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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 13:25
photo 3e REI

photo 3e REI

 

10/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 21 au 28 octobre 2015, les Forces armées en Guyane (FAG) ont participé à une opération d’envergure conduite par les forces armées brésiliennes le long de leur frontière commune avec la Guyane. Baptisée Agata 10, cette opération qui engage à la fois des moyens militaires et des moyens de police, avait pour objectif de lutter contre les trafics transfrontaliers sur la frange côtière et le long du fleuve Oyapock.

 

Agata 10 a permis aux FAG de renforcer leur coopération avec les forces brésiliennes dans la lutte contre la pêche et l’orpaillage illégaux, deux domaines considérés comme des enjeux stratégiques et sécuritaires majeurs par nos deux pays.

 

Pendant toute la durée de la mission, des éléments du 3e Régiment étranger d’infanterie (REI) ont mené des actions conjointes avec leurs homologues du 34e Batalhão de infantaria de Selva (34e BIS), unité binôme du 3e REI stationnée à Macapa, capitale régionale de l’Amapa, mais également avec le 2e BIS, stationné à Belem et déployé dans la région de l’Oyapock pour l’opération Agata 10. Ainsi, les FAG et les forces armées brésiliennes ont conduit conjointement des patrouilles fluviales et des contrôles le long du fleuve Oyapock afin de lutter contre les flux logistiques qui alimentent l’orpaillage illégal en Guyane et dans la région transfrontalière. L’opération a également permis de saisir une importante quantité de matériel dédié au soutien des garimpeiros, chercheurs d’or. Enfin, des patrouilles maritimes conjointes ont abouti à des résultats concrets à mettre au solde de la lutte contre la pêche illégale.

 

Le 24 octobre 2015, le ministre de la défense brésilienne s’est rendu à la frontière guyanaise accompagné d’une importante délégation d’officiers généraux brésiliens, dont le chef d’état-major des armées et le chef d’état-major de la Marine. La présence des plus hautes autorités de la défense brésilienne confirme l’intérêt porté par notre partenaire à la problématique des trafics transfrontaliers. Elle témoigne également de sa détermination à poursuivre l’action de terrain menée avec les forces françaises pour juguler l’activité des orpailleurs et des pêcheurs illégaux, en lien avec les autres acteurs étatiques.

 

Le général de division aérienne Dupont, commandant supérieur des FAG, accompagné par colonel Ransan, chef de corps du 3eREI, représentait la France lors de cet évènement. Il s’est entretenu avec les autorités présentes pour évoquer les perspectives de renforcement de la coopération opérationnelle entre les deux pays.

 

A 7 000 km de la métropole, les FAG garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’État dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent sur un territoire rendu exigeant par son étendue (1 100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

photo 3e REI

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 12:50
photo Sedeyn Ritchie - MIL.be

photo Sedeyn Ritchie - MIL.be


10 nov. 2015 par MIL.be

 

Le camp militaire San Gregorio de Saragosse est l’un des dix quartiers généraux engagés dans l’exercice OTAN Trident Juncture. Nos troupes y sont cantonnées en grande partie. En octobre et novembre, quelque 900 militaires belges sont engagés afin d’obtenir leur certification à la Force de réaction 2016 de l’OTAN.


 

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 12:50
Le Haut représentant pour la Bosnie-Herzégovine, Valentin Inzko, devant le Conseil de sécurité. Photo Eskinder Debebe ONU

Le Haut représentant pour la Bosnie-Herzégovine, Valentin Inzko, devant le Conseil de sécurité. Photo Eskinder Debebe ONU

 

10 novembre 2015 – ONU

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté mardi une résolution autorisant la prorogation pour un an de la force de l'Union européenne en Bosnie-Herzégovine (EUFOR Althea) chargée de surveiller la mise en œuvre de l'Accord de paix de Dayton qui a mis fin au conflit en 1995.

 

Dans cette résolution, les membres du Conseil se félicitent « de l'intention manifestée par l'Union européenne de poursuivre son opération militaire (EUFOR Althea) en Bosnie-Herzégovine après novembre 2015 ».

