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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:50
Airbus fait le tri dans ses activités militaires et spatiales

 

16.09.2014 Alain Ruello - LesEchos.fr
 

Airbus se focalise sur les avions militaires, les satellites et Ariane, et les missiles. Pour le reste - radio sécurisée, électronique ou encore sécurité des frontières - ce sera la vente ou un partenariat. Bernhard Gerwert, le patron d’Airbus Defence & Space, explique pourquoi il tire un trait sur 2 milliards d’activités.

 

Pour le reste, c’est à dire radio sécurisée professionnelle (PMR), services commerciaux par satellites, ou encore radars sous-marins, ce sera la vente. Au passage, un certain nombre de filiales ou de participations dans des filiales vont changer de main. Parmi elles, on recense Fairchild Controls aux Etats-Unis, Rostock System-Technik, ESG ou Atlas Elektronik en Allemagne, AvDef en France. A ce stade, « nous n’avons pas encore engagé de discussion » avec des repreneurs potentiels, poursuit Bernhard Gerwert.

 

Numéro un ou deux

La branche équipements électroniques, l’une des quatre qui a émergé du rapprochement de Cassidian, d’Astrium et d’Airbus Military pour donner naissance à Airbus Defence & Space, ainsi que certaines activités de sécurité, contrôle des frontières par exemple, vont bénéficier d’un traitement spécial. Trop critiques, notamment car ses produits se retrouvent dans la plupart des plate-formes militaires ou spatiales conservées, elles ne peuvent pas être cédées d’un bloc. Mais comme elles ne sont pas assez dominantes sur leurs différents segments de marché, le groupe n’a pas jugé possible de les conserver dans son cœur de métier. Il va donc probablement s’appuyer sur des partenaires pour les développer.

Car c’est bien ce critère de la taille critique qui a prévalu pour parvenir à ce grand tamisage en ces temps de baisse des budgets militaires en Europe et de concurrence exacerbée dans le reste du monde. « Pour chaque activité nous voulons être le numéro un mondial, où au moins le numéro deux », explique Bernhard Gerwert. En clair : toute activité qui ne répondait pas à ce critère ou pour laquelle il a été jugé impossible d’y parvenir, sort du groupe. Quitte pour Airbus & Space à tirer un trait sur 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires, exception faite des équipements électroniques. Et quitte à supprimer combien de postes ?

 

Impact social pas chiffré

Sur ce point, Bernhard Gerwert botte en touche. Voulant éviter toute mauvaise interprétation, il met en avant que certaines sociétés appelées à être cédées n’étant pas consolidées, il est difficile de chiffrer l’impact social précis. Réunis ce matin en comité européen, les syndicats, eux, ne devraient pas manquer de sortir leurs calculettes. D’autant que la branche Defence & Space est née dans la douleur puisqu’elle a dû consentir à perdre 13 % de ses effectifs .

Pour ce qui est du calendrier en revanche, les choses sont plus claires : Bernhard Gerwert veut disposer d’une première liste de repreneurs pour les actifs cédés en fin d’année, et aimerait avoir clôturé tout cela mi 2015. Les candidats ne devraient pas manquer.

Hervé Bry, délégué central CFTC de l’ex-Astrium, souligne d’abord que la « vérité éclate » au sujet des services de télécommunications civils, logés principalement dans Vizada, société achetée 673 millions à Apax en août 2011, la plus importante acquisition de l’ex-EADS. « On nous avait promis monts et merveilles, mais on a toujours eu des doutes », réagit-il, d’autant plus que la mariée s’est révélée moins belle que promise... Plus globalement, le syndicat craint que cette logique de recentrage n’appauvrisse la capacité du groupe à innover. Et que sur le plan social, le modèle de la co-entreprise mis en avant par Bernhard Gerwert dans sa lettre aux salariés, comme celle en cours de constitution avec Safran pour Ariane, ne soit défavorable à l’emploi. « Tout ces arbitrages se sont faits sans les syndicats », déplore-t-il.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:50
L’Aravis « polonisé » durant le salon MSPO sous les couleurs de Rosomak (groupe PGZ) crédits: G Belan

L’Aravis « polonisé » durant le salon MSPO sous les couleurs de Rosomak (groupe PGZ) crédits: G Belan

 

16 septembre, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Le programme s’appelle Pegaz, le RFI (Request for Information) a été émis il y a à peine quelques semaines et il concerne pas moins de 600 véhicules. La français Nexter se place dans ce grand appel d’offre polonais, qui doit venir fournir un véhicule fortement protégé avec une bonne mobilité pour divers usages : forces spéciales, police militaire, troupes de montagnes… Un très fort contenu national (ou « polonisation ») doit être proposé pour les industriels étrangers souhaitant participer. C’est pourquoi on pouvait voir l’Aravis de Nexter sur le stand de l’industriel du terrestre polonais Rosomak (groupe PGZ) durant le salon MSPO qui s’est tenu début du mois à Kielce. Le partenaire polonais sera en charge de l’adaptation aux spécificités locales et produira localement l’Aravis, rebaptisé pour l’occasion le Chacal.

 

De nombreux compétiteurs sont attendus pour cet appel d’offre, et un autre français, Thales participe face à Nexter, et présente son Hawkei, dessiné pour le besoin Australien mais proposé à l’export et dont la dernière version a été dévoilée durant le dernier Eurosatory (relire ici).

 

Thales est déjà bien implanté en Pologne et bénéficie d’une présence importante, avec 200 employés polonais et de nombreux partenariats avec des sociétés locales.

 

La tourelle T40 CTA proposée à Varsovie

 

Quant à Nexter, l’industriel du terrestre français propose également sa dernière tourelle T40, basée sur le nouveau calibre novateur : le 40 mm télescopé. Reste qu’il va falloir convaincre les polonais qui, pour leur flotte de blindés 8X8, ont émis un besoin pour 150 tourelles téléopérées de 30 mm. Le grand avantage de la 40 mm CTA, est que dans un encombrement réduit, les effets terminaux sont sans comparaison et avoisinent ceux d’un 90 voir 105 mm. Redoutable contre des BMP3 surblindés que Varsovie a sans doute à l’esprit, alors que le 30mm ne ferait que les égratigner. Nexter propose aux polonais toute la partie automatisation de sa tourelle et pourrait bien faire bouger les lignes avec son produit.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:45
photo EMA

photo EMA


14.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Le marché d'équipement et de formation des casques bleus africains attise les convoitises. Exemple avec la MINUSCA.

Théoriquement, le 15 septembre, les casques bleus de la mission multidimensionnelle intégrée des nations unies pour la stabilisation en république centrafricaine (MINUSCA), prendront le relais de la mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA). Avec ses 10 000 militaires et ses 1 800 policiers, la MINUSCA aura pour mission de maintenir la paix en République centrafricaine.

A noter que dans le cadre de la montée en puissance de la MINUSCA, la force Sangaris, qui va se recentrer sur le centre et l'est du pays, lui apporte un soutien logistique et humain.

 

Marchés. Le déploiement de nouveaux contingents onusiens et la relève d'unités (camerounaises et gabonaises par exemple) constituent une bonne occasion pour les entreprises françaises de proposer leurs services. Il s'agit d'équiper, voire de former, les unités qui seront déployées sous le casque bleu.

