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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 13:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

5 Mars 2015 Source : Marine nationale

 

Une période  d’entraînement qualifiant d’environ un mois vient de s’achever en Méditerranée. Particularité de cette dernière ? Elle aura été conduite simultanément par deux frégates, la frégate antiaérienne Cassard et la frégate anti-sous marine Jean de Vienne.

 

La MECO permet aux unités d’acquérir leur qualification opérationnelle, couvrant l’intégralité des domaines de lutte, y compris le domaine de prédilection de chaque frégate : lutte anti-aérienne pour le Cassard,  lutte sous la mer pour le Jean de Vienne. «Cette MECO conduite sur deux unités simultanément permet non seulement de mutualiser les moyens mis en œuvre pour les entraîner, mais aussi de créer une certaine émulation entre elles»  affirme le chef de la division entraînement de la force d’action navale.

 

La première semaine a été traditionnellement consacrée à des entraînements à quai, portant notamment sur la sécurité et la protection-défense du bâtiment. Point d’orgue de cette première période, la préparation physique et mentale du combattant (PPMC) aura permis de souder  chaque équipage en leur donnant l’occasion de faire face ensemble aux épreuves préparées par les entraîneurs de la force d’action navale, dans des conditions météorologiques propres à éprouver l’endurance du marin. Les semaines suivantes ont permis de consolider les savoir-faire collectifs indispensables pour qu’un équipage puisse remplir ses missions.

 

L’entraînement entre frégates, auquel s’ajoute le concours du sous-marin d’attaque Casabianca, du pétrolier ravitailleur Marne et des flottilles 36Fet 34F ont développé les aptitudes des marins à faire face à une multitude de scénarii. Ravitaillement, transport de charges, appontages, treuillages, détection, tirs, lutte contre des menaces asymétriques, exercices de visite, évacuation de ressortissants, postes de combat, sans oublier les indispensables exercices sécurité : plus d’une centaine d’actions devait être réalisée avec succès par chaque équipage.

 

Les aussières à peine passées sur les quais, le chef de la division entraînement débriefe à bord les équipages mis à l’épreuve pendant ces quatre semaines particulières, avec les entraîneurs qui ont accompagné les marins tout au long de ce parcours qualifiant : «Vous pouvez être fiers du travail réalisé. Restez exigeants avec vous-même dans chacune de vos actions, pour être parés, être capables, le jour où vous aurez à faire face».

 

Les marins du Cassard et du Jean de Vienne peuvent goûter à quelques jours de relâche avant de mettre en pratique les aptitudes développées au cours de cette MECO. «La planification de ce stage était en parfaite adéquation avec le programme opérationnel des deux bâtiments. Déployés à court terme en Méditerranée et en océan Indien, ils pourront immédiatement mettre à profit les acquis de cette phase d’entraînement», conclut le chef de la division entraînement.

photo Marine Nationalephoto Marine Nationale

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:55
Les FAS ou 50 ans d’alerte nucléaire

 

4 mars par Aerobuzz.fr

 

Comme le rappel le Général Philippe Steininger, commandant des Forces aériennes stratégiques, « le 8 octobre 1964, un Mirage IV armé d’une bombe nucléaire AN11 et un avion ravitailleur se tenaient pour la première fois prêts à décoller sur ordre du résident de la république. La France devenait ce jour-là une puissance nucléaire à part entière et sa posture stratégique changeait de nature  ». Cette «  lourde responsabilité » de la mise en œuvre de la force de frappe est assumée depuis ce jour, par les Forces aériennes stratégiques qui ont fêté l’année dernière leurs cinquante ans d’existence et auxquelles, le photographe Alexandre Paringaux, consacre un album photo de 140 pages, avec le renfort de Frédéric Lert, pour les textes.

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:55
Médias et les opérations extérieures : enjeux du travail journalistique et influences


05.03.2015 Nesheen SOLANKI, Délégué Régional Aquitaine de l’ANAJ-IHEDN


Patrick Venries, Directeur Général Délégué et Directeur de la  publication journal Sud-ouest

Lundi 23 mars 2015 - 19h30 à 21h00

Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine – IJBA (33)



Informations : aquitaine@anaj-ihedn.org


Nous le savons que trop bien, notre époque est « hyper-médiatisée ». L’information circule à très grande vitesse et l’internet permet de s’affranchir des distinctions entre acteur, spectateur, informateur et promoteur. On est d’ailleurs en droit de penser que le développement de ce phénomène ne ralentira pas compte tenu de l’évolution technologique.

Le secteur de la Défense n’y déroge pas. La diffusion de l’information lors d’une intervention militaire revêt un caractère vitale pour le succès de l’opération. Sa maîtrise se complexifie au fil des innovations qui sont accessibles au public et surtout à la profession de journaliste. Les enjeux pour les armées est d’autant plus grand que les médias sont diversifiés, multiples et mondialisés. Une réponse unique, dans un cadre pyramidal, n’est plus adaptée face aux phénomènes d’amplification que l’on connaît. Les paramètres d’hiérarchisation de l’information sont en effet touchés profondément : les phénomènes de « buzz » sur internet, la sensibilité diverse de l’opinion publique nationale et internationale, la « consommation » de l’information à très court terme, la médiatisation des situations de crise comme les prises d’otages, la demande croissante d’une transparence totale dans les affaires publiques, fussent-elles militaires, accentuent l’opposition entre les objectifs journalistiques d’un côté et la finalité militaire de l’autre. La Défense nationale et la pratique journalistique ont dû nécessairement s’adapter à cet environnement ultra-connecté et mondialisé.

Afin d’en comprendre les enjeux de manière concrète et tangible, nous nous appuierons sur la couverture des Opex actuelles pour répondre aux questions suivantes : quels ont été les changements profonds dans le travail journalistique sur le terrain ? Quel est le poids et l’influence réelle des médias sur le monde militaire ? Dans quelles mesures la Défense nationale doit-elle s’adapter aux nouveaux modes de diffusion de l’information ?


