a combat aircraft which is capable of conducting strike, surveillance and air-to-air superiority missions.

An example of an MRF is the McDonnell Douglas F-18 "Hornet" strike fighter which is being operated by the US and its allies.

By 2028, as stated in "Flight Plans 2028," the PAF will be able to build up its capability to detect, identify, intercept and neutralize incursions from "Area Readiness 3 to Area Readiness 1."

"Area Readiness 3" refers to 51 to 74 percent of Philippine territory while "Area Readiness 1" means 100 percent of the country's territory which is estimated to be 40,000 square nautical miles.

The PAF will do it once its modern radar systems, long-range patrol aircraft (LRPAs), airborne early warning and control system (AEWCS), surface-attack aircraft (SAA) , light interim fighter trainers (LIFTs), multi-role fighters (MRFs) and missile defense systems (MDS) get online by 2028.

Detection capability will be provided by modern radar systems, and the LRPAs, identification of the threat will be done by the AEWCS, while interception capabilities will given by the SAA, LIFTs, and MRFs.

While neutralization will be done by the MDS should intruding aircraft intrude over land.

PAF spokesperson Col. Enrico Canaya said that this is the breakthrough goal of the Air Force.

The decision to made public "Flight Plan is aimed at informing the public of efforts to modernize the PAF and make it more relevant.

"And by 2022, (the PAF) will (have) already build up its capability to detect, identify, intercept and neutralize incursions in the PADIZ and the West Philippine Sea from 'Area Readiness 4' to 'Area Readiness 3'," Flight Plan 2028 stressed.

PADIZ is short for the "Philippine Air Defense Identification Zone and Area Readiness" which was established in 1953.

It covers the entire Luzon region, parts of Visayas, and locations north of Palawan.

"Area Readiness 4" refers to 50 percent of known Philippine territory while "Area Readiness 3" means 51 to 74 percent of Philippine territories (including PADIZ and the West Philippine Sea).

 

And by 2022, the PAF hopes to have in service 24 SAA and LIFTs, four LRPAs, six ADSRS (air-defense system radar systems) platforms, six ground based air defense systems, two AEWCS units, 12 MRFs, one C2C center, four electronic countermeasure aircraft, one AA (airborne aircraft) refueler, and four medium-to-heavy lift helicopters. (PNA)

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:35
Exercise Talisman Sabre 2015: Roll Out


30 juin 2015 New Zealand Defence Force

 

The New ZealandNew Zealand Defence Force lands safely in Australia after being transported across the sea by the HMNZS Canterbury. Our ship carried over two of our newest NH90 helicopters and around 45 military vehicles.

The exercise involves 30 000 troops from the ADF, the US military and NZDF and Japan's Self Defence Force.

Footage courtesy of Australian Defence Force

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:30
photo Tsahal

photo Tsahal

 

29.06.2015 par E.L. – Israpresse

 

La société israélienne d’armement Rafael a annoncé lundi avoir remporté l’appel d’offres pour construire l’unité de cyber-défense de Tsahal, pour plusieurs dizaines de millions de shekels.

 

Le chef de projet, le général de brigade (réserve) Ariel Caro,  a expliqué que l’unité sera créée en partenariat avec des leaders mondiaux tels que IBM, Cisco et EMC.

 

L’unité sera en mesure de fournir « une analyse vaste et en profondeur des cyberattaques en temps réel contre les organismes gouvernementaux et les organisations civiles », a déclaré l’ancien officier du renseignement.

 

Mi-juin, le chef d’état major, Gadi Eizenkot, a annoncé que Tsahal allait se doter d’une unité de cyber-défense au cours des deux prochaines années.

 

Fin avril, l’ancien chef des services de renseignements et député du Camp sioniste, Amos Yadlin, a affirmé qu’à la lumière des risques de cyber-guerre, un pays ne peut plus se contenter de défendre ses intérêts stratégiques contre des attaques ennemies, mais doit aussi se préparer à lancer des cyber-attaques contre ses ennemis pour protéger son cyber-environnement.

 

Les résultats financiers de Rafael se sont élevés à 90 millions de dollars en 2014. Au cours de cette même, la compagnie d’armement a battu des records en matière de nouvelles commandes avec 10,5 milliards de shekels contre 6,5 milliards en 2013.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 19:50
State of Play of the Implementation of EDA's Pooling and Sharing Initiatives and its Impact on the European Defence Industry


19.06.2015 source SEDE
 

This study examines the state of 'Pooling and Sharing' (P&S) at EU and Member State (MS) level. Instead of the demanded change in mindset, we witness another episode in the traditional struggle to make classic defence cooperation work. The marginal results of P&S are not yet adequate to the size of problems. The cooperation initiative misses definitions of success, useful models of cooperation and a permanent monitoring of opportunities and capabilities. MS make progress at a snail’s pace: many projects kicked off in the first phase of P&S are still in their early stages and thus do not deliver capabilities. At the same time, Member States paralyse efforts of the EDA. NATO has not performed much better. This underlines that the core of the problem remains the sovereignty question within Member States. The developments have to be seen against the simultaneous evolution of the European defence landscape: budgets and capabilities have been cut further. Member States have lost time and money but most importantly, they have also lost many options to safeguard capabilities through pooling or sharing. The European Parliament should encourage first, a new politico-military flagship project around which defence can be organised, second, an efficiency perspective towards spending and procuring capabilities; third, the discussion on the future of sovereignty in defence; and fourth, a European Defence Review that offers a sober assessment of the current and future European defence landscape, including the opportunities for cooperation. This would enable a public debate on Europe with or without defence.

