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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:45
Tchad : le GAAO en renfort à N’Djaména.

 

11/04/2014 Sources : EMA

 

Depuis le 14 mars 2014, une quarantaine de militaires du groupement aérien d’appui aux opérations (GAAO) sont arrivés sur la Base aérienne de N’Djaména pour préparer l’installation du futur poste de commandant des opérations dans la BSS.

 

Basés à Bordeaux, ces militaires sont des spécialistes du bâtiment et de l’infrastructure opérationnelle. Ils ont pour mission d’appuyer le déploiement des forces aériennes et de participer au soutien du stationnement des forces, en particulier sur les théâtres d’opérations. Dans cette optique, ils sont déployés sur N’Djaména pour préparer à la fois les structures qui permettront d’accueillir le nouveau dispositif de commandement de la bande sahélo-saharienne et pour mettre en place un abri avion, des bungalows et des tentes.

 

Les militaires de la force Épervier assurent deux missions permanentes : ils apportent un soutien aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes, conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad et sont en mesure de garantir, si nécessaire, la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad.

 

Depuis le 31 mars, la force Epervier est sous le contrôle opérationnel de la force Serval dans le cadre de la régionalisation des opérations dans la bande sahélo-saharienne. D’autres étapes marqueront cette montée en puissance, dont le terme sera marqué par le transfert du poste de commandement unique des opérations de Bamako vers N’Djamena.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:35
photos Marine Nationale

photos Marine Nationale

 

 

11/04/2014 Sources : EMA

 

Depuis le 8 avril 2014, la frégate antiaérienne (FAA) Jean Bart a rejoint, au nord de la mer d’Arabie, le groupe aéronaval américain Carrier Strike Group 2 (CSG 2) articulé autour du porte-avions USS Bush.

 

Le 9 avril, un ravitaillement à la mer a impliqué pas moins de quatre bâtiments de ce groupe. Le pétrolier ravitailleur américain USS Big Horn a ravitaillé simultanément l’USS Bushet le Jean Bart avant de ravitailler la frégate USS Philippine Sea.

 

Cette opération qui permet au porte-avions et à ses escorteurs de poursuivre leur mission en mer s’est parfaitement déroulée. Elle marque symboliquement « l’entée » de la FAA Jean Bart au sein du CSG2 et le début de la phase de coopération entre les marines françaises et américaines.

 

Il s’agit d’une coopération ancienne et solidement établie. Elle participe au renforcement de l’interopérabilité entre les bâtiments français et américains, qui sont régulièrement engagés dans les mêmes opérations.

 

Ainsi, au cours du mois de janvier 2014, le groupe aéronaval français constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle et engagé dans la mission Bois-Belleau, avait mené des manœuvres conjointes avec le groupe aéronaval américain, constitué autour du porte-avions Harry S. Truman dans le golfe arabo-persique.

 

La frégate antiaérienne Jean Bart est déployée dans l’océan Indien depuis le 27 février 2014. Elle participe notamment à l’opération Enduring Freedom (OEF) qui lutte contre le terrorisme et les trafics illicites sur une zone maritime qui s’étend de la mer Rouge au golfe d’Oman.

OEF : le Jean-Bart intègre le groupe aéronaval américain USS Bush
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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:35
INS Vikrant aircraft carrier museum ship

INS Vikrant aircraft carrier museum ship

 

09 Avril 2014 Par Marine & Océans

 

L'Inde a vendu son premier porte-avions, l'INS Vikrant, à un courtier maritime pour 10 millions de dollars américains, dans une vente aux enchères, ont rapporté des sources mercredi. L'INS Vikrant, acheté à la Grande-Bretagne sous le nom de HMS Hercules en 1957, a joué un rôle clé dans le blocus maritime sur le Pakistan oriental (devenu le Bangladesh) au cours de la guerre indo-pakistanaise de 1971. "Le navire de la marine indienne a été vendu à une compagnie nommée I.B. Commercial Pvt Ltd. La compagnie a 30 jours pour payer et remorquer le navire", ont indiqué les sources. Le navire était entré en service en 1961 en tant que premier porte-avions de la marine indienne. Après avoir servi avec distinction, il avait été désarmé en janvier 1997 et transformé en musée maritime à Cuffe Parade, à Bombay, jusqu'à sa fermeture en 2012 en raison de problèmes de sécurité. Après que le gouvernement de l'Etat indien du Maharashtra (ouest) ait fait part de son incapacité à maintenir le navire-musée et que la Haute Cour de Bombay ait également refusé de le vendre aux enchères, le navire a finalement été vendu.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:35
L’USFK dévoile comment seront employées les contributions de Séoul au fonds de défense

 

 

SEOUL, 10 avr. (Yonhap)

 

Le commandement des Forces américaines en Corée du Sud (USFK) a dévoilé en mars comment seront employées les contributions inutilisées de Séoul au fonds de défense, a-t-on appris ce mardi dans un rapport du ministère de la Défense.

 

Ces contributions inutilisées s’élèvent à 621 milliards de wons (598,7 millions de dollars). L’opposition refuse pour cette raison de ratifier l’Accord des mesures spéciales (SMA) qui traite du maintien des 28.500 soldats américains présents dans le pays et notamment du partage de la charge financière que cela représente.

 

Selon la feuille de route soumise par l’USFK, ces fonds seront utilisés pour financer le déménagement des troupes américaines du district Yongsan, au centre de Séoul, à la ville de Pyeongtaek, située à environ 70km au sud de Séoul. Plus précisément, la majorité de cet argent servira à financer l’installation de systèmes d’approvisionnement en eau et de drainage et servira également à construire la nouvelle base militaire.

 

Il s’agit de la première fois que l’USFK dévoile son plan de dépenses depuis la signature du SMA en 1991.

