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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 08:20
Flight Ready: F/A-18 Center Barrel Replacement



26 mars 2015 NAVAIRSYSCOM

 

What does it take to nearly double the service life of a Navy aircraft? Engineers and technicians at Fleet Readiness Center Southeast in Jacksonville, Fla., perform a complete overhaul of the aging F/A-18 Hornet to get these fighters fit for the fleet and back on the flight line.

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 07:55
Credits : Areva

Credits : Areva

 

27 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - Le géant de l'énergie EDF n'exclut pas de prendre une participation majoritaire dans l'activité réacteurs du groupe nucléaire Areva qui serait ainsi recentré sur ses activités combustibles indiquent jeudi les quotidiens Les Echos et Le Figaro.

 

Selon ces journaux, EDF pourrait prendre une participation dans une large partie des activités d'Areva, à savoir le périmètre de l'ex-Framatome.

 

Le quotidien Les Echos précise que les choses sont loin d'être faites ne serait ce que parce qu'il faut l'aval du gouvernement, même si le ministre de l'économie Emmanuel Macron serait favorable à une telle intégration verticale, selon le journal.

 

Le Figaro indique quant à lui que le gouvernement attend les propositions des deux groupes la semaine prochaine.

 

Par ailleurs, l'opinion d'Areva sur le dossier ne serait pas encore arrêtée selon les Echos pour qui d'autres scénarios existent comme un rapprochement entre les deux groupes limitée à l'ingénierie des réacteurs, ce qui aurait la préférence d'Areva actuellement en grande difficulté financière.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

Note RP Defense : La BU Propulsion et Réacteurs de Recherche d'Areva s'occupe de la conception, de la mise en service, et de l'assistance à l'exploitation des réacteurs nucléaires de propulsion navale équipant la flotte française en service.

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 07:50
Nicolai Wammen, Minister of Defence

Nicolai Wammen, Minister of Defence

 

27.03.2015 Romandie.com (ats)

 

La police danoise a arrêté deux hommes, d'origine somalienne et pakistanaise, dans une enquête sur les préparatifs d'une attaque contre le ministre de la Défense du pays, Nicolai Wammen, ont indiqué les médias locaux jeudi. Ils ont été placés en garde à vue mercredi.

La police a également perquisitionné un certain nombre d'appartements à Copenhague et dans ses alentours, a indiqué le quotidien "Ekstra Bladet".

Selon le journal, les faits reprochés sont les préparatifs d'une agression contre le gouvernement ou des ministres, infraction expressément prévue par le code pénal, et non d'un acte de terrorisme. La police s'est refusée à tout commentaire.

 

Ministre sous protection

L'avocat d'un des prévenus a souligné que s'il n'y avait pas eu d'audience pour décider d'une éventuelle incarcération, alors les charges pesant sur son client "ne sont peut-être pas trop graves".

Dans un pays où les hommes politiques tâchent en temps normal de vivre une vie de citoyens ordinaires, le ministre de la Défense s'est vu attribuer d'une protection policière après les attaques en février d'un Danois d'origine palestinienne. L'homme de 22 ans avait tué deux personnes en attaquant un débat sur la liberté d'expression puis la synagogue de Copenhague.

Les services de renseignements (PET) ont ouvert une enquête, il y a quelques semaines, "fondée sur des observations autour" de l'un des deux suspects et de sa résidence, a écrit le journal "Ekstra Bladet".

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 07:30
Yémen: nouvelles frappes aériennes contre les rebelles soutenus par l'Iran

 

26 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Sanaa - Des avions de la coalition menée par l'Arabie saoudite ont lancé de nouvelles frappes jeudi soir au Yémen contre les rebelles chiites soutenus par l'Iran, qui a dénoncé une intervention dangereuse.

De fortes explosions ont secoué en soirée la capitale Sanaa. Un correspondant de l'AFP a fait état de tirs de la défense anti-aérienne en réponse à ce que des témoins ont décrit comme des frappes de la coalition contre une base à l'entrée ouest de Sanaa, une ville tenue par les rebelles chiites Houthis.

Les premiers raids de l'opération Tempête décisive ont été qualifiés de succès et se prolongeront jusqu'à ce que les objectifs soient atteints, a déclaré à Ryad un porte-parole de la coalition, affirmant qu'il n'y avait pas de projet d'offensive terrestre dans l'immédiat.

Mais le chef des rebelles, Abdel Malek al-Houthi, condamnant une invasion, a averti que les Yéménites ne vont pas rester sans réagir.

L'Iran a parallèlement mis en garde contre une propagation du conflit à d'autres pays, son président Hassan Rohani condamnant une agression militaire.

En pleines négociations sur le nucléaire avec Téhéran, les Etats-Unis ont apporté leur soutien à l'intervention, sans toutefois y participer directement. La Maison Blanche s'est déclarée inquiète des activités iraniennes au Yémen, parlant d'informations sur le transfert iranien d'armes dans ce pays.

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a affirmé que la négociation était la seule solution pour résoudre la crise, alors que l'Union européenne s'est inquiétée des risques de graves conséquences régionales.

La plupart des pays arabes ont serré les rangs derrière l'Arabie saoudite et réaffirmé leur soutien au président yéménite reconnu par la communauté internationale, Abd Rabbo Mansour Hadi.

Ce dernier est arrivé jeudi à Ryad, selon l'agence officielle SPA, en route pour participer au sommet annuel arabe qui s'ouvrira samedi en Egypte.

 

- Pas de troupes au sol pour l'instant -

M. Hadi avait été ces derniers jours au centre de nombreuses spéculations, notamment sur le point de savoir s'il était encore présent à Aden, alors que des forces anti-gouvernementales se rapprochaient de cette grande ville du sud où il était retranché depuis février après la prise de Sanaa par les rebelles Houthis.

L'opération militaire a été déclenchée dans la nuit de mercredi à jeudi par des frappes saoudiennes sur différentes positions des Houthis.

Des habitants de la capitale Sanaa ont fait état de violentes explosions. Certains ont décidé de fuir par craintes de nouveaux raids. Je m'en vais avec ma famille car Sanaa n'est plus sûre, a témoigné Mohamed, un habitant.

Jeudi soir, de nouvelles frappes ont visé une base militaire près de Taëz, la troisième ville du pays, sur la route entre la capitale Sanaa et Aden, dans le sud, selon des sources officielles et des témoins.

L'Arabie saoudite a mobilisé 150.000 militaires et 100 avions de combat, tandis que les Emirats arabes unis ont engagé 30 avions de combat, Koweït 15 appareils et le Qatar 10, a indiqué Al-Arabiya, chaîne de télévision à capitaux saoudiens. Bahreïn a annoncé participer avec 12 avions.

L'opération mobilise également l'Egypte --avec son aviation et sa marine--, la Jordanie, le Soudan, le Pakistan et le Maroc, selon Ryad.

Le déploiement de troupes au sol n'est pas prévue en l'état, a précisé le porte-parole de la coalition.

