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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 10:45
photo EMA / Armée de Terre

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02/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 22 mai 2015, le détachement de liaison et d’appui opérationnel 1 (DLAO 1) a quitté Dirkou, au Nord Niger, après 5 mois de présence.

 

Composé d’éléments du 3e régiment de hussards (RH), du 11e régiment d’artillerie de marine (RAMA), du 13e régiment du génie (RG), du 1er régiment d’artillerie (RA) et du centre médical des armées de Metz, le DLAO 1 assurait la liaison entre la force Barkhane et le commandant du 24e bataillon interarmes nigérien, le colonel Zataka.

 

À ce titre, le DLAO 1 a mené nombre de missions de sécurisation en appui des forces armées nigériennes (FAN), en patrouillant dans la région de Dirkou. Il a également apporté un soutien logistique aux longs convois qui gagnaient la base avancée temporaire de Madama au Nord Niger, et aux aéronefs militaires ravitaillant Dirkou. Enfin, les missions du DLAO 1 l’ont conduit à fournir une assistance opérationnelle auprès des forces armées nigériennes et tchadiennes lors des opérations Kounama 1, en février 2015, et Agrab, en avril 2015.

 

Installé depuis le 24 mai 2015 dans le camp de Diffa, au Sud Niger, le DLAO 1 poursuit sa mission d’appui aux forces partenaires.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 10:45
photo D. Payet - 5e RIAOM

photo D. Payet - 5e RIAOM

 

02/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 2 au 30 mai 2015, une action de partenariat au profit des écoles d’application d’artillerie et de cavalerie a été menée par les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) au centre d’entraînement et d’aguerrissement au désert (CECAD), puis en zone désertique et semi-montagneuse.

 

Le 5e régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM) a organisé un entraînement d’un mois permettant d’engager un groupement tactique interarmes dans un combat en zone désertique. Cette activité a permis également la constitution d’un sous groupement tactique interarmes mixte franco-américain et d’une compagnie d’appui également mixte. Cet entraînement a réuni environ 40 lieutenants des écoles d’application, 250 US Marines de la 24e MEU (unités expéditionnaires de Marines) et plus de 300 militaires du 5e RIAOM qui ont été engagés dans de nombreuses phases de combats et de tirs.

 

Le partenariat était articulé autour de 6 phases : une montée en puissance avec la mise en place d’un point logistique à Arta-plage, une phase d’aguerrissement, un déploiement en base avancée temporaire désert, une campagne de tirs, un exercice en terrain libre, puis une remise en condition du personnel.

 

Le service de santé des armées a conduit un exercice de médicalisation lors de la phase d’entraînement au combat en zone désertique permettant d’évaluer de façon réaliste le personnel de santé sur des techniques de prise en charge des blessés en situation d’insécurité (embuscades ou prises à partie).

 

L’action de partenariat a été particulièrement bénéfique, d’après les stagiaires qui se sont déclarés très satisfaits d’avoir pu développer leurs savoir-faire dans des conditions de situations dégradées, en agissant en « coalition ». Constat qu’ont partagé les autorités militaires, le général Sainte-Claire Deville, commandant les forces terrestres, et le général Royal, commandant les écoles de Draguignan, qui ont assisté à de nombreuses phases d’entraînements de l’exercice Koron 2015.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

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photo D. Payet - 5e RIAOM

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 10:45
photo EMA / Armée de Terre

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Crédit: Etat-major des armées / armée de Terre

 

18 mai 2015, dans le cadre de l'opération Sangaris, le détachement d'hélicoptères Gazelle, du sous-groupement aéromobile (SGAM) Barracuda, a effectué plusieurs reconnaissances d'axes au profit des GTIA Vercors et Turco qui menaient des missions de contrôle de zone avec la MINUSCA.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

 

Reportage photos

 

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 10:45
Algeria: ISIL And Desperate Measures

 

May 25, 2015: Strategy Page

 

In the last week troops searching Bouira province (120 kilometers southeast of the capital) have found two weapons caches containing machine-guns, rifles, RPGs, grenades, ammo, 13 bombs,  components for 31 more bombs and various items of military equipment. This comes in the wake of two clashes on the 19 th and 20th that left 25 Islamic terrorists dead. The troops were specifically searching for a base where they believed a meeting of ISIL members was being held. This gathering was discovered and troops were able to carry out a surprise attack that left 22 Islamic terrorists dead. Pursuit of the survivors left another three dead on the following day.

 

This area has been a base for Islamic terrorists since the 1990s and most of the Islamic terrorists in the area were known locally as Jund al Khalifa and long affiliated with AQIM (Al Qaeda in the Islamic Maghreb). In September 2014 this group renounced its ties to al Qaeda and declared its allegiance to ISIL. Only two months before that AQIM leaders had reaffirmed their allegiance to al Qaeda and condemned ISIL, which had recently declared a new caliphate (Islamic empire run by ISIL). Since joining ISIL Jund al Khalifa has become a lot more violent. Small groups of AQIM have been hiding out in the coastal mountains east of the capital for years and troops and police are constantly searching the thinly populated mountains and forests of Bouira province.

 

In the wake of these Jund al Khalifa losses the government announced that only small remnants of Islamic terrorist groups remained in the country. So far this year 59 Islamic terrorists have been killed compared to about 100 for all of 2014.

 

Since April the army has increased patrols on the borders with Libya, Mali and Niger. This is to stop or discourage smugglers in general and Islamic terrorists in particular. Since early April this effort has led to nearly 700 arrests. Troops have also seized lots of contraband, including weapons and explosives. The patrols have also seized caches of good the smugglers leave near the border for other groups to pick up and move to customers inside Algeria.

 

Algeria is cooperating with Interpol to update their border control databases with information apparently captured from ISIL in Syria and Iraq about thousands of ISIL members. Interpol wants help in identifying these people and obtaining any background information on them. This is part of a growing international effort to share data on Islamic terrorists in order to interfere with their movement and help lead to the capture (or killing) of these terrorists.

 

May 19, 2015: In the southwest (Adrar Province near the Morocco border) soldiers found a smuggler hideout where smuggled items were hidden. Troops seized ten AK-47s, an RPG 7 rocket launcher (with three rocket grenades), five radios and over a thousand rounds of ammunition. It’s unclear if these items were headed for Algeria or Morocco.

 

May 18, 2015: Officials met with the commander of AFRICOM to discuss cooperation with American efforts to deal with Islamic terrorism in North Africa and especially Libya.

 

May 16, 2015: Southern neighbor Mali signed a peace deal with Tuareg rebels. These Tuareg rebels and Islamic terrorists (from Mali and neighboring countries) took over most of northern Mali in 2012 and remained in control until a 2013 French-led invasion restored government control. Most of the Islamic terrorists were killed or fled to Libya and Niger. Algeria beefed up its security on its Mali border and hosted several rounds of peace negotiations between the government and the rebels. Not all rebels signed the peace deal and some are still fighting.

 

May 14, 2015: Across the border near the mountain town of Kasserine Tunisian soldiers killed four Islamic terrorists. Army and police patrols have been scouring the area since the March terror attack in the Tunisian capital that left 22 dead (most of them foreign tourists). 

 

Islamic terrorist leader Mokhtar Belmokhtar, a founder of Islamic terror group Al Mourabitoun has apparently been replaced as leader of Al Mourabitoun. This became clear when Al Mourabitoun recently announced it was joining ISIL and that Internet announcement was followed by one from Belmokhtar disagreeing with the decision to leave AQIM for ISIL. But the ISIL move was later confirmed and so was the fact that Belmokhtar was no longer in charge at Al Mourabitoun, which is currently based in southern Libya. Belmokhtar is the Algerian Islamic terrorist responsible for the January 2013 natural gas facility attack in southern Algeria that got 37 workers killed. Al Mourabitoun was formed in August 2013 when two Islamic terrorist factions merged and pledged allegiance to AQIM. For a while Al Mourabitoun was detected operating in northern Mali and Niger. One faction was an al Qaeda splinter group led by Belmokhtar who had a reputation for always escaping the many efforts to kill or capture him. Belmokhtar was number two or three in AQIM but formed his own splinter group in late 2012. The French and American pressure in Mali and the Sahel left Belmokhtar short of cash and prospects, so returning to al Qaeda was a way to remedy those problems. Al Qaeda has always had access to more cash and other resources than most other terrorist organizations and that’s why it remains such a visible player. Belmokhtar denounced ISIL as being religiously unfit, but he might also be concerned about that fact that ISIL is in a much more precarious financial position than AQIM.

 

May 12, 2015: In Batna (500 kilometers east of the capital) Islamic terrorists ambushed and killed four local village defense volunteers. AQIM is still active in this area and attacks the defense volunteers whenever possible because these groups hinder movement by Islamic terrorists by manning roadblocks and reporting suspicious activity to the security forces. Elsewhere along the coast (Ain Defla, 100 kilometers west of the capital) soldiers ambushed and killed two Islamic terrorists.

