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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 11:55

50e-lancement-d-ariane-5-sous-la-protection-des-fag

 

avril 8, 2013 par Guilhem Penent – alliancegeostrategique.org

 

Yannick d’Escatha, contraint à 65 ans de laisser la présidence du Centre national d’études spatiales (CNES) après deux mandats passés aux commandes du vaisseau spatial France, avait rejoint l’établissement au lendemain de l’échec du premier vol de qualification d’Ariane 5 ECA. Dix ans plus tard, il tire sa révérence en confiant à son successeur, Jean-Yves Le Gall, dont le conseil des Ministres a confirmé la nomination le 3 avril dernier, la mission de développer la fusée Ariane 6 PPH et la responsabilité de mener à bien la transition.

 

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 16:55

50e-lancement-d-ariane-5-sous-la-protection-des-fag

 

04/04/2013 latribune.fr

 

Dans un référé adressé au gouvernement la Cour des Comptes recommande à la France de négocier une participation homogène des principaux parternaires de l'ESA et de l'Union européenne. La France supporte près de 80% des coûts relatifs au Centre spatial guyannais et près de 60% du soutien à l'exploitation d'Ariane 5.

 

La France ne doit pas être le principal contributeur à l'accès européen à l'espace, garanti par le Centre spatial guyanais (CSG) et le lanceur Ariane estime jeudi la Cour des comptes dans un référé adressé au Premier ministre, au ministre de la défense et au ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche. "Actuellement, c'est toujours la France qui supporte, à près de 80%, l'ensemble des coûts relatifs au CSG, et à près de 60% le soutien à l'exploitation du lanceur Ariane 5", souligne la Cour des comptes. Selon elle, "la question se pose dès aujourd'hui d'une répartition plus équitable de l'effort financier concernant le CSG et le soutien à l'exploitation des lanceurs entre les Etats membres de l'Agence spatiale européenne (ESA) et de l'Union européenne, bénéficiaires de l'accès garanti à l'espace".

 

La France doit renégocier une participation homogène

 

Les sages de la rue Cambon recommandent ainsi au gouvernement de "se préparer dès maintenant à négocier, en vue du prochain conseil ministériel" de l'ESA, en 2014, "une participation homogène, et garantie sur le long terme, de nos principaux partenaires de l'ESA et de l'Union européenne, à l'ensemble des composantes de l'accès garanti à l'espace". La Cour relève aussi que la France "est la seule à s'engager résolument dans le financement d'Ariane 6", dont le développement a été acté lors de la conférence ministérielle de l'ESA de novembre dernier.

 

Plus de clarté dans l'utilisation de Soyouz

 

La Cour recommande notamment de "définir de manière claire et cohérente l'objectif d'utilisation de Soyouz au CSG dans l'hypothèse d'une mise en service d'Ariane 6, qui vise le même marché que le Soyouz". Les autres lanceurs utilisés à Kourou sont en effet dans le viseur des Sages de la rue Cambon. Soyouz, qui "n'assure pas l'autonomie de l'accès (européen) à l'espace dans la mesure où il dépend de notre partenaire russe", et Vega, petit lanceur à la capacité limitée, dont le coût "dépasse largement celui des lanceurs concurrents".

La Cour préconise également d'étudier la possibilité de développer de nouveaux lanceurs "à maîtrise d'oeuvre française en dehors du cadre de l'ESA avec le ou les seuls pays -Allemagne, voire Italie- les plus concernés".

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 07:20

GEO-2

 

Apr 02, 2013 Spacewar.com (SPX)

 

Buckley AFB CO - In support of the Buckley missile warning and awareness mission, the second Space-Based Infrared System geosynchronous earth orbit launched into space March 19 from Space Launch Complex 41 at Cape Canaveral Air Force Station, Fla.

 

The satellite, called GEO-2, provides more advanced space-based capabilities than Defense Support Program satellites, which are being replaced by the GEO satellites after more than four decades in operation.

 

"While DSP has been the workhorse for missile warning and missile defense for the last 40-plus years, SBIRS GEO takes us into the next generation with a revolutionary increase in detection capability," said Col.

 

DeAnna Burt, 460th Operations Group commander. "The successful launch of GEO-2 continues to bring greater detection capability to the Overhead Persistent Infrared enterprise. GEO-2 will allow the 460th to provide near real time, high fidelity OPIR data to warfighters around the world."

 

The capabilities of the GEO-2 involve a new era of overhead infrared surveillance that will deliver unprecedented global, persistent and actionable infrared surveillance. Such resources enable the U.S. and its allies to continuously maintain global situational awareness.

 

SBIRS persistent surveillance capabilities enable detection and reporting of missile launches around the globe, support the nation's ballistic missile defense system, expand technical intelligence, and gather and bolster situational awareness for warfighters on the battlefield.

 

The GEO-2 was carried by a United Launch Alliance Atlas V rocket. The launch team consisted of military, government civilians and contractors from the 45th Space Wing, Patrick Air Force Base, Fla.

 

"The successful launch of GEO-2 is a testament to the partnership between industry, the SBIRS Space Program Office and the 460th Space Wing," Burt said.

 

The U.S. Air Force Infrared Space Systems Directorate at the Space and Missile Systems Center in Los Angeles Air Force Base, Calif., leads the SBIRS development and acquisition. Lockheed Martin Space Systems Company, Sunnyvale, Calif., is the SBIRS prime contractor; Northrop Grumman Electronic Systems, Azusa, Calif., is the payload integrator; and the 14th Air Force operates the SBIRS system.

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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 17:55

50e-lancement-d-ariane-5-sous-la-protection-des-fag

 

27/03/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

En passe de devenir le président du CNES début avril, l'actuel PDG d'Arianespace, Jean-Yves Le Gall, a lors d'une audition au Sénat mardi, dévoilé quelques orientations stratégiques de sa future action à la tête du Centre national d'études spatiales. Il souhaite conserver une politique spatiale française autonome, lancer un plan de relance pour la filière satellite et mener à bien le développement low cost d'Ariane 6.

 

Réuni lundi, le conseil d'administration du CNES a proposé de porter à la présidence du Centre national des études spatiales, l'actuel PDG d'Arianespace, Jean-Yves Le Gall sous réserve que les commissions ad hoc de l'Assemblée nationale et du Sénat acceptent cette proposition. Le Sénat a voté ce mardi et l'Assemblée nationale le fera mercredi. Ce qui devrait être qu'une formalité pour Jean-Yves Le Gall, dont la candidature ne fait pas débat. Une fois l'accord du Parlement, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, pourra proposer au président de la République de nommer Jean-Yves Le Gall en qualité de président du conseil d'administration du Centre national d'études spatiales jusqu'en 2015, date de fin de mandat de son prédécesseur, Yannick d'Escatha. Mais il devra attendre jusqu'au 3 avril, voire le 10 avril, que le conseil des ministres ratifie sa nomination. En attendant, il a dévoilé mardi aux sénateurs quelques pistes sur sa stratégie pour une politique spatiale française en général, et en particulier pour le CNES jusqu'en 2020. D'où le projet "Ambition 2020", qui va structurer la réflexion du CNES. 

 

Pour une politique française spatiale autonome

 

C'est clair et net. Pour le futur président du CNES, pas question de laisser tomber une politique française autonome spatiale à côté des grandes coopérations européennes dans le cadre de l'Agence spatiale européenne (ESA) et internationales. « Pourquoi la France devrait avoir une politique autonome ? L'espace doit être un porte-drapeau de la politique d'un pays. La France est le seul pays européen à avoir une politique spatiale autonome, a expliqué mardi devant les sénateurs Jean-Yves Le Gall. Il faut continuer à l'avoir ». Car selon lui, le CNES investit dans les technologies des sciences de la vie et des lanceurs. « Nous devons continuer à le faire, a-t-il insisté. Il faut que le centre de Toulouse reste un moteur dans l'innovation spatiale et une référence ». Tout comme le centre spatial guyanais, "l'actif le plus important de la politique spatiale européenne", mais qui coûte cher, a-t-il précisé. Et il a d'ailleurs rappelé que le futur lanceur européen « Ariane 6 est né en France » d'une réflexion impulsée par les pouvoirs publics et engagée par le CNES et les industriels concernés, Astrium et Arianespace.