Patrick Venries nous propose de faire part de son point de vue, à la lumière de son parcours et de ses expériences professionnelles. Il est actuellement Directeur Général Délégué et Directeur de publication du journal Sud-ouest, Administrateur de l’AFP et Président de l’Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine (IJBA).
 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:55
[8 mars] Portrait : une réserviste au beau fixe


5 mars 2015 DICoD

 

#JournéeDeLaFemme - Après 25 ans passés en tant que météorologiste au sein de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT), l’adjudant-chef Laurence a regagné la vie civile en 2006 pour profiter pleinement de la montagne qu’elle affectionne. Mais pour ne pas rompre le lien avec l’institution militaire, Laurence s’est engagée dans la réserve opérationnelle. Soixante jours par an, elle revient au Centre de vol en montagne de l’ALAT, à Sainte-Léocadie (Pyrénées). Portrait d’une femme qui aime « faire la pluie et le beau temps ».

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:50
A400M : le coup de gueule du DGA contre Airbus

 

05 mars 2015 Par Patrick Déniel - Usinenouvelle.com

  

Accompagnant le chef de l’Etat lors de son déplacement à Mérignac sur les chaîne d’assemblage de Dassault, le DGA Laurent Collet-Billon s’en est violemment pris à Airbus, suite au retard du programme A400M.

 

"Qu’ils viennent voir comment on travaille chez Dassault à Mérignac !", lance Laurent Collet-Billon, le délégué général à l’Armement. "Ils", ce sont les gens d’Airbus Group.

Le DGA, visiblement très énervé, s’en est violemment pris, ce mercredi 4 mars, à Airbus à propos des retards du programme A400M, alors qu’il accompagnait le chef de l’Etat lors de sa visite de l’usine Dassault de Mérignac. François Hollande a visité la chaîne d’assemblage du Rafale suite au contrat gagné en Egypte par l’avion de chasse français.

La DGA a appris qu’elle ne recevrait cette année que deux avions contre les quatre initialement prévus. Et rien n’est certain : la livraison du deuxième exemplaire est prévue pour le mois de décembre. "Depuis le départ de Domingo Ureña-Raso [le directeur du programme limogé par Tom Enders, remplacé depuis par Fernando Alonso, ndlr], nous n’avons plus d’interlocuteur chez Airbus !", se plaint Laurent Collet-Billon, qui souligne que le problème de l’A400M n’est pas que dans la supply-chain : "Il y a aussi un retard dans le développement des fonctions militaires", explique le DGA à un groupe de journalistes présents.

 

Il ne tient pas ses promesses

On a en effet appris il y a peu que l’avion de transport militaire ne tiendra pas toutes ses promesses techniques et notamment qu’il ne pourra pas ravitailler en vol les hélicoptères militaires suite à des négligences de la part des ingénieurs de la conception qui n’ont pas tenu compte de la force des ventes tourbillonnants que peuvent créer les hélices des moteurs.

Furieux, Laurent Collet-Billon a regretté que l’industriel ne lui fasse aucune proposition "comme c’est le cas dans toute bonne négociation." Après la grogne du client allemand, Tom Enders va devoir affronter celle du client français...

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:45
La Libye presse l’ONU d’assouplir l’embargo sur les armes

 

5 mars 2015 45eNord.ca (AFP)        

 

Le gouvernement libyen a de nouveau demandé instamment mercredi au Conseil de sécurité d’assouplir l’embargo sur les armes en Libye afin de lui permettre de mieux lutter contre les groupes jihadistes.

 

Selon l’ambassadeur libyen à l’ONU Ibrahim Dabbashi, qui intervenait devant le Conseil, le gouvernement internationalement reconnu a présenté une nouvelle demande d’exemption à cet embargo. Il s’agit, a-t-il précisé, de renforcer la capacité de l’armée de l’air libyenne de surveiller le territoire et les frontières du pays afin d’empêcher les terroristes d’atteindre les champs et les installations pétrolifères.

Il a fait valoir que le gouvernement avait renforcé les contrôles afin d’éviter tout détournement de ces armes. Les demandes d’exemption doivent passer par un Comité des sanctions qui dépend du Conseil.

Selon des documents auxquels l’AFP a eu accès, les demandes libyennes d’exemption ont été adressées le 15 décembre et le 26 février au Comité. La première concerne une commande à l’Ukraine pour six hélicoptères d’attaque et leurs munitions, 150 chars T-72 et une trentaine d’avions de chasse Sukhoi et MIGs.

La seconde porte sur du matériel de provenance tchèque et serbe (notamment des dizaines de milliers de fusils d’assaut et de mortiers et leurs munitions). Les membres du Conseil se sont donné jusqu’à lundi pour prendre une décision.

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:30
L’armée américaine pourrait jouer un rôle sur le terrain en Syrie

Des soldat américains de la compagnie Charlie, 2nd Battalion 504th Infantry Regiment, 1st Brigade Combat Team, 82nd Airborne Division, en janvier 2010 avant que les États-Unis ne retirent leurs troupes d'Irak, à Baharia, dans la province d'Al Anbar, aujourd'hui en très grande partie aux mains des jihadistes de l'EIIL (Archives/Spc. David M. Sharp/USArmy)

 

5 mars 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Les forces spéciales américaines pourraient éventuellement être envoyées en Syrie pour y épauler les rebelles modérés formés par le Pentagone, a déclaré le plus haut gradé américain mercredi.

 

«Si le commandement sur le terrain me demande à moi ou au secrétaire à la Défense d’envoyer des forces spéciales pour accompagner les Irakiens ou les nouvelles forces syriennes (…), si nous estimons que c’est nécessaire pour remplir nos objectifs, alors c’est ce que nous recommanderons» au président américain, a déclaré le général Martin Dempsey lors d’une audition au Congrès à Washington.

Mais un responsable du Pentagone a minimisé ces propos et assuré que le haut gradé n’avait en rien changé de position sur le sujet car, d’après lui, «il n’est pas question d’envoyer des troupes américaines en Syrie», sauf dans l’éventualité où un pilote américain devrait être secouru après la chute de son avion.

De plus, selon cette même source, le cas de figure envisagé par le général Dempsey est d’autant plus «hypothétique» que les forces rebelles syriennes modérées n’ont pas encore commencé leur formation.

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:25
Le COMLE au 3e REI

 

04-03-2015 3e REI Réf : 220 -83

 

Le COMLE foule la terre guyanaise pour la 1ère fois.