 

Executive Summary

 

The disastrous impact of the fiscal crisis on the EU Member States’ (MS) defence capabilities and the unwillingness of the US to continue paying for European defence has forced EU capitals to rethink the way they generate and maintain these capabilities. The recently expanding and intensifying arch of crisis around Europe adds many more tasks to the EUs Security and Defence policy. The impression that more defence money will be available in the future should be balanced against the continued strain on public and thus defence budgets. Time is running out. By now, Europe has already lost about 20% of its capabilities since 2008. At the same time, it still pays enormous sums for redundancies, national wish lists and wrongly organised multinational procurement. Therefore, the risk of further shrinking military, industrial and technological capabilities in defence remains.

Pooling and Sharing shall provide the solution: as there is no more money available, neither now nor in the future, boosting efficiency remains the only option to keep and possibly rebuild capabilities. The increased efficiency shall result from MS sharing systematically: they should provide a capability that is missing in other MS, like airlift, or conduct tasks other MS are not able to undertake, like air policing. To pool a capability would mean that contributions by several MS are coordinated to make them available on a more constant basis or in greater numbers compared to individual, uncoordinated contributions, as it is done through the European Air Transport Command (EATC).

Since 2010, the EU has made P&S its official approach to defence cooperation. However, turning P&S into the default mode of defence cooperation implies significant changes: MS would have to move from an ad-hoc and bottom-up approach to a more systematic and top-down one. In essence, what is demanded from national politicians and decision makers is nothing less than a shift in mind-set: the acceptance that sovereignty is no longer based on the autonomy to decide but on the capability to act.

Since the 2010 decision, many activities evolved, not only on the national but also on the European level, as the Council has tasked EDA and the HR/VP to support the work on P&S in its military and political dimensions. This raises the question to what extent change has taken place, meaning whether P&S is on track and has started delivering the results that MS have declared they want to achieve.

The emerging defence cooperation framework shows some distinct characteristics: in EU level strategic documents EU MS show a mix of realism, illusions and activism: while the assessment of the situation is realistic and improving, the MS systematically overstate their current or earlier contributions, thereby creating illusions on the magnitude of their engagement. However, they do not tackle the vicious cycle of rhetorical sovereignty and de facto dependency.

The activities within the multilateral political cooperation frameworks among MS neither point to a change of mind-set taking place, nor have they delivered significant improvement of capabilities so far. The old logic of cooperation is blocking most multilateral frameworks from going beyond renewing the rhetoric on cooperation. The multilateral cooperation often consists of several bilateral cooperation arrangements. While bilaterals perform better, they cannot suffice when huge efforts need to be made in terms of investment (UAVs) or capabilities (strategic airlift). With the exception of the Ghent- Initiative, none of the frameworks is explicitly linked to the EU.

At the beginning of 2015, 393 military projects exist, most of them in the area of training and education, least in transport. However, a winning formula for P&S can hardly be deduced from them because they all work along the classic logic of cooperation. Variables like regional proximity and pre-existing political cooperation seem to enable cooperation. Also, most likely cooperation areas are difficult to retrieve from the data, because what is potentially subject to P&S is still defined nationally.

Multilateral operations pose a rich but mostly neglected source for lessons learned and successful cooperation. Ad-hoc Pooling and Sharing comprise examples in critical areas like CSAR and quick reaction forces – key is a strong framework nation.

EDA’s role has been cut back from an innovator to a facilitator: While EDA has kicked off the P&S debate, MS have marginalised the agency, instead of using its full mandate. The 59 projects EDA is or has been involved in are too small to influence the general mind-set or the structural determinants of the defence sector. With a few exceptions such as Air-to-Air Refuelling (AAR) or Medical Support, these projects rather tackle technical and regulatory issues, instead of concrete Pooling and Sharing of capabilities and large-scale projects. While the four flagship projects EU MS have agreed upon during the 2013 Defence Council make some headway, EDA handles only elements of these. The Capability Development Plan (CDP), even after its reset in 2014, does not interest MS very much because the CDP is found not to focus on their capability needs or not to reflect the relevant level of ambition.

NATO’s defence cooperation framework 'Smart Defence' (SD) shows similarities to the EU-one, especially regarding the problems to motivate MS to engage in cooperation. Important differences are that SD explicitly aims at specialisation and thus addresses the sovereignty issue directly, though with similar success to the EU’s. NATO has the mandate to facilitate and manage, but not to fundamentally shape or lead capability development and procurement. The NDPP (NATO Defence Planning Process) is perceived by many as a mature and influential defence-planning tool. However, in reality the NDPP has adapted to the conditions defined at national levels, i.e. nationally defined requirements, defence plans and procedures. It does not really guide capability development. NATO has nonetheless learned to use the NATO Summits to push NDPP priorities forward.

