11 déc. 2014 US Navy
100 years, one moment. Take a look at the rich history of Naval photography, from Walter Richardson, the father of Naval photography, to today's Mass Communication Specialists.
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11 déc. 2014 US Navy
100 years, one moment. Take a look at the rich history of Naval photography, from Walter Richardson, the father of Naval photography, to today's Mass Communication Specialists.
11 Décembre 2014 Source : Marine nationale
Après une période de stage à quai de trois jours où se sont succédés différents exercices, alarme intrus, alarme colis piégé, gestion de menaces en escale non sûre mais aussi « préparation physique et mentale du combattant » dans la colline Malbousquet, le Bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Var a pris la mer le 4 décembre pour une intense semaine d’entraînement.
Sous le contrôle et les conseils des entraîneurs de la division Entraînement d’ALFAN, le bord a ainsi enchaîné des exercices sécurité (SECUREX), des exercices de maîtrise des capacités opérationnelles (MACOPEX), tout en assurant pour les autres bâtiments présents au large de Toulon son rôle habituel de ravitaillement. La présence d’un entraîneur ALAVIA a également permis de faire un point de situation de la chaîne AVIA du Var.
Augmentant chaque jour un peu plus le niveau des exercices, le but du stage RANO* est avant tout de préparer l’équipage au combat et de lui permettre de conserver les réflexes nécessaires pour réagir et répondre à un large spectre de menaces.
*Stage de « remise à niveau opérationnel », le stage RANO intervient dix-huit mois après un stage de « mise en condition opérationnelle », dit stage MECO, ce dernier se déroulant tous les trois ans. Ainsi, un bâtiment de la Marine nationale effectue un stage complet ou intermédiaire tous les 18 mois, lui donnant le niveau d’entraînement et de préparation opérationnelle exigé par le Chef d’état-major de la Marine.
12/12/2014 Sources : Etat-major des armées
Le 6 décembre 2014, sur l’aéroport international de Kaboul (KAIA), le désengagement de l’armée française en Afghanistan s’est poursuivi avec le départ de 56 militaires français de l’opération Pamir.
Le désengagement de l’opération Pamir s’est accéléré ce samedi avec le départ d’un quart du contingent français encore présent en Afghanistan. Appartenant aux derniers éléments de Douchanbé, au détachement Epidote et aux éléments du soutien, ils ont finalement rejoint la France.
Constituée dorénavant d’environ 150 militaires, la force Pamir est maintenant concentrée sur le commandement de la base militaire de KAIA Nord et de l’aéroport, ainsi que sur les fonctions logistiques, qui permettent de finaliser les opérations de désengagement.
L’engagement français en Afghanistan prendra fin le 31 décembre 2014 avec le transfert de la mission de commandement de l’Aéroport et de KAIA au contingent turc. Plusieurs cérémonies marqueront cet évènement, notamment le transfert de responsabilité du commandement de KAIA entre le général de brigade aérienne Philippe Lavigne, actuel commandant de KAIA, et son successeur, le Major General Mehmet Cahit Bakir de l’armée de l’Air turque ; ou encore la dissolution de la force Pamir, l’inauguration d’un mémorial sur l’aéroport et une cérémonie du souvenir au monument aux morts de la force Pamir situé à l’ambassade de France.
Mise en place d'un CAESAR (camion équipé du système d'artillerie), par la 1re section de la 4e batterie du 93e RAM.
10.12.2014 Armée de Terre
Du 24 novembre au 5 décembre 2014, le 93e RAM (régiment d’artillerie de montagne) a participé à l'exercice AIGLE 2014 à Valloire. Cette manœuvre a permis d’entrainer les composantes de l'appui feux Sol-Sol CAESAR et mortier de 120mm.
Repportage photos
5 Décembre 2014 Asp Claire de Marignan - Centre d’études stratégiques de la Marine
Entre janvier 2012 et juillet 2014, le nombre de navires sous pavillon français a diminué de près d’une trentaine, la France passe sous le seuil symbolique des 200 navires de plus de 500 UMS(1). Faut-il s’en inquiéter ?
Adossé à une véritable tradition maritime, le pavillon français jouit d’une excellente image. Le Mémorandum de Paris – accord international visant à améliorer la sécurité maritime par un meilleur contrôle des navires – le classe en tête des pavillons les plus sûrs du monde et l’International Chamber of Shipping (ICS) l’a identifié en 2012 parmi les meilleurs pavillons, tant du point de vue de la qualité de la flotte que du contrôle par l’État du port ou du nombre de conventions internationales ratifiées.