 

Le général de division Jean MAURIN, commandant la Légion Etrangère, s'est rendu au 3e Régiment étranger d'infanterie du 22 au 27 février 2015 pour y effectuer une visite de commandement.

 

A son arrivée au quartier Forget, le général COMLE a reçu les honneurs rendus par un piquet de la 2ème compagnie. Le colonel Alain WALTER, lui, a ensuite présenté le régiment, lui permettant ainsi d'appréhender les problématiques en cours en ce début d'année 2015. Cette journée fut aussi l'occasion pour le Père Légion de rencontrer les anciens à l'issue de la cérémonie au carré légion et les familles lors du dîner au carbet Sophie.

 

Afin de lui donner le meilleur aperçu des opérations permanentes HARPIE et TITAN, le régiment a accueilli le général sur les postes permanents de Camopi, Saint-Georges et Grande Usine avant de lui proposer une démonstration dynamique des moyens mis en œuvre sur le centre spatial guyanais ainsi qu'une visite d'un site d'orpaillage illégal. A la fin de cette tournée des postes, le COMLE s'est rendu également au CEFE pour y constater toutes les possibilités d'entraînement qui y sont offertes. Il a ainsi pu aller à la rencontre des instructeurs et des aides-moniteurs forêt encadrant le stage international Jaguar dont la notoriété reflète l'excellence du centre.

 

Tout au long de cette visite marquée par de très nombreux échanges avec les cadres et les légionnaires, le général COMLE a pu apprécier la variété et l'intensité des missions remplies par le régiment de la SELVA ainsi que son excellent état d'esprit. Le 3 n'a pas failli à sa devise, " En avant, toujours en avant ! ".

Le COMLE au 3e REILe COMLE au 3e REI
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Le COMLE au 3e REILe COMLE au 3e REI
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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:25
L'Inspection de l’Armée de Terre au 3e REI

 

12-02-2015 3e REI Réf : 218 -627

 

L'IAT est repartie avec une excellente impression du 3.

 

Du 1er au 3 février 2015, le 3e Régiment étranger d'infanterie a reçu la visite d'une inspection de l'armée de terre conduite par le général de division Philippe CHALMEL.

 

Après la présentation du régiment, avoir passé en revue tous les domaines, rencontrer le personnel civil et militaire mais aussi les familles, l'IAT a pu apprécier la variété, l'intensité des missions remplies et l'excellent état d'esprit qui prédomine au 3. Le régiment n'a pas failli à sa devise, " En avant, toujours en avant " !

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:20
Harriers Go Digital: New technology allows Marine aircraft to expand mission

 

Mar 3, 2015 ASDNews Source : Naval Air Systems Command

 

A  U.S. Marine Corps AV-8B Harrier flew its first mission with the new BRU-70/A Digital Improved Triple Ejector Rack (DITER) in support of the U.S.-led campaign against ISIS in January.

A single aircraft delivered 50 percent of the Laser Joint Direct Attack Munitions (JDAM) used during the insurgent airstrike due to the new rack.

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:20
Sikorsky S-97 RAIDER Team Begins Final Assembly of Second Aircraft

 

Mar 4, 2015 ASDNews Source : Sikorsky Aircraft Corporation

 

Sikorsky Aircraft Corp., a subsidiary of United Technologies Corp. (NYSE: UTX), today announced the start of final assembly of the second S-97 RAIDER™ helicopter at the company's Development Flight Center.

 

Along with a team of industry suppliers, Sikorsky is developing two RAIDER™ prototypes to demonstrate the revolutionary new capabilities in improved maneuverability and flight speed. The RAIDER is a rigid coaxial rotor prototype aircraft ideally suited for armed reconnaissance and a spectrum of special operations missions.

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:20
Simulator-Training in Holloman


5 mars 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 15E10508 03/2015

 

Regelmäßig heben die Tornado-Flugschüler in Holloman / New Mexico mit ihren Fluglehrern zu Übungsflügen ab. Parallel erfolgt aber auch die Ausbildung im Simulator, in dem die Missionen vorbereitet werden. Für die Ausbildung ist der Simulator unverzichtbar: Er ist kostengünstiger und bietet die Möglichkeit, z.B. Notverfahren gefahrlos zu üben.

Auch die Bestückung der Kampfjets wird regelmäßt trainiert. Wir waren für euch bei einer Load Competition in Holloman dabei.


Musik: No Speed Limit / Universal Music

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 11:50
Lotfi Aoumeur - source LeSoir-be

Lotfi Aoumeur - source LeSoir-be

 

25.02.2015 Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, correspondant) – LeMonde.fr

 

Lettre de Bruxelles. La Belgique, qui « fournit », proportionnellement à sa taille, le plus de combattants aux groupes terroristes de Syrie et d’Irak – 440 selon les derniers chiffres de l’International Center for the Study of Radicalization, à Londres –, a découvert avec stupéfaction que certains de ces militants sont passés par son armée.

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 11:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

05/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 17 au 27 février, dans le cadre de l’opération Barkhane, les forces armées nigériennes (FAN) et les forces armées françaises ont mené une opération bipartite à l’extrême nord du Niger.

 

L’objectif de la mission était, dans le cadre du partenariat élargi entre le Niger et la force Barkhane, la reconnaissance de la passe de Salvador, carrefour de transit et de trafic pour les groupes terroristes, située à la frontière de la Libye, du Niger et de l’Algérie.

 

Les deux forces armées ont entamé un raid de dix jours à Madama, emmenées par les forces nigériennes et le Détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de Dirkou, et le convoi de blindés composé de la 1ère compagnie du 2e Régiment Etranger Parachutiste, commandé par le poste commandement tactique du GTD-Est « ALTOR ».

Dans des conditions climatiques difficiles, les éléments ont gagné la région de la passe de Salvador, avant d’être ravitaillés par un largage par air. Un contrôle de zone a été réalisé dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres, permettant entre autres, la découverte et la destruction de deux plots logistiques.