P&S can have a significant impact on the industrial dimension of efficiency in three ways: Pooling of demand, pooling of research and development activities (R&D), and specialisation by sharing industrial infrastructure. However, neither has the Defence Council 2013 aimed to push industrial P&S beyond the two flagship projects AAR and UAV, nor have EDA activities led to serious success. The impact of missing P&S is very obvious: Companies further cut their European business branches by selling key technologies to non-European companies and shift their production focus towards new markets.

 

Conclusion: Instead of a mind-set change, we see another episode in the traditional struggle to make classic defence cooperation work. There is a significant gap between the cooperation rhetoric of governments’ joint declarations within the EU and what they deliver. The marginal results of P&S are not yet an adequate response to the size of problems. The cooperation framework misses definitions for success and a permanent monitoring of opportunities and capabilities. MS make progress at a snail’space. At the same time, they paralyse joint defence planning in EDA. While the mis-achievement of the EU is most probably triggered by the dire political-institutional context of the CSDP and CFSP, NATO has not performed much better. This underlines that the core of the problem remains the sovereignty question within MS. Other blocking factors are bureaucratic politics, policy makers who are only interested in short term output, and resources that are widely tied into existing projects for the next years. The developments have to be seen against the parallel evolution of the European defence landscape: budgets and capabilities have been cut further, MS have lost time and money but most importantly they have lost the option to safeguard capabilities through pooling or sharing; an option that will not return very soon.

 

Recommendations: As there is a growing need for a more effective and efficient defence in Europe, the EU should engage in the underlying problems, instead of only scratching their surface: The European Parliament can play a crucial role in this. It can encourage a new politico-military flagship project around which defence can be organised: fusing the EU-Battlegroups into the Framework Nation Concept. An efficiency perspective towards spending and procuring capabilities can arrive from using output measures. The discussion on the future of sovereignty in defence can be kicked off by asking whether European governments want to be autonomous or capable. A European Defence Review offers a sober assessment of the current and future European defence landscape, including the opportunities for cooperation. This would enable a public debate on the European defence that we can have, i.e. grounded in realities rather than pipedreams.

 

Download State of Play of the Implementation of EDA's Pooling and Sharing Initiatives and its Impact on the European Defence Industry

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 18:50
source EDA

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19.06.2015 source SEDE
 

Are exports made to countries outside of the European Union (EU) impeding European cooperation in armaments? Although the numbers vary significantly from one country to another, the European Defence Technological and Industrial Base (EDTIB) now collectively derives an important share of its collective turnover from extra-EU export sales. Accordingly, EU Member states devote important political, financial and administrative resources to support and promote their national producers in major competition overseas. The current scarcity of common European programmes, and the limited impacts of recently introduced legislation designed to harmonize national defence procurement rules and to facilitate intra-EU transfers, could indicate that extra-EU exports are detrimental to European cooperation on weapons projects. This negative effect would primarily come from introducing greater levels of competition between European companies creating greater tensions, which are not conducive to cooperation on the EU level. The study finds that there is indeed a correlation between competition for major foreign markets and difficulties of intra-EU cooperation but makes the analysis that extra-EU exports are more a symptom of structural constraints faced by major suppliers, such as the weakness of defence spending in European countries, and the persistence of fragmentation and duplication of production capabilities.

 

Executive summary

 

The impact of extra-EU exports on European armaments cooperation

The interrogation at the heart of this study is whether the importance of the European defence industrial and technological base (EDTIB) extra-EU exports in its turnover has consequences on European cooperation in armaments. The EDTIB derives a significant share of its collective turnover from export sales and EU Member states devote important political, financial and administrative resources to support and promote their national producers in major competition overseas.

This situation has led to the proposition that competition between Member States to gain market shares overseas and have become a handicap in establishing an integrated European defence market. Implied here is that this dynamic leads Member States to prioritize the international markets at the expense of European joint initiatives.

 

Approach to evaluating the consequences of extra-EU exports on European armaments cooperation

In order to assess the importance of extra-EU exports in the European DTIB turnover, the study first investigates the origin of the turnovers of the 6 countries of the Letter of Intent (LoI), namely France, Germany, Italy, Spain, Sweden and the United Kingdom, to which Poland, as an emerging European supplier, was added. It is largely recognized that the LoI countries concentrate the core of European defence production capabilities expressed both in quantitative (turnover) and qualitative (range and diversity of defence specific capacities) terms. It demonstrates the importance of extra-EU exports varies between 18% (Germany,Poland) and 43% (Italy) for the year 2012, and that sales to markets outside of the EU represent a significant share of their turnover.

Second, the study presents the support and guidance mechanisms implemented by the LoI countries plus Poland to support their companies’ extra-EU export efforts. This part shows that Member States devote significant financial, administrative and political resources to help their ‘national defence champions’ win major sales abroad. Considering the fact that some of these countries are involved in cooperation programmes, States are sometimes faced with the choice of either supporting a domestic made system, or one produced in cooperation. In other cases, promotion resources help a multinational company compete with itself on a foreign market by supporting a national subsidiary of a company based in another country.