L'intervention militaire fait suite à plusieurs appels à l'aide émanant du gouvernement yéménite, incapable de faire face à l'avancée des rebelles.

Elle vise à défendre le gouvernement légitime du Yémen et à empêcher le mouvement radical houthi de prendre le contrôle du pays, a expliqué l'ambassadeur saoudien aux Etats-Unis, Adel al-Jubeir.

Les premiers raids ont notamment permis de détruire les défenses aériennes des rebelles houthis, (et) la base aérienne Al-Daïlami attenante à l'aéroport de Sanaa, selon SPA.

Des forces loyales au président ont en outre repris l'aéroport d'Aden, passé la veille sous le contrôle des forces anti-gouvernementales.

 

- Inquiétude pour les civils -

Les bombardements avant l'aube ont fait au moins 14 morts civils à Sanaa, selon la défense civile. Amnesty International a fait état de 25 morts à Sanaa, dont six enfants.

Le Comité international de la Croix-Rouge a exprimé ses inquiétudes quant au sort des civils et appelé les parties en conflit à respecter la vie humaine.

A Londres et New York, l'intervention militaire au Yémen a entraîné une hausse des cours du pétrole. Les marchés ont réagi avec inquiétude à l'entrée en guerre du principal exportateur mondial de pétrole, l'Arabie saoudite, et aux répercussions possibles du conflit sur le contrôle du détroit de Bab al-Mandeb, qui voit passer près de trois millions de barils par jour de brut.

La crise au Yémen s'est envenimée depuis septembre 2014 quand les Houthis ont déferlé sur Sanaa pour y contester le pouvoir de M. Hadi et dénoncer un projet de Constitution sur un Etat fédéral qui priverait son fief dans le nord d'un accès à la mer.

Pour les experts, le Yémen est le théâtre d'une guerre par procuration entre l'Iran chiite et le royaume saoudien sunnite, qui risque d'aboutir à une désintégration du pays.

A cela s'ajoute la poursuite d'attaques d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa). Pour ajouter au chaos, le groupe jihadiste Etat islamique a récemment revendiqué des attentats suicide ayant fait 140 morts à Sanaa.

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 07:25
Credits Eric Gaba

Credits Eric Gaba

 

March 26th, 2015 defencetalk.com (AFP)

 

Argentina branded Britain’s plans to beef up its defenses in the Falkland Islands a “provocation” and a pre-election stunt Wednesday.

 

On Tuesday, British Defense Secretary Michael Fallon said London would spend £180 million ($268 million) over 10 years to counter “continuous intimidation” from Argentina in the disputed South Atlantic islands, which the two countries went to war over in 1982.

 

“This business from Great Britain is a provocation, not just to Argentina but also to the United Nations,” said Argentine Foreign Minister Hector Timerman.

 

The UN’s Decolonization Committee adopted a resolution last year calling on Britain to negotiate with Argentina on the islands’ status, as Buenos Aires has long demanded.

 

Britain argues the islanders should decide themselves which country they want to belong to. In a 2013 referendum, 99.8 percent voted to remain a British overseas territory.

 

Timerman said the British defense initiative “makes no sense.”

 

“We are committed to dialogue and international law,” he told local broadcaster Radio del Plata, saying Argentina would file a formal complaint with the UN and the Decolonization Committee.

 

President Cristina Kirchner’s cabinet chief, Anibal Fernandez, said the defense plan was less about Argentine threats than the campaign for Britain’s general elections on May 7.

 

“They’re facing elections so they resort to cheap nationalism to put all of British society on tenterhooks over a military matter,” he told a press conference.

 

Argentina invaded the Falklands, which it calls the Malvinas, in April 1982, sparking a bloody war that it lost in just over two months.

 

The conflict claimed the lives of 649 Argentine soldiers, 255 British soldiers and three islanders.

 

Argentina’s secretary for the Malvinas, Daniel Filmus, said it is “absolutely not the case” that Buenos Aires plans to repeat the invasion, launched under its military dictatorship.

 

“Since 1983, Argentina has again lived under a democracy and forcefully insists that there is only one path to regain sovereignty, the path of peace, diplomacy and negotiation,” he said.

 

Filmus said Britain’s real aim appeared to be “supporting the offshore oil rigs that are illegally pumping Argentine hydrocarbons” in the South Atlantic.

 

Argentina does not recognize Britain’s right to drill for oil in the region, where significant offshore deposits have been discovered in recent years.

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 00:30
Les Etats-Unis entrent dans la bataille de Tikrit

 

26.03.2015 Romandie.com (ats)

 

Les forces irakiennes, aidées par les Etats-Unis, sont reparties jeudi à l'assaut de la ville de Tikrit pour déloger les djihadistes du groupe Etat islamique. Washington a mené depuis mercredi 17 raids aériens sur cette ville située à 160 km au nord de Bagdad.

Les forces aériennes américaines n'étaient pas encore intervenues directement à Tikrit. La France a également effectué un raid, ont indiqué jeudi les commandements militaires des deux pays.

Les Etats-Unis ont longtemps exprimé leurs réticences à intervenir, en raison notamment du soutien actif de l'Iran aux milices chiites engagées dans la bataille. Mais la donne a changé mercredi lorsque le Premier ministre irakien Haider al-Abadi a réclamé des frappes.

 

Offensive terrestre relancée

Fortes de ce soutien aérien, les forces irakiennes ont relancé jeudi leur offensive terrestre, suspendue la semaine dernière en raison des nombreux engins explosifs disséminés par l'EI retranché à Tikrit.

Mais la bataille au sol engagée le 2 mars et présentée comme la plus massive depuis que l'EI s'est emparé l'an dernier de vastes pans de territoire en Irak, se fera désormais sans les milices chiites, selon Lloyd Austin, commandant des forces américaines au Moyen-Orient (Centcom).

Ces dernières, à qui Téhéran a notamment fourni de l'artillerie et des conseillers, "se sont retirées" de la zone de Tikrit et la bataille est maintenant menée par environ 4000 membres des forces spéciales et de la police irakienne, a précisé le général Austin.

Il était cependant impossible de confirmer jeudi si ce retrait était effectif sur le terrain.

 

"Aller de l'avant"

"Le gouvernement irakien devait être en charge de l'opération" pour que la coalition intervienne, c'était une "pré-condition", a encore expliqué le général lors d'une audition au Sénat américain. Ces propos faisaient écho à ceux d'un responsable américain qui avait indiqué que Barack Obama avait conditionné les frappes américaines à un rôle plus important des forces gouvernementales à Tikrit.

Le chef du Centcom a en outre dénoncé la "mauvaise approche" adoptée jusqu'alors à Tikrit. Il a aussi affirmé que la nouvelle configuration des combats permettrait d'"aller de l'avant".

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 00:30
USCENTCOM Area of Responsibility - Map

USCENTCOM Area of Responsibility - Map

 

26 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les Etats-Unis vont apporter un soutien logistique à la coalition menée par les Saoudiens au Yémen contre les rebelles chiites Houthis, au risque d'envenimer leurs relations avec l'Iran et de se retrouver attirés dans un conflit plus large entre chiites et sunnites.