La place de l’armement français sur la scène internationale du shipping
Alors que le trafic maritime mondial explose, la flotte marchande française ne cesse de diminuer. Quatrième jusqu’au début des années 70, elle se situe désormais au 29e rang mondial ; véritable paradoxe si l’on songe que les armateurs n’ont jamais été plus à leur avantage. Ainsi, l’armement français compte une centaine de compagnies qui opèrent et 547 navires battant pavillon français, donc immatriculés sous le premier registre(1), applicable en métropole et dans les départements d’outre-mer. Son principal atout est la jeunesse de sa flotte, avec une moyenne d’âge de 7,7 ans. Le groupe français CMA CGM se place au 14e rang mondial des compagnies, toutes activités confondues, mais est au 3e rang pour le conteneur, après Maersk et MSC. La France est également bien représentée dans d’autres secteurs : Bourbon, leader des services maritimes à l’offshore pétrolier, Louis Dreyfus Armateurs, spécialisé dans le transport de vrac sec, ou encore Alcatel-Lucent, Orange Marine et Nexans, principaux câbliers mondiaux. Position fondamentale au regard de l’enjeu stratégique et géopolitique que représente actuellement l’acheminement des télécommunications et de l’énergie électrique. Or, bien que les armateurs français se portent au mieux sur la scène internationale du Shipping, ils détiennent peu de navires (CMA CGM détient 85 navires en propre pour 339 bâtiments affrétés). Cela s’explique notamment par le développement récent de grands navires qui garantissent des économies d’échelle et de meilleures performances. Le deuxième registre d’immatriculation, le registre international français (RIF), contribue aussi au dynamisme du pavillon français, puisque près de 1 400 navires détenus par des compagnies françaises l’arborent. Créé en 2005, le RIF est ouvert aux navires armés pour le commerce au long cours ou le cabotage international. Il a permis de soutenir la compétitivité de l’armement français face à la concurrence internationale et de soutenir l’emploi maritime. Autre levier visant à renforcer l’attractivité du pavillon français : en 2013, le député Arnaud Leroy a remis un rapport sur la compétitivité des services et transports maritimes. L’amendement proposé modifie deux articles de la loi de 1992 sur la réforme du régime pétrolier et étend l’obligation minimale de pavillon français pour les importations de brut aux produits raffinés, ou encore l’amélioration de mesures fiscales pour renforcer la compétitivité des entreprises maritimes et permettre le renouvellement de leur flotte. Aujourd’hui, avec la montée en puissance de pays émergents, en particulier de pays asiatiques, les armateurs français et plus globalement européens doivent nouer des alliances afin de garder une place importante sur la scène internationale du Shipping. Il y a quelques mois, CMA CGM avait ainsi envisagé un regroupement avec Maersk et MSC. Cependant, l’alliance n’a pas été mise en oeuvre. La Chine s’y est opposée, soutenue par le Conseil des chargeurs européens (ESC), car cette alliance entre les trois leaders mondiaux du transport maritime de conteneurs aurait mis à mal la concurrence internationale. Toutefois, le géant français a répliqué peu de temps après avec Ocean Three, une collaboration avec China Shipping Containers Lines et United Arab Shipping Company, une compagnie du golfe Arabo-Persique détenue majoritairement par le Qatar. Ce regroupement, qui prévoit des partages de routes et de navires, permettra notamment de réduire les coûts sur les principales lignes commerciales maritimes.
13/12/2014 DCSSA
Le 11 décembre, le MGA Jean-Marc Debonne, directeur central du service de santé des armées, a présenté le modèle 2020 devant le personnel du Service à l’École du Val-de-Grâce. Ce modèle, indispensable dans un contexte, en autres, de profonde évolution du monde de la santé en France, conserve les 5 composantes du Service. Il permet d’assurer le contrat opérationnel dans la durée et avec un haut degré de performance, tout en réduisant la sujétion opérationnelle individuelle et en sécurisant le fonctionnement des établissements du Service.
La prochaine étape de la mise en oeuvre du modèle sera la déclinaison de la feuille de route par fonction : 1er recours, hôpital, ravitaillement sanitaire, recherche, formation, ressources humaines, finances et SIC. La transformation sera conduite par une nouvelle équipe à partir de janvier 2015.
Document de présentation du modèle du 11 décembre 2014
11 December 2014 Ministry of Defence and The Rt Hon Michael Fallon MP
Defence Secretary Michael Fallon has met with his German counterpart Dr Ursula von der Leyen to discuss shared European security challenges.
Their talks focused on how to best implement the measures agreed at the 2014 NATO Summit in Wales, the situation in Ukraine, the future of Afghanistan and the threat posed by ISIL.
Before the talks Dr von der Leyen inspected a Guard of Honour on Horse Guards Parade.
Mr Fallon met Dr von der Leyen in August in Berlin shortly after he was appointed Defence Secretary and again during the NATO Summit in Newport in September.
The UK and Germany have a longstanding and close defence relationship, working closely together within NATO.
The Ministers agreed that the UK and Germany should continue to develop and deepen their defence cooperation.
Defence Secretary Michael Fallon said:
In this 100th anniversary of the Great War it is important to recognise the strong co-operation between us as partners in pursuit of peace.
Whether contributing to security operations in Afghanistan or the international response to the ISIL threat, Britain and Germany enjoy a successful and enduring defence relationship.
It is vital that like-minded countries such as ours address the varied common security challenges that we face.
Meeting with Dr von der Leyen has enabled us to affirm our mutual commitment to meeting these challenges.
German Defence Minister Dr Ursula von der Leyen said:
For decades, the presence of British Forces in Germany has been a sign of our joint successful efforts to promote peace and freedom in Europe.
During those years, numerous ties of friendship have developed. Subsequently today we stand united to face the various global challenges and dangers to stability, peace and humanity.
Today’s visit underlines our cohesion and serves the purpose of close information exchange on recent developments to continuously advance our longstanding and pragmatic cooperation.
12/12/2014 Sources : État-major des armées
Le 4 décembre 2014 a eu lieu le premier posé d’un avion de transport tactique (ATT) sur la piste d’aviation de la base de Madama, site d’implantation du détachement temporaire au Nord Niger (DTNN) de l’opération Barkhane.
Un CN 235 CASA, parti de N’Djamena, s’est posé à 10h00 au terme d’un vol de 3 heures 40. Puis, le 7 décembre 2014, c’est un Transall C160 qui s’est posé à Madama. Parti dans la matinée du détachement Air (DETAIR) de Niamey, l’aéronef a atterri quelques heures plus tard dans le nord du Niger. Deux Transall C160 du Groupement de Transport Opérationnel (GTO) du fuseau ouest de la bande sahélo-saharienne (BSS) ont ainsi effectué plusieurs rotations entre Niamey et Madama.