Nexter, associé à Paul Boyé, lorge du côté du Gabon, terrain de chasse habituel du groupe Marck. Ce même groupe Marck, associés à Inéo Support Global, est, pour sa part, actif du côté du Cameroun et du Burundi.

Quant à Sovereign Global France, elle poursuit ses actions de formation au Tchad tout en négociant avec d'autres pays africains, comme le Congo Brazzaville, après avoir formé les contingents de casques bleus djiboutiens et mauritaniens.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:45
Central African Republic crisis: Minusca new peace mission

 

15 September 2014 BBC Africa

 

The UN is formally taking over peacekeeping operations in the Central African Republic (CAR), where about 25% of the population has fled their homes.

 

The new force will largely comprise 6,200 African troops already there. There are also 2,000 French troops, who will not be part of the UN force, but human rights groups say a bigger force is urgently needed to end the violence.

 

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:45
Les drones US pourraient s'installer sur l'aéroport de Dirkou dans le nord du Niger


13.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Suite de mon post du 2 septembre sur l'installation de drones US dans le nord du Niger.

C'est sur l'aérodrome de Dirkou (code OACI : DRZD) que les Américains pourraient déployer leurs drones. Cette ville d'une quinzaine de milliers d'habitants est située dans le département de Bilma. Son oasis se trouve sur la route qui va de Tripoli vers le lac Tchad. 

Situé à 560 km au nord-est d'Agadez, Dirkou dispose d'un aérodrome qui est situé 2 km au sud-ouest du centre-ville. La piste bitumée de l'aérodrome mesure 1 600 m de long sur 40 m de large.

Le vendredi 12 septembre a été mis en ligne un appel d'offres du Contracting Dept de l'US Army (Solicitation Number: W56PFY-14-T-0098) pour des prestations de transport routier entre Niamey et Dirkou (et non pas Agadez). La nature du fret militaire transporté n'est pas précisé dans l'avis.

Si la piste de Dirkou était utilisée par les Américains, elle leur permettrait de surveiller, au plus près, le sud libyen et la zone de transit des trafics sahéliens.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:40
La Marine russe réalise des exercices en Arctique

 

MOSCOU, 15 septembre - RIA Novosti

 

La Marine russe mène lundi des exercices en Arctique, a annoncé à Moscou le ministère russe de la Défense.

 

Plus de 20 matériels de guerre et spéciaux, ainsi que plus de 200 hommes ont débarqué sur l'île Kotelny faisant partie de l'archipel de Nouvelle-Sibérie.

 

"Les marins de la flotte du Nord ont effectué un débarquement sur une côte non équipée sous la protection de l'aviation embarquée. Deux hélicoptères Ka-27 ont décollé depuis un navire de lutte anti-sous-marine. Ils ont transporté des groupes de fusiliers marins sur la côte ouest de l'île Kotelny. Le grand navire de débarquement Guéorgui Pobedonossets a ensuite procédé à une opération de débarquement", a indiqué le ministère dans un communiqué.

 

Six bâtiments de guerre et navires de soutien ont mis huit jours pour parcourir près de 2.000 milles marins et arriver aux îles de Nouvelle-Sibérie. Deux brise-glaces nucléaires du groupe nucléaire public russe Rosatom ont escorté les navires de la flotte du Nord sur plus de 180 milles.

 

Ces dernières années, la Russie explore activement ses territoires septentrionaux. Elle a pris plusieurs mesures pour défendre ses intérêts en Arctique. En août dernier, le commandant de l'Armée de l'air russe Viktor Bondarev a notamment annoncé que l'aérodrome Temp, remis en exploitation en octobre 2013 sur l'île Kotelny (archipel de Nouvelle-Sibérie), serait prochainement capable d'accueillir tous types d'avions.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:35
Two J-10 fighters at the Zhuhai Airshow on Nov. 5, 2008. (Photo Xinhua)

Two J-10 fighters at the Zhuhai Airshow on Nov. 5, 2008. (Photo Xinhua)

 

September 16, 2014: Strategy Page

 

China continues to have problems with its locally produced military jet engines. The biggest problems are with the WS-10 series, which was designed and produced in China and the government has been pressuring the aircraft manufacturers to use Chinese made engines like this instead of Russian imports. This has not been working out as the government wants. For example, the new Chinese carrier fighter, the J-15, is supposed to have a more powerful Chinese made engine so that it can carry more weight using the ski jump deck on the new Chinese carrier. The ski jump is a cheaper and less complex take off alternative to the steam catapult. One disadvantage of the ski jump deck is that it cannot launch aircraft as heavy as a catapult can. China has developed a more powerful version of their WS-10 engine (the WS-10H) for the J-15 but has only been seen in two J-15s. Most J-15s are still using Russian AL-31Fs. China keeps details of its WS-10 development secret, but they cannot hide which of their aircraft are using the WS-10 and which the Russian made AL-31s that the WS-10 is based on and is supposed to replace. It is obvious that not a lot of WS-10s are being installed and that indicates the quality control and reliability problems of the WS-10 persist despite government denials.

 

The first WS-10s began showing up in J-11s back in 2004. In 2010 China revealed that it was replacing the Russian engines in its J-10 fighter, installing Chinese made WS-10A in place of the Russian made AL-31FN. Shortly after that announcement China ordered another 123 AL-31FNs, to be delivered by 2012. More AL-31s have been ordered but at the same time more Chinese fighters were being seen with WS-10s. Despite that the demand for AL-31s, based on the number of modern jet fighters China wants to build, is exceeding the Russian engine building capacity.

 

The Chinese claim the WS-10A is superior to the AL-31F, even though the WS-10A copied a lot of the Russian technology. The Chinese say they have improved on that. For example, as delivered from Russia, the original AL-31 was good for 900 hours of operation. The Chinese claim their engineers figured out how to tweak the design of the engine so that it would last for 1,500 hours. Russia has since improved their basic AL-31 lifetime to 1,500 hours, and, most recently, 2,000 hours. When pressed, the Chinese claim that they simply cannot produce enough WS-10As for all the new airframes they are building. But the reality is that the WS-10As have some serious, unpredictable and persistent reliability problems that limit the number of reliable (enough for regular use) engines available.

 

Back in 2011 China believed it would be free from dependence on Russia for military jet engines by 2016, which implied that Chinese engine manufacturers still had a way to go. Now the most any Chinese will admit to is that there will be no need for Russian engines by the end of the decade, maybe. Meanwhile China continues to import AL-31s and the RD-93 (a version of the MiG-29's RD-33) for the JF-17 (an F-16 type aircraft developed in cooperation with Pakistan) from Russia. These engines are expensive, with the RD-33 going for about $3 million each and the AL-31 for about a third more.

 

Since the 1990s Chinese engineers have managed to master the manufacturing techniques needed to make a Chinese copy of the Russian AL-31 engine. This is part of a program that has also developed the WS-13, to replace the RD-93 as well. While the Chinese have been able to build engines that are durable, they are still having problems with reliability. Apparently it is still worth buying more Russian engines because the Chinese models are out of action too often, which keeps the jets grounded for repairs or, worst of all, an engine change.

