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5 avril 2015 7 05 /04 /avril /2015 07:45
photo EMA / FFCI

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03/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 23 au 27 mars 2015, un détachement des forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) a conduit une mission de présence dans le département de Tumodi au nord d’Abidjan.

 

Ce détachement était composé de deux sections d’infanterie du 1er régiment de tirailleurs et d’une section du 3e régiment de Génie, d’une équipe des transmissions et d’une équipe médicale. Cette mission de présence, réalisée en étroite collaboration avec les autorités locales et traditionnelles, avait pour objectif  de permette la prise de contact avec la population.

 

Accueillis chaleureusement, les militaires des FFCI se sont installés au cœur des villages de Bofia, Konankokorekro et Afotobo, dans des bâtiments prêtés par les villageois. Insérés dans la vie locale, ils ont patrouillé, pris contact avec les autorités civiles, militaires et coutumières, et nouer des liens avec la population tout en renforçant leur connaissance du terrain.

 

Cette mission de présence a également été l’occasion de réaliser des actions civilo-militaires simples au profit des habitants de la région. Les fantassins et sapeurs français ont ainsi réparé une pompe à eau, dégagé un sentier obstrué par des arbres tombés pendant un orage, et distribué une centaine de kits scolaires au profit de chaque école primaire des villages. L’équipe médicale a quant à elle reçu en consultation une centaine d’adultes et d’enfants des villages alentours. Elle a pu ainsi dispenser de nombreux soins dans le cadre des actions d’aide médicale à la population.

 

Les forces françaises stationnées en Côte d’Ivoire (FFCI) constituent la base opérationnelle avancée française sur la côte Ouest de l’Afrique et un réservoir de forces. Base de soutien logistique aux forces engagées dans la bande sahélo-saharienne, elles agissent dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Côte d’Ivoire et la France en assurant des missions de coopération militaire avec les forces armées ivoiriennes. Par le maintien d’une présence militaire à Abidjan, elles assurent la protection des ressortissants, si nécessaire.

photo EMA / FFCI

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 17:45
photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)

photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)

 

03/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 25 au 29 mars, dans le cadre de l’exercice WAKRI 15, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et le groupe Jeanne d'Arc ont conduit un exercice amphibie d’évacuation de ressortissants impliquant un fort volume de forces interarmées. Les forces américaines basées au Camp Lemonnier ont également participé à cet entraînement.

 

WAKRI 2015 s’appuie sur un scénario simulant les suites d’une importante catastrophe naturelle. De lourds dommages dans la région et l’infiltration de bandes armées créent alors des conditions sanitaires et sécuritaires telles qu’il est décidé de procéder à l’évacuation de nos ressortissants par voie maritime.

 

L’exercice s’est axé autour du regroupement, de la protection et de l’évacuation de ressortissants français en voyage touristique dans un pays fictif. Les chalands du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude ont embarqué des militaires du 5e régiment interarmées d’Outre-mer, qui formaient un Groupement Tactique Embarqué (GTE). Ils ont organisé un état-major à bord du Dixmudepour conduire l’opération d’évacuation des ressortissants puis, par la suite, les militaires français ont débarqué sur les côtes pour aller récupérer les ressortissants. Un sous groupement aéromobile de l’aviation légère de l’armée de Terre a également participé à l’exercice avec deux hélicoptères Puma et deux hélicoptères Gazelle, afin d’appuyer les troupes au sol.

 

Les militaires mobilisés ont multiplié les manœuvres pour rechercher et sécuriser les touristes, qui ont pu être évacués des zones sensibles et embarqués sur le Dixmude. Pour réussir cette mission, il a fallu conduire des actions de recherche de renseignements, réaliser des évacuations sanitaires, faire face à des embuscades, dans un contexte réaliste simulé pour l’exercice.

 

Militaires français et américains ont ainsi confronté leur savoir-faire et leurs procédures de combat avec le souci permanent de remplir la mission. Au terme de l’exercice, le groupe Jeanne d’Arc a alors pu observer une relâche de deux jours avant de poursuivre sa route vers la mer du Japon.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces Françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)
photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)

photo D. Geffroy - GEAOM (Ecole Navale - Marine Nationale)

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 17:45
photo EMA / Marine Nationale

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03/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre de l’exercice Wakri, l’enseigne de vaisseau Romain se remémore, lors de sa séance d’acclimatation nécessaire à la préparation physique face aux conditions climatiques difficiles de Djibouti, les propos du capitaine de vaisseau de Briançon, commandant le BPC Dixmude et le groupe Jeanne d’Arc. Ce nageur de combat et ancien commandant du commando Hubert avait en effet demandé aux marins "Où étiez-vous dans votre tête quand vous courriez sur le pont d'envol ? Moi, quand je me prépare à aller à Djibouti, dans la tête j'y suis déjà, je suis sur le terrain avec mes hommes"

 

Ces propos résonnent dans la tête de Romain et dans celle des marins présents. Issu de la promotion 2012 de l’Ecole Navale, Romain est aujourd’hui sur le sol de Yellowland, et cela fait des heures qu’il marche avec son groupe sous un soleil de plomb et qu’il subit la rudesse des éléments. Habitué à celle de la mer et à l’épreuve de la tempête, la réalité du terrain djiboutien s’impose à lui, et cela ne se prépare pas à la légère.

 

"Il faut vous demander comment vous réagiriez face à un événement. Se mettre en situation, avant une action, c'est vital pour bien se préparer moralement". Ces phrases prennent tout leur sens lorsque plus tard, en plein milieu de nuit, Romain et son groupe sont pris à partie dans une embuscade. Ils sont dans un virage dans une zone découverte. Les premiers coups de feu détonnent. Les forces adverses, simulées pour l’exercice, sont à un point de positionnement en hauteur et avaient une vue idéale sur la progression du groupe de Romain. Cela dure dix minutes interminables avant de pouvoir décrocher vers un point de repli à 200m de là. Dix minutes pendant lesquelles des hommes de son groupe ont été blessés.

 

Après une longue attente en silence, la marche reprend vers une zone identifiée à 5 km de là. L’objectif est de pouvoir établir un bivouac et surtout de pouvoir effectuer au lever du jour une évacuation sanitaire des blessés via hélicoptère. La progression est longue, il fait nuit noire maintenant, la lune a disparu depuis une heure. Romain a tout le temps de méditer les paroles du commandant. "Avez-vous déjà pensé à ce qui peut vous arriver en tant que militaire ? Aller au combat, risquer sa peau et celle de ses hommes, donner la mort. Vous êtes de futurs chefs. Etre militaire, c'est se sacrifier, et quand je dis se sacrifier, je ne parle pas que de l'aspect "donner sa vie", je parle aussi du sacrifice quotidien. Vous devez vous y préparer". Après cette première journée d’exercice, ces paroles prennent tout leur sens.