 

Ils autorisent les Etats membres, agissant par l'intermédiaire de l'Union européenne ou en coopération avec elle, « à créer pour une nouvelle période de douze mois à compter de la date d'adoption de la présente résolution une force multinationale de stabilisation (EUFOR Althea) ».

 

Le Conseil de sécurité a souligné à nouveau que c'est à l'ensemble des autorités de Bosnie-Herzégovine qu'il incombe au premier chef de continuer à assurer l'application efficace de l'Accord de paix et a constaté que la communauté internationale et les principaux donateurs sont toujours disposés à les y aider.

 

Il a salué l'adoption par les autorités bosniaques, en juillet 2015, du programme de réforme, « qui sera une étape importante pour mettre en œuvre, de manière crédible, les engagements qu'elles ont pris », et leur a demandé « de conserver cette dynamique positive en matière d'application des réformes ».

 

Les membres du Conseil ont également demandé à l'ensemble des autorités de Bosnie-Herzégovine « de coopérer pleinement avec le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, ainsi qu'avec le Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des tribunaux pénaux, pour que le Tribunal puisse achever ses travaux et pour contribuer à ce qu'il ferme le plus rapidement possible ».

 

À quelques jours du vingtième anniversaire de l'Accord de Dayton, le Haut-Représentant chargé d'assurer le suivi de son application a estimé mercredi devant le Conseil de sécurité que la situation en Bosnie-Herzégovine, « qui a pris depuis une direction regrettable », demeurait préoccupante.

 

« La Bosnie-Herzégovine a désespérément besoin de faire preuve d'unité et d'œuvrer à la poursuite d'un objectif commun », a déclaré Valentin Inzko aux membres du Conseil.

 

Pour lui, les solutions aux problèmes « systémiques » auxquels est confrontée la Bosnie-Herzégovine passent par une « volonté politique » de mener d'ambitieuses réformes sur les plans politique, social et économique, et par un « engagement inflexible » à respecter les Accords de paix de Dayton.

 

Alors que la Bosnie-Herzégovine a adopté le premier train de réformes exigé par l'Accord de stabilisation et d'association avec l'Union européenne, entré en vigueur le 1er juin dernier, M. Inzko a estimé qu'il était difficile de comprendre les agissements de certains politiciens déterminés, selon lui, à déstabiliser la situation dans le pays.

 

Il a ainsi condamné la décision des autorités de la Republika Srpska de tenir un référendum pour déterminer si cette « entité administrative » devrait « quitter l'espace judiciaire commun de la Bosnie-Herzégovine » et reconnaître l'autorité du Haut-Représentant, « et notamment la validité des lois qu'il a promulguées ».

 

Cette annonce avait été précédée, le 25 avril, par celle faite « par le parti au pouvoir en Republika Srpska », de son intention d'organiser, en 2018, un autre référendum, celui-ci portant sur l'indépendance même de la Republika Srpska.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 12:45
Chad declares state of emergency in Boko Haram-hit region

 

10 November 2015 defenceWeb (Reuters)

 

.Chad has declared a state of emergency in the Lake Chad region after a series of raids and suicide bombings there by militant Islamist group Boko Haram, the government said on Monday.

 

Chad was instrumental in forcing Boko Haram to cede territory earlier this year, undermining its six-year campaign to carve out a Nigerian caliphate.

 

But guerrillas have since ramped up attacks in remote border areas around Lake Chad, killing at least three people in a Chadian village on Sunday and three Nigerian refugees in northern Cameroon on Monday.

 

Chad's Communications Minister Hassan Sylla Bakari said the order, effective immediately, would grant authorities new powers to search and monitor residents in the region.

 

There has not been a state of emergency in Chad, one of Africa's military heavyweights, since a series of rebellions in the 2000s springing from its volatile east. Neighbouring Niger also has a state of emergency in its border region of Diffa.

 

A top U.N. official said last month that an 8,700 regional task force will begin joint raids against Boko Haram when the rainy season ends soon.

 

Vice Admiral Michael Franken, U.S. Africa Command's Deputy for Military Operations, told Reuters on Monday he expected Nigeria-led actions to lead to a "significant degradation" in Boko Haram's activities within six months.

 

The United States has sent troops to provide intelligence and other assistance to counter Boko Haram

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 12:45
La professionnalisation des armées arabes face à un