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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 07:45
Le général de Villiers en visite officielle au Maroc

 

11/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 8 et 9 avril 2015, à l’invitation du  général de corps d’armées Bouchaib Arroub, inspecteur général des forces armées royales (FAR), le général d’armée Pierre de Villiers s’est rendu à Rabat, au Maroc, où il était reçu par monsieur Abdeltif Loudyi, ministre délégué auprès du Chef du Gouvernement chargé de l'Administration de la Défense Nationale.

 

Partenaires historiques, la France et le Maroc partagent une vision commune des grands enjeux de défense. Cette rencontre a été l’occasion de confirmer la continuité de notre coopération militaire bilatérale, portée par une dynamique d’échange de savoir-faire et de partage de compétences. Cela a également permis aux hautes autorités de défense marocaines et au CEMA de saluer l’excellence de la coopération opérationnelle entre nos forces armées, dans le cadre bilatéral et dans celui du partenariat « 5+5 défense », et d’encourager le développement de notre interopérabilité.

 

Le CEMA a également souligné la qualité de l’action des forces marocaines dans le cadre des opérations de maintien de la paix menées en Afrique, aux côtés des forces françaises. Il a notamment évoqué leur engagement au sein de la MINUSCA en Centrafrique, en liaison avec  la force Sangaris,et en Côte d’Ivoire dans le cadre l’ONUCI.

 

Rappel

Lancé en décembre 2004, le partenariat « 5+5 défense » s’inscrit dans le cadre de l’Initiative 5+5 associant cinq Etats de la rive Nord de la Méditerranée (Espagne, France, Italie, Malte et Portugal) et cinq Etats de la rive Sud (Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie). Dans le domaine de la défense, cette enceinte de coopération multilatérale privilégie plusieurs axes : la surveillance maritime, la sûreté aérienne, la contribution des forces armées à la protection civile en cas de catastrophe majeure et la formation.

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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 07:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

13 Avril 2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 12 au 16 avril, le groupe aéronaval français (GAN), engagé aux côtés du groupe du porte-avions Carl Vinson au sein de la Task Force 50 depuis le 23 février, assure seul la permanence aéronavale de la coalition dans le golfe arabo-persique.

 

Pendant ces quatre jours, cette permanence sera assurée uniquement par le groupe aéronaval français. Pour la première fois dans l’histoire de la coopération navale entre les deux pays, le porte-avions Charles de Gaulle et ses escorteurs remplacent le groupe aéronaval américain dans un contexte opérationnel. En effet, cette relève permettra au porte-avions USS Theodore Roosevelt de prendre hors du golfe arabo-persique la relève de l’USS Carl Vinson qui rentre à son port de base.

 

Le rôle qu’assume depuis le GAN depuis le 12 avril dans cette région du monde illustre le haut niveau de confiance et d’interopérabilité qui unit les deux  marines. Le général Dempsey, chef des armées américaines, a ainsi confié le 8 mars dernier. : « Sans le Charles de Gaulle nous n’aurions pas pu combler le fossé causé par le départ du Carl Vinson du Golfe ».

 

Déployés dans l’océan Indien et le golfe arabo-persique dans le cadre de leur mission « Arromanches », le porte-avions Charles de Gaulle, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, le pétrolier-ravitailleur Meuse, la frégate anti sous-marine HMS Kent et un sous-marin nucléaire d’attaque sont aujourd’hui dans leur 8e semaine d’opération au large de l’Irak. Aux côté des aéronefs français de l’armée de l’Air et de ceux de la coalition, les avions du groupe aérien embarqué réalisent chaque jour des missions de reconnaissance, de commandement et de contrôle de l’espace aérien, et d’appui aux forces irakiennes.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 3 200 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliées de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion de contrôle aérien E3F, d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et du groupe aéronaval et de son groupe aérien embarqué (douze Rafale Marine, neuf Super Etendard modernisés et un Hawkeye).

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 17:55
Inauguration du centre de renseignement opérationnel de la gendarmerie de l'air (CROGAIR)

 

10/04/2015 Armée de l'air

 

Mercredi 8 avril 2015, le général Michel Pattin, directeur des opérations et de l’emploi de la gendarmerie nationale, et le général Antoine Creux, major général de l’armée de l’air ont inauguré le centre de renseignement opérationnel de la gendarmerie de l'air (CROGAIR).

 

Le colonel Patrick Aubert, commandant la gendarmerie de l'air, a accueilli le général Pattin et le général Creux à l’état-major de la gendarmerie de l'air à Villacoublay et leur a présenté les missions du CROGAIR.

 

Puis, l'adjudant-chef Arnaud Quelin, commandant le centre opérationnel, a exposé les fonctionnalités du nouveau centre en présence des trois commandants de groupement et du commandant de la section de recherches de la gendarmerie de l’air.

 

À cette occasion, le général Michel Pattin s’est félicité de voir la gendarmerie de l’air s’intégrer parfaitement dans un dispositif où la recherche et l’exploitation du renseignement sont une priorité. Le général Creux a, pour sa part, salué cette initiative venant compléter de façon pertinente, le plan Unis pour « Faire Face » de l’armée de l’air.