A third part of the report explores the ineffectiveness of the European Common Position (CP) on arms exports in harmonising export rules and guidance at the European level. Using the recent debate surrounding the sale of Mistral command and power projection ship to Russia, it demonstrates that one of the main goals of the CP – to create a more level-playing field by eliminating differences of restrictiveness in national export legislation – was not achieved.

 

The relationship between extra-EU exports and cooperation

There are indications of a strong correlation between, on the one hand, the importance of extra-EU exports for EU Member States and especially for LoI countries and on the other hand, difficulties of European cooperation between companies and between Member States. Competitions for extra-EU markets often involve several European suppliers, which are supported in different ways by their states in these contests.

Multiple examples presented in the report indeed show that this rivalry fosters tensions and hostility between European actors, which, in turn, has a negative impact on European cooperation in the field of armament.

However, this report did not uncover evidence to support the idea that extra-EU defence exports are actually causing the challenges currently displayed by European defence production cooperation.

Examination of past armament collaborations or competitions suggest that there is no automatic link between frictions and mistrust among suppliers with either exports or cooperation. Therefore, the importance of foreign sales may be a symptom of deeper-seated features of the European defence market.

 

The structural drivers of extra-EU exports

The domination of national logic in European defence and the weakness of European defence spending would explain both the ‘race to export’ by individual countries and the reluctance to engage in cooperation programmes. The general weakness of European defence expenditures over the past 15 years contrasts starkly with the general growth observed in the rest of the world. This has led both companies and Member States to turn to these extr-EU markets to counteract weaker domestic sales. Since the issue of the fragmentation and duplication of defence production capabilities across European countries remain, competition between European producers in foreign market seems inevitable. In turn, the high stakes and intensity of these competitions warrant significant Member Sates support.

 

Download The Extra-EU Defence Exports' Effects on European Armaments Cooperation

 

Note RP Defense: read Armaments Co-operation Strategy

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 17:50
The Impact of the 'Defence Package' Directives on European Defence


19.06.2015 source SEDE
 

In its conclusions on the Common Security and Defence Policy, the December 2013 European Council stressed the importance of ensuring the full and correct implementation and application of the two defence Directives of 2009. The present study intends to provide the Parliament with an initial perspective regarding the state of implementation of the Directive 2009/81/EC on defence and security procurement (Part.1) and the Directive 2009/43/EC on intra-European Union transfers of defencerelated products (Part.2). It undertakes a first assessment of national practices, through qualitative and statistical analysis. It identifies the complex points and obstacles, which, if not overcome, may well call into question the Directives’ expected beneficial effects.

 

Executive summary

 

The directive 2009/81/EC on defence and security Procurement under scrutiny

In order to understand the evolution of Member States’ acquisition practices since the entry into force of the Directive, the first part of the study is structured around three main sections : (1) the situation before the Directive’s entry into force, an overview of the major principles introduced by the Directive and their implications for actors in the European defence sector, along with the process of transposition into national law; (2) An initial evaluation of national practices through qualitative analysis and statistical analysis (based on reprocessed data from the TED database, during the period from the 21st August 2011 to the 31st December 2014, covering all EU Member States) ; (3) An identification of the complex points and obstacles, which, if not overcome, may well call into question the Directives’ expected beneficial effects.

The Directive 2009/81/EC intends to provide procurement rules tailor-made for defence and security markets and is supposed to lead to more transparency and competition. Most importantly, it should limit the use of the exception clause of Article 346.

While the number of documents published on TED over these past two years has been increasing, this increase is not as significant as expected, and above all it is due to a small group of Member States (France, Germany, and the United Kingdom). This initial survey demonstrates an important disparity in the Member States’ publication practices (contract notices and contract awards). This poses the question of reciprocity. In value, contract awards notified between the 21st August 2011 and the 31st December 2014 represent around €10.53 billion. The year 2014 accounts for around 65% of the total, due to significant contracts notified by the United Kingdom in the field of services and facilities management, and by France on the segments covering Repair and maintenance services of military aircrafts.

The Directive 2009/81/EC is today favoured for contracts dealing with services, the acquisition of equipment deemed to be of a low strategic value, and sub-systems. Over the past three years, all of the major military equipment contracts, thus those that have had a structural effect on the DTIB, were notified without going via the Directive. Previous practices have continued, notably the use of Article 346.

When the contracting authorities/entities provide the name and address of the successful economic operators, in 84% of cases, the selected supplier is based on national territory. An analysis focused on the Member States that have published the most contract award notices (and if we consider non-specified addresses as national, as the European Commission does) demonstrates that the proportion of selected suppliers located on national territory reaches 98% for Germany, 97% for France, 96% for Italy, 96% for Poland, 92% for the United Kingdom, 90% for Romania, and 64% for Finland.

