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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 08:55
Groupe aérien embarqué : la flottille 11F prend le relais de la 12F

 

12/09/2014 Marine nationale

 

Depuis la rentrée, les Rafale Marine et les Super-Étendard Modernisé s’entraînent tous les jours sur la base de l’aéronautique navale de Landivisiau (BAN) dans le cadre de leur maintien en  condition opérationnelle et de la qualification des jeunes pilotes. 

 

Il y a quelques jours, la flottille 11F (Rafale Marine) a pris l’alerte en relais de la 12F et est ainsi en mesure d’être déployée à tout moment sur le porte-avions. C’est également le cas de la 17F, flottille de Super-Etendard Moderniséet de la 4F, équipée de Hawkeye. 

 

Les avions de chasse de l’aéronautique navale représentent un outil majeur de projection de puissance. Le porte-avions Charles de Gaulle peut agir en tous points du globe sous faible préavis sur décision politique.

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 08:50
MULTISTATISME : Une évolution prometteuse en matière de lutte sous la mer

 

12/09/2014 Marine nationale

 

La Royal Navy et la Marine nationale, avec le soutien de la Délégation générale à l’armement et de Thalès Underwater systems, ont une nouvelle fois prouvé leur interopérabilité au début du mois de septembre lors d’essais de «coopération multistatique» conduits à la mer entre la FREMM Aquitaine et le HMS Richmond.

 

Les premiers résultats et les détections obtenues sur un SNA français sont encourageants. Le multistatisme consiste à exploiter les émissions sonar d’une seule unité à partir d’une ou plusieurs autres unités silencieuses (voir schéma).  Utilisé comme un moyen complémentaire pour chasser les sous-marins, il offrirait le double avantage tactique de permettre à une unité réceptrice de détecter, pister et engager un contact en toute discrétion et de perturber le sous-marin dans son élaboration du dispositif de surface en lui déniant de l’information acoustique.

 

Il est vraisemblable qu’il faille compter à l’avenir sur cette capacité prometteuse qui semble intéresser un nombre croissant de nations.

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14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 17:40
7ème édition du salon international « MILEX 2014 » - Article by SITTA



11/09/2014 SITTA
 

Une des principales attractions du salon Milex 2014 était la première présentation publique du système sol-air S-125 modernisé sur le stand de la société d’import-export et de services Belspetsvneshtechnika (BSVT). La société biélorusse Alevkurp, membre de la nouvelle « holding Radar Systems » assure la maitrise d’œuvre de cette modernisation identifiée S-125 Pechora 2BM. L’évolution concerne la mobilité et les performances du système avec une distance maximale d’interception qui passe de 27 km à 30 km.

En configuration opérationnelle, les quatre lanceurs et le radar de conduite de tir sont positionnés sur des plateaux de semi-remorques équipés de vérins de soutènement et de mise à niveau. Le poste de commandement et d’opération est intégré dans un shelter amovible porté par un camion MAZ. Les modernisations électroniques portent principalement sur la partie réception du poste antenne du radar de conduite de tir et sur le remplacement de l’ensemble des servomécanismes du système. On note également le remplacement de la partie optronique et l’adjonction de circuits spécialisés dédiés à la fonction antibrouillage. Les équipements du poste d’opération intègrent des écrans modernes à menus déroulants. Avec le Pechora 2BM de BSVT, la Biélorussie, qui propose déjà le Pechora 2TM de l’industriel Tetraedr et le Pechora 2M du groupe russo-biélorusse Defence System, se place comme un acteur majeur de la modernisation des S-125.

Système S-125 Pechora 2BM BSVT Biélorussie

Bien que de conception ancienne, le Strela-10 reste une référence parmi les systèmes sol-air de très courte portée équipés de missiles à guidage infrarouge. BSVTpropose d’en prolonger la durée de vie et d’améliorer ses performances grâce à sa modernisation Strela-10BM2. Cette réalisation, menée en partenariat avec l’usine biélorusse Gomel, porte principalement sur la partie électronique et sur la fonction détection, acquisition et poursuite de la cible.

Le télémètre radar est remplacé par un bloc optronique équipé d’une voie TV jour, d’une voie thermique et d’une télémétrie laser capable d’assurer la détection et la poursuite d’une cible en mode automatique. La capacité d’engager une cible de nuit est aussi fortement améliorée. La console du commandant de peloton est automatisée, les moyens radios sont de dernière génération et un groupe électrogène amovible est installé à l’arrière du véhicule. L’emploi des missiles 9M37 ou 9M333 d’origine ne permet pas d’accroître la distance maximale d’interception du système de base mais leur remplacement est à l’étude. Il permettrait d’utiliser la pleine capacité du nouveau système optronique.

Système Strela-10BM2 BSVT Biélorussie

BSVT exposait également sa dernière évolution du radar d’altimétrie russe PRV-13, équipement déjà ancien. Cette modernisation porte la dénomination de PRV-13BM. Elle conserve l’architecture à trois cabines montées sur trains roulants pour le radar, le poste opérateur et la génération électrique.

L’antenne, fiable et performante, est conservée mais la partie émission-réception est entièrement revue. Les éléments d’ancienne génération sont remplacés par des modules à état solide et le traitement est numérisé. Un dispositif de gestion des brouilleurs est intégré. Les équipements d’origine de la cabine opérateur sont remplacés par une console moderne. Le gain de place permet l’aménagement d’un compartiment repos susceptible d’être utilisé pour l’installation d’un second poste opérateur selon l’option du client. La cabine de génération électrique abrite deux nouveaux groupes électrogènes à moteur diésel Deutz. Cette remise à niveau majeure du radar PRV-13apporte un gain conséquent en termes de distance de détection. Elle limite le temps et le nombre des opérations de maintenance et fournit un confort d’utilisation qui égale celui des radars modernes. Les très nombreux utilisateurs de la version d’origine souhaitant moderniser leur parc radar à moindre coût seront certainement séduits par le PRV-13BM.

Radar PRV-13BM BSVT Biélorussie

Toujours dans le domaine de la modernisation des équipements radars russes d’ancienne génération, la société Tetraedr présentait son ultime évolution du P-18 sous la dénomination de TRS-2D. Initiée en 2007 et présentée une première fois au salon Maks 2011, la modernisation TRS-2D a atteint son stade final de développement.

La particularité de cette ultime évolution consiste en l’adjonction d’un système automatisé de déploiement/repliement de l’antenne dont le principal intérêt est de réduire considérablement le temps de changement de position. Le passage de la position route à la position opérationnelle est désormais effectif en 20 mn contre plus d’une heure sur les versions classiques.

Radar TRS-2D Tetraedr Biélorussie

La jeune société KB Radar, membre de la Holding  Radar Systems, est un acteur majeur dans le développement des systèmes de détection et de brouillage biélorusse. Elle présentait en extérieur son équipement emblématique, le radar 2D Vostok-E. Son stand intérieur a permis d’apprécier l’ensemble de sa production et les développements en cours. L’évolution de la famille Vostok était particulièrement mise en avant avec quatre nouvelles variantes.

La première est une évolution directe du radar en bande VHF 2D Vostok-E avec l’adjonction, au dos, d’une antenne supplémentaire qui permet d’obtenir l’altitude de la cible. La version est identifiée Vostok-3D.  La seconde variante est également une évolution du radar 2D de base vers la fonction 3D. Contrairement au Vostok-3D, la mesure de l’altitude de la cible n’est pas obtenue par l’ajout d’une antenne supplémentaire mais par la modification de l’antenne principale. Cette version est identifiée Vostok-3D VHF 360/600. Les deux dernières variantes sont des nouveaux équipements, un radar d’altimétrie équipé d’une antenne cylindrique pour le Vostok-Vet un radar 3D en bande S pour le Vostok-3S.

Avec ces évolutions, KB Radar propose maintenant un ensemble d’équipements radars susceptible de couvrir les différents besoins des clients en matière de surveillance. Il se pose comme un concurrent direct de la société russe NNIIRT.

Stand de la société KB Radar Biélorussie

L’usine de réparation biélorusse 2566 de Borisov présentait une modernisation des systèmes OSA-AK/AKM. Le véhicule de combat au standard 9A33BM2/BM3 est porté au standard 9A33-1B. Les évolutions concernent l’électronique et le système optronique.

Les circuits de réception des radars de veille et de conduite de tir bénéficient de l’avancée technologique dans le domaine des hautes fréquences ce qui permet d’accroître leur portée. La détection d’une cible est ainsi possible à 60 km contre 45 km sur la version standard. Un nouveau bloc optronique permet la détection et la poursuite automatique de la cible. L’ensemble des écrans de contrôle est remplacé par des équipements modernes et un poste spécifique dédié au commandant de peloton est intégré au véhicule. La modification des ordres de guidage du missile permet une distance d’interception de la cible à 12 km contre 10 km pour le système OSA-AKM. De nouvelles évolutions sont à l’étude pour le remplacement du missile et du radar de veille.

Bien que concurrente du OSA-1T modernisé par Tetraedr, la réalisation de l’usine2566 devrait trouver une place sur le marché de la revalorisation des très nombreux systèmes OSA en service.

Système OSA-AKM modernisé Usine 2566 Biélorussie

Dans le domaine de la guerre électronique, les sociétés KB Radar et Minotor Serviceprésentaient un nouveau brouilleur de communication, le KIWI.

L’équipement électronique fourni par KB Radar est intégré sur un châssis Mosquitoconstruit par Minotor Service. Le système est équipé d’une fonction recherche et détection sur une plage de fréquence de 30 à 3 000 MHz et d’une fonction brouillage de 30 à 512 MHz. Dans le cas d’une émission en saut de fréquence, la détection du signal est possible jusqu’à 1 000 sauts/seconde et le brouillage jusqu’à 300 sauts/seconde. En mode fréquence fixe le KIWIpeut brouiller simultanément 12 systèmes. La puissance de brouillage est de 3 KW répartie en 3 sous-gammes de fréquence de 1 KW chacune.

Système de guerre électronique KIWI KB Radar/Minotor Service Biélorussie

La société Agat Control Systems intégrée à la holding biélorusse Geoinformation Control Systems présentait sa station relais de transmission numérique mobile R-434 récemment mise en service dans les forces armées biélorusses.

La station est composée de trois ensembles. Un véhicule antenne R-434MT, sur un porteur MZKT 65273-040 muni d’un mât de 38 m confectionné par la société biélorusse Volatavto, est équipé de l’ensemble des antennes de communication. Un véhicule R-434A, sur un porteur MZKT 65273-11, comprend le shelter dédié aux postes opérateurs et aux équipements de transmission. Une remorque MAZ 892600-17 transporte l’ensemble des câbles de la station.

La station assure la liaison radio vers trois clients grâce à des commutateurs R-424. Chaque liaison dispose de 16 canaux.

Relais radio R-434 AGAT Biélorussie

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14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 11:20
Star-studded arrival for HMS Argyll in Baltimore


12 sept. 2014 Royal Navy
 

As Argyll entered the harbour sailing under Key Bridge there was an impressive 21 gun salute between the ship and Fort McHenry, honouring the work of Francis Scott Key who witnessed the bombardment of Fort McHenry by the Royal Navy in 1814.

Those events in 1814 have prompted the Star Spangled Spectacular – seven days of firework displays, concerts, air shows, tall ships and three dozen warships from the host nation plus its many friends and allies around the world with HMS Argyll representing the UK. #starspangled200

As well as the gun salute, the frigate was serenaded alongside by the 1st Battalion Scots Guards Pipes and Drums – the oldest infantry battalion in the British Army – to the sound of cheers from crowd that had gathered to welcome the ship to their city.

Read more: http://www.royalnavy.mod.uk/news-and-...

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13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 17:45
La France a coopéré avec Washington dans l'élimination du chef des chebab somaliens
 

 

 

François Hollande a coopéré avec les États-Unis dans l'élimination lundi du chef des chebab somaliens, annonce l'entrourage du chef de l'État.

Selon une information du Point vendredi, le président français aurait ordonné l'envoi d'informations de la DGSE au Pentagone permettant de tuer ce chef terroriste. L'entourage de Hollande assure que Hollande a appuyé "la coopération en matière de renseignement et de coordination". "Cela n'a pas été une opération française sur le terrain, nous n'étions pas dans l'intervention", a précisé l'entourage de François Hollande.

Ahmed Abdi "Godane" a été tué lundi 1er septembre lors d'une frappe aérienne américaine dans le sud de Mogadiscio. "Godane" était à l'origine de l'enlèvement, le 14 juillet 2009, de deux agents de la DGSE, rappelle Le Point. "Le premier, connu sous le pseudonyme de Marc Aubrière, était parvenu à s'évader, mais le second, Denis Allex, avait été détenu dans des conditions barbares", souligne l'hebdomadaire. Une opération militaire française conduite le 11 janvier 2013 pour tenter de le libérer avait échoué. L'otage et deux membres du commando avaient été tués, ainsi qu'au moins 17 chebab.

Dans un communiqué, la Maison-Blanche avait relevé lundi que cette opération visant à l'élimination de "Godane" constituait "l'aboutissement d'années de labeur des services de renseignement, de l'armée et des forces de maintien de l'ordre". Aucun soldat américain au sol n'a été impliqué dans l'opération.

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13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 11:55
Les écoles militaires d'application : une étape cruciale

 

12 sept. 2014 Ministère de la Défense

 

Pour ce numéro « Les écoles militaires d'application : une étape cruciale», le Journal de la Défense (#Jdef) a suivi cet été de jeunes élèves officiers de l'armée de l'air et de l'armée de terre dans leurs dernières étapes de formations avant leur première affectation en unité.

Au programme de ce numéro 95 de septembre 2014 :

-Au sein de l'école d’aviation de transport sur la base aérienne d'Avord, le lieutenant Benoit Poncet, 24 ans, a des rêves plein la tête. C'est la dernière ligne droite pour ce futur pilote de l'armée de l'air.

-Sur les camps de manœuvre de la Champagne, les jeunes lieutenants de l'armée de terre entament leur dernière année de étape de formation militaire. Ils vont tester leurs aptitudes opérationnelles.

Retrouvez l'intégralité du magazine TV «Journal de la Défense, mission défense» :
-sur la chaîne LCP-An, lundi 15 septembre à 16h15
-sur le site internet du ministère de la défense, jeudi 18 septembre

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 16:55
Gruau mise sur les drones

 

12 septembre, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Le salon des drones de Bordeaux-Mérignac (UAV Show) a donné l’occasion à Gruau de présenter un premier véhicule spécifiquement aménagé pour la mise en œuvre des drones légers. Sur une base de Citroën Berlingo, le véhicule emporte des armoires de rangement, un plateau pour l’emport du drone, une source d’énergie autonome (groupe électrogène et batterie) et une tablette permettant d’utiliser un PC portable. Gruau, qui est le spécialiste de la carrosserie sur véhicule utilitaire, n’en est pas à son coup d’essai puisque l’a société a déjà fourni cinq fourgons aménagés au groupe Intra, spécialiste des interventions robotiques sur accident. Mais il ne s’agissait encore que d’emporter des drones terrestres. La différence est à vrai dire assez mince, Gruau proposant des aménagements sur mesure à ses prospects. Qu’il s’agisse de drone à roulettes ou drone volant, les besoins restent similaires en matière de fourniture d’énergie, de rangement d’outillages et de station de pilotage. Avec cet aménagement, le carrossier mise sur le développement de l’usage des drones dans un très large éventail de missions, depuis la surveillance jusqu’à l’agriculture, en passant par l’industrie, l’énergie ou encore l’environnement.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 14:55
Première prise de commandement de la FREMM « Provence »

 

12/09/2014 Marine nationale

 

Jeudi 11 septembre 2014 est une date importante pour la frégate multimission (FREMM) «Provence». En effet, celle-ci a été marquée par les cérémonies de première levée des couleurs, de remise du fanion et de première prise de commandement. Cette date de création d’unité sera gravée sur la cloche du navire.

 

À cette occasion, le contre-amiral Frédéric Damlaimcourt, adjoint organique à Brest de l’amiral commandant la force d’action navale (ALFAN), a fait reconnaître le capitaine de vaisseau Guillaume Arnoux comme commandant du premier équipage de la Provence.

 

La cérémonie s’est tenue sur le pont d’envol en présence de l’équipage de conduite, du directeur de site DCNS à Lorient, M. Martinot-Lagarde, du président de la Commission Permanente des Programmes et des Essais (CPPE), le vice-amiral Eric Dupont et de quelques ouvriers et cadres de DCNS qui ont participé à la construction du navire.

 

Commander une frégate de premier rang telle que la Provence, bâtiment encore à l’armement, constitue non seulement un défi mais également un enjeu de taille. En effet, appelées à remplacer les frégates F67 (type Tourville) et F70 (type Georges Leygues), les FREMM constitueront la colonne vertébrale de la marine de demain. A titre personnel, cela représente également pour un officier de marine, le point d’orgue d’une belle et riche carrière. Le CV Arnoux a préalablement commandé le patrouilleur La Glorieuse et la frégate de surveillance  Floréalet fut, il y a peu, commandant du Reach-Back SPE-FREMM à Brest, structure ayant pour principales missions de préparer, renforcer et suppléer les équipages optimisés de ce nouveau type de frégate.

 

Quasi achevée, la Provence prendra pour la première fois la mer à la fin du mois de septembre. Le premier équipage attend d’ailleurs ce moment avec une grande impatience. Les essais de la frégate se poursuivront ensuite jusqu’au printemps 2015, date prévue de livraison à la Marine nationale.

Première prise de commandement de la FREMM « Provence »
Première prise de commandement de la FREMM « Provence »Première prise de commandement de la FREMM « Provence »
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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 14:55
Les opérateurs de la société Delair-Tech lors de la démonstration du DT-26 sur le camp de Souge.

Les opérateurs de la société Delair-Tech lors de la démonstration du DT-26 sur le camp de Souge.

 

12/09/2014 Paul Hessenbruch  -  DICOD Economie et technologie

 

La 3e édition de l’UAV Show s’est déroulée du 9 au 11 septembre 2014 sur la base aérienne 106 de Bordeaux - Mérignac. Le ministère de la Défense, représenté par la Direction générale de l’armement (DGA),  y présentait des projets innovants.

 

Lors de la 3e édition du salon du drone, l’UAV Show, qui s’est tenu à Bordeaux – Mérignac du 9 au 11 septembre, la Direction générale de l’armement (DGA) a présenté le drone DT-26 de la société Delair-Tech.  Conçu dans le cadre du dispositif RAPID (régime d'appui pour l'innovation duale) destiné aux PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire), ce drone de 8Kg est capable d’effectuer des missions de reconnaissance et détecter automatiquement des anomalies comme la présence de personnes et de véhicules, des fuites d’huile ou de gaz, etc.

 

« Ce qui a séduit la DGA pour participer au financement de notre drone, c’est la dualité des missions qu’il sera capable d’effectuer à terme. On peut en effet imaginer qu’il soit utilisé dans le civil  mais aussi qu’il puisse avoir des applications militaires », explique Marion Baroux, la responsable commerciale de la société.

 

Lors du salon, la société a ainsi pu effectuer des vols de démonstrations sur le camp de Souge, pour montrer au public présent la mise en œuvre et les capacités du drone.

 

Durant les deux jours du salon, des conférences, ateliers, rendez-vous d’affaires et démonstrations dynamiques ont permis aux professionnels du marché d’échanger sur le développement des applications dans des domaines aussi variés que le bâtiment, l’agriculture, la sureté, la sécurité et la prise de vue.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 14:50
EDA provides cyber defence support to operation EUFOR RCA


12.09.2014 European Defence Agency
 

The European Defence Agency (EDA) has supported operation EUFOR RCA by organising three seminars on Cyber Awareness in the Headquarters facilities of Larissa, Greece. This is the first time EDA has provided this type of support to an EU mission.

 

In July and September 2014, the EDA provided Cyber Awareness training to a total of 150 EUFOR RCA staff from the Operations headquarters in Larissa, Greece. The seminars were designed to raise the situational awareness, in terms of Cyber operations, of each staff member of the Operation Headquarters as well as to inform about the development and establishment of EU capabilities. The seminars also provided the opportunity to exchange views on the next steps to be taken to enhance the Cyber Defence capabilities of operation EUFOR RCA and other EU-led military operations.

Speaking about the cooperation Brigadier General Christos Drivas, EUFOR RCA Chief of Staff added,  “Cyber Defence is high on our agenda. The decision to use the expertise from EDA is, of course, based on EDA’s technical knowledge in this field. Another advantage will be to benefit from the lessons learned in conducting such a training for other EU operations in the future.”

The seminars were conducted with support from the EU Military Staff and Tallinn Cooperative Cyber Defence Centre of Excellence. Observers from the Greek General staff(as representatives for the OHQ parent nation) and from the Italian EU OHQ core staff also participated.

 

The fifth domain of warfare

Cyberspace today is often described as the fifth domain of warfare equally critical to military operations as land, sea, air, and space. Success of military operations in the physical domains is increasingly dependent on the availability of, and access to, cyberspace. The armed forces are reliant on cyberspace both as a user and as a domain to achieve defence and security missions.

Cyber defence is one of the ten priorities in the EDA capability development plan (CDP). Given that threats are multifaceted, a comprehensive approach is taken, seeking to enhance synergies between the civilian and military domains in protecting critical cyber assets. At the EU Summit of December 2013, Heads of State and Government endorsed the Agency’s cyber defence roadmap for strengthening - in close coordination with Member States, EEAS, and the European Commission – European cyber defence capabilities. Its main elements are training, improving cyber situational awareness, improving civil/military cooperation, the protection of EU assets during missions, and operations and technological aspects.

 

EUFOR RCA

The Council established on 10 February 2014 an EU military operation to contribute to a secure environment in the Central African Republic, as authorized by the UN Security Council in resolution 2134 (2014). EUFOR RCA is to provide support in achieving a safe and secure environment in the Bangui area, with a view to handing over to the UN incoming operation. The force will thereby contribute to international efforts to protect the populations most at risk, creating the conditions for providing humanitarian aid.

 

More Information

EDA support for EUFOR Althea

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 13:45
Serval : Le CPA 20 reçoit une citation

 

12/09/2014 Armée de l'air

 

Le 2 septembre 2014, le général Serge Soulet, commandant les forces aériennes et le soutien des forces aériennes a remis une citation, signée de Monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, au commando parachutiste n°20 (CPA 20). Cette citation comporte la Croix de la valeur militaire avec étoile de Vermeil.

 

Cette récompense a été remise lors de la prise de commandement par le colonel Pierre Réal de la base aérienne 102 de Dijon, base d'appartenance du CPA 20. C’est la troisième citation reçue par l'unité. Après l’Afghanistan, celle-ci revient sur l’engagement des commandos au Mali en 2013, lors de l’opération Serval, où cette unité d’élite s’est particulièrement distinguée. En appui des sous-groupements tactiques interarmes, le CPA 20 a « largement contribué à la libération de la ville de Tombouctou » (extrait de la citation). Les commandos se sont également illustrés à proximité de l’aéroport de Tombouctou, dans la ville de Gao, dans les montagnes du Nord-Est ou encore dans la vallée de Tahort lors de missions d’appui aérien rapproché (Close Air Support - CAS).

 

Signe des qualités opérationnelles du CPA 20, cette unité verra l’un de ses membres se faire  remettre une citation avec Croix de la valeur militaire, au 2e régiment étranger de parachutistes à Calvi,  en clôture de l’exercice « Orage d’Acier » organisé en Corse du 13 au 29 septembre 2014.

Serval : Le CPA 20 reçoit une citation
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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 13:45
Barkhane : point de situation du 11 septembre

4 septembre 2014 à 14h35, dans la zone de jardins située à l’Est d’Aguelhok dans le Nord-Mali, des militaires de la force Barkhane franchissent un cours d’eau afin de mener une opération de reconnaissance dans le village de Tirjit. Partis de Gao, les soldats de Barkhane sont dans le Nord-Mali pour entraver l’action des groupes terroristes et leurs flux logistiques dans la région du Tigharghar - Crédits : EMA / armée de terre

 

12/09/2014 Sources : EMA

 

Point de situation sur les opérations de la force Barkhane, engagée dans la bande sahélo-saharienne (BSS), du 4 au 11 septembre 2014

 

La force Barkhane compte 3 000 hommes. La MINUSMA (ONU) compte plus de 8 000 hommes.

 

La situation est restée globalement calme cette semaine dans la zone d’action de la force, dans un contexte marqué par la deuxième séquence des pourparlers. Du 3 au 5 septembre, les trois Mirage 2000 du détachement chasse (DETCHASSE) de Niamey ont été relevés. Les trois avions rentrant comme sortant viennent de la base aérienne 133 de Nancy.

 

Au Mali, du 29 août au 9 septembre, la force Barkhane a mobilisé près de 400 militaires aux côtés des forces armées maliennes (FAMA) et de la MINUSMA, dans une opération effectuée dans le nord du Mali, dans la région d’Aguelhok au sud du massif du Tigharghar. Appuyés par des moyens de renseignement aériens, ils ont mené des actions visant à désorganiser et affaiblir les groupes armés terroristes (GAT).

 

Au bilan cette opération a permis de contester aux GAT la libre disposition d’une zone dans laquelle ils tentent régulièrement des actions de harcèlement. La force Barkhane a également pu mettre en pratique la coordination des fuseaux Est et Ouest. Le groupement tactique désert (GTD) Ouest a en effet été renforcé pour l’opération par la section d’appui mortier du fuseau Est.

Barkhane : point de situation du 11 septembreBarkhane : point de situation du 11 septembre
Barkhane : point de situation du 11 septembre
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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 13:45
Sangaris: point de situation du 11 septembre

 

12/09/2014 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, du 4 au 11 septembre 2014

 

Les effectifs de la force Sangaris sont de l’ordre de 2 000 soldats. Les forces françaises sont présentes principalement dans trois zones :

    à Bangui et Boda avec le GTIA Acier,

    à l’ouest, de Bouar à Bossangoa avec le GTIA de Boissieu,

    et à l’est, dans un triangle Sibut-Dekoa-Bambari, avec le GTIA Magenta.

 

Les effectifs de la MISCA sont de 6 000 hommes.

 

Dans l’Ouest, la situation est prise en compte de façon autonome par la MISCA. Elle sera prochainement relevée par la MINUSCA, force qui sera officiellement créée le 15 septembre prochain.

 

Dans l’Est, des efforts ont été engagés sur le triangle Sibut – Dekoa – Bambari. Sur le plan politique, les luttes de pouvoir entre les factions ex-Séléka à Bambari cristallisent les tensions, mais elles n’ont pour l’instant pas d’impact sécuritaire.

 

A Bangui, le processus de relocalisation des ex-Séléka se poursuit : l’organisation internationale de migration (OIM) a organisé un déplacement au profit des anciens combattants ex-Seleka qui souhaitaient rejoindre leur région d’origine dans le centre du pays. Un convoi escorté par la MISCA a ainsi permis le déplacement de 226 ex-Séléka le 10 septembre. La force Sangaris a fourni un appui renseignement grâce à ses moyens aéromobiles.

 

A Boda, la situation se stabilise. Malgré quelques tensions persistantes, l’administration de la ville se réinstalle progressivement.

 

Focus sur la MINUSCA

 

Le 15 septembre, la MISCA (UA) devrait être relevée par la Mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies en République centrafricaine (MINUSCA). Une fois cette dernière mise en place, elle prendra en compte progressivement la sécurisation du pays, en débutant par la zone Ouest. La force Sangaris réarticulera donc son dispositif afin de concentrer ses efforts sur le centre et l’Est du pays.

 

Les compagnies de combat de la force Sangaris qui étaient dans l’Ouest seront ainsi prochainement désengagées au profit d’une densification des appuis de la force, afin de répondre à l’évolution de sa mission. Certains de ces éléments, qui provenaient du Tchad, y rentreront, tandis que les éléments qui venaient de France rentreront en France.

 

La relève de la MISCA par la MINUSCA est aujourd’hui rendue possible grâce aux avancées sécuritaires obtenues par l’action de Sangaris depuis le mois de décembre 2013. Pour permettre sa montée en puissance, Sangaris va apporter un appui logistique et matériel à la MINUSCA :

    mise à disposition d’un parc de 42 véhicules légers (VHL), constitué de véhicules de l’avant blindé (VAB) et de véhicules de transport de troupes (GBC 180 et TRM 2000)

    soutien logistique lors de l’arrivée à Bangui des contingents et matériels de l’ONU sur la plateforme aéroportuaire de M’Poko.

Sangaris: point de situation du 11 septembre
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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 11:55
Pilatus PC6 credits-sirpa-terre

Pilatus PC6 credits-sirpa-terre

 

11 septembre, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Dans la foulée de l’université d’été de la défense, la base aérienne 106 a également accueilli le salon du drone et celui de la maintenance aéronautique. En bordeluche, le premier se dit UAV show et le second Air Defense Support Show.

 

L’ADS Show a été l’occasion pour la SIMMAD, qui jouait à domicile, de rappeler son action dans la promotion des PME-PMI françaises pour les activités de maintenance. Rappelons que la SIMMAD tient un rôle central dans le MCO (maintien en condition opérationnelle) des aéronefs de sept acteurs étatiques français : armée de l’Air, Marine, armée de Terre, Gendarmerie, douanes, Sécurité civile et DGA. Soit un total de 1288 appareils : 703 avions, 581 hélicoptères et… 4 drones.

 

Chaque année, la SIMMAD passe environ 2,2 Mds € de contrat vers les industriels étatique et l’industrie privée. Et dans ce dernier cas, la plus grande attention est désormais portée aux PME-PMI.

 

« Nous essayons de « déglobaliser » nos contrats pour les rendre accessibles aux PME-PMI qui ne peuvent pas gérer des volumes d’affaires trop importants » expliquait-on sur le stand de la SIMMAD. « Nous nous posons maintenant systématiquement la question de savoir si tel ou tel contrat leur est accessible, le cas échéant en détachant les prestations en différents lots ». L’an dernier, la SIMMAD a passé 150 petits marchés « adaptés » dont 75% sont allés à des PME. L’organisme dispose aujourd’hui d’un fichier de 200 entreprises de taille réduite dans lequel elle sait piocher pour une mise en concurrence, mais sans lancement d’appel d’offre, pour les montants inférieurs à 15.000 euros.

 

Sur une quarantaine de procédures à venir fin 2014/début 2015 pour l’attribution de contrats de maintenance,  la SIMMAD explique ainsi en avoir une dizaine directement accessible aux PME – PMI. Il s’agit la plupart du temps d’intervenir sur des matériels assez proche du monde civil, tels que les Pilatus PC6 de l’Alat, les Ecureuil de la Gendarmerie ou les Fennec de l’armée de l’Air.

 

Travailler avec les PME complique parfois le travail logistique, par exemple lorsqu’il s’agit de confier des outillages ou des équipements aux sociétés prestataires. Conséquence du pacte « Défense PME », des efforts sont également consentis en matière de délais de paiement ou d’avances forfaitaires. Bien évidemment, l’impact d’une telle politique est essentiel sur le tissu industriel local. « Mais, précise-t-on encore au niveau de la SIMMAD, on reste parfois sur notre faim : les PME n’ont pas toujours le réflexe de s’intéresser aux publications du bulletin officiel des marchés publics… »

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 11:45
Guinée Conakry : un centre pour lutter contre l’insécurité maritime

 

11-09-2014  Par RFI

 

En Guinée Conakry, le Centre interrégional de coordination et de sécurité contre la piraterie maritime dans le Golfe de Guinée a été inauguré jeudi 11 septembre à Yaoundé. Cette zone est de plus en plus touchée par les actes de piraterie. En 2010, on en dénombrait 56. Trois ans après, en 2013, le nombre de cas était de 130, plus du double, selon le bureau maritime international. Ce centre doit élaborer une stratégie de lutte contre l'insécurité maritime. Il s'agit d'une réflexion initiée par les pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), de la Communauté Economique des Etats d'Afrique Centrale (CEEAC) et de la Commission du golfe de Guinée (CGG). Invité d’Afrique Soir, Bertrand Monnet, Directeur de la chaire Management des risques criminels de l'EDHEC (Ecole des Hautes Etudes Commerciales), a répondu aux questions de Clémentine Méténier.

 

Ecouter l’émission

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 11:40
Moscou songe à créer un système de frappe planétaire rapide

 

MOSCOU, 10 septembre - RIA Novosti

 

La Russie pourrait à terme être contrainte de se doter d'un système de frappe planétaire rapide, a déclaré mercredi à Moscou le vice-ministre russe de la Défense Iouri Borissov.

 

"La Russie pourra et sera obligée de le faire, mais nous créerons des systèmes de défense contre ces nouvelles armes, parce que la doctrine principale de notre pays est défensive et nous n'allons pas la modifier", a indiqué M.Borissov au terme d'une réunion consacrée au programme d'armement russe pour 2016-2025.

 

Selon M.Borissov, les décisions des dirigeants russes ne visent pas à entraîner une course aux armements ou à augmenter le budget militaire russe. "Cela ne fait pas partie de nos projets et j'espère que cela n'arrivera jamais", a-t-il ajouté.

 

"Nous ne souhaitons pas faire gonfler le budget, mais garantir la sécurité de l'Etat et protéger la population contre d'éventuelles attaques", a noté le vice-ministre de la Défense.

 

Les Etats-Unis ont lancé un programme de création d'un système de frappe planétaire conventionnelle rapide (Conventional Prompt Global Strike, CPGS) en 2001, sous la présidence de George Bush. Ce programme n'a pas été remis en cause par l'administration de Barack Obama.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 11:35
Armement : MBDA pourrait perdre très gros en Inde

Le programme SRSAM développé en partie par le missilier MBDA pourrait être annulé en Inde (Crédits : MBDA)

 

12/09/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Un contrat de 1,8 milliard d'euros en Inde pourrait échapper au missilier européen et à son partenaire Thales. Faute de financement, New Delhi pourrait annuler le programme SRSAM, un missile sol-air. En revanche, MBDA revient en cour en Turquie.

 

 

Ce serait une grosse tuile pour MBDA et son partenaire Thales en Inde. Selon plusieurs sources concordantes industrielles et étatiques, le nouveau gouvernement indien pourrait annuler le programme SRSAM (Short Range Surface to Air Missile) faute de trouver un financement. Ce missile sol-air de nouvelle génération devait être co-développé avec la DRDO (Defence Research and Development Organisation) et coproduit en Inde avec Bharat Dynamics Limited. Le missilier européen était associé ainsi que son fournisseur, Thales, à ce programme.

"Nous sommes inquiets pour ce projet", explique-t-on aujourd'hui à Paris à La Tribune. Quant aux industriels, ils confirment à demi-mot qu'il règne une certaine confusion en Inde sur ce dossier. D'autant que les Israéliens tentent le tout pour le tout pour faire annuler ce contrat dans ce pays qui reste un de leur meilleur client export.

Pour autant, les autorités françaises poursuivent leurs actions en Inde. "Tant que le programme n'est pas annulé officiellement, nous nous battrons", indique-t-on à Paris. Deux réunions de haut niveau ont ainsi eu lieu lors des deux dernières semaines, selon nos informations. En parallèle, MBDA poursuit également ses actions auprès de la DRDO notamment. Le missilier rappelle que le besoin opérationnel reste évident et les autorités ont conscience des atouts majeurs que représente son offre, qui donne la part belle à l'industrie locale avec un transfert de technologies important.

Vers une annulation ?

Le projet est estimé à 4,5 milliards d'euros (6 milliards de dollars), dont 1,8 milliard d'euros devait revenir à MBDA, qui attend depuis des années ce très beau contrat. En tant que sous-traitant, Thales aurait gonflé son carnet de commandes d'environ 400 millions d'euros. Les deux groupes négocient ce contrat depuis près de dix ans. Depuis décembre 2011, les négociations sont même terminées. En février 2013 à l'issue de la visite de François Hollande, un communiqué de l'ancien Premier ministre indien, Dr Manmohan Singh's avait par ailleurs annoncé avoir conclu avec les industriels les négociations sur le missile SRSAM.

Pour quelles raisons l'Inde pourrait-elle annuler le SRSAM ? Initialement conçu par l'armée de Terre, de l'air et la Marine, ce système ne devait in fine équiper que la seule marine. L'armée de terre et de l'air ont quitté le programme et se sont dirigés vers d'autres programmes... et des budgets concurrents. Notamment le missile Akash développé par la DRDO pour le compte de l'armée de terre et de l'air. Un programme qui a été testé dix fois  par les deux armées depuis le début de l'année. "Les tests ont été conduits dans des configurations d'engagement et de cibles différentes", avait expliqué début août le ministère de la Défense indien.

Retour en grâce en Turquie

La Turquie, qui a fin août prolongé les négociations jusqu'à la fin 2014, mène des discussions avec la France pour l'achat d'un système antimissile (programme T-Loramids) après les difficultés rencontrées dans les négociations avec une société chinoise placée sur liste noire par les États-Unis, a annoncé le président turc cité par la presse dimanche. "Certains désaccords sont survenus avec la Chine sur la question de la fabrication conjointe et du savoir-faire pour le système antimissile", avait déclaré le président Recep Tayyip Erdogan en marge du sommet de l'Otan aux Pays de Galle, selon la télévision privée NTV.

"Malgré cela, les discussions se poursuivent, mais la France, deuxième sur la liste (ndlr: des fournisseurs éventuels) nous a fait une nouvelle offre" et "actuellement nous menons des discussions avec la France", a précisé le chef de l'Etat. Plus précisément avec le GI Eurosam composé de MBDA et Thales. Les deux industriels tricolores, qui étaient arrivés devant le Patriot américain, proposent le système SAMP/T, armé de missiles Aster 30 (MBDA) et équipé des radars Arabel et/ou GM400 (Thales). Pour ce contrat, "la production conjointe est importante pour nous", a expliqué le président turc.

Ankara discutait exclusivement avec Pékin

En septembre 2013, la Turquie avait retenu la compagnie chinoise China Precision Machinery Export-Import Corporation (CPMIEC) pour la livraison de missiles sol-air de longue portée, provoquant la préoccupation de Washington. CPMIEC, qui fabrique le système antimissile HQ-9, est la cible de sanctions américaines pour avoir vendu des armes et de la technologie liée aux missiles à l'Iran et à la Syrie. L'initiative turque avait également irrité les alliés d'Ankara au sein de l'Otan, pour qui les systèmes d'armes des membres de l'Alliance doivent être compatibles entre eux.

CPMIEC avait été retenue au détriment des américains Raytheon et Lockheed Martin, du russe Rosoboronexport et du consortium franco-italien Eurosam (MBDA et Thales) pour ce contrat estimé entre 3 et 4 milliards d'euros. Ankara aurait dû normalement confirmer sa décision à l'été 2014.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 11:20
Agile And Deadly: Vision For The Future US Army Combat Vehicle

The GXV should be able to reach 95 percent of all terrain, according to goals set by the program.

 

Sep. 10, 2014 - By KEVIN LILLEY – Defense News

 

A new research program aims to get the next-generation ground combat vehicle off the drawing board.

And if the drawings of it by an Army civilian are any indication, future soldiers could be riding in a lightweight, agile, easy-to-deploy platform ripped straight from the pages of a graphic novel.

The Defense Advanced Research Projects Agency announced the launch of the Ground X-Vehicle Technology program last month, but in May, a report called “GXV Operational Vignettes” went out from the Army Tank Automotive Research, Development and Engineering Center. It includes more than two dozen pages of drawings from James Scott, with TARDEC’s advanced concepts team, offering views of a possible GXV design in a variety of scenarios:

■ Swiveling its turret after somehow “sensing” an enemy sniper, then dispatching most of the building that housed the sni­per.

■ Descending into the war zone via airdrop — eight stored in a single C-17 — and transporting up to 96 soldiers over uneven terrain and through urban environments thanks in part to four independent tracks that can maneuver like wheels.

■ Deflecting incoming ordnance with “movable armor” and stopping a rocket-propelled grenade in midair via an unnamed weapons system.

A TARDEC spokesman confirmed the drawings were part of the Army’s contribution to the DARPA effort and referred all questions to DARPA. A DARPA public affairs contact for the program, who did not wish to be named, said in an email that all available information about GXV-T is on the DARPA website.

Sept. 5 marked a Proposers Day event for the program in DARPA’s offices outside Washington, DC, which was attended by Paul Decker, TARDEC’s deputy program manager for GXV.

The event served to educate possible stakeholders in the project’s requirements, according to a DARPA news release. Those include producing a vehicle that’s 50 percent smaller and lighter than “today’s armored fighting vehicles” and requires half the crew; is twice as fast; can access 95 percent of terrain and has “reduced signatures that enable adversaries to detect and engage vehicles.”

That last part may have led to media reports touting the military’s new “stealth tank,” but beyond reducing detectability, DARPA officials hope to make the vehicle stronger by making sure it can identify and avoid enemy attacks.

“It’s about breaking the ‘more armor’ paradigm,” Kevin Massey, DARPA program manager, said in the release. “We plan to pursue groundbreaking fundamental research and development to help make future armored fighting vehicles significantly more mobile, effective, safe and affordable.”

It’s too early to say what vehicles the GXV might replace, if any, when it would reach even the earliest stages of production, or even whether the designs will resemble the final product — DARPA-generated concept art includes a vehicle with large wheels instead of tracks, for example.

TARDEC, which provides the technological backbone for all Army and Marine ground vehicles, would continue its involvement with the project long past the sketch stages, though DARPA will be in charge of the initial contract awards, which are planned for April 2015 or sooner, according to the news release

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 07:30
L'EI compte de 20'000 à 31'500 combattants en Irak et Syrie (CIA)

 

12.09.2014 Romandie.com (ats )

 

L'Etat islamique (EI) compte "entre 20'000 et 31'500" combattants dans ses rangs en Syrie et en Irak, selon la nouvelle estimation de l'agence américaine du renseignement (CIA). L'évaluation précédente de la CIA évoquait le chiffre de 10'000 insurgés ultraradicaux.

 

L'agence attribue cette hausse à "un recrutement plus vigoureux depuis le mois de juin, après des victoires sur le terrain et la proclamation du califat, une activité plus intense dans les combats et de nouvelles sources de renseignements", a expliqué Ryan Trapani, un porte-parole de l'agence.

 

L'Etat islamique a proclamé un "califat" à la fin juin avec à sa tête son leader, l'Irakien Abou Bakr al-Baghdadi. Ce "califat" s'étend sur de larges zones d'Irak et de Syrie conquises par ses combattants.

 

Le président Barack Obama a promis d'"éradiquer" l'Etat islamique en s'attaquant à lui en Irak, mais aussi en Syrie, où l'EI se bat contre le régime de Bachar al-Assad et d'autres groupes rebelles.

 

Les Etats-Unis ont obtenu jeudi le soutien de dix pays arabes à la campagne lancée par le président américain, mais le régime syrien, appuyé par la Russie, a mis en garde Washington contre le lancement de frappes sur son territoire sans son accord.

 

Hollande en Irak

Le président français François Hollande est arrivé vendredi à Bagdad où il entend témoigner du soutien de la France au nouveau gouvernement irakien. Il doit aussi préparer avec son homologue irakien Fouad Massoum une stratégie de lutte contre l'EI.

 

L'avion transportant le chef de l'Etat français, qui est accompagné de ses ministres des Affaires étrangères et de la Défense, Laurent Fabius et Jean-Yves Le Drian, s'est posé à Bagdad en début de matinée. Il transporte 15 tonnes d'aide humanitaire devant être livrées à Erbil, dans le nord de l'Irak, ou il se rendra plus tard dans la journée. Cette aide est composée notamment de tentes et de matériel sanitaire.

 

François Hollande entend par cette visite en Irak apporter en premier lieu un soutien politique au nouveau gouvernement du Premier ministre chiite Haïdar al-Abadi adoubé par le parlement irakien lundi dernier.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 07:30
Frappes contre l'EI: il y aura bien des troupes au sol

Le porte-avions américain USS Carl Vinson a appareillé depuis son port d'attache de San Diego (Californie) à destination du Moyen-Orient. (DoD photo by Glenn Fawcett)

 

11-09-2014 à 23:37 Par Olivier Fourt - RFI

 

Barack Obama a dévoilé sa stratégie militaire pour lutter en Irak contre l'organisation Etat islamique. Les frappes aériennes vont s'intensifier, et le Pentagone va envoyer de nouveaux conseillers. Des troupes aux sol, certes, mais le stricte nécessaire afin de mener à bien une guerre qui ne dit pas son nom. On est bien loin des quelque 145 000 hommes déployés durant la guerre de 2003 en Irak. Les troupes au sol devraient avant tout servir à coordonner et guider les frappes.

 

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 07:30
Les Etats-Unis rallient 10 pays arabes contre les jihadistes, la Syrie met en garde

 

11 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Jeddah (Arabie saoudite) - Les Etats-Unis ont obtenu jeudi de dix pays arabes leur l'engagement, y compris éventuellement militaire, dans l'offensive annoncée par le président Barack Obama pour éradiquer les jihadistes de l'Etat islamique (EI) en Irak et en Syrie.

 

Le régime syrien, appuyé par la Russie, a toutefois mis en garde Washington contre d'éventuelles frappes sur son territoire sans son accord.

 

Après la déclaration solennelle de M. Obama à la Maison Blanche mercredi soir, son chef de la diplomatie John Kerry a réussi lors d'une réunion à Jeddah (Arabie saoudite) à convaincre ses homologues arabes, dont le poids lourd saoudien.

 

Washington, les pays du Golfe, l'Egypte, l'Irak, le Liban et la Jordanie ont déclaré leur engagement partagé à se tenir unis contre la menace que pose pour la région et le monde le terrorisme, y compris le soi-disant EI, selon un communiqué commun, au terme de sept heures de tractations.

 

Ce soutien ferme des pays arabes inclut leur accord à se joindre, le cas échéant, à une campagne militaire coordonnée, précise le communiqué sans entrer dans les détails.

 

Toutefois, a souligné M. Kerry devant la presse à Jeddah, aucun pays ne parle de placer des troupes au sol et nous ne pensons pas qu'il y en ait besoin. A la télévision ABC, il a été encore plus clair: Pas de troupes combattantes américaines au sol, point à la ligne.

 

Il aussi affirmé sur les chaînes CNN et CBS que les Etats-Unis n'étaient pas en guerre contre l'Etat islamique, mais conduisaient une très importante opération anti-terroriste.

 

Le chef de la diplomatie américaine poursuivra sa tournée vendredi à Ankara puis au Caire samedi pour rencontrer le chef de la Ligue arabe.

 

Dans son allocution, le président Obama avait martelé l'objectif de son plan d'action: Nous affaiblirons, et, à terme, détruirons l'EI. Pour y parvenir, je n'hésiterai pas à agir contre l'EI en Syrie, comme en Irak, avait-il annoncé.

 

- 1.600 Américains en Irak -

 

Des avions américains pourraient donc effectuer des raids contre des bastions de l'EI en Syrie, en plus des quelque 150 frappes conduites depuis le 8 août en Irak. Ces raids se sont avérés déterminants dans la reprise par les troupes irakiennes de positions tenues par les jihadistes.

 

Aux yeux de diplomates américains, l'Arabie saoudite doit être l'élément clé de la coalition par sa taille, son poids économique et sa portée religieuse avec les sunnites.

 

Après l'appel téléphonique de Barack Obama mercredi au roi Abdallah d'Arabie, M. Kerry a eu un entretien avec lui jeudi soir. Ils sont tombés d'accord pour renforcer l'aide à l'opposition syrienne modérée. Les Saoudiens pourraient former et entraîner des rebelles syriens, qui combattent à la fois le régime de Bachar al-Assad et l'EI.

 

Les Etats-Unis entendent aussi renforcer (leurs) bases dans le Golfe et accroître les vols de surveillance avant d'éventuelles frappes en Syrie, selon un responsable du département d'Etat. Le Pentagone va commencer à baser une partie de ses avions à Erbil, au Kurdistan irakien.

 

La stratégie Obama a été bien accueillie par l'opposition syrienne modérée, qui devrait bénéficier des moyens militaires qu'elle réclame depuis longtemps. Mais le Congrès américain a prévenu qu'il n'y aurait pas de vote sur cette aide avant la semaine prochaine.

 

Bagdad a aussi salué l'annonce par M. Obama de l'envoi de 475 conseillers militaires supplémentaires en appui aux forces kurdes et fédérales irakiennes en termes d'équipements, de formation et de renseignements. Cet effort portera à environ 1.600 le nombre de militaires américains en Irak.

 

L'engagement des Etats-Unis contre l'Etat islamique est un tournant pour le président Obama, élu fin 2008 sur sa volonté de tourner la page d'une décennie de guerres en Irak et en Afghanistan.

 

- Hollande en Irak vendredi -

 

Sans surprise, Moscou, allié de Damas, a jugé que des frappes en Syrie sans l'aval de l'ONU constitueraient une violation grossière du droit international. Le régime de Bachar al-Assad a également prévenu Washington que toute action sans l'accord du gouvernement serait considérée comme une attaque contre la Syrie.

 

Présente à Jeddah, la Turquie a confirmé qu'elle ne prendrait pas part aux opérations armées, se concentrant entièrement sur les opérations humanitaires.

 

En Europe, l'Allemagne a exclu de participer à des frappes en Syrie. On ne nous l'a pas demandé et nous ne le ferons pas, a dit son chef de la diplomatie Frank-Walter Steinmeier.

 

Le Premier ministre britannique David Cameron a en revanche dit ne rien exclure, son chef de la diplomatie ayant cependant affirmé que Londres ne participerait pas à des opérations en Syrie.

 

De son côté, le président français François Hollande exposera sa position au cours d'une visite en Irak vendredi. Son chef de la diplomatie Laurent Fabius a indiqué que la France participerait si nécessaire à une action militaire aérienne en Irak.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 07:30
Irak: des avions militaires américains vont mener des frappes depuis Erbil

 

11 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les Etats-Unis vont commencer à baser une partie de leurs avions militaires à Erbil, au Kurdistan irakien, pour mener des frappes plus offensives contre l'Etat islamique, ont indiqué des responsables du Pentagone jeudi.

 

Au lendemain du discours de Barack Obama, dans lequel le président américain a annoncé l'extension des frappes contre les jihadistes en Irak, le Pentagone a dit vouloir apporter un soutien aérien plus offensif aux forces de sécurité irakiennes, selon les termes du contre-amiral John Kirby, porte-parole du ministère américain de la Défense.

 

Dans le cadre de l'intensification de cette campagne aérienne entamée le 8 août, les Etats-Unis vont faire décoller certains de leurs avions d'Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, que Washington défend contre les insurgés islamistes, a ajouté le porte-parole.

 

Un autre responsable du Pentagone, qui s'exprimait lui sous le couvert de l'anonymat, a expliqué à l'AFP qu'il s'agirait d'avions de chasse, dont l'autonomie en l'air est moindre que celle de bombardiers.

 

Depuis début août, les forces aériennes américaines ont mené plus de 150 raids contre l'Etat islamique, la plupart pour protéger le barrage stratégique de Mossoul, au nord de l'Irak, à environ 130 kilomètres à l'ouest d'Erbil.

 

Mais cette campagne aérienne est aussi accompagnée par l'envoi de plusieurs centaines de conseillers militaires américains censés épauler leurs homologues irakiens.

 

Les 475 conseillers supplémentaires dont M. Obama a annoncé l'envoi mercredi soir devraient commencer à arriver sans doute dans le courant de la semaine prochaine en Irak, selon le contre-amiral Kirby.

 

Il n'est pas question de les impliquer dans des combats, a-t-il encore martelé.

 

Des 475 annoncés par le président Obama, 125 soldats seront affectés aux missions aériennes menées depuis Erbil, selon le porte-parole du Pentagone.

 

Ces renforts porteront à 1.600 le nombre de soldats américains présents en Irak.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 07:20
The X-47Bs proved engineering concepts for designing unmanned carrier-based jet aircraft, the objective of the new UCLASS program - photo US Navy

The X-47Bs proved engineering concepts for designing unmanned carrier-based jet aircraft, the objective of the new UCLASS program - photo US Navy

 

 

Sept 11, 2014 defense-unmanned.com

(Source: US Naval Air Systems Command; issued Sept 10, 2014)

 

Navy Integrates ‘Common’ Software Into Next-Generation Unmanned Carrier-Based System

 

PATUXENT RIVER, Md. --- NAVAIR engineers recently installed new software for the Navy’s Unmanned Carrier-Launched Airborne Surveillance and Strike (UCLASS) system’s control station at the program’s Naval Air Station Patuxent River lab.

 

In early September, the UCLASS team integrated the latest iteration of Common Control System (CCS) software into the next-generation unmanned effort, laying the groundwork for potential use across multiple domains –airborne, land and subsurface.

 

“One of the premises that started CCS was not rebuilding the software that we needed for every UAS every time,” said Jeff Davis, CCS team lead. “We focused on using existing products that we have within the Navy inventory to provide that first baseline going forward for the next UAS, in this case UCLASS. As a result, this allows development investment to focus on the future — the new capabilities that you can bring to the fleet.”

 

This new software version is the first to provide an unmanned command and control capability using the latest Navy Interoperability Profile (NIOP) standards. The NIOPs allow control systems to talk to and share data with multiple air vehicles, Davis said.

 

His team leveraged support from other unmanned programs, specifically Triton and Fire Scout, to build baseline software for UCLASS. They are currently testing this software with an air vehicle simulator based on Triton.

 

“This iteration forms the baseline for all future UCLASS control software,” said Cmdr. Wade Harris, Control System and Connectivity (CS&C) lead for UCLASS. “These early lab tests will help inform us as we move forward with development and eventually test with the air vehicle.”

 

As the lead systems integrator, the Navy is spearheading the CS&C and carrier segments, while working with industry to lead the design and development the air system segment.

 

“One of the unique aspects of the UCLASS program is that we have to pull all of the different segments together,” said Ron La France, UCLASS integration lead. “We have the control station and connectivity segment, carrier segment, along with the air system segment. All three of those have to be integrated and tested at the system level and that is what we will do here in this lab.”

 

These government-led segments require a high-level of coordination. The UCLASS program team is working with 72 programs of record, 22 program offices, six program executive offices and three systems commands, he said.

 

UCLASS will be the first-ever, forward-deployed, carrier-based unmanned air system designed to provide persistent intelligence, surveillance, reconnaissance and targeting with precision-strike capability. An early operational capability is anticipated in the 2020-2021 timeframe.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 18:50
UE : ces nouvelles sanctions contre la Russie

 

11.09.2014 JDD

 

L'Union européenne avait prévenu dès le début de la semaine : des nouvelles sanctions contre la Russie vont être appliquées. Elles seront être mises en oeuvre dès vendredi, si aucun geste fort n'est fait d'ici là, ce qui crispe Moscou. Le Kremlin a promis de nouvelles mesures de rétorsion contre les pays occidentaux s'ils appliquaient de nouvelles sanctions sur le dossier ukrainien.

Six grandes entreprises russes font partie des cibles européennes, dont les géants pétroliers Rosneft et Transneft, ainsi qu'une branche de Gazprom. Il sera interdit de participer au "financement de la dette de trois grandes entreprises russes du secteur de la défense et de trois autres du secteur de l'énergie", un secteur économique clé pour la Russie.

Par ailleurs, 24 nouvelles personnes se retrouvent interdites de voyager dans l'Union ainsi que de toucher à l'argent qu'elles possèdent dans des banques européennes. De "nouveaux dirigeants du Donbass, les membres du gouvernement de Crimée ainsi que des décideurs et oligarques russes" font désormais partie de la liste des 119 personnes visées par les Vingt-Huit. Par ailleurs, "23 entités demeurent soumises à un gel de leurs avoirs dans l'UE".

 

Moscou prêt à dégainer. Ces annonces ne sont pas pour plaire à la Russie, qui a prévu de contre-attaquer. Au mois d'août, Moscou avait interdit l'importation de produits européens, notamment des produits alimentaires. Cette fois, Moscou élargit son champ d'action et promet des restrictions aux importations de certaines voitures ou des produits de l'industrie légère mais aussi certains vêtements, selon Andreï Belooussov, un conseiller du Kremlin.

Le marché automobile fait partie des secteurs clés du partenariat économique entre la Russie et des pays européens. Les constructeurs ont massivement investi dans le marché russe, ces dernières années.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 18:30
UN Photo Gernot Maier

UN Photo Gernot Maier

 

11/09/2014 JDD

 

Des Fidjiens prisonniers en Syrie. Les 45 Casques Bleus fidjiens qui avaient été enlevés le 28 août par un groupe armé sur le plateau du Golan en Syrie ont tous été libérés sains et saufs, a confirmé jeudi l'ONU. Ils ont été remis à la Force de l'ONU chargée de superviser le cessez-le-feu sur le Golan entre Israël et la Syrie (Fnuod) et sont "en bonne forme", ont précisé les Nations unies dans un communiqué.

Relâchés jeudi. Une ONG syrienne avait annoncé précédemment que les Casques bleus avaient été relâchées par leurs ravisseurs membres du Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda. "Ils ont été relâchés aujourd'hui par al-Nosra", avait déclaré l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Annonce vidéo. Al-Nosra avait annoncé dans une vidéo diffusée dans la nuit de mercredi à jeudi qu'il allait prochainement libérer ses otages. Les 45 Casques bleus ont été capturés le 28 août à la suite de combats entre l'armée syrienne et des groupes rebelles dont Al-Nosra, près de Qouneitra, dans la zone de désengagement délimitée en 1974 entre Israël et la Syrie.

Cafouillage. Al-Nosra a depuis formulé un certain nombre de conditions pour leur libération, dont celle de sortir de la liste noire des organisations terroristes établie par les Nations unies, selon l'armée fidjienne. Le gouvernement des Fidji avait annoncé mercredi la libération prochaine des Casques bleus avant de se rétracter quelques heures plus tard, évoquant un cafouillage.

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