 

Une « Ariane 6 des satellites », un plan de relance pour l'industrie satellitaire

 

Ce sera l'un des très gros chantiers de Jean-Yves Le Gall s'il était nommé à le tête du CNES. Il veut une « Ariane 6 des satellites » pour relancer un secteur qu'il considère en grand danger. Les deux constructeurs nationaux, Astrium et Thales Alenia Space (TAS) font face à « une concurrence extrêmement agressive », a-t-il rappelé. Notamment des Etats-Unis (Boeing) mais aussi de la Russie et de la Chine. Sur ce dernier pays, il a évoqué des opérations d'Etat à Etat entre Pékin et le Nigéria et le Venezuela où les deals intègrent le paiement des satellites et des lancements (un package) avec des matières premières, notamment en pétrole. Jean-Yves Le Gall est également inquiet de la concurrence de Boeing, qui grâce sa technologie des petits satellites à propulsion électrique, a pris une longueur d'avance sur ses rivaux européens. Il a indiqué que le constructeur américain a annoncé lors du Satellite Show de Washington qu'il était en négociation finale avec douze clients pour douze plates-formes de ce type. « Ce sont douze satellites que n'auront pas les constructeurs français », a-t-il expliqué à La Tribune. Un constat très inquiétant d'autant que les prises de commandes en 2012 ont été médiocres pour les deux groupes français. « Il est important de soutenir le marché des satellites, a-t-il expliqué aux sénateurs. Il faut une approche nouvelle ».

 

Ariane 6 : dans les pas de Yannick d'Escatha

 

Sur le dossier Ariane 6, Jean-Yves Le Gall reste sur le ligne de la politique qui a été engagée par la France et l'Europe. « Pour lutter à armes égales avec ses rivaux, dont l'américain SpaceX, Ariane 6 doit avoir un coût de développement minimal, une durée de développement minimale et un coût d'exploitation minimal », a-t-il précisé. Car elle doit être compétitive face aux lanceurs des pays émergents où les salaires sont bas et des pays où l'accès à l'espace est subventionné. C'est dans ce cadre que le futur lanceur sera développé sur le principe du « cost driven », « ce qui nous permettra d'être en accord avec les enjeux du moment (contrainte budgétaire forte, ndlr) » tout en regardant ce que font les concurrents, notamment SpaceX, a-t-il souligné. Un développement à l'opposé de celui d'Ariane 5, qui lui était basé sur le principe de "technology driven", qui a permis d'irriguer tout le secteur spatial et au-delà. En outre, Jean-Yves Le Gall considère qu'il est temps de « réconcilier la masse des satellites gouvernementaux avec les performances d'Ariane 6 ». Aujourd'hui, a-t-il rappelé, ces satellites dont la masse est inférieure aux satellites de télécoms tirés par Ariane 5, sont lancés... par la fusée russe Soyuz. Et ce alors que la France, puis l'Europe, ont développé un lanceur autonome afin de mettre en orbite des satellites gouvernementaux, et surtout d'avoir un accès autonome à l'espace. "Ariane 5 est beaucoup plus adaptée au marché commercial qu'aux satellites gouvernementaux", a confirmé Jean-Yves Le Gall, qui s'interroge sur "la pérennité à terme de la coopération entre la Russie et la France" dans le domaine des lanceurs. Aujourd'hui, "il y a 22 lancements Soyuz en Russie", a rappelé le patron d'Arianespace. "La coopération est moins importante pour eux", a-t-il estimé.

 

Le CNES restera dans le capital d'Arianespace

 

Jean-Yves Le Gall est partisan d'un lien très fort entre Arianespace et le CNES, qui est aujourd'hui le premier actionnaire de la société de commercialisation des lanceurs européens (Ariane 5, Soyuz et Vega). Le Centre national devrait le rester en dépit des ambitions d'Astrium d'absorber Arianespace. "Le CNES doit continuer à avoir des relations fortes avec Arianespace", a-t-il expliqué aux sénateurs.

 

Priorité aux sciences de l'univers

 

Prié de dire quelle serait ses priorités en cas de disette budgétaire très forte, Jean-Yves Le Gall met au-dessus de la pile des dossiers, les activités de sciences de l'univers qu'il faut "protéger", selon lui. Car il est difficile de faire investir des industriels dans des programmes comme les exoplanètes par exemple. Contrairement aux télécoms, un secteur qui appartient déjà aux industriels, a-t-il estimé. Sur l'observation de la terre et le climat, Jean-Yves Le Gall se dit prêt à un débat. Enfin, sur l'accès à l'espace, il considère que le dossier a déjà été traité et que le principal enjeu est d'abaisser les coûts.

 

L'innovation, fil conducteur de Jean-Yves Le Gall

 

L'innovation jouera un rôle essentiel dans la stratégie future du CNES. "Pour rester dans les nations leader en matière d'espace, il faut continuer à être innovant", a expliqué le patron d'Arianespace. "L'innovation fait la différence et doit être le fil conducteur de tout ce que nous faisons". D'autant que le budget du CNES s'élève à 2 milliards d'euros environ. Pour Jean-Yves Le Gall, il faut aujourd'hui mettre "l'innovation au service de l'emploi". Le secteur spatial français emploie aujourd'hui 16.000 emplois directs.

 

Un renforcement de la communication

 

Jean-Yves Le Gall est convaincu qu'il est "fondamental" de communiquer sur les succès de l'espace, sur son utilité et de dire que "cela marche". "Je suis un partisan total de la communication", a-t-il expliqué. D'autant qu'il a rappelé que la France avait le deuxième budget spatial au monde. L'effort est budgétaire représente 31 euros par habitant en France, contre 49 euros aux Etats-Unis. En Allemagne c'est 17 euros par habitant et en Grande-Bretagne 6 euros.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 12:20

http://1.bp.blogspot.com/-QLKRP5I52QY/TxfHzG2DjiI/AAAAAAAAAw8/txJFime3bIQ/s1600/US_BMD_System.jpg

 

20.03.2013 Pacific Sentinel

 

WASHINGTON, March 19, 2013 – U.S. defenses are sufficient to stand up to current ballistic missile threats, but must continue to evolve because “the threat of ballistic missiles is not going down,” the commander of U.S. Northern Command and North American Aerospace Defense Command told Congress today.
“We currently can defend the entire United States from an Iranian long-range missile threat,” Army Gen. Charles H. Jacoby Jr. told the Senate Armed Forces Committee. “The question is, how do we stay ahead of the evolving Iranian threat, and how do we keep our options opened for the continued evolution of either Iranian or North Korean threats?”
Jacoby told the panel he supports Defense Secretary Chuck Hagel’s decision to deploy an additional 14 ground-based interceptors in Alaska in light of the evolving missile threat from North Korea.
The current ballistic missile defense plan is based on limited “limited defense of the United States,” he said. “And given the threat that is represented by Iran to the eastern United States today, we can cover that threat. The question is making sure that we pace that threat as it evolves.”

 

That requires that the United States be prepared to continue improving the resilience, redundancy and agility of its missile defenses, Jacoby said. “We remain committed to improving current ballistic missile defense capabilities to ensure we maintain our strategic advantage and guarantee confidence in our ability to defeat evolving, more complex threats in the future,” he noted in his prepared remarks.
With that goal, Northcom is working closely with the Missile Defense Agency “to maintain the right balance in developing and testing missile defense technologies, while increasing our readiness to execute this critical mission set,” he said.
Jacoby reported ongoing efforts to improve the reliability of the Ground-based Midcourse Defense System and the successful intercept flight test in January. In addition, he noted tests and exercises designed to evaluate the command’s capability against regional ballistic missile threats.
“We will continue to pursue effective and efficient methods to improve our ability to protect the homeland,” he told the committee. “Our citizens expect our vigilance and rigor to protect them from a missile attack on our soil. We work diligently to maintain their trust.”
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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 12:20

USAF Space Fence (Image Lockheed Martin)

 

March 20, 2013: Strategy Page

 

On March 7 Russia reported that on January 22nd one of its satellites was hit and damaged by debris from a Chinese satellite that China had destroyed in a 2007 anti-satellite weapon test. This is only the second time that an active (still operational) satellite was hit by orbital debris. The last time was in 2009 when an American satellite was hit by a dead Russian satellite. Since that incident owners of active satellites have paid more attention to where all the space junk (debris) is up there and it is more common for active satellite to move out of the way of oncoming concentrations of debris. This uses up precious fuel, which is normally used to maintain a low flying satellite in the proper orbit. When the fuel is gone so is the ability to move and the usefulness of the satellite.