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:50
Rear Admiral Anders Grenstad photo sverigesradio.se

Rear Admiral Anders Grenstad photo sverigesradio.se

 

13 Apr 2015 thelocal.se

 

UPDATED: A suspected submarine spotted in the Stockholm archipelago a week after Sweden's extensive hunt for Russian underwater vessels last autumn was only a civilian boat, Sweden's Armed Forces have now said. But they remain convinced that the first sighting was a small foreign sub.

 

 

On October 31st 2014, retired naval officer Sven Olof Kviman snapped a picture of what looked like a 20-30 metre long, black submarine in waters just outside Lidingö in Stockholm. The incident has remained unconfirmed, but has been classed by the military as a “potential” submarine.

But Rear Admiral Anders Grenstad has now told Swedish newspapers that the Armed Forces reported to the Swedish government last Wednesday that the suspected underwater vessel was in fact only a civilian “working boat”.

 

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

10/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 23 février au 6 mars 2015, un détachement d’assistance opérationnelle « feux dans la profondeur » de l’unité de coopération régionale des Eléments Français au Sénégal (EFS), s’est rendu au centre d’entraînement tactique n°7 (CET7) de Thiès, au Sénégal. Ils y ont conduit une action de formation artillerie au profit de soldats sénégalais.

 

Les stagiaires sénégalais issus des sections de mortiers des 4ème  et 6ème bataillons d’infanterie et du bataillon parachutiste des forces armées sénégalaises (FAS), ont reçu une formation qui avait pour objectif de les remettre à niveau dans le domaine de l’artillerie. Le travail s’est axé autour des domaines suivants : calcul des éléments de tir (EPT), service de la pièce (EDP) et utilisation d’une équipe de reconnaissance (RECO), permettant ainsi de gagner en vitesse lors de l’équipement d’une position de tir.

 

La première semaine a été consacrée à l’instruction théorique, dispensée entre salle de cours. La deuxième semaine a quant à elle été réservée à la mise en pratique des savoir-faire acquis. Des exercices ont été effectués sur le terrain de manœuvre du CET7, permettant ainsi au personnel de s’entraîner à la manœuvre tactique et d’appliquer les procédures de travail étudiées plus tôt.

 

Au terme de ces deux semaines enrichissantes, les forces armées sénégalaises et le détachement des EFS ont procédé à la traditionnelle cérémonie de remise des attestations de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:30
Passex franco-américaine pour le « Cassard »

 

10/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 7 au 8 avril 2015, la frégate antiaérienne Cassard, déployée en Méditerranée depuis le 26 mars, a conduit aux larges des côtes de Chypre, une série des manœuvres conjointes avec les unités de la marine américaine présentes dans cette zone.

 

Le Cassard a réalisé des exercices avec les deux destroyers de l’US Navy l' USS Laboon et l' USS Ross, qui sont, au même titre que les bâtiments français, des acteurs incontournables dans la  Méditerranée, région d’intérêt stratégique pour la France. L’objectif de ces manœuvres était le renforcement de l’interopérabilité des deux marines alliées.

 

Transferts de personnels, tirs d’artillerie conjoints, évolutions tactiques et appontages et décollages de l’hélicoptère français Panther sur les bâtiments américains ont rythmé ces deux journées. Au cours de ces activités, notamment par la précision de leur tir, les équipages français et américains ont pu constater qu’ils avaient un savoir-faire et des procédures très similaires, permettant d’obtenir des performances équivalentes.

 

Ce type de coopération permet aussi de partager avec nos alliés dans cette région des procédures communes, mais aussi des informations, analyses des menaces et retour d’expériences différents qui participent pleinement à l’appréciation générale de situation. Cet entraînement a aussi renforcé l’interopérabilité et les liens de confiance qui existent depuis des décennies entre les deux marines amies.

 

Déployée en Méditerranée orientale depuis le 20 mars, la frégate Cassard y a relevé la frégate La Fayette. Dans cette partie de la Méditerranée traversée par d’importants flux maritimes et dont plusieurs pays riverains connaissent de graves tensions, le Cassard prend part à la sécurisation et au contrôle des voies maritimes et participe au recueil de renseignement et à l’entretien de la connaissance générale de la zone.

 

Au cours de leurs missions en méditerranée orientale, les bâtiments français conduisent régulièrement des entraînements avec les pays riverains, mais également avec des navires alliés présents dans la zone afin d’améliorer notre interopérabilité et d’être en mesure d’effectuer des missions opérationnelles conjointes ou en coalition.

Passex franco-américaine pour le « Cassard »
Passex franco-américaine pour le « Cassard »
Passex franco-américaine pour le « Cassard »
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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:25
Exercice Madiana

 

10/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

L’île de la Martinique a été le théâtre d’un exercice d’envergure nommé Madiana en mars 2015. Un coup d’Etat fomenté par un groupe insurrectionnel menace l’équilibre de l’île.

 

Le détachement Terre Antilles - 33e régiment d’infanterie de marine (DTA-33e RIMa) est déployé rapidement ainsi que des éléments des deux autres armées. Pendant une semaine, les militaires ont manœuvré afin de reprendre le contrôle de la situation. Cet entraînement à dominante interarmées a permis de perfectionner les techniques d’intervention et d’accroître l’interopérabilité entre les services de sécurité de l’Etat.

 

Explications en images.