 

Cette opération aura permis d’affirmer la présence de l’armée nigérienne dans une zone instable, tout en renforçant l’interopérabilité des deux forces ainsi que la connaissance de la zone. C’était aussi la première opération menée dans cette zone par le groupement tactique désert « ALTOR » depuis son arrivée début février.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armées terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

photos Armée de Terre
photos Armée de Terre

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:55
Le bagad de Lann-Bihoué


04/03/2015  DICoD

 

Le saviez-vous ? Derrière beaucoup de coutumes, usages, traditions et expressions militaires se cachent bien souvent des anecdotes insolites, amusantes ou historiques. Alors pour étoffer votre culture générale et briller le matin devant vos collègues à la machine à café, plongez-vous dans notre rubrique du mercredi. Aujourd’hui, la rédaction propose de vous parler de l’ensemble musical militaire le plus connu de France : le bagad de Lann-Bihoué.

 

Bienvenue en Bretagne ! L’air marin, les vagues, le vent, la pluie, les menhirs, les fest-noz, le chouchen, le kouign amann, les bigoudènes et le fameux bagad de Lann-Bihoué…

La plupart d’entre vous connait le bagad (groupe en breton) de Lann-Bihoué de nom. Que ce soit parce qu’ils sont passés près de chez vous, ou parce que vous avez suivi le festival interceltique de Lorient à la télé, leurs cornemuses et leurs bombardes ne vous sont pas totalement inconnues. Et comme vous l’avez certainement remarqué, ces musiciens sont militaires.

C’est le penn-soner qui est aux commandes du bagad. Il s’agit d’une sorte de chef d’orchestre, mais qui aurait troqué sa baguette contre un instrument. Il définit l’orientation musicale du bagad et peut même composer certains morceaux. Et pour l’aider à diriger tout ce petit monde, le "sonneur en chef" est secondé par des chefs de pupitres comme le penn-talabarder pour les bombardes, le penn-biniaouer pour les cornemuses et le penn-tabouliner pour les percussions.

Pour ce qui est de son nom, le bagad le doit à sa base de ralliement, la base d’aéronautique navale (BAN) de Lann-Bihoué, située à 8 km de Lorient. Et c’est sur cette BAN, qu’un beau jour, le fameux bagad a vu le jour. Plus exactement en d’août 1952. Ce jour-là, le maître-principal Pierre Roumegou aperçoit une bombarde qui dépasse de la poche d’un visiteur. Après 28 ans sans en jouer, il la porte à ses lèvres et en sort quelques morceaux, pour le bonheur des gens présents. Quelques jours plus tard, une dizaine de sonneurs de cornemuses et de bombardes, pour la plupart des matelots qui évoluent dans des formations civiles, le rejoignent : le bagad est né !

Après avoir échappé de justesse à la dissolution à plusieurs reprises, le bagad de Lann-Bihoué devient professionnel en 2001. Il est aujourd’hui composé de jeunes militaires, hommes et femmes, recrutés pour un à quatre ans. Leur compétence musicale, mais aussi leur qualité de présentation et de leur comportement, font partie intégrante du recrutement. Armés de leurs pompons rouges et de leurs instruments, ils sillonnent les quatre mers depuis maintenant plus de 60 ans. Connue et reconnue dans le monde entier, la formation a enregistré pas moins d’une quinzaine d’albums.

Et pour en savoir encore plus sur le bagad, cliquez ici...

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:55
Clôture du 87e séminaire IHEDN-Jeunes

 

Source IHEDN

 

Le général de corps d’armée Bernard de Courrèges d'Ustou, directeur de l’IHEDN a clôturé, ce samedi 21 février, le 87e séminaire IHEDN-Jeunes, à l’École militaire de Paris.

 

Durant une semaine, les 81 participants, dont 29 femmes, étudiants et jeunes actifs, ont vécu sous le régime de l’internat au Centre de ressources d’expertise et de performance sportives (CREPS) de Châtenay-Malabry.

 

Selon le triptyque propre à la pédagogie de l’Institut, à savoir, conférences-débats, travaux de comité et visites, ces jeunes, issus de divers parcours tels que droit, philosophie, conseil, diplomatie, relations internationales et sciences politiques, histoire et religions, communication et journalisme, éducation, langues, ingénierie, informatique, finance et gestion… ont été sensibilisés aux questions de défense et de relations internationales.

 

Des visites de terrain, le mardi 17 février, au Commandement des forces aériennes de la Gendarmerie nationale (CFAGN) et au Groupe interarmées d’hélicoptères (GIH) situés à la base aérienne de Villacoublay, puis, l’accueil qui leur a été réservé, par les directeurs des établissements NEXTER Systems, appelée la canonnerie de Bourges et sa filiale NEXTER munitions, au cours de la journée du jeudi 19 février, ont été un complément concret à leur formation.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:50
photo NHIndustries

photo NHIndustries

 

March 3, 2015 By Dominic Perry - FG

 

Germany has finally confirmed a deal that will see it order 18 new NH Industries NH90 NFH helicopters for its navy, while at the same time trimming commitments for the troop transport variant and Airbus Helicopters Tigers.

The deal for the naval NH90 – to be known as the Sea Lion in German service – is worth around €1.4 billion ($1.55 billion). However, the German army will now receive 80 instead of 122 NH90s, with two further airframes for training and 22 more covered by options. In addition, its order for the Tiger will fall to a total of 68 attack helicopters. However, 11 early-build examples will be immediately retired from service, with the army targeting a future frontline fleet of just 40.

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:50
Meet the Royal Marine -Turned Viking

 

4 mars 2015 British Forces News

 

Meet the Royal Marine-turned Viking...

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:50
L'avenir de la défense de l'Union européenne - une feuille de route stratégique : "Europe 2020"


09.02.2015 Joachim Bitterlich * - robert-schuman.eu
 

Le Conseil européen des 19 et 20 décembre 2013 était le premier à réunir les 28 chefs d'Etat et de gouvernement autour du thème de la défense : s'agissait-il, dans ce domaine, d'un nouveau départ pour l'Union européenne, ou d'une occasion ratée ?
L'Agence européenne de défense (AED) vient d'avoir dix ans[1]. A-t-on de bonnes raisons de fêter cet anniversaire ? Le verre est-il à moitié plein ou à moitié vide ? A tout le moins, quelques progrès réels ont été accomplis et des projets ont été lancés au cours des dernières années, après une longue période marquée par la stagnation et la frustration.