 

May 9, 2015:  Another AQIM faction (Katiba Skikda) declared allegiance to ISIL. Based east of the capital, near the Tunisian border, Katiba Skikda is one of the many Islamic terrorist groups facing elimination because of years of pressure from the security forces and lack of public support. That means fewer new recruits and constant shortages of cash and supplies. ISIL is seen as a higher profile group that uses new tactics (more savage violence) to get results where al Qaeda tactics have failed. To many counter-terrorism experts these moves to ISIL seem more an act of desperation than anything else.

 

May 7, 2015: About a hundred kilometers east of the capita (Tizi Ouzou) troops came upon eight bunkers apparently built and still used by Islamic terrorists. The soldiers recovered weapons and other equipment. Further east (Skikda, 500 kilometers east of the capital) troops found 25 bombs hidden by Islamic terrorists.

 

May 3, 2015: Troops killed three Islamic terrorists in Bouira province (120 kilometers southeast of the capital). Near Ain Defla (100 kilometers west of the capital) soldiers killed two Islamic terrorists over the last two days.

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 10:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

02/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 30 mai 2015, à 12h15, heure locale, sous 42°C et après 6 heures de vol, les Rafale engagés dans l'opération Chammal sont rentrés à la base.

 

Les Rafale sont revenus d'une mission de reconnaissance armée, durant laquelle la patrouille a soutenu les troupes irakiennes au sol dans leur lutte contre les forces terroristes de Daech. En opération au-dessus de la zone de Mossoul, les deux avions s’étaient vus assignés des objectifs particuliers par les cellules spécialisées dans le ciblage au sein de la coalition. Leur neutralisation a été essentielle pour permettre aux forces de sécurité irakiennes de conforter leurs positions dans la zone d'opérations des avions.

 

En mission de renseignement ou de soutien armé, les Rafale, associés à l'ATL2 et aux Mirage 2000 de Jordanie, sont des éléments clés et reconnus au sein de la coalition contre le groupe terroriste Daech.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage2000D), d’un avion de contrôle aérien E3F et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2.

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photo EMA / Armée de l'Air

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 07:55
The attack on the Japanese cruisers Mogami and Mikuma, 6 June 1942. Charcoal and chalk by Commander Griffith Bailey Coale, USNR, official U.S. Navy combat artist, 1942

The attack on the Japanese cruisers Mogami and Mikuma, 6 June 1942. Charcoal and chalk by Commander Griffith Bailey Coale, USNR, official U.S. Navy combat artist, 1942


03.006.2015 source SHD
 

3 juin 1330 : Philippe VI de Valois crée officiellement deux charges de Maréchal de France.

 

3 juin 1565 : les Espagnols attaquent Fort Caroline (Floride). Première colonie française fondée par des Huguenots, Fort Caroline est attaqué et détruit par le capitaine général Menendez, commandant d’une flotte espagnole. Plusieurs centaines de rescapés des combats sont exécutés par Menendez, dont Ribault le chef des colons, qui est tué et brûlé comme hérétique. La tentative de colonisation de la Floride organisée par de Coligny échoue.

 

3 juin 1917 : début de mutinerie au 217ème RI. « Alors que les contre-attaques allemandes sont enrayées sur le Chemin des Dames, commence la mutinerie du 217ème RI, qui dure jusqu’au 12 juin. Les soldats refusent collectivement de monter vers les tranchées mais acceptent d’obéir à leurs officiers pour les taches du service intérieur. Les jugements, fin juin et début juillet, sont relativement modérés et correspondent à un retour à la normalité ». LCL Remy Porte – EMAT.

 

3 juin 1918 : mort de Louis Jaurès. « Le fils de Jean Jaurès, Louis, est tué au front ». LCL Remy Porte – EMAT.

 

3 juin 1940 : bombardement allemand de Paris. 300 bombardiers de Luftwaffe attaquent Paris. 167 morts.

 

3 juin 1942 : début de la bataille de Midway (Océan Pacifique). Du 3 au 6 juin, les flottes japonaise et américaine s’affrontent près de Midway par l’intermédiaire de leurs avions embarqués. Défaite japonaise (4 porte-avions coulés, 3500 marins nippons disparus dont beaucoup de pilotes chevronnés alors que les américains ne perdent qu’un porte-avions et un destroyer).

 

3 juin 1943 : création du CFLN (Comité français de libération nationale). Les généraux de Gaulle et Giraud créent le CFLN qu’ils président tous deux.

 

3 juin 1944 : création du GPRF (Gouvernement provisoire de la République française). Le CFLN se transforme en gouvernement où de Gaulle a pris l’ascendant sur Giraud.

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 07:25
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

02/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 29 mai 2015, des membres d’équipage et des personnels navigants de la compagnie aérienne Air Caraïbes ont enfilé treillis et chaussures de marche pour un stage visant à renforcer leur cohésion et à découvrir le quotidien des militaires du 9e régiment d’infanterie de marine (RIMa) engagés dans les opérations en jungle.

 

Après un déplacement en pirogue, encadrés par une équipe du C3F (centre de formation au fleuve et à la forêt) renforcée d’un infirmier, les stagiaires ont visité un site d’orpaillage illégal reconstitué sur la zone de Tuffe, utilisé régulièrement pour préparer les unités engagées dans l’opération Harpie. En se mettant dans la peau des marsouins, le groupe a été confronté à l’hostilité d’un parcours dans la mangrove et à un saut du pont du tour de l’Ilet, après un repas composé de rations de combat.

 

En dépit d’une journée éprouvante, un large sourire pouvait se lire sur les visages du personnel d’Air Caraïbes, fier des activités réalisées. Ce stage a du reste permis au régiment de continuer à faire connaître les missions des FAG auprès de la société civile guyanaise, de susciter l’intérêt de citoyens pour leurs soldats et peut-être d’éveiller chez eux une vocation pour la réserve.

 

A 7 000 km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’Etat dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent sur un territoire rendu exigeant par son étendue (1 100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

photo EMA / Armée de Terre

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 07:20
General Dynamics Awarded $28 Million for Future Fighting Vehicle Design Concepts

 

STERLING HEIGHTS, Mich., June 2, 2015 /PRNewswire

 

The U.S. Army TACOM Lifecycle Management Command awarded General Dynamics Land Systems a $28.2 million contract to develop several design concepts for the Future Fighting Vehicle (FFV) Phase 1 effort. General Dynamics Land Systems is a business unit of General Dynamics (NYSE: GD).

 

As part of the FFV Phase 1 effort, General Dynamics will develop design concepts for the next generation Infantry Fighting Vehicle (IFV). The company will conduct trade studies, requirements analysis, modeling and simulation (M&S) and assess technology capability and maturity to support each of the three design concepts.

 

Work will be performed by existing employees in Sterling Heights, Michigan, with an estimated completion date of November 2016.

More information about General Dynamics Land Systems is available at www.gdls.com.

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 07:20
CQ-10B - photo GATR

CQ-10B - photo GATR

 

May 24, 2015: Strategy Page

 

U.S. SOCOM (Special Operations Command) has ordered a new version of the CQ-10 cargo delivery UAVs. This model (CQ-10B) operates like a helicopter while the original CA-10A used a parafoil. Also called the SnowGoose (it was developed by a Canadian firm) this UAV doesn't have wings and was designed to deliver cargo. The CQ-10A is launched from the back of a moving hummer, which has to speed down at least 300 meters of straight road (or flat ground) for the parafoil to deploy and lift the CA-10A into the air. The UAV lands by coming in low to a specific GPS location and cutting its motor off. CQ-10A can also be dropped from a cargo aircraft with a rear door. The CQ-10B operates like a helicopter.

 

The CQ-10A is a further development of the Sherpa cargo parachute system (that used GPS and mechanical controls to guide the direction of the descending parafoil for pinpoint landings). It took four years to develop the unpowered Sherpa system into a powered one that flies to designated GPS coordinates, drops cargo and returns. The CQ-10 can receive new GPS coordinates while in flight. The U.S. Army paid for much of the SnowGoose development, especially features that enable the UAV to perform recon, as well as supply, missions.

 

The CA-10A took that technology one step farther. Using a parafoil (a parachute that can be controlled in such a way that the user can gain altitude and travel over long distances), and a "cargo container" that contains a small propeller and engine, a unique type of UAV has been created. The SnowGoose is basically rectangular box (on skids) with a 115 horsepower engine, fuel supply, parafoil controls, and six cargo compartments (carrying up to 45 kg/100 pounds each). The CA-10A ejects the cargo containers when it is low and within 30 meters (100 feet) of the GPS coordinates it was programmed with. The CQ-10B can land for unloading.

 

Since 2005 SOCOM has bought at least 75 CQ-10As (at about $500,000 each) for use in Afghanistan, Iraq, and elsewhere. The CQ-10A has a range of 300 kilometers and a top speed of 61 kilometers an hour. The B version has a range of 600 kilometers and a top speed of 120 kilometers an hour. The CQ-10B costs $650,000 each and nearly $300 an hour to operate. The CQ-10B is seen as very useful for disaster relief operations and is being offered to organizations that handle emergency relief.