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:25
photo 3e REI

photo 3e REI

 

13-04-2015 par 3e REI Réf : 222 | 491

 

Le jeudi 12 mars 2015, la 3e section de la 2e compagnie du 3e Régiment étranger d'infanterie a présenté le site d'orpaillage illégal de CACAO au général d'armées MARGUERON et au général d'armées de l'air CASPAR FILLE-LAMBIE qui menaient une étude relative aux conditions d'engagement des forces armées sur le territoire national dans le cadre des missions HARPIE.

 

Après une présentation de l'historique du site par le capitaine G., commandant la 2e compagnie, la visite s'est déroulée en 3 parties. Tout d'abord, les légionnaires ont exposé, sous forme d'ateliers, le matériel qu'ils emportent pendant les missions HARPIE. Ensuite, le SGT W. a expliqué le fonctionnement d'un site d'orpaillage primaire. Enfin, le général d'armée MARGUERON s'est entretenu avec les cadres et gendarmes présents pour aborder de manière très libre le sujet des REF pendant les missions HARPIE.

 

Lors de la présentation des ateliers, le général d'armée MARGUERON a été particulièrement intéressé par la capacité de communication des patrouilles en forêt. En effet, la BGAN (moyen satellitaire IMMARSAT) permet aussi bien d'effectuer de la transmission de données que des appels en phonie pratiquement partout en forêt. Cela donne aux patrouilles l'assurance de pouvoir rendre compte à n'importe quel moment et à n'importe quel endroit, et cela permet aussi d'envoyer des photographies et autres messages formatés.

 

Le SGT W. a ensuite exposé de manière claire et précise le fonctionnement d'un site d'orpaillage primaire, de l'extraction du quartz aurifère dans les puits jusqu'à l'obtention de la poudre d'or.

 

Lorsque la section a reconnu le site la veille, deux garimpeiros étaient encore à l'œuvre. Ils se sont enfuis en abandonnant leurs matériels sur place. C'est pourquoi deux gendarmes de Régina étaient présents, notamment pour saisir un fusil Baïkal. Cela a permis au général d'armée MARGUERON d'aborder le sujet des REF sur les missions HARPIE " in situ ". De manière très libre et franche, les problématiques et possibles solutions ont été évoquées et mises en confrontation entre les gendarmes et les militaires.

 

Cette présentation in situ de la lutte contre l'orpaillage illégal a permis au général de se rendre compte de la complexité de la mission HARPIE, aussi bien dans sa composante militaire que judiciaire. Il a également pu apprécier la variété et l'intensité des missions remplies par le régiment.

 

Reportage photos

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 07:56
Nouveau bâtiment pour la maison du légionnaire

 

10/04/2015 Gabriel Boyer - Armée de Terre

 

Le 31 mars 2015, une cérémonie d’inauguration pour un nouveau bâtiment d’hébergement s’est tenue à « la maison du légionnaire » à Auriol (13). Cette maison financée par les légionnaires a pour but d’héberger les anciens en difficulté. Découverte en images.

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 07:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

09/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

Du 23 au 25 mars, la 1re compagnie de combat du 19e régiment du génie (19e RG) de Besançon a organisé un raid de fin de stage, dans le Haut Doubs.

 

A cette occasion, la coopération de deux hélicoptères Puma du 3e régiment d’hélicoptères de combat (3e RHC) d’Etain a permis d’enrichir l’exercice. Cette manœuvre d’ampleur conclut la formation générale élémentaire et de spécialité (FGE et FSE) des futurs gradés du régiment. Durant la synthèse, les cinquante stagiaires ont parcouru plus de 40 km dans les massifs forestiers de la région et ont été confronté à divers ateliers d’évaluation.

Le 19e RG, implanté à Besançon depuis 1964, participe au combat de contact dans ses missions à l’étranger. Il fournit un appui à la contre mobilité (minage et destruction) à la mobilité (ouverture d’itinéraires et franchissement) et au déploiement lourd (réalisation de chantiers d’envergure).

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 07:55
La compagnie d’intervention « Églantine » s’est entraînée photo T. Champetier - Armée de l'air.jpg

La compagnie d’intervention « Églantine » s’est entraînée photo T. Champetier - Armée de l'air.jpg

 

10/04/2015 Armée de l'air

 

Du 6 au 10 avril 2015, toutes les bases aériennes vivent au rythme de l’exercice Basex.

 

Un entraînement grandeur nature

Réalisé deux fois par an, cet entraînement grandeur nature, dirigé par le commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA), vise à éprouver les aviateurs en condition opérationnelle. Il s’agit de les entraîner à mettre en œuvre, dans des délais très brefs, un ensemble de mesures afin de faire face à un éventail de situations de crise, de menaces ou d’agressions.

Les aviateurs s’exercent individuellement, en pratiquant des exercices de tir, de secourisme, ou en s’entraînant aux techniques d’autodéfense. Ils ont aussi été mobilisés collectivement lors d’incidents injectés à la fois par le CDAOA et par les bases.

 

La base aérienne 115 d’Orange en mode Basex

La base aérienne 115 d’Orange a mis en œuvre divers exercices. Au programme : exercice hydrazine (tester les procédures en cas d’accident ou incident à l’hydrazine en cas d’accueil de F16 par exemple), exercice perte d’objet en vol, ou encore entraînement au tir ISTC (instruction au tir au combat).