" La défense est importante ", telle est la phrase par laquelle débutent les conclusions du Conseil qui " ... s'engage fermement à développer une PSDC crédible et efficace ". Il s'agit tout au moins d'un signe d'espoir, accompagné d'une série de priorités concrètes et de tâches assignées à la Commission européenne, à l'AED et aux Etats membres pour les années qui viennent.

Toutefois, ces mesures sont clairement insuffisantes si l'on tient compte de l'état d'un monde devenu non plus menaçant mais dangereux. Nos budgets de défense sont sous pression financière mais se contenter de percevoir les " dividendes de la paix " engrangés lors des deux dernières décennies doit être considéré comme une tentation qui n'est ni viable, ni efficace.

Nous ne devons pas rêver en réclamant la création immédiate d'une armée européenne qui serait l'aboutissement logique, et la toute dernière étape d'un développement qui doit être lancée et activée dès à présent, s'il existe une réelle volonté politique de renforcer à la fois notre défense et notre sécurité, et celle de l'OTAN afin de défendre nos intérêts vitaux de la manière la plus efficace par des moyens militaires, si nécessaire et en dernier ressort.

Mais comment dépasser les réflexes nationalistes et l'égoïsme qui prévalent encore dans ce secteur crucial de l'intégration européenne ? La défense est un domaine où nous n'avons pas encore atteint ni le consensus, ni la volonté politique dont faisaient preuve la plupart des Etats membres sous l'impulsion du leadership franco-allemand, à la veille de Maastricht, en 1991, puis en 1999.

Au-delà des conclusions de décembre 2013, quelles devraient être les prochaines étapes essentielles qui nous permettraient de prendre une décision fondamentale ?

L'Union européenne devrait en premier lieu concentrer ses efforts sur la création d'un " partage des tâches " dans des domaines essentiels de la défense, en d'autres termes, la meilleure approche serait celle d'une " mutualisation et partage ". En particulier, l'exemple du Commandement européen du transport aérien devrait être parachevé puis étendu à d'autres secteurs.

Cela impliquerait que la mise en place de procédures communes et l'identification des priorités et des besoins dans le domaine de la planification de la défense devraient être coordonnées par l'AED, en étroite collaboration avec les Etats membres. Ce qui suppose que nous acceptions, jusqu'à un certain degré du moins, la spécialisation des forces militaires nationales. Pour y parvenir, l'AED devrait être autorisée à acheter des biens et des services militaires sur la demande des Etats-membres, qui auraient à leur disposition ces moyens pour mener à bien certaines opérations concrètes.

Dans ce but, il faudrait obtenir, parallèlement, un changement significatif à l'égard de l'approvisionnement, de l'armement et des relations avec l'industrie de la défense. La base de cette évolution serait la création d'un véritable marché européen de la défense comprenant une " préférence européenne ".

Nous devrions donc encourager - comme nous l'avons fait par le passé avec Airbus - l'émergence d'une industrie européenne de la défense dont les acteurs seraient moins nombreux qu'aujourd'hui, mais plus rentables, et leurs efforts devraient être soutenus par la recherche appliquée.

Tous les acteurs européens concernés doivent être conscients du fait qu'un tel but nécessite une amélioration de l'efficacité et un changement profond de nos idées et de nos actes à vis à vis, à la fois, de l'approvisionnement et de l'industrie.  

Dans la situation financière actuelle, qui n'est pas près de changer dans un futur proche, une industrie de la défense purement nationale n'a aucun avenir dans la plupart des cas. Par exemple, il n'est plus possible que la France continue à perdre de l'argent en n'achetant que des blindés français, ou que l'Allemagne n'achète que du matériel allemand ! Nous devons radicalement changer notre approche et " acheter européen ", même si cela exige une concentration de nos industries qui, sans cela, ne survivront pas à long terme.

A ce propos, j'approuve entièrement l'analyse de Wolfgang Ischinger[2], qui a souligné que " la fragmentation actuelle relève de l'irresponsabilité, en ce qui concerne les finances, les capacités et l'interopérabilité de nos systèmes ".

Parallèlement, nous devons revoir en détail nos schémas et systèmes de maintenance afin d'améliorer la capacité opérationnelle de nos forces armées. Les rapports récents sur l'état du matériel militaire de la Bundeswehr sont choquants, et l'état général des forces armées allemandes est plus qu'alarmant. Selon ces rapports, le matériel crucial de la Bundeswehr, en termes diplomatiques, n'est que " partiellement opérationnel ", or " partiellement " peut signifier qu'il est opérationnel à moins d'un tiers de ses capacités ! Mais je suis certain que des rapports objectifs montreraient que les autres armées ne se trouvent pas dans un état bien meilleur.

Une nouvelle approche commune devrait inclure un système de contrôle des approvisionnements et de l'accompagnement bien plus efficace que les systèmes nationaux actuels. Les Cours des comptes nationales pourraient être d'un grand secours dans ce domaine, mais la présence de compagnies d'audit privées devrait être évidente dès le début des approvisionnements durant toute la durée de vie des produits.

En gardant à l'esprit ces étapes, la défense de l'Union européenne pourrait créer en même temps des structures de commandement spécialisées et des unités opérationnelles communes capables d'agir chacune dans un domaine spécifique. Telle était l'idée qui sous-tendait le Corps européen lors de sa création, il y a plus de vingt ans. Toutefois, les capacités initialement prévues de l'Eurocorps n'ont pas été utilisées jusqu'à présent.

Nous pourrions commencer à créer - au-delà du Corps germano-néerlandais - des forces spéciales européennes capables d'intervenir sur des missions spécifiques ou en tant que premières unités préparant une campagne plus vaste.
 
 
Les étapes suivantes de notre feuille de route pourraient être constituées, en premier lieu, par une meilleure coordination, puis une harmonisation, dans la mesure du possible, des systèmes nationaux et de la législation concernant l'exportation des armements. Je suis conscient des sensibilités politiques au sujet de cette harmonisation, mais cette dernière serait une étape inévitable pour accompagner et contrôler une nouvelle industrie européenne de la défense.
Dans le même temps, il faudrait procéder à une unification des services de renseignements militaires, avec la création d'une cellule de coordination au niveau des hauts-représentants pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, ainsi que des unités spécialisées dans les différents Etats membres.
 