 

The SnowGoose can stay in the air for up to 20 hours, is guided by onboard GPS and mechanical flight controls operated by a special microcomputer. The Special Forces are using them for things like delivering supplies, or dropping psychological warfare leaflets. The UAV is particularly good for delivering supplies to long range patrols, units that need their stuff delivered discretely at night. The SnowGoose does this more effectively than a manned helicopter or a parachute drop.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 18:35
WZ-10 Attack Helicopter

WZ-10 Attack Helicopter

 

May 25, 2015: Strategy Page

 

Pakistan has apparently received the first three of twenty Chinese WZ-10 helicopter gunships. Pictures of two of them together have appeared. These first three were announced as a gift and were quickly delivered so Pakistan could try them out. This appears to have led to an order for 17 more. Or not, as the WZ-10 sale has been kept quiet. If Pakistan does buy 17 more WZ-10s it would be the first export customer. The sale is apparently a done deal as Pakistan is to receive two more WZ-10s by the end of the year.

 

China has been developing the 7 ton WZ-10 helicopter gunship since the 1990s. After 14 years of development there were several prototypes and a lot of unresolved problems. Attempts to buy or steal helicopter gunship technology from Russia and South Africa failed. In 2010 some of the prototypes were sent to Chinese Army aviation units for field testing. While not a failure, there were problems and at one point the WZ-10 was in danger of being abandoned. The Chinese persevered and fixed most of the defects by 2012 and put WZ-10 into production. The WZ-10 is armed with an autocannon (23mm to 30mm) and has four hard points that can carry 16 HJ10 laser guided missiles (similar to Hellfire) or even more unguided rockets.

 

Meanwhile China also put the smaller (4.5 ton) WZ-19 armed scout helicopter into production, partly as a backup if the WZ-10 failed. China wanted something more like the American AH-64 Apache and the WZ-10 was equipped to operate like the AH-64 or earlier AH-1 (which Pakistan has been using for a long time). The WZ-19 has been spotted in the air since 2010 and by 2012 was seen painted in military colors, meaning it was out of development and in service. The WZ-19 was earlier known as the Z-9W. The WZ-19 is yet another Chinese helicopter based on the Eurocopter Dauphin (which has been built under license in China since the 1990s. The WZ-19 is a 4.5 ton, two seat armed helicopter. It can carry a 23mm autocannon and up to a ton of munitions (missiles, usually). Cruising speed is 245 kilometers an hour and range is 700 kilometers. The WZ-19 is basically an upgraded Z-9W.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 16:55
Les Puma vont progressivement faire leurs adieux à l’armée de Terre

Les Puma vont progressivement faire leurs adieux à l’armée de Terre

 

2 juin, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

En 2010 était dissoute la 4ème Brigade aéromobile, la seule de ce type dans l’armée française. Cette brigade était l’héritière de la 4ème Division aéromobile qui était, durant la Guerre froide, le fer de lance de l’armée de Terre française. Dans le cas d’un affrontement avec le Pacte de Varsovie, la première unité française à être déployé en Centre-Europe aurait été la Force d’action rapide (FAR). De la taille d’un corps d’armée, elle comprenait cinq divisions légères (parachutiste, alpine,…) et, parmi elles, la 4ème Division aéromobile. Cette division comprenait trois régiments d’hélicoptères de combat (1er, 3ème et 5ème RHC) et un régiment d’infanterie aéromobile (plus deux régiments de soutien). Cette unité aurait été un véritable poing anti-char pour stopper les divisions mécanisées soviétiques.

 

Le 1er juillet 1999, la 4ème Division aéromobile devient, avec la restructuration de l’armée de Terre, la 4ème Brigade aéromobile. Elle perd son régiment d’infanterie (le 1er RI qui est remotorisé sur VAB) mais gagne un quatrième régiment d’hélicoptères de combat (le 6ème RHC) qui sera dissous en 2007. En 2010, la brigade est dissoute, les régiments revenant au commandement des forces terrestres.

 

Avec la parution de la LPM actualisée, la reformation d’une brigade, non plus aéromobile mais bien aérocombat, est avancée. Pour l’instant, l’ALAT est composée des 3 RHC, du 9ème Bataillon de soutien aéromobile (BSAM) et de son école. La reformation de la brigade aéromobile/aérocombat permettra de rassembler tous les moyens en hélicoptères de l’armée de Terre (hors FS) sous une seule autorité, celle du commandement de l’ALAT (COMALAT). Selon la nouvelle structure de l’armée de Terre, la Brigade aéromobile ne comprendra ni le BSAM, ni de régiment d’infanterie. Il s’agira bien d’une brigade à vocation interarmes mais qui n’est pas interarmes en soi. Ses unités et équipages sont appelés à être dispatchés en fonction des missions auprès des unités des autres brigades.

Le Gazelle sont plus qu’avantageusement remplacées par les Tigre, mais combien seront-ils au final?

 

Sur le plan matériel, 7 Tigre supplémentaires porteront le modèle de 60 à 67 hélicoptère, tous au les hélicoptères qui seront livrés seront au standard HAD. De plus, l’intégration sur les Tigre d’une « roquette de précision métrique » est prévue par l’actualisation de la LPM. Ce type de munitions, développées en France par TDA Armements, une filiale de Thales, et similaire dans l’idée à l’APKWS américain, permet de coupler la précision d’un missile avec la charge explosive d’une roquette, pour un prix bien moins important que celui d’un missile. Pour ce qui est des NH90, 35 sont attendus au terme du programme de la LPM, 9 étant en service actuellement, pour un total de 44. 26 Cougar modernisés doivent également, à terme, rejoindre le parc d’hélicoptères (la moitié ayant déjà été livrée). Au fil des livraisons, les Puma devraient progressivement quitter le service, alors que les Caracal sont affectés au COS. En ce qui concerne les Gazelle, tout ce que l’on sait c’est qu’elles ne seront que progressivement remplacées par les Tigre. Entre 2015 et 2019, un nouvel hélicoptère (Caïman, Cougar rénové ou Tigre) sera livré chaque mois à l’armée de Terre.

Les Puma vont progressivement faire leurs adieux à l’armée de Terre

 

Il aurait pu être intéressant de réfléchir à une organisation qui aurait fait de cette brigade aérocombat, une vraie force interarmes, prête à intervenir avec ses unités propres sur un théâtre donné. Intégrer ne serait-ce qu’un régiment d’infanterie aurait fait de celui-ci une vraie unité aéromobile, entrainée à travailler avec les hélicoptères de combat et transportée par les hélicoptères de manœuvre. Les Britanniques suivent ce chemin avec la 16th Air Assault Brigade qui comprend des régiments d’infanterie, d’artillerie et du génie parachutistes ainsi que des unités d’hélicoptères, notamment l’ensemble des Apaches britanniques. La 101ème Division aéroportée américaine reprend également ce principe (elle est d’ailleurs référencée comme une air assault division).

Les Apache apportent une puissance de feu appréciable à la 16th Air Assault Brigade

 

Une autre solution aurait pu être d’intégrer un RHC au sein des toutes nouvelles divisions qui viennent d’être ressuscitées avec le nouveau modèle de l’armée de Terre. Les Américains, par exemple, intègre une brigade d’aviation de combat au sein de chacune de leur division. Là encore, cela permet à chaque unité de disposer de ses moyens aériens propres, avec lesquels elle est habituée à fonctionner.

Les grandes unités américaines sont largement pourvues en hélicoptères

 

Evidemment, les Américains disposent de moyens incomparables avec ceux de l’armée française et, le rassemblement de l’ensemble des voilures tournantes sous un seul commandement à probablement un sens en termes d’économies d’échelle et de commodités logistique et financière.  Espérons que la reformation de cette brigade ne soit pas qu’un exercice mathématique dans le but d’augmenter artificiellement le nombre de brigades alignées par l’armée de Terre. Selon le CEMAT, « à sa tête, un état-major sera capable de mener des opérations de troisième dimension : raids en profondeur, flanc-garde ou opérations à caractère interarmes, comme l’utilisation d’hélicoptères de manœuvre pour transporter une force, saisir un pont, récupérer des otages, exfiltrer des personnes ».  Les états-majors des RHC n’en étaient pas capable auparavant ?

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 16:50
Leclerc MBT - photo Armée de Terre

Leclerc MBT - photo Armée de Terre

 

May 14, 2015: Strategy Page

 

In late April French forces arrived in Poland to reinforce NATO troops already there. The French joined American and Canadian who together with Polish troops will be involved in a joint exercises between May 11th and 29th. It is the first time when the French “Leclerc” tanks, “VBCI” Infantry Fighting Vehicles, and the French infantry, equipped with the French “Felin” Future Soldier system have all been deployed in Poland.