 

Le nouvel SMA est bloqué à l’Assemblée nationale depuis février à cause de l’opposition des députés libéraux. Séoul et Washington ont signé ce nouvel accord en janvier, dans le cadre duquel la Corée du Sud devra payer près de 1.000 milliards de wons par an pendant cinq ans, à compter de 2014, pour le maintien des troupes américaines sur son territoire.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:20
US Navy receives first America-class amphibious assault ship

The US Navy's America-class ship, USS America (LHA 6) at sea. Photo: courtesy of US Navy mass communication specialist 1st Class Lewis Hunsaker/Released.

 

11 April 2014 naval-technology.com

 

The US Navy has taken delivery of the America-class large-deck amphibious assault ship, USS America (LHA 6), from the Ingalls Shipbuilding division of Huntington Ingalls Industries (HII) at a ship-custody transfer ceremony in Pascagoula, Mississippi, US.

 

USS America, the lead ship of the class, is the first of the navy's next-generation amphibious assault ships designed to replace the aging Tarawa-class vessels.

 

Scheduled to be commissioned later this year in San Francisco, the 844ft-long and 106ft-wide ship successfully completed sea trials in February.

 

The commissioning crew will commence shipboard training in preparation for the its sail-away.

"She is lethal, and she is survivable, able to withstand some of the toughest blows our future enemies may have to offer."

 

The America-class ships, which provide new capabilities in both amphibious assault and aviation support, can cruise at speeds in excess of 20k using a gas-turbine propulsion system, and can accommodate a crew of 1,059 (65 officers) and 1,687 troops.

 

They can also carry a marine expeditionary unit and marine helicopters.

 

Ingalls Shipbuilding president Brian Cuccias said: "She brings to the fleet awesome amphibious and humanitarian capabilities. She is lethal, and she is survivable, able to withstand some of the toughest blows our future enemies may have to offer."

 

LHA 6, the flagship of an expeditionary strike group, will be deployed to support a range of missions, including humanitarian, disaster relief, maritime security, antipiracy and air support for ground forces.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:20
USAF to complete upgrading the F-22 oxygen system in 12 months

The current backup oxygen system requires manual activation. ABOS will enable automatic activation, ensuring additional oxygen flow to the pilot in case the main supply is insufficient. Photo: US Air Force

 

Apr 11, 2014 defense-update.com

 

Following a lengthy investigation into the cause of numerous incidents causing F-22 Raptor pilots to suffer from hypoxia-like symptoms, the U.S. Air Force is upgrading the Raptor’s life support system, installing an Automatic Back-up Oxygen System (ABOS). Existing back-up oxygen systems were manually activating. The upgrade will be completed within a year. Raptors in Alaska have already begun using the system. The Air Force denied that the cause of a fatal accident in November 2010, killing Alaskan-based F-22 pilot Captain Jeff Haney was caused by Hypoxia.

 

The upgrade followed the recommendation of the Air Force Scientific Advisory Board to improve the Raptor’s aircrew life support system, including the installation of an automatically-activated backup oxygen system. The Air Force awarded more than $30 million in multiple contracts to Lockheed Martin to install the systems. According to Mike Connolly, ABOS Program Manager at the F-22 Life Cycle Management Center at Wright patterson, the ABOS is a simply designed system that is integrated into the breathing regulator. It has a control panel in the cockpit within the pilot’s reach so that he or she can manually turn it on if backup oxygen is needed. Unlike the current system that requires manual activation by the pilot, the ABOS is typically left in the auto position, which will automatically provide the pilot 100% oxygen in the event of a rapid decompression or low primary breathing air pressure. Automatic activation prevents the risk of oxygen cutoff when the pilot may be unconscious or blurred, as some of the pilots suffering from hypoxia reported.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:20
CH-53K ground test vehicle at Sikorsky's facility near West Palm Beach, Florida. Sikorsky.

CH-53K ground test vehicle at Sikorsky's facility near West Palm Beach, Florida. Sikorsky.

 

 

9 Apr 2014 by Jon Hemmerdinger - FG

 

Washington DC - Sikorsky has attached main rotor blades to its CH-53K ground test vehicle (GTV) and will soon attach the tail rotor blades, according to officials from the company and the US Marine Corps.

 

The programme is on track to turn the rotors using the aircraft's GE38-1B turboshaft engines – the so-called "shakedown light-off" tests — by the end of the month, says Michael Torok, Sikorsky’s vice president of the programme.

 

Torok made his comments during a press briefing at the Navy League's Sea-Air-Space Exposition near Washington, DC, on 9 April.

 

He adds that development is progressing well on the heavy-lift helicopter, with first flight still scheduled for sometime near the end of this year.

 

The aircraft that will be making the first flight is nearly completed, though the company must still conduct tests of the main gear box, says Torok.

 

USMC Col Robert Pridgen, CH-53K programme manager, says Sikorsky and the military are seeking foreign customers, with potential customers including Germany and Israel, and he predicts interest will further materialise following first flight and as the company moves to production.

 

Officials say they have also received interest from international partners in the Asia Pacific region.

 

"Build it and they will come," Pridgen says.

 

The company has been testing the CH-53K’s seven main all-composite rotor blades and its four tail rotor blades at its headquarters in Stratford, Connecticut.

 

In December 2013, Sikorsky first powered up the GTV’s auxiliary power unit in Florida as part of the “bare-head light-off” tests of the engines and rotor without blades.

 

The GTV’s three main engines were started in January.

 

Despite similarities to the CH-53E Super Stallion, the CH-53K's three turbines can crank out 7,500shp each, compared with the 4,380shp GE T64 powerplants on the legacy platform.

 

The main and rail rotors have more surface area than the E-model, and a newly designed gearbox will allow the CH-53K to carry an external load of more than 12,200kg (26,900lb) over a mission radius of 110nm (204km).

 

That is triple the capacity of the E-model, according to Sikorsky.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:20
Scorpion completes first 50 hours of flight testing

 

Apr 10, 2013 by Richard Tomkins (UPI)

 

Wichita, Kan - A new light attack and intelligence, surveillance and reconnaissance aircraft under development by Textron AirLand LLC has completed 50 hours of flight testing.