Conclusion
 
La mise en œuvre de cette feuille de route, avec le développement de ses trois principaux axes, pourrait se dérouler d'ici 2020.
S'agit-il d'une proposition réaliste ou d'un rêve ? En fait, il ne s'agit que d'une première réponse au déclin de nos budgets militaires nationaux qui n'a pas commencé ces dernières années et date plutôt des années 1990.
Aujourd'hui, ces budgets se situent au-dessous du niveau nécessaire au maintien de forces armées capables d'agir dans les zones de conflit et/ou lors d'interventions internationales comme celles dont nous avons été témoins depuis la fin de la Guerre froide.
Nous devons prendre conscience du fait que nous n'avons pas perçu les dividendes de la paix que nous escomptions. Le monde qui nous entoure ne devient pas plus pacifique, bien au contraire !
En se basant sur les progrès que nous aurons réalisés d'ici 2020 sur ces trois principaux axes, les chefs d'Etat et de Gouvernement seront à même de décider s'ils mettent en œuvre, vers 2025, les dernières étapes aboutissant à la naissance d'une armée européenne, ou s'ils se satisfont des progrès déjà accomplis.
En parallèle, un processus similaire d'intégration devrait être développé dans le domaine de la politique commune des affaires étrangères et de la sécurité. La première phase de mise en place de la SEAE a clairement posé un certain nombre de problèmes mais elle a également mis à jour la valeur ajoutée d'une coordination permanente des efforts diplomatiques européens.
Les événements de la dernière décennie ont souligné la nécessité d'améliorer nos moyens civils, qui pourraient inclure une nouvelle politique de développement permettant de les mettre en œuvre comme un instrument puissant de notre politique étrangère[3].

 

[1] Ce texte a été publié à l'occasion de la parution de l'ouvrage " 10 years of working together " lors des 10 ans de l'Agence européenne de défense en décembre 2014. http://www.eda.europa.eu/info-hub/publications/publication-details/pub/10-years-of-working-together
[2] " The Ukraine - crisis and the security of Europe ", Frankfurter Allgemeine Zeitung, 1er septembre 2014, p. 6
[3] Plus particulièrement pour les lecteurs allemands, je dois ajouter : L'évolution décrite n'est pas du tout incompatible avec la Constitution allemande et ses dispositions au sujet de la nécessité de l'approbation du Parlement avant de faire usage de la force militaire allemande et au sujet de son contrôle. Il est malgré tout évident que l'information permanente des commissions compétentes du Bundestag et les procédures devront être considérablement améliorées.

 

* Joachim Bitterlich :Ancien conseiller en politique européenne, étrangère et de sécurité auprès du chancelier Helmut Kohl. Membre du Comité scientifique de la Fondation Robert Schuman.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:50
Edelweiss-Raid 2015



4 mars 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 15E12301 03/2015

 

Härter kann ein Alpin-Wettkampf nicht sein: bei der Edelweiß Raid in Tirol kämpfen die Besten der Besten um den Sieg bei der inoffiziellen “Weltmeisterschaft der Gebirgsjäger”. Aber die Teams kämpfen nicht nur gegeneinander, sondern vor allem gegen Eis, Schnee und die schroffen Gipfel der Tuxer Alpen.


Musik:
Time of Darkness (Nash) Universal
Secret robes (Corbett Wilkie) Universal
Cold Mountain (Trim) Universal
Fierce Cry (Anandasivam) Universal
Bless and Sacrifice (Lehrmann & Nonte) Universal

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:45
Libya - oil gas fields (weo 2005)

Libya - oil gas fields (weo 2005)

 

04.03.2015 Le Monde.fr

 

La Compagnie nationale de pétrole libyenne (NOC) a déclaré mercredi 4 mars « l'état de force majeure » dans onze champs pétrolifères du centre du pays, après la multiplication des attaques contre les sites pétrolifères de cette région. L'état de « force majeure », invoqué dans des circonstances exceptionnelles, permet une exonération de la responsabilité de la NOC en cas de non-respect des contrats de livraison de pétrole.

La NOC a évoqué dans un communiqué les attaques perpétrées ces derniers jours notamment contre les champs d'Al-Mabrouk et Al-Bahi, situés à 200 kilomètres au sud de Syrte. Après deux jours de combats, des miliciens islamistes ont pris mardi leur contrôle.

 « L'état de force majeure » concernent Al-Mabrouk, Al-Bahi, Al-Dahra, Al-Joufra, Tibesti, Al-Ghani, Al-Samah, Al-Baïda, Al-Waha, Al-Dafa, Al-Naqa. La NOC a menacé par ailleurs de « fermer tous les champs et ports pétroliers » du pays si la sécurité ne s'améliorait pas sur les sites

 

Suite de l'artilcle

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:45
La « French Touch » des blindés soudanais

 

3 mars, 2015 Pierre Brassart - FOB

 

Lors du salon IDEX 2015, qui s’est tenu récemment à Abu Dhabi, l’industrie de défense soudanaise était venue en masse afin de présenter tous ses produits. Pour l’essentiel, ceux-ci se résument à des copies d’armement russe, chinois ou iraniens (RPG, AK, SPG-9, etc…). Mais un véhicule a particulièrement piqué notre curiosité.

 

Parmi les engins présents se trouvaient une copie d’un BMP-2 russe équipé, dans le compartiment arrière, d’un mortier. En examinant la face arrière de l’engin, nous nous sommes rendus compte que ce véhicule soudanais basé sur un design russe était équipé d’un phare « made in France ».

 

La « French Touch » des blindés soudanais

En effet, les établissements Gabriel fournissent des phares et autres équipements éléctroniques depuis des dizaines d’années, notamment à des sociétés françaises. On en retrouvait, entre autres, sur les AML 60 et 90, les Panhard M3, etc., véhicules reçus par le Soudan dans les années 80.

 

Il est curieux de retrouver ce type d’équipement sur un des produits phares du stand soudanais. L’industrie soudanaise serait-elle incapable de fabriquer ses propres phares au point de devoir canibaliser ses anciens véhicules?