 

L’exercice se poursuivra avec une seconde mission pour Romain et son groupe, mais déjà la réalité du terrain aura marqué les esprits et rappelé à tous leur métier premier. "L'exercice Wakri : 4 jours pour montrer que vous êtes militaires, 4 jours pour réfléchir à votre condition de militaire".

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photo EMA / Marine Nationale
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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 16:58
Budget de la Défense : Le Drian demande une rallonge

 

02.04.2015 LePont.fr (AFP)

 

Les armées, présentes sur plusieurs terrains, vont avoir besoin de crédits supplémentaires. Le bras de fer avec Bercy est loin d'être terminé.

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a laissé entendre jeudi que des crédits budgétaires supplémentaires devraient être alloués aux armées en raison des défis sécuritaires croissants auxquels elles doivent faire face. "La situation des menaces nous amène à être présents sur tous les terrains" et va "impacter à la hausse les effectifs de la force opérationnelle terrestre qui est aujourd'hui de 66 000 hommes", a expliqué le ministre, lors d'une séance publique au Sénat sur l'actualisation de la loi de programmation militaire (2014-2019).

"Si on augmente les effectifs, en particulier pour l'armée de terre - il y aura aussi des recrutements nécessaires dans le renseignement, la cyberdéfense -, ce coût n'entre pas obligatoirement dans l'enveloppe des 31,4 milliards d'euros" de budget prévue chaque année par la LPM, a souligné M. Le Drian. Depuis les attentats de janvier, l'armée est mise à contribution à hauteur de 10 000 hommes pour la protection du territoire national, un effort significatif qu'elle va devoir maintenir sur le long terme. Elle déploie aussi en permanence environ 9 000 hommes dans des opérations extérieures, principalement pour lutter contre les groupes islamistes armés.

Pour faire face à ces nouveaux besoins, le président François Hollande a demandé de revoir à la baisse les réductions d'effectifs prévues dans les armées, qui paient un lourd tribut aux efforts budgétaires du gouvernement depuis plusieurs années. Jusqu'à 18 000 postes pourraient être maintenus sur les 24 000 qui devaient être supprimés sur trois ans, a-t-on indiqué au ministère de la Défense. Il pourrait en résulter un surcoût de plusieurs centaines de millions d'euros par an.

 

Pérenniser les crédits

Daniel Reinier, sénateur socialiste, a demandé que le budget de la Défense soit "abondé uniquement par des crédits budgétaires" et ne dépende plus en partie de recettes exceptionnelles (vente de fréquences hertziennes, autres cessions d'actifs...) qui ne sont pas toujours garanties. "Le caractère aléatoire de ces recettes exceptionnelles ne peut plus convenir à un budget sanctuarisé comme celui de la Défense. (...) Je crois savoir qu'une réflexion sur ce sujet est en cours, y compris au ministère de l'Économie et des Finances", a indiqué M. Reinier, sans plus de précisions.

M. Le Drian s'est voulu rassurant sur les sociétés de projets qui doivent permettre aux armées de louer des équipements militaires (Airbus A400M et frégates), faute de budget pour les acheter, à une société publique spécialement créée à cet effet. Ce montage financier, que Bercy juge coûteux, a été conçu pour compenser le très probable report de la vente de fréquences militaires hertziennes qui devait rapporter 2,2 milliards d'euros en 2015.

"Il faut lever une ambiguïté pour ceux qui pensent que c'est de l'acrobatie financière, voire de la cavalerie, comme je l'ai entendu", a noté Jean-Yves Le Drian. Le projet repose sur des pratiques qui font "partie de la vie quotidienne de l'action de l'État", a-t-il dit. Le président de la commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, Jean-Pierre Raffarin, a pris le parti du ministre face à Bercy. "Nous sommes prêts à vous soutenir, nous ne voulons pas que le Parlement bloque une solution qui permettrait d'atteindre le financement de la loi de programmation", a-t-il dit. L'ex-Premier ministre a réclamé toutefois "plus de clarté" sur ce projet et "des solutions moins aléatoires pour le financement de la Défense nationale".

 

LIRE aussi nos articles "Défense : pourquoi Bercy ne lâche rien" et "Les rustines du gouvernement"

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 16:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

03/04/2015 Sources : Marine nationale

 

En ce début du mois d’avril, la composante anti-sous-marine (ASM) de la flotte  hélicoptères de la force de l’aéronautique navale est en plein renouveau. Grâce à une disponibilité retrouvée du Lynx et à la montée en puissance du Caïman Marine, elle peut répondre présente aux sollicitations d’embarquements de ses appareils.

 

Ainsi, on dénombre cette semaine à bord des frégates à la mer, pas moins de sept détachements de Lynx(34F) et de Caïman(31F et 33F), répartis en trois zones différentes. Le contrat est rempli quantitativement et qualitativement, les deux frégates de défense aérienne, la frégate multimissions et les frégates anti sous-marines déployées sont équipés des aéronefs adaptés à leur configuration.

 

Qu’il s’agisse du déploiement du groupe aéronaval, pour la mission « Arromanches », où l’on retrouve un Caïman(31F) sur le Chevalier Paul, de celui du Jean de Vienne avec un Lynx, ainsi qu’ ou bien d’une mission en Atlantique, avec deux Lynx sur le Latouche-Trévilleet le Primauguet, et un Caïman (33F) sur l’Aquitaine, ou même encore d’un entraînement en Méditerranée, avec un Caïman(31F) sur le Forbin et un Lynx sur le Montcalm, les « Marins du ciel », aux côtés de leurs camarades de la force d’action navale, sont sur tous les fronts. Véritable prolongement des systèmes de combat des bâtiments, avec leur capacité de projection au-delà de l’horizon, ces hélicoptères constituent le bras armé des frégates, en assurant la maîtrise de l’espace aéro-maritime, avec leurs capacités de lutte en-dessous mais aussi au-dessus de la surface.

 

C’est un vrai défi technique et opérationnel auquel font face quotidiennement les équipages et les techniciens aéronautiques, pour que leurs appareils puissent honorer ces embarquements et faire du binôme frégate-hélicoptère un adversaire toujours aussi redoutable.

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 16:55
photo Anthony Jeuland - Armée de l'Air

photo Anthony Jeuland - Armée de l'Air

 

03/04/2015 Armée de l'air

 

Du 15 au 21 juin 2015, 25 pompiers de l’air et 8 véhicules incendie seront positionnés en renfort sur le site de l’aérodrome du Bourget à l’occasion du 51e salon international de l’aéronautique et de l’espace. Ce dispositif sera mis en place dès le 8 juin afin de garantir la sécurité lors de l’arrivée des aéronefs militaires et l’entraînement des démonstrateurs, la semaine précédent l’événement.