 

China has long copied foreign technology, not always successfully. But since the 1990s China has poured much money into developing a jet engine manufacturing capability. The Chinese encountered many of the same problems the Russians did in the beginning. Developing the necessary engine design and construction skills is difficult. But China has several advantages. First, they knew of the mistakes the Russians had made, and so were able to avoid many of them. Then there was the fact that China had better access to Western manufacturing technology (both legally and illegally). Finally, China was, unlike the Soviets, able to develop their engine manufacturing capabilities in a market economy. This was much more efficient than the command economy that the Soviets were saddled with for seven decades. The Chinese consider all this part of the learning process and they do learn from their mistakes.

 

Meanwhile the Chinese can build more Su-27 clones than they can reliable engines for them, and they keep developing more Su-27 variants. The Chinese J-11 jet fighter is an illegal Chinese copy of the Russian Su-27. It all began legally in 1995, when China paid $2.5 billion for the right to build 200 Su-27s. Russia would supply engines and electronics, with China building the other components according to Russian plans and specifications. But after 95 of the Chinese built aircraft were built Russia cancelled the agreement. Russia claimed that China was using the knowledge acquired with this Su-27 program to build their own copy of the Su-27, the J-11. The Chinese claimed that the J-11 was designed and built using only Chinese technology. China also has a stealthy version (J-17) of the Su-27. There is also an aircraft carrier version of the Su-30 (the Su-33, obtained from Ukraine) that is now in service as the J-15. In 2013 J-16s were spotted. This is a two-seat fighter-bomber similar to the American F-15E and nearly identical to the Russian Su-30MKK. China insists these are all Chinese designs that just happen to bear some resemblance to Russian fighters.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
Kurdish Peshmerga forces - photo Matt Cetti-Roberts War is boring

Kurdish Peshmerga forces - photo Matt Cetti-Roberts War is boring

 

16.09.2014 Romandie.com (ats)

 

Les combattants kurdes ont repris mardi plusieurs villages chrétiens du nord de l'Irak après des combats contre les jihadistes de l'Etat islamique, a-t-on appris de plusieurs sources.

 

"Ce matin, les peshmergas ont réussi à expulser les militants (de l'EI) de quatre villages à l'ouest d'Erbil et à en prendre le contrôle", a indiqué un responsable irakien en mentionnant les localités de Hassan al-Sham, Syudan, Bahra et Jisr al-Khadhr. Il a précisé que des tirs de roquettes et de mortiers avaient été échangés lors des affrontements.

 

"Après des heurts dans la matinée, les peshmergas sont parvenus à libérer plusieurs villages, notamment Hassan al-Sham et Syudan. Les militants (de l'EI) sont maintenant partis", a confirmé une source au sein du patriarchat chaldéen. "Ces villages sont très importants car ils sont proches des villes (chrétiennes) de Bartalla et Qaraqosh", selon lui.

 

Villes désertées

 

Ces localités reconquises sont situées dans la plaine de Ninive, qui s'étend d'Erbil, capitale du Kurdistan, jusqu'à Mossoul, deuxième ville d'Irak et contrôlée depuis juin par l'EI.

 

Des dizaines de milliers de chrétiens d'Irak, la plupart fidèles de l'Eglise catholique chaldéenne, avaient fui en août après une nouvelle offensive de l'EI.

 

Qaraqosh, la plus grande ville chrétienne d'Irak, et des dizaines de villages s'étaient ainsi vidés de leurs habitants au cours de ce que les dirigeants chrétiens ont décrit comme le pire désastre de la longue histoire de la minorité chrétienne irakienne.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
Terrorisme: Moscou soutient militairement Damas et Bagdad

 

PARIS, 15 septembre - RIA Novosti

 

La Russie apporte une assistance militaire à la Syrie, à l'Irak et à d'autres pays de la région pour les aider à lutter contre la menace terroriste, a déclaré lundi à Paris le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

 

"Nous avons parlé de notre contribution au soutien du gouvernement irakien, qui vise à diversifier ses possibilités de combattre les terroristes et d'assurer la sécurité de l'Etat. Nous apportons à l'Irak une assistance, y compris militaire, en vue d'accroître la sécurité dans le pays. Nous agissons de la même façon dans le cas de la Syrie et d'autres pays de la région", a fait savoir M.Lavrov en marge de la conférence internationale sur la situation en Irak tenue dans la capitale française.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
Israël renonce à livrer des drones à l'Ukraine

 

TEL AVIV, 16 septembre - RIA Novosti

 

Les autorités israéliennes ont renoncé à vendre des drones à l'Ukraine afin de ne pas compromettre les relations avec Moscou, rapportent mardi les médias locaux.

 

Selon la chaîne de télévision Aroutz 2, le ministère des Affaires étrangères a bloqué le contrat conclu entre l'Ukraine et le constructeur israélien des drones Aeronautics et approuvé par le ministère de la Défense. Aucun commentaire officiel sur ce sujet n'est disponible pour le moment.

 

La chaîne indique que la Russie a à plusieurs reprises pris en considération les intérêts sécuritaires d'Israël, en renonçant notamment aux livraisons de certains types d'armes en Syrie et en Iran. L'Etat hébreu a pour sa part suspendu sa coopération militaro-technique avec la Géorgie en 2008, peu avant le conflit en Ossétie du Sud.

 

Les autorités israéliennes s'abstiennent de se prononcer publiquement sur la crise politique en Ukraine, qui a dégénéré en affrontements meurtriers dans le sud-est du pays et compliqué les relations entre la Russie et l'Occident. Le chef russophone de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman s'est toutefois déclaré prêt à contribuer à la normalisation des rapports entre la Russie et l'Ukraine, qualifiant ces deux pays d'"amis de l'Etat hébreu".

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
photo US DoD

photo US DoD

 

16 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les frappes aériennes que les Etats-Unis entendent conduire contre le groupe Etat islamique en Syrie vont viser les sanctuaires des jihadistes, a annoncé le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel mardi lors d'une audition au Sénat.

 

M. Hagel a indiqué que les raids aériens américains cibleraient les sanctuaires de l'Etat islamique en Syrie. Cela comprend ses centres de commandement, ses capacités logistiques et ses infrastructures.

 

S'exprimant à ses côtés, le plus haut gradé américain, le général Martin Dempsey, a toutefois prévenu que cette campagne aérienne ne ressemblerait pas à celle menée en 2003 en Irak contre Saddam Hussein. Baptisée à l'époque shock and awe (choc et effroi), elle misait sur une domination rapide de l'ennemi.

 

Cette campagne contre le groupe Etat islamique sera acharnée et longue, a ainsi souligné le général Dempsey.

 

Depuis le 8 août, les forces aériennes américaines ont mené 162 raids contre des positions jihadistes en Irak, un cancer selon le président Barack Obama.

 

Bien que M. Obama ait fait part de son intention de viser les jihadistes en Syrie, aucune frappe américaine ne s'est, pour l'heure, déroulée en territoire syrien.