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:40
ASW ship (BOD) of the Northern Fleet Vice-Admiral Kulakov in the port of Limassol Republic of Cyprus (Oct 2014)

ASW ship (BOD) of the Northern Fleet Vice-Admiral Kulakov in the port of Limassol Republic of Cyprus (Oct 2014)

 

27 Février 2015 rusnavyintelligence.com

 

Le président russe Vladimir Poutine et son homologue chypriote Nicos Anastsasiades se sont rencontrés à Moscou le 25 février. A l'occasion de la visite du chef d'Etat chypriote, une série d'accords bilatéraux ont été signés, dont un portant sur la coopération navale entre la Russie et Chypre.

 

A l'occasion de la visite de Nicos Anastasiades, la Russie et Chypre ont signé 9 accords de coopération, dont l'un portant sur le domaine militaire. Autant l'affirmer tout de suite : il n'y avait pas, il n'y a pas, et en vertu de cet accord, il n'y aura pas de base navale russe à Chypre.

 

L'accord russo-chypriote signé le 25 février dernier à Moscou vient formaliser une pratique qui a lieu depuis quelques années - le séjour de navires de guerres russes dans le port chypriote de Limassol - en lui fournissant un cadre légal bilatéral. La consolidation du volet naval de la coopération militaire entre la Russie et Chypre vient compléter les facilités aériennes déjà obtenues par Moscou en janvier 2014. L'armée de l'air russe avait en effet reçu l'année dernière le droit d'utiliser la base aérienne Andreas Papandreou, située près de Paphos, en cas de situation de crise et d'urgence humanitaire. Toutefois, les discussions portant sur des facilités d'accès au port de Limassol pour les navires russes opérant en Méditerranée sont à l'oeuvres depuis le début des années 2010, et ont pris une tournure particulière depuis le début de la crise syrienne en 2011. Le sujet avait notamment fait l'objet de discussions entre les autorités chypriotes et le ministre russe de la Défense Sergei Shoigu en mai 2013, puis encore avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, en juin 2013.

 

En vertu de l'accord signé à Moscou le 25 février dernier, les navires russes menant des opérations de lutte anti-terroriste et de lutte contre la piraterie disposeront d'un accès facilité aux infrastructures de Limassol, notamment en matière de ravitaillement (eau, carburant). La partie chypriote a pour sa part obtenue des contreparties : Moscou a accepté de restructurer un prêt de €2,5 milliards octroyés en 2011. Chypre a vu le taux d'intérêt annuel passé de 4,5% à 2,5% avec un rééchelonnement du remboursement pour la période 2018-2021.

 

Il ne s'agit donc en aucun cas d'une base navale au sens où la Russie n'a pas obtenu dans le cadre de cet accord la jouissance d'une emprise terrestre et maritime, avec des quais, des entrepôts, des infrastructures de maintenance pour les navires, des voies ferrées et un aérodromes. Les installations de la marine russe à Tartous, pourtant déjà modestes, sont pourtant bien plus significatives que cette facilité navale accordée par Nicosie. Enfin, la présence militaire russe à Chypre devrait rester sporadique et très limitée en comparaison des 4 500 militaires britanniques stationnées sur la base aérienne de Akrotiri, et des 43 000 soldats turcs déployés sur la partie nord de l'île. D'ailleurs, plus que les Européens et les Américains, se sont probablement les Turcs qui observent avec méfiance la consolidation de l'empreinte stratégique russe en Méditerranée orientale et à Chypre. Nicosie cherche en effet à sécuriser un appui supplémentaire dans son bras de fer avec Ankara autour de la question de l'exploitation des ressources gazières offshore situées au large de l'île. Jusqu'à présent, Moscou a joué de la diplomatie de la canonnière dans cette partie de la Méditerranée afin de dissuader son partenaire turc d'aller trop loin dans les intimidations vis-à-vis de Nicosie.

 

Quelle est la portée de cet accord ?

 

L'accord russo-chypriote du 25 février fournit un cadre légal à la coopération entre les deux pays en matière navale. Il permet en outre à la Russie de ne pas mettre 'tous les oeufs dans le même panier' dans la mesure où l'avenir de son point d'appui logistique à Tartous reste incertain compte tenu de la situation en Syrie (même si le rapport de force sur le terrain semble évoluer en faveur de Damas, ce qui ne semblait pas être le cas il y a quelques mois). Les travaux visant à mettre les installations russes de Tartous à niveau afin d'y créer une base navale à l'horizon 2020 sont d'ailleurs gelés depuis le début de la crise syrienne. Par ailleurs, cet accord est signé alors que cette année, la Russie devrait officialiser la création d'un détachement naval méditerranéen. Là aussi, la réactivation d'une task force méditerranéenne russe vient fournir un cadre formel à une présence navale grandissante et continue de la Russie en Méditerranée orientale depuis le début des années 2010. Chypre se trouve à mi chemin entre les Détroits turcs et la canal de Suez, sur la route qui mène de la mer Noire à l'océan Indien, via la mer Rouge. Il s'agit également d'un point d'appui intéressant pour les navires russes en provenance de la Baltique ou de la flotte du Nord et qui ont fait route depuis leur port d'attache vers le bassin Méditerranéen via l'Atlantique.

 

La signature de cet accord s'inscrit toutefois dans un double contexte : celui de la recherche par la Russie de points d'appui militaires en Méditerranée orientale, et celui de la crise ukrainienne. Moscou aurait cherché à disposer de facilités aériennes et navales dans les Balkans, notamment au Monténégro, où le port de Bar aurait fait l'objet de discussions plus ou moins formelles entre Russes et Monténégrins. En revanche, Moscou a obtenu dès 2011 le droit d'utiliser la base serbe de Nis où elle a ouvert un 'centre humanitaire'. Nicosie appartient par ailleurs aux groupes de pays européens qui, dans le contexte des évènements en Ukraine, sont hostiles à un accroissement des sanctions contre Moscou et plaident au contraire pour leur rapide levée. Dans ce contexte, cet accord représente un point marqué par le Kremlin dans son opposition à Bruxelles et un coup supplémentaire porté au consensus européen vis-à-vis de la crise ukrainienne. Chypre, comme la Grèce, la Hongrie, l'Autriche, la république Tchèque, entre autres, seront en effet amener à se prononcer dès le mois de mars sur la reconduction ou non des sanctions de l'Union européenne pesant portant sur des personnalités russes et pro-russes, avant de voter en juillet sur la reconduction des sanctions économiques.

