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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 11:50
EUISS Yearbook of European Security 2014

This second edition of the Yearbook of European Security (YES) intends to build on the experience of last year while enriching the contents by including a more comprehensive survey of the EU ‘toolbox’ as well as a more targeted analysis of European defence spending. This year’s ‘mapping’ exercise is devoted to identifying and assessing the changes and developments that have occurred in three ‘signature’ countries of the so-called ‘Arab Spring’. And, finally, YES 2014 also includes a summary report of the Institute’s own activities over the past year.

YES is an indispensable publication that aims to inform experts, academics, practitioners and, more generally, all those wishing to know more about the EU and security-related matters through innovative, evidence-based analysis and the display of crucial facts and figures.

 

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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 11:50
Les Forces aériennes continuent leur ascension (Suisse)

 

Berne, 02.09.2014 - admin.ch

 

Le Commandant de corps Aldo C. Schellenberg, Commandant des Forces aériennes prépare ses troupes aux développements des années à venir. Il veut renforcer le management de projets d’achat d’avions et de systèmes de défense contre avions.

 

La décision démocratique contre l’acquisition du Saab Gripen du 18 mai est naturellement respectée par l’Armée suisse, dit Schellenberg durant son rapport d’information à Payerne VD, qui a eu lieu dans le cadre de l’air show AIR14 et du 100ème anniversaire des Forces aériennes. Les 54 F-5 Tiger des Forces aériennes seront mis hors service d’ici 2016, tel que communiqué lors de la votation sur le Gripen par le Conseil fédéral.
« S’en écarter pourrait compromettre une future acquisition d’avion de combat », dit Schellenberg. Une revalorisation de la flotte de Tiger ou de parties de celle-ci n’est pas possible pour des raisons opérationnelles et financières. Les F-5 ne se laisseraient pas adapter aux nécessités modernes que ce soit pour le radar ou l’armement.
Le chef du DDPS, le Conseiller fédéral Ueli Maurer, planifie avec le budget actuel une armée de 100'000 hommes, comme il l’a annoncé durant son message d’accueil au rapport d’information. Il veut une armée qui corresponde aux idéaux d’un «équilibre politique». Maurer renonce à une armée trop grande, orientée à des besoins antérieurs. Il lutte de même contre un rétrécissement additionnel considérable des troupes.

 

Service prolongé du F/A-18 examiné

Les Forces aériennes examinent suite au «non» du peuple au Gripen une prolongation de vie modérée pour les 32 F/A-18 jusqu’à 2025, explique le Commandant de corps Schellenberg. Il faut tout de même prévoir une relève à temps : l’argument principal reste la capacité à durer en temps de crise. Le service de police aérienne ne doit pas être la seule raison pour un nouvel avion de combat multi-rôle.
Schellenberg a également insisté sur un concept pour une prompte acquisition de nouveaux systèmes de défense contre avions. Il y a un besoin pour une défense aérienne intégrée, avec des avions de combats et des systèmes de défense contre avions basés au sol.
En situation normale, les Forces aériennes sécuriseront, dès 2020, l’espace aérien sur un cycle de 24 heures par jour et ce durant toute l’année, avec des moyens d’intervention. Les Forces aériennes seront engagées dans le cadre de situations exceptionnelles, comme en cas de crise ou dans le cadre d’un soutien aux autorités civiles. De plus, les Forces aériennes devraient acquérir la possibilité de créer une souveraineté aérienne réduite, de manière à pouvoir protéger nos propres troupes. Le transport aérien et l’acquisition de renseignements pour la conduite politique et militaire continueront à faire partie des missions des Forces aériennes.

 

AIR14 comme signal de départ

Il sera néanmoins nécessaire de renforcer le management de projet, ce qui inclut également la communication : « Si la population comprend précisément ce que nous faisons, alors elle nous soutiendra. Nous avons raté cela le 18 mai. Cela ne doit pas nous arriver une seconde fois ».
Le succès d’AIR14 à Payerne comme évènement de toute l’Armée doit être compris comme un signal de départ pour les prochaines votations. Schellenberg se montre optimiste: « Les Forces aériennes continuent leur ascension».

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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 11:50
 Malbork : fin de mission pour le détachement d’avions de chasse français déployés en Pologne


01/09/2014 Sources : EMA

 

Du 24 avril au 1er septembre 2014, le détachement d’avions de chasse français déployé à Malbork dans le cadre des mesures dites de « réassurance », a rempli sous mandat de l’OTAN, une mission de permanence opérationnelle (PO) dans l’espace aérien des pays Baltes ainsi que de nombreux entrainements aux côtés des équipages polonais, lors d’exercices bilatéraux et multinationaux.

 

 

Le 1er septembre 2014 à 11h00 à Malbork, en Pologne : quatre Mirage 2000 français viennent de décoller et survolent une dernière fois la base aérienne polonaise avant de rejoindre la France. Le détachement français de quatre avions de chasse, soutenu par quelques 90 militaires, est relevé par un détachement néerlandais qui assurera à son tour la mission de permanence opérationnelle au profit des pays Baltes.

Fin mars 2014, la France avait annoncé à l’OTAN sa disponibilité pour participer à un renforcement des missions de police de l’air et de surveillance des espaces aériens d’Europe orientale et baltique. Ainsi, depuis le 1er avril, des avions Awacs effectuent des vols réguliers dans les espaces aériens polonais et roumain depuis la base française d’Avord.

A nouveau sollicitée par l’OTAN le 16 avril, et avec l’accord du gouvernement polonais, la France a décidé le déploiement de quatre avions de chasse à Malbork, dans le Nord de la Pologne avec une double mission :

  • réaliser des vols d’entraînement à la NATO air policing aux côtés des aviateurs polonais ;
  • contribuer à la souveraineté des espaces aériens lituanien, letton et estonien en assurant une permanence opérationnelle, c’est-à-dire la capacité d’intercepter un intrus sous très faible préavis 24/24 heures et 7/7 jours.

Après la projection d’un élément précurseur le 24 avril, quatre Rafale ont été déployés à Malbork le 28 avril 2014 où ils ont pris la permanence opérationnelle le 6 mai. Les Rafale ont été relevés par deux Mirage2000 C et deux Mirage 2000-5 le 2 juin.

 

Durant ces quatre mois de mission, les avions de chasse français ont effectué 424 sorties opérationnelles ou pour entraînement, totalisant ainsi quelques 500 heures de vol. Ils ont intercepté et dérouté quatre aéronefs ayant effectué des incursions dans l’espace aérien des pays Baltes.