Le soutien logistique et de renseignement autorisé par le président Obama devrait reposer notamment sur des avions ravitailleurs américains, alimentant en carburant les avions des Saoudiens et de leurs alliés pour leurs bombardements de la milice chiite, et des avions radars Awacs, selon des responsables américains.

Les pays du Golfe ont des forces aériennes conséquentes, mais ils ont besoin de ces capacités supplémentaires pour mener une opération importante et d'une durée indéterminée, expliquaient jeudi des responsables américains.

Le dispositif se met en route lentement: pour l'instant, Washington n'a fait qu'affecter une douzaine de militaires dans une cellule de coordination avec la coalition menée par l'Arabie Saoudite, expliquait jeudi le Pentagone.

Leur rôle est premièrement de maintenir les lignes de communication ouvertes entre les Etats-Unis et les pays du Golfe, a déclaré le colonel Steven Warren, porte-parole du Pentagone.

Interrogé au Sénat sur le futur dispositif américain, le général Lloyd Austin, commandant des forces américaines au Moyen-Orient, n'a pas voulu donner de détails. Et il a reconnu au passage que les Saoudiens ne l'avaient appelé que mercredi, le jour-même de l'offensive, pour le prévenir.

Pour les experts, Washington marche sur des oeufs, pris entre la volonté de soutenir ses alliés du Golfe et le risque de se voir entraîner dans une longue guerre par procuration entre les Etats du Golfe sunnites et l'Iran chiite.

Jeudi, le président iranien Hassan Rohani a condamné l'agression militaire contre le Yémen menée par la coalition tandis que le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif mettait en garde contre une extension du conflit dans la région.

Si nous prenons cette route de la guerre par procuration entre l'Iran et les pays du Golfe, le conflit sera parti pour durer des années, avertit Jon B. Alterman, un chercheur au CSIS, un groupe de réflexion de Washington.

 

- Situation tendue -

Il ne s'agit ni de laisser les Houthis remporter une victoire totale, ni de chercher à les battre complètement, a-t-il déclaré à l'AFP, en estimant que la solution ne passerait que par un règlement négocié entre toutes les parties.

En dernier ressort, une fin négociée à la crise sera le seul moyen de restaurer l'ordre au Yémen et de réduire l'espace laissé aux terroristes, a également estimé le parlementaire démocrate Adam Schiff, membre de la commission du renseignement de la Chambre des représentants.

La situation est d'autant plus tendue pour les Etats-Unis que les négociations sur le nucléaire iranien entrent dans leur dernière ligne droite. Un haut responsable américain a assuré jeudi que l'opération militaire au Yémen n'aurait pas d'impact sur les négociations sur le programme nucléaire de Téhéran.

Nous avons toujours clairement indiqué que les négociations du groupe P5+1 portaient exclusivement sur la question du nucléaire, a indiqué ce haut responsable américain sous couvert d'anonymat au moment où les discussions reprenaient à Lausanne, en Suisse.

De plus, les Etats-Unis, même avec un soutien logistique, ne sont pas directement impliqués dans les frappes au Yémen, a estimé Seth Jones, un expert du groupe de réflexion Rand Corp. Les Etats-Unis ont toujours soutenu le gouvernement du président Hadi contre les Houthis, et au fond il n'y a pas grand chose de nouveau, a-t-il déclaré à l'AFP.

Je ne pense pas cela fera nécessairement capoter les négociations sur le nucléaire iranien, estime-t-il.

En 2011, les Etats-Unis avaient fait le choix de ne pas aider les Saoudiens, lorsque ceux-ci étaient intervenus à Bahreïn pour réprimer des manifestations de la majorité chiite face au gouvernement sunnite.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 22:55
Des élèves ingénieurs à la découverte de la base de Saint-Dizier

 

26/03/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 mars 2015, la base aérienne 113 de Saint-Dizier a accueilli quinze élèves ingénieurs de deuxième année de Centrale Supélec Metz.

 

Dans le prolongement d’une démarche initiée en 2013, les élèves se sont rendus sur la base aérienne de Saint-Dizier, en compagnie de leur directeur des études, officier de réserve sup aéro.

 

Après la visite en 2014 du site d'assemblage de tronçons de l'avion Rafale à Argenteuil, les futurs ingénieurs ont découvert l'avion dans son environnement opérationnel. La visite les a conduits à l'escadron de soutien technique de l'aéronautique 15/007 « Haute-Marne » et à l'escadron de transformation 2/92 « Aquitaine », où sont formés les pilotes de Rafale.

 

Les exposés ont donné lieu à de nombreuses questions et à des échanges fructueux. Cette journée était l’occasion de renforcer le lien armée-Nation. L’école Centrale Supélec entretient d’ailleurs des liens étroits avec le monde militaire. En effet, chaque année, Centrale Supélec Paris accueille des officiers au sein de leur cycle d’ingénieur.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 22:25
photo CCH Serpillo / Armée de Terre

photo CCH Serpillo / Armée de Terre

 

26/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 25 mars 2015, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), a poursuivi son déplacement auprès des forces armées en Guyane (FAG). Durant ce troisième jour en Guyane il a pu constater le haut niveau d’implication des militaires des FAG dans les différentes missions interministérielles qui leurs sont assignées.

 

A Saint-Laurent du Maroni, dans l’ouest guyanais, le CEMA est allé à la rencontre des militaires du 9èmerégiment d’infanterie de Marine (9ème RIMa) puis des jeunes du régiment du service militaire adapté de la Guyane (RSMA).

 

Le détachement du 9ème RIMa a présenté au CEMA un point de situation sur les principales missions effectuées dans cette zone :

    garantir la souveraineté nationale  sur la moitié ouest du territoire, dans une zone d’accès difficile de 45 000 km² ;

    participer à la mission Harpie de lutte contre l’orpaillage illégal.

 

Implanté à Cayenne, le 9eRIMa est notamment déployé à Saint-Laurent-du-Maroni et à Maripasoula. Il appuie et soutient les services de l’Etat engagés dans la lutte contre l’immigration clandestine et l’orpaillage illégal. Le régiment est plus particulièrement engagé aux côtés de la gendarmerie pour interdire les axes fluviaux, contrôler la zone dans la profondeur et détruire des sites illégaux d’orpaillage.

 

Après avoir échangé directement avec les « marsouins », le CEMA a rejoint le régiment militaire adapté de la Guyane (RSMA). Créé pour aider les jeunes âgés entre 18 et 25 ans en situation d’échec scolaire, le RSMA dispense de nombreuses formations professionnelles à Saint-Laurent-du-Maroni et à Cayenne. A l’issue de leur formation, les jeunes du RSMA de la Guyane sont insérés à plus de 75% dont une majorité dans l’emploi durable. Le CEMA a visité les différents ateliers de formation professionnelle du régiment, apprécié les problématiques spécifiques de recrutement et d’insertion mais aussi échangé avec des chefs d’entreprise venus expliquer les raisons qui les amènent, au quotidien, à recruter spécifiquement leurs employés à la sortie du RSMA de la Guyane.  Le général de Villiers a particulièrement apprécié cette visite qui lui a permis d’être au contact des jeunes et des cadres du RSMA, saluant la performance du régiment et son impact sur le tissu économique local.