 

The jet-powered Scorpion is 43.6 feet long, has a maximum speed of 513 miles per hour and a service ceiling of 45,000 feet. It was first flown last December.

 

Flight testing so far has gathered data about Scorpion's performance at different speeds and altitudes and the responsiveness of its avionics, flight controls and landing system.

 

"The aircraft systems have performed well within the expected parameters, with very few issues," said Scorpion's chief engineer, Dale Tutt. "This is a significant benefit of using mature, non-developmental systems: In addition to reducing the overall development time of the prototype aircraft, the systems have proven to be very reliable."

 

Textron AirLand said Scorpion testing this year encompasses 300-400 test hours, which will require about 150 flights. Included will be international flights.

 

Textron AirLand is a joint venture between Textron Inc. and AirLand Enterprises LLC.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 06:55
Dernier Recce Meet pour les Mirage F1 et passage de flambeau

 

 

11.04.2014 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

Alors que les derniers Mirage F1 de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie » s’apprêtent à tirer leur révérence en juillet prochain, ils ont toutefois organisé un dernier exercice Recce Meet, qui s’est tenu du 7 au 10 avril sur la BA 118 de Mont-de-Marsan. Il s’agissait cette année plus que tout de transmettre les grands principes de la reconnaissance et la transmission d’un savoir aux équipages qui reprendront la mission à bord des Rafale.

 

Et comme il ne fallait pas s’y attendre, c’est le RC 2/30 « Normandie-Niémen » qui a remporté la compétition cette année. « Ils ont été très très bons, les interprètes images du 2/30 ont fait un travail exceptionnel », détaille le capitaine Manuel Blache, référent technique de ce Recce Meet. Mais si c’est le 2/30 qui a gagné le trophée, ce sont bien le 2/30 et le 2/33 qui ont dominé sur l’ensemble de la compétition, face au 1/7 « Provence » et à la flottille 11F de la Marine nationale.

 

L’exercice, planifié six mois en amont, a été préparé de telle sorte que les Rafale engagés puissent montrer la pleine puissance de leurs capacités de reconnaissance. « Les exercices de reconnaissance ont été axés sur un aspect plus tactique qu’en 2013 », explique le lieutenant-colonel Christophe Canto, commandant en second du 2/33. Reco en temps de paix, SCAR, attaque au sol, CAS, menace air-air, appui-feu, ont rythmé la semaine, alors que l’édition 2013 du Recce Meet était elle plus centrée sur la reconnaissance à l’ancienne.

 

Mais pour autant, les pilotes n’ont pas échappé à un exercice de travail à l’œil le premier jour, car comme le capitaine Blache aime à le dire et à le répéter : « le premier capteur, c’est l’œil, un principe immuable quelle que soit la plateforme, c’est extrêmement important, même pour un avion comme le Rafale ».

 

Les cinq missions organisées ont également permis de pointer certaines difficultés et d’améliorer ainsi l’efficacité future des pilotes qui reprendront les missions de reconnaissance. « Pour les missions axées sur de la reco pure, j’ai volontairement été vague sur la zone à couvrir, ils se sont donc retrouvés avec des kilomètres carrés à survoler et sont venus me dire ensuite que je leur en avais trop demandé », expose le capitaine Blache non sans humour. Un petit piège dont le but était de montrer que le travail de reconnaissance avant la mission est d’orienter et de cibler la recherche : « s’ils étaient revenus vers moi, j’aurais pu leur dire ce que je voulais exactement ». Une leçon retenue qui a fait partie des « très bons feedbacks » retransmis après l’exercice.

 

Quatre jours « très denses », une météo « magnifique », ce dernier Recce Meet des Mirage F1 a été un exercice réussi pour le capitaine Blache, qui s’estime « très très content » du travail mené avec les différents équipages. Même son de cloche pour le lieutenant-colonel Canto, qui parle également de très bons échanges avec les équipages des F-18 de l’Ejercito del Aire venus sur place, mais aussi avec les équipages des Phantom grecs de la Polemikí Aeroporía, qui ont été « emballés et très intéressés », malgré leur non-participation aux vols.

 

Ce qui a été le dernier Recce Meet des Mirage F1 ne sera peut-être pas le dernier Recce Meet au sein de l’armée de l’air. « Au-delà de la compétition et de l’entraînement, l’idéal ce serait de reconduire l’exercice les prochaines années, qu’une semaine par an soit consacrée à la reco, pour se remémorer les grands principes », tel est le souhait du capitaine Blache, qui quittera bientôt les Mirage F1, pour retrouver les Alphajet.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 06:20
L’ARC: après les simulateurs de vol, des simulateurs de tir «Made in Montreal»

L’ARC est en train d’adopter une formule mixte pour l’entraînement annuel au tir à l’arme légère qui combine une familiarisation en ligne et l’entraînement au moyen d’un simulateur de tir à l’arme légère, comme celui-ci. Les personnes qui devront être déployées au cours de l’année s’entraîneront au tir à balles réelles sur un champ de tir avant leur déploiement (Meggitt)

 

10 avril 2014 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca

 

 

Après les simulateurs de vol, les simulateurs de tirs: l’Aviation royale canadienne (ARC) va adopter un nouvel entraînement au tir à l’arme légère grâce à des simulateurs d’entraînement au tir à l’arme légère fabriqués par la division montréalaise de Meggitt Training Systems Canada.

 

L’ARC a acheté des simulateurs d’entraînement au tir à l’arme légère fabriqués par Meggitt Training Systems Canada, entreprise située à Montréal, qui est une entité commerciale de Meggitt PLC, société multinationale spécialisée dans l’aérospatiale et la défense.

Megitt dit être la seule entreprise de systèmes de formation dans le domaine qui fournit des simulateurs pour armes légères.