 

Si vous attaquez les Etats-Unis, vous ne serez en sécurité nulle part, avait martelé le président américain dans un discours télévisé mercredi.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
American Boots On The Ground In Iraq

 

September 16, 2014: Strategy Page

 

The United States has declared that it will seek to destroy ISIL (Islamic State in Iraq and the Levant) without putting any troops on the ground in Iraq or Syria. That means no American regular troops will be sent in for offensive combat. Some will be there to help with security around the massive U.S. embassy compound, and perhaps other American facilities as well. There will also be a lot of security contractors. While these are civilians, many are veterans of the U.S. Army, Marines, Special Forces and so on. Given their civilian status, there may be a temptation to use the contractors if a lot of offensive muscle is needed. By the end of the year there will be at least 5,000 American military personnel in Iraq and even more contractors. That number is expected to grow in 2015 is needed.

 

Meanwhile there will be American troops in combat. These will primarily be special operations troops from the army (Special Forces, Rangers), marines, navy (SEALs) and air force (para-rescue). There will be some similar special operations troops from American allies. Britain and Australia are already in and others are expected to join, including some Moslem special operations units that worked with NATO in Afghanistan.

 

The U.S. Air Force will also have air control teams on the ground, although these will often work with commando units. Many American special operations troops are trained to act as ground controllers and many have experience in combat doing this. The Western nations prefer to have a Western air controller on the ground confirming what is going to be hit. But this is not absolutely necessary. Nearly all armed UAVs fire their missiles using the vidcams (with zoom) they carry. Manned aircraft (including heavy bombers) have similar capability in the form of targeting pods. These are very popular with fighter pilots, mainly because they contain FLIR (video quality night vision infrared radar) and TV cameras that enable pilots flying at 6,200 meters (20,000 feet) to clearly make out what is going on down on the ground. The pods also contain laser designators for laser guided bombs and laser range finders that enable pilots to get coordinates for JDAM (GPS guided) bombs. Some have software that can identify many military vehicles and systems automatically. The 200 kg (440 pound) pods hangs off a hard point, like a missile, bomb, or fuel tank. Pilots and bomber crews are trained to use these pods to select and hit targets from the air if there is no one on the ground to help out.

 

The Iraqis and Kurds have some trained air controllers. The Iraqi ones were trained to call in strikes from Iraqi warplanes armed with Hellfire missiles. The Kurdish ones have been known to work with American Special Forces teams. It’s possible some might be allowed to operate on their own. Trusting the Iraqis, with all the bribery, divided loyalties and such is still discouraged.

 

The commando teams (usually three to a dozen troops) will definitely be on the ground in Iraq. Syria is another matter and they might or they might not. The problem in Syria is that ISIL is not just fighting the government (Assad) troops but also most other rebel factions. ISIL is estimated to have up to 30,000 armed men in Syria and Iraq but this includes many allies (some very recent and who previously were enemies of ISIL). The core (most reliable) ISIL force is less than 10,000 armed men. Some of these guys are very effective in combat and American troops encountered some of them in Iraq earlier. The ISIL “allies” can switch sides very quickly if the Islamic terrorists gets hammered real bad. That will happen if Iraq and the Kurds use their elite (usually special operations) ground forces to go after ISIL. This tactic is no secret to many ISIL men, who are veterans of the 2004-8 terrorism campaign in Iraq and know about how such combinations quickly shattered the Taliban in late 2001 and has hurt the Taliban badly ever since.

 

While ISIL knows a lot about avoiding smart bombs and missiles they also know that if they are to control their new “Islamic State” (eastern Syria and western Iraq) they have to use bases and concentrate gunmen to deal with armed opposition. There is no tactic that will make ISIL immune to smart bombs under those conditions, not if they still want to control territory in their new “Islamic State.”

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:50
Interopérabilité explosive à l’Eurocorps


16 sept. 2014 Belgian Defense

 

L’Eurocorps a dépêché ses éléments du génie à Ingolstadt, en Allemagne, pour un exercice réunissant des troupes allemandes, belges, espagnoles, françaises et luxembourgeoises. Durant une semaine, ces spécialistes en explosifs et décontamination ont partagé leurs expériences opérationnelles. Un mélange détonant !

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:50
Airbus Group lance un grand ménage dans ses activités Défense

 

16/09/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Airbus Group a annoncé ce mardi une réorganisation de ses activités de défense et spatiales qui se traduira par des cessions de filiales ou de participations jugées non stratégiques. Elle permettra également au groupe aéronautique de se recentrer sur les avions militaires, les missiles, les lanceurs et les satellites.

 

C'est un vrai leitmotiv chez Airbus Group : "Nous ne sommes pas encore assez rentable". C'est donc à l'aune de cet objectif financier en grande partie que Airbus Defence and Space (ADS) prévoit "de céder certains secteurs d'activité ne correspondant pas à ses objectifs stratégiques et pour lesquels un meilleur développement serait possible dans des structures différentes", a confirmé ce mardi le géant européen de l'aéronautique. Beaucoup de ces activités sont basées en Allemagne. Ces cessions pourraient représenter jusqu'à 2 milliards d'euros pour le groupe. Le patron de ADS, Bernhard Gerwert, compte recueillir les premières marques d'intérêts pour les actifs à céder d'ici à la fin de l'année et finaliser les premières cessions au premier semestre 2015.

Cette restructuration constitue également un test des relations entretenues par le groupe avec le gouvernement allemand. Le PDG d'Airbus, Tom Enders a récemment mis en garde Berlin contre les effets sur l'emploi et l'investissement de sa politique restrictive en matière d'exportations d'armements. Bernhard Gerwert a toutefois relativisé l'impact sur l'emploi de cette restructuration. "Il ne s'agit pas seulement de supprimer des emplois et de fermer d'autres sites, c'est même plutôt le contraire, a-t-il expliqué à Reuters. Nous avons ciblé certaines activités, pour lesquelles nous cherchons des investisseurs qui sont prêts à mettre de l'argent et à développer ces activités".

 

Airbus trie ses activités

Il s'agit tout d'abord des activités de communications commerciales et parapubliques (dont les radiocommunications mobiles professionnelles ainsi que des services commerciaux de communication par satellite), qui "auront de meilleures perspectives de croissance en intégrant d'autres structures industrielles", a précisé le groupe. En outre, ADS envisage de céder certaines de ses filiales et participations, dont Fairchild Controls (équipementier et support), Rostock System-Technik (ingénierie, formation...), AvDef (société de transport privé, formation,), ESG l(systèmes et logiciels) et Atlas Elektronik (systèmes électroniques de sécurité et de défense maritime).

ThyssenKrupp, qui dispose d'un droit de préemption sur les 49 % d'Airbus Group dans Atlas Elektronik, va discuter avec le groupe européen de l'éventuel rachat de sa participation dans le spécialiste des systèmes électroniques de sécurité et de défense maritime. "Nous allons engager des discussions avec Airbus à propos de sa participation dans Atlas afin de trouver la meilleure solution", a assuré le président du directoire du conglomérat allemand, Heinrich Hiesinger lors d'une conférence de presse organisée ce mardi.