 

Après ces rencontres, le CEMA s’est rendu sur un site symbolique de la lutte contre l’orpaillage clandestin dans la région de Tadéu. Il a pu prendre la mesure des résultats et des succès de la mission Harpie qui mobilise, dans un cadre interministériel, marsouins et légionnaires aux côtés des gendarmes. Les efforts permanents des hommes du 3e REI et du 9eRIMa bénéficiant des moyens de l’armée de l’air et réalisés en appui des forces de gendarmerie, ont déjà permis de réduire de 30% le nombre de sites d’orpaillage illégal ces 6 derniers mois.

 

Débutée par un petit-déjeuner avec les présidents de catégories des FAG, cette dernière journée de visite du CEMA en Guyane s’est achevée par un entretien avec le préfet durant lequel ont été notamment soulignées la qualité et l’efficacité de l’engagement des forces armées dans l’action interministérielle en Guyane.

 

Evoluant dans un milieu particulièrement exigeant, les forces armées en Guyane agissent au quotidien dans un cadre unique pour les armées : en opération permanente sur le territoire national, ses actions se déroulent dans un cadre interministériel, sous la direction stratégique du Préfet de région et en étroite coopération notamment avec les forces de gendarmerie et de la police de l'air et des frontières, dispositif unique sur le territoire national.

photo CCH Serpillo / Armée de Terre
photo CCH Serpillo / Armée de Terre
photo CCH Serpillo / Armée de Terre
photo CCH Serpillo / Armée de Terre
photo CCH Serpillo / Armée de Terre

photo CCH Serpillo / Armée de Terre

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 21:45
photo Sangaris / Armée de Terre

photo Sangaris / Armée de Terre

 

26/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Cette semaine a été marquée par la visite, le 21 mars, du chef de l’Etat de transition à Ndélé, afin de réaffirmer l’autorité de l’État dans cette ville.

 

Elle était accompagnée d’une délégation composée du nouveau préfet de Ndélé, d’une vingtaine de professeurs, et d’un groupe de gendarmes qui resteront sur place pour relancer les institutions gouvernementales. La dernière visite d’un chef d’État centrafricain à Ndélé remontait à 2011. Dans la capitale, le commissariat du 3e arrondissement a été inauguré vendredi 20 mars.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo Sangaris / Armée de Terrephoto Sangaris / Armée de Terre

photo Sangaris / Armée de Terre

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 21:45
A SAAF Oryx at the Rand Show 2012

A SAAF Oryx at the Rand Show 2012

 

26 March 2015 by defenceWeb

 

The SA National Defence Force (SANDF) will be part and parcel of the Rand Show right from the official opening Friday after next along with arena and static displays for the duration of the event at the Johannesburg Expo Centre.

 

Of the more than 10 000 square metres of display space that will be taken up by the military, a major portion will be dedicated to careers in the SANDF. To be housed in Hall 10A, the career expo will, in addition to having representatives from all four arms of service on hand to answer questions, also have Army Young Lions and Air Force Young Falcons present. They will tell, in their own words, what these two arms of service are like, having done camps and been involved in some of the musterings, ranging from pilots, navigators and flight engineers through to artillery and mortar men as well as Sappers, the military name for an engineer whose work ranges from blowing up bridges and roads to building them and providing clean water.

 

Another part of the indoor exhibition will be a display showing a typical day in the life of a soldier. Also of interest to those thinking of joining the SANDF, more specifically the Signals Formation, will be a display pitting first generation communication methods such as Morse Code against modern signalling equipment and technology.

 

Rand Show visitors will also be able to show their support for soldiers on peace support and peacekeeping missions in the DRC and Sudan. 11 Field Postal Unit, an active Reserve Force unit staffed by Post Office employees, will be open for the duration of the show and have goodwill postcards waiting for messages.

 

The outdoor exhibition will feature, among others, the Ratel ZT3, Gecko rapid deployment vehicle, Badger infantry combat vehicle, Rooikat armoured vehicle, radar systems, a tactical intelligence post with working cameras, the Rooivalk combat support helicopter, Umlindi radar, a flight simulator, a dive tank and compression chamber as well as elements of a field hospital and emergency medical, disaster and search and rescue equipment.

 

The military will this year also be hands-on with visitors to the SANDF exhibition able to try their skills on driving, shooting and missile simulators.

 

The SAAF Silver Falcons aerobatic team, headquartered at AFB Langebaanweg, will perform displays as will Hawk Mk120 Lead-In Fighter Trainers from 85 Combat Flying School at AFB Makhado. Their displays will coincide with SANDF arena displays including fast-roping of specialist infantry from an Oryx helicopter, an artillery gun run, precision drill and parachute jumps (weather permitting).

 

The military contribution to the opening on Friday April 3 will be in the form of a massed band comprising the SA Military Health Service band, the SA Army’s Kroonstad band and the SA Navy band.

 

The Rand Show closes on April 12.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 21:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

26/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Ces dernières semaines ont été marquées par trois opérations majeures, réparties sur l’ensemble de la zone d’opération : une opération à l’ouest du Mali avec les forces armées mauritaniennes (région Ouagadou), une au Nord du Mali (région Tighargar), et une au Nord du Niger avec les forces armées nigériennes (région Madama). L’objectif de ces opérations est d’empêcher les groupes armés terroristes de se réinstaller, et de permettre aux pays partenaires de s’approprier pleinement cette lutte. La dernière en date, dans le massif du Tighargar, a abouti à la destruction d’un millier d’obus, de 4000 munitions et d’un groupe de combattants terroristes. Elle a permis de confirmer qu’il n’existe plus de sanctuaire terroriste dans cette zone, même si le terrain est ponctuellement utilisé à des fins logistiques et d’entraînement.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armées terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 21:30
pphoto EMA / Marine Nationale

pphoto EMA / Marine Nationale

 

26/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Cette semaine, la force Chammal a réalisé 31 sorties aériennes, dont quatre ont abouti à des frappes au sol. Le 20 mars, une patrouille a tiré sur un bâtiment abritant une fabrique d’IED dans la région de Ramadi, alors qu’une seconde patrouille a détruit deux camions suicides dans la région de Bagdad. Le lendemain, les avions français, en appui des forces irakiennes au contact au sol, ont neutralisé un poste de combat situé sur un immeuble dans la région de Ramadi. Enfin, le 22 mars, la force Chammal, en appui de Peshmergas, a neutralisé une trentaine de combattants qui étaient abrités dans un immeuble dans la région de Sinjar.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 3 200 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliées de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion ravitailleur C-135 FR, d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et du groupe aéronaval et de son groupe aérien embarqué (douze Rafale Marine, neuf Super Etendard modernisés et un Hawkeye).

photo EMA / Marine Nationalephoto EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 17:55
Lettre de veille #2 du Comité Armée du Futur

 

26.03.2015 Pierre LALOUX, Responsable du Comité Armée du Futur - ANAJ-IHEN

 

Le Comité Armée du Futur de l’ANAJ-IHEDN a le plaisir de vous présenter la deuxième édition de sa Lettre de veille sur le monde de la Défense.