L’entreprise développe, fabrique, installe et maintient les systèmes de simulation interarmes et aux armes légères ainsi que les simulateurs d’armement correspondants pour des militaires, paramilitaires et organismes de sécurité du monde entier et se spécialise dans l’intégration de produits logiciels et matériels disponibles sur le marché dans des systèmes de formation pratique.

C’est donc Megitt qui installera les simulateurs de l’ARC et se chargera des services de soutien et de la formation des personnes qui feront fonctionner l’équipement.

Grâce à ce projet, les membres de l’ARC auront bientôt l’occasion de s’entraîner au tir à l’arme légère sur des consoles de «jeu» ultramodernes dans toutes les escadres de l’ARC au Canada.

«L’ARC va adopter une formule mixte pour l’entraînement annuel au tir à l’arme légère. Chaque année, nos aviateurs et aviatrices effectueront une séance de familiarisation aux armes en ligne et ils obtiendront ensuite leur qualification annuelle sur un simulateur de tir à l’arme légère. Cependant, les personnes qui devront être déployées pendant l’année feront du tir à balles réelles dans un champ de tir avant leur déploiement», a expliqué dans un article paru sur le site de l’ARC le colonel Colin Keiver, directeur de la simulation et de l’instruction (Air) au quartier général de l’Aviation royale canadienne.

«Ainsi, nous augmenterons le nombre de personnes qui sont entraînées chaque année, nous réduirons les incidences sur l’environnement, et nous diminuerons les coûts globaux sans compromettre la norme de cette instruction essentielle [...] Pour l’ARC, c’est une situation avantageuse à tous points de vue». ajoute le colonel.

Combiner des moyens électroniques, un simulateur et un entraînement à balles réelles pourrait en outre permettre de réaliser de grosses économies.

Une étude de Recherche et Développement pour la Défense Canada (RDDC), qui a examiné plus en détails les éléments de coûts, comme le nombre de personnes suivant l’entraînement, l’alimentation, les munitions et les besoins en transport, a déterminé que, tout en augmentant le nombre de personnes qualifiées, l’ARC pourrait et économiser plus de 1,3 million de dollars par an.

L’amélioration de l’entraînement au tir à l’arme légère a alors débuté avec la création de modèles de simulation pour l’apprentissage virtuel électronique du maniement du fusil C7A2 et du pistolet Browning de 9 mm par NGRAIN, une entreprise de Vancouver.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 06:20
Une étude qui permettra à l’Armée canadienne de prendre du «recul» avant l’achat d’armes

Un membre des Forces armées canadiennes effectuant un tir lors des essais dans le cadre d'une étude menée par RDDC sur l'impact, tant psychologique que physique, du recul d'armes sur les soldats (Marc Légaré/RDDC)

 

11 avril 2014 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

L’Armée canadienne mène une étude sur les effets physiques et psychologiques du recul d’armes afin d’optimiser l’entraînement et augmenter ainsi les chances de survie des soldats sur le champ de bataille.

 

Recherche et développement pour la défense Canada (RDDC), en collaboration avec des industries canadiennes et des militaires de l’armée canadienne, étudie présentement les impacts physiques et psychologiques du recul d’armes sur les soldats ainsi que sur la précision du tir, nous apprend ce mois-ci le site de l’Armée canadienne.

«Afin d’optimiser l’entraînement et augmenter les chances de survie de nos soldats sur le champ de bataille, il est crucial de mieux comprendre comment fonctionne l’équipement du soldat et quel est son impact sur la performance de ce dernier», affirme Guy Vézina, un des responsable de la recherche cité dans l’article de l’Armée canadienne.

Le recul est ce mouvement de l’arme vers l’arrière lors de sa mise à feu. Le recul ressenti se définit par l’impact provoqué par ce mouvement sur le tireur et peut varier en fonction de certains facteurs tels la posture et la taille du soldat, la technique utilisée et la perception, souligne-t-on dans le texte.

La force du recul est un phénomène bien connu, mais son impact tant physique que psychologique sur le tireur et sur le mouvement du baril demeure méconnu.

L’arme (simulateur) qui a été utilisée dans l’étude du recul du canon, avec les fils de capteurs installés sur l’arme qui ont été utilisés lors des essais (RDDC)

 

Le programme dirigé par RDDC étudie donc le phénomène avec l’aide des soldats ayant participé à des essais au cours de l’automne 2013.

Lors de ces essais, les militaires ont expérimenté à tour de rôle un simulateur de recul d’armes légères. Le simulateur utilisé était un fusil de calibre 12 instrumenté de la marque Remington 870 et modifié pour effectuer des tests en fonction de vitesses de munitions variées et d’armes de poids différents simulant des reculs d’armes semblables à ceux utilisés présentement par les FAC.

Les données récoltées sur la force et l’accélération ainsi que des vidéos à haute vitesse sur les mouvements des tireurs permettront ainsi aux scientifiques de mieux comprendre ce phénomène.

«L’information récoltée par ce type de recherche aidera grandement les Forces armées canadiennes avec ses projets d’acquisition d’armes en fournissant des informations critiques sur lesquelles nous pourrons appuyer nos décisions», affirme pour sa part le lieutenant-colonel Serge Lapointe, Directeur – Besoins en ressources terrestres 5 (DBRT-5), Systèmes du soldat, cité lui aussi dans l’article.

Cette étude permettra donc à l’Armée de prendre du…«recul» avant de procéder à d’autres achats d’armes.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 05:55
Thales underwater warfare systems

9 avr. 2014 Thales underwater warfare systems

 

Building on 50 years of experience in undersea warfare, Thales is now a global leader in underwater systems and the world's top exporter of sonars and related systems for navies and air forces.

Thales designs and delivers acoustic and communication systems and subsystems for anti-submarine warfare and anti-mine warfare.
The solutions and related services are suitable for all types of platforms: submarines, surface ships, helicopters, maritime patrol aircrafts and unmanned naval systems.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:55
Défense et patronat du Rhône signent un accord

 

8 Avril 2014 lyonpremiere.com

 

A l’occasion de la 3ème édition du Printemps des Entrepreneurs, Bernard Fontanel, Président du MEDEF Lyon-Rhône et le général Christian Peraldi, général adjoint-engagements, représentant le Gouverneur militaire, ont signé mardi un protocole de partenariat entre le MEDEF Lyon-Rhône et la zone de Défense et de sécurité Sud-Est.