 

Un dispositif militaire et civil

 

Sur l’aérodrome civil du Bourget, les pompiers de l’air prendront une part active au dispositif de secours aux côtés du service de sauvetage et de lutte incendie des aérodromes (SSLIA). Pour chaque intervention, les équipes sont mixtes. Les véhicules de l’armée de l’air sont toujours doublés avec du personnel du SSLIA. Les pompiers de l’aéroport du Bourget s’occupent des interventions concernant les aéronefs civils tandis que les pompiers de l’air gèrent principalement les aéronefs militaires, leur cœur de métier. Pendant la durée du salon, les pompiers de l’air auront pour mission d’assurer la protection incendie de l’ensemble du plateau aérien ainsi que de la base aérienne projetable. « Nous devons toujours être en place 30 minutes avant le décollage et 30 minutes après l’atterrissage de nos aéronefs », explique l’un des pompiers.

 

photo Anthony Jeuland - Armée de l'Air

photo Anthony Jeuland - Armée de l'Air

Une préparation avant le salon du Bourget

 

Pour préparer au mieux leur mission, les pompiers se sont retrouvés au centre de formation des techniciens de la sécurité de l’armée de l’air (CFTSAA) de la base aérienne 120 de Cazaux, durant une semaine. « Au programme : révision des techniques et tactiques d’intervention en milieu aéronautique sur avions d’armes et de transport », explique le major Jean-Jacques, du CFTSAA. Pour cela, ils se sont entraînés sur les deux simulateurs de l’aire à feux à gaz. Deux maquettes, un Mirage 2000 et un avion de transport, leur permettent de s’entraîner sur différents types de feux : feux de train d’atterrissage, de moteurs, de cockpit ou de soutes. L’opportunité de s’exercer aussi à des manœuvres d’extraction et de sauvetage d’équipage.

 

photo Anthony Jeuland - Armée de l'Air

photo Anthony Jeuland - Armée de l'Air

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 16:50
photo C. de Flesselles - Armée de l'Air

photo C. de Flesselles - Armée de l'Air

 

03/04/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 2 avril 2015, le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, et les hautes autorités de la Défense finlandaise se sont rendus sur la base aérienne (BA) 113 de Saint-Dizier.

 

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la coopération bilatérale entre les deux pays. À cette occasion, le général Denis Mercier, le général Jarmo Lindberg, chef d’état-major des forces de Défense finlandaises, ainsi que le général Kim Jäämeri, chef d’état-major des forces aériennes finlandaises, se sont vu présenter les installations et les missions des unités de la BA 113.

 

La journée s’est clôturée par un vol en Rafale, préparé au sein de l’escadron de transformation Rafale 2/92 « Aquitaine » et de l’escadron de chasse 1/7 « Provence ». Ce vol a permis aux deux autorités finlandaises de découvrir le fleuron technologique de l’aviation de combat française.

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 11:55
Sauvetage au combat, l’autre enjeu opérationnel


1 avr. 2015 DICoD

 

#SauvetageAuCombat - Avant de partir en opération extérieure, les unités militaires françaises se préparent systématiquement dans le but d’acquérir les comportements adaptés aux conditions qu’ils vont devoir affronter. Si l’adaptation au terrain est indispensable, d’autres aspects comme la maîtrise du sauvetage au combat sont aujourd’hui incontournables et font pleinement partie des mises en conditions avant projection. Reportage à Castres, à l’occasion de la préparation opérationnelle du 8e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (8e RPIMa).

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 11:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

02/04/2015 Camille Pegol – Armée de Terre

 

22 décorations, dont 16 médailles de la valeur militaire, ont été remises aux marsouins du régiment de marche du Tchad (RMT) pour leurs actions de feu lors des opérations Sangaris et Serval en 2014.

 

Les décorations pour Sangaris concernent notamment les combats de Bossembélé, Yoro-mina, Békadili et en particulier ceux du 5 mai à Boguila, où les éléments de la 4e compagnie du RMT ont lutté pendant plusieurs heures contre un assaillant lourdement armé et déterminé. Les décorations pour le Mali récompensent quant à elles des actions menées suite à des attaques par mine et véhicule suicide.

 

D’autres marsouins du RMT, actuellement déployés dans l’opération Sentinelle, doivent encore recevoir des décorations pour ces deux opérations.

 

L’adjudant-chef Christophe Bottino a également reçu à cette occasion la médaille de l’ordre national du mérite au grade de chevalier.

 

Cette remise de décoration s’est déroulée lors de la cérémonie de commémoration du 74e anniversaire des combats de Koufra, au quartier Colonel Dio du RMT, le 26 mars 2015.

photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 11:50
Lieutenant General Wolfgang Wosolsobe, Director General of the EU Military Staff

Lieutenant General Wolfgang Wosolsobe, Director General of the EU Military Staff

 

01-04-2015 - by SEDE

 

The Subcommittee will hold an exchange of views on the state of play of the EU military rapid response capabilities with Lieutenant General Wolfgang Wosolsobe, Director General of the EU Military Staff.

 

 

When: 16 April 2015

 

Further information

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 11:40
More than 100,000 people will visit Army-2015

 

31 Mar 2015 by Rostec

 

More than 500 military-industrial companies will participate in the forum

 

The International Military-Technical Forum Army-2015 will be held June 16-19, 2015, in the Moscow region. More than 500 companies are expected to present their products at the exhibition. According to organizers, over the course of four days, more than 100,000 guests, as well as representatives of the military-diplomatic corps of more than 100 countries, will visit the forum and exposition.

The Russian Defense Ministry is facilitating the forum, the first it has organized on this scale.

The forum seeks to facilitate all necessary conditions for reaching technical and technological solutions for the production of weapons, as well as military and special equipment, and to create a positive image for the Armed Forces of the Russian Federation.

Many leading enterprises and holdings companies of Russia’s military-industrial complex have already confirmed their participation in the Army-2015 forum, including: Rosoboronexport, United Aircraft Corporation, Russian Helicopters, United Engine Corporation, holdings of Ruselectronics, High Precision Systems, and others. Leading Russian research institutes, civil and military institutions of higher education, as well as a number of large foreign companies that produce military equipment, are also expected to participate.

In the city of Kubinka, Patriot Park of Culture and Leisure of the Russian Armed Forces is under construction and will be home to an aviation sector that features airplanes, helicopters, weapons, and military equipment for aerospace and defense troops. At least 43 pieces of equipment will be housed here, which will also be a demonstration site for military and aerobatic flights from the teams Russian Knights, Swifts, and Golden Eagles.