Les travaux d’allongement et de revêtement de la piste d’aviation de Madama, menés par un détachement de sapeurs du 25e régiment du génie de l’air (25e RGA), se sont déroulés du 5 au 30 novembre 2014. Ces travaux ont consisté à réhabiliter une ancienne piste de 800 mètres et à l’allonger de 500 mètres afin de pouvoir accueillir les avions de transport tactique (ATT), et notamment le Casa « Nurse » médicalisé. Lors de cette première phase, le 25e RGA a procédé au désensablage de la piste existante et a effectué un terrassement afin de permettre l’allongement de la piste. Afin de répondre au mieux aux besoins de ce chantier, les sapeurs de l’air ont créé une carrière de latérite près de la piste. Cette latérite, après avoir été mise en place, a été nivelée, arrosée et compactée afin d’obtenir la portance nécessaire au posé des ATT.
La deuxième phase du chantier, qui vient de débuter, consiste en une extension de la piste de 500 mètres supplémentaires, pour arriver à une longueur définitive de 1800 mètres. Des aires aéronautiques, comprenant une bretelle, deux parkings aéronefs et plusieurs plots de stationnement pour les hélicoptères de manœuvre (HM) sont actuellement en cours de réalisation.
Seuls les convois terrestres ou les rotations par hélicoptère permettaient jusqu’alors de rallier la zone. La mise en service de cette piste d’aviation, couplée à la capacité de stationnement d’aéronefs, permettra ainsi l’augmentation des rotations aériennes et l’accélération de la montée en puissance du DTNN de Madama au travers de la mise en place d’une base avancée temporaire (BAT).
L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.
12.12.2014 DCNS
DCNS vient de tester avec succès, en rade de Toulon, un démonstrateur en temps réel de lutte asymétrique contre les attaques terroristes et de piraterie. Fruit de plusieurs années de recherche et de développement, ce système de DCNS intègre des technologies de pointe : vidéo ultra-haute définition et haute sensibilité, réalité augmentée, algorithmes puissants de détection de comportements menaçants… L’objectif est d’accélérer la prise de décision et d’empêcher les dommages collatéraux en situation de défense rapprochée.
Les équipes de DCNS ont expérimenté, le 10 décembre 2014, le démonstrateur d’un nouveau système de lutte contre la piraterie et le terrorisme en mer. La Marine nationale a apporté son soutien tant technique qu’opérationnel à ce test grandeur nature durant lequel des attaques maritimes terroristes ou de pirates ont été simulées. Le système de lutte de DCNS a permis de mettre en œuvre rapidement une défense efficace en zone littorale, là où se déroulent essentiellement les missions de lutte anti-piraterie.
Constitué d’un réseau de caméras ultra-haute définition à 360 degrés, l’outil développé par DCNS assure une veille sur plusieurs kilomètres autour du navire. Des informations captées par les caméras se superposent aux images de la réalité augmentée afin de faciliter l’analyse des différents objets mobiles à proximité (navires de plaisance, pêcheurs… ou pirates). En cas de mouvements suspects, un opérateur peut utiliser un zoom très puissant, pour confirmer ou non la menace. Une riposte peut alors être mise en œuvre, du simple avertissement sonore ou lumineux, jusqu’au tir de sommation ou d’arrêt. Grâce à une caméra fixée sur l’arme, le Commandant du navire vérifiant au préalable, dans ce cas, qu’il n’y a pas de risques de dommages collatéraux.
La situation à 360 degrés est affichée en permanence, en temps réel, sur un écran dans la passerelle du navire, visible par le Commandant du navire et par tous les opérateurs de défense rapprochée. Chacun partage ainsi les mêmes informations au même moment, dans une approche collaborative, que l’on retrouve dans le concept de passerelle de navire de combat du futur de DCNS, présenté par le Groupe au salon Euronaval 2014. Compatible avec un grand nombre de navires, ce système peut fonctionner seul ou être intégré à un système de management de combat (CMS) pour bénéficier des informations fournies par les autres capteurs du navire notamment ceux embarqués sur des drones aéronautiques.
Le développement de ce démonstrateur est l’aboutissement de plusieurs années de recherche de DCNS. Pour le réaliser, DCNS s’est associé à des PME innovantes aux expertises complémentaires. Avec cette capacité supplémentaire, DCNS apporte aux Marines une réponse concrète face aux risques croissants d’attaques terroristes (embarcation-suicide, embuscade…) ou d’actes de piraterie.
12/12/2014 Source CAJ
Plus de 500 stages et contrats armées-jeunesse pour 2015
Contrats armées-jeunesse et stages sous conventions de niveau Bac+3 à Bac+7 au sein du ministère de la défense.
Il s'agit soit :
- De contrats de travail à durée déterminée (rémunérés) de 3 mois maximum : il répond à un besoinde l'organisme d'accueil
- De stages sous convention (gratifiés ou non) de 6 mois maximum : le stage est nécessaire à la validation du diplôme. Par conséquent l'établissement universitaire contrôle le contenu du stage
12/12/2014 Armée de Terre
Du 1er au 12 décembre, le corps de réaction rapide France (CRR-Fr) organise l’exercice READY SOLDIER sur le camp militaire de Harskamp, aux Pays-Bas.
Le but de cet entraînement est de qualifier ou recycler le personnel d’active et de réserve de l’état-major dans les domaines du tir (ISTC Famas et PA) et du secourisme (PSC1 et SC1). 140 personnes sont concernées. L’entretien des savoir-faire est indispensable au sein de cet état-major opérationnel, notamment en 2014 où le CRR-FR tient l’alerte de la NATO Response Force (force de réaction rapide de l’OTAN). Le prochain exercice READY SOLDIER, en avril 2015, revêtira lui aussi une importance particulière car il précédera la projection d’une partie de l’état-major en juin sur le poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT) de l’opération BARKHANE.
Reportage photos
BRUXELLES, 12 décembre - RIA Novosti
L'Union européenne a interdit de livrer à la Syrie du carburant pour moteurs à réaction, a annoncé à RIA Novosti une source au sein de l'UE.