 

Objectif: un rapprochement armée/entreprises en mettant en place des actions sur le terrain pour les 3 années à venir.

 

Pour la Défense, il s'agit de sensibiliser les décideurs économiques aux problématiques de défense, à l’emploi des réserves, ou encore à la reconversion du personnel militaire.

Pour les entreprises, l'objectif est de matérialiser les possibilités d’accéder à de nouveaux marchés, notamment à travers un accès facilité à la commande publique de la Défense.

 

Un colloque aura lieu le 16 avril à la CCI de Lyon sur le thème « Marchés de reconstruction : Quelle stratégie globale ? » ou comment faciliter l’accès des entreprises aux marchés de reconstruction des pays victimes d’un conflit armé.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:55
Devenir béret vert : L’école des Commandos Marine

11 avril 2014. Portail des Sous-Marins (Mer et Marine)

 

Département commando, école des fusiliers-marins de Lorient. Les ordres claquent. Derrière leurs visages peints en camouflage, les regards des jeunes marins sont déterminés. Ils sont 120, alignés devant leurs instructeurs, devant ces marins aux bérets verts. Ce fameux béret vert qu’ils veulent tous.

- 1ère partie,
- 2è partie,
- 3è partie,
- 4è partie,
- 5è partie.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:50
L'Otan doit prendre de nouvelles mesures pour défendre ses membres de l'Est

 

 

11 avril 2014 Romandie.com (AFP)

 

SOFIA - L'Otan doit prendre des mesures supplémentaires, dont des déploiements de troupes et des exercices, pour défendre ses Etats membres, a déclaré vendredi le secrétaire général de l'organisation, Anders Fogh Rasmussen, alors que les tensions persistent en Ukraine.

 

Pour rassurer les membres de l'Otan en Europe de l'Est, qui craignent une contagion de la crise avec la Russie, l'alliance a renforcé la police aérienne au-dessus des Etats baltes, déployé des avions-radars Awacs en Pologne et en Roumanie, et supervisé le renforcement de la présence navale en Mer Noire, a déclaré M. Rasmussen à des journalistes à Sofia.

 

Mais je pense que nous devons prendre des mesures supplémentaires et nous allons en discuter sur la base des recommandations de nos autorités militaires, dans les prochains jours et prochaines semaines, a-t-il poursuivi.

 

Ces réflexions pourraient inclure une mise à jour et une évolution de nos plans de défense, des exercices renforcés, ainsi que des déploiements appropriés, a ajouté M. Rasmussen.

 

Nous ne discutons pas d'option militaire mais l'Otan se consacre à la défense et à la protection de nos alliés, et nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour nous assurer que cette défense collective soit effective, a ajouté le secrétaire général.

 

L'Otan prend des mesures légitimes pour faire face à l'instabilité créée par les actions illégitimes de la Russie, a encore dit M. Rasmussen.

 

Ne nous méprenons pas, ces mesures sont complètement en ligne avec nos engagements internationaux et nos accords avec la Russie, que la Russie elle-même continue de violer de manière flagrante, a-t-il poursuivi.

 

Alors que l'alliance a révélé la veille que la Russie avait aligné jusqu'à 40.000 hommes à la frontière avec l'Ukraine, le secrétaire général de l'Otan a de nouveau demandé à Moscou de se retirer.

 

Personne ne veut isoler la Russie mais la Russie elle-même s'isole intentionnellement un peu plus chaque jour, a insisté M. Rasmussen.

 

Après le rattachement de la Crimée à la Russie le mois dernier, les tensions ont gagné l'Est de l'Ukraine, où des militants pro-russes occupent des bâtiments d'Etat stratégiques et demandent à Moscou de leur envoyer des troupes en renfort.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:50
Evaluation réussie pour le système de brouillage laser Miysis

 

 

11.04.2014 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

Nom de code : Miysis. Une « boîte » carrée d’une quinzaine de kilos au nom d’un dieu guerrier égyptien, embarquée à bord d’un CASA C212 banc d’essais de la DGA lors de l’exercice OTAN EMBOW XIV qui s’est tenu dans les Landes au mois de mars.

 

Fonction : DIRCM, pour Directional infrared counter measure. Soit un système de brouillage laser qui devrait à terme être utilisé en complémentarité du leurrage.

 

Lire l’article

 

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:50
Paveway IV precision-guided bomb (Raytheon)

Paveway IV precision-guided bomb (Raytheon)

 

HARLOW, England, April 11, 2014 /PRNewswire

 

Raytheon Company received a contract from an international customer for Paveway™ IV precision guided bombs valued at more than $200m. As part of the sale Raytheon will deliver hundreds of the advanced munitions, which are regarded as the 'weapon of choice' for the Royal Air Force. The contract represents the first sale of Paveway™ IV outside the U.K. 

"This contract is an export boost to the U.K. It will help support hundreds of manufacturing and engineering jobs at Raytheon's facilities and in the supply chain across the U.K.," said Richard Daniel, Chief Executive, Raytheon UK.  "Developed in Harlow, with the advanced guidance system produced in Glenrothes, Paveway IV has delivered considerable operational capability to the U.K. and allied forces in numerous military operations."

 

About Paveway

The Paveway™ family of laser-guided and GPS and laser-guided bombs has revolutionized tactical air-to-ground warfare by converting "dumb" bombs into precision-guided munitions. Bombs equipped with Paveway™ kits have been put to the test and proved themselves, time and again, as the weapon of choice by 43 customers. Paveway™ laser-guided bomb kits comprised more than half the air-to-ground precision-guided weapons used in Operation Iraqi Freedom, Enduring Freedom and Unified Protector.