Demonstrations will also take place at land and water sectors, where visitors can see tanks, self-propelled guns, armored personnel carriers and battle vehicles, modern automotive and robotic equipment, and unmanned systems. In total, 75 pieces of equipment will be housed here. Sample units will fire on simulated enemies and overcome land obstacles on a test track, or water obstacles on a hydraulic course constructed specially for this event.

The business part of the forum will consist of round tables and training workshops with the participation of representatives of the military administration. In addition, several dozen sections of the Scientific and Technical Council of the Russian Ministry of Defense will be organized. Experts will discuss topics including the development of robotic systems for military use, control of troops, the simulation of weapons and combat operations, and issues regarding national security in the Arctic.

Meetings of the highest level, including those with representatives of foreign delegations, are planned to take place during the forum.

“I am confident that the possibility of direct communication with leading experts and an exchange of views on future design decisions of breakthrough technologies and their practical applications will promote the development of military thought and strengthen international military-technical cooperation,” said Sergey Shoigu, Russian Defense Minister.



Construction and installation is currently underway at Patriot Park for a year-round exhibition of arms and military equipment. According to the Defense Minister, this area will be able to compete with the largest military exhibitions around the world.

The park has an area of 5,414 hectares. It will be divided into five main areas: exhibition halls, museum exhibits, demonstration sites for modern models of equipment and weapons, military-historical reconstruction, and a cultural and recreational area.

Patriot Park is estimated to be able to accommodate 20,000 people a day. Visitors will be able to do more than see the exhibits. Beginning in June of this year, they will have the opportunity to purchase military vehicles, along with various types of uniforms and equipment.

It may be recalled that an agreement to establish an exhibition site to display weapons and military and special equipment at Patriot Park was signed in December 2014 by Sergey Chemezov, CEO of Rostec Corporation, Sergey Shoigu, Russian Defense Minister and Army General, Denis Manturov, Russian Minister of Industry and Trade, and Andrey Vorobyov, Moscow Region Governor.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:55
Mirage 2000C - photo T.Champetier Armée de l'Air

Mirage 2000C - photo T.Champetier Armée de l'Air

 

02/04/2015 Armée de l'air

 

Du 3 au 24 avril 2015, l’escadron de chasse (EC) 2/5 « Île de France » se délocalisera sur la base aérienne 120 de Cazaux pour mener une campagne de tir.

 

Durant les deux premières semaines, l’ensemble des pilotes effectuera un entraînement intensif portant sur le tir air-sol, canon et bombes. L’objectif de ces missions consiste en un entretien des compétences pour les uns, et à l’obtention ou le renouvellement des qualifications de tir pour les autres. Les munitions seront délivrées sur le champ de tir de Captieux (33).

 

La troisième semaine portera, quant à elle, sur la poursuite de la transformation des stagiaires, et sur l’entraînement des moniteurs, notamment par le biais de missions réalisées conjointement avec l’escadron d’entraînement 2/2 « Côte d’Or » basé à Cazaux.

 

Au total, près de 150 militaires seront déployés, parmi lesquels figurent principalement des pilotes, des mécaniciens, des agents d’opérations et administratifs.

L' EC 2-5 en campagne de tir à Cazaux - photo T.Champetier Armée de l'Air

L' EC 2-5 en campagne de tir à Cazaux - photo T.Champetier Armée de l'Air

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:55
Le ministre de la Défense passe les troupes du 3e RIMa en revue - photo R. pellegrino ECPAD

Le ministre de la Défense passe les troupes du 3e RIMa en revue - photo R. pellegrino ECPAD

 

08/04/2015 Ministère de la Défense

 

Le 3 avril 2015, le ministre de la Défense s’est rendu en Bretagne, à Vannes (Morbihan), pour une cérémonie en l’honneur du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa). Il a ensuite visité l’entreprise Multiplast, spécialisée en matériel nautique et aéronautique, et partenaire du ministère de la Défense.

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu le 3 avril à Vannes, dans le Morbihan, pour la cérémonie du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa) mettant un terme au mandat de groupement tactique interarmées (GTIA) Korrigan. Déployé en République Centrafricaine depuis novembre 2014, les éléments de ce GTIA de la force Sangaris ont reçu de la part de Jean-Yves Le Drian ses « plus chaleureuses félicitations pour les succès remportés. […] L’ensemble de ces actions, conduites aux côtés de la MINUSCA, a favorisé l’installation d’un niveau de sécurité permettant à la population centrafricaine de bénéficier de nouveau d’un environnement économique et administratif stable ». Le ministre de la Défense a réassuré « l’engagement de la Nation, qui se tiendra toujours aux côtés de celles et ceux qui ont fait le choix de la défendre, de défendre ses intérêts et ses valeurs ».

 

Lors de cette cérémonie, le ministre a également décoré Yvette Lecomte, présidente départementale du concours national de la Résistance, de l’insigne d’officier de l’Ordre National du Mérite. « Pendant quarante-cinq ans, vous avez œuvré avec talent et passion à servir mais aussi améliorer notre service éducatif. […]Comme professeur tout d’abord […]. Comme inspectrice d’académie ensuite, vous n’avez cessé de travailler à une meilleure organisation de notre éducation. »

 

Jean-Yves Le Drian s’est par la suite rendu dans les locaux de l’entreprise Multiplast, entreprise partenaire du ministère de la Défense, spécialisée en matériel nautique et aéronautique. Devant les personnels du chantier, il a félicité la société pour ses « prouessestechnologiques exceptionnelles », entre autres le « projet Solar Impulse 2, qui est en train de faire le tour du globe sans le moindre carburant ». Il a également tenu à « remercier [l’entreprise] pour faire bénéficier le secteur de la défense d’une telle excellence technologique ».

 Jean-Yves Le Drian discute avec le personnel du chantier de l'entreprise Multiplast - photo R. pellegrino ECPAD

Jean-Yves Le Drian discute avec le personnel du chantier de l'entreprise Multiplast - photo R. pellegrino ECPAD

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:55
photo MinDefFr

photo MinDefFr

 

02/04/2015 DICOD

 

En 2015, le prix de la réserve militaire a honoré l’action des entreprises Turboméca et  Scania France.  Le 27 mars, lors de la Journée nationale du réserviste, le ministre de la Défense leur a remis les trophées au conservatoire national des arts et métiers (Cnam), à Paris.