 

The French sent about 300 soldiers and 90 vehicles. These included 15 Leclerc tanks supported by some mechanized infantry equipped with the “Felin” Future Soldier equipment and the latest VBCI wheeled infantry fighting vehicles. There was also a platoon of engineers.

 

“Leclerc” is French main tank used by the France and the UAE (United Arab Emirates). Leclerc entered service in 1992, a decade after their contemporaries the American M1 and German Leopard 2. Unlike the German and American tanks Leclerc uses an automatic loading system which improves rate of fire-on-the-move to 12 rounds per minute. The main weapon is a 120mm smoothbore gun. There is also a 12.7mm co-axial (to the 120mm cannon) machine gun and remote controlled 7.62mm machine gun atop the turret. Leclerc is smaller and lighter (only 56 tons) that British, German, American or Israeli tanks.

 

VBCI - photo Armée de Terre

VBCI - photo Armée de Terre

“VBCI” is an IFV (Infantry Fighting Vehicle) designed to accompany tanks. It represents a balance between protection, performance and payload. The 8x8 wheeled platform was intended to replace the AMX-10P. VBCI main armament is a stabilized 25mm gun and the vehicle weighs 26 tons. VBCI has been used in Afghanistan, Mali and the Central African Republic and so far none have been lost. France has rdered about 700 vehicles.

FELIN - photo Armée de Terre

FELIN - photo Armée de Terre

“Felin” is French variation of Future solider programs. The system goal is to provide the soldier with improved close-combat capability in terms of lethality, survivability, mobility and C4I (command, control, computers, communications and information). System was designed to weigh less than 24 kg (53 pounds) and include weapons, ammunition, ballistic protection and 24-hour energy, food and water provisions. Frelin uses a day/night camera mounted on the assault rifle and two small LED displays mounted on the helmet which allows shooting from behind corner. There is also a helmet mounted osteo-microphone which picks up speech by sensing the vibration in the wearer’s skull (eliminates background noise). France ordered 22,000 Frelin sets (for $30,000 each) and by 2014 about 10,000 were delivered to army units.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 16:50
La Roumanie reçoit ses derniers PVP mais pense à l’avenir

 

2 juin, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

Du 18 au 21 mai, Panhard Général Défense a reçu une délégation du Ministère de la Défense Roumain qui venait réceptionner le dernier lot de 6 PVP destinés à l’Armée roumaine. Le ministère de la Défense roumain a acquis en 2012 16 véhicules, et cette visite avait pour but la réception du dernier lot de 6 PVP.

 

La version LAORV spécifique à l’armée Roumaine apporte de nombreux nouveaux développements. Outre sa protection balistique niveau 2 STANAG, il est équipé d’une protection anti-mine niveau 2A STANAG. L’utilisation opérationnelle du véhicule est possible dans des zones climatiques de -32°C à +50°C. Les véhicules étant ensuite équipés par la société Roumaine CSR pour remplir des missions de contrôle de zones et périmètres, ils sont prêts à s’inscrire dans une projection internationale sous l’égide des Nations Unies ou de l’OTAN. Les PVP roumains sont armés de mitrailleuses 7,62mm Cugir Mitraliera md.66 qui sont la version roumaine de la PKM russe.

 

La Roumanie est le 4ème client du PVP après évidemment la France (plus de 1200 véhicules en service depuis 2008), le Chili (15 véhicules), le Togo (6 véhicules).

 

La force terrestre roumaine a encore un long chemin à faire. Devenue membre de l’OTAN en 2004, son armée est encore en grande partie celle d’un pays du pacte de Varsovie. Ses chars de combat sont des T-55 améliorés localement, ses VCI sont des BMP-1 construits sous-license (modernisés toutefois avec l’adjonction d’une tourelle israélienne OWS-25R emportant un canon de 25mm et deux missiles antichars Spike ou AT-3), ses véhicules à roues des BTR-60, 70 et 80, des BRDM-2… Son matériel moderne est celui qu’elle a acheté, loué ou reçu pour son déploiement en Afghanistan, à savoir une trentaine de Piranha IIIC, des HMMWV et des MRAP. Plusieurs VAMTAC espagnols (pour ses Forces Spéciales) et une trentaine d’automoteurs anti-aériens Guepard ont également été achetés par Bucarest.

 

En première ligne face à la situation explosive en Ukraine, la Roumanie a décidé de prendre des mesures en augmentant son budget militaire de 1,4% de son PIB en 2014 à 1,7% en 2015. Pour ce faire, Bucarest a du négocier avec l’Union européenne et le FMI afin de modifier le planning de réduction de son déficit budgétaire. Certains prédisent que la Roumanie atteindra les 2% du PIB prévu par l’OTAN en 2017. Elle aura bien besoin de cet argent pour moderniser son armée qui en a bien besoin.

Les PVP sont armées d’une mitrailleuse de 7,62mm PKM (d’origine roumaine)

Les PVP sont armées d’une mitrailleuse de 7,62mm PKM (d’origine roumaine)

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 16:45
photo EMA / MinDefFr

photo EMA / MinDefFr

 

May 31, 2015: Strategy page

 

Disagreements over a proposed peace deal in the north have led to more violence from factions that disagree with the deal that most northern rebels are willing to  accept. The violence has forced over 60,000 civilians to flee their homes. Most of the violence is between the holdout rebels and Mali troops or local pro-government militias.

 

The UN sponsored peace talks hosted by Algeria produced a peace deal in March that most northerners agreed was workable and was signed on May 15th. But not all those who were supposed to sign actually did. The UN persuaded those willing to sign to go ahead and do so and negotiations would continue with those who were not satisfied. The holdouts are radical factions of the rebel alliance that insist on more autonomy than the government is willing to provide. If the additional talks fail everyone who did sign agreed to outlaw the holdout factions. Some of these dissident factions are believed responsible for the upsurge in violence in the north during May, although some of the attacks are Islamic terrorists still operating up there. Between these holdouts and the active Islamic terrorists it is obvious that for a significant minority of northerners the war for independence (or global Islamic conquest) is not yet over. Some of these separatists are seeking a religious dictatorship. This is definitely not wanted by the majority of northerners. Most of the holdouts want more autonomy and money, which is more popular up north but unthinkable to the 90 percent of Malians that live in the south.

 

At least 49 peacekeepers have been killed since they began operations (mostly in the north) during mid-2013. Currently there are 11,500 peacekeepers in Mali, most of them in the north. The Mali peacekeeping force, is composed of about a thousand French and (mainly) African troops and is suffering a death rate of 240 per 100,000 per year (a standard measure of such things.) That’s higher than the 2013 rate (200) in Afghanistan. That was down from 587 in 2010, which was about what it was during the peak years in Iraq (2004-7). The action in Mali is less intense than in Afghanistan or pre-2011 Iraq. Total casualties since mid-2013 are only about 200 dead and wounded. Most of the Islamic terrorists from Mali moved to bases in southern Libya and are now regularly moving south to carry out operations in northern Mali. All this is possible because Libya is undergoing a civil war, mainly up north along the coast and no one bothers with Islamic terrorists who only kill across the border in Mali. There is a similar problem in Afghanistan with Islamic terrorists operations from several sanctuary areas in neighboring Pakistan and Iran.

 

A Tuareg separatist group (CMA or Coordination des Mouvements de l'Azawad) is believed responsible for most of the recent violence in the north. Even as peace talks continued CMA kept carrying out attacks, often in revenge for past defeats or (real or imagined) “atrocities” by Mali troops from the south or local pro-government militia. Groups like CMA want more Tuareg autonomy and especially want control over the growing mining operations in the north and the cash they generate. The majority in the south and central government is definitely not willing to do that.

 

May 30, 2015: In the north (Gao) a rocket was fired into a peacekeeper camp but there were no injuries.

 

May 28, 2015: In the north (Timbuktu) a peacekeeper vehicle was attacked, leaving three peacekeepers wounded.

 

May 25, 2015: In the capital peacekeepers clashed with unidentified armed men and one peacekeeper was killed and another wounded.

 

May 23, 2015: In the north (Gao) CMA rebels temporarily captured a rural town (Tessit), looted the place and kidnapped some people before they withdrew the next day (to avoid the expected counterattack).

 

May 21, 2015: In the north (Gao) there were more clashes between CMA rebels and local pro-government militias. Some Mali troops were also involved and CMA claimed the soldiers executed six civilians. That claim is still being investigated. The violence in this area has been going on for three days. One of the civilians killed was a local employee of a foreign aid group, which then announced it was shutting down operations in the area until the violence died down.

 

May 20, 2015: In the capital someone fired on a compound used by peacekeepers. Two grenades were also thrown but failed to explode. A civilian guard was wounded and it is still unclear who was behind the attack.