Enfin, "toutes les alternatives industrielles seront explorées pour les secteurs sécurité et électronique de défense de la division afin d'assurer leur croissance future et la création de valeur", a ajouté ADS. Les nouvelles activités d'Airbus Group, Sécurité/communications et Electronique, ont respectivement réalisé 2,7 milliards et 1,2 milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2013. Bernhard Gerwert a souligné qu'Airbus Group ne souhaitait plus investir dans l'électronique de défense et la sécurité, des activités qui nécessitent des moyens importants pour devenir leader sur ce marché, actuellement dominé en Europe par Thales.

 

Airbus Group reste dans la défense

Pour autant, Airbus Group, à l'issue de son "évaluation exhaustive et détaillée" de son portefeuille d'activités, a décidé de continuer d'investir dans les activités espace - lanceurs et satellites (3,8 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2013) -, avions militaires (5,7 milliards d'euros), missiles ainsi que les systèmes et services associés. Des "cœurs de métier" que la division ADS devra renforcer pour rester dans ses positions de leader. ADS a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 13,7 milliards d'euros en 2013, hors missiles.

"Les décisions concernant le portefeuille d'activités d'Airbus Defence and Space sont la conséquence logique de la revue stratégique d'Airbus Group de 2013. Ces décisions renforceront les atouts de la division et permettront de nous recentrer encore plus sur les cœurs de métier du groupe que sont l'aéronautique et l'espace", a expliqué le président exécutif d'Airbus Group, Tom Enders.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:50
COLIBRI 2014


16 sept. 2014 Armée de Terre

 

Un bel exercice de cohésion interallié entre parachutistes vient de s’achever. La 46e édition de l’exercice COLIBRI a eu lieu du 1er au 11 septembre dans la région de Toulouse. En prévision des prochaines missions engageant les deux brigades, 700 parachutistes français et allemands ont effectué plus de 300 sauts afin d’échanger leur savoir-faire en matière d’opérations aéroportées.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:50
The European Advanced Airlift Tactics Training Course takes shape

 

Friday 5 September  Pascal Ballinger/Norbert Thomas - EATC

 

New air transport training course created by EATC

 

Under the umbrella of EDA and with the strong cooperation of the Spanish Air Force, the subject matter experts from the EATC plan the ambitious objective to organize a European Advanced Airlift Tactical Training Course (EAATTC) - first multinational of its kind in Europe.
This European counterpart of the well-known AATTC - organized by the United States Air Force - will open for the first time this year at the Spanish Air Force Base in Zaragoza from 21 September to 03 October 2014.

 

Similar – but different: European and American approach

The European AATTC is however not to be seen as competitor to the US AATTC. Instead for European Air Forces, a course organized in Europe makes further slots available, because the US course is somehow a victim of its own success: and the European Air Forces have difficulties to get the slots they asked for in the past. Moreover, the deployment to the USAF Advanced Airlift Tactical Training (AATTC), which is organized on a regular basis by the 139th Airlift Wing at Rosecrans Air National Guard Base in Saint Joseph, Missouri, charged a lot of flying hours just by crossing the Atlantic (and back). From this perspective time had come to implement a European way. With regard to the EATT held in Zaragoza 2012 and 2013, this training spot in Spain has proven its suitability in many ways. An important advantage of this location leads to the fact, that there is enough air space over Spain to train effective – and to not harm citizens with aircraft noise.
As the US course was identified by the European participants as tailored to their needs, the European counterpart will stay in many ways identical or similar to the AATTC – a balanced compromise of American expertise and the European will to keep up interoperable standards for all EAATTC participating nations.

 

EATC mindset

The European syllabus has been developed by the EATC - but Participating Nations will validate their students actions during the course in September. One of the main objectives of EAATTC is to provide a robust airlift tactics training syllabus to allow aircrews to increase interoperability as well as survival in non-permissive environments.
The first week of the new course will start with some tactical awareness academics spread over four  half days. Moreover some basic sorties shall be flown during that first week.
During the second week, the complexity of the mission will augment, including low level flights, threat reaction and max effort landings.
A total of 9 flights are planned – flight Nr. 8 is a final check with flight Nr. 9 as graduation flight itself.
At the end of the course, crews will be awarded a graduation certificate, based on a number of flights and events fulfilled.
As described above, participating crews (pilots) are enabled to reach a “combat ready” - comparable status. This already shows, that EAATTC is in fact a different course with regard to EATT, where already experienced crews fly with each other.

 

From EATT to EAATTC

A few years ago, the European Air Forces mainly met during large fighter exercises or during training courses in the United States. There were only few national alternatives - and even less European.
With the organization of the first European Air Transport Training (EATT) from 4 till 15 June 2012 in Zaragoza (Spain) this has slightly changed: by pooling resources from different nations (BE, CZ, DE, ES, FR and NL), a contributing framework of different institutions  (EAG, EATC, EDA, JAPCC), but also with the contents from the US (AATTC), as a kind of mentor in aviation and air transport competence. During the first EATT seven aircraft from six nations flew day and night missions to (re)qualify crews in a variety of disciplines. Training objectives were achieved for crews as well as for Intelligence- (multinational Intel Cell) and Maintenance (multinational cross servicing team) participants.

A new challenge – and a new chance

The new course is a cooperation within EATCs Functional Division: Its Employment Branch and its  TREX-Branch (Training and Exercises) laid together all their ideas, knowledge and experience to  implement a course, that shall be offered several times per year – and therefore is planned to remain in Spain.
After its first “validation course” in 2014, three courses EAATTC per year are planned during the building-up phase 2015 to 2018. Full operational capability (FOC) of EAATTC is foreseen for 2019.
And after FOC, four courses per year - involving six aircrafts per course - are foreseen to take place at Zaragoza Air Base.
With this achieved, EATC has successfully implemented three major training events in Europe – for Europe. The important stepping stones as of EATT, EART and now EAATTC will allow European military AT to act more effective in the future – with a true European mindset and own competence due to the new trained skills.  

 

 

Pictures: Pascal Ballinger
Pictures: Pascal Ballinger
Pictures: Pascal Ballinger
Pictures: Pascal Ballinger

Pictures: Pascal Ballinger

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:30
Turquie: l'armée envisage une zone-tampon à la frontière avec l'Irak et la Syrie

 

16 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Ankara - L'armée turque envisage d'établir une zone tampon le long de la frontière de la Turquie avec l'Irak et la Syrie pour faire face à la menace posée par les combattants jihadistes, a rapporté le président Recep Tayyip Erdogan cité mardi par la presse.

 

Les forces armées turques (TSK) travaillent (sur des plans). Ils nous les communiqueront et nous prendrons une décision le cas échéant, a déclaré M. Erdogan aux journalistes qui l'accompagnaient lors de son retour lundi soir en avion du Qatar, où il a effectué une visite officielle.

 

Interrogé par l'AFP, une source gouvernementale turque a confirmé ce projet.

 

L'état-major est en train de mener des inspections pour déterminer si une zone-tampon pourrait être mise en place mais rien n'est encore concrétisé, a-t-elle indiqué, précisant qu'elle ne serait motivée que par des motifs strictement humanitaires.