 

The 2009 loss was an American Iridium satellite, which supplies satellite phone service and was at an altitude of about 770 kilometers over central Russia. The Iridium satellite was hit by a dead Russian communications satellite (the one ton Cosmos 2251, equipped with a nuclear power supply, launched in 1993). The Russian bird could not be moved, nor could the Iridium (which, while active, was not equipped with thrusters for movement). The Iridium bird was one of sixty, so satellite phone services was not interrupted, because of the spare capacity in the system. The collision turned the two satellites into 600 bits of debris.

 

The last time anything like this happened was in 1991, when a dead satellite ran into debris from another, and created more debris. There have been two deliberate collisions since then. In 2007 China launched a "killsat" that maneuvered into the path of a dead Chinese weather satellite, and destroyed it. In 2008 the U.S. Navy used one of its Aegis equipped warships to destroy a malfunctioning U.S. spy satellite with an anti-missile missile.  Russia and China have since called for such U.S. activity to be outlawed.

 

After sixty years of humans putting objects into orbit, there is a lot of junk up there. Currently, over 300,000 dangerous objects 10 mm (.4 inch) in size have been identified. The smallest of these is capable of disabling a satellite, or damaging a spacecraft, mainly because these objects collide at very high speed (9-10 times faster than a bullet) when the two objects are coming from different directions.

 

There are nearly 22,000 objects 10 centimeters (4 inches) or larger in LEO (low earth orbit) and 500,000 smaller objects that are still large enough to cause damage. All of these can do some catastrophic damage to satellites or spacecraft. There are millions of objects smaller than 10mm, and these are responsible for many satellites failing early because of cumulative damage from getting hit by several of these micro objects. There are over 250 commercial satellites up there, plus nearly as many military ones.

 

There are lots of people keeping an eye on this clutter. The U.S. Air Force Space Surveillance Network, which tracks objects 10mm and larger, stopped sharing all of its information nine years ago, for national security reasons. The Russian Space Surveillance System is known to use radar to track over 5,000 objects in low orbit. But the Russians have never shared this data completely, or regularly. Filling in the gaps are two international organizations; IADC (Inter-Agency Space Debris Coordination Committee) and ISON (International Space Observation Network). IADC is a government operation, whose members include the U.S. NASA, and the equivalents in Russia, China and several other major nations. Like most government organizations, not all data is shared.

 

ISON is a non-government organization, and they come up with some of the most interesting stuff. ISON comprises 18 scientific institutions, 18 observatories, 25 telescopes and over a hundred professionals. ISON does not, as far as anyone knows, withhold data because of any national security concerns. This is fairly certain because ISON work is monitored, and complemented, by the efforts of thousands of amateur astronomers and orbital addicts who connect via the Internet, and constantly scour the orbital space for new objects, and dangerous movements by existing ones.

 

ISON has already spotted nearly 200 larger (over 10mm) objects that have never been reported by any of the government organizations. The Internet based amateurs are often the first to spot a lot of this new activity, mainly because they have more eyeballs, and, in some cases, impressive optical equipment, searching the skies.

 

When someone spots an object headed for a maneuverable satellite, the owner is alerted, and the bird is moved. This has happened several times in the last few years. The number of dangerous objects up there increases 10-20 percent a year. That's even with many of them falling into the atmosphere and burning up each year. Apparently, no one was able to predict the collision between Cosmos 2251 and the Iridium bird, nor the recent collision, largely because the high speed of these objects, and slight instability of their orbits, can turn an expected near miss into a direct hit.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 12:20

GEO-2

 

Mar 20, 2013 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

The U.S. Air Force’s second Space Based Infrared System (SBIRS) Geosynchronous Earth Orbit (GEO-2) spacecraft, built by Lockheed Martin [NYSE: LMT], was successfully launched today at 5:21 p.m. EDT from Cape Canaveral Air Force Station, Fla., aboard a United Launch Alliance Atlas V rocket.

 

The SBIRS program delivers timely, reliable and accurate missile warning and infrared surveillance information to the President of the United States, the Secretary of Defense, combatant commanders, the intelligence community and other key decision makers. The system enhances global missile launch detection capability, supports the nation's ballistic missile defense system, expands the country’s technical intelligence gathering capacity and bolsters situational awareness for warfighters on the battlefield.

 

"We are proud to partner with the U.S. Air Force on the SBIRS program to deliver highly reliable infrared surveillance capabilities for strategic and tactical users across the defense and intelligence community,” said Jeff Smith, Lockheed Martin's vice president of Lockheed Martin’s Overhead Persistent Infrared (OPIR) mission area. “Thanks to the unmatched expertise of the entire government and industry SBIRS team, we are confident this satellite will meet or exceed expectations and play a pivotal role in our national security for years to come.”

 

The SBIRS architecture includes a resilient mix of satellites in geosynchronous orbit, hosted payloads in highly elliptical earth (HEO) orbit, and ground hardware and software. The first two GEO satellites and HEO payloads have now launched.

 

SBIRS GEO-2 includes highly sophisticated scanning and staring sensors that will deliver improved infrared sensitivity and a reduction in area revisit times over the current constellation. The scanning sensor will provide a wide area surveillance of missile launches and natural phenomena across the earth, while the staring sensor will be used to observe smaller areas of interest with superior sensitivity.

 

"Today's successful launch of the GEO-2 satellite marks another milestone in the evolution of infrared surveillance from space," said Dr. Stephen Toner, Northrop Grumman's vice president of the Military and Civil Space business area. "The team played a significant role ensuring that the sensors on GEO-1 are performing beyond specification, and we are confident that the GEO-2 sensors will exhibit similar performance."

 

The SBIRS team is led by the Infrared Space Systems Directorate at the U.S. Air Force Space and Missile Systems Center. Lockheed Martin is the SBIRS prime contractor, Northrop Grumman is the payload integrator. Air Force Space Command operates the SBIRS system.

 

Lockheed Martin’s SBIRS contracts include four HEO payloads, four GEO satellites, and ground assets to receive, process, and disseminate the infrared mission data.  The team has also begun initial work on the fifth and sixth GEO satellites.

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 13:50

Pleiades

 

19 March 2013 eads.com

 

        Astrium announces Pléiades 1B and SPOT 6 operational following their in-orbit validation

        Astrium Services is now the only operator in the world able to offer very-high-resolution images of any point on the globe taken by a constellation of identical satellites, on a daily basis

        Together with SPOT 6 and the soon-to-be-launched SPOT 7, the Pléiades satellites form a dual constellation of satellites to offer complementary performance in terms of image size and resolution

 

Astrium, Europe’s leading space technology company, has announced the operational and commercial launch of the fully complete Pléiades constellation as well as SPOT 6, following the successful in-orbit qualification of the Pléiades 1B and SPOT 6 satellites.

 

“Astrium Services will now distribute images from the twin Pléiades 1A and 1B satellites, operating as a fully fledged constellation”, said Astrium Services CEO Evert Dudok. “This configuration, the only one of its kind in the world, offers very-high-resolution daily revisits and guarantees an image in less than 24 hours from any point on the globe, as well as daily monitoring of any location and double the coverage.”

 

It is this daily revisit capability that makes geo-information services a reliable part of the strategic and economic decision-making process, offering Astrium Services’ customers a number of advantages. These are as follows: speedier access to images (war and crisis zones and natural disaster areas are visible in a matter of hours, anywhere in the world); the provision of images on a regular basis, enabling, for example, daily monitoring of activity at a specific location (rate of progress of civil engineering projects, surveillance of a military, industrial or mining sites, etc…); and twice the number of images (images are acquired twice as fast and with twice the chance of a cloud-free image being captured, making it the ideal configuration for mapping large areas).

 

Taken between 15 and 21 February 2013, this series of images of the port of Suez in Egypt perfectly illustrates the daily revisit potential of the Pléiades constellation. They show shipping activity, in particular the movement of ferries and commercial vessels at the entrance to the canal. All these images are available in jpeg or video stills at the website ftp://ftp.astrium-geo.com/satellite_2013/.

 

Pléiades 1A and 1B are Europe’s first very-high-resolution Earth-observation satellites, and are positioned 180° apart in the same quasi-polar heliosynchronous orbit, at an altitude of 695 km. They offer exceptional performance in the civil market: 50 cm products over a 20 km footprint and excellent flexibility (rapid pointing) allowing multiple acquisition modes (stereo, mosaic, corridor, target). Thanks to their unparalleled ability to acquire 900 images a day, they also offer major operational advantages to users.