"Le Conseil de l'UE a aujourd'hui interdit d'exporter vers la Syrie du carburant pour moteurs à réaction, ainsi que des additifs spécifiques", a déclaré la source.
Selon lui, cette décision fait suite aux ententes politiques intervenues lors de la rencontre des chefs de diplomatie de l'UE tenue en octobre dernier.
"Le Conseil a adopté cette mesure pour la seule raison que ce carburant est utilisé par les forces aériennes du régime d'Assad qui effectuent des frappes aériennes désordonnées contre les civils", a affirmé l'interlocuteur de l'agence.
D'après lui, les documents juridiques autorisant cette interdiction, ainsi que les types de carburant et d'additifs interdits seront publiés le 13 décembre au Journal officiel de l'UE. La nouvelle sanction entrera en vigueur le 14 décembre.
Dec 12, 2014 by Staff Sgt. Torri Ingalsbe, Air Force Public Affairs Agency
Washington DC The commander of Air Force Space Command talked about the fundamental relationship between space operations and everyday life - not only for the military, but for the American people - during a breakfast at the Capitol Hill Club, Dec. 5.
Gen. John E. Hyten, the AFSPC commander, explained the complexities of global space operations, and how they're a seamless and invisible part of day-to-day living.
"When you look at what we do in space, it's truly the most joint element of our military," Hyten said. "Everything we do is critical to the operations of (all services) - it's critical to our economy and to the world - it's basically embedded in everything we do."
He talked about the history behind aerospace, the integration of air and space and the fact that space is no longer a benign environment, but is becoming a domain.
"We don't ever want to go to war in space, but we need to be prepared to fight a war in that environment," he said. "You figure out how to operate through that threat environment. One of the oldest precepts in war is the best way to avoid war is to be prepared for war."
His future plans for AFSPC include integrating space and cyber, the ability to command and control space assets, and increasing space situational awareness - all to prepare for that environment.
"As we look forward in the future we have to figure out how to deal with this kind of environment," Hyten said. "We have to build resilient architectures. We have to figure out how we're going to work with the other elements of our nation's power to fight through any kind of threat that we have to - and we will."
The current space programs are on track and working well, Hyten said. His focus is becoming more efficient in procurement, and working with partner agencies to make the ground capability and architecture match the current space capabilities.
"We're going to look at a whole bunch of different ways to do business in the future," he said. "We're going to figure out how to be effective deliverers of capabilities and effects, and build the right tools as we walk into that. The key to our future is going to be updating the ground architecture to look at delivering integrated effects to warfighters around the world."
The commercial sector in space operations is something Hyten said he is excited about, and sees as an opportunity to increase the Air Force's capabilities to support the warfighter and the American people. It is one piece of his plan to modernize operations and be more prepared for any future contested environment. Another important piece of this plan is changing the perception many people, including Airmen, have about space and cyber.
"The future of the United States Air Force is the integration of air, space and cyberspace," Hyten said, "to deliver singular effects on the battlefield in the most effective, efficient way possible and to allow the warfighters of today and the future to have unbeatable advantage on the battlefield."
11 décembre, 2014 par Frédéric Lert (FOB)
Pendant l’édition 2010 du salon Eurosatory, le groupe allemand Kraus Maffei Wegmann (KMW) présentait sur son stand le Leopard modèle 2A7, fruit de la modernisation du 2A6 déjà en service. L’engin rassemblait des évolutions nées notamment du retex afghan, et très certainement de l’engagement des Leopard danois et hollandais. Avec le modèle 2A7, KMW cherchait avant tout à offrir à son char de bataille une meilleure protection dans le cadre de combats dits « asymétriques » et/ou urbains, avec en premier lieu une protection renforcée sur 360° contre les lance grenade du type RPG7. Le 2A7 offrait également à son chef de bord une meilleure appréciation de l’environnement extérieur avec un nouveau viseur stabilisé incluant un imageur infrarouge, un télémètre laser et une caméra TV. Le canon de 120mm restait inchangé, mais il gagnait toutefois une munition supplémentaire avec un obus Rheinmetall HE (High Explosive) programmable. Un des défauts majeurs apparus pendant le conflit afghan était la vulnérabilité du plancher de l’engin aux mines et autres IED. En bonne logique, le 2A7 était également renforcé à ce niveau. Citons enfin l’ajout d’un groupe auxiliaire de puissance renforcé permettant au char de rester sous tension tout en coupant sa motorisation principale.
Quatre ans après cette première présentation à Paris, la Bundeswehr a donc reçu son premier véhicule modernisé. L’objectif affiché par l’Allemagne est de hisser sa flotte complète de Leopard 2A6 à ce nouveau standard, soit un total théorique de 225 engins répartis en quatre bataillons. Pour l’instant, les tankistes allemands devront se contenter d’un premier lot de 20 véhicules qui ne ré-équiperont que partiellement le 203ème bataillon de chars.
12 déc. 2014 Ministère de la Défense
Menée en coordination avec la MINUSCA du 26 novembre au 6 décembre 2014, l’opération Arcole a permis de sécuriser le déplacement du convoi de camions de l’entreprise Ecofaune, mandatée pour réaliser les travaux de réfection de l’école de N’Délé. Au cours de cette opération, les sapeurs de la force Sangaris ont reconstruit le pont de Bamingui pour permettre au convoi d’atteindre N’Délé
Il ne manquait plus que la livraison du matériel pour commencer les travaux de réhabilitation de l’école de N’Délé. C’est chose faite grâce au travail de la force Sangaris, en coordination avec la MINUSCA : l’escorte des véhicules transportant le matériel de construction et les travaux des sapeurs pour réparer le pont de Bamingui ont permis de faire passer le convoi sur la seule route reliant Bangui à N’Délé.