 

About Raytheon UK

Raytheon UK is a subsidiary of Raytheon Company. It is a prime contractor and major supplier to the UK Ministry of Defence and has developed strong capabilities in mission systems integration in defence, national security and commercial markets. Raytheon UK also designs, develops and manufactures a range of high-technology electronic systems and software at facilities in Harlow, Glenrothes, Uxbridge, Waddington and Broughton.

 

About Raytheon

Raytheon Company, with 2013 sales of $24 billion and 63,000 employees worldwide, is a technology and innovation leader specializing in defense, security and civil markets throughout the world. With a history of innovation spanning 92 years, Raytheon provides state-of-the-art electronics, mission systems integration and other capabilities in the areas of sensing; effects; and command, control, communications and intelligence systems; as well as cyber security and a broad range of mission support services. Raytheon is headquartered in Waltham, Mass. For more about Raytheon, visit us at www.raytheon.com and follow us on Twitter @Raytheon.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:45
BSS : participation du CEMA au « G5 du Sahel »

 

11/04/2014 Sources : EMA

 

Le 09 avril 2014, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), s’est rendu à Niamey afin de participer à la réunion du « G5 du Sahel », cadre institutionnel qui regroupe les cinq chefs d’états-majors de la bande sahélo-saharienne, sur invitation de ces derniers.

 

Le « G5 du Sahel » est un cadre institutionnel de coordination et de suivi de la coopération régionale, destiné à coordonner les politiques de développement et de sécurité de ses membres. Créé à l’initiative des chefs d’Etat de la région sahélo-saharienne, il regroupe cinq pays : le Burkina-Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.

 

Le 9 avril, à Niamey, les chefs d’état-major des pays membres se sont pour la première fois réunis dans ce cadre afin de partager leur évaluation de la situation sécuritaire dans la bande sahélo-saharienne. Ils ont souhaité, pour l’occasion, inviter le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées françaises.

 

Dans son discours d’ouverture du G5, le général de division Garba, chef d’état-major nigérien et hôte du sommet, a souhaité souligner la place particulière de la  France qui  « constitue un partenaire stratégique ayant toujours soutenu les pays du Sahel dans leurs actions de lutte contre le terrorisme ».

 

Dans le communiqué final de cette rencontre, les chefs d'Etat major du « G5 du Sahel » ont convenu de la nécessité de conjuguer leurs efforts pour « apporter une réponse régionale et coordonnée aux défis sécuritaires actuels liés aux menaces des groupes armés terroristes » tout en se félicitant de l’appui et du soutien apporté par la communauté internationale.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:45
Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014

 

11/04/2014 Sources EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, depuis le 2 avril 2014.

 

Cette semaine, les éléments de la force Sangaris ont axé leurs efforts sur l’Est de la République Centrafricaine ainsi que sur l’accueil et l’engagement du détachement de gendarmerie intégré au groupement tactique interarmes (GTIA) Savoie à Bangui. A l’Est, le GTIA Scorpion a poursuivi sa progression, atteignant la ville de Bria.

 

Bangui

 

Dans la capitale, la force a poursuivi ses opérations de contrôle de zone, en axant ses efforts dans les 3e et 5e arrondissements de la capitale, ainsi qu’à PK 12.

 

Le 2 avril, une opération de fouille a été conduite dans le 4e arrondissement en coopération avec la MISCA et les forces de sécurité intérieures centrafricaines. Celle-ci a permis de confirmer l’absence d’armement et de groupes armés dans la zone.

 

Le 4 avril, le contingent tchadien de la MISCA a quitté Bangui, suite à l’annonce faite la veille par le Tchad de sa décision de retrait de ses troupes de la MISCA. Aucun incident n’a été relevé par la force Sangaris au cours de ce mouvement.

 

Le 5 avril, le GTIA Savoie a appuyé la MISCA dans la sécurisation de l’aéroport et de la ville lors de la visite de M. Ban Ki Moon, secrétaire général des Nations Unies, auprès de la chef d’Etat de transition et des représentants des différentes communautés de Bangui.

 

Le 8 avril, les unités de la gendarmerie nationale, arrivées sur le théâtre trois jours auparavant, ont conduit leur première patrouille sous contrôle tactique de Sangaris.

 

En province, les GTIA Dragon et Scorpion, déployés respectivement dans l’Ouest et dans l’Est du pays, ont poursuivi leurs efforts pour appuyer la MISCA dans la sécurisation de la zone.

 

Dans l’Ouest, la situation est calme mais elle reste fragile, notamment à Boda où une véritable fracture existe entre les communautés, malgré l’amélioration des conditions matérielles et une action conjointe des forces Sangaris et de la MISCA. Le 5 avril, sous la protection des éléments du GTIA Savoie déployés dans la ville de Boda, le programme alimentaire mondial (PAM) a pu réaliser sa première distribution alimentaire au profit de la population.

 

Dans cette partie du pays, Sangaris poursuit aux côtés de la MISCA la sécurisation de l’axe routier qui relie le Cameroun et Bangui, tout en contrôlant l’application des mesures de confiance. Des forces de sécurité centrafricaines (gendarmes, policiers, brigade des mines etc.) ont été déployées cette semaine le long de cette Main Supply Road(MSR) avec le soutien de Sangaris. Cette présence participe à la restauration de l’autorité de l’Etat sur l’ensemble du territoire.

 

Sur la MSR, cinq convois ont été réalisés par la force Sangaris afin de permettre l’acheminement d’environ 160 poids lourds sur l’axe routier. D’autres camions ont été escortés par la MISCA ou ont réalisé le trajet sans escorte militaire.

 

Dans l’Est, depuis le 3 avril, les opérations de déploiement conjoint de la force Sangaris et de la MISCA se sont poursuivies jusqu’à Bria, dans laquelle les contingents congolais (RDC) de la MISCA ont pris en compte la sécurisation de la zone. Les actions successives de la force au cours de la semaine ont consisté en des actions offensives (opérations héliportées), visant à démontrer la détermination de la force à faire appliquer les mesures de confiance, des actions de contrôle de zone, et enfin des actions visant à expliquer et faire accepter ces mesures par l’ensemble des acteurs locaux.