Le déploiement de Malbork a mobilisé de nombreuses unités de l’armée de l’air pour projeter leur personnel et acheminer les quelques 115 tonnes de fret nécessaires à l’entretien des avions, la disponibilité des systèmes d’information et de communication ainsi qu’à l’ensemble du soutien général du détachement français. Cette opération qui a nécessité réactivité et professionnalisme montre la capacité des armées à se déployer très rapidement et à maintenir un haut niveau opérationnel.

Le dimanche 31 août 2014, comme il l’avait annoncé lors de sa visite du mois d’avril, le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, est venu témoigner de sa satisfaction aux aviateurs pour le travail accompli et marquer la fin du mandat français à Malbork. En présence de son homologue polonais, Tomasz Siemoniak, il a souligné l’excellence de la coopération franco-polonaise.

 Malbork : fin de mission pour le détachement d’avions de chasse français déployés en Pologne
 Malbork : fin de mission pour le détachement d’avions de chasse français déployés en Pologne
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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 11:50
One size to fit all? Setting standards for European defence

 

16 April 2014 Daniel Fiott  - Brief - No13

 

While the crisis in Ukraine may contribute to a revision of defence expenditures in a number of European countries, the task of finding the right balance between cost-effective and strategically-relevant defence spending in Europe is still critical. As defence expenditure generally remains in decline across Europe, a range of innovative measures to ensure that defence budgets are spent more efficiently and effectively are being devised.

One such measure – being pursued by the European Defence Agency (EDA) and the European Commission – is the greater standardisation of defence equipment in the European Union. Yet the European defence market is fragmented, paradoxically resulting in higher costs for national treasuries. At present, it is characterised by a plethora of national standards: national defence establishments and industries have become used to catering for their own military

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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 11:35
L’exercice «Croix du Sud» bat son plein en Nouvelle-Calédonie

 

02/09/2014 Actus Air

 

Depuis le 25 août 2014, jusqu’au 5 septembre, les forces armées de la Nouvelle-Calédonie (FANC) conduisent l’exercice bisannuel « Croix du Sud », dans les îles de Lifou et de Tiga, à partir de la base aérienne (BA) 186 de Nouméa-Tontouta.

 

Lors de l’édition 2014 de cet exercice interarmées et multinational, la France est représentée par les forces armées en Polynésie française (FAPF) et engage 690 militaires. À ses côtés, neuf nations participent à l’exercice (voir encadré ci-dessous). Au total, ce sont 1 300 militaires qui sont déployés, avec sept bâtiments, neuf aéronefs et des moyens logistiques conséquents. La BA 186 est au cœur du dispositif, puisqu’elle héberge une compagnie d’infanterie, une base de soutien avancée, et la structure de commandement air (Air Component Command). L’ensemble des aviateurs de la base aérienne est mobilisé pour la réalisation des missions, l’accueil des ressortissants évacués mais aussi pour la protection du site de Tontouta.

 

De plus, l’exercice est l’occasion pour les équipages d’avions de transport et d’hélicoptères de s’entraîner aux missions tactiques dans un environnement interarmées et interallié. Ce rendez-vous majeur permet aux forces armées du Pacifique sud-ouest de développer leur coopération et leur interopérabilité en se perfectionnant dans la conduite d’une opération d'assistance humanitaire, suivie d'une évacuation de ressortissants. La France, et principalement les forces de souveraineté du « théâtre Pacifique » (FANC et FAPF), a toujours été fortement engagée dans cette zone avec une participation aux opérations de maintien de la paix (mission intégrée des Nations unies au Timor oriental en 1998) et aux missions d’assistance après des catastrophes naturelles (tsunami de 2004, cyclones aux Tonga et Fidji en 2009 et 2010).

 

Un exercice international de grande ampleur

 

Australie : 1 compagnie, 2 LCH et 1 King Air

Canada : 1 section et 1 Hercules C130J

États-Unis (2 sections)

Nouvelle-Zélande (1 compagnie, 1 hélicoptère Sea Sprite et la frégate multi-missions HMNZS CANTERBURY)

Royaume des Tonga (1 section et 1 patrouilleur)

Royaume-Uni (1 section)

Vanuatu (1 section et 1 patrouilleur)

Japon et Singapour : renforts au sein de l’état-major interarmées

Le Chili est également engagé au titre d’observateur.

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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 07:35
Afghanistan : Epidote – Cérémonie de fin de stage pour le personnel féminin de CSS-S

 

02/09/2014 Sources : EMA

 

Le 24 août 2014, sur le camp militaire de KMTC (Kabul Military Training Center), à l’est de Kaboul, vingt-quatre sous-officiers et officiers féminins de l’armée nationale afghane ont été diplômées en présence du colonel Philippe Sagon, chef du détachement Epidote34, et des mentors français auprès de l’école du soutien et de la logistique afghane (Combat Service Support School – CSS-S). Cette cérémonie de « graduation » rassemblait aussi des stagiaires masculins.

 

Treize sous-officiers et officiers féminins, occupant des postes au sein des services centraux de Kaboul et des états-majors de l’armée nationale afghane, ont suivi à la CSS-S un stage au sein des écoles « mentorées »par les militaires français : finances et ressources humaines. Les onze autres ont suivi la formation à la logistique de l’établissement.

 

Durant douze semaines, au cours du stage NCO Finance course, six sous-officiers féminins ont reçu un enseignement sur la comptabilité, articulé autour de quatre modules : mathématiques, informatique, comptabilité générale et finances, et comptabilité logistique.

 

Enfin, sept officiers féminins ont quant à elles suivi, pendant trois mois, le stage officer basic course composé de trois phases : militaire, ressources humaines, et systèmes d’information.

 

La CSS-S se compose de quatre écoles : logistique, maintenance, finances et ressources humaines. Sa mission est d’assurer la formation des officiers, sous-officiers et militaires du rang de l’armée nationale afghane et de la police dans chacun de ces domaines. Travaillant au sein du German armed forces technical advisory group (GAFTAG) les mentors français apportent leur concours aux écoles « finances » et « ressources humaines », tandis que les mentors allemands et hongrois, se partagent pour leur part les formations logistiques et techniques.

 

La France accompagne depuis 2002 dans le cadre de la mission Epidote, la montée en puissance de l’armée nationale afghane : après avoir initialement assuré elle-même la formation des militaires afghans, elle leur a restitué ces prérogatives en maintenant des conseillers techniques. Depuis 2008, plusieurs dizaines d’officiers et sous-officiers français ont ainsi participé à la formation des logisticiens de l’armée afghane au sein de la CSS-S en formant dans un premier temps les stagiaires et les cadres, puis en apportant aujourd’hui un soutien auprès du commandement. En six ans, les deux écoles « mentorées » par les Français ont formé plus de 2 300 officiers et sous-officiers, y compris féminins, de l’armée et de la police afghane. L’école spécialisée dans les finances a ainsi formé environ 1 000 cadres destinés à servir à tous les niveaux, du kandak(régiment) jusqu’au ministère, au sein de trois branches : comptabilité, finances publiques et achats publics.