 

La lettre de veille du comité Armée du Futur vous permettra de retrouver l’actualité du monde de la défense, agrégée en trois rubriques thématiques : organisation et restructuration ; innovations et nouvelles technologies ; ainsi que finance, économie et budget.

 

Lettre de veille #2 du Comité Armée du Futur

Télécharger le fichier

Le comité Armée du Futur de l’ANAJ-IHEDN a pour vocation de développer, favoriser et diffuser la réflexion sur l’armée de demain, tant du point de vu organisationnel que matériel. Depuis le renouveau du comité en septembre 2013, ses membres ne cessent de s’impliquer d’avantage autour d’un intérêt commun : l’étude prospective de l’outil militaire via une diversité d’approches et de points de vue.

Cette deuxième édition s’inscrit dans la continuité de la première. Les membres du comité présentent ici différents faits d’actualité en lien avec le monde de la Défense. Fruit d’un travail rigoureux de sélection et de référencement, ils constituent autant de pistes de réflexion auxquelles s’intéresse notre comité. Cette lettre de veille représente donc un panorama des différents enjeux liés au milieu militaire, tant du point de vue des forces armées que des industriels du secteur.

Le comité Armée du Futur est avant tout un groupe d’échange, de discussion et de débat. A ce titre et si nos activités vous intéressent, n’hésitez pas à nous contacter.

Je vous remercie de votre intérêt et vous souhaite à tous une excellente lecture !

 

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 17:55
Sentinelles maritimes

 

26 Mars 2015 par CV Didier Piaton – Marine Nationale

 

Comme le rappelle le Livre Blanc de 2013, « La protection reste première dans notre stratégie de défense et de sécurité nationale. Elle ne saurait être assurée sans la capacité de dissuasion et d’intervention. » Protéger est l’essence même des armées.

 

Dans la Marine, chacun se consacre, directement ou indirectement, de façon permanente ou occasionnelle, en métropole ou outre-mer, à protéger les Français, bien souvent sans que ces derniers ne le sachent.

 

Les marins de la  dissuasion nucléaire, Force océanique stratégique et Force aéronavale nucléaire, contribuent, avec toutes les unités de la Marine qui les soutiennent en permanence, à préserver les intérêts vitaux de la nation.

 

Avec les moyens d’intervention engagés dans différentes opérations au-delà de nos frontières et de l’horizon, comme actuellement le groupe aéronaval, la force de guerre des mines et l’état-major de la TF 150, les commandos Marine, les bâtiments déployés en opération Corymbe, dans le Golfe de Guinée, et en Méditerranée ou encore les unités de Nouvelle-Calédonie en secours au Vanuatu, l’action de nos forces maritimes donne à notre pays influence et profondeur stratégique.

 

En parallèle à ces missions par nature lointaines, 3280 marins sont engagés en métropole (500 outre-mer) dans le dispositif permanent de protection, sur les points d’importance vitale, le long du littoral et dans la profondeur de nos approches maritimes.

 

Marins des équipages de la Flotte ou gendarmes maritimes, ils participent à la protection des installations de la Marine et de la dissuasion. Ils assurent la sécurité de notre pays dans le cadre de l’action de l’Etat en mer ou de la défense maritime du territoire.

 

Chaque jour ils tiennent les alertes opérationnelles.

 

Chaque jour ils sauvent des vies en mer, luttent contre les pollutions, combattent les trafiquants, surveillent le littoral et les eaux territoriales, neutralisent des engins explosifs hérités des conflits passés. Ils patrouillent à terre ou en mer pour acquérir le renseignement nécessaire à l’anticipation de la menace et se tiennent prêts chaque jour à intervenir en mer en cas de menace avérée.

 

Ces 3280 marins sont nos sentinelles, des professionnels de la mer sur qui la France peut compter, en permanence.

 

Parmi eux, les fusiliers marins sont les plus nombreux. Ils arment le dispositif de protection-défense. ALFUSCO[i] vient d’en conduire une réorganisation d’ampleur pour mieux répondre au besoin opérationnel. Avec cette nouvelle posture, ils témoignent ainsi d’une capacité d’adaptation aussi exemplaire qu’indispensable pour conserver l’avantage tactique et moral.

 

[i] Amiral commandant la Force des fusiliers marins et commandos

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 17:45
Un VBL (Véhicule Blindé Léger) et un char ERC-90 Sagaie du 1e RHP au cœur du Sahara au cours d’une opération bipartite au nord du Niger avec l’armée nigérienne

Un VBL (Véhicule Blindé Léger) et un char ERC-90 Sagaie du 1e RHP au cœur du Sahara au cours d’une opération bipartite au nord du Niger avec l’armée nigérienne

 

26.03.2015 par Thomas Goisque

 

Opération Barkhane. Aux côtés des soldats nigériens, les légionnaires français du 2e REP luttent contre les islamistes aux confins d’un territoire plus vaste que l’Europe. Une traque incessante de la Mauritanie au Tchad en passant par le Mali, le Burkina Faso et le Niger.

 

Au milieu du Sahara non loin des frontières libyenne et algérienne, le vieux fort méhariste de Madama a retrouvé un rôle stratégique tandis que les unités du Génie construisent à quelques encablures une nouvelle Base Opérationnelle Avancée et une piste d’atterrissage en latérite.

 

Un reportage exclusif à découvrir ce week-end dans le Figaro-Magazine et dès aujourd’hui sur le site internet.

 

Accéder directement au reportage

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 17:20
M1272 Buffalo A2 vehicle photo US Army

M1272 Buffalo A2 vehicle photo US Army

 

25.03.2015 Sergyi Way army-guide.com

 

The U.S. Army TACOM Lifecycle Management Command awarded General Dynamics Land Systems a $22.7 million contract for updates and revisions to all logistic requirements and data in support of the Buffalo A2 M1272 vehicle. General Dynamics Land Systems is a business unit of General Dynamics.

 

The Buffalo A2 is a heavily armored truck specifically designed to protect its occupants from mines and improvised explosive devices. The Buffalo is a recognized leader in the global mine-protected route-clearance vehicle class, with approximately 238 Buffalo A2 vehicles delivered to U.S. units throughout the world.