 

Au-delà des avantages pratiques conférés aux navires russes opérant en Méditerranée, cet accord prépare le terrain à la formalisation prévue cette année du détachement naval russe dans le bassin méditerranée, et représente par ailleurs un gain diplomatique pour Moscou dans le contexte de la crise ukrainienne.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:35
 Indonesian Army Astros MLRS made in Brazil.

Indonesian Army Astros MLRS made in Brazil.

 

23.032.2015 by Maki Catama - aseanmildef.com

 

JAKARTA, -- Vice-President M Jusuf Kalla has said the government might postpone a plan to buy military weaponry from Brazil after it has postponed the presentation of credentials by Indonesias ambassador-designate to the country.

"We are reconsidering our plan to purchase weapons (from Brazil)," Kalla told the press here Monday.

The bilateral relations between Brazil and Indonesia have become tense following Brazilian President Dilma Rousseffs unwillingness to receive Indonesian Ambassador-designate to Brazil Toto Riyanto.

"On the same evening after the refusal, the President ordered the recall (of the ambassador-designate). I communicated with the Foreign Affairs Minister to recall (him) immediately," Kalla stated.

Indonesias Ministry of Foreign Affairs has strongly protested the decision of the Government of Brazil to abruptly postpone the presentation of credentials by its Ambassador-designate to Brazil, Toto Riyanto, after formally inviting him to present the credentials at a ceremony in the Presidential Palace of Brazil at 9.00 a.m. (Brazilian time) on February 20, 2015.

"The manner in which the foreign minister of Brazil suddenly decided to postpone the presentation of credentials by the Indonesian Ambassador-designate to Brazil, when the Ambassador-designate was already at the palace, is unacceptable to Indonesia," said a statement on the ministrys official website on Saturday.

The Brazilian government has postponed the credential letter presentation in protest against the recent execution of a Brazilian drug offender by the Indonesian government.

Indonesia will go ahead with the implementation of the death penalty on major drug offenders, despite protests from the governments of Australia and Brazil, Kalla stated.

"We have reiterated many times that we have the sovereignty and will carry out the executions. Remember that the death penalty is based on a court verdict and not a presidential instruction," Kalla noted here Monday.

He understands the right of a country to lodge its protest against the execution of its citizen. Indonesia has also protested whenever its citizens were about to be executed in other countries, he added.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:35
Taliban Troubled By Timing

 

February 19, 2015: Strategy Page

 

The U.S. Army received its first AH-64Es in 2011. Then in 2014 this most recent version of the Apache completed a seven month tour in Afghanistan. There the 24 AH-64Es with an aviation battalion performed better than expected. Each of these AH-64Es flew an average 66 hours a month while there. The readiness rate of the AH-64Es was 87 percent, compared to the army standard of 80 percent. One of the surprising new capabilities of the AH-64E was its ability to fly about 29 percent (at 288 kilometers an hour) faster that the D model. That translated into moving about one kilometer per minute faster and this cost the experienced Taliban commanders a lot of casualties. That was because these guys knew from experience how long it took a D model to arrive after the Taliban ambushed NATO forces. Suddenly the E model was showing up earlier and catching the Taliban exposed to attack rather than safely away or under cover. The AH-64E also had new electronics that enabled it to work more closely with UAVs, as in getting the video feeds directly and basically using the UAVs more effectively as scouts to spot targets. The Taliban weren’t expecting that either. NATO troops supported by the AH-64Es also noted the new capabilities and quickly began exploiting them when they knew they were getting air support from Es instead of Ds. These speed and commo capabilities were built into the AH-64E based on past experience and testing and training exercises gave pilots and ground commanders hints that these changes could be very useful. Battlefield experience confirmed that and led to new tactics for the E crews and the troops supported that no one had foreseen.

 

Testing of these new capabilities began in 2011 when the army began receiving the first of 51 "low rate initial production” AH-64s. This came three years after the first flight. These aircraft were then called the AH-64D Block III Apache helicopter gunship. It was decided in 2012 that the Block III improvements were so numerous and dramatic that it made more sense to go to a simpler and more descriptive AH-64E designation. The D model also had a name; Longbow (as it was optimized to kill tanks). The E model was called Guardian (because it was optimized for supporting infantry).

 

This goes back to the AH-64A, which was the initial model and entered service in 1986. The last AH-64A was taken out of service in 2012 for upgrade to the AH-64D standard. The AH-64B was an upgrade proposed for the early 1990s, but was cancelled, as was a similar “C” model upgrade. Some of these cancelled improvements were in great demand. Thus the “B” and “C” model upgrades were incorporated in the AH-64D Block I (1997). The AH-64D Longbow (because of the radar mast, making it possible to see ground targets and flying obstacles in all weather) models began appearing in 2002.

 

By the end of the decade 634 army AH-64Ds will be upgraded to the new AH-64E standard. The first AH-64Es entered service in 2012 and were heavily used to reveal any design or manufacturing flaws. These were fixed before mass production and conversion began in late 2013.

 

AH-64Es have more powerful and fuel efficient engines, as well as much improved electronics. AH-64Es also have Internet- like capabilities enabling these gunships to quickly exchange images, video, and so on with other aircraft and ground troops. Each AH-64E can also control several UAVs and launch missiles at targets spotted by these UAVs. The AH-64E radar has longer range and onboard computers are much more powerful than earlier ones. The electronics are easier to upgrade and maintain. The combination of improved fire control and Internet capabilities greatly increases the combat effectiveness of the AH-64.

 

The 10 ton AH-64E carries a pilot and a weapons officer, as well as up to 16 Hellfire missiles (plus the 30mm automatic cannon). Sorties average three hours. The AH-64 can operate at night and has a top speed of about 300 kilometers an hour.

 

In addition to the U.S. Army, the AH-64E the UAE (United Arab Emirates) bought 60. Neighboring Saudi Arabia ordered 70, as well as upgrades for its existing twelve AH-64s to the “E” standard. Many more of the existing 1,100 AH-64s (American and foreign) may be upgraded as well.

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