 

May 18, 2015: In the north (Kidal) French commandos carried out a raid that left four Islamic terrorists dead. These included senior leaders of AQIM (Al Qaeda in the Islamic Maghreb) and Ansar Dine (a largely Malian Islamic terror group). AQIM operates throughout North African (which Arab speakers call the Maghreb) but is currently suffering heavy losses as many personnel defect to ISIL (Islamic State in Iraq and the Levant). This sort of thing is happening all over the Islamic world as the more fanatic Islamic terrorists seek to identify with what appears to be the most successful Islamic terrorist group at the moment. This particular raid was very important for France has the two Islamic terrorist leaders were believed responsible for the murder of two kidnapped French journalists in 2013. France made it clear that this raid was part of the ongoing operation to capture or kill those responsible for killing those two French citizens and that France had a long memory. This was meant to dissuade future attacks on French civilians.

 

Later in the day CMA rebels ambushed Mali troops near Timbuktu and killed three soldiers.

 

May 15, 2015: The government signed a peace deal with Tuareg rebels in the north. These Tuareg rebels and Islamic terrorists (from Mali and neighboring countries) took over most of northern Mali in 2012 and remained in control until a 2013 French-led invasion restored government control. Most of the Islamic terrorists were killed or fled to Libya and Niger but the local Tuareg rebels stayed. Algeria beefed up its security on its Mali border and hosted several rounds of peace negotiations between the Mali government and the rebels. Not all rebels signed the peace deal and some are still fighting. Meanwhile there were celebrations in the south and in the capital over 200,000 people demonstrated in favor of the peace deal. In the north there was fear of more violence. Hours after the peace deal was signed CMA gunmen clashed with pro-government militias in the north. The CMA decision to continue fighting is not popular in the north either and that is who CMA is fighting with other tribal groups up there that want peace more than the degree of autonomy CMA is demanding.

 

May 14, 2015: Islamic terrorist leader Mokhtar Belmokhtar, a founder of Islamic terror group Al Mourabitoun has apparently been replaced as leader of Al Mourabitoun. This group has long been responsible for terror attacks in northern Mali, especially against peacekeepers. The departure of Belmokhtar as leader of the group probably won’t change that especially since Al Mourabitoun recently announced it was joining ISIL and that Internet announcement was followed by one from Belmokhtar disagreeing with the decision to leave AQIM for ISIL. But the ISIL move was later confirmed and so was the fact that Belmokhtar was no longer in charge at Al Mourabitoun, which is currently based in southern Libya. Belmokhtar is the Algerian Islamic terrorist responsible for the January 2013 natural gas facility attack in southern Algeria that got 37 workers killed. Al Mourabitoun was formed in August 2013 when two Islamic terrorist factions merged and pledged allegiance to AQIM. For a while Al Mourabitoun operated in northern Mali and Niger. Belmokhtar was number two or three in AQIM but formed his own splinter group in late 2012. The French and American pressure in Mali and the Sahel left Belmokhtar short of cash and prospects, so returning to AQIM in early 2013 was a way to remedy those problems. Al Qaeda has always had access to more cash and other resources than most other terrorist organizations and that’s why it remains such a visible player. Belmokhtar denounced ISIL as being religiously unfit, but he might also be concerned about that fact that ISIL is in a much more precarious financial position than AQIM. The switch to AQIL will probably mean that Al Mourabitoun will be more active in trying to kidnap foreigners in northern Mali and hold them for ransom.

 

May 11, 2015: In the north (Timbuktu) CMA rebels ambushed an army supply convoy killing nine troops, wounding twelve and getting away with some of the vehicles. Elsewhere in the north (Gao) a Dutch armored vehicle was hit by a roadside bomb but none of the Dutch peacekeepers were injured. The 450 Dutch troops are in Mali mainly to operate and maintain four helicopter gunships and three transport helicopters.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 16:20
photo GATR

photo GATR

 

May 21, 2015: Strategy Page

 

U.S. SOCOM (Special Operations Command) has sponsored work on lighter and more powerful portable satellite dishes for decades. What SOCOM operators need the most are back packable gear that can send video, especially during a stakeout (a common activity for Special Forces operators) of a target for missile armed warplanes or UAVs overhead. The latest breakthrough is GATR, a 26.3 kg (58 pound) 1.2 meter (47 inch) satellite dish in an inflatable sphere. This gear can upload 2 mbps (one million bits per second, about 100,000 bytes per second) and download 5 mbps. This is the lightest back packable dish with that kind of bandwidth. SOCOM has bought nearly a hundred of these so far. Most of the time SOCOM operators can get by with lighter satellite communications, with much lower bandwidth.

 

For example in 2012 SOCOM bought $170 million of new satellite communications gear with a max download speed of 1 mbps. What was most important about this gear was that it was portable (via hummer or backpack) and provided Special Forces operators with high speed satellite communications using 60 cm (24 inch) satellite dishes. Special Forces operators need these communications tool for when they are out in the hills, out beyond cell phones and most wireless forms of communication. Satellite phones have been used for over a decade but these devices have limited data capacity (about 25,000 bits per second).

 

Typical portable systems like this weigh less than 15 kg (33 pounds) and can be carried in two suitcases or in a backpack. This gear can operate off battery power and are rugged enough to survive water, sand, extreme temperatures, and other hard knocks. These systems allow a Special Forces team to access multiple live video feeds, as well as downloading complex maps and other images. All this is heavily encrypted to make eavesdropping very difficult. Set up time is less than ten minutes and the small dish will automatically locate and lock onto the desired satellite. This equipment has been available for over two decades but they have become smaller, cheaper, faster, more rugged, and reliable every year. Most importantly, they do not require a communications specialist to set up or operate. SOCOM has several thousand of these portable systems.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 16:20
X-47B First to Complete Autonomous Aerial Refueling photo US Navy

X-47B First to Complete Autonomous Aerial Refueling photo US Navy

 

May 17, 2015: Strategy Page

 

The U.S. Navy’s X-47B UCAS (unmanned combat air system) continues to break or make records. Thus in 2015 this included the world's first fully autonomous aerial refueling in April, performed with a KC-707 tanker. During the last few years this unmanned combat aircraft has successfully carried out numerous operations aboard aircraft carriers. These tests were often firsts for UCAS. Thus an X-47B made its first catapult launch from an aircraft carrier on May 14th 2013. That was followed by several touch and go landings on a carrier. The first carrier landing, as expected, followed soon after. Later in the year more flight tests further stressed the capabilities of the automatic landing system, especially in high speed and complex (different directions) winds. The autolanding systems passed all these tests. The X-47B was also the first UAV to land and be off the carrier deck in less than 90 seconds, just like manned aircraft. There were a lot of other tests to see how effectively and reliably the X-47B could operate on the carrier and hanger deck and do it alongside manned aircraft. All this is part of a long-term navy plan to introduce an UCAS replacement for the F-35 (which is soon to replace the F-18s) in the 2030s. But if the UCAS progress continues to be swift and the costs low (compared to manned aircraft), the F-35 could find its production run much reduced to make room for an UCAS.

 

While software controlled landing systems have been around for decades, landing on a moving air field (an aircraft carrier) is considerably more complex than the usual situation (landing on a stationary airfield). Dealing with carrier landings requires more powerful hardware and software aboard the aircraft. The navy expected some glitches and bugs and appears to be rapidly catching up to the reliability of commercial landing software (which has been used very successfully on UAVs) within months rather than decades.

 

Rather than begin development on the slightly larger X-47C, which was be the first naval UCAV to enter service, the navy changed that plan and is now seeking new designs for a UCLASS (unmanned carrier-launched airborne surveillance and strike) aircraft. There will be a competition by development aircraft in 2016. It’s likely, but not certain, that one of those 2016 competitors will be the X-47C.

 

All this comes after the navy rolled out the first X-47B in 2008. This was the first carrier-based combat UAV, with a wingspan of 20 meters (62 feet, and the outer 25 percent folds up to save space on the carrier) and stay in the air for up to twelve hours. The 20 ton X-47B weighs a little less than the 24 ton F-18A and has two internal bays holding two tons of smart bombs. It is a stealthy aircraft. As it exists right now the X-47B could be used for a lot of bombing missions, sort of a super-Reaper. The navy has been impressed with the U.S. Air Force success with the Predator and Reaper. But the propeller driven Reaper weighs only 4.7 tons. The much larger X-47B uses a F100-PW-220 engine, which is currently used in the F-16 and F-15.

 

The X-47C was expected to be closer to 30 tons and have a payload of over four tons. The X-47B was never mean to be the definitive carrier UCAV, but the navy hoped it would be good enough to show that unmanned aircraft could do the job. Normally, "X" class aircraft are just used as technology demonstrators. The X-47 program has been going on for so long, and has incorporated so much from UAVs already serving in combat that it was thought that the X-47 may end up eventually running recon and bombing missions as the MQ-47C. But in February 2015 the navy stated that the X-47B was too costly and insufficiently stealthy to become it's carrier UCAV, and the two prototypes will be turned into museum exhibits upon completion of all flight testing, extant and length of which is not ultimately decided yet.