L’entraînement Basex est l’occasion de tester la réactivité des aviateurs face à des situations diverses, telles que des intrusions sur piste, des tentatives d’entrée extérieure au sein de la base, ou des déclenchements soudains de l’alarme incendie. Assistée par la gendarmerie mobile d’Orange, la compagnie d’intervention « Églantine » s’est entraînée à réagir rapidement face à une manifestation fictive à l’entrée de la base.

Enfin, la base aérienne 115 d’Orange a été choisie comme support d’un entraînement NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique). Les aviateurs devaient réagir à diverses attaques et mettre en œuvre tous les moyens de protection et de secours appropriés.

photos T. Champetier - Armée de l'airphotos T. Champetier - Armée de l'airphotos T. Champetier - Armée de l'air
photos T. Champetier - Armée de l'airphotos T. Champetier - Armée de l'air

photos T. Champetier - Armée de l'air

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 07:55
Le Normandie-Niémen

 

10/04/2015 par DICoD

 

Lorraine, Bretagne, Anjou, Béarn, Provence, Côte-d’Argent… Les escadrons de l’armée de l’air française portent souvent un nom lié à la géographie de notre pays. Pourtant, quelques-uns échappent à cette règle. Parmi eux, le Normandie-Niémen.

 

Aux sources du Niémen…

 

Le Niémen est un fleuve d’Europe de l’Est qui prend sa source en Biélorussie, traverse la Lituanie et longe la frontière russe. Pour comprendre le rapport entre ce fleuve, la Normandie et notre escadron de chasse, il faut remonter à la Seconde Guerre mondiale. Après la rupture du pacte de non-agression germano-soviétique en 1941, le général de Gaulle tente un rapprochement avec l’Union soviétique. En 1942, il décide qu’une unité d’aviation de chasse sera désormais présente sur le Front de l’Est. À cette époque, il existe déjà deux groupes de chasse : l’Alsace et l’Île-de-France. Cette nouvelle formation s’appelle Normandie. Soixante militaires français, dont quinze pilotes, sont alors envoyés à 250 km au nord-est de Moscou, sur la base d’Ivanovo. Ils disposent de quelques mois seulement pour apprendre à communiquer avec leurs nouveaux collègues soviétiques, s’adapter aux conditions climatiques très rudes, et apprendre à se repérer dans les paysages immenses et recouverts de neige.

 

Les débuts d’une unité exemplaire

 

En mars 1943, ils sont fin prêts. À bord des Yakovlevs (ou Yaks) fournis par le commandement soviétique, les Français entament la première de leurs trois campagnes le 22 mars 1943. Au fil des combats, les pilotes français deviennent rapidement des modèles pour leurs homologues soviétiques. Le 21 juillet 1944, par ordre de Staline, l’unité française reçoit le titre de « Régiment du Niémen », et change alors son nom en Normandie-Niémen. Elle est la seule unité de chasse française à porter l’appellation de régiment et à être pourvue d’un drapeau. Le 27 novembre 1944, le Normandie-Niémen est la première unité française à stationner sur le sol allemand. Entre mars 1942 et mai 1945, fin de leur troisième et dernière campagne, les 97 pilotes engagés comptent pas moins de 273 victoires confirmées avec dans ses rangs une trentaine d’As, dont une dizaine comptabilisent plus de 10 victoires chacun. Quarante-deux officiers ne reviendront jamais en France. À la fin de la guerre, les pilotes ont l’honneur de retrouver le sol français à bord des avions qui leur ont permis de s’illustrer dans le ciel soviétique. Ces militaires exceptionnels reçoivent de nombreuses décorations, tant françaises que soviétiques.

 

Le 3 juillet 2009, alors basé à Colmar, l’escadron est officiellement mis en sommeil. Il est finalement recréé le 1erseptembre 2011 et devient le quatrième escadron Rafale de l’armée de l’Air.

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 07:20
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

11/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

Du 10 au 28 février 2015, 5 plongeurs du 13e régiment de génie (13e RG) de Valdahon ont participé à l’exercice annuel Roguish Buoy qui s’est déroulé au Québec.

 

Organisé par l’armée Canadienne, cet entraînement avait pour but l’amélioration des capacités opérationnelles et l’échange des procédés entre plongeurs des différentes nations. Au total, près de 70 spécialistes venus de 5 pays ont bravé les conditions extrêmes en s’exerçant par des températures proches des -40°C.

 

Le 13e RG a pour mission de faciliter l’engagement des troupes au contact. A cette fin, il dispose de moyens permettant d’ouvrir des itinéraires, d’aider au franchissement et d’aménager le terrain. Par ailleurs, il a la particularité d’organiser le traitement de l’eau.

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12 avril 2015 7 12 /04 /avril /2015 11:55
photos EMA

photos EMA

 

08/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 7 avril 2015, la maison des blessés et des familles de l’hôpital d’instruction des armées (HIA) Percy a été inaugurée par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, en présence du général Gratien Maire, Major Général des Armées, représentant le CEMA. Cette structure inédite, qui a mobilisé de nombreuses énergies, est une belle réussite.

 

Partant du constat de la saturation sur Paris des capacités d’hébergement des familles et de l’allongement de la durée d’hospitalisation des blessés, le projet est lancé en 2011.