Le commandant Gilles, chef opération de cette mission, avait donné des ordres clairs à la compagnie d’infanterie et aux appuis déployés par le groupement tactique interarmes (GTIA) Picardie : « rester vigilant et conserver le dispositif de sûreté établi tout au long dutrajet ». La mission de la force était de sécuriser le convoi des camions de l’entreprise Ecofaune. L’escorte du convoi était déployée afin de dissuader toute approche de groupes armés. Le travail de coordination avec la MINUSCA a également été bénéfique à la mission, permettant de traverser en sécurité des villages et zones qui étaient majoritairement occupés par des ex-Séléka.
Les quelques 50 véhicules du convoi ne sont pas passés inaperçus sur les 1 100 kms de piste. La saison des pluies qui s’achève a rendu certains passages de la route particulièrement délicats et 10 jours ont été nécessaires pour rallier N’Délé. Le convoi n’avançait pas rapidement avec une vitesse moyenne de déplacement entre 6 et 25 km/heure.
12.12.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
Le 31 mai 2013, a été diffusé un projet de marché portant sur la rénovation de véhicules légers tout terrain P4 (VLTT P4). Le marché concernait de 200 à 600 véhicules à réparer sur la durée totale du marché (84 mois). Lire l'avis ici.
Or, le 15 octobre dernier, Jean-Pierre Bosser, le CEMAT, déclarait devant les députés!
"les véhicules P4 ont fait leur temps. La DGA comprend tout l’enjeu de ces petits programmes aux montants somme toute assez faibles, même s’il n’est pas toujours facile de protéger ces crédits en période de forte turbulence budgétaire. De plus, en raison du degré de spécification de ces équipements, on est parfois tenté d’attendre quelques années le matériel parfait alors qu’on en a besoin rapidement et qu’il est peut-être déjà disponible sur étagère. Quand on sait que la rénovation de nos P4 coûte 27 000 euros pièce, je me demande s’il ne serait pas plus judicieux de ferrailler ce parc et, pour le même prix, d’acheter d’autres matériels."
Un avis (n°14-185892) publié le 11 décembre révèle que la procédure de passation a été interrompue (lire ici). Abandon définitif? Ferraillage en vue?
12.12.2014 3e Régiment de Hussards
C'est au camp militaire de Baumholder en Allemagne que nous retrouvons le 3e escadron du 3e régiment de hussards en cette première semaine de décembre. Partis pour 2 semaines avec leurs véhicules blindés légers et leurs engins blindés sur roues AMX 10RCR, c'est une centaine de hussards qui ont ainsi pu s'entraîner au tir et au combat débarqué, le tout sous les premières neiges de la campagne allemande.
Ce camp lance la mise en condition avant projection des Najas du 3e Escadron pour l'opération Barkhane en Afrique l'année prochaine. Dans l'optique de cette projection en opération extérieure, les hussards ont pu profiter des installations militaires allemandes du camp Baumholder, de par l'appartenance du régiment à la brigade franco-allemande (BFA).
Sur place, les hussards ont dû faire face à des conditions climatiques peu favorables : gel, pluie verglaçante, neige... Un terrain accidenté sous un ciel hivernal, loin des dunes de sable et le climat désertique qui les attendra en OPEX. Mais les résultats sont là, que ce soit avec leurs armes individuelles ou celles équipant leurs véhicules : les hussards font mouche, les cibles fixes ou mobiles tombent les unes après les autres.
Mais il faut également préparer les soldats à une réplique possible de l'ennemi: l'un d'eux vacille, son véhicule vient d'être touché. Sur ordres des contrôleurs de l'exercice, il simule une blessure à la jambe. Les hussards qui l'entourent, réagissent rapidement, l'extraient du véhicule endommagé et le mettent à l'abri. C'est maintenant le secourisme au combat qui est évalué. Garrot, injection de morphine, message d'évacuation, les ordres sont clairs et permettent une évacuation rapide du blessé. Cette attention toute particulière au combat est essentielle afin de parer à toute éventualité lors de leur futur déploiement.
Les hussards lorrains auront prouvé lors de cette entraînement qu'ils seront aptes à remplir leurs missions, et cela quel que soit le temps ou le lieu. Mais ce n'est pour eux, que le début de cette préparation qui durera plusieurs mois avant leur départ sous le ciel africain.
Reportage photos
11 décembre 2014 par Aviso Cdt Blaison
Les 1er et 2 décembre, la brigade de protection (BP) de l’aviso « Commandant Blaison » a effectué un entraînement de combat d’infanterie en presqu’ile de Crozon.
Formée d’une douzaine de marins de toutes spécialités, la BP est spécialement entrainée pour réaliser des missions de protection-défense, à bord du bâtiment ou lors d’une projection à terre. Ces compétences sont précieuses pour le renforcement de la posture anti-terroriste lors de certaines escales, pour réaliser des visites en mer sur des navires suspectés de trafic illicite ou pour des opérations d’évacuation de ressortissants dans une zone de crise.
Au programme de cette sortie hivernale : camouflage, progression tactique de jour et de nuit, reconnaissance d’axes de communication, assauts, bivouac opérationnel et maniement d’armes d’infanterie. Organisé par le capitaine d’armes, fusilier-marin de spécialité, l’entrainement, basé sur un scénario réaliste, a également permis d’intégrer dans l’équipe les nouveaux volontaires.
11/12/14 – 7 sur 7.be (belga)
L'armée fera l'an prochain de lourdes économies, en réduisant ses dépenses de fonctionnement et d'investissements ainsi que son recrutement, mais sans licencier ni réduire les salaires, a assuré jeudi le chef de la Défense (Chod), le général Gerard Van Caelenberge, aux syndicats militaires.