 

Notre principale préoccupation, c'est l'arrivée d'une nouvelle vague importante de réfugiés. Nous accueillons déjà près de 1,5 million de Syriens et nous pourrons pas en absorber une nouvelle vague de cette ampleur, a-t-elle plaidé.

 

Membre de l'Otan, la Turquie a publiquement annoncé qu'elle ne participerait pas aux opérations militaires souhaitées par les Etats-Unis contre les combattants de l'Etat islamique (EI) et a également interdit l'utilisation de sa base aérienne d'Incirlik (sud) pour la conduite de telles actions.

 

Ankara a justifié la semaine dernière ce refus au secrétaire d'Etat américain John Kerry par la nécessité de ne pas compromettre la sécurité de ses 49 ressortissants enlevés en juin par l'EI au consulat de Turquie à Mossoul (Irak) et toujours retenus en otage.

 

Nos mains sont liées à cause de nos citoyens retenus en Irak, a récemment admis le ministre turc de la Défense, Ismet Yilmaz.

 

M. Erdogan a indiqué lundi aux journalistes qui l'accompagnaient au Qatar que des contacts étaient toujours en cours pour obtenir la libération des otages.

 

Nos services de renseignements travaillent depuis trois mois pour ça, a-t-il dit, ajoutant que son pays apporterait tout le soutien humanitaire nécessaire à la coalition en cours de constitution contre l'Etat islamique.

 

Ankara est critiqué par ses alliés occidentaux pour avoir fourni aux militants radicaux, y compris ceux de l'EI, armes et équipements dans les villes proches de la frontière avec la Syrie. La Turquie, qui a toujours nié cette assistance, espérait ainsi accélérer la chute du régime du président syrien Bachar al-Assad.

 

La Turquie est également critiquée pour ne pas suffisamment réprimer le flot de jihadistes qui passent par son territoire pour gagner l'Irak et la Syrie.

 

Notre pays combat toutes les activités terroristes dans la région parce que nous avons nous-mêmes souffert du terrorisme, a répété lundi soir M. Erdogan, en faisant allusion aux activités des rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:30
photo MinDef FR

photo MinDef FR

 

16-09-2014 Par Alexandre Buccianti correspondant au Caire -  RFI

 

Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a effectué une visite de deux jours en Egypte au cours de laquelle il s’est longuement entretenu avec son homologue égyptien le général Sedki Sobhi. Mardi, Jean-Yves Le Drian a été reçu par le président Abdel Fattah al-Sissi. C’est la première visite d’un ministre français de la Défense en Egypte depuis la chute de l’ex-président Moubarak.

 

La visite de Jean-Yves Le Drian n’aura pas permis de lever les réserves égyptiennes sur la coalition internationale contre le mouvement de l’Etat islamique. Principale cause de défiance égyptienne, la position de la coalition sur la Syrie qui considère le régime Assad et l’Etat islamique comme des mouvements terroristes d’égale importance.

 

Le Drian a par contre trouvé des oreilles plus réceptives sur le chaos en Libye considéré par Paris et Le Caire comme une menace directe à leur sécurité. Le ministre français a souhaité que l’ONU parvienne à élaborer une feuille de route pour restaurer l’ordre en Libye.

 

Le Caire comme Paris reconnaissent le gouvernement réfugié à Tobrouk comme seul pouvoir légal. Pour ce qui est des relations bilatérales, Le Drian a souligné la confiance et la coopération qui règnent entre les deux parties sur les questions d’armement. L’Egypte a récemment commandé quatre corvettes à la France pour une valeur de 900 millions d’euros. Le Caire a aussi acheté des blindés légers Renault pour la police et l’armée.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 14:50
Armement : entre consolidation franco-allemande et nationalismes

Armement -  Le rapprochement en cours entre Nexter et Krauss-Maffei Wegmann (KMW) dans l'armement terrestre va-t-il aboutir ?

 

16/09/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La France et l'Allemagne ont une chance historique de rapprocher de façon équitable leur industrie de la défense. Pour gagner ce pari, il faudra surmonter les nationalismes.

 

Entre la France et l'Allemagne, il existe actuellement et indéniablement une fenêtre de tir pour une consolidation industrielle dans le secteur de la défense. Le rapprochement en cours entre Nexter et Krauss-Maffei Wegmann (KMW) dans l'armement terrestre, puis les ventes des groupes navals allemands Atlas Elektronic, voire ThyssenKrupp Marine Systems, accréditent cette tendance. D'autant plus que ce processus est encouragé officiellement par Berlin.

Mais ce processus ira-t-il à son terme en surmontant notamment les nationalismes des deux pays dans un domaine qui touche la souveraineté nationale ? Pas sûr même si le ministre allemand de l'Economie, Sigmar Gabriel, a appelé mi-août le secteur à "faire ce qu'il aurait dû faire depuis 15 ans", à savoir se consolider et renforcer son intégration européenne.

 

Danger sur le rapprochement Nexter et KMW ?

Les signaux restent contradictoires en Allemagne. Selon la presse allemande, Sigmar Gabriel préférerait voir le groupe d'armement terrestre Krauss-Maffei Wegmann (KMW) se rapprocher de son rival et partenaire allemand Rheinmetall plutôt qu'avec le groupe français Nexter. Et le ministre exerce déjà une forte pression sur KMW en lui annulant des contrats signés vers des pays qu'il considère à risques. Il souhaiterait que l'Allemagne cesse d'exporter vers les pays de la péninsule arabique, en particulier l'Arabie Saoudite, un gros client de l'industrie allemande, et le Qatar.

Déjà, une vente de 200 Leopard A7 en Arabie Saoudite a été bloquée par Berlin. La famille Bode-Wegmann, actionnaire privé de KMW et qui a voté à l'unanimité en faveur de cette opération, pourrait être contrainte de suspendre le rapprochement si Sigmar Gabriel, qui a entre ses mains un puissant levier pour faire capoter cette opération, s'obstinait à mettre des bâtons dans les roues de KMW à l'export. Car cela dégraderait la valeur du groupe. Pas sûr donc que la famille veuille brader in fine ses intérêts.

Cette politique restrictive en matière d'exportation touche également certains programmes franco-allemands, comme le missile Milan de MBDA, qui peine à livrer depuis le début de l'année un pays du Golfe en raison des hésitations allemandes. Le président exécutif d'Airbus Group, Thomas Enders, qui a réussi à limiter l'influence des Etats français et allemand dans le groupe, a jugé que les restrictions à l'exportation pèseraient sur l'emploi en Allemagne. Et a estimé que cette politique pourrait freiner le développement secteur en Europe. "Alors qu'on parle sans cesse de davantage de coopération et de consolidation du secteur de la défense en Europe, on s'attaque à des décennies de coopération franco-allemande", a-t-il regretté.

 

Atlas Elektronik et ThyssenKrupp Marine Systems en vente

Airbus Group envisage de vendre sa participation de 49 % dans le spécialiste allemand des systèmes électroniques de sécurité et de défense maritime Atlas Elektronik dans le cadre de la réorganisation de ses activités. Faut-il rappeler qu'Airbus Group (alors EADS) et ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS) avaient racheté Atlas Elektronik à BAE Systems en 2005, l'emportant alors sur Thales... qui n'avait à l'époque aucune chance de gagner. Toute la classe politique allemande était alors vent debout contre le projet "Sancerre" (nom de code de l'opération chez Thales)... qui est pourtant un excellent vin de la vallée de la Loire.