Concretely today acquisition practices seem to show an incomplete and incorrect application of the Directive, with de facto a limited or even non-existent impact on the DTIB. It is indeed too hasty and premature to draw conclusions from such a short period, all the more so given that it generally takes 5 to 10 years for a directive to be fully applied, and this is referring to the civilian sector. Although this new regime is not yet functioning satisfactorily at the present time, the Directive represents an important step in a sector such as defence, which is marked by a significant degree of opacity in acquisition practices.

 

The State of implementation of the Directive 2009/43/EC on Intra-EU transfers of defence- related products

In order to assess in details the current state of implementation o the Directive 2009/43/EC, the second part of the report proceeds in 3 steps and considers, first, the principles of the ICT Directive regarding the general licences, second, the state of the certification process and third the eventual impact of the Directive on the actors focusing specifically to topic of the end-use/end-user control.

The use of general licences appears to be quite limited considering its potential. This can be partially explained by the fact that the implementation of the new regulations is still in a transitional phase. However study reveals that the entire licensing process established by the EC suffers from major problems threatening the objective of simplification and harmonization. First, the report identifies a lack of availability of the relevant documents. Second, the general licences are too diversified in terms of scope and structure of the documents and conditions attached. Third Member states adopt different definitions of what sensitive products are, which is a corollary of the multiplicity of the defence-related product lists attached to the general licences.

To date, only 36 defence companies are registered on CERTIDER. The pace of certification is impacted by the relative complexity and diversity of the general licences, but there is obviously is some skepticism about the practical benefits of the enlisting process. It may not be considered worth the effort for the defence companies. The observation is even more valid for Small and Medium Enterprise.

Because of the slow pace on implementation of the Directive 2009/43/EC it is hazardous to analyze its effect on the European defence market. However, the actual trends allows the formulation of hypotheses notably on the eventual adaptation of the en use/end user control processes within the EU. States remain attached to their monitoring systems. It is an international or regional obligation for them but they also want to stay aware of any eventual re-export within the UE and of course, outside.

The benefits of the ICT Directive will not be felt similarly by all Member States, national authorities and defence companies. Their effects will certainly be different among Member States depending on the structure of their national defence sector and its reliance on exports. National factors and realities of the defence industry, as well as diverse perceptions of arms trade controls in Europe, can explain the current unequal level of implementation of the Directive and limit the overall benefits of the new regulatory system put in place by the Directive.

 

Download The Impact of the 'Defence Package' Directives on European Defence

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:56
photo 7e BCA

photo 7e BCA

 

29.06.2015 par 7e BCA

 

Après avoir effectué une mission de plus de quatre mois en République de Centrafrique, le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) VERCORS a été officiellement dissous ce mardi 23 juin 2015 au cours d’une cérémonie sur la place d’armes du 7.

De février à juin 2015, près de 250 soldats ont œuvré à la sécurisation du pays dans le cadre de l’opération SANGARIS. Ses missions ont été diverses et étalées sur tout le territoire centrafricain : soutien au groupement tactique SANGARIS, opérations de désarmements et de levée de barrières illégales, sécurisation de zones, … Le GTIA VERCORS, sous les ordres du colonel Lionel CATAR, démontre une nouvelle fois les qualités et les savoir-faire des troupes de montagne : engagement physique, ténacité et rusticité.
Présidée par le colonel KERVIZIK, adjoint au général commandant la 27e Brigade d’Infanterie de Montagne, l’ensemble des chasseurs constituant le GTIA VERCORS a défilé une dernière fois devant les autorités civiles et militaires.

 

Reportage photos

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:55
Un commando du CPA 20 soutenu par l’union nationale des parachutistes

Remise de chèque au profit du caporal-chef Rémy, représenté par l'un de ses camarades, lors du congrès national de l'UNP - photo UNP – Armée de l’Air

 

30/06/2015 UNP – Armée de l’Air

 

Chez les parachutistes, la solidarité n’est pas un vain mot, et ce, quelle que soit la couleur de l’uniforme!

 

Grièvement blessé lors d’un saut en parachute, le caporal-chef Rémy B. du commando parachutiste de l’air n°20 (CPA 20) a ainsi pu bénéficier d’une aide financière de 3000 euros. Ce chèque lui a été remis à l’occasion du congrès annuel de l'union nationale des parachutistes (UNP) qui s’est tenu les 5 et 6 juin 2015 à Toulouse.

 

Forte de 10 000 adhérents, l’UNP est la plus grande association française de parachutistes, qu’ils soient d'active ou à la retraite. Fondée au milieu des années 60, elle a pour rôle de défendre les intérêts des parachutistes et de perpétuer les valeurs de courage, de solidarité et d'engagement au service de la France. Les commandos de l'air y sont largement représentés, aux côtés de leurs homologues de l’armée de terre et de la marine nationale.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:55
Bilan des RMBS 2015


26/06/2015  DICoD

 

Du 1er au 27 juin, les communes de Bourges et Aubigny-sur-Nère, dans le Cher, ont accueilli la 4e édition des Rencontres militaires blessures et sports. Organisées depuis 2012 par la Cellule d’aide aux blessés de l’armée de Terre (CABAT), ces rencontres rassemblent tous les acteurs de l’accompagnement : médecins, psychologues, encadrants sportifs au profit des blessés des trois armées et de la gendarmerie.