Les activités d'entraînement seront réduites de 20%, les investissements ramenés à zéro - à l'exception des contributions belges à l'Otan (principalement au programme d'investissements au service de la sécurité, NSIP), à l'Union européenne et à l'Eurocorps, a expliqué le "patron" de l'armée à l'agence BELGA après sa rencontre "informelle" semestrielle avec les quatre syndicats militaires.
La Défense devra économiser l'an prochain environ 220 millions d'euros en vertu des perspectives budgétaires établies par le gouvernement Michel 1er et devrait encore être soumise à de nouvelles restrictions au cours des années suivantes, pour un montant cumulé de près d'1,6 milliard d'euros cumulées sur la durée de la législature.
Le général Caelenberge a ainsi laissé entendre que le recrutement pourrait être inférieur au chiffre de 1.360 personnes toutes catégories confondues (officiers, sous-officiers et volontaires) évoqué la semaine dernière par le ministre de la Défense, Steven Vandeput.
Quant à l'entraînement, il sera durement touché, avec une réduction du plan de vol allant de quasiment 10% pour les chasseurs F-16 jusqu'à 50% pour les hélicoptères Agusta A109, tout comme pour les unités terrestres et navales.
Un groupe de travail créé au sein de l'état-major de la Défense a par ailleurs entrepris de "passer au peigne fin" toutes les activités prévues l'an prochain afin d'examiner toutes les économies possibles, a précisé le Chod.
Ainsi les activités de relations publiques devraient être réduites et plus ciblées, tout en conservant une ou deux journées qui donnent l'occasion à la Défense de se présenter au grand public, avec un accent mis en 2015 sur la Marine.
Le soutien que l'armée accorde aux deux marches - celle du Souvenir en Ardenne et les "quatre jours de l'Yser" dans le Westhoek - sera affecté: les tâches jusqu'ici assurées par les policiers militaires et les services de secours militaires devront être reprises par le secteur civil.
Certaines dotations et subventions accordées à des parastataux dépendant du ministère de la Défense - l'Office central d'action sociale et culturelle (OCASC), l'Institut géographique national (IGN), l'Institut des Vétérans (INIG-IV) - et au Musée royal de l'Armée (MRAH) seront aussi réduites.
En matière d'investissements, réduits l'an prochain à la portion congrue, aucun crédit ne sera ainsi débloqué pour adapter l'aéroport militaire de Melsbroek, qui partage ses pistes avec l'aéroport de Bruxelles-National, à l'arrivée des futurs avions de transport Airbus A400M, attendus vers 2019.
Mais le chef de la Défense a néanmoins avoué lorgner sur les cent millions d'euros prévus dans la provision interdépartementale pour procéder à certains investissements.
Le général Van Caelenberge a assuré avoir perçu de la "compréhension" auprès des syndicats, qui partagent selon lui, les mêmes préoccupations quant à l'avenir de l'armée. Mais la CGSP-Militaires s'est montré déçue par l'"absence de réponses" de la part du chef de la Défense à certaines questions concrètes.
Paris, le 11 décembre 2014 ONERA
Après la livraison par l’ONERA de la partie française du SYstème Spectro Imageur de mesure des Propriétés Hyperspectrales Embarqué (SYSIPHE) à la Direction Générale de l’Armement (DGA), une nouvelle étape commence avec le lancement d’une évaluation en condition opérationnelle. Ses résultats permettront, à terme, d’aider à la définition des systèmes de reconnaissance du futur.
Le programme SYSIPHE entame une nouvelle étape cette semaine avec le lancement d’une évaluation en condition opérationnelle du système d’imagerie spectrale à haute résolution spatiale et spectrale. Ce nouveau marché, d'une durée de 4 ans, évaluera le système SYSIPHE sur des scénarios définis par les besoins défense : détection de cibles même camouflées, discrimination de leurres ...
Deux campagnes aéroportées sont prévues sur le site militaire de Canjuers (83). Elles permettront l'acquisition d'images hyperspectrales à l’état de l’art mondial, et contribueront à démontrer l’apport de cette technique dans les domaines de la détection, la reconnaissance et l'identification.
L’ONERA est maître d’œuvre du programme SYSIPHE pour la DGA. A ce titre, il a conçu et fourni l’instrument français SIELETERS et le système de traitement de données STAD. Il coordonne également les différents intervenants du programme comme l’Allemagne (DLR) et la Norvège (NEO). Enfin, des accords bilatéraux spécifiques entre la France et la Norvège permettront à l’ONERA d'offrir SYSIPHE aux communautés civile et militaire tant à l’échelle nationale qu’internationale.
Informations clés
• Très haute résolution spatiale : 50 cm = 1 pixel sur une fauché de 500m de large
• Très haute résolution spectrale : plus de 500 bandes spectrales
• Campagne aéroportée à 2000 m d’altitude depuis un avion Dornier DO-228 (DLR)
• SYSIPHE est composé de :
l’instrument SIELETERS pour l’infrarouge thermique (France, ONERA)
l’instrument HYSPEX ODIN pour le visible (Norvège, NEO)
du système de traitement de données STAD (France, ONERA)
• Podcast dédié : http://www.onera.fr/fr/podcasts/laurent-rousset-rouviere-sysiphe
Dec 10, 2014 ASDNews Source : US Army
The Estonian Defense Ministry added the FGM-148 Javelin weapon system, a one-man portable rocket launcher, to its military's arsenal following the signing of a sales contract during ceremony at the Ministry of Defense building, here, Nov. 18.
The acquisition came after several demonstrations of the weapon system by U.S. forces during Operation Atlantic Resolve and the Estonian military's desire to bolster its anti-tank defense capabilities.