 

The U.S. is far ahead of other nations in UCAS development, and this is energizing activity in Russia, Europe, and China to develop similar aircraft. A Chinese UCAS, called the Li Jian was photographed moving around an airfield under its own power back in early 2013, which is the sort of thing a new aircraft does before its first flight (which took place in November, 2013). Since 2011 the Li Jian has been photographed as a mock up, then a prototype, and now taxiing around and in flight. The Li Jian is similar in size and shape to the U.S. Navy X-47B.

 

It’s generally recognized that robotic combat aircraft are the future, even though many of the aviation commanders (all of them pilots) wish it were otherwise. Whoever gets there first (an UCAV that really works) will force everyone else to catch up, or end up the loser in their next war with someone equipped with UCASs. China may have just copied pictures of the X-47B, or done so with the help of data obtained by their decade long Internet espionage operation. Whatever the case, the Li Jian is not far behind the X-47B.

 

These aircraft are meant to operate like current armed UAVs or like cruise missiles (which go after targets under software, not remote, control). Enemy jamming can interfere with remote control and you have to be ready for that. This means pre-programmed orders to continue the mission (to put smart bombs on a specific target, the sort of attack cruise missiles have been carrying out for decades) or attempt that but turn around and return to base if certain conditions were not met (pre-programmed criteria of what is an acceptable target). Fighter (as opposed to bomber) UCASs can be programmed to take on enemy fighters (manned or not) with some remote control or completely under software control. This is the future and China wants to keep up.

 

The U.S. Navy has done the math and realized that they need UCASs on their carriers as soon as possible. The current plan is to get these aircraft into service by the end of the decade. But a growing number of navy leaders want to get the unmanned carrier aircraft into service sooner than that. The math problem that triggered all this is the realization that American carriers had to get within 800 kilometers of their target before launching bomber aircraft. Potential enemies increasingly have aircraft and missiles with a range greater than 800 kilometers. The X-47B UCAS has a range of 2,500 kilometers and is seen as the solution.

 

The Department of Defense leadership is backing the navy efforts and spurring the air force to catch up. At the moment, the air force is cutting orders for MQ-9s, which are used as a ground support aircraft, in addition to reconnaissance and surveillance, because American troops are being pulled out of Afghanistan, and it is believed Reaper would not be very useful against China, North Korea, or Iran. But, as the Navy is demonstrating, you can build UCASs that can carry more weapons, stay in the air longer, and hustle to where they are needed faster. The more the navy succeeds, the more the air force will pay attention and probably use a lot of the navy developed UAV hardware and software technology.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 15:55
L’aéronavale française par Frédéric Lert - Editions Histoire et collections

L’aéronavale française par Frédéric Lert - Editions Histoire et collections

 

23 mai 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

L’Aéronavale est un sujet inépuisable et cette fois-ci, c’est au tour de Frédéric Lert d’aborder le sujet avec un livre bien écrit et richement illustré, qui passe en revue de façon vivante les différents aéronefs porteurs de la cocarde à hameçon.

 

Une première partie historique, illustrée de quelques photos et commentaires bien sentis, est une forme d’échauffement pour le lecteur qui est rapidement transporté sur le pont du Charles de Gaulle ou dans le ciel de Bretagne. Au fil des 144 pages, on déroule progressivement les différents avions et hélicoptères, en commençant par le Rafale pour finalement arriver au Cap 10 qui ferme la marche.

 

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 14:45
photo EMA (Archives Serval)

photo EMA (Archives Serval)

 

02/06/2015 Par Michel MOUTOT (AFP) – LePoint.fr

 

Transport de troupes, évacuations médicales, voire appui-feu pour arracher la décision au sol: malgré le sable et la chaleur qui poussent hommes et machines à leurs limites, les hélicoptères de l'armée française dans le nord du Mali jouent un rôle primordial face à un ennemi insaisissable.

Les températures pouvant flirter avec les 50 degrés au mois de juin, le plus chaud dans le désert malien, et la poussière de sable plus fine que du talc, qui pénètre partout, imposent de terribles contraintes aux membres de l'Aviation légère de l'armée de terre (Alat) participant à l'opération "Barkhane" - du nom d'un type de dune.

"Nous sommes en limite d'emploi de nos appareils", explique le colonel David (conformément aux consignes, il ne révèle que son prénom), conseiller aéro-combat du commandant de la base de Gao, la principale de "Barkhane" dans le nord du Mali.

 

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 12:55
Rafale, hélicoptères, C-130, frégates, c'est aussi le temps de l'actualisation pour les équipements militaires


01.06.2015 par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord
 

L'actualisation de la loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019 passe à l'examen de l'Assemblée nationale cette semaine. Un sursaut financier qui semble d'emblée salvateur. Mardi 26 mai, Laurent Collet-Billon, le délégué général à l'armement, était entendu en Commission de Défense. L'idéal pour faire un point sur les équipements (où l'on reparlera des C-130 Hercules), les calendriers et autres reports de charges... 

 

Programmes Scorpion, ravitalleurs MRTT, missiles M51.3, satellites de renseignement électro-magnétique CERES, quatrième sous-marin Barracuda, le programme 146 a globalement tenu la route depuis le début de la LPM. Il note un décalage sur la commande du deuxième système de drones Reaper (trois engins, deux cockpits). Mais les succès 2015 du Rafale à l'exportation soulagent largement l'exécution de la Loi de programmation militaire.

Selon le DGA, même le fardeau des reports de charges auraient tendance à se réduire (2,3 milliards d'euros fin 2013, fin 2014 et légère amélioration en 2015 grâce à 250 millions d'euros du Plan d'investissement d'avenir PIA).

Des étalements de commandes et de livraisons sont toutefois négociés par la direction des programmes et mis en œuvre, notamment pour le système d'équipement du fantassin FELIN, mais aussi pour l'A400M, les hélicoptères NH90 et Tigre, le Rafale, les frégates multi-missions et les sous-marins nucléaires d'attaque Barracuda. Avec 18 % d'augmentation des commandes à l'exportation en 2014 (8,2 milliards, dont 50 % pour l'Arabie saoudite, y compris le contrat DONAS pour l'armée libanaise), les industriels conservent la santé. Et 2015 (grâce au Rafale) devraient se révéler exceptionnelle.

 

L'actualisation des équipements

L'actualisation de la LPM permettra l'achat d'équipements nouveaux pour 1,5 milliard et un effort sur l'entretien programmé des matériels de 500 millions entre 2016 et 2019. La moitié de ces deux milliards provient de crédits budgétaires supplémentaires.

On n'entend plus le DGA s'arc-bouter sur la création des sociétés de projet qu'il jugeait indispensable au financement. Le vent politique et budgétaire a tourné. On le subodorait dès février... Comme la disparition des recettes exceptionnelles au profit de solides crédits budgétaires.

 

- Marine. La vente d'une FREMM à l'Egypte entraîne la livraison d'une nouvelle en 2019. Le nombre final est de 8 FREMM au lieu de 11 et du lancement du programme de frégates de taille intermédiaire (FTI, première livraison des cinq commandées en 2023). Un tonnage de 4 000 tonnes correspondrait mieux au marché export que la FREMM de 6 000... Quatre BSAH (bâtiments de soutien et d’assistance hauturiers) et quatre B2M (bâtiments multi-missions) seront commandés contre deux et trois prévus.

 

- ALAT. La priorité hélicoptères ne se dément pas : 7 Tigre supplémentaires et 6 NH90 terrestres sont commandés.

 

- Air. Le vieillissement des Lockheed C-130 Hercules et certaines difficultés de l'A400M vont entraîner l'achat de quatre nouveaux C130 (commandes en 2016), a priori, d'occasion (la version H, la version J étant trop chère). Avec pour certains le ravitaillement en vol des hélicoptères (le souci majeur de l'A400M). D'autres C-130 seront équipés de missiles pour les besoins des forces spéciales... Enfin, les difficultés du parachutage par portes latérales sur l'A400M pourraient tout bonnement entraîner un changement de parachute (comme sur les C17 en leur temps).

Les ventes à l'export du Rafale vont modifier les livraisons à l'armée de l'air. Elle en recevra finalement vingt-six.

 

- Autres achats supplémentaires. 25 pods de désignation laser pour les Rafale, régénération des véhicules blindés légers (VBL).

Conclusion en guise d'avertissement prudent : " La décision de redéployer ces crédits ne laisse aucune marge en cas de reprise de la progression des indices économiques : à défaut d’obtenir dans ce cas un abondement des crédits du programme 146, il faudrait inévitablement redéfinir une partie du contenu physique de la LPM. "

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 12:50
photo Airbus DS

photo Airbus DS

 

02/06/2015  Le Point.fr (AFP)

 

Le système de régulation des turboréacteurs "aurait dû être testé auparavant, en simulateur, afin de vérifier que tout fonctionnait", affirme El Confidencial.

 

De nombreux protocoles ont été ignorés lors de l'assemblage final de l'avion de transport militaire A400M qui s'est écrasé le 9 mai près de Séville, faisant quatre morts, pour rattraper les retards de livraison, affirme mardi le site économique espagnol El Confidencial. Le FADEC (Full Authority Digital Engine Control), système de régulation des turboréacteurs, "aurait dû être testé auparavant, en simulateur, afin de vérifier que tout fonctionnait", assure ce média en ligne en citant des "sources du secteur aéronautique".