 

Du 1er au 27 juin, soixante-deux militaires blessés, physiques et psychiques, ont participé à la 4e édition des Rencontres militaires blessures et sports (RMBS). Réunis pour apprendre à se reconstruire à travers le sport, ils ont participé à quatre semaines de stage durant lesquelles ils ont découvert de nouvelles activités sportives, telles que le kin-ball, le BMX ou encore le rugby fauteuil.

Deux stages grands blessés étaient également organisés dans la continuité du parcours d’éducation thérapeutique mis en place par le cercle sportif de l'Institution nationale des Invalides (CSINI). Axés sur l’ouverture au monde des sensations, le challenge était de les autoriser à pratiquer de nouveau des activités qui semblaient impossibles.

Lors de la troisième semaine de stage, Philippe Croizon, premier homme amputé des quatre membres à avoir traversé la Manche à la nage, a donné une conférence intitulée « Le sport pour se reconstruire ». L’athlète a fait partager son expérience aux militaires présents : « Le sport m’a permis d’accepter le handicap. Ce soir, je suis venu sans mes prothèses ! Ce ne serait jamais arrivé au début. Aujourd’hui, j’aime ma vie. »

Le 3 juin, le chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Jean-Pierre Bosser, s’est rendu au centre régional jeunesse et sport à Aubigny. En effet, cet événement majeur est une priorité pour l’armée de Terre, qui veille à mettre en œuvre le soutien médical et humain à la hauteur des sacrifices consentis par ses soldats.

Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État aux Anciens combattants et à la Mémoire, s’est enthousiasmé de cet événement lors de sa visite, le 23 juin dernier. « Le sport est un formidable vecteur portant un esprit collectif propice au rétablissement de nos blessés. C’est un moyen de retrouver une confiance en soi mise à mal par des traumatismes qu’il nous convient de détecter le plus en amont possible. » Selon lui, «  le sport rend l’impossible possible ! »

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:55
Challenge de tir au CEITO

 

30/06/2015 SCH Beltran - Armée de Terre

 

Pour la troisième année consécutive, le challenge des tireurs d’élite s’est déroulé au centre d’entrainement de l’infanterie au tir opérationnel (CEITO), du 15 au 19 juin.

 

12 groupes de tireurs d’élite longue distance, issus de 11 régiments d’infanterie, ont participé à cet exercice ayant pour objectif l’évaluation des techniques opérationnelles. Tir, secourisme et infiltration de nuit ont jalonné la semaine et permis aux stagiaires de se confronter à des conditions proches de celles rencontrées en opération.

 

Au terme de l’évaluation, le groupe de tireurs d’élite du 126e régiment d’infanterie de Brive-la-Gaillarde a obtenu le meilleur score. Il est suivi par le groupe du 92e RI. Enfin, la troisième marche du podium est occupée par le 3e régiment d’infanterie de marine.

 

Retour en images.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:50
photo MIL.be

photo MIL.be

 

30/06/15 -7sur7.be (Belga)

 

Le major Fabrice Leroy, un spécialiste du renseignement et de l'imagerie, a été investi mardi comme 7e commandant de la 80ème escadrille de la composante Air, la seule unité de l'armée belge équipée de drones, mais à l'avenir incertain à partir de 2017.

 

Cet officier de 42 ans succède au major Jean-Marc Ruaux à la tête du 80ème Squadron UAV ("Unmanned Aerial Vehicles") équipé de drones B-Hunter lors d'une cérémonie organisée sur la base aérienne de Florennes, a constaté l'agence Belga.

 

Le major Leroy a la particularité d'être le premier commandant de cette unité - qui trouve ses origines dans une batterie d'observation de l'ex-Force terrestre créée du temps de la Guerre froide et très tôt équipée de drones - à provenir de la composante Air, a souligné le "patron" des aviateurs, le général-major Frederik Vansina, en marge de la cérémonie.

 

Jusqu'à présent en effet, tous les chefs de cette unité étaient des "kakis" d'origine. Les avions sans pilote "B-Hunter", de conception israélienne acquis en 1998 et pleinement opérationnels depuis 2004, sont basés depuis octobre 2010 à Florennes. Ils opéraient auparavant depuis Elsenborn, près de la frontière allemande.

 

Aujourd'hui, quatorze ans après l'entrée en vigueur de la "structure unique" qui chapeaute les forces armées belges, 60% du personnel du 80ème Squadron UAV est originaire de la composante Terre. Les 40 autres pour cent sont d'origine "bleue". L'ancien ministre de la Défense, Pieter De Crem, avait annoncé en juillet 2013 le retrait du service des douze B-Hunter (B pour Belgique) en 2017, expliquant qu'aucun successeur n'était prévu.

 

Les militaires placent toutefois beaucoup d'espoir dans le "plan stratégique" - apparemment ambitieux - que l'actuel ministre, Steven Vandeput (N-VA), a soumis au gouvernement, en espérant que le drone B-Hunter (un appareil israélien adapté aux besoins belges) ait finalement un successeur à terme.