 

Ainsi, le 4 avril, la journée a été marquée par la visite du commandant de la force Sangaris (COMANFOR), le général Soriano, à Bambari et Grimari, pour réaffirmer la position de la force et son engagement à protéger les populations. Le 7 avril, le COMANFOR s’est également déplacé à Ndélé où il s’est entretenu avec les autorités locales.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014
Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014
Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014
Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014Opération Sangaris : point de situation du 11 avril 2014
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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:40
U154 Kakhovka U209 Ternopil U153 Pryluky-2007-Sevastopol

U154 Kakhovka U209 Ternopil U153 Pryluky-2007-Sevastopol

 

SEBASTOPOL, 11 avril - RIA Novosti

 

La Flotte russe de la mer Noire a remis vendredi à la partie ukrainienne du navire lance-roquettes Prilouki, lançant la procédure de restitution à l'Ukraine de ses navires de guerre et de soutien déployés dans les eaux territoriales russes, a annoncé à RIA Novosti une source au sein de la Marine russe. 

 

"Deux remorqueurs de la Flotte russe de la mer Noire ont entamé la sortie du bateau lance-roquettes de la baie de la Quarantaine de Sébastopol", a informé la source. 

 

A la sortie de la baie, le bateau sera remis à un grand bateau remorqueur qui le conduira dans les eaux neutres pour le remettre à la partie ukrainienne.

 

Au total, la Russie rendra à l'Ukraine jusqu'à 70 navires de guerre et de soutien.  

 

Peuplée en majorité de russophones, la république autonome de Crimée a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et sa réunification avec la Russie au terme d'un référendum tenu le 16 mars, lors duquel 96,7% des habitants de la péninsule ont appuyé cette décision. La Russie et la Crimée ont signé le 18 mars dernier le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie. 

 

Le 2 avril, le chef de l'administration présidentielle ukrainienne par intérim Sergueï Pachinski a annoncé que l'Ukraine envisageait de présenter à la Russie la liste des biens, y compris 70 navires, dont elle demande la restitution. 

 

Le lendemain, la Russie a confirmé sa disposition à satisfaire la demande de l'Ukraine.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:40
La livraison d'armes à l'Ukraine n'est pas une priorité (Pentagone)

 

 

WASHINGTON, 11 avril - RIA Novosti

 

Les livraisons d'armes à l'Ukraine ne sont pas prioritaires pour le Pentagone, Kiev n'ayant sollicité qu'une aide destinée à son armée essentiellement sous forme de nourriture et de médicaments, a annoncé jeudi soir l'assistant du secrétaire américain à la Défense Derek Chollet.

"Les besoins les plus urgents dont ils (la partie ukrainienne) nous ont informé concernent essentiellement une aide humanitaire: des produits alimentaires et des médicaments, et non des armes", a déclaré le responsable aux sénateurs américains.

Interrogé sur la possibilité de livrer des armes à Kiev "au cas où (le président russe) Vladimir Poutine irait plus loin", l'assistant du chef du Pentagone a répondu: " Oui, mais en ce moment, la priorité est de réagir à leur propre demande, concernant essentiellement des moyens non-létaux".

Selon le responsable, le Pentagone est toujours prêt à aider l'Ukraine à moderniser son armée, à la former sur une base professionnelle, un travail qui était déjà mené avant la crise actuelle.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:40
Photo Jean-Michel Roche

Photo Jean-Michel Roche

 

ANKARA, 11 avril - RIA Novosti

 

Le destroyer américain Donald Cook et le navire collecteur de renseignements français Dupuy-de-Lôme sont entrés vendredi en mer Noire, rapporte vendredi le quotidien turc Sabah. 

 

Commentant la présence des bâtiments US en mer Noire, le politologue turc Fatih Er a fait savoir à RIA Novosti qu'il était peu probable que leur déploiement ait pour but d'intimider la Russie ou de lancer une offensive militaire.

 

"Je ne pense pas que dans la pratique les Américains poursuivent un quelconque objectif précis en dépêchant leurs navires en mer Noire. Le passage de navires US par les détroits turcs est un pas destiné à l'Europe avant d'être un signal envoyé à la Russie. Les Etats-Unis veulent faire comprendre qu'ils sont derrière leurs amis européens. Toutefois, les déclarations du secrétaire d'Etat américain et des leaders européens revêtent un caractère contradictoire. Je m'attends à ce que les Etats-Unis entreprennent une démarche contre la Syrie", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

 

Le Donald Cook est le troisième bâtiment de l'US Navy à être envoyé ces derniers temps en mer Noire. En février dernier, Washington a dépêché dans la région la frégate Taylor chargée de maintenir la sécurité lors des Jeux olympiques de Sotchi. En mars, le destroyer Truxtun a gagné la mer Noire pour prendre part à un exercice conjoint avec des bâtiments bulgares et roumains. Le navire américain a séjourné 14 jours dans la région.

 

D'après le commandement militaire américain, le destroyer US Donald Cook a été envoyé en mer Noire pour calmer l'inquiétude des pays partenaires au sein de l'Otan.

 

Aux termes de la Convention de Montreux signée en 1936, le tonnage global des bâtiments de guerre des puissances non riveraines de la mer Noire est limité à 30.000 tonnes et la durée de leur présence à 21 jours au maximum.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:35
South Korea, US To Hold Largest-Ever Joint Air Drill

An F-16 Fighting Falcon takes off for a Max Thunder sortie Nov. 5 at Kunsan Air Base, South Korea. (US Air Force)

 

Apr. 10, 2014 – Defense news (AFP)

 

SEOUL — South Korea’s military said Thursday it would hold its largest-ever joint air drill with the United States as tensions mount over a series of threats from North Korea.