 

A l’hôpital Percy, les familles au cœur de la reconstruction des blessés

La nouvelle structure apporte aux blessés et à leurs familles de meilleures conditions d’accueil dans la durée. Elle permet aux proches d’assurer une présence régulière, un vrai atout dans le parcours de reconstruction. En facilitant une prise en charge globale et intégrée des blessés de guerre, elle s’inscrit ainsi pleinement dans le projet de transformation « Modèle SSA 2020 ».

 

Le choix du HIA Percy pour l’implantation de cette première maison des blessés tient au fait que cet hôpital est la structure d’accueil principale des blessés rapatriés depuis les théâtres d’opérations. En conséquence, il rassemble l’ensemble des disciplines médico-chirurgicales et de réanimation et propose un secteur de rééducation et de réhabilitation indispensables à la reconstruction des blessés. Enfin, il disposait de l’espace disponible pouvant recevoir cette nouvelle structure.

 

Ainsi, une maison de 1 000m² a été construite par le groupe Vinci SRC. Celle-ci se compose de six studios et de cinq autres logements plus spacieux, pour un total de onze appartements. Tous partagent une zone de vie commune où les différentes familles peuvent se retrouver. A l’intérieur, l’infrastructure a été conçue pour une plus grande autonomie du blessé.

 

D’un coût de 4 millions d’euros, le projet a pu aboutir grâce à l’action conjuguée du ministère de la Défense, dont l’état-major des armées (EMA) et le SSA, bien sûr, mais aussi du secrétariat général de l’administration (SGA), de la direction de la mémoire, du patrimoine et des archives (DMPA), du service de l’infrastructure de la Défense (SID) et de l’inspection générale des armées (IGA). A cet effort s’ajoute celui des associations « Terre fraternité », « Solidarité défense » et « Bleuet de France », ainsi que de « l’Association nationale des femmes de militaires » (ANFEM). Le projet doit aussi beaucoup à l’investissement de l’ensemble du personnel hospitalier de l’HIA Percy, désireux d’apporter aux blessés tout le soutien et l’accompagnement qu’ils méritent.

A l’hôpital Percy, les familles au cœur de la reconstruction des blessés
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12 avril 2015 7 12 /04 /avril /2015 11:55
L'arme du Train a fêté ses 208 ans

 

08/04/2015 SCH Beltran - : armée de Terre

 

Le 26 mars 1807, Napoléon Ier créait l’arme du train des équipages militaires pour s’affranchir des ressources réquisitionnées aux entreprises privées.

 

Ce 31 mars 2015, le 503e régiment du train (503e RT) situé à Nîmes-Garons a commémoré le 208e anniversaire de l’évènement. Une prise d’armes était organisée pour l’occasion. 300 invités civils et militaires, parmi lesquels Didier Martin, préfet du Gard et Jean-Paul Fournier, sénateur-maire de Nîmes, ont assisté à la cérémonie. Cette manifestation, empreinte d’histoire et d’émotion a permis aux spectateurs de découvrir les uniformes de l’Empire, portés par la garde au drapeau.

 

Le 503e RT participe en France et à l’étranger au ravitaillement opérationnel et à l’appui mouvement des forces.

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11 avril 2015 6 11 /04 /avril /2015 11:55
Le numéro d'avril d'Armées d'aujourd'hui est en ligne


 08/04/2015  La Rédaction de Armées d’Aujourd’hui

 

Comme tous les mois, retrouvez dès maintenant la revue du ministère en version numérique sur notre site.

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ouvre le numéro d’avril 2015 d’Armées d’Aujourd’hui  avec  les grandes échéances  du ministère pour l’année : actualisation de la loi de programmation militaire, prolongation jusqu’à l’été au minimum du dispositif de protection du territoire national avec l’opération Sentinelle,  projet de loi sur le renseignement, expérimentation en métropole du service militaire adapté tel qu’il existe en outre-mer, inauguration du nouveau siège du ministère, Hexagone Balard, en octobre et enfin présentation du futur système de paie en décembre. Autant de rendez-vous à honorer.

Opérations extérieures, opérations intérieures, les forces françaises sont engagées sur tous les fronts. Focus sur Sentinelle,  Chammal, Sangaris, ou encore Titan.

 

Prenez le large en suivant pendant dix jours la centaine d’officiers-élèves  embarqués pour cinq mois sur la Jeanne d’Arc afin de découvrir la vie de marin et parfaire leur formation au cours d’exercices qui les mèneront jusqu’en mer de Chine.

Le dossier vous emmène dans le quinzième arrondissement de Paris, où le projet d’unification du ministère prend corps. Il vous permet de découvrir comment l’Hexagone Balard a pris forme, les équipements et les prestations qu’il offre aux 9 300 civils et militaires qui y travailleront, les qualités écologiques du bâtiment principal ou encore comment les commerçants se sont préparés à l‘arrivée de leurs nouveaux voisins.

La rubrique Détour , nous propose de découvrir les images du génocide filmées par les opérateurs militaires soviétiques avec  l’exposition « Filmer la guerre : les soviétiques face à la Shoah », de rencontrer le général François Meyer qui à l’indépendance de l’Algérie, sauvent 350 harkis, enfin d’apprendre que quatorze millions d’animaux ont été mobilisés dès août 1914 pour combattre aux côtés des hommes, au service de la France.

Bonne lecture.