 

The SPOT 6 and SPOT 7 constellation will operate in conjunction with Pléiades and will offer 1.5 m resolution data over larger imaging swaths (60 km) for mapping very large areas. The Pléiades (1A and 1B) and SPOT 6 and 7 constellations will be stationed at equidistant points in the same orbit around the Earth, making Astrium Services the first operator in the world able to offer a complete range of Earth-observation data at different resolutions (from medium to very high resolution). What this means is that every point of the globe will now be visible in high and very-high resolution on a daily basis

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 13:55

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/00/02/3435655427.jpg

 

14.03.2012 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

La question des nouveaux espaces stratégiques est le fil conducteur du séminaire du 8 avril, organisé par l'IRSEM et la DAS.  Nouveaux espaces au sens régional d’abord : l'Afrique, avec l’évolution rapide de son contexte de sécurité comme de ses structures étatiques, réclame une nouvelle approche. Nouveaux espaces au sens physique ensuite : le spatial s’impose bel et bien comme nouveau théâtre d’action, investi par ailleurs par de nouveaux acteurs, en l’occurrence les puissances émergentes. Nouveaux espaces immatériels et symboliques enfin, avec la double révolution des réseaux sociaux et des technologies (comme la robotique).

 

Le programme:

 

14h - Ouverture général Eric Bonnemaison, directeur adjoint de la Délégation aux affaires stratégiques, et Frédéric Charillon, directeur de l'Institut de Recherche Stratégique de l'Ecole Militaire


14h15 - Les enjeux sécuritaires en Afrique Enjeux sécuritaires et maritimes du golfe de Guinée à 10 ans Francis Faye, FMES (chef de projet) Jean-Marc Balencie, FMES / Bernard Dujardin, FMES
Les deux Soudan à l'épreuve de l'indépendance Agnès de Geoffroy, Antenne du CEDEJ à Khartoum, ministère des Affaires étrangères
Questions/réponses


15h15 - La politique spatiale des émergents Analyse comparée de la stratégie spatiale des pays émergents : Brésil, Inde, Chine Isabelle Sourbès-Verger, CNRS - Centre Alexandre Koyré Florence Gaillard-Sborowski, FRS Emmanuel Puig, Asia Centre - CNRS Questions/réponses

 

16h00 - Pause


16h15 - Les enjeux sociologiques de défense:
Nature et conséquences pour les forces armées des réseaux sociaux Marguerite de Durand, Spintank Nicolas Vanbremeersch, Spintank
Relation Homme Robot : prise en compte des nouveaux facteurs sociologiques Frédéric Coste, FRS, Amiral Martinez, Securymind
Questions/réponses

 

Inscription (obligatoire) à l'adresse suivante :
http://www.defense.gouv.fr/das/la-delegation/evenements/s...

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 08:40

http://fr.rian.ru/images/19726/83/197268307.jpg

 

13 Mars 2013 - Ria Novisti

 

Le directeur du Centre russe de défense planétaire Anatoli Zaïtsev a évalué les chances de création d'un centre international d'alerte et de protection contre les menaces spatiales, a écrit le 13 mars le quotidien Izvestia.

 

"Un système de détection des corps célestes volant en direction de la Terre est absolument nécessaire. C’est devenu une évidence après la chute de météorite dans la région de Tcheliabinsk. Je pense qu'un tel projet est réalisable mais il est pratiquement impossible de le faire avec des moyens terrestres car les objets dangereux peuvent voler du côté du Soleil. C'est précisément le cas de la météorite de Tcheliabinsk que ni la Russie ni les Etats-Unis n'ont été physiquement capables de voir depuis la Terre, a déclaré Anatoli Zaïtsev. Il est nécessaire de créer un segment spatial de surveillance, de lancer dans l'espace un ou plusieurs vaisseaux en les déployant dans certaines régions. Les projets de ce genre sont nombreux aussi bien en Russie qu'à l'étranger. Reste leur mise en œuvre. Si un tel système de surveillance spatial était mis en place, on pourrait à coup sûr identifier les objets dangereux."

 

"La Russie pourrait elle-même créer un tel dispositif car elle a une grande expérience dans le lancement de vaisseaux spatiaux avec télescopes embarqués, bien qu'ils aient été destinés à d'autres missions. Cependant, je pense que ce système doit être créé et contrôlé au niveau international car un seul pays ne devrait pas avoir le monopole de l'information sur les objets dangereux. Dans ce cas, l'Etat pourrait théoriquement l'utiliser dans son intérêt, ajoute Zaïtsev. La création d'un tel système nécessite la mise au point de la législation internationale.


Les dirigeants des puissances mondiales doivent discuter d’un tel système et prendre une décision. Un précédent existe : en 2005, avant la réunion du G20, le premier ministre britannique Tony Blair avait proposé aux scientifiques de préparer leurs propositions pour la mise en place d'un système de surveillance globale des catastrophes naturelles. Ce document existe."

 

Selon l'expert, après une prise de décision au niveau intergouvernemental, il sera nécessaire de créer un fonds spécial pour financer ces travaux, puis lancer un appel d'offres pour sélectionner les meilleures solutions de différents pays et concevoir un vaisseau spatial de surveillance.

"On pourrait ainsi identifier la région d'impact au moins quelques heures avant la chute du corps céleste et avertir la population afin qu’elle soit évacuée. C'est une question d'informations initiales", remarque le directeur général du Centre de défense de la planète.

 

Par ailleurs, une autre source du secteur spatial doute que la Russie puisse réaliser un tel projet, ajoutant que le pays pourrait lui-même résoudre uniquement des questions d'ordre privé.

 

Selon cette source, on ne peut pas affirmer que les corps célestes tels que la météorite de Tcheliabinsk peuvent être suivis.

 

La protection de la planète contre des corps célestes est devenue très pertinente après la chute de météorite dans la région de Tcheliabinsk le 15 février : une pluie de météorite s'était produite dans les régions de Tcheliabinsk, de Sverdlovsk, de Tioumen et de Kourgan. 1 500 personnes ont subi un préjudice suite à cette catastrophe naturelle.

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 08:40

http://m.ruvr.ru/data/2013/03/13/1341853194/4o_693646.jpg

 

13.03.2013 Lada Korotoune, Rédaction en ligne - La Voix de la Russie

 

Un programme de lutte contre les menaces spatiales verra le jour en Russie vers la fin de cette année. La nouvelle a été annoncée par le chef de l'agence Roskosmos, Vladimir Popovkine. Prenant la parole à la chambre haute du parlement russe, il a évoqué la mise en place d'un centre d'alerte et de défense contre les menaces spatiales.


Ces derniers jours l'humanité a été vivement sensibilisée par de telles menaces. Le 15 février le monde entier a été bouleversé par l'information sur le météorite de Tcheliabinsk. Celui-ci, telle une bulle de feu, est entré dans l'atmosphère au-dessus du Kazakhstan, a traversé le ciel de plusieurs régions de Russie et est tombé dans la région de Tcheliabinsk. Les vitres de nombreuses maisons ont été soufflées par l'onde de choc. Des centaines de blessés se sont adressés à des hôpitaux. Le bolide brûlant a effrayé les habitants de la Terre. Il a montré que les menaces émanant d'astéroïdes étaient en effet réelles, est convaincu Boris Choustov, directeur de l'Institut d'astronomie de l'Académie des sciences de Russie .

 

« Une quantité immense de corps d'origine naturelle tombe sur la Terre. Leur masse est évaluée à plusieurs dizaines de tonnes par jour. La majeure partie est constituée par la poussière ne présentant aucune menace. La limite inférieur d'un corps céleste dangereux est de l'ordre de 40 à 50 mètres : telle était la taille approximative du météorite de la Toungouska. L'énergie moyenne produite par la collision d'un tel corps avec la Terre est comparable à l'énergie d'explosion d'une puissante bombe thermonucléaire.

 

A l'heure actuelle les spécialistes russes proposent de mettre au point un système mondial de surveillance des corps célestes et, le cas échéant, de destruction d'astéroïdes dangereux, dit Vladimir Popovkine.

 

A notre avis, la tâche prioritaire consiste à rehausser l'efficacité des instruments d'observation des petits corps célestes et des déchêts spatiaux en vue de détecter et de cataloguer toutes les menaces spatiales éventuelles à la Terre. Plusieurs autres mesures sont également indispensables. Il faut développer et rendre opérationnels les mécanismes d'actions sur les corps célestes et les engins spatiaux pouvant présenter un danger. Il faut, en plus, organiser des missions d'études vers les astéroïdes et comètes en vue de préciser leurs dimensions, leur orbite, d'entraîner des manoeuvres autour du corps céleste et de se doter de moyens de changer leur trajectoire. Le choix de l'action concrète doit tenir compte de la masse et de la composition de l'objet.