A priori, Thales n'ira pas batailler pour acquérir les 49 % d'Atlas Elektronik cédés par Airbus Group, explique-t-on en interne à La Tribune. Pas cette fois-ci en tout cas surtout pour ne pas avoir la majorité. Pourtant une opération globale ferait sens. Si Thales mettait la main sur Atlas Elektronik, qui produit des sonars, des capteurs, des armes marines ainsi que des systèmes de commandement et de contrôle des armes, le groupe d'électronique pourrait devenir un des leaders mondiaux de ce marché avec un chiffre d'affaires d'environ 1 milliards d'euros.

Contrairement à Thales, TKMS a bien plus de chance de s'offrir cette participation, le constructeur des sous-marins détenant un droit de préemption sur une cession d'Airbus. TKMS, qui vient de boucler la cession de sa filiale suédoise TKMS AB (ex-Kockhums) reprise par Saab sur fonds de divergence avec l'Etat suédois, pourrait ensuite revendre 100 % d'Atlas Elektronik. Rheinmetall semble également intéressé par Atlas Elektronik, selon la presse allemande.

 

DCNS lorgne TKMS

Insatiable, Rheinmetall examinerait également un possible rachat des activités de construction de sous-marins (HDW) notamment de TKMS (1,3 milliard d'euros de chiffre d'affaires). Rheinmetall et ThyssenKrupp ont déjà conduit des "discussions exploratoires", selon le quotidien Handelsblatt. Le conglomérat de Düsseldorf a pourtant cédé ses derniers actifs maritimes il y a une dizaine d'années mais on lui prête l'ambition de vouloir constituer un nouveau géant national de l'armement. Outre Rheinmetall, ThyssenKrupp a contacté plusieurs acheteurs potentiels, dont le groupe naval français DCNS, selon Reuters.

DCNS, qui livre une compétition féroce face à TKMS, regarde effectivement avec beaucoup d'attention une éventuelle cession de la filiale navale du sidérurgiste. D'autant que son PDG Hervé Guillou (ex-Cassidian, ancienne filiale d'Airbus Group) connait bien l'Allemagne ainsi que le patron de TKMS, Hans Christoph Atzpodien, qu'il a côtoyé quand il était au conseil d'administration du groupe naval. C'est même lui qui a apporté la pépite française Sofrelog aux Allemands, qui ont créé Signalis, leader mondial des solutions de sécurité et de sûreté maritimes. Fera-t-il payer cette créance ? Les pressions politiques pour que le groupe naval reste allemand ne sont toutefois pas de nature à encourager les candidats. "DCNS ne fera une offre que dans la mesure où elle passe pour acceptable", a expliqué à Reuters une source française au fait de la situation. A suivre...

Depuis son arrivée aux manettes du fabricant des célèbres canons "Grosses Bertha", le patron du groupe sidérurgique ThyssenKrupp, Heinrich Hiesinger, a soumis l'entreprise à une cure drastique à coups de cessions et de remaniements. Une stratégie qui commence à porter ses fruits. Le conglomérat industriel allemand pourrait être rentable cette année pour la première fois depuis trois ans, après un bon troisième trimestre.

 

Beaucoup de projets, peu de réussite

A l'exception d'EADS, devenu depuis Airbus Group, qui est un cas à part - en fait un cadeau en 1999 de la France à l'Allemagne, qui pouvait difficilement refusé - et qui reste aujourd'hui encore une "success story", la plupart des projets franco-allemands ont échoué dans le domaine de l'armement en raison des nationalismes des deux côtés du Rhin. C'est le cas de Thales avec Atlas, de MBDA avec le missilier BGT (groupe Diehl), des projets jusqu'ici d'un EADS naval... Sans oublier, les veto de Berlin concernant l'acquisition de Thales par EADS en 2004 puis 2006.

Récemment l'échec des négociations sur la fusion de BAE Systems et EADS a également mis en exergue les différences entre l'Allemagne et la France sur leur stratégie pour leur industrie de défense. Des relations compliquées qui ont finalement permis un rapprochement franco-britannique dans le cadre des accords de Lancaster House.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 12:55
Le « Dunkerque » fête ses 50 ans

 

16/09/2014 Armée de l'air

 

Le 12 septembre 2014, la base aérienne 105 d’Évreux a célébré les 50 ans de l’escadron électronique aéroporté 1/54 « Dunkerque », les 25 ans du C160G  Transall Gabriel ainsi que les 100 ans de l’escadrille MF20 dont les traditions et l’insigne du « lion des Flandres » ont été repris par l’escadron.

 

La genèse

 

La cérémonie militaire s’est déroulée sous la présidence du général Hervé Bertrand, commandant la brigade aérienne d’appui et de projection (BAAP). « C’est au 1eravril 1953 que remontent les origines de l’actuelle 54e escadre quand l’escadron électronique 50.450 de Fribourg-en-Brisgau en République fédérale allemande se scinde en plusieurs unités , a expliqué le général lors de la lecture de l’ordre du jour.  Huit mois plus tard, le 1er janvier 1964, est mise sur pied, à Lahr, l’escadrille électronique 54 « Dunkerque », en hommage au tragique épisode de l’opération maritime « Dynamo » de retraite stratégique des troupes britanniques et françaises en juin 1940. » L’escadrille est alors chargée de la mise en œuvre des Nord 2501, la célèbre « grise » en version Noratlas Gabriel.

 

De la « Grise » au Transall

 

Le passage du relais entre la « Grise » et le Transall « fer de la lance du transport aérien français » est réalisé au sein de l’unité, à Metz, le 3 janvier 1989 avec l’arrivée du premier C160 Gabriel. « Ce nouveau vecteur permet depuis aux équipages de réaliser de nombreuses campagnes de recueil contribuant à l’autonomie d’appréciation de situation,  a précisé le chef de la BAAP. Et de conclure auprès du personnel du « Dunkerque » : Si les missions et les opérations se succèdent, parfois, à un rythme très soutenu et vous portent en toute discrétion sur les théâtres de crise, vous perpétuez l’excellence et l’engagement légués par vos anciens ».  

Le « Dunkerque » fête ses 50 ans
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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 12:45
Barkhane : opération tripartite au sud du Tigharghar

 

 

16/09/2014 Sources : EMA

 

Du 29 août au 8 septembre, la force Barkhane a mené au Mali une opération d’ampleur dans la région du Tigharghar. Cette opération a combiné de nombreux moyens aériens et terrestres. Elle avait pour objectifs de perturber la liberté d’action des groupes armés terroristes (GAT), de les désorganiser et de les affaiblir aux portes de leur zone de repli du Tigharghar.

 

Près de 400 militaires et 90 véhicules ont ainsi été déployés dans la région d’Aguelhoc, au sud du Tigharghar pour effectuer des missions de reconnaissance sous blindage, à pieds ou par opérations héliportées (OPH). Les troupes au sol étaient appuyées par des moyens de renseignement aérien et d’appui feu.