 

  >>> Lire le magazine

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11 avril 2015 6 11 /04 /avril /2015 11:25
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

09/04/2015 Gabriel Boyer - armée de Terre

 

Les forces armées aux Antilles (FAA) garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis les départements de la Martinique et de la Guadeloupe. Leurs principales missions sont : le soutien de l’action de l’Etat, la lutte contre le narcotrafic en mer et le soutien aux populations en cas de catastrophe ou d’événement particulier. Explications en images.

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11 avril 2015 6 11 /04 /avril /2015 07:55
Instruction sur le mortier de 60 mm. - Crédits : ECPAD

Instruction sur le mortier de 60 mm. - Crédits : ECPAD

 

10/04/2015 Général (2S) Bernard Amrhein et B. Edinger - Armée de Terre

 

En 1914, après la Bataille de la Marne, la guerre s’immobilise dans la boue des tranchées. De nouvelles armes d’appui sont inventées pour faire face à un type de guerre inédit.

 

Edgar Brandt, un réserviste qui dirige un atelier de ferronnerie dans le civil, conçoit un obusier pneumatique portable de 60 mm, à tir courbe et à culasse pivotante, reposant sur un affût tripode de mitrailleuse.

Brandt met à profit ses permissions pour réaliser un prototype. Enthousiasmé par la simplicité, la robustesse et la légèreté de cet obusier, l’état-major renvoie Brandt dans son atelier comme « affecté spécial », avec une commande de 500 pièces de type A – Modèle 1915, qui seront rapidement livrées aux unités du front, où elles feront merveille.

« Sa valeur opérationnelle était grande puisquil ne produisait aucun bruit, aucune fumée détectrice au départ des coups. C’étaient des coups de surprise et c’était donc une arme de harcèlement souvent employée quand les positions étaient rapprochées », explique le général (2S) Guy François, spécialiste de l’artillerie de l’époque.

L’innovation réside dans le mode de propulsion pneumatique, qui permet, sans détonation ni lueur, de tirer un obus de la taille d’une grosse grenade jusqu’à 400 m, portée idéalement adaptée à l’appui des fantassins dans les tranchées. Outre sa discrétion,il permet d’utiliser des munitions allégées ne nécessitant ni douille, ni apport de charge propulsive.

 

>>> voir article Se souvenir dans Terre Information Magazine n° 262 de mars 2015, pages 50 et 51.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:55
 Conférence le mercredi 15 avril "Faut-il intervenir militairement en Afrique ?"

 

09/04/2015 IRSEM

 

Conférence organisée par l’Ecole des Affaires internationales de Sciences Po (PSIA) et l'IRSEM le mercredi 15 avril de 17h15 à 19h "Faut-il intervenir militairement en Afrique ?" à l'amphithéâtre Leroy-Beaulieu-Sorel, Bâtiment A - Sciences Po, 27 rue Saint-Guillaume, 75007 PARIS

 

Faut-il intervenir militairement en Afrique ?

Mercredi 15 avril de 17h15 à 19h

Sciences Po - PSIA
Amphithéâtre Leroy-Beaulieu-Sorel, Bâtiment A
27 rue Saint-Guillaume
75007 PARIS

Introduction par

Ghassan Salamé, Doyen de l'Ecole des Affaires internationales de Sciences Po (PSIA)

Conférence en présence de :

- Richard Banegas, Professeur à Sciences Po (Sous réserve)
- Sonia Le Gouriellec, Chargée d’études à l’IRSEM
- Colonel Philippe Susnjara, Chef du bureau Afrique de l’Etat-major des armées et enseignant à l'Ecole des Affaires internationales de Sciences Po (PSIA)

Discussion par :

- Général Vincent Desportes, Enseignant à l'Ecole des Affaires internationales de Sciences Po (PSIA)

Inscription :
psia.events@sciencespo.fr

 

A cette occasion de cette conférence, le prix IRSEM-PSIA 2015 du meilleur devoir sur le thème de la sécurité, sera remis aux deux lauréats.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:50
Exercice Bataillon « Burly Piranha »

 

02/04/2015 Rudi Vandenweyer – MIL.be

 

Fin avril, aura lieu l’évaluation nationale (NATEVAL) du Bataillon Bevrijding – 5 Linie durant laquelle l’état de préparation de l’unité sera contrôlé. Après la réussite de ce test important, l’unité sera en standby pour un éventuel engagement opérationnel à l’étranger.

 

Afin de se préparer, de nombreux exercices ont été exécutés durant ces six derniers mois dont, entre autres, des entraînements aux Pays-Bas et en Suisse. Comme dernière activité de préparation à l’évaluation, le bataillon a effectué un exercice à grande échelle dans le “Pays de Herve” entre le 24 et le 27 mars 2015.

 

À cette occasion, le Battle Group était composé du bataillon Bevrijding – 5 Linie, d’éléments provenant du Bataillon Artillerie, du 11e Bataillon Génie, du 10e groupement systèmes de Communication et d’information, du 18e Bataillon Logistique et du 2e Elément médical d’intervention. Des hélicoptères du 1er Wing ont soutenu les opérations durant toute la semaine.