 

Work will be performed by existing employees in Sterling Heights, Michigan, with an estimated completion date of March 2018.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 16:55
Airbus Group ne détient plus que 24,6% de Dassault Aviation

 

26/03/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Après la cession d'une partie de sa participation dans Dassault Aviation, Airbus Group ne possède plus que 24,61% (contre 42,11% précédemment) du capital de l'avionneur. Groupe Industriel Marcel Dassault (GIMD) détient 55,55% du capital et 58,75% des droits de vote

 

Airbus Group a réalisé mercredi un placement privé portant sur 1.612.407 actions de la société Dassault Aviation, représentant 17,5% du capital. Conformément aux accords signés avec Airbus Group et à l'autorisation conférée par ses actionnaires lors de son assemblée générale du 28 janvier 2015, Dassault Aviation a acquis, dans le cadre de ce placement, 460.687 actions représentant 5% de son capital au prix de 980 euros par action pour un montant total de 451 millions d'euros. Le prix maximum d'achat des actions avait été fixé par l'Assemblée Générale des actionnaires du 28 janvier 2015 à 1.200 euros par action. C'est donc un bon prix de rachat pour Groupe Industriel Marcel Dassault (GIMD).

Le solde, soit 1.151.720 actions, représentant 12,5% de son capital, a été souscrit par des investisseurs institutionnels à un prix de 1.030 euros par action. "Cette opération fructueuse est un pas de plus dans la mise en œuvre de la stratégie et la revue de portefeuille du groupe, a estimé mercredi le directeur général délégué à la stratégie et au marketing d'Airbus Group, Marwan Lahoud. La forte demande exprimée par les investisseurs montre clairement la qualité sous-jacente des activités de Dassault Aviation, dont le capital flottant aura été sensiblement augmenté grâce à cette opération". La cotation du cours de l'action Dassault Aviation a repris ce jeudi à 9 heures.

 

Nouvelle répartition du capital de Dassault Aviation

Après l'opération de cession d'Airbus Group, GIMD détient 55,55% du capital et 58,75% des droits de vote. Pour sa part, Airbus Group ne possède plus que 24,61% (contre 42,11% précédemment) du capital de l'avionneur et 26,03% (contre 42,30%) des droits de vote. Enfin, le flottant a été augmenté à 14,40% (contre 1,90%). Enfin, Dassault Aviation détient en propre 5,44% de son capital (contre 0,44%). Pour autant, cette nouvelle répartition devrait évoluer, Dassault Aviation devrait annuler tout ou partie des actions achetée "afin d'accroître la rentabilité des fonds propres et le résultat par actions".

Dans ce cadre, Dassault Aviation, dont c'était l'un des objectifs recherchés, "se félicite" dans un communiqué "du succès de ce placement et de l'élargissement concomitant de son flottant à l'occasion de cette opération" et "remercie les nouveaux investisseurs de la confiance qu'ils placent dans la société". En 2014, le chiffre d'affaires s'est élevé à 3,68 milliards d'euros et compte compte près de 11.600 salariés.

Le 28 novembre dernier, Airbus Group avait cédé à Dassault Aviation une participation de 8% dans Dassault Aviation dans le cadre d'une cession de bloc de gré à gré hors marché. L'annulation d'environ 9% par Dassault Aviation de ses actions auto-détenues avait ramené la participation d'Airbus Group à environ 42%.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 13:55
Un nouveau site Internet pour nos réservistes

 

26/03/2015  CNE Laisné - Armée de Terre

 

Le 20 mars 2015, a été officiellement lancé SIREM (Site Interarmées des Réserves Militaires), piloté par l’EMA/Bureau Réserve Militaire, une semaine avant la « séquence ministre » de la journée nationale du réserviste (JNR) le 27 mars 2015.

 

SIREM va devenir l’outil privilégié de communication entre l’Institution et le réserviste, ainsi qu’entre les réservistes eux-mêmes au sein d’une même unité. C’est le successeur de l’extranet réserve Terre (ERT). Accessible par Internet, il comprend une partie ouverte au grand public et une partie privée à laquelle les réservistes peuvent accéder après avoir créé leur compte en utilisant leur numéro matricule. On y trouve en particulier :

- Un portail d’informations générales sur la réserve ;

- Une bourse aux emplois des réservistes (leur permettant de postuler sur des postes vacants mis en ligne par les FE) ;

- A terme, un espace privé d’aide au commandement.

 

La Bourse des Emplois de la Réserve (BdER) permet aux réservistes d'avoir une vision globale sur les emplois que l’armée de Terre propose région par région, dans chaque régiment ou structure employant des réservistes. Chaque année, l’armée de terre propose 3000 postes pour compenser les flux de départs auxquels il faudra rajouter 1000 postes par an jusqu’en 2021 pour combler le déficit actuel. La logique retenue est celle de la proximité géographique pour faciliter l’employabilité et diminuer les délais et les coûts de transport, tout en intensifiant le lien armée- nation au niveau local.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 13:50
Statement of the HR/VP Federica Mogherini on the situation in Yemen

 

Brussels, 26/03/2015 source EEAS ref 150326_02_en

 

The latest events in Yemen have dramatically worsened the already fragile situation in the country and risk having serious regional consequences.

 

The advance of Houthi forces and of military units loyal to ex-President Saleh towards Aden yesterday, as well as the aerial targeting of President Hadi's compound, were unacceptable steps towards escalating an already polarized situation, and triggered today's Saudi-led airstrikes.

 

I'm convinced that military action is not a solution.

 

Only a broad political consensus through negotiations can provide a sustainable solution, restore peace, and preserve the unity and territorial integrity of Yemen. Otherwise, the ability of extremist and terrorist groups to take advantage of the situation is likely to increase dramatically.

 

The Yemeni civilian population, already affected by dire living conditions, are the first victims of the current military escalation.

 

At this critical juncture all regional actors should act responsibly and constructively, to create as a matter of urgency the conditions for a return to negotiations. The EU reiterates its support to all efforts currently undertaken to this effect, in particular those of the UN and of regional actors.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 13:45
photo UK MoD

photo UK MoD

 

26 March 2015 Ministry of Defence

 

An RAF C-130 aircraft will today leave RAF Brize Norton, on a UN mission to deliver vital supplies to remote Malakal in South Sudan.

 

This is the first deployment of a UK C-130 to the UN in Africa as part of the UN’s Air Transport Fleet. The aircraft, which has been deployed with a small support team, will conduct several flights between Juba, the capital of South Sudan, and the remote northern town of Malakal, in support of the UN Mission in South Sudan (UNMISS). This will enable the delivery of vital loads of food, water and building supplies to UN camps.

The C-130 is desperately needed both to help the UN’s transport infrastructure which is in great demand, and to provide critical supplies to a country in the grip of a humanitarian crisis. The civil war in South Sudan has given rise to 112,000 internally displaced civilians seeking shelter in UN camps, particularly Malakal.

Group Captain Polly Perkins, Head of Establishment for RAF Brize Norton said:

The station is proud to be providing this crucial UK contribution towards UN peacekeeping operations in South Sudan. This deployment demonstrates our capability and commitment to provide humanitarian and security assistance, where ever in the world we’re needed.

The operation is expected to last until mid-April, and will form a key part of the UK’s wider engagement with the UN, including the 14 staff officers currently on secondment in African missions, 4 of them in UNMISS, and the 264 British troops contributed to the UN peacekeeping mission in Cyprus.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 13:35
A Royal Air Force Chinook helicopter operating over Afghanistan - photo RAF

A Royal Air Force Chinook helicopter operating over Afghanistan - photo RAF

 

26 March 2015 by Flt Lt Henderson – Royal Air Force

 

After thirteen years supporting operations in Afghanistan, the first of the three remaining Royal Air Force Chinooks left Kabul this morning to begin the journey home.