 

Ces drones ont été déployés à deux reprises en opération à l'étranger. En 2005, quatre appareils ont été engagés pendant quatre mois en Bosnie-Herzégovine dans le cadre d'une mission de l'Union européenne. En 2006, quatre autres UAV ont participé à une nouvelle mission de l'UE, l'EUFOR, lors des élections en République démocratique du Congo (RDC).

 

Les B-Hunter effectuent aussi chaque année une centaine d'heures de vol au dessus de la mer du Nord - au départ de la base aérienne de Coxyde - pour traquer les navires pollueurs dans les eaux territoriales belges de la mer du Nord. L'Italie a toutefois refusé la participation des drones belges à l'opération Triton en mer Méditerranée de l'agence européenne Frontex de l'agence européenne de surveillance des frontières extérieures de l'UE, Frontex, a révélé mardi le général Vansina.

 

Le "B-Hunter" (B pour Belgique) est un petit avion sans pilote (8,9 mètres d'envergure et d'un poids maximal de 727 kilos), bimoteur en tandem et bipoutre. Il est équipé d'une charge utile comprenant une caméra thermique infrarouge et une caméra CCD, qui lui permettent de recueillir des images de jour comme de nuit, et d'un système de transmission de données en temps réel. Il est capable d'effectuer des vols préprogrammés ou commandés à distance d'une durée de dix heures. Sa portée opérationnelle est d'environ 100 km.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:50
Kockums A26

 

30 juin 2015 by Saab

 

Kockums A26 is the world’s most modern submarine program for the Swedish Navy. The Kockums A26 is a unique submarine with proven modular design, silent long-endurance submerged performance and excellent manoeuvrability in all waters.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:35
photo DCSCA

photo DCSCA

 

30/06/2015 DCSCA

 

Conseiller juridique au sein de la direction centrale du SSA*, le CR2 de Courrèges a été chargé,  pour sa première opération extérieure d’octobre à fin décembre 2014, de gérer les questions  relatives au contentieux, à l’état-civil et au personnel civil de recrutement local, au sein de la direction du commissariat du dernier mandat PAMIR.

 

Afghanistan, Kosovo, Mali-Niger, Côte d’Ivoire et bien d’autres. Autant de théâtres sur lesquels les forces françaises sont intervenues, et au cours desquelles elles ont pu causer, par inadvertance ou accident, des dommages au sein des populations locales. De l’accident de circulation au différend sur l’occupation indue d’un terrain privé, les sources de contentieux sont à la fois fréquentes et variées.

 

Souvent sensibles, car liés aux questions d’argent, de surcroît dans des pays au sein desquels la culture juridique est très différente de celle de la France, les sujets relatifs au traitement du contentieux présentent une acuité toute particulière, notamment en termes d’image de la Force au sein de la population. « Dans le cadre du désengagement final de l’armée française du théâtre afghan, il n’était pas question de laisser des dossiers contentieux derrière nous », précise le commissaire de Courrèges. « Plusieurs accidents de circulation, à la fois en Afghanistan et au Tadjikistan, m’ont conduit à proposer au directeur du commissariat de l’opération PAMIR de procéder à des indemnisations, pour des sommes importantes au regard du niveau de vie local. »

 

S’appuyant, en cas de besoin, sur l’expertise de la direction centrale du SCA (et prochainement du Centre d’expertise du soutien juridique – CESJUR) ainsi que de la direction des affaires juridiques, l’officier contentieux joue un rôle clé. Il reçoit les plaignants, accompagné d’un prévôt pour des raisons de sécurité et de détermination des faits, et évalue un montant d’indemnisation à proposer.

 

Le CR2 de Courrèges tient à souligner que « juger en opportunité du montant financier d’un préjudice subi n’est pas chose facile, mais l’objectif est bien de parvenir à un accord avec la victime, pour dégager l’État français de toute responsabilité ultérieure.»

 

Dans la limite des délégations financières consenties au théâtre, l’officier contentieux doit alors accompagner le directeur du commissariat de l’opération dans des négociations parfois houleuses, pour trouver un compromis. « On se croit parfois au marché afghan, en train de négocier le prix d’un tapis », relève le CR2 de Courrèges, fier d’avoir permis, suite à un accident de circulation, l’indemnisation « à juste mesure » d’un civil afghan, peu rancunier puisque prêt à louer des véhicules à la Force « à bon prix »…

* Service de santé des armées.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:35
C-130 - archives Indonesia Air Force

C-130 - archives Indonesia Air Force

 

30.06.2015 Romandie.com (ats)

 

Un avion de transport militaire indonésien transportant 113 personnes s'est écrasé mardi sur un hôtel et des habitations à Medan, dans le nord de l'île de Sumatra. Cet accident a été annoncé par un porte-parole de l'armée de l'air.

 

"Selon nos informations, il y avait 113 personnes à bord, dont 12 membres d'équipage", a dit Dwi Badarmanto. Au moins 49 corps ont pour l'instant été extraits du site où l'appareil, un Hercules C-130, s'est écrasé, selon la télévision.