"De nombreux protocoles ont été ignorés. Si l'appareil avait fait le rodage des moteurs à haute vitesse au sol avant le premier vol, les moteurs se seraient bloqués" avant les essais en vol, selon les mêmes sources. "Et tout est dû à l'urgence", ajoutent-elles. Airbus était en effet critiqué par ses clients pour les retards dans la livraison de l'A400M. Le directeur de la stratégie d'Airbus Group, Marwan Lahoud, cité jeudi par le quotidien allemand Handelsblatt, avait reconnu "un sérieux problème de qualité dans l'assemblage final" de l'A400M.

 

"Combinaison de facteurs"

Le PDG d'Airbus, filiale aéronautique civile d'Airbus Group, avait estimé samedi qu'il y avait eu "soit une faiblesse dans les procédures de test des avions avant la mise en vol, car il s'agissait du premier vol d'un avion de série, soit un problème qui provenait de la mise en oeuvre de ces procédures". "Tant que la commission d'enquête technique des accidents des aéronefs militaires n'a pas communiqué, il est trop tôt pour déterminer les causes de l'accident", a déclaré mardi une porte-parole du groupe interrogée sur les informations du site El Confidencial.

"Comme pour tout accident, il y aura probablement une combinaison de facteurs et non une cause unique", a-t-elle ajouté. L'appareil sorti de la chaîne d'assemblage des A400M à Séville, dans le sud de l'Espagne, s'est écrasé le 9 mai peu après le décollage, à la suite apparemment d'une panne des moteurs. Quatre des membres d'équipage ont été tués, deux autres grièvement blessés.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 12:30
État islamique : la coalition internationale réunie à Paris

L'avancée de l'organisation État islamique en Syrie et en Irak doit obliger les forces de la coalition à revoir leur stratégie. photo EMA / Armée de l'Air

 

02/06/2015 Le Point.fr

 

Les pays réunis dans la lutte anti-djihadiste doivent débattre de la stratégie à adopter face aux avancées du groupe État islamique en Irak et en Syrie.

 

« Échanger sur la stratégie de la coalition » face à l'État islamique, tel est l'objet de la réunion qui se tient mardi à Paris, en présence du Premier ministre irakien Haider al-Abadi, de ministres et de représentants d'organisations internationales. En l'occurrence, la stratégie consiste actuellement à mener des raids et à former des soldats irakiens ou des rebelles modérés syriens pour l'action au sol.

Mais jusque-là, les quelque 4 000 raids menés par les États-Unis en dix mois n'ont pas réussi à stopper les djihadistes. Ces opérations ont peu de prise sur les « camions bombes » de l'EI et les efforts de formation n'ont pas empêché une débâcle de l'armée irakienne à Ramadi.

 

Reprendre le contrôle des milices chiites

Les plans irakiens pour la reconquête de cette ville, tombée aux mains de l'EI, seront au coeur de la réunion de Paris, a affirmé lundi un responsable américain qui a souhaité conserver l'anonymat. « Il ne s'agit pas d'une réunion de routine », a déclaré ce responsable. « Nous venons pour discuter avec le Premier ministre Abadi de son plan pour libérer Ramadi et la province d'Anbar », a-t-il ajouté.

Le Premier ministre irakien doit expliquer aux membres de la coalition ce que son gouvernement compte entreprendre pour reprendre la ville et la province d'Al-Anbar, et comment les partenaires internationaux peuvent lui venir en aide. Les Irakiens espèrent pouvoir mobiliser les tribus sunnites pour reconquérir la province d'Al-Anbar, mais Bagdad doit également reprendre rapidement le contrôle des milices chiites qui ont pour l'heure assumé l'essentiel des combats pour contenir l'avancée de l'EI. Ce rôle des milices chiites - soutenues par Téhéran - inquiète Washington.

« Il est très important que toutes les forces soient soumises au commandement et au contrôle du gouvernement et du Premier ministre irakien. C'est un des éléments fondamentaux du plan », a souligné le responsable américain.

 

Les frappes « ne suffisent pas »

Ces 24 dernières heures, la coalition a poursuivi les frappes contre les positions djihadistes en Irak, notamment à Al-Anbar, et en Syrie, surtout dans la province de Hassaké (Nord-Est). Le chef du Parlement irakien Salim al-Joubouri a déclaré à l'AFP que ces raids étaient « importants pour empêcher les djihadistes d'avancer, mais qu'ils ne suffisent pas pour mettre fin aux combats ».

L'EI, un groupe ultraradical sunnite, sème la terreur en Irak mais aussi en Syrie voisine où il a repoussé les forces gouvernementales dans le centre et avancé dans le nord, fragmentant encore davantage ce pays en guerre depuis quatre ans. Dans l'une des attaques les plus meurtrières cette année en Irak, 37 personnes ont été tuées lundi quand un kamikaze a lancé son véhicule blindé bourré d'explosifs contre une base de la police entre Samarra et le lac Tharthar, dans la province de Salaheddine (Nord-Ouest), selon des officiers. « Les morts sont surtout des policiers », a indiqué un médecin à l'hôpital de Samarra. Trente-trois personnes ont été blessées.

L'attaque n'a pas été revendiquée, mais son mode opératoire rappelle celui de l'EI, qui s'est emparé, au fur et à mesure qu'il avance dans des régions irakiennes, des véhicules blindés et des chars abandonnés par les forces irakiennes dans leur retraite.

Les djihadistes ont eu recours à une trentaine de ces « camions bombes », bourrés de tonnes d'explosifs et protégés avec des armatures en acier, dans leur conquête de Ramadi, la capitale de la province occidentale d'Al-Anbar, le 17 mai.

 

Mois le plus meurtrier en Syrie

La base visée lundi est située dans la zone d'opérations des forces gouvernementales et des milices chiites qui tentent de couper les voies de ravitaillement de l'EI dans Al-Anbar, que l'EI contrôle en grande partie. Aidées aussi de combattants de tribus loyalistes, ces forces ont lancé le 26 mai une opération à partir de la province de Salaheddine destinée à isoler les djihadistes dans celle voisine d'Al-Anbar, avant de donner l'assaut à Ramadi. Elles ont réussi à reprendre des secteurs autour de ce chef-lieu, mais le Premier ministre Haider al-Abadi a admis que les « camions bombes » faisaient hésiter ses troupes à entrer dans Ramadi.

Depuis leur offensive fulgurante lancée le 9 juin 2014, l'EI, accusé de crimes contre l'humanité, s'est emparé de larges pans du territoire irakien. Le 29 juin, il a proclamé un « califat » sur les territoires qu'il contrôle à cheval entre l'Irak et la Syrie, pays dans lequel il a profité de la guerre pour prendre le contrôle de vastes régions à partir de 2013.

En Syrie, le mois de mai a été le plus meurtrier depuis le début 2015 avec 6 657 morts, en majorité des soldats et des djihadistes, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Plus de 220 000 personnes ont péri depuis le début en mars 2011 du conflit. L'EI, qui contrôle la moitié du territoire syrien selon l'OSDH, a encore étendu son emprise près de la frontière turque (Nord) et au sud de la cité antique de Palmyre (Centre), conquise le 21 mai.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 11:55
Première utilisation des gaz lors de la Grande Guerre - Crédits Archives départementales de la Charente-Maritime

Première utilisation des gaz lors de la Grande Guerre - Crédits Archives départementales de la Charente-Maritime

 

02/06/2015 M. Bernard Edinger - armée de Terre

 

La première utilisation de gaz de combat à grande échelle sur le front de l’Ouest pendant la Première guerre mondiale eut lieu le 22 avril 1915 près d’Ypres en Belgique par les forces allemandes contre les troupes françaises.

 

« Nous avons vu le ciel absolument obscurci par un nuage jaune-vert qui lui donnait l’aspect d’un ciel d’orage », devait témoigner un médecin de bataillon cité par l’historien Yves Buffetaut.

« Nous étions alors dans les vapeurs asphyxiantes. J’avais l’impression de regarder au travers de lunettes vertes. En même temps, l’action des gaz sur les voies respiratoires se faisait sentir : brûlures de la gorge, douleurs thoraciques, essoufflement et crachements de sang, vertiges. Nous nous crûmes tous perdus. »

Un autre médecin, Octave Béliard, qui était en seconde ligne, vit refluer « des hordes sans chefs qui fuyaient. Des régiments entiers avaient jeté leurs armes, tournaient le dos à l’ennemi. Des hommes se roulaient par terre, convulsés, toussant, vomissant, crachant le sang. Et une terrible odeur  charriée par le vent, entra dans nos narines »

Toutefois, le nuage se dissipant, les troupes françaises se ressaisissent. Les forces allemandes, méfiantes du gaz, n’exploitent pas vraiment leur succès.