 

Les colonnes sont parties de Bourg-Léopold vers une zone de rassemblement tactique à Visé. De là, une attaque fut lancée sur les rebelles qui se retranchaient dans la gare de triage de Montzen. Après la réussite de cette action, une Forward Operating Base (FOB) y fut installée et les opérations de stabilisation purent commencer : escorte d’un grand convoi de biens de première nécessité, capture d’un fabricant de bombes artisanales à Remersdaal et démantèlement de son atelier, installation d’un poste de combat avancé, évacuation d’une septantaine d’enfants de l’école internationale de La Clouse…  Finalement, une attaque de grande envergure fut exécutée sur le sanatorium du Limbourg où le reste des ennemis s’était rassemblé. Après le succès de cette dernière action, le 29e Bataillon Logistique se chargea d’installer un centre de soutien de convoi ou les véhicules purent faire le plein et les militaires se nourrir.

Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
Exercice Bataillon « Burly Piranha »
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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:45
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

9 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

À la suite d’une importante catastrophe naturelle, qui a entraîné de lourds dommages et l’infiltration de bandes armées, la décision d’évacuer nos ressortissants est prise : l’exercice Wakri 2015 commence.

 

Les officiers élèves (OE) de la promotion 2012 de l’École navale débarquent sur la plage d’Arta de Djibouti en hélicoptère ou en engins amphibies.

 

Ils sont intégrés à un dispositif interarmées où l’armée de Terre et la Marine vont mener des actions sur terre, en mer et dans les airs.

 

Les élèves sont répartis en 8 escouades, dirigées par un élève motivé par le métier de commando. Un sous-lieutenant de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr tient le role d’adjoint et un médecin des armées assure le soutien santé de chaque groupe.

 

Les « fanas commandos » sont testés sur leur sens du commandement, leur capacité à organiser leurs équipes en fonction de leurs missions, et leur lucidité en conditions dégradées. L’enjeu est de taille car l’évaluation finale conditionnera la possibilité de vivre leur passion.

 

Les équipes arpentent sous un soleil de plomb le relief lunaire. Les esprits s’échauffent et le discernement est mis à l’épreuve. Cependant, tous sont acteurs de la réussite de leur chef, et ils doiventaller au-delà de leurs motivations. Si bien que l’élan ne peut rester intact que si une dynamique commune s’installe. Les douleurs musculaires, la soif et la fatigue oppressent tous les organismes ; c’est là que le chef doit galvaniser ses troupes, leur donner la force d’avancer pour accomplir leur tache. L’entraide et la cohésion deviennent des armes bien plus précieuses que tous les fusils d’assauts portés par les élèves.

 

Cet entraînement permet au futur chef de comprendre l’importance d’être un vrai leader. Il doit avant tout chercher à valoriser les qualités de ses équipiers tout en favorisant le repos des personnes en difficulté. Au cours de l’exercice, les fatigues physique et psychique s’intensifient et le chef doit être pour ses hommes une figure de confiance, car dans un futur proche,  en opérations, ils n’auront pas le droit à l’erreur.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:35
photo Dassault Aviation

photo Dassault Aviation

 

10 avril 2015 Romandie.com (AFP)

 

Vallon-Pont-d'Arc (France) - Le président François Hollande a dit vendredi espérer avancer sur une vente de l'avion de combat français Rafale à l'Inde, lors de sa rencontre dans l'après-midi à Paris avec le Premier ministre Narendra Modi, même s'il y aura d'autres rencontres.

 

Je souhaite, mais il n'y a pas non plus de date limite, que nous puissions avancer au cours de la visite du Premier ministre Modi, mais il y aura d'autres rencontres et nous verrons bien comment nous pouvons finaliser ce possible contrat, a déclaré le président français, interrogé par l'AFP lors d'un déplacement dans le sud de la France.

 

Selon lui, beaucoup de discussions ont été engagées depuis déjà plusieurs semaines alors que Français et Indiens réfléchissent depuis longtemps à ce qu'(ils peuvent) faire ensemble pour l'avion Rafale.

 

Je pense que sur ces affaires-là, il vaut mieux dire la chose quand elle est conclue plutôt que de faire des annonces qui pourraient être contraires à l'intérêt de notre pays et en tout cas, contraires à l'intérêt de l'Inde, a souligné M. Hollande.

 

Le gouvernement indien est en négociations exclusives avec Dassault depuis janvier 2012 pour l'achat de 126 Rafale, dont 108 fabriqués en Inde, pour un montant alors estimé à 20 milliards de dollars.

 

Mais le gouvernement de Narendra Modi, arrivé au pouvoir en mai, a soufflé le chaud et le froid sur l'avancée de ces discussions complexes.

 

Dassault a décroché en février son premier contrat pour le Rafale, pourtant entré en service en 2004 dans les forces armées françaises, avec la vente de 24 avions de combat à l'Egypte.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:25
photo 3e REI

photo 3e REI


10-04-2015 par 3e REI Réf : 221 | 479

 

Héritière des traditions de la compagnie des sapeurs pionniers du 3e Régiment Etranger d'Infanterie, la compagnie de commandement et de soutien du 3e REI a célébré, le 6 mars 2015, l'anniversaire de la percée du tunnel du légionnaire à FOUM ZABEL.

 

En effet, en mars 1927, les légionnaires reçoivent la mission de réaliser une voie de communication carrossable de cent cinquante kilomètres. Ce projet a pour objectif de faciliter la réduction des poches de résistance rebelle actives dans la région. Au cent-onzième kilomètre pourtant, les gorges du Ziz réservent à la Légion un tout autre défi pour ses sapeurs pionniers. Bloquée par un éperon rocheux aux pentes abruptes, le Foum Zabel. Il est impossible de le contourner, il faut donc passer au travers.