 

Les spécialistes russes proposent de mettre au point un système de surveillance des astéroïdes près de la Lune. Ils veulent notamment lancer trois observatoires pour suivre le déplacement de gros objets célestes, explique le président du groupe spatial Energuia Vitali Lapota.

 

« Près de la Lune il y a des points de Lagrange (les endroits où les engins spatiaux seront immobiles par rapport au système Terre-Lune). Le déploiement de trois sondes dans ces endroits à 400 000 kilomètres de la Terre permettra de surveriller simultanément les astéroïdes à partir de trois points différents. Mais notre pays n'est pas en mesure de le réaliser seul. Cela doit être une puissante coopération internationale.

 

Pour neutraliser les objets célestes il faut trois types d'appareils spatiaux : des satellites d'observation, des satellites de reconnaissance et des satellites d'interception, estime le directeur du Centre de la défense planétaire Anatoli Zaïtsev.

 

Des appareils de reconnaissance doivent être lancés une fois la menace répérée. Ensuite vient le tour d'un appareil d'interception équipé de mécanismes de destruction cinétiques ou nucléaires. Le lancement peut être effectué par la fusée russo-ukrainiene Zenit dont le délai de préparation au tir est record. Un tel train de mesures nous permettra de protéger la Terre contre les objets mesurant de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de mètres, soit 99,5 % des astéroïdes se rapprochant de la Terre.

 

Il est prévu d'utiliser des missiles balistiques intercontinentaux pour acheminer les appareils de destruction, note Oleg Choubine, directeur adjoint du département s'occupant du développemnt et des essais des munitions nucléaires et des dispositifs énergétiques militaires au sein de l'agence Rosatom.

 

« L'onde de choc de l'explosion nucléaire détruira l'astéroïde en des fragments de moins de 10 mètres. Les fragments relativement peu nombreux qui atteindront l'atmosphère s'exploseront dans ses couches supérieures étant donné leur taille suffisamment petite. Une telle interception produira un effet visuel grandiose, mais ne présentera aucun danger à la population.

 

Les scientifiques précisent qu'il est nécessaire d'exclure l'utilisation possible de l'arme spatiale sous forme de défense contre des astéroïdes. Cela demandera l'adoption de documents internationaux appropriés excluant toute éventualité d'essais et de déploiement des armes dans l'espace.

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 17:50

Galileo.svg

 

March 13, 2013 defense-aerospace.com

(Source: European Space Agency; issued March 12, 2012)

 

Europe’s new age of satellite navigation has passed a historic milestone – the very first determination of a ground location using the four Galileo satellites currently in orbit together with their ground facilities.

 

This fundamental step confirms the Galileo system works as planned.

 

A minimum of four satellites is required to make a position fix in three dimensions. The first two were launched in October 2011, with two more following a year on.

 

“Once testing of the latest two satellites was complete, in recent weeks our effort focused on the generation of navigation messages and their dissemination to receivers on the ground,” explained Marco Falcone, ESA’s Galileo System Manager.

 

This first position fix of longitude, latitude and altitude took place at the Navigation Laboratory at ESA’s technical heart ESTEC, in Noordwijk, the Netherlands on the morning of 12 March, with an accuracy between 10 and 15 metres – which is expected taking into account the limited infrastructure deployed so far.

 

This fix relies on an entirely new European infrastructure, from the satellites in space to the two control centres in Italy and Germany linked to a global network of ground stations on European territory.

 

“The test of today has a dual significance: historical and technical,” notes Javier Benedicto, ESA’s Galileo Project Manager.

 

“From the historical perspective, this is the first time ever that Europe has been able to determine a position on the ground using only its own independent navigation system, Galileo.

 

“From the technical perspective, generation of the Galileo navigation messages is an essential step for beginning the full validation activities, before starting the full deployment of the system by the end of this year.”

 

With only four satellites for the time being, the present Galileo constellation is visible at the same time for a maximum two to three hours daily. This frequency will increase as more satellites join them, along with extra ground stations coming online, for Galileo’s early services to start at the end of 2014.

 

With the validation testing activities under way, users might experience breaks in the content of the navigation messages being broadcast. In the coming months the messages will be further elaborated to define the ‘offset’ between Galileo System Time and Coordinated Universal Time (UTC), enabling Galileo to be relied on for precision timing applications, as well as the Galileo to GPS Time Offset, ensuring interoperability with GPS. In addition, the ionospheric parameters for single frequency users will be broadcast at a later stage.

 

A European partnership

 

The definition phase and the development and in-orbit validation phase of the Galileo programme were carried out by ESA and co-funded by ESA and the European Community.

 

The Full Operational Capability phase is managed and fully funded by the European Commission. The Commission and ESA have signed a delegation agreement by which ESA acts as design and procurement agent on behalf of the Commission.

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 13:20

Wideband Global SATCOM Block II

WGS satellite

 

13 March 2013 airforce-technology.com

 

Boeing has delivered the fifth Wideband Global SATCOM (WGS-5) military communications satellite to the US Air Force (USAF), for its planned launch from the Cape Canaveral Air Force Station in Florida, US, in 2013.

 

Scheduled to be launched aboard a United Launch Alliance Delta IV rocket, the satellite will now undergo preflight checkout, fuelling and integration testing at the Astrotech payload processing facility, in Titusville, Florida, US.

 

Representing the second satellite to be procured under the upgraded Block II series contract, the WGS-5 is designed to enable the USAF to rapidly transmit airborne intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR) imagery, ensuring instant and secure global connectivity.

 

The satellite features a switchable radio frequency bypass, which sends imagery approximately three-times faster compared to the data rates presently available to the US Department of Defense (DoD).

 

The WGS-6 Block II WGS satellite has already completed testing and is currently in storage awaiting its scheduled launch in the middle of 2013.

 

Ordered by the USAF under a Block II follow-on contract in August 2010, WGS-7 to 10 satellites are currently in various stages of development.

 

Boeing Space & Intelligence Systems vice president and general manager Craig Cooning said the company is working closely with the USAF to follow a commercial operating model on the Block II follow-on contract.

 

"This new model has saved the air force more than $150m without compromising mission assurance," Cooning added.

 

Built on the Boeing 702HP platform, WGS satellites are designed to support missions including to and fro tactical communications between ground forces and the relaying of data and imagery from airborne ISR platforms.

 

Equipped with efficient xenon-ion propulsion, deployable thermal radiators and advanced triple-junction gallium-arsenide solar arrays, the satellites also facilitate interconnection between terminals operating in different frequency bands and reposition coverage beams as per mission requirements.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 21:24

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/ae/James_R._Clapper_official_portrait.jpg/480px-James_R._Clapper_official_portrait.jpg

 

WASHINGTON, 12 mars - RIA Novosti

 

Au cours des prochaines décennies, les activités spatiales des Etats-Unis pourraient se heurter à une riposte de la part de certains pays, dont la Russie et la Chine, indique le rapport présenté mardi au Sénat américain par le directeur du renseignement national James Clapper.

 

"Les menaces pesant sur les projets spatiaux des Etats-Unis continueront à augmenter au cours des prochaines décennies", lit-on dans le rapport de M. Clapper consacré aux menaces actuelles.

 

"Les systèmes spatiaux et leurs infrastructures assurent un large éventail de services vitaux: le positionnement, la navigation, le calcul du temps, le renseignement, la surveillance et la reconnaissance. Ces services ont tous une importance vitale pour notre science, notre économie, notre société et notre armée. Conscients de notre leadership, d'autres pays conçoivent leurs propres stratégies visant à limiter ou à bloquer notre accès à l'Espace", souligne le document.

 

Selon le chef du renseignement américain, il s'agit en premier lieu de la Russie et de la Chine, adversaires traditionnels des Etats-Unis.

 

"En 2007, la Chine a testé un système de destruction des satellites en orbite, et en 2009, un militaire russe a déclaré dans un article publié par les médias que Moscou concevait des systèmes de riposte spatiale", indique le rapport sans citer le nom du militaire russe, le titre de l'article ainsi que le média qui l'a publié.

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 08:40

GLONASS source Ria Novisti

 

MOSCOU, 27 février - RIA Novosti

 

Le Kazakhstan envisage de déployer d'ici 2015 sur son territoire un équivalent du système russe de navigation par satellites GLONASS, indique un communiqué mis en ligne sur le site du gouvernement russe.