 

Pour cette opération effectuée en coordination avec plusieurs détachements de la MINUSMA, un poste de commandement (PC) tripartite a été mis en place sur l’emprise de la force de l’ONU de Tessalit afin de coordonner les opérations sur le terrain. En plus des détachements de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de la force Barkhaneet de la MINUSMA impliqués dans les opérations sur le terrain, un détachement de liaison des forces armées maliennes (FAMA) était associé à ce poste de commandement et apportait l’expertise de sa connaissance du terrain.

 

Le GTD Dio, renforcé pour cette opération de la section d’appui mortier (SAM) du fuseau Est de l’opération Barkhane, était composé d’un sous-groupement interarmes, d’un poste de commandement tactique (PCTAC), d’un détachement logistique (DETLOG), de la section environnement opérationnel, du DLAO 2 de Kidal et d’une composante du sous-groupement aéromobile (SGAM) stationné à Kidal et à Tessalit. Une quick reaction force (QRF) armée par le DLAO 1 était également pré-positionnée en alerte à Tessalit.

 

Au bilan, cette opération a permis de contester aux GAT la libre disposition d’une zone dans laquelle ils tentent régulièrement des actions de harcèlement. La force Barkhane a également pu mettre en pratique la coordination des fuseaux Est et Ouest, les éléments déployés étant renforcés par la SAM du fuseau Est.

 

Lancée le 1eraoût, l’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste d’une part à appuyer les forces armées des pays partenaires de la BSS dans leurs actions de lutte contre les groupes armés terroristes, et d’autre part, à contribuer à empêcher la reconstitution de sanctuaires terroristes dans la région.

Barkhane : opération tripartite au sud du TighargharBarkhane : opération tripartite au sud du Tigharghar
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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 12:30
L'EI abat un avion militaire syrien au-dessus de Raqa

 

16 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - Les jihadistes de l'Etat islamique ont abattu mardi un avion militaire syrien au dessus de Raqa, leur bastion en Syrie, selon une ONG.

 

Les combattants de l'EI ont tiré sur un avion militaire syrien qui s'est écrasé. Il s'agit du premier appareil abattu depuis le début des raids du régime contre eux en juillet et depuis l'instauration du califat fin juin, a indiqué à l'AFP l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

 

Selon son directeur Rami Abdel Rahmane, l'appareil s'est écrasé sur une maison de Raqa, causant des morts et des blessés.

 

Des comptes jihadistes sur Twitter ont félicité les lions de l'Etat islamique. Allah Akbar, Merci à Dieu, c'est confirmé qu'un avion militaire a été abattu au dessus de la ville de Raqa, écrit l'un d'eux. Un autre compte montre la photo de la carcasse calcinée qui est, selon l'EI, celle de l'avion.

 

Cette opération intervient au moment où les Etats-Unis ont annoncé qu'ils pourraient frapper des positions de jihadistes en Syrie dans le cadre de leur nouvelle stratégie visant à la destruction de l'Etat islamique en Irak et en Syrie.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 11:56
Prix Brienne du livre géopolitique 2014


10/09/2014 Ministère de la Défense

 

Mercredi 10 septembre 2014, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a remis le prix Brienne du livre géopolitique. 

 

Créé par le ministère de la Défense, et organisé par l'association Lire la Société, ce prix est décerné par un jury constitué de spécialistes, chercheurs, élus, journalistes et hauts responsables.

Il récompense une œuvre relevant du champ de la géopolitique et de la géostratégie afin de mettre en lumière cette méthode interdisciplinaire qui ne doit plus être réservée aux seuls spécialistes. Cette œuvre peut prendre différentes formes : récits, essais, biographies.

Pour sa deuxième édition, le Prix est attribué à Christophe Jaffrelot, pour son ouvrage
« Le syndrôme pakistanais » aux éditions Fayard 

Les membres du jury ont également attribué un prix spécial à Yves Lacoste pour l'ensemble de son œuvre.

 

Jury du Prix du Livre Géopolitique : 

Jean-Yves Le Drian (Président du jury), François Roussely (vice-président),  François Bazin (secrétaire général), Luce Perrot (secrétaire générale)

Patricia Adam, Philippe Barret, Jean Louis Carrère, Hélène Carrère d'Encausse, Frédéric Charillon, Frédéric Encel, Philippe Errera, Louis Gautier, Béatrice Giblin, Nicole Gnesotto, Bernard Guetta, Marc Guillaume, François Heisbourg, Jacques Lanxade, Jean-Dominique Merchet, Ousmane Ndiaye, François d'Orcival, Erik Orsenna, Bernard Thorette, Maurice Vaïsse, Hubert Védrine, Michel Wieviorka

 

Comité de lecture :

Pierre Bayle, Gaëtan Bruel, Cédric Lewandowski, Jean-Claude Mallet, Philippe Méchet, Antoine de Tarlé

 

Dossier de presse téléchargeable ici

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 11:55
Thales appoints Pierre Schaeffer as Chief Marketing Officer

 

September 16, 2014 Thales Group

 

Pierre Schaeffer has been appointed Senior Vice President, Chief Marketing Officer, for the Thales Group. An accomplished marketing professional with an international background, Schaeffer will be responsible for all Thales marketing operations, reporting to Pascale Sourisse, Thales Senior Executive Vice President.

 

As the Thales Group expands its international business, Pierre Schaeffer's responsibilities will include developing a product policy to meet the needs of fast-growing markets around the world.

 

Throughout his career, Pierre Schaeffer has designed and implemented successful strategies to capture new growth opportunities in a range of high-tech industries.

 

He began his career at Apple in 1989 and later served as regional director for Apple Europe's publishing, entertainment and new media business. In 1997, he joined Eastman Kodak, where he developed and led the marketing strategy for the consumer digital business for eight years. In 2009, Pierre Schaeffer was appointed Vice President, Marketing, for the Michelin Group, where he drove a global transformation in the tyre maker's marketing model to accelerate growth from emerging markets and services.

 

In 2011, Pierre Schaeffer founded Marketect LLC, an international management consulting practice based in the Washington DC area, helping companies successfully harness innovation, find market leverage and deliver growth.

 

Pierre Schaeffer graduated from the Ecole Supérieure de Physique et Chimie Industrielles de Paris (ESPCI) and received a post-graduate degree in Artificial Intelligence from Paris VII University. He followed Apple's Executive MBA programme at the INSEAD business school near Paris.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 11:50
crédits scotspolitics.com

crédits scotspolitics.com

 

15 septembre 2014 par Benoît Maraval - 45eNord.ca

 

Le 18 septembre, un peu plus de 4 millions de personnes auront l’occasion de se prononcer sur l’avenir de leur territoire par référendum. Ce mercredi, nous assisterons peut-être – toutes choses égales par ailleurs – à la deuxième sécession de l’année après la Crimée et, par voie de conséquence, à la naissance d’un nouvel Etat, l’Ecosse, bien que l’indépendance ne prendrait effet que 18 mois plus tard. Si la défense ne constitue pas le thème dominant de la campagne, il n’est pas inutile de brosser un rapide portrait de ce à quoi pourrait ressembler une défense nationale écossaise.

 

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