En dépit des immenses effets  psychologiques résultant de son usage, les pertes causées par les gaz pendant la Première guerre mondiale furent relativement limitées, en partie grâce aux  masques de plus en plus performants. Dans l’armée française, « seulement » 8.000 morts dus aux gaz sur 1.4 million tués pendant la guerre. Et 190.000 dangereusement atteints sur quatre millions.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 11:45
photo FAZSOI

photo FAZSOI

 

01/06/2015 Source: État-major des armées

 

Du 18 au 26 mai 2015, les Forces Armées de la Zone Sud de l’Océan Indien (FAZSOI) ont participé, avec les armées des autres pays de la région (Comores, Maurice, Seychelles, Madagascar), à un exercice militaire à Madagascar. Avec plus de 730 militaires déployés dans la grande île, dont 405 militaires français, 215 militaires malgaches, 60 Seychellois, et une soixantaine de Comoriens et de Mauriciens, cet exercice multinational était le plus important organisé sur le territoire malgache depuis 1999.

 

L’exercice Diana 2015, du nom de la région où il avait lieu, près de Diego Suarez au Nord de Madagascar, avait pour objet la protection des populations et la stabilisation d’une province en crise. La situation fictive était basée sur des schémas de crise traditionnels rencontrés sur les différents théâtres d’opération. Les objectifs étaient multiples : renforcer la coopération régionale, permettre aux forces armées de travailler sur des procédures communes, notamment les phases de déploiement et de manœuvres tactiques, et renforcer la coordination entre états-majors.

 

Cet exercice a demandé aux pays de la zone des efforts logistique et humain très importants. Les FAZSOI  avaient projeté des éléments et du matériel de toutes ses composantes : les deux régiments d’infanterie (2ème régiment de parachutistes d’infanterie de marine et le détachement de Légion étrangère de Mayotte), le détachement Air 181 et ses deux C160 Transall, dont c’était le dernier déploiement dans la zone avant le départ vers la métropole, le bâtiment de transport léger La Grandière, le groupement de soutien de la base de défense La Réunion-Mayotte, et le service de santé.

 

L’armée malgache a accueilli l’ensemble des forces sur l’une de ses bases militaires. Les officiers français et malgaches étaient binômés sur l’ensemble des postes d’état-major et ont utilisé des méthodes de travail correspondant aux normes OTAN. Les conditions de travail étaient celles d’une opération extérieure, l’ensemble des forces -y compris l’état-major- exécutant leurs missions dans des conditions rustiques.

 

Une grande cérémonie dans le stade de Diego Suarez a clôt l’exercice, en présence des chefs d’états-majors des armées malgaches, mauriciennes et seychelloises et du commandant supérieur des FAZSOI, le général de brigade Reignier. Elle a été l’occasion d’officialiser un jumelage entre le détachement de Légion étrangère de Mayotte et le 2èmerégiment des forces d’intervention basé à Diego Suarez. Le général Reignier a souligné l’exemplarité de cet exercice : « le travail en multinational et en interarmées est toujours un peu plus compliqué mais est devenu la norme sur les théâtres d’opération. Ces exercices multinationaux sont des moments de préparation opérationnels indispensables afin de contrer plus efficacement des menaces toujours plus fortes ». Enfin, les FAZSOI ont profité de ce déploiement pour acheminer à Madagascar 3 tonnes de matériel médical, 400 kg de médicaments et 600 kg de vêtements.

 

Les FAZSOI garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du théâtre « océan Indien » pour lutter contre de nouvelles menaces comme la piraterie ou l’immigration illégale, assurer la surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) associées à l’ensemble des îles de la zone de responsabilité et conserver une capacité régionale d’intervention rapide.

photo FAZSOIphoto FAZSOI
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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 10:55
Antoine de Saint Exupéry, pilote de guerre - Archives B. Marck

Antoine de Saint Exupéry, pilote de guerre - Archives B. Marck


source SHD
 

2 juin 1676 : bataille de Palerme. Durant la guerre de Hollande (1672-1678), le maréchal de Vivonne, général des galères de France, bat (avec ses adjoints bientôt prestigieux : Tourville, Duquesne, Forbin,…) une flotte hispano-hollandaise et donne à Louis XIV la suprématie en Méditerranée. Il surprend l’ennemi en train de se reconditionner dans le port de Palerme et sans perdre un seul bâtiment, lui cause de terribles dégâts. Vivonne a commencé sa carrière dans la cavalerie où il montre courage et esprit puis demande à servir sur mer avant de finir sa vie auprès de Louis XIV qui l’apprécie pour ses nombreuses qualités.

 

2 juin 1781 : prise de Tobago (Antilles). Le lieutenant général de Grasse débarque 1000 hommes aux ordres du marquis de Bouillé dans la baie de Courlande après avoir fait croire aux Anglais qu’il voulait attaquer l’ile de Sainte Lucie (250 km au Nord).

voir La stratégie de la Marine Française de l’arrivée de Sartine à la victoire de Chesapeake

 

2 juin 1805 : reprise du rocher du Diamant par les Français (La Martinique). Les Britanniques occupent l'îlot au large de la Martinique depuis janvier 1804 dans le cadre de la guerre que se livrent les Français et les Anglais pour le contrôle des Antilles. Le rocher du diamant est un promontoire permettant de surveiller le canal entre la Martinique et  l’ile de Sainte Lucie. Défendu par une petite garnison (une centaine d’hommes) et des canons hissés à son sommet, le rocher remplit la fonction d’un « vaisseau immobile » de sa majesté d’où le nom donné par l’amirauté britannique, HMS Diamond Rock. Le futur contre-amiral français Cosmao en attaquant, sur ordre de Villeneuve, la garnison retranchée sur l’ilot, a percé d’un coup de boulet de canon les citernes d’eau, obligeant celle-ci à se rendre.

 

2 juin 1898 : le capitaine Simond découvre le vecteur de la peste (Karachi – actuel Pakistan). Affecté au service de santé des colonies, le capitaine-médecin Paul-Louis Simond met en évidence le rôle de la puce du rat dans la transmission de la maladie (de la puce au rat), lors d’un séjour aux Indes anglaises où sévit une épidémie de peste. Il est l’un des plus grands épidémiologistes français. Il termine sa carrière en tant que directeur du service de santé de l’Indochine après avoir effectué de très nombreuses missions scientifiques (Chine, Empire ottoman, Indes …).  

 

2 juin 1940 : Saint Exupéry reçoit la croix de guerre.  Suite à une mission au-dessus de la ville occupée d’Arras, Saint Exupéry est cité à l’ordre de l’armée. C’est d’ailleurs cette mission qui lui donnera la matière pour son ouvrage Pilote de guerre, d’abord paru en anglais sous le titre Flight to Arras.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 10:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

01/06/2015 Asp Julie Beck - Armée de l'air

 

Du 26 mai au 05 juin 2015, d’importants moyens de défense sol-air sont déployés autour des installations radars de Narbonne pour l'exercice GBADEX. Les unités engagées évoluent dans un environnement tactique dense. Présentation.

 

Le point de vue est saisissant depuis l’élément « air » rattaché 944 de Narbonne (Aude). En ce matin ensoleillé, en plein cœur du vignoble roussillonnais, tenues de combat et casques lourds sont de rigueur. Les aviateurs de l’escadron de défense sol-air (EDSA) 1/950 « Crau » d’Istres sont en exercice d’évaluation. Ils mettent en œuvre des systèmes d’arme perfectionnés et performants, au bénéfice de la protection. Leur mission : protéger les radars de haute altitude installés sur la petite emprise de l’armée de l’air. Parmi les moyens déployés, le Crotale NG (nouvelle génération) est un système d’arme de courte portée assurant les fonctions de surveillance, de poursuite et de tir. Plusieurs sections de défense sol-air Mamba scrutent également le ciel à l’affût des menaces aériennes, leur radar actionné et la rampe du module d’engagement prête à déclencher sa batterie de missile Aster 30.

 

Le Mamba assure la défense sol-air face à un large éventail de menaces aériennes, allant du drone à l’hélicoptère, en passant par les avions et les missiles balistiques de théâtre. « De nombreux aéronefs, Mirage 2000N et D sont donc engagés dans cet exercice afin de créer un environnement réaliste, propice à l’entraînement de qualité », témoigne le lieutenant-colonel Éric Tabacchi, chef du bureau de la défense sol-air à la brigade aérienne du contrôle et de l’espace. Le développement des compétences dans le domaine des liaisons de données tactiques L16, épine dorsale de la chaîne de la défense aérienne, est une priorité de ce GBADEX. Chaque composante, au sol ou en vol, partage sa situation tactique dans un réseau relié par des moyens de transmissions performants mis en œuvre par le groupement de transmissions aéronautique d’Évreux.

 

Cette semaine, la montée en puissance se poursuit en pays cathare. Le magazine Air actualités consacrera par ailleurs un dossier à la défense sol-air dans son numéro de juillet/août 2015.

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