 

Le vice-premier ministre russe Vladislav Sourkov et son homologue kazakh Kaïrat Kelimbetov ont évoqué mardi la coopération entre les deux pays visant à mettre en place au Kazakhstan un système de navigation créé sur la base du GLONASS russe.

 

Baptisé ERA-GLONASS, le système kazakh servira à localiser les accidents de la route et à en informer rapidement les autorités. Les infrastructures nécessaires au fonctionnement des navigateurs kazakhs doivent être déployées d'ici fin 2013.

 

Créé en 1993, le système GLONASS (GLObal NAvigation Satellite System, l'équivalent du GPS américain) est destiné à déterminer les coordonnées des objets sur terre, sur mer, dans l'air et dans l'espace avec une marge d'erreur d'un mètre. Il couvre l'ensemble du globe depuis décembre 2011. L'accès aux signaux civils du GLONASS est gratuit et illimité pour les utilisateurs russes et étrangers.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 18:20

GPS-III-Satellite-feb-2013.jpg

 

Feb 26, 2013 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

    GPS III Program Transitions from Cost-Plus to Fixed-Price Contract Structure

 

The U.S. Air Force has awarded Lockheed Martin [NYSE: LMT] two fixed-price contracts totaling $120 million to procure long lead parts for the fifth, sixth, seventh and eighth next generation Global Positioning System satellites, known as GPS III.

 

The GPS III program will affordably replace aging GPS satellites while improving capability to meet the evolving demands of military, commercial and civilian users. GPS III satellites will deliver better accuracy and improved anti-jamming power while enhancing the spacecraft’s design life and adding a new civil signal designed to be interoperable with international global navigation satellite systems.

 

“The GPS III program was laid out at the very beginning to reduce risk early and facilitate affordable satellite production over the long term,” said Lt Col Todd Caldwell, the U.S. Air Force’s GPS III program manager. “This most recent award and our team’s ability to convert the contract structure to fixed price is a sign that we are on track to meet the affordability objectives and commitments we originally set out to achieve.”

 

Incorporating lessons learned from previous GPS programs, the Air Force initiated a “back-to-basics” acquisition approach for GPS III. The strategy emphasizes early investments in rigorous systems engineering, industry-leading parts standards, and the development of a full-size GPS III satellite prototype to significantly reduce risk, improve production predictability, increase mission assurance and lower overall program costs. These investments early in the GPS III program are designed to prevent the types of engineering issues discovered on other programs late in the manufacturing process or even on orbit.

 

“The Air Force’s back-to-basics acquisition strategy and the progress we have already made on our GPS III prototype gives us high confidence in our ability to perform efficient and affordable fixed-price satellite production going forward,” said Keoki Jackson, vice president of Lockheed Martin’s Navigation Systems mission area. “As our world becomes increasingly dependent on GPS technology, the new GPS III satellites will be a critical element of both our national and economic security, and we are committed to achieving mission success for the billions of military, commercial and civilian users worldwide.”

 

Lockheed Martin is currently under contract for production of the first four GPS III satellites, and will now begin advanced procurement of long-lead components for the fifth, sixth, seventh and eighth satellites. The Air Force plans to purchase up to 32 GPS III satellites.

 

The GPS III team is led by the Global Positioning Systems Directorate at the U.S. Air Force Space and Missile Systems Center. Lockheed Martin is the GPS III prime contractor with teammates ITT Exelis, General Dynamics, Infinity Systems Engineering, Honeywell, ATK and other subcontractors. Air Force Space Command's 2nd Space Operations Squadron (2SOPS), based at Schriever Air Force Base, Colo., manages and operates the GPS constellation for both civil and military users.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 17:20

http://www.45enord.ca/wp-content/uploads/2012/10/IS2012-6014-06-642x427.jpg

Vue d’ensemble du satellite Sapphire dans un environnement contrôlé de purge à l’azote.

(Photo: Sergent G. Racine, Caméra de combat des Forces canadiennes, © 2012 DND-MDN)

 

25/02/2013 par Nicolas Laffont  - 45enord.ca

 

Après plusieurs tentatives, le premier satellite militaire canadien a finalement été lancé ce lundi 25 février, depuis Sriharikota, en Inde, par l’Organisation indienne de recherche spatiale.

 

59 heures après le début du compte à rebours, c’est a 18h01, heure locale (7h31, heure de Montréal), que le lanceur indien PSLV-C20 a emmené avec lui sept satellites, dont Sapphire, le premier satellite militaire canadien. Il a été mis en orbite 22 minutes après le décollage.

 

«Le lancement de Sapphire garantit la coopération continue des Forces armées canadiennes avec d’autres pays dans le domaine de la surveillance spatiale», a déclaré le vice‑amiral Bruce Donaldson, vice-chef d’état-major de la Défense. «Ce jalon marque une autre étape importante dans la réduction des menaces pour nos capacités spatiales critiques.»

 

Sapphire a pour but de compléter le Space Surveillance Network des États-­Unis, qui a pour mission de détecter, suivre, cataloguer et identifier des objets artificiels en orbite autour de la Terre.

 

NOTRE DOSSIER SUR LE SATELLITE SAPPHIRE >>

 

En interview pour 45eNord.ca, le colonel André Dupuis, directeur du programme spatial des Forces canadiennes a dit être « très content du lancement réussi du satellite».

 

L’entrepreneur principal, MacDonald, Dettwiler and Associates, Ltd., va désormais s’assurer que le satellite répond à toutes les exigences de rendement. Une fois cette phase terminée, le ministère de la Défense nationale procédera à une phase d’essais opérationnels et d’évaluation.

 

Le colonel Dupuis a indiqué espérer que le satellite transmette sa first light (la première transmission) d’ici deux ou trois semaines. On prévoit que Sapphire pourra commencer à contribuer au réseau d’ici juillet 2013, sans doute avant le début de l’été.

 

La Défense ne va toutefois pas se reposer sur ses lauriers et va commencer la planification pour le futur successeur de Sapphire, qui devrait le remplacer, au plus tôt dans cinq ans.

 

Sachant qu’un autre satellite avait une durée de vie de trois ans et a duré 12 ans, le colonel Dupuis espère bien que Sapphire vivra donc plus longtemps que ce qui est prévu.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 16:20
satellite canadien Sapphire
OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 25 fév. 2013)
Sapphire, le tout premier satellite militaire opérationnel spécialisé du Canada a été lancé avec succès aujourd'hui à Sriharikota, en Inde, par l'Organisation indienne de recherche spatiale.

"C'est avec grand plaisir que je vous annonce le lancement réussi du satellite canadien Sapphire", a déclaré le ministre de la Défense Peter MacKay. "L'investissement dans le satellite Sapphire est judicieux, puisqu'il aidera à protéger des milliards de dollars en biens spatiaux dans différents domaines, comme les télécommunications, la météorologie, les activités de recherche et sauvetage et les systèmes mondiaux de localisation."

Le satellite canadien Sapphire, un capteur électro-optique spatial, permettra de suivre des objets créés par l'humain en haute orbite terrestre afin d'améliorer la connaissance du Canada de la situation spatiale. Les données obtenues de Sapphire vont contribuer au Space Surveillance Network des Etats-Unis, rehaussant ainsi la capacité de ces deux pays à détecter des objets orbitaux et à éviter les collisions entre ces derniers et les plateformes spatiales essentielles. La contribution du Canada assure aussi l'accès aux données orbitales sur les objets spatiaux.

"Le lancement de Sapphire garantit la coopération continue des Forces armées canadiennes avec d'autres pays dans le domaine de la surveillance spatiale", a précisé le vice-amiral Bruce Donaldson, vice-chef d'état-major de la Défense. "Ce jalon marque une autre étape importante dans la réduction des menaces pour nos capacités spatiales critiques."