"Percer du granit, une montagne de granit. L'homme peut tout faire. Ce jour-là, je n'ai pu m'empêcher de penser cela. Quand l'homme est un légionnaire, naturellement." témoignera un légionnaire à la fin de la construction du tunnel.

Le 6 mars 1928, à 16h30, le tunnel de Foum Zabel est entièrement percé. Il fut achevé en six mois par quarante légionnaires.

"LA MONTAGNE NOUS BARRAIT LA ROUTE. L'ORDRE FUT DONNE DE PASSER QUAND MÊME. LA LEGION L'EXECUTA.
" Octobre 1927 - mai 1928 "

 

Après une cérémonie solennelle marquée par le récit de cet exploit, c'est autour d'un " BIERES, CHANTS " que la grande CCS a continué la soirée en rendant hommage à ses anciens.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 14:55
photo CNDH

photo CNDH

 

08/04/2015  DICoD

 

Selon les estimations des Nations unies et des organisations non gouvernementales (ONG), plus de 113 millions de mines sont disséminées dans le monde. L'Europe en comptabilise 13 millions. La Croatie et la Bosnie-Herzégovine en comptent entre 6 et 9 millions, ce qui les place parmi les cinq pays du monde les plus gravement touchés par ce fléau.
À l’occasion de la Journée internationale pour la sensibilisation au problème des mines et de l’assistance à la lutte contre les mines, le 4 avril 2015, la rédaction a fait le point sur le sujet avec le commandant Philippe P. , chef du Centre national de déminage humanitaire.

 

Quelles sont les missions du Centre national de déminage humanitaire (CNDH) ?

En premier lieu, le centre est destiné à préparer les forces françaises à se déployer dans les zones post-conflictuelles à risques. Grâce à ses nouveaux bâtiments inaugurés le 5 février à l’École du génie d’Angers, il va également pouvoir développer ses missions d’éducation auprès d’un public plus large. Par son action, le centre répond depuis 2009 aux engagements pris par la France lors de la signature de la convention d’Ottawa (voir encadré). Il assure notamment la traduction de l’anglais vers le français des normes internationales de l’action contre les mines pour le compte de l’ONU. Il répond également à des missions d’expertise, de formation et de réalisation d’outils pédagogiques, comme des bandes dessinées destinées aux enfants.
Des séances de sensibilisation « à la carte » sont notamment proposées au monde civil.

 

Quel genre de formations proposez-vous et à qui s’adressent-elles ?

Nous organisons des formations théoriques et pratiques adaptées à chaque public. Des scolaires, des étudiants, des membres d’ONG, des journalistes, des détachés d’entreprises, des professionnels du tourisme ou encore des élus peuvent ainsi apprendre à acquérir les bons réflexes qui pourront leur sauver la vie face à un engin non-explosé. En ce sens, les compétences et l’expertise acquises depuis quarante ans par les spécialistes militaires du Génie sont un vrai point fort. Durant les journées de sensibilisation, les formateurs militaires d’Angers passent tout en revue : état des lieux des pays touchés par les restes d’engins explosifs, connaissances des différentes organisations, éducation aux risques ou encore reconnaissance des différentes munitions.

 
photo Armée de terre (Afghanistan, 2011)

photo Armée de terre (Afghanistan, 2011)

Vous réalisez également des outils pédagogiques. De quelle manière et dans quel but ?

La bande dessinée Mille et une mines, réalisée par l’artiste angevin Loïc Jombart et traduite en dix-huit langues, est utilisée pour sensibiliser les populations vivant dans des zones à risques. Vingt mille exemplaires en français et en arabe ont ainsi pu être distribués au Mali via les forces françaises. Une BD pour sauver des vies ! C’est le cœur de notre mission. Pour financer ces projets, le CNDH organise des stages payant auprès d’entreprise. Leur coût modéré nous permet de récolter des fonds intégralement réutilisés pour l’impression et l’acheminement d’outils de sensibilisation diffusés par les forces sur le terrain, notamment dans le cadre d’actions civilo-militaires. Le CNDH œuvre également gratuitement auprès des écoles.

 

Pour en savoir plus, retrouvez toutes les infos sur le site internet du CNDH

 

La Convention d’Ottawa, traité d’interdiction des mines anti-personnel

Ouverte à la signature en 1997, la convention d’Ottawa est entrée en vigueur en 1999. Elle marque une étape majeure sur la voie de l’élimination des mines anti-personnel, à la charnière du désarmement, du droit humanitaire et de l’aide au développement. Sa ratification par la France ouvre une nouvelle étape : celle de mettre les compétences et les savoir-faire des militaires français à la disposition des pays et organisations œuvrant contre les mines anti-personnel

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 14:55
Terre information magazine de mars en ligne

 

10/04/2015 Armée de Terre

 

Le 262e numéro du magazine de l’armée de Terre est en ligne. Fidèle à sa ligne éditoriale, la vie et l’activité des unités y sont détaillées.

 

Au programme ce mois-ci : une immersion au cœur des forces françaises en Côte d’Ivoire, le bilan des exercices en Laponie et au Canada, le témoignage d’un militaire déployé dans le cadre de la mission Vigipirate et une multitude d’informations pratiques.

 

Le TIM, première source d’information pour l’armée de Terre.

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