 

Créé par le Conseil supérieur de la réserve militaire en 2011, le prix de la réserve militaire est remis une fois par an. Il traduit la volonté du ministère de la Défense d'encourager les entreprises partenaires de la Défense qui s'impliquent en faveur de la politique de soutien à la réserve miliaire.

Cette année, l’entreprise Turboméca a été primée dans la catégorie des entreprises, organismes ou établissements de plus de 1 000 salariés. Scania France, dont des réservistes ont été projetés en Afghanistan, a obtenu le prix dans la catégorie des moins de 1 000 salariés. Vincent Durnerin, directeur du développement ventes et marketing, explique : « Les personnels de chez nous sont sensibles à porter un soutien, par la réserve, à nos forces engagées sur les théâtres extérieurs. […] Je pense que cette action contribuera à créer des motivations. »

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:55
Smart challenge : les inscriptions sont ouvertes !


 02/04/2015 Armée de l'Air

 

Venez vivre avec les militaires de la base aérienne (BA) 110 de Creil une aventure unique ! En forêt d’Halatte (60), sur la BA 110 (60) ou au Fort de Montmorency (95), la base aérienne offre à 20 candidats de l’Oise la possibilité d’intégrer une équipe pour relever quatre jours d’épreuves.

 

L’objectif du Smart challenge ? La maîtrise de soi, la cohésion, la discipline, le goût de l’effort, la résilience et l’aguerrissement.

Du vendredi 26 au lundi 29 juin 2015, l’équipe des candidats inscrits et sélectionnés sera prise en charge par des militaires. Une série d’épreuves d’aguerrissement physique et mental attend la vingtaine de participants. Placés en situation difficile, les candidats seront guidés dans la gestion de crise et le renforcement du leadership.

À chaque étape, ils seront encadrés par des militaires de la BA 110 qui assureront leur sécurité. Les aviateurs seront aussi là pour débriefer les épreuves, relever les défaillances et mettre en exergue les points forts.

Pour clôturer ces trois jours intenses et riches en émotion, les participants recevront leur insigne de la réserve citoyenne au cours d’une cérémonie officielle.

 

Pour plus d’informations, consultez la plaquette de l’événement.

 

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:40
Kalashnikov will increase the level of investment by a billion rubles

CEO of Concern Kalashnikov, Aleksey Krivoruchko, spoke in an interview with Vesti.ru about how sanctions have affected the work of the company, which, despite the sanctions being in place, has managed to increase its production capacity, and about the newly reshaped global geography of the weapons purchasing market.

 

02.04.2015 by Rostec

 

CEO of the Concern Aleksey Krivoruchko discussed how it was possible to increase production under sanctions


 

 

 

- Earlier you mentioned the launch of boats and drones. What is the volume of investment in these areas?

- The amount of investment will be approximately 700-800 million rubles for the two companies. We purchase a share in the assets of the already existing companies, which are promising and already present in the market. We believe this investment will be very promising, since it is an area that we are seriously pursuing.

 

- In your opinion, why is there such an interest in these particular areas?

- With regard to the boats, this niche is still quite reasonably free. They are light, small boats, and we believe that this niche is going to develop further, both for the Defense Ministry and for other customers, including those in the civil field. And also, we are considering installing weapons of our production on these boats.

 

Our program will increase due to currency exchange rates. Originally it stood at 5 billion rubles. Now it will be no less than 6 billion rubles

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- As far as boats and drones go, who are your main customers?

- We are currently working on exporting boats and drones, and we hope and believe that there will be many export orders.

 

- Who else are you looking at as potential buyers in the long term?

- There’s EMERCOM, and Customs who were buying and will continue to buy, and, of course, the Ministry of the Interior. Therefore, we believe that there is a great potential for development.

 

- What kind of return on these investments do you expect?

- We expect to fully recoup this investment within three years.

 

- Our experts believe the way for the Concern to reach its past capacity is now possible by expanding and updating the range. What other projects can be expected in the near future?

- Our primary area of activity, is, of course, small arms of various calibers, and we are conducting more development in this field, with already more than 40 works in progress, and many of these works we will showcase this year at the "Russian Army" Expo in the Maritime Defense hall of the exhibition. Therefore, we have a lot to do, and you are absolutely right, without modern, new developments, it is, of course, hard to expand to larger volumes of production and sales, including abroad. The investment program, which was around 5 billion rubles, will increase in the overall amount, primarily due to currency exchange rates. And we now know that it will be an investment of at least 6 billion rubles. Approximately one and a half billion has been invested last year, and about one and a half billion will also be invested this year, meaning that, in regards to the investment program, we are not making any reductions. So far, we have a situation that allows us to save on all volumes.

 

We have no personnel reductions, and instead have increased production by more than half this year, compared to 2014.

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- Are there any other areas for reducing costs, as far as you know, within the company?

- The Concern has a lot of experience in reducing costs, due to the fact that for many years there was no new technology, or for that matter, new equipment. And today we already have a great example: we changed out 30 machines for one machine, which is much more technologically advanced. And, of course, there is the transition to new technology when it comes to metals that can save tens or even hundreds of percentage points in costs. This is one of the key areas where we are seeing positive results.

 

- So, as it turns out, you are reducing costs through investment and through the purchase of new equipment?

- Partly so, even though up to now the Concern has been profitable, but it is impossible to acquire new machines and technologies without making the necessary investment. However, for now it has a strong effect, and today we were able to increase production by more than double over the previous year, in comparison to 2013, proving that, in that regard, it is working.

 

- So the main effect is already visible. But what is the main result that you are aiming for?

- We are planning very seriously to reduce our costs, both in production and overhead costs. We expect to finalize our investment program in 2017.

 

- Nowadays, many companies are trying to reduce personnel, how do you see your future staffing concerns?

- We are not planning any reductions, there are even jobs available for hiring - mainly for workers. We were able to expand the overall enterprise by expanding our exports. We have our orders. We have a large order from the Defense Ministry, and therefore, we have no plans to implement cuts, and instead, we expect a production increase even two times greater than the growth of 2014.

 

- How have sanctions affected the work of Kalashnikov Concern and what results have you achieved during 2014 ?

- They really had a huge affect upon us. Of all the companies that were targeted on the sanctions list, we were the only one that had almost 80 percent of products that were exported to the United States market - they were our civilian weapon sales. For us, this was certainly a serious blow. But thanks to the work with our colleagues at Rosoboronexport and other companies, we were to completely replace these volumes. And as I said, in 2014, we increased the volume almost two-fold compared to 2013 - despite the sanctions. So this is one of our, let's say, problem areas.

The second issue, which is also connected with the sanctions, it that it has become difficult to obtain foreign exchange transfers from customers. Banks are afraid to cooperate with us, which created a number of difficulties.