 

"L'avion est passé au-dessus de nos têtes à plusieurs reprises en volant très bas", a déclaré Elfrida Efi, réceptionniste au Golden Eleven Hotel. "Il dégageait des flammes et de la fumée noire. Au troisième passage, il a percuté le toit de l'hôtel et a immédiatement explosé", a-t-elle dit par téléphone.

 

Les débris de l'appareil ont également percuté un salon de massage généralement fréquenté à cette heure de la journée, a ajouté Elfrida Efi.

 

L'appareil, mis en service en 1964, venait de décoller de la base aérienne de Medan à destination des îles Natuna lorsqu'il s'est écrasé, a déclaré un autre porte-parole de l'armée, Fuad Basya. Selon des médias locaux, le pilote avait demandé à retourner à sa base en raison de problèmes techniques.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:35
A330 Multi-Role Tanker Transport (MRTT) - photo Airbus DS

A330 Multi-Role Tanker Transport (MRTT) - photo Airbus DS

 

30/06/2015 By: James Drew - FG

 

Airbus Defence & Space this week added South Korea to its growing list of A330 Multi-Role Tanker Transport (MRTT) operators after the nation downselected the tanker type over Boeing’s KC-46A Pegasus and Israel Aerospace Industries’ 767-based design.

 

South Korea’s Defense Acquisition Program Administration announced the selection decision on 30 June, citing the performance and price of the European tanker over the US and Israeli alternatives.

 

The $1.26 billion KC-X programme aims to deliver four tankers by 2019, and the selection of Airbus is an important victory for the company as it looks to an upcoming Japanese tanker competition.

 

Boeing had expressed confidence before the decision, touting estimates that the KC-46A it is developing for the US Air Force will cost 25% less to own and operate over its life-cycle compared with the A330 MRTT, despite being a more expensive aircraft up front. However, Airbus offers a much larger aircraft compared with the 767-based KC-46A, and it can carry 111t (245,000lb) of fuel and up to 300 troops.

 

“This contract will also allow Airbus Defence & Space to establish a long-term and sustainable cooperation with the Korean industry,” says company spokeswoman Maggie Bergsma. “We will carry out our contractual obligations faithfully and are looking forward to executing this programme in a timely and efficient way as we have done with other A330 MRTT contracts.

 

“The decision means that the A330 MRTT has won every tanker competition outside of the United States since it entered the market, and has now been selected by nine nations plus the European Defence Agency.”

 

The decision to go with a European supplier shows that South Korea is prepared to break from the tradition of buying American military hardware, following multi-billion-dollar commitments last year to procure the Lockheed Martin F-35 Joint Strike Fighter and three Northrop Grumman RQ-4 Global Hawk unmanned air vehicles.

 

"While we are disappointed with this decision, we remain committed to our partnerships in Korea,” says Boeing spokesman Chick Ramey.

 

Boeing’s KC-46 programme is running behind schedule, and is yet to conduct the first full-up KC-46A tanker flight. The first 767-2C engineering and manufacturing development aircraft recently flew an airworthiness test fitted with a boom and wing aerial refuelling pods. Still, Boeing can claim the largest base customer, the US Air Force, with 176 orders expected initially and potentially up to 400 as the aging KC-135 is retired.

 

Meanwhile, Airbus already has 35 solid orders on its books from six countries, and has delivered more than 24 aircraft to date. The tanker has also been selected by India (six aircraft) and Qatar (two). France is boosting its tanker order to 12, and the European Defence Agency is exploring options to acquire several aircraft that would be operated jointly.

 

One of Boeing’s biggest selling points was interoperability with the US fleet. The KC-46 will be certified to refuel more than 64 receiver types at little or no cost to the foreign customer, Boeing says.

 

However, Korea is not alone in the Pacific. The Royal Australia Air Force – which operates Super Hornets and, soon, F-35As – was the tanker type’s launch customer and it has already completed several refuelling certifications.

 

Singapore has also ordered six aircraft, and in Europe and the Middle East – Korea would dovetail on the established MRTT programmes of the UK, France, Saudi Arabia and UAE.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 12:55
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18-06-2015 par 2e REP Réf : 329 | 414

 

 Mercredi 17 juin, la 3e compagnie du 2e REP voyait partir du capitaine Paul-Henri Gauzence de Lastours pour l’Ecole Polytechnique et le capitaine Guillaume Arrault en prendre le commandement, au cours d’une cérémonie au camp Raffalli

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 12:55
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10-06-2015 par 2e REP Réf : 328 | 327

 

Mardi 9 juin dernier, le capitaine Gabriel Vallier rendait le fanion de la 4e compagnie lors d’une cérémonie au camp Raffalli et s’apprête désormais à prendre une compagnie du IIIe Bataillon de l’ESM Saint-Cyr à Coëtquidan. Le chef de corps a confié la destinée des Gris au capitaine Gaspard Munsch qui débute son commandement par une OPINT dans le cadre de la mission Sentinelle, en IDF.

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