 

Since the end of combat operations in Afghanistan in October 2014, three RAF Chinooks were retained in the country to assist British troops in non-combat roles but they are now on their way home.

 

In the early hours of Wednesday 25th March, the first of the heavy lift support helicopter from RAF Odiham in Hampshire was loaded on to the C17, marking the end of the UK Chinook Force’s contribution to operations in Afghanistan.

 

Synonymous with operations in Afghanistan over the last thirteen years, the Chinook Force has flown over 41,000 hours, extracted 13,000 casualties and its crews have been awarded numerous gallantry awards, including twenty three distinguished flying crosses for bravery in the air.

 

Group Captain Richard Maddison, RAF Odiham’s Station Commander, said, “The sight of a Chinook in Afghanistan will be iconic to many that have served there, or have witnessed the events from afar. The commitment of the personnel from the Chinook Force – whether in Afghanistan or supporting from the UK and other overseas locations – has been first rate.”

 

“We return with enormous pride at our contribution over this very testing period and wish those of the Puma Force the very best success as they continue to provide helicopter support in the country”.

 

Squadron Leader Paul Butler, Officer Commanding Operation TORAL Aviation Detachment said, “It is an honour and privilege to be the last Commanding Officer of the last Chinook detachment in Afghanistan.”

 

“I have been humbled by the dedication and steadfast work-ethic of the men and women working on the Chinook Force.”

 

“I am extremely proud of the contribution made by the Chinook Force during combat operations in this country, whether that be providing essential air mobility, moving coalition troops and equipment around theatre or undertaking lifesaving medical evacuation for injured troops.”

 

“Our role in Afghanistan has changed significantly since the end of Operation HERRICK, our mission on Operation TORAL, whilst different, is no less important. Providing aviation support to coalition troops working to ensure the institutional development of the Afghan government is a fitting end to our time in Afghanistan.”

 

A RAF Chinook helicopter is loaded into a C17 Globemaster for the long journey back to the UK from Afghanistan. - photo RAF

A RAF Chinook helicopter is loaded into a C17 Globemaster for the long journey back to the UK from Afghanistan. - photo RAF

The return of the Chinooks from Afghanistan also coincides with Defence Secretary Michael Fallon’s announcement to send two Chinooks to the Falkland Islands as part of measures designed to ensure defence resilience. He said:

 

"These measures will include the return of military support helicopters which were removed in 2006 to support operations in Afghanistan. On current plans this will involve the deployment of two Chinooks, which will be operational by the middle of next year.

 

"This is a significant capability which will provide reactive 24/7 tactical mobility in order to allow a swift and decisive response to any emerging incidents. The helicopters will also bring a heavy lift capability and will enhance the training opportunities available to the resident infantry company.”

 

The Chinook aviation detachment in Kabul will handover to the RAF Puma 2 Force from RAF Benson, on the 1st April 2015, the Puma 2 crews will remain in Afghanistan until the mission is complete.

A Royal Air Force Chinook helicopter operating over  Afghanistan

A Royal Air Force Chinook helicopter operating over Afghanistan

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 12:50
MOD announces appointment of the Chief Executive for Defence Equipment and Support

 

25 March 2015 Ministry of Defence

 

The MOD is pleased to announce the appointment of Tony Douglas as the Chief Executive of Defence Equipment and Support (DE&S).

 

Mr Douglas, who is currently Chief Executive Officer at Abu Dhabi Airports, was appointed by the Prime Minister, in consultation with the Deputy Prime Minister and the Defence Secretary, under the new arrangements announced by the Civil Service Commission in October last year.

Bernard Gray will continue to lead DE&S in his role of Chief of Defence Materiel until he and Mr Douglas have completed their handover towards the end of 2015.

As well as being responsible for the procurement and maintenance of our Armed Forces’ equipment, Mr Douglas will also lead DE&S through the transformation needed for it to become a world class acquisition organisation. He will be an Accounting Officer accountable to Parliament for DE&S’s annual running costs of around £1.3 billion and will report to the DE&S Board which was established in 2014.

Defence Secretary Michael Fallon said:

I am delighted to welcome Tony Douglas into the role. He brings a wealth of international experience and expertise in project and programme management, organisational leadership and business strategy, which will prove invaluable for the future of DE&S and defence as a whole.

This Government has transformed how we equip our Armed Forces. The key to our success has been matching our equipment programme to the funding available and giving DE&S the capacity, capability and freedom to deliver the equipment they need. I look forward to Tony building on this and creating a world class acquisition organisation.

Commenting on his new role, Tony said:

I am absolutely delighted to have the privilege of serving my country and supporting Her Majesty’s Armed Forces. Delivering their requirements with the utmost service quality and providing best value to the taxpayer is a responsibility that I take with real pride.

Paul Skinner, Chair of the DE&S Board, and a member of the appointment panel, said:

I am delighted that we have been able to attract someone of Tony’s calibre to this vitally important role in the national Defence structure. Together with my Board colleagues I look forward to working with him in building on recent performance improvements under Bernard’s leadership and transforming DE&S into a genuinely world class organisation.

Tony Douglas - Chief Executive Officer - photo Abu Dhabi Airports

Tony Douglas - Chief Executive Officer - photo Abu Dhabi Airports


source Abu Dhabi Airports

 

Tony Douglas joined Abu Dhabi Airports as Chief Executive Officer on 1st March 2013 to spearhead the development of the airports’ infrastructure in the Emirate of Abu Dhabi, including its crowning jewel, the iconic 700,000 sqm Midfield Terminal Building (MTB).

Tony joins Abu Dhabi Airports after completing his latest mega project, Khalifa Port and Industrial Zone (KPIZ) on schedule and below budget, as the CEO of Abu Dhabi Ports Company (ADPC) since 2010.

Prior to his landing in the UAE, Tony was the Chief Operating Officer and the Group Chief Executive designate for Laing O’Rourke, where he had abroad executive remit covering strategic business development and operational management across the Group’s three geographic hubs: Europe;
Middle East and South Asia; and Australasia. As a member of the Group Executive Board, he led accountability for the Group’s largest and most complex project delivery activities.

Before joining Laing O’Rourke, he held a number of senior executive positions with BAA, the UK’s leading airport infrastructure operator and a FTSE40 company, culminating in his appointment as Chief Executive in charge of Heathrow, one of the world’s premier airports. He was an executive
member of the BAA Group Board and an active participant in the £16.3bn takeover of BAA by Grupo Ferrovial.

Tony was previously Heathrow Terminal 5 Managing Director, with overall executive responsibility for the delivery of the £4.3bn Terminal 5 build programme. Prior to this he was BAA’s Group Technical Director with responsibility for technical functions, including development, design, group supply chain, construction and maintenance of new and improved airport facilities. He has also held the position of BAA’s Group Supply Chain Director, accountable for £1bn annual expenditure for construction and related products and services.