And the third area, which is also affected by the sanctions, is the supply of equipment. Equipment from European or other manufacturers. You may buy equipment from a European manufacturer, and then, for reasons beyond you, they refuse to supply spare parts or other services. For us, this was, of course, a bit of a kick and a lesson learned, so now we go to Russian manufacturers for machine tools, and as of right now, the industry is actively developing. We also work with Asian producers.

 

- Some people believe that 100 percent import substitution is impossible. As far as the Concern goes, do you imagine making it happen?

- In our case, thankfully, it is entirely possible to pull it off, thanks to our partners in Asia. To date, we have had cases of refusal to supply equipment, and it is only caused a negative impact in regards to the image of those companies.

 

Almost 80% of the products were shipped to the United States, so the sanctions and closing of this market was a serious blow for us, but we were able to completely replace these volumes

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- What is the current ratio between imported and domestic equipment?

- Not all equipment is made in Russia - but around 15-20% we purchase from Russian and Belorussian manufacturers.

 

- At what prices are you now having to buy imported components and how have they changed after the imposition of sanctions?

- In rubles, it is certainly more expensive, but these are very good quality products, which are still much cheaper than the European ones.

 

- You say that previously Kalashnikov Concern had 80 percent of its sales coming from the United States. Who became the new buyer that filled the void?

- A year ago, we had 80 percent civilian weapons being sold. Then, due to the ban, we had to reorient our civilian market, and, of course, we had to refocus our strategy and production. And today we have realigned 80 percent of our production to military weapons. In this area, the main customers are Africa and the Middle East, as well as South East Asia, Latin America, and the countries where we have been able to significantly increase sales by working with Rosoboronexport.

 

- When you were talking about drones and boats, you mentioned purchasing of companies. Do you have any such purchases planned for the future?

-Indeed, these options are not excluded - they are definitely being considered fully. We have already conducted a detailed study of purchasing abroad, however, because of the sanctions, we have suspended it for now and hope that it will soon come back online.

 

- What are the financial goals and objectives of Kalashnikov Concern for 2015?

- As you already know from the Company’s reporting statement for 2014, we carried a net profit. It was relatively small at 88 million rubles, but this was a very positive result, considering the imposition of sanctions. This year we plan to significantly increase net income and revenue, so we have great confidence in the future.

 

- Significantly, by how much?

- We have a number of contracts that we have to implement. There are a number of difficulties involved, but we are planning for an increase of up to 15 billion rubles in the near future, compared to 4 billion in the past.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:25
Dumont d’Urville : sortie d’arrêt technique majeur

 

2 04 2015 par FAA

 

Le 27 mars 2015, le bâtiment de transport léger (BATRAL) Dumont d’Urville est sorti de son arrêt technique majeur.

 

Sorti du bassin deux semaines auparavant, le Dumont a dans un premier temps effectué une période d’essais à quai permettant de finaliser les derniers travaux et de réaliser les premiers essais de bon fonctionnement. Cette période a ainsi permis le contrôle de nombreuses installations majeures telles que l’appareil de propulsion et celles ayant trait à l’emploi opérationnel du bâtiment dans le cadre de ses missions d’assistance aux populations (portes d’étrave, grue, ballastage). Une période d’essais en mer a ensuite permis de tester et de valider le bon fonctionnement de ces installations dans une configuration opérationnelle avec la réalisation notamment d’un plageage.

 

Après trois mois et demi d’arrêt technique majeur et plus de 14 000 heures de travail pour l’équipage, pour la maîtrise d’œuvre industrielle et pour les services de soutien militaires, le Dumont d’Urville est donc à nouveau opérationnel et se prépare pour les nouvelles missions qui lui seront confiées.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 12:55
Photo Daniel Linares - Sagem

Photo Daniel Linares - Sagem

 

Boulogne-Billancourt, le 3 avril 2015 Sagem DS

 

La Direction générale de l'armement (DGA) vient de notifier à Sagem (Safran) le contrat « FELIN V1.3 » portant sur l'intégration de plusieurs améliorations opérationnelles aux systèmes d'infanterie FELIN* actuellement en service dans l'armée de Terre.

 

FELIN V1.3 intègre une nouvelle configuration optimisant l'emploi du système dans ses fonctions d'observation et de combat. Des évolutions logicielles prévoient des services nouveaux pour les groupes spécialisés de tireurs de précision et d'appui mortiers. FELIN V1.3 est doté d'une nouvelle structure de portage et de protection plus légère et plus modulaire améliorant la mobilité et réduisant ainsi la signature visuelle du soldat.

 

Cette nouvelle version conduira dans certains cas d'utilisation à une réduction allant jusqu'à 40% du poids de la dotation spécifique FELIN, tout en conservant le niveau de protection nécessaire aux missions de l'armée de Terre. Les chefs de groupes et de section disposeront d'un gilet de combat optimisé pour l'utilisation dans les phases de combat débarqué du terminal tactique « SitComdé » (Système d'information terminal du Combattant débarqué). Les évolutions « FELIN V1.3 » seront livrées en série dès le début 2016.

 

Motivées par les retours d'expériences des forces terrestres sur les récents théâtres d'opérations, ces évolutions de FELIN s'appuient sur le savoir-faire de Sagem en matière de conduite de grands programmes d'armement et de conception de systèmes de coordination tactique, de l'infanterie aux fonctions d'appui feu.

 

Maître d'oeuvre du programme FELIN, Sagem démontre à travers ce chantier de modernisation, la solidité de son partenariat avec la DGA et les forces armées afin d'apporter des services nouveaux répondant à des impératifs opérationnels de plus en plus sévères et à l'évolution des concepts d'emploi de l'infanterie.

 

* FELIN, Fantassin à Equipements et Liaisons Intégrés, est un système numérisé conçu pour démultiplier l'ensemble des capacités du combattant débarqué en termes de précision de tir, de capacités de combat de jour comme de nuit, de renseignement, et de protection individuelle et collective. Le programme FELIN d”équipement de l'armée de Terre prévoit dans le cadre de la Loi de Programmation Militaire 2014- 2019 la livraison de 18 552 systèmes. A fin 2014, Sagem a entièrement équipé 17 régiments. Le système a été déployé en Afghanistan et sur les théâtres africains. Le programme est conduit sous la maîtrise d'ouvrage de la DGA.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 12:55
Credits Areva ELTA

Credits Areva ELTA

L'Etat, actionnaire majoritaire d'Areva et EDF, a demandé à plusieurs reprises aux deux groupes de travailler à un rapprochement, en particulier dans l'activité "réacteurs", afin de favoriser le redressement d'Areva.