Sapphire passe maintenant à la phase de mise en service. Au cours de cette dernière, l'entrepreneur principal, MacDonald, Dettwiler and Associates, Ltd., s'assurera que le satellite répond à toutes les exigences de rendement. Une fois cette phase terminée, le ministère de la Défense nationale procédera à une phase d'essais opérationnels et d'évaluation. On prévoit que Sapphire pourra commencer à contribuer au réseau d'ici juillet 2013.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la connaissance de la situation spatiale et le satellite Sapphire
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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 08:55

 http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/terre-images/images-articles/serval-mission-transmission/2180382-1-fre-FR/serval-mission-transmission.jpg

photo EMA - opération Serval au Mali

 

13 february 2013 astrium.eads.net/

 

• The French defence procurement agency (DGA) has selected Astrium Services and Actia Sodielec to create the system “Comcept”, France’s first full-IP military ultra-fast broadband satellite communications network

 

• Comcept will complement the capabilities provided by the French Ministry of Defence’s Syracuse satellite system

 

• Thanks to Comcept, the French armed forces will be among the first in the world to be equipped with a military satcom network operating in Ka-band, the frequency range of the future

 

• Astrium has unique expertise in new Ka-band satellite communications networks, acquired notably through its work on the United Arab Emirates’ Yahsat system and Eutelsat’s KA-SAT satellite

 

13 February 2013 - Astrium, Europe’s leading space technology company, and its partner Actia Sodielec, specialists in military telecommunications, have been awarded the Comcept contract by the French defence procurement agency (DGA). The contract will run for 17 years.

 

As of 2014, Comcept will provide the French armed forces with access to additional broadband satellite capacity over and above that provided by the existing Syracuse system. Comcept will mainly utilize capacity on the French-Italian satellite Athena-Fidus – scheduled for launch within the next 12 months – and will also be compatible with future commercial satellite networks operating in Ka-band, which will provide global coverage.

 

Through Comcept, the French army, air force and navy will benefit from a network of fixed and deployable ground stations, the latter deployable both in France and in theatres of operation, allowing them to exchange data, videos and telephone communications using latest-generation, full-IP (Internet Protocol) technology. The contract also provides for the option of equipping vehicles, ships, planes and drones with built-in mobile stations.

 

Comcept is designed to provide the French armed forces with a Ka-band ground segment for secure ultra-fast broadband communications by satellite. It will become the first military network of its type in Europe, and will make use of the latest IP network solutions on the market, while also optimizing costs.

 

“Having built the Yahsat system for the armed forces of the United Arab Emirates and the KA-SAT satellite for Eutelsat, Astrium is a key player in new satellite networks operating in Ka-band, the frequency range of the future,” said Astrium Services’ Chief Technical Officer Eric Soulères. “Thanks to Comcept, the French armed forces will join their American and UAE counterparts in a very select group of armed forces who have military Ka-band networks.”

 

Astrium Services is the prime contractor for Comcept in France and will also be responsible for the engineering and testing of the system. For the duration of the contract (17 years), the company will also ensure the system remains operational and secure. Astrium will be working in partnership with its co-contractor Actia Sodielec, a medium-sized company specialising in satellite telecommunications and supplier to the French Ministry of Defence. Actia Sodielec will be in charge of the engineering, integration and operational maintenance of the ground stations.

 

To bring the Comcept project to fruition, Astrium will draw on its unique Ka-band expertise, unrivalled in France, acquired while building the Yahsat system for the armed forces of the United Arab Emirates and Eutelsat’s KA-SAT satellite, which provides internet services across Europe. The world’s leading military satellite telecommunications provider, Astrium Services’ customer portfolio includes some of the world’s most modern armed forces, including the UK, France, Germany, the USA and NATO.

 

Astrium Services has been developing and delivering innovative solutions and services to the French Ministry of Defence for many years. For example, since 2005, Astrium Services has been providing a range of satellite telecommunication services to the French armed forces under the ASTEL convention, a framework agreement with DIRISI, the joint directorate of infrastructure networks and information systems responsible for the management of military satellite communication services. And since 2008 Astrium has also been providing communication services for French military personnel deployed on overseas missions, enabling servicemen and women to keep in touch with their families and friends through an Internet portal called “Escale des Armées” (previously known as “Passerel”). Moreover, in 2008, the DGA awarded a contract to Astrium Services for the development of the Telcomarsat naval satellite communication system.

 

For more information on Astrium Services’ military satellite communications systems, go to: www.astriumservices.com

 

About Astrium

 

Astrium is the number one company in Europe for space technologies and the third in the world. In 2011, Astrium had a turnover close to €5 billion and 18,000 employees worldwide, mainly in France, Germany, the United Kingdom, Spain and the Netherlands.

 

Astrium is the sole European company that covers the whole range of civil and defence space systems and services.

 

Its three business units are: Astrium Space Transportation for launchers and orbital infrastructure; Astrium Satellites for spacecraft and ground segment; Astrium Services for comprehensive fixed and mobile end-to-end solutions covering secure and commercial satcoms and networks, high security and broadcast satellite communications equipment and systems, and bespoke geo-information services, worldwide.

 

Astrium is a wholly owned subsidiary of EADS, a global leader in aerospace, defence and related services. In 2011, the Group – comprising Airbus, Astrium, Cassidian and Eurocopter – generated revenues of € 49.1 billion and employed a workforce of over 133,000.

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 07:35

beidou-launch-long-march-3c-rocket-xichang-lg

 

February 13, 2013:  Strategy Page

 

This year China expects to launch 20 satellites and by the end of the decade have 200 satellites in orbit (about a fifth of the total and nearly half as many as the United States). At that point China expects to be launching 30 satellites a year and accounting for over a quarter of the worldwide launch capability. All this momentum has been the result of a quarter century of effort and an enormous spurt of activity in the last two years. In the two decades after 1990, China has carried out 30 commercial satellite launches, putting 36 satellites in orbit. Now China puts that many satellites up in 18 months.

 

China's main satellite launcher, the "Long March" rocket, is based on Russian designs, meaning it is simple, cheap, and reliable. This has made China a major player in the satellite launching business. China competes on price. The U.S. Space Shuttle was retired because it was the most expensive way get stuff into orbit. Satellites sent up via the Space Shuttle cost $25 million a ton. The Russians and Chinese will do it for $3-6 million a ton. But insurance can more than double that cost if there have been a number of recent failures with Russian and Chinese boosters. This keeps more reliable American and European boosters in business. The Long March has a failure rate of about six percent, which was a little higher than twice the rate for the most used Russian launcher. The Space Shuttle failure rate was two percent, as were most Western satellite launchers.

 

 The Chinese Long March can put 9.5 tons in low earth orbit and 5.5 tons in a high one (geostationary transfer orbit). The Chinese took their time to perfect Long March, requiring 28 years to make the first fifty launches and nine years for the next fifty. So far, Long March has carried out some 164 launches so far.

 

Some 900 active satellites are in orbit, and nearly half of them are American. About 75 percent of all satellites are non-military (most of them commercial, the rest government non-military birds). The Russian Sputnik was the first satellite ever put in orbit, in 1957. The U.S. followed in 1958. Since then, ten other nations have done the same. France launched its first satellite in 1965, Japan and China in 1970, Britain in 1971, and India in 1980. Israel launched its first satellite in 1988. Ukraine did so in 1995. Iran claims to have put a satellite in orbit recently, but there is no conclusive proof. North Korea put a dead (non-responsive) satellite up in December 2012, and South Korea followed with a successful launch of a very active satellite a month later.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 20:30

http://a395.idata.over-blog.com/300x210/4/22/09/08/France/Defense-Spatiale-FR/Syracuse-III/Syracuse-III.jpg

Syracuse-III

 

13.02.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Le ministère de la Défense a signé un contrat de 17 ans, avec Astrium et son partenaire Actia Sodelec pour la mise en oeuvre des communications satellitaires à très haut débit des forces armées.

 

Valeur totale finale (H.T.) de ce contrat: 221 360 500€ selon l'avis.

 

Ce contrat, baptisé Comcept, permettra aux forces armées d'échanger à partir du second semestre 2014, des données, des vidéos, et des communications téléphoniques en technologie IP (internet protocol), en opérations à l'extérieur et sur le territoire national.

 

Le contrat prévoit à terme 660 stations au sol. Les vingt premières stations ont été commandées en décembre. Comcept sera complémentaire de l'actuel réseau de satellites Syracuse des armées françaises. Il utilisera le satellite franco-italien Athena-Fidus, fabriqué par Thales Alenia Space (co-entreprise du français Thales et de l'italien Finmeccanica) et qui doit être lancé cette année, et les capacités de transmission de satellites commerciaux.

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 08:55

50e-lancement-d-ariane-5-sous-la-protection-des-fag

 

 

5 février 2013 comptes-publics.fr

 

Mardi 5 février 2013, en séance publique au Sénat, discussion du projet de loi autorisant l’approbation de l’accord entre le gouvernement de la République française et l’Agence spatiale européenne relatif au Centre spatial guyanais et aux prestations associées (14h30).