Earlier in his career, Tony worked for the Kenwood Group as Manufacturing and Global Logistics Director. This was his first role on the board of a major internationally-focused PLC. A mechanical engineer by training, his career began in 1979 at General Motors, where he joined as an apprentice industrial engineer. In 1990 he moved to British Aircraft Engineering (BAE), where he rose to become Product Manufacturing Director in its regional aircraft division.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 12:30
Credits BBC MidEast

Credits BBC MidEast

 

26 mars 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Les États-Unis ont lancé mercredi des frappes aériennes pour aider les forces irakiennes à reprendre Tikrit (nord) au groupe Etat islamique, se retrouvant alliés de facto de l’Iran qui joue déjà un rôle clef de soutien à Bagdad dans la bataille.

 

Les États-Unis et leurs alliés de la coalition « fournissent frappes aériennes, renseignement aérien, conseil et assistance au quartier général des forces irakiennes, pour renforcer leurs capacités à battre l’EI » à Tikrit, a déclaré dans un communiqué le commandement américain dirigeant les frappes (CJTF).

 

Les opérations ont été lancées « à la demande du Premier ministre irakien Haider al-Abadi », précise le CJTF.

 

Selon une source militaire irakienne, la coalition a bombardé « quatre endroits » du centre de Tikrit, dans des opérations qui ont commencé après le coucher du soleil.

 

L’offensive irakienne sur Tikrit, qui a débuté le 2 mars, implique des milliers d’Irakiens, soldats, policiers et paramilitaires alliés aux forces gouvernementales, dont les « Unités de mobilisation populaire », groupe composé essentiellement de miliciens chiites soutenus par l’Iran.

 

Les Iraniens ont notamment fourni de l’artillerie et des conseillers à ces milices chiites.

 

L’offensive a permis de reconquérir des villes menant à la ville d’origine de Saddam Hussein, et d’encercler les quelques centaines de jihadistes toujours retranchés dans Tikrit.

 

Mais la reconquête de la ville elle-même s’est avérée plus difficile en raison des importants dispositifs défensifs mis en place par les jihadistes, dont un grand nombre d’engins explosifs disséminés dans les rues et les bâtiments.

 

L’opération a été suspendue depuis la semaine dernière, selon les Irakiens.

 

Les Américains justifiaient jusqu’à aujourd’hui leur non-implication dans la bataille de Tikrit par le fait que le gouvernement irakien ne leur avait pas fait de demande d’intervention.

 

Seul un des chefs militaires irakiens de l’offensive sur Tikrit, le général irakien Abdelwahab al-Saadi, s’était exprimé publiquement le 15 mars en faveur d’un soutien aérien de la coalition.

 

Les responsables américains ne cachaient pas qu’ils considéraient que l’Irak a fait une erreur en ne demandant pas de frappes de la coalition depuis le début de l’offensive, et en s’appuyant seulement sur l’aide iranienne.

 

« Les capacités militaires fiables, professionnelles, avancées sont des choses qui très clairement et très nettement appartiennent à la coalition » a souligné le colonel Warren dans la journée de mercredi.

 

Le rôle joué par Téhéran dans la bataille de Tikrit et l’importance sur le terrain du général iranien Ghassem Souleimani, qui dirige la Force al-Qods, une unité des Gardiens de la révolution iraniens sont perçus d’un mauvais oeil par Washington, alors que l’Iran ne fait pas partie de la coalition internationale anti-jihadistes.

 

Les Américains ont répété depuis le début de l’implication iranienne dans la bataille contre l’EI qu’ils ne se « coordonnaient pas » avec l’Iran, et que les Irakiens étaient leurs seuls interlocuteurs sur le terrain.

 

« Tout le monde sait qu’il y a un certain mouvement des forces iraniennes -à la fois dans et à l’extérieur du nord de l’Irak- qui sont engagées dans les combats depuis le tout début. Mais ce n’est pas coordonné. Nous ne nous coordonnons pas avec eux », avait expliqué début mars le secrétaire d’Etat John Kerry.

 

Les Etats-Unis menaient déjà des vols de reconnaissance près de Tikrit, avait indiqué mardi un haut responsable de la coalition internationale anti-jihadistes, confirmant pour la première fois une implication américaine dans cette offensive.

 

Les frappes entamées mercredi « sont destinées à détruire les bastions de l’EI avec précision, sauvant ainsi des vies irakiennes innocentes, tout en minimisant les dommages collatéraux aux infrastructures », a déclaré le général américain James Terry, qui dirige le CJTF.

 

« Pour être clair, la coalition se coordonne seulement avec le gouvernement irakien et les forces de sécurité irakiennes. Nous ne nous coordonnons pas nos opérations d’aucune façon avec l’Iran ou les milices soutenues par les Iraniens », a toutefois précisé le colonel Patrick Ryder, porte-parole du Centcom, le commandement américain de la région.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 12:30
photo UK MoD

photo UK MoD

 

26 March 2015 Ministry of Defence

 

The Defence Secretary has announced that the UK will provide military training to Syrian moderate opposition forces.

 

As part of a wider package to ensure a robust international response to the threat of violent extremism in the Middle East, the UK will send around 75 military trainers and headquarter staff to provide training in areas such as the use of small arms, infantry tactics and medical skills.

Expected to start in the coming weeks, the US-led programme will train and equip thousands of screened members of the opposition over the next three years to help them defend Syrian communities against ISIL’s brutal attacks before leading offensives themselves.

Alongside the substantial training contribution, the UK will also provide headquarter staff to coordinate and develop the programme. The training will take place in Turkey and in other countries in the region that are members of the anti-ISIL coalition.

Defence Secretary Michael Fallon said:

Britain remains at the forefront of coalition military efforts to support the Iraqi government in their fight against ISIL. This effective and closely coordinated activity in conjunction with Iraqi and Kurdish ground forces has largely stalled the terrorists’ advances.

But ISIL must be defeated in both Iraq and Syria. In Syria, coalition airstrikes have supported the liberation of Kobane and have disrupted ISIL’s logistics and supply lines. However, defeating ISIL ultimately lies with local forces and we are helping to create effective ground forces in Syria, as well as in Iraq, so they can take the fight to ISIL.

As one of the few nations able to offer highly advanced Intelligence, Surveillance and Reconnaissance capabilities the UK has already deployed a number of assets to match coalition requirements. The Defence Secretary also announced today that the UK will be sending two Sentinel aircraft to the region to provide wide area surveillance over Iraq of ISIL activity and to track IED laying activity. These aircraft will join our Tornados and Reaper Remotely Piloted Aircraft which have conducted 194 strikes over Iraq as of 23 March and have continued to gather vital intelligence alongside Rivet Joint.

The UK continues to be the second largest contributor to the coalition airstrike campaign and is playing a leading role the coalition’s counter improvised explosive device (C-IED) training programme as well as the extensive infantry and Heavy Machine Gun skills training packages which together have been delivered to over 1100 members of the Iraqi Forces.

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