 

03/04/2015, latribune.fr (AFP)

 

Le groupe nucléaire Areva, en grande difficulté financière, a présenté jeudi en comité de groupe France deux scénarios concernant sa filiale Areva NP (réacteurs et ingénierie), dont une cession totale à EDF, a-t-on appris de sources concordantes.

 

Comme annoncé fin mars dans la presse, l'une des filiales d'Areva, la division Areva NP (réacteurs et ingénierie), pourrait bien être cédée à EDF. C'est l'une des deux options présentées jeudi 2 avril au soir lors d'un comité du groupe nucléaire français, selon la CFDT et une source proche des discussions.

Plus précisément, Areva NP pourrait faire l'objet d'un projet de cession totale ou d'un projet de regroupement des équipes d'ingénierie d'Areva NP et d'EDF, dans une structure contrôlée par l'électricien.

 

L'avenir d'Areva NP scellé fin avril

La direction du groupe a confirmé que l'ordre du jour avait été modifié pour se concentrer sur la question du rapprochement entre Areva et EDF. Le directeur général Philippe Knoche "a présenté les différents scénarios à l'étude et répondu aux questions sur ce sujet", a déclaré un porte-parole à l'AFP, sans donner davantage de détails.

"L'objectif est qu'un scénario privilégié soit retenu d'ici fin avril", a de son côté réagi le ministère de l'Economie auprès de l'AFP.

L'Etat, actionnaire majoritaire d'Areva et EDF, a demandé à plusieurs reprises aux deux groupes de travailler à un rapprochement, en particulier dans l'activité "réacteurs", afin de favoriser le redressement d'Areva.

 

"Scénario extrêmement nocif"

"C'est la première information officielle" sur les projets stratégiques du groupe, a précisé Jean-Pierre Bachmann, coordinateur CFDT, en qualifiant de "scénario extrêmement nocif" le projet de cession totale. Une telle cession mettrait fin au modèle de groupe intégré, de l'extraction du minerai d'uranium jusqu'au traitement des déchets, cher à l'ancienne Pdg Anne Lauvergeon.

Pour la CFDT, elle amputerait "ses compétences, son périmètre et son coeur de métier nucléaire" sans répondre "aux besoins de financement" d'Areva, alors que "d'autres solutions sont envisageables pour le redressement" du groupe. La CFDT demande donc à l'Etat "de surseoir à sa décision de vendre Areva NP à EDF".

 

Difficultés financières

Le 4 mars, le groupe contrôlé à 87% par des capitaux publics avait dévoilé une perte nette de près de 5 milliards d'euros et dit travailler à une restructuration, qui passerait par un recentrage de ses activités sur "le cœur des procédés nucléaires" et la cession de certains de ses actifs.

Areva NP, ex-Framatome, regroupe notamment toutes les activités concernant l'ingénierie des réacteurs nucléaires, leur construction et la fabrication de leurs composants. En termes d'effectifs, Areva NP et ses filiales comptent environ 20.000 salariés dans le monde, soit près de la moitié des effectifs totaux d'Areva.

 

Les syndicats opposés à une cession des réacteurs à EDF

 La cession totale ou partielle à EDF des activités d'Areva dans les réacteurs nucléaires représenterait un démantèlement du groupe et ne répondrait pas à ses besoins financiers, ont estimé vendredi les syndicats du spécialiste public du nucléaire.

"Les membres du comité de groupe France sont opposés au démantèlement du groupe par cession totale ou partielle d'Areva NP vers EDF. Ce scénario n'a rien d'industriel et nous rappelle les erreurs du passé (...)", ont indiqué vendredi la CFDT, la CGT, le CFE-CGC, FO et l'UNSA dans un communiqué commun.

"Les incidences catastrophiques n'ont visiblement pas été étudiées. Le scénario ne résiste pas à une analyse fine des impacts commerciaux, sociaux et réglementaires et ne répond nullement aux besoins financiers à moyen terme du groupe", ont ajouté les syndicats.

Les représentants du personnel d'Areva demandent en conséquence des solutions alternatives permettant "de maintenir et consolider tous les outils industriels indispensables aux besoins de la filière en évitant toute casse sociale".

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 12:55
SOFINS 2015 L’événement des forces spéciales françaises du 14 au 16 avril 2015

 

3 avril, 2015 source FOB

 

Le général de brigade aérienne Pierre-Jean Dupont, adjoint du général commandant les opérations spé-ciales (GCOS) a présenté, lors du point presse, la 2nde édition du «Special Operations Forces Innovation Net-work Seminar » (SOFINS) qui se tiendra au camp de Souge, près de Bordeaux, du 14 au 16 avril.

 

Le SOFINS a pour vocation de favoriser la collaboration entre la communauté des forces spé-ciales, les centres de recherches, les pôles universitaires et les industriels des grands groupes, des ETI, des PME et des TPE im-plantés en France.

 

L’objectif de cette collaboration, en liaison étroite avec la DGA, est de permettre aux forces spé-ciales, avec l’aide des industriels, de repousser les limites de leur équipement en termes d’ergonomie (utilisation de nuit de leur équipement) ou de légèreté (emporter, à poids égal, un nombre croissant de matériel permettant plus de polyvalence dans les actions).

 

Le SOFINS s’adresse également à l’ensemble des forces « spécifiques » (GIGN, RAID, DGSI, DGSE) et aux grands décideurs des états-majors centraux (EMA, EMAT, EMM, EMAA, DGGN). Il accueille également de nom-breuses délégations officielles françaises et étrangères, ainsi que des élus locaux et nationaux.

 

Le SOFINS propose pour ses participants :

– un espace d’exposition dédié à la présentation des savoir-faire et produits ;

– des tests de produits et des démonstrations par des opérateurs des forces spéciales ;

– des ateliers sur les futurs enjeux en matière d’équipe-ments des forces spéciales, afin d’engager des pro-grammes de R&D répondant à leurs besoins.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 12:50
Photo Royal Navy

Photo Royal Navy

 

3 Avril 2015 Source : Marine Nationale

 

À l’occasion du match qui s’est déroulé le mercredi  1er avril, le Rugby Club de la Marine Nationale (RCMN) a réalisé une belle performance en allant battre, sur le score de 19 à 33 l’équipe de la Royal Navy sur ses terres. C’est la première fois en 10 ans.

 

Le match s’est déroulé  à Portsmouth. Mené à la mi-temps par les anglais 19 à 13, l’équipe du RCMN a su trouver les ressources et élever le rythme de  jeu pour contrer la Royal Navy en seconde période et reprendre l’avantage par 22 à 19 à 25 minutes de la fin. Le RCMN a maintenu la pression sur l’adversaire jusqu’au coup de sifflet final et l’emporte finalement de 14 points.