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11/12/2014 lorientlejour.com
Les ministres de la Défense du sud de l'Europe et du nord de l'Afrique ont convenu jeudi à Grenade dans le sud de l'Espagne de resserrer les rangs contre les menaces les guettant très directement, dont l'islam radical et l'immigration clandestine.
Les ministres de la Défense de cette initiative dite "cinq plus cinq", visant depuis 2004 à renforcer la coopération des dix pays riverains de la Méditerranée occidentale ou leurs représentants, étaient réunis à Grenade depuis mercredi.
Ont participé à la réunion les ministres espagnol, français, italien, portugais, tunisien, marocain, mauritanien et libyen. L'Algérie et Malte ont envoyé des représentants. Ils ont cité "Le terrorisme islamique, le trafic de drogue, la traite d'êtres humains, les migrations clandestines massives", dans la liste des menaces auxquelles ils sont exposés, a déclaré à la presse à l'issue de la réunion Pedro Morenes, ministre espagnol de la Défense, qui a cédé la présidence tournante de l'initiative à la Tunisie.
"Cette réunion s'est tenue alors que la conjoncture est difficile, avec l'émergence de nouvelles menaces terroristes", a aussi noté le ministre tunisien Ghazi Jeribi. Le groupe doit également s'intéresser aux "crimes commis par le truchement d'internet", a-t-il ajouté.
"Le terrorisme jihadiste international touche directement nos pays, et également des pays qui ne font pas partie de l'initiative", a souligné M. Morenes. La réunion s'est tenue dans un contexte de vive inquiétude face à la détérioration de la situation en Libye, dirigée par deux gouvernements et deux Parlements se disputant le pouvoir à distance. "Nous exprimons notre souhait de voir se dessiner une solution à la crise", ont indiqué les participants dans leur déclaration finale.
Les membres du groupe sont convenus de soutenir le "gouvernement légitime" de Libye, a déclaré M. Morenos.
L'Italie a, elle, dû affronter une vague d'arrivées massives de migrants sur ses côtes, situation aggravée par la situation en Libye, avec sans doute, selon ses estimations, près de 150.000 arrivées cette année.
Faute de moyens, l'opération italienne Mare Nostrum mise en place pour assister les réfugiés est en train de passer le relais à l'opération Triton, une opération européenne de contrôle des frontières beaucoup plus limitée.
Des milliers de réfugiés arrivent aussi en Tunisie.
TOKYO, 12 décembre - RIA Novosti
Le ministère chinois de la Défense a confirmé avoir testé avec succès un missile hypersonique WU14, annonce vendredi le journal japonais Yomiuri.
"La tenue d'essais scientifiques et techniques sur le territoire chinois est un phénomène courant, ces essais ne visant aucun pays et aucun site concret", indique le ministère chinois.
Selon le journal japonais, ce missile serait capable de déjouer les systèmes de défense américains. Il s'agit du troisième test de ce missile, le premier s'étant déroulé en janvier et le deuxième en août 2014.
Le WU14 est un missile hypersonique capable d'atteindre Mach 10, soit 12.000 kilomètres/heure.
December 15, 2014 Sandeep Unnithan - India Today
Submarine game: How China is using undersea vessels to project power in India's neighbourhood
Four decades after the 1971 India-Pakistan war, India's intelligence agencies are once again scanning a stretch of coastline in southern Bangladesh. Cox's Bazar was rocketed and strafed by INS Vikrant's fighter aircraft to cut off the enemy's retreat into the Bay of Bengal. Today, 43 years later, it sets the stage for China's dramatic entry into India's eastern seaboard.
Assessments from the Research and Analysis Wing (RAW) and naval intelligence say the Bangladesh Navy will station two ex-Chinese Ming-class submarines on bases that are less than 1,000 km away from Visakhapatnam, home to the Indian Navy's nuclear powered submarine fleet and the Defence Research and Development Organisation's (DRDO) missile test ranges at Balasore.
The developments on India's Arabian Sea flank are equally ominous. Intelligence officials say that over the next decade, China will help Pakistan field submarines with the ability to launch nuclear-tipped missiles from sea. Submarines, analysts say, are China's instrument of choice to not just challenge the Indian Navy's strategy of sea domination but also to undermine India's second-strike capability. These developments have been accompanied by a flurry of Chinese submarine appearances in the Indian Ocean this year-Beijing sent two nuclear submarines and a conventional submarine. Two of them made port calls in Colombo, triggering concern in New Delhi.
Toehold in the Bay
"No one interested in geopolitics can afford to ignore the Bay of Bengal any longer," geopolitical analyst Robert Kaplan wrote in a seminal essay in Stratfor in November. "This is the newold centre of the world, joining the two demographic immensities of the Indian subcontinent and East Asia." For India, the Bay of Bengal is the launch pad for a 'Look East' policy that has received renewed attention under Prime Minister Narendra Modi.
The Indian Navy is enhancing force levels at its Visakhapatnam naval base even as it has begun building a secret base for a proposed fleet of nuclearpowered submarines at Rambilli, south of Visakhapatnam. Equipped with the 700-km range B05 submarine launched missiles, the Arihant-class submarines will have to patrol closer to the shores of a potential adversary. But equipped with the 3,500-km range K-4 missiles currently being developed by the DRDO, the Arihant and her sister submarines can cover both Pakistan and China with nuclear-tipped missiles from within the Bay of Bengal, providing the "robust second-strike capability" as stated in India's nuclear doctrine.
Inputs suggest Bangladesh has acquired land and fenced locations at the Kutubdia Channel near Cox's Bazar and the Rabnabad Channel near West Bengal. Kutubdia, intelligence officials say, is likely to feature enclosed concrete 'pens' to hide submarines. The possibility of Chinese submarines using this base provides a fresh equation to the strategic calculus.