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 08:35

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Feb 05, 2013 (SPX)

 

Annapolis, MD -  TeleCommunication Systems, Inc. has received an order from the Australian Defence Science and Technology Organisation (DSTO) for its Very Small Aperture Terminal (VSAT) satellite systems.

 

The DSTO is the Australian government's lead agency charged with applying science and technology to protect and defend Australia and its national interests and delivers expert, impartial advice and innovative solutions for defense and other elements of national security.

 

TCS VSAT systems provide multimedia communications capabilities which convey encrypted voice, video and data.

 

Highly transportable and ruggedized, TCS VSAT systems also have a graphical user interface that facilitates easy set-up and operation.

 

The modularity and plug-and-play interfaces between all radio frequency (RF) and baseband configurations inherent to the product line result in communication solutions tailored to the end-user's specific needs.

 

Michael Bristol, senior vice president and general manager of government solutions for TCS, said, "The Australian Defence Science and Technology Organisation recognizes the importance of secure, reliable and easily deployable satellite communications systems, such as our WGS-certified VSAT satellite systems. We look forward to helping them achieve mission success with this proven communications solution."

 

For the past 25 years, TCS has established a proven track record as a trusted provider of communication technology solutions to solve the government's toughest technical challenges, under conditions that demand the highest level of reliability, availability and security.

 

To ensure mission continuity and to meet the need for more flexible, mobile wireless services, TCS TotalCom offers deployable, highly secure communication solutions and complete end-to-end managed services for converged (IP-based) voice, video and data solutions to organizations requiring seamless and secure connectivity between fixed sites and remote operations around the world.

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 08:20

us army logo

 

Feb 01, 2013 (SPX)

 

Seattle WA - Andrews Space (Andrews) has announced that they have been funded by the US Army Space and Missile Defense Command to design and deliver a Kestrel Eye Block 2 Earth imaging spacecraft as part of the Army's Kestrel Eye program.

 

Under the current effort, known as Kestrel Eye Block 2, Andrews will develop, build and deliver an Earth imaging nanosatellite.

 

The spacecraft embodies a paradigm shift to lower-cost, higher persistence overhead reconnaissance capabilities. While not meant to replace traditional imaging assets, Kestrel Eye Block 2 seeks to augment the current approach to remote sensing by demonstrating the application of low-cost, commercial technologies to enable a new tier of reconnaissance capability.

 

The overall Army effort is a Joint Capability Technology Demonstration (JCTD) that requires the demonstration program be completed in 24 months, or 2014.

 

Incremental subsystem hardware demonstrations will occur regularly during development to build confidence in the system and assess subsystem performance against threshold objectives and goals.

 

"We are deeply honored that the US Army SMDC has selected Andrews Space for this important program," said Jason Andrews, President and CEO of Andrews Space.

 

"We look forward to demonstrating that low-cost, persistent imagery is achievable and repeatable utilizing commercial technologies, and that this platform can provide a valuable new tier of imaging capability to traditional reconnaissance missions."

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 17:50

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31/01/2013 Michel Cabirol– LaTribune.fr

 

Le programme Ariane 6, s'il était confirmé en 2014, pourrait entraîner un vaste plan de restructuration de la filière lanceur en Europe, qui emploie 10.000 personnes.

 

Avec le futur lanceur low cost européen Ariane 6, dont le modèle est Falcon 9 développé par l'américain SpaceX, le ton est donné. L'Europe et la France ont décidé de réduire la voilure du point de vue financier -mais aussi, par voie de conséquence, aux niveaux technologique et industriel- par rapport à Ariane 5, qui est un bijou technologique aujourd'hui bien maîtrisé, après un début d'exploitation pour le moins compliqué. Le choix a été acté à la conférence ministérielle des Etats membres de l'Agence spatiale européenne (ESA), les 20 et 21 novembre 2012 à Naples. Il devra être ensuite confirmé en 2014 lors de la prochaine conférence ministérielle de l'ESA.

 

"Nous avons repris les fondamentaux de SpaceX, souligne-t-on au CNES, qui est le maître d'oeuvre de la politique spatiale française. On va rationaliser la production qui sera concentrée sur quelques sites". Cela doit entraîner une diminution drastique des coûts fixes du lanceur. Objectif, faire reculer les coûts opérationnels de 40% par rapport à Ariane 5, ce qui est "ambitieux", fait-on valoir. Le coût de développement du lanceur est quant à lui estimé à 4 milliards d'euros, en incluant les coûts de management et 20% de marges liées aux éventuels aléas.

 

Vers un vaste plan de restructuration de la filière lanceur en Europe

 

Le président d'Astrium, François Auque, avait salué lundi lors de la présentation de ses voeux à la presse, comme "une très bonne nouvelle" le démarrage du programme Ariane 6 et la poursuite du développement de la modernisation d'Ariane, avec le programme Ariane 5 ME: ainsi, "la pérennité d'Ariane est assurée à court et à long termes". Pour autant, tout au long de l'année 2012, il s'était beaucoup battu pour que la poursuite du programme Ariane 5 ME soit prioritaire par rapport à Ariane 6. Et pour cause : la charge de travail à court terme pour ses bureaux d'études est supérieure sur le programme de modernisation d'Ariane 5. L'Allemagne défendait aussi cette priorité. Berlin soutenait ainsi très opportunément le site allemand de Brême, où la filiale d'EADS travaille sur l'étage supérieur d'Ariane 5... celui qui doit être modernisé dans le cadre d'Ariane 5 ME. "La modification de l'étage supérieur est essentiellement réalisée en Allemagne", a convenu François Auque.

 

Si aujourd'hui tout le monde semble satisfait, dès 2014 va resurgir la question du partage de la charge de travail entre les différents pays contributeurs au programme Ariane 6, notamment entre la France et l'Allemagne. Plus rustique, Ariane 6 pourrait -à nombre de lancements égal- ne faire vivre que la moitié des 10.000 personnes qui travaillent dans la filière lanceur en Europe, estiment certains experts. A voir. Car il faut pondérer, selon le succès rencontré par Ariane 6 qui pourra éventuellement lancer deux fois plus d'Ariane 5 (lancement double), a expliqué François Auque. Pour indication, Arianespace, qui opère 6 à 7 lancements d'Ariane 5 par an, avait réussi avec Ariane 4 (lancement simple) à réaliser 10 lancements en 1996 et 1998, voire 11 (en 1995 et 1997). "Tout le pari d'Ariane 6 viendra de son succès", a-t-il estimé. Qui dépend de sa compétitivité", a-t-il rappelé.

 

Astrium sera au centre de cette restructuration. En tant que maître d'oeuvre d'Ariane 5, il coordonne une chaîne industrielle regroupant plus de 550 entreprises, dont plus de 20% de PME, dans douze pays européens.

 

L'Allemagne s'interroge

 

Au-delà du succès d'Ariane 6, sa configuration déterminera l'exacte réorganisation de la filière lanceur et son ampleur. "Nous sommes en train de mettre en ordre de marche l'industrie spatiale", confirme-t-on au CNES. Interrogé lundi par la presse allemande sur la répartition de la charge de travail sur le programme Ariane 6, François Auque s'est bien évidemment montré prudent, rappelant que "rien n'était figé dans le détail". Mais il a toutefois glissé que l'Allemagne n'avait pas développé de compétences dans la filière poudre. A l'inverse de la France et de l'Italie. Et de rappeler : "qui paye? Celui qui paye devra trouver X% de charges de travail sur son territoire", à l'aune de sa contribution.

 

Justement: qui paie quoi? A la conférence ministérielle, la France a promis 300 millions d'euros sur les deux programmes Ariane 5 ME et Ariane 6: 88 millions pour Ariane 5 ME, 115 millions pour Ariane 6 et 97 millions pour les développements communs aux deux lanceurs. En revanche, l'Allemagne, pourtant premier contributeur au budget de l'ESA, n'a proposé que 195 millions: 10 millions seulement pour Ariane 6, 77 millions pour Ariane 5 ME et 108 millions pour les développements communs aux deux lanceurs. Enfin, l'Italie a promis près de 26 millions, la Belgique 24 millions, la Suisse 22,4 millions, les Pays-Bas 16,3 millions et l'Espagne 13 millions. Au total, les pays membres de l'ESA ont promis de verser 618,8 millions d'euros pour ces deux programmes pour un total demandé de 671,6 millions. Reste donc 52,8 millions d'euros à trouver

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