 

L’équipe féminine du RCMN l’emporte par 27 à 3. Dominée tout au long du match et dans tous les secteurs du jeu, l’équipe de la Royal Navy a subi la pression et la supériorité technique du RCMN/F. C’est donc logiquement que nos françaises s’imposent en territoire anglais.

 

Article sur le déroulement du match sur le site de la Royal Navy

Photo Royal Navy

Photo Royal Navy

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 11:55
Recette contractuelle du 1er simulateur de vol Caïman Marine

 

2 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

La phase de recette contractuelle du premier simulateur de vol Caïman Marine en version initiale s’est achevée avec succès le vendredi 27 mars, sur la base d’aéronautique navale (BAN) de Lanvéoc-Poulmic.

 

Ce simulateur, développé par la société SOGITEC dans un cadre multinational et interarmées sous l’acronyme MRTD (Multi Role Training Device), est constitué d’un ensemble logiciel et matériel permettant la simulation des tous types de missions au profit des équipages d’hélicoptère Caïman Marine.

 

Développé à partir des technologies modernes en termes de puissance de calcul et de génération d’images, le MRTD permet un entrainement ultra-réaliste dans des cadres tactiques et environnementaux évolutifs.

 

Durant quinze jours, le système a été vérifié au regard des exigences contractuelles par les équipes étatiques ayant suivi son développement. Dans ce cadre, différentes missions démonstratives de celles réalisées dans la réalité, ont été menées avec succès. Au vu de ces résultats et des recommandations des experts étatiques, les représentants de la NAHEMA (agence OTAN responsable du programme NH90) et de la DGA ont signifié l’acceptation du système à la société SOGITEC.

 

Les prochaines semaines seront consacrées à la prise en main de ce moyen par le groupement d’instruction de la BAN Lanvéoc-Poulmic (préparation et conduite de séances d’instruction, maintenance), et aux dernières vérifications par les experts du CEPA/10S (représentativité dans des phases de vol particulières (vortex, appontage monomoteur), impacts physiologiques).

 

La mise en service opérationnel du simulateur de Lanvéoc est prévue dans les prochaines semaines.

Crédits Sogitec

Crédits Sogitec

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 11:55
Journée nationale du réserviste

 

03/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

La clôture de la journée nationale du réserviste s’est déroulée le 27 mars, sous l’Arc de triomphe. Une cérémonie d’hommages s’y est tenue en présence de tous les acteurs de la journée.

 

Soldats réservistes du 24e régiment d’infanterie et soldats d’active étaient réunis autour de la tombe du Soldat inconnu pour souligner le lien fort qui les unit.

 

Retour en images sur cette journée.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 11:55
Les généraux Pierre de Villiers et Denis Mercier - photo B. hennequin / Armée de l'Air

Les généraux Pierre de Villiers et Denis Mercier - photo B. hennequin / Armée de l'Air

 

03/04/2015  Actus Air

 

Mardi 31 mars 2015, le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, s’est rendu pour la première fois, sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Accompagné du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, il a découvert cette plateforme aéronautique unique, qui abrite des unités phares de l’armée de l’air. Parmi ces entités : le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM), l'escadron de défense sol-air, le régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niemen » ou encore l'escadron de soutien technique aéronautique « Chalosse »

 

Présentation du nouveau CEAM…

En cours de refonte, le CEAM s’apprête à fusionner avec le centre tactique air (CENTAC air) sous un commandement unique, pour devenir le centre d’expertise aérienne militaire. Ce nouveau centre aura pour objectif de fédérer l’ensemble des expertises rares de l’armée de l’air, de cultiver l’esprit d’innovation, de favoriser une meilleure prise en compte du retour d’expérience et de contribuer aux doctrines de niveau interarmées. Le chef d’état-major des armées s’est vu présenter ce futur centre de guerre aérienne, et a estimé que « sa montée en puissance constitue une illustration de sa volonté d’appréhender les réformes en cours. »

 

 

photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

… et de certaines de ses unités

L’innovation était au cœur de la visite. Ainsi, le lieutenant-colonel Damien Gadiou, commandant l’escadron de chasse et d’expérimentation 5/330 « Côte d’argent » a présenté la salle de formation « jumelles de vision nocturne », et le commandant Emmanuel Canu, commandant le centre d’expertise et d’instruction des liaisons de données tactiques (CEILDT) a mis en avant les outils connectés d’aide à la décision et à la définition (OCAD 2). À cette occasion, le général Mercier a rappelé que « les liaisons de données tactiques sont une révolution technologique. Le CEILDT est donc une pépite pour l’armée de l’air. »

 

Rencontre avec les aviateurs de la base aérienne 118

 

Le général de Villiers et le général Mercier ont également rencontré des aviateurs et civils de la défense de la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Ils ont visité l’escadron de soutien technique aéronautique « Chalosse », le régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niemen », le centre d’instruction du contrôle et de la défense aérienne 00/910 et l’escadron de défense sol-air 12/950 « Tursan ». « Je suis heureux de me rendre sur le terrain, d’observer comment cela se passe et d’en connaître les difficultés, leur a confié le chef d’état-major des armées. Comme je le dis à chaque fois, on ne fera pas mieux avec moins, mais je sais que la vraie richesse de nos armées c’est vous. »

photo B. hennequin / Armée de l'Airphoto B. hennequin / Armée de l'Air

photo B. hennequin / Armée de l'Air

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 11:40
Photo FB Цаплиенко

Photo FB Цаплиенко

 

April 1, 2015: Strategy page

 

 One of the many reasons NATO believes the Russians are actively involved in the fighting in eastern Ukraine (Donbas) is the presence of Russian electronic warfare equipment. Not just Cold War era stuff (which Ukraine inherited some of when the Soviet Union collapsed in 1991) but equipment NATO knows was developed in the 1990s or later. This Russian gear has greatly aided the rebels, who have neither captured any advanced Ukrainian electronic warfare equipment or possess the number of electronic warfare experts needed to operate the equipment needed to explain the amount of jamming and eavesdropping the rebels are being supported with. Thus the rebels can jam or eavesdrop on all manner of Ukrainian communications (cell phones, military communications and control equipment for UAVs and anything else operated remotely) and jam those communications as well.

 

Ukraine has asked NATO for electronic warfare support and there has been no publicity about the result. That could mean that some NATO nations responded, quietly, mainly for the opportunity to get a better understanding of the latest Russian electronic warfare gear under combat conditions. That is important because Russia exports a lot of this equipment. The Russians don’t mind making their electronic warfare tech more vulnerable to theft because Russian manufacturers need the money to stay in business. NATO would simply like to know more about the latest Russian gear, just in case.

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