"Our submarines become susceptible to tracking from the time they leave harbour," says veteran submariner and former Southern Naval Command chief vice-admiral K.N. Sushil (retired). "But a far more worrying strategy is China's ability to be able to threaten our assured second-strike capability. That effectively tips the deterrence balance."
Chinese Han-class submarine Changzheng 2 in Colombo.West Coast Worries
Of greater long-term worry to Indian analysts is a strategic submarine project China finalised with Pakistan in 2010. Intelligence sources say this three-part programme will transform the Pakistan Navy into a strategic force capable of launching a sea-based nuclear weapons strike. Pakistan will build two types of submarines with Chinese assistance: the Project S-26 and Project S-30. The vessels are to be built at the Submarine Rebuild Complex (SRC) facility being developed at Ormara, west of Karachi. Intelligence sources believe the S-30 submarines are based on the Chinese Qing class submarines-3,000-tonne conventional submarines which can launch three 1,500-km range nuclear-tipped cruise missiles from its conning tower. A Very Low Frequency (VLF) station at Turbat, in southern Balochistan, will communicate with these submerged strategic submarines. The Project S-26 and S-30 submarines will augment Pakistan's fleet of five French-built submarines, enhance their ability to challenge the Indian Navy's aircraft carrier battle groups and carry a stealthy nuclear deterrent. "Submarines are highly effective force multipliers because they tie down large numbers of naval forces," says a senior naval official.
Steel sharks on silk route
Speaking in Indonesia's Parliament last October, Chinese President Xi Jinping articulated a "21st century Maritime Silk Road". His vision calls for investments in port facilities across south and south-east Asia to complement a north Asian route. This year, the People's Liberation Army Navy (PLAN) put steel into Xi's vision. In February, a Shangclass nuclear-powered attack submarine made China's first declared deployment in the Indian Ocean. This was followed by port calls made by a Han-class submarine in Colombo to coincide with a state visit by President Xi and a visit by a Song-class conventional submarine in November.
China's heightened activity in the Indian Ocean region is underscored by investments in a new port in Gwadar at the mouth of the Strait of Hormuz, Hambantota port in Sri Lanka, a container facility in Chittagong and Kyaukpyu port in Myanmar. "Such developments have sharpened China's geopolitical rivalry with India, which enjoys an immense geographic advantage in the Indian Ocean," says Brahma Chellaney of the Centre for Policy Research. "Aspects related to their (Chinese) deployment in international waters are part of securing their maritime interests," Navy chief Admiral Robin K. Dhowan told journalists in Delhi on December 3.
China's new military posture reflects the 'Malacca dilemma' faced by the world's largest oil importer. Close to 80 per cent of China's crude oil imports of 11 million barrels per day, the life blood of its economy, is shipped through the narrow Malacca Strait. Any disruption to this could threaten its economic growth. "Hence, China's economic interests in the Indian Ocean have now taken on an overt military dimension," says an intelligence official.
Naval intelligence officials who correctly predicted that China would use anti-piracy patrols as a pretext for deployments in the Indian Ocean feel vindicated. Their prognosis of this game of 'weiqi'-a game of Chinese chess which uses encirclement, is gloomy. "A full-scale Chinese deployment in the Indian Ocean is inevitable," an admiral told India Today.
"You can only watch it and prepare yourself for it." The preparations include acquisitions of long-range maritime patrol aircraft such as the US-made P8-I Poseidon, investment in anti-submarine warfare and inducting new submarines and helicopters to fill up critical deficiencies in force levels.
Measured Response
China's submarine thrust into South Asia coincides with Narendra Modi's renewed emphasis on securing India's perimeter. "India's response has to be nuanced, a mixture of coercion and largesse," says Jayadeva Ranade, a former RAW official and member of the National Security Advisory Board. While the Manmohan Singh-led UPA government scoffed at encirclement theories, the new Government is clearly concerned over the creeping Chinese presence.
National Security Adviser Ajit Doval voiced India's concerns at the 'Galle Dialogue' in Sri Lanka on December 1. He cited a 1971 United Nations General Assembly (UNGA) resolution mooted by Sri Lanka calling on the "great powers to halt further escalation and expansion of their military presence in the Indian Ocean".
India's defence diplomacy has been severely limited by its inability to offer military hardware to offset the Chinese presence. Over half the military hardware of Bangladesh and Sri Lanka are of Chinese origin. In 2008, India called off a plan to transfer the INS Vela to the Myanmar Navy when it discovered the vintage Russian-built submarine was past its service life.
When plans to transfer hardware materialise, they are too feeble to make a difference-a solitary helicopter such as the one gifted to Nepal by Modi in November and a small ex-Indian naval patrol craft gifted to Seychelles recently. Often, there is a demand for capabilities where India itself is deficient. Bangladeshi officials stumped Indian Ministry of External Affairs (MEA) officials last year when they asked India, and not China, to provide submarines. The Indian Navy is down to just 13 aging conventional submarines. The MEA suggested Bangladesh buy Russian submarines instead. Their efforts are yet to bear fruit. It is a gap China willingly fills.
Le 12 décembre 2014 AEPD
Le Centre de transfusion sanguine des armées (CTSA) (Ilot Percy) de Clamart (Hauts de Seine) recherche en urgence des dons en aphérèse (plaquettes ou plasma) au profit des militaires blessés en opérations extérieures et des patients traités dans les hôpitaux militaires.
Durée du don : 90 minutes pour les plaquette et 45 à 60 minutes pour le plasma.
Inscription obligatoire auprès du CTSA au 01 41 46 72 24.
Pour télécharger la plaquette de présentation du CTSA :
Les coordonnées du CTSA :
Centre de Transfusion Sanguine des Armées Jean Julliard
1 rue du lieutenant Raoul Batany 92140 Clamart 01 41 46 72 24
Accès Bus 190 ou RER ligne C station Issy