 

The twice-yearly Max Thunder exercise — to be held from Friday to April 25 — will be the largest-ever involving 103 aircraft and 1,400 troops, the air force said.

 

Seoul’s F-15K jet fighters will take part along with US Air Force F-15 and F-16s and US Marines’ FA-18 and EA-18 aircraft, it said in a statement.

 

“The combined air forces will strengthen their battle readiness under the current situation when tension rises over the Korean peninsula,” it said.

 

The exercise will focus on “practical scenarios” involving precision attacks on enemies or supply drop missions for troops infiltrating enemy territory, it said.

 

Separately, the allies are also holding annual Key Resolve and Foal Eagle exercises which last from late February to April 18.

 

North Korea has slammed the drills as a rehearsal for invasion. In a pointed protest, Pyongyang has launched a series of rockets and missiles in recent weeks, capped by its first mid-range missile test since 2009 on March 26.

 

The two Koreas also traded fire across the tense Yellow Sea border on March 31, after the North dropped some 100 shells across the border during a live-fire drill, prompting the South to fire back.

 

The rare exchange of fire came a day after the North warned that it might carry out a “new” form of nuclear test — a possible reference to a uranium-based device or a miniaturized warhead small enough to fit on a ballistic missile.

 

South Korean President Park Geun-Hye this week called for tighter vigilance against the North, days after its leader Kim Jong-Un warned of a “very grave situation” on the peninsula.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:35
Thales at Defence Services Asia
 

April 11, 2014 Thales

 

Thales, a global technology leader for the Aerospace, Transportation and Defence & Security markets, will be participating in the 14th Defense Services Asia (DSA) exhibition and conference, which takes place in Kuala Lumpur, Malaysia, from 14 to 17 April.
A privileged partner for the Malaysian Ministry of Defence, Thales offers the full scope of its defence expertise and experience through programmes for the Naval, Air and Land forces. Thales has been operating in Malaysia since 1980 and will be exhibiting a wide range of equipment in the fields of Communication, Optronics and Air operations at DSA Malaysia 2014.


Advanced air defence

Thales is leading the way for air defence solutions and is able to deliver a fully integrated air defence capability, from radars and C2 centres through to effectors and their respective fire control systems. Thales’s Advanced Air Defence offering is an integrated set of solutions designed to ensure timely decision-making and effective responses for the protection of military forces, key assets, nations and citizens around the globe. Thales and ThalesRaytheonSystems have developed, manufactured and supported best-in-class air defence systems for customers worldwide for more than 40 years. Over 300 air defence radars have been sold to 26 countries. Thales is also the world's leading supplier of integrated weapon systems, with more than 450 mobile, integrated systems in service with customers throughout the world. Its solutions include the STARStreak system, integrated on a wide range of armoured vehicle
platforms. Thales’s innovations in open systems architecture are behind the development of the RAPID range of mobile integrated weapon systems, which combine sophisticated sensors, fire control software, latest-generation human-machine interfaces and a wide range of weapons, including missiles and guns. The RAPID range of weapon systems will be presented at DSA, as well as the 3D Ground Master radar family.

 

Optronics

Thales is a pioneer in optronic equipment and systems, with thousands of products in service in more than 60 countries. Working closely with its partners and end users, Thales draws on a range of advanced optronics technologies to develop imaging and image processing solutions, tailored to the precise requirements of each customer. At DSA, Thales will showcase its optronic equipment aimed at evaluating critical situations at both tactical and strategic levels.

 

Communication, Navigation and Identification systems

Thales proposes a broad array of communication products and solutions to provide the armed forces with the information superiority and network-centric capabilities they need. Thales offers interoperable systems and a complete range of tactical radios for all levels of command, from C2 centres to infantry in the field and for land, air and naval platforms, to meet the requirement for air-to-air, ground-to-air and surface-to-air communications. Thales is also a world leader in proven identification systems with the capability to provide real-time identification of friendly forces in the most demanding environments. A wide range of communication and identification systems will be exhibited on the Thales stand.

 

C4I solutions

 Thales, as a lead system integrator, provides interoperable, secure and critical C4ISR (Computerised, Command, Control, Communications, Intelligence, Surveillance and Reconnaissance) systems for information superiority on the digitised battlespace, in order to support the decision-making process for
Commander and Crew and at the tactical operational level for Defence and Army forces. C4ISR solutions for information superiority on the digitised battlespace will be on display on Thales’s stand.

 

Thales's technologies in naval solutions will also be presented on the stand. They include state-of-the-art naval sensor systems and a new development in integrated sensor, effector and combat management technology especially for smaller vessels.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:30
Turkey to develop thermobaric warhead

 

 

Apr 10 2014 trdefence.com

 

A recently leaked classified document involving a top (former) procurement agency official has revealed that Turkey has started development on a new type of weapon that utilizes thermobaric concepts. Authorities were not immediately available for comment to confirm or deny the new information..

 

The leaked document indicates that a specialized wing of Turkey’s Scientific and Technological Research Council, dubbed SAGE, has been charged by the country’s defence ministry with prototyping and testing of the new weapon following a high level defence committee meeting in 2013. Current status of the project is unknown, but the fact that the news surfaced while Russia accused Ukraine of illegally selling its missile technology to Turkey and a number of other countries has raised eyebrows.

 

Turkey is known for keeping its more advanced weapon systems classified for many years.

 

A thermobaric weapon is a type of explosive that utilizes oxygen from the surrounding air to generate an intense, high-temperature explosion, and in practice the blast wave such a weapon produces is typically significantly longer in duration than a conventional condensed explosive. The specific weapon Turkey is working on is presumed to be a fuel-air bomb, one of the most well-known types of thermobaric warheads..

 

These cause considerably more destruction than other similar explosives when used in lower altitudes or inside confined environments such as tunnels, caves, and bunkers.

 

The new thermobaric warhead is likely to be aircraft deliverable, but it is also expected that Turkey will make them an option on its growing inventory of surface-to-surface missile systems.

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