 

Actuellement, trois officiers français d’Epidote34 assurent un mentorat de haut niveau auprès du colonel chef d’état-major de la CSS-S et des commandants des écoles spécialisées dans les ressources humaines et les finances. Ces écoles ayant aujourd’hui atteint leur pleine autonomie en matière pédagogique, leur accompagnement par des mentors français s’achèvera au début du mois de septembre 2014.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 18:55
Le CEMA préside la 144e cérémonie des combats de Bazeilles

 

02/09/2014 Sources : EMA

 

Le 1er septembre, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, s’est rendu au sein de l’armée de terre pour présider la cérémonie de « Bazeilles ».

 

Comme chaque année, cette cérémonie a rassemblé à Fréjus, sur le camp « Colonel Le Cocq » du 21e Régiment d’infanterie de marine (21ème RIMa), la « famille » des troupes de marine qui se retrouvait une nouvelle fois en souvenir des combats qui se sont déroulés en 1870 dans le village de Bazeilles, aux portes de Sedan. Ce combat héroïque s’est depuis imposé comme le fédérateur de l’esprit et des traditions de ces unités héritières des troupes coloniales.

 

La 144e commémoration de Bazeilles était centrée cette année sur le souvenir de l’engagement de ces troupes qui se sont illustrées depuis le débarquement de Provence, le 15 août 1944, jusqu’à la fin de la Seconde guerre mondiale, le 8 mai 1945. Revenant sur cette page d’histoire, le CEMA a tenu à mettre en avant les valeurs de courage, de fraternité d’armes, de sens de l’engagement et de force morale, qui aujourd’hui comme hier sont au cœur du métier militaire.

 

Lors de la lecture de l’ordre du jour, le CEMA a ainsi indiqué que Bazeilles demeurait un symbole d’unité et de cohésion en France métropolitaine et Outre-mer : « Faire Bazeilles  aujourd’hui c’est être en première ligne de tous les combats. Au Liban, dans les Balkans, en Afghanistan ou en Afrique ».

 

A travers l’évocation de cette page glorieuse de l’histoire militaire, le CEMA a aussi voulu saluer la mémoire de tous ceux qui sont récemment tombés sur les théâtres d’opérations extérieures, ainsi que le courage des blessés et de leurs familles.

 

S’adressant aux blessés, il les a assurés de son soutien dans le combat difficile qu’ils mènent pour retrouver leur aptitude opérationnelle, ou pour accepter une nouvelle vie bien différente. Il a également voulu assurer les familles affligées dans l’épreuve du soutien attentif et constant des armées.

 

Cette cérémonie a enfin donné l’occasion au général de Villiers de témoigner publiquement de sa confiance au nouveau chef d’état-major de l’armée de Terre, le général d’armée Jean-Pierre Bosser, qui venait de prendre ses fonctions et qui était présent à ses côtés.

 

A l’issue de la prise d’armes, le CEMA a pu échanger avec les soldats, témoignant une nouvelle fois de son souci de les rencontrer sur le terrain, « les yeux dans les yeux ». C’est lors de cette rencontre que le général de Villiers a été fait caporal d’honneur des troupes de marine.

Le CEMA préside la 144e cérémonie des combats de Bazeilles
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 18:50
Heroic First World War Horse Awarded Dickin Medal 02.09.14


2 sept. 2014 British Forces News

 

A horse whose amazing story inspired the play War Horse has been given the highest honour for animal gallantry.

Warrior led three regiments of the Canadian Cavalry on the Western Front, serving through some of the bloodiest battles of the Great War.

Today he was awarded an honourary PDSA Dickin Medal.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 18:50
DCNS propose ses sous-marins Scorpène dotés de missiles de croisière à la Pologne

 

2 septembre 2014 par ActuNautique.com

 

La Pologne, travaille sur un appel d'offre ans le secteur de l'armement, qui reflète bien son inquiétude par rapport à l'attitude russe.

 

La crise en Ukraine et l'imprévisibilité de ses dirigeants ont pour corollaire de faire des heureux : les acteurs du secteur de l'armement.

 

La Suède vient ainsi d'accélérer le renouvellement de ses sous-marins (A26) et l'achat de 60 nouveaux chasseurs Saab, sans participation de la Suisse à leur financement et un peu plus au sud, c'est désormais la Pologne, membre de l'Otan, qui travaille sur "le marché du siècle" dans ce domaine.

 

Car le pays est l'un  des rares à ne pas avoir connu de crise économique depuis 2008 et l'un des seuls à ne pas avoir rogné son budget de la défense, gravé dans la loi à 2% du budget, une démarche à faire pâlir d'envie les officiers français.

 

Le gouvernement polonais travaille ainsi actuellement sur quatre appels d'offres importants, deux dans le domaine des hélicoptères, un dans celui des systèmes d'interception sol-air et le quatrième dans celui des sous-marins.

 

Dans ce dernier cas, la Pologne, dans le cadre de son programme Orka, souhaite acquérir 3 sous-marins diesel-électriques afin de modernier sa flotte de la Baltique, pour des livraisons prévues en 2019, 2022 et 2030.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 18:50
UK to Join Major Military Exercise in Poland 02.09.14

 

2 sept. 2014 British Forces News

 

Around one hundred soldiers from 1st Battalion the Duke of Lancaster's Regiment are training in Poland as the crisis over Ukraine deepens.

The British troops have joined American forces in one of several NATO exercises this year designed to reassure Alliance member countries bordering Russia.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 18:35
FANC : Exercice Croix du Sud - Phase d’entraînement et d’intégration à une force multinationale

 

02/09/2014 Sources : EMA

 

L’exercice multinational Croix du Sud qui a débuté le 25 août, vient de vivre une phase d’entrainement et d’intégration, ou Force Integration Training (FIT) qui s’est achevée le 29 août.

 

Cette phase s’est déroulée en mer et sur les différentes emprises des forces armées de la Nouvelle-Calédonie (FANC) que sont Plum, La Tontouta, Noumea Elle a concerné l’ensemble des unités parties prenantes à cet exercice majeur qui regroupe 1 300 militaires, 7 bâtiments, 9 aéronefs ainsi que d’importants moyens logistiques.

 

Il s’agit là d’une étape indispensable qui permet de donner une cohérence à une force multinationale et interarmées avant sa projection. Conduite à tous les niveaux de la chaine de commandement, elle s’est achevée par le rehearsal d’une opération amphibie (débarquement amphibie de la force) en baie d’Irée le 29 août 2014.

 

Plusieurs phases d’entraînement ont été nécessaires pour permettre cette synthèse finale. Les différentes composantes de la force ont donc suivi un entrainement adapté, progressif et décentralisé du 25 au 28 août.

    le groupe naval composé de 7 navires de 5 nationalités différentes a enchainé différents exercices de lutte anti-navire et de lutte anti-aérienne et a consacré la journée du 28 août à l’embarquement du premier groupement tactique embarqué (GTE) sur la frégate multi-missions HMNZS Canterbury ;

    des séances d’appontages de Puma sur le HMNZS Canterbury, des phases d’instruction d’embarquement dans les hélicoptères, ainsi que des posés d’assauts de C130 Hercule canadiens ont ponctué l’entrainement de la composante aérienne. ;

    les différentes troupes composant le groupement tactique interarmes (GTIA), principalement armé par le régiment d’infanterie de marine du Pacifique Nouvelle-Calédonie (RIMaP-NC), ont axé leur entraînement sur l’interopérabilité à travers diverses activités : parcours naturels, séances de tirs, ateliers combats, mise en pratique des procédures d’évacuation sanitaire (EVASAN)…..

 

Depuis le 1erseptembre et jusqu’à la fin de la semaine, les forces participant à cet exercice vont jouer le scénario suivant :

    un cyclone de catégorie 4 a touché les îles de LIFOU et TIGA, engendrant de nombreux dommages ;

    la situation humanitaire et sécuritaire se détériore, suite aux conditions sanitaires difficiles et au manque de nourriture ;

    des actes de pillage et des vols sont signalés, notamment envers les étrangers ;

    du fait de l’éloignement géographique, les autorités du Ponant sont sur le point de perdre le contrôle de la situation et font appel au pays voisin, le Levant et à la communauté internationale, via la France, partenaire privilégié du Levant ;

    l’ONU décide l’intervention d’une force multinationale et confie son commandement à la France.

 

Durant cette semaine, pour faire face à la situation prévue par ce scénario, la force va devoir projeter des troupes par opérations aéroportées et débarquements amphibie, sécuriser et stabiliser la région, évacuer quelques ressortissants, distribuer de l’aide humanitaire et secourir la population.

 

Les FANC constituent le point d’appui central du « théâtre Pacifique» avec un dispositif interarmées centré sur un groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les Forces armées en Polynésie Française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’Etat.

FANC : Exercice Croix du Sud - Phase d’entraînement et d’intégration à une force multinationaleFANC : Exercice Croix du Sud - Phase d’entraînement et d’intégration à une force multinationale
FANC : Exercice Croix du Sud - Phase d’entraînement et d’intégration à une force multinationaleFANC : Exercice Croix du Sud - Phase d’entraînement et d’intégration à une force multinationale
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 17:55
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 17:50
Northern Coasts 2014 - Stronger Together: Opening Words

 

2 sept. 2014 Puolustusvoimat - Försvarsmakten

 

(Teksititys suomeksi)
Exercise Director Commodore Juha Vauhkonen´s opening words for Northern Coasts 2014.

The two week long Northern Coast 2014 (NOCO14) exercise, arranged in August and September is the Navy's main exercise this year.

The main aim of the Northern Coasts exercise is to improve the multinational interoperability between the participating troops. The shallow and shoaly waters along the Finnish coast offer challenging exercise conditions where naval activity is supported by airborne and special troops.

The fictive exercise scenario is based on a crisis management operation where security threats are presented by terrorism, piracy and smuggling.

The exercise will be commanded by the Chief of Staff of the Finnish Navy, Commodore Juha Vauhkonen.

https://www.facebook.com/noco14

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 17:45
Opération SANGARIS : point de situation du 28 août 2014

 

 

28/08/2014 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, du 21 au  28 août 2014.

 

La force Sangaris compte quelques 2 000 hommes. Elle est déployée à Bangui et à Boda avec le GTIA Acier, de Bouar à Bossangoa avec le GTIA de Boissieu et de Sibut à Bambari avec le GTIA Magenta. Les effectifs d’EUFOR-RCA sont de 700 hommes, dont 250 militaires français, et les effectifs de la MISCA sont de 6 000 hommes.

 

A Bangui,après les violents affrontements survenus le 20 août dans le 3earrondissement entre les forces internationales et des groupes armés, la situation sécuritaire tend à se stabiliser.

 

Au fil de la semaine, le GTIA Acier est resté dans une posture visant à contenir la menace et a ainsi maintenu son dispositif de protection immédiate aux abords du quartier Fatima afin de parer à tout éventuel regain de violence.

 

Le 26 août, le CEMA s’est rendu en visite officielle sur le théâtre. Il a pu échanger directement avec les soldats du GTIA Acier et de l’EUFOR engagés dans les récents affrontements à Bangui. Il leur a exprimé sa grande satisfaction à l’égard de leur professionnalisme notamment dans la maitrise du feu. Les différentes entrevues avec notamment Madame Samba Panza, chef de l’Etat de transition, ont permis au CEMA de rappeler la nécessaire complémentarité des actions de la force Sangaris avec l’ensemble des acteurs internationaux et nationaux pour la résolution de la crise en Centrafrique.

 

A Boda, les tensions entre groupes armés ont été exacerbées par les événements du 20 août à Bangui. La MISCA a de nombreuses fois été prise à partie. Le GTIA Acier a dû intervenir en appui de la force africaine afin d’empêcher les exactions. Le 24 août, le général Bellot des Minières, commandant la force Sangaris s’est rendu à Boda où il a évoqué, en présence du chef de corps de la MISCA congolaise, la situation sécuritaire de la région avec les autorités locales.

 

Dans l’ouest, la situation est restée calme. La MISCA a continué à assurer seule l’escorte des convois le long de la Main Supply Road (MSR) permettant la libre circulation de 104 poids lourds entrants et 60 poids lourds sortants.

 

Depuis les derniers événements à Batangafo, le GTIA de Boissieu s’est peu à peu désengagé, laissant à la MISCA la responsabilité de la situation sécuritaire dans la ville.

 

A Bouar, des évolutions notables ont été réalisées. En effet, le 22 août, la première audience pénale depuis 2012 a eu lieu. Cet événement témoigne d’un niveau de sécurité très satisfaisant dans cette zone. L’action sécuritaire du GTIA de Boissieu, dans la région, aux côtés de la MISCA, a contribué à rétablir le système judiciaire.

 

Dans l’est, entre le 21 et le 25 août, le GTIA Magenta a effectué une action de reconnaissance sur l’axe Bambari-Ippy-Bria au moyen d’un sous groupement itinérant. Ce mode d’action, tout juste initié, permet à la force d’affirmer sa présence sur une zone plus étendue.

 

Le 25 août en fin d’après-midi, la situation s’est dégradée dans le centre-ville de Bambari où des combats entre groupes armés ont éclaté. Le GTIA Magenta a mis en place un dispositif renforcé afin de protéger les populations. Les unités déployées ont essuyé quelques tirs isolés, sans dommage pour la force.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine.

Opération SANGARIS : point de situation du 28 août 2014Opération SANGARIS : point de situation du 28 août 2014
Opération SANGARIS : point de situation du 28 août 2014Opération SANGARIS : point de situation du 28 août 2014
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 17:45
Sangaris : Le CEMA à la rencontre des soldats français engagés en Centrafrique

 

28/08/2014 Sources : EMA

 

Le 26 août 2014, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), est allé à la rencontre des soldats français du groupement tactique interarmes (GTIA) Acierde l’opération Sangaris et de ceux de la Force de l'Union Européenne en République centrafricaine (EUFOR/RCA).

 

Le CEMA a été accueilli à l’aéroport de Bangui en début d’après-midi par le général Bellot des Minières, commandant la force Sangaris(COMANFOR). Arrivé au camp de M’Poko, ce dernier a pu lui livrer son appréciation générale de la situation, en présence des officiers de son état-major. Le CEMA a profiter de cette occasion pour livrer sa vision sur l’avenir de l’opération, en insistant sur la nécessité de faciliter la montée en puissance de l’opération de l’Organisation des Nations-Unies (MINUSCA).

 

L’une des priorités du CEMA au cours de cette visite était de pouvoir s’entretenir avec les soldats français présents sur le théâtre, notamment avec ceux qui ont engagés lors des derniers affrontements à Bangui. Il s’est donc rendu sur la base de EUFOR RCA dans le 8earrondissement de la capitale où il a rencontré les soldats du 152eRI, actuellement déployés au sein du bataillon multinational de l’EUFOR. Le COMEUFOR et le lieutenant-colonel Hesry, commandant le bataillon multinational, ont présenté la mission européenne de maintien de la paix en évoquant plus particulièrement les prises à partie auxquelles des soldats du 152èmeRI ont dû faire face le 20 août dernier au sud du 3e arrondissement.

 

De retour au camp de M’Poko, le général de Villiers s’est adressé aux hommes et aux femmes de Sangaris. Le CEMA a souligné le « professionnalisme des soldats français dans la maitrise du feu » au cours des derniers affrontements à Bangui et à Batangafo. Il a également insisté sur le travail remarquable accompli par la force Sangaris depuis le début de l’intervention aux côtés des forces internationales, tout en rappelant la phase de transition dans laquelle Sangaris se trouve actuellement : « C’est dans ce contexte de montée en puissance de la MINUSCA que s’inscrit aujourd’hui votre action » afin de soutenir, aujourd’hui, la MISCA pour lui permettre, demain, de « passer le relais à la MINUSCA ».

 

Il a achevé sa visite avec des soldats du GTIA Acier au cours d’une patrouille de nuit effectuée en VBCI puis à pieds dans les rues de la capitale, avant de reprendre son avion pour la France.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangarisvise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 17:45
Sangaris : Le GTIA Magenta conduit une opération ciblée sur un groupe armé à Dékoa

 

28/08/2014 Sources : EMA

 

Le 25 août 2014, dans la localité de Dékoa située à 300 km au Nord de Bangui, les soldats du groupement tactique interarmes (GTIA) Magenta ont conduit, en appui de la mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA) et des forces de sécurité intérieure (FSI), une opération ciblée visant à arrêter les membres d’un groupe armé.

 

Selon des renseignements collectés quelques jours auparavant, ce groupe armé aurait commis des vols et violences dans le Nord de Dékoa, terrorisant la population. En réponse, le GTIA Magentaa lancé, dans la nuit du 25 août, une opération visant à sécuriser l’arrestation de ces individus par les FSI.

 

Au petit matin, la MISCA et les FSI, appuyés par le GTIA Magenta composé de 2 pelotons du 501erégiment de chars de combat (501eRCC) et d’une section du 2erégiment étranger d’infanterie (2eREI), ont interpellé le chef du groupe armé ainsi que 24 de ses hommes. Plusieurs armes de guerre et divers documents ont également été saisis. Pour cette opération, la MISCA et les FSI ont bénéficié de la mise en place, par les éléments de Magenta, d’un dispositif de sécurisation autour de leur action.

 

Le niveau de sécurité minimal atteint aujourd’hui en République centrafricaine grâce à l’action des forces françaises et internationales permet aux FSI d’exercer à nouveau leur mission avec efficacité, condition indispensable au rétablissement de la pleine autorité de l’Etat centrafricain.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à faciliter la mise en place future de la MINUSCA.

Sangaris : Le GTIA Magenta conduit une opération ciblée sur un groupe armé à DékoaSangaris : Le GTIA Magenta conduit une opération ciblée sur un groupe armé à Dékoa
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 17:45
Barkhane : inauguration d’un projet CIMIC par le DLAO3 au Mali

 

29/08/2014 Sources : EMA

 

Le 23 août 2014, les militaires du détachement de liaison et d’appui opérationnel n°3 (DLAO3) de la force Barkhane, basé à Ansongo, ont participé à l’inauguration d’un projet civilo-miliaire dans la ville de Zakoiré, située à 5 km au Nord d’Ansongo.

 

Le projet, élaboré en liaison avec la force française, consistait en la réalisation de travaux de rénovation du toit de trois salles de classes de l’école de Zakoiré, et la réparation d’une pompe à eau.

 

Le toit des salles de classe s’était effondré après de violentes pluies survenues au mois de mai, tandis que la pompe à eau, située à proximité de la cantine de l’école, était en panne depuis plus d’un an. Le président du comité de l’école avait alors pris contact avec les militaires du DLAO 3 pour solliciter leur aide.

 

L’inauguration a eu lieu en présence du premier conseiller du chef du village, M. Badji Haoussa, du directeur et du président du comité de gestion de l’école, ainsi que de nombreux villageois et enfants de Zakoiré.

 

Cette action s’inscrit dans la continuité des rapports permanents qui existent entre la force Barkhane et la population. Les liens tissés permettent aux soldats déployés de parfaitement comprendre la situation locale, facteur essentiel dans la recherche et la lutte des groupes armés terroristes.

 

Lancée le 1eraoût 2014, l’opération Barkhane se caractérise par une logique de fusion et de partage des moyens qui, jusqu’alors, étaient dévolus à des opérations distinctes (l’opération Serval au Mali, déclenchée en 2013 et l’opération Epervier au Tchad, déclenchée en 1986). L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à poursuivre la lutte contre les groupes armés terroristes.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:50
Sweden to go ahead with Gripen acquisition after Swiss No vote

 

09/01/2014 Defence IQ Press

 

When Switzerland voted No in the referendum to sanction the acquisition of Saab’s Gripen as its next generation fighter jet, it posed a problem for Sweden.

 

The two countries had agreed a co-financing deal to buy the JAS 39 Gripen E to share development costs but when the Swiss public voted against the proposed spending of public money, Sweden needed to decide if it would go ahead.

 

According to defence minister Karin Enström, Sweden will continue with its plan to procure the latest version of the Gripen as a result of heightened regional tension and political instability.

 

"Global developments and Russian action in Ukraine, with troops in the country, underline the importance of us pursuing the acquisition of the next generation fighter aircraft," Enström told public broadcaster SVT.

 

"This is also about our security and defence capability in the future," she added.

 

The 60 Gripen jets – of which Switzerland were meant to buy 22 – are due for delivery in 2018 according to reports.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:50
Belgium’s F-16 fighter-jet replacement

 

 – by , - europeangeostrategy.org

 

During a speech at a conference in December 2013, organised by the Belgian Royal Higher Institute for Defence, the Belgian Defence Minister took a clear stand on the future of the Belgian armed forces and the need to replace the F-16 fighter jets: ‘Defence without the capability of fighter aircraft cannot exist. There absolutely needs to be a replacement for the F-16.’

 

Belgian F-16s have had a long and productive service. They protected the national airspace and served in such theatres as Kosovo, Libya or Afghanistan. Out of the original 160 bought, fifty-five are left which have been since extensively upgraded. They have, however, reached the end of their airframe life. Since life extension is only a temporary solution, the F-16s need to be replaced by 2020-2025. At the moment the Request For Information (RFI) has been sent out to several foreign government agencies and the upcoming new federal government has intentions to procure forty new fighter aircraft. 

Three founding North Atlantic Treaty Organisation (NATO) partners (Denmark, Norway and the Netherlands) have already started their replacement procedures, with Norway and the Netherlands selecting the F-35 Lightning II as their future fighter jet.

There are, however, several hurdles on the road ahead. First of all, the defence budget has been one of the biggest victims of the austerity programmes of successive governments in the last decade. There has been a significant reduction in the size of the army but it was the budget for equipment that was hit the hardest. Belgium currently spends around sixty-five percent of the defence budget on costs with personnel, with only 4.5 percent going to investments in equipment, one of the lowest in NATO. Overall Belgium currently spends just over one percent of Gross Domestic Product (GDP) on defence, far short of the NATO required standard of two percent.

Additionally the financial and economic situation of the country makes the replacement process a political minefield, with few parties willing to openly defend investments in the armed forces and the socialist and green parties even advocating for the non-replacement of the F-16, the complete abolition of the tactical fighter wings, and investing the funds instead in social programmes.

Any discussion of the replacement of the F-16 needs to be embedded in a wide discussion about the future role of the Belgian Armed Forces. Apart from the F-16, Belgium will also need to work on replacing the navy’s frigates, mine-hunters and supply ship. The land component will also require investments, for example with the on-going ICT integration and with rising demand for C4ISR capabilities. The shrinking Belgian defence budget is already stretched thin and a decision will thus need to be taken on which capabilities will be maintained or not. International cooperation with the Benelux or other European partners will need to be equated, as ‘pooling and sharing’ can help reduce costs without sacrificing the operational independence of the participating countries.

Defence industry participation in the new fighter programme will also be an important criterion. Reports for the Ministry for the Economy have shown that the investment in the F-16s paid off in offsets over the years and helped to consolidate the Belgian defence industry. It is an obvious expectation that new contracts will include similar arrangements. Furthermore the Belgian defence industry is actively urging that offset contracts and technology transfers should be made the most important selection criterion. Therefore among the options being considered there  is the possibility of the Belgian defence industry participating in the acquisition and maintenance costs of the new fighter aircraft, to justify the contracts they would earn over the years with the new jets.

 

Strategic Requirements

Belgium is a medium-sized European country centrally located in Western Europe. The advent of such institutions as NATO and the European Union (EU) has rendered adjacent inter-state conflict unlikely. Nevertheless, all states must maintain a credible deterrent against potential foes, be these national or transnational in character. Additionally, Belgium has a vested interest in being a credible defence actor if it is to preserve the presence of international institutions in its territory – especially such institutions as NATO’s Headquarters or SHAPE.

In discussing air force requirements though, Belgium would be wise not to opt for extremes. To forgo an air force altogether would be tantamount to abdicating from an autonomous foreign and security policy but it also would make little strategic sense for a small actor to overinvest in military aviation without much in the way of an existential threat.

Thus Belgian air force requirements should aim at guaranteeing air space control and some degree of air power projection but not to the extent of equipping to face off against the world’s premier air force establishments. A Belgian airframe should be fast and manoeuvrable to allow it to take off and land from a small territorial area but not as fast as to compete with air superiority fighters whose purpose is to protect larger areas and assume the interceptor role. A credible defence is not equivalent to premier front-line air superiority technology, nor can this be afforded – especially at a time of austerity.

In terms of power projection, Belgium should try and complement its capabilities with some degree of anti-ground operations so as to provide meaningful cover for allied deployments. Empirically, Belgium has been tasked with either the protection of its own airspace, defending the airspace of NATO allies or with complementing allied operations in joint missions around NATO’s periphery.

 

Candidate replacements

Given these requirements, it would seem therefore unwise to invest in the currently touted F-35 platform. Such features as advanced stealth or electronic warfare capabilities can be very useful for airframes which are meant to survive an operational theatre with advanced anti-aerial components.  All this if, of course, the many doubts concerning the sustainability of the programme are not confirmed, the maintenance of its present already much inflated cost does not rise, not to mention the exceedingly higher operation and lifecycle costs.

However, Belgium is not likely to be in such a position in the foreseeable future. If NATO found itself in the unlikely contingency of having to face a large modern air force in competition for air superiority, it would certainly not be logical to expect a smaller nation like Belgium to provide the muscle for frontline air-to-air dogfighting.

Similarly, twin-engine aircraft such as Boeing’s F/A-18 Hornet, the Eurofighter Typhoon or the Dassault Rafale, provide speed which Belgian aircraft would never really be able to capitalise on in Belgian airspace. The Rafale and F-18 in particular were designed for aircraft-carrier based operations, giving it an excellent operational range but again, a feature which would be inadequate to Brussels’ needs. One of the main advantages of twin-engine airframes is also to improve survivability in case of catastrophic engine failure and this is most useful in inhospitable areas such as maritime or desert environments. Belgium, however, possesses one of the densest networks of highways in Europe and this requirement therefore is not justifiable. The EF-2000 and the Rafale are also marketed in terms of air-superiority features such as advanced electronic warfare, which Belgium, again, would have little use for.

Finally, taking into account the offsets criterion, off-the-shelf products are usually not the best choice because in general it is difficult for small states to secure much in the way of offsets from companies which already have a running production complex elsewhere. The F-35 may be an exception considering its joint-venture nature but Belgium would be a latecomer to that industrial conglomerate. France’s Rafale has also offered great technology transfers to its potential clients but such clients were big states interested in large purchasing orders. It is thus unlikely Belgium would be capable of leveraging the same offsets from the French.

Conversely, a conversation with Sweden would be held on a much more balanced basis. Stockholm’s Saab’s JAS-39 ‘Gripen’ seems especially fit to meet Belgian criteria for a nimble but multi-role jet, inter-operational with NATO forces and capable of short take-off and landing. Sweden has also regularly offered interesting industrial cooperation packages to its European partners and the Gripen entails much lower operational costs. In addition, the Gripen would come with another alluring feature to the Belgian brass: its price-tag.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:50
NATO Joint Intelligence, Surveillance and Reconnaissance - How It Works

 

source NATO

 

NATO continues to develop key capabilities to protect the security and freedom of its members.

 

Joint Intelligence, Surveillance and Reconnaissance (JISR) is one of these capabilities.  It is a combination of processes, systems, and people, including air, ground, maritime, and space assets, which feed into one “fused” report.

JISR is vital for all military operations, it provides information and intelligence to decision-makers and action-takers, helping them make informed, timely and accurate decisions.

This animation demonstrates how JISR works.

For more information, please see: http://goo.gl/rCiKgb

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:50
Jean-Yves le Drian et son homologue polonais Tomasz Siemoniak, à l’ouverture du salon MSPO (crédits Guillaume Belan)

Jean-Yves le Drian et son homologue polonais Tomasz Siemoniak, à l’ouverture du salon MSPO (crédits Guillaume Belan)

 

2 septembre, 2014 Guillaume Belan

 

La France à l’honneur

 

Le salon polonais d’armement MSPO (Międzynarodowy Salon Przemysłu Obronnego) a ouvert ses portes à Kilce le lundi 1er septembre, à 200 km au sud de Varsovie. Cette année, l’invitée d’honneur est la France. Jean Yves Le Drian, a donc fait le déplacement malgré un épais brouillard qui a retardé son arrivée et bousculé sa visite sur le pavillon français, hier. Pour sa 22ème édition, MSPO fait le plein, et enregistre une participation en forte hausse : 54 délégations officielles venues de 38 pays visiteront les 25 000 m2 sur lesquels sont installés près de 500 exposants issus de 27 pays. Soit une forte hausse comparé à l’édition 2013. Il faut dire que la Pologne est un marché particulièrement intéressant et dynamique. En fait, le seul pays européen qui se réarme, soutenu par une crise ukrainienne qui inquiète, alors que le reste de l’Europe désarme. « La France comprends les inquiétudes de la Pologne, elle les partage » a annoncé le ministre de la défense français lors de l’ouverture du salon polonais, relevant un « fort resserrement des liens en matière de défense » entre les deux pays. Reste que Varsovie voit d’un mauvais œil la vente du BPC Mistral à la Russie. Une livraison qui pourrait bien plomber les prospects français dans le pays, malgré les assurances de Jean-Yves le Drian que la France considère le lien qui l’unit avec la Pologne « comme un partenariat sur le long terme, dans une dépendance mutuelle consentie ».

 

Plus de 33 milliards d’euros sur 10 ans

 

Varsovie a lancé un processus de modernisation massif de ses forces, avec un budget qui fait bien des envieux: 33,5 milliards d’euros (139 milliards de zlotys) d’ici à 2020 pour la seule partie équipement. Pour les industriels, les prospects sont légions et de nombreux français ont fait le déplacement.

 

Airbus helicopters présente le tandem Caracal et Tigre avec des équipages français qui reviennent d’opex (crédits: G Belan)

Airbus helicopters présente le tandem Caracal et Tigre avec des équipages français qui reviennent d’opex (crédits: G Belan)

 

Déjà d’importantes compétitions sont lancées. Hélicoptères de transport, d’attaque pour lesquels Airbus tente de placer son tandem Caracal et Tigre pour respectivement 70 et 30 hélicoptères. En face l’AW149 d’AgustaWestland, qui bénéficie de sa filiale polonaise, PZL-Swidnik, racheté il y a quelques années et de Sirkosky qui s’appuie lui sur l’industriel PZL Mieliec, racheté en 2007. Autre décision attendue l’année prochaine, celle de la défense aérienne où MBDA et Thales présente le système SAMP/T basé sur le radar Arabel de Thales et le missile Aster de MBDA. En face le Patriot PAC-3 américain. Mais les prospects ne s’arrêtent pas là : sous-marins avec le Scorpene de DCNS, drones pour Sagem, Airbus defence ou Thales, plateforme terrestre pour le Hawkei de Thales, munitions et tourelles aussi avec le Bonus de Nexter et la T40… (FOB reviendra sur certains de ces sujets). La plupart des industriels français sont sur le pieds de guerre, et espèrent réinvestir un pays qui, traditionnellement achète très peu français (dans les 50 millions d’euros de prises de commandes entre 2007 et 2012) alors que les américains sont très présents, et espèrent tirer profit de leur forte implication sur la crise ukrainienne.

 

Restructuration polonaise

 

La défense polonaise a entamé un important virage. Outre le contexte compliqué de la crise ukrainienne, qui réveille d’inquiétants souvenirs, Varsovie, sous l’impulsion de son président Bronislaw Komorowski est entré dans une phase profonde restructuration depuis 2013 : amélioration des structures de commandement et de contrôle, modernisation des équipements et regroupement industriel national avec la volonté de monter en gamme pour les industriels nationaux. Ce qui rend compliquées les choses, à la fois pour les polonais qui doivent mener plusieurs fronts simultanément, mais aussi pour les industriels étrangers qui doivent se plier à des conditions d’offset et de transferts de technologies très importants, un processus baptisé « polonisation ». Un pays donc difficile d’accès mais qui a entamé un virage de modernisation massif et qui devrait devenir un partenaire européen de premier plan en matière de défense.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:50
BAE's Nimrod MRA4 Maritime Patrol Aircraft.

BAE's Nimrod MRA4 Maritime Patrol Aircraft.

 

07/21/2014 Andrew Elwell

 

As more scrutiny is placed on military and civil maritime reconnaissance and surveillance capabilities – with the search for MH370 particularly highlighting the difficulty in delivering effective wide area maritime surveillance – nations are evaluating their current operations and asking how they can deliver enhanced maritime domain awareness.

 

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:50
Obama, Cameron call for greater European defence spending ahead of NATO summit

 

09/01/2014 Defence IQ News

 

Barack Obama and David Cameron are set to lead calls for European leaders to increase defence spending at this week’s NATO summit in Wales. NATO demands member states spend over 2% of gross domestic product (GDP) on defence but few other than the UK adhere to these criteria. Following a turbulent 2014 that saw Russia annex Crimea, increased violence in Gaza and the renewed militant threat in Iraq and Syria, Obama and Cameron will use the NATO summit as a platform to ask members to take security more seriously.

 

According to last year’s World Bank figures, the UK spends 2.3% of GDP on defence while France also hits the 2% threshold with military spending at 2.2% of GDP. Germany (1.3%), Netherlands (1.3%), Spain (0.9%), Italy (1.6%) and Denmark (1.4%) all fall short of the NATO requirement.

 

Lord Dannatt, a former head of the Army, decried Europe’s unwilling to invest in its security and defence capabilities.

 

“The sad fact is that with the exception of a small number of European Nato member states — which include the UK and France principally — the vast majority of the armed forces of other European states lack real usable capability and their governments often lack the political will to fund their armed forces properly,” Dannatt said in The Telegraph.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:50
Super Puma français et suisse sur le tarmac de la base aérienne de Solenzara en Corse

Super Puma français et suisse sur le tarmac de la base aérienne de Solenzara en Corse

 

18/08/2014 Armée de l'air

 

Du 4 au 8 août 2014, l’escadron d’hélicoptères 1/44 «Solenzara» a accueilli sur la base aérienne 126 «Capitaine Preziosi» de Ventiseri-Solenzara (Corse), un équipage suisse composé de pilotes et de mécaniciens navigants.

 

Ce type d’échange franco-helvétique est fréquemment programmé depuis 2003. Il permet aux équipages des deux pays de partager leurs savoir-faire et leurs expériences respectives, notamment dans le domaine de la recherche et du sauvetage (Search and Rescue – SAR).

 

Pilotes français et suisse opérant dans le même appareil

Pilotes français et suisse opérant dans le même appareil

Super Puma suisse configuré dans la lutte contre les incendies

Super Puma suisse configuré dans la lutte contre les incendies

 

Durant une semaine, les militaires suisses ont ainsi participé à des vols d’instruction sur Super Puma, notamment au cours de vols de montagne et de SAR maritime. Pour leur part, les équipages français ont évolué à bord d'un Super Puma suisse, se familiarisant notamment avec les techniques de lutte contre les incendies mises en œuvre par leurs homologues.

Entraînement franco-suisse à la SAMAR

Entraînement franco-suisse à la SAMAR

Hélitreuillage de sauveteurs-plongeurs

Hélitreuillage de sauveteurs-plongeurs

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:45
South African soldiers training photo Guy Martin

South African soldiers training photo Guy Martin

 

02 September 2014 by Dean Wingrin - defenceWeb

 

The locally developed Impi tactical modem is fast gaining acceptance within the South African National Defence Force (SANDF) as a cost-effective blue-force tracker, already in use by members of the Special Forces and the South African Air Force (SAAF).

 

Launched in 2011 by Saab Systems South Africa, the 0.6 kg device can either be fitted onto vehicles, aircraft or naval vessels as well as be carried by soldiers. The Impi incorporates a GSM modem, allowing a cell phone network to transmit the tracks. Where no cellphone coverage is available, an embedded Iridium satellite modem is used. It also has a mil-standard data connection, allowing the utilisation of HF, VHF and UHF radios to transmit the tracks.

 

The communications data carrier for the position relay is determined via a “least-cost” mechanism, meaning that the GPRS data channel of the GSM network will automatically be selected if available. Should no GSM network coverage be available, the Impi positional update will automatically be routed via the Iridium satellite network. This means that Impi provides positional updates from any geographic position on Earth, to any designated control system. Data security is ensured by encryption.

 

Impi has been integrated into the Chaka tactical C2 (Command & Control) support software which, according to Cobus Valentine, the Command & Control specialist at Saab Grintek Defence, is the only tool currently used by the SANDF to provide ‘jointness.’

 

“It is capable of two-way data communication. If all other means of communication fails, you can connect the computer to this with Chaka,” Valentine explains. “You can still send and receive messages.”

 

Together with an onboard battery, a panic button is also incorporated into the unit. When pressed, a message will flash on Chaka, giving position, call sign as well as the direction of travel of the person in duress.

 

However, when used for blue force tracking, Chaka is not required as the data can be sent via a Link-ZA IL6 message.

 

Designed from the outset to tough mil-spec criteria, the system was deployed during the multinational Exercise Oxide off the Mozambican coast in September last year as part of a technology demonstration.

 

Valentine told defenceWeb that during the exercise, there was a case where an incident was simulated that involved a submarine.

 

“A Parachute Action Group was flown from Waterkloof onboard a SAAF C-130. The aircraft was tracked as well as the Special Forces members aboard the aircraft. They then jumped over the submarine and while they jumped, the parachutists were tracked. Only when they went under the water did we lose the track, but as soon as they popped up from the water, the track was transmitting again,” Valentine recalled.

 

A further trial was conducted during a combat search and rescue exercise with the Special Forces, first without and then utilising the Impi. Valentine says the difference was astronomical in getting to the person on the ground quickly.

 

Besides the Impi recording tracks which are then available for replay, everything that goes into the system and comes out of it is automatically recorded in a War Diary which is date/time stamped.

 

Special Forces have used the unit operationally on outside deployments for the past two years. The system has been flight certified by the Air Force, with the installation on the Rooivalk conducted under the auspices of Denel. The entire Rooivalk fleet have been installed with the blue force tracking devices, the same as with the C-130 fleet. The Oryx is also having the Impi permanently fitted into the helicopter, connected to the aircraft’s power supply.

 

The SAAF is currently using the commercial Spidertrack aircraft tracking system, which utilises an overseas-based server and the internet to communicate.

 

The Impi software is installed on a server housed at a SAAF facility, meaning only Air Force personnel can access the server and the data that emanates from the blue force tracking devices, greatly increasing operational security.

 

Considering the loss of Malaysia Airlines’ flight MH370 earlier this year, Saab are in discussions with the Civil Aviation Authority (SACAA) to certify a tracker, based on Impi, for commercial installations.

 

Saab is hoping to shortly certify the tracking device on Airbus and Boeing airliners in order for airlines to track their aircraft in real time.

 

In June it was announced that the International Air Transport Association (IATA) confirmed that the Aircraft Tracking Task Force (ATTF) was expected to be in a position to deliver draft options for enhanced global aircraft tracking to the International Civil Aviation Organization (ICAO) in September, leading to presentation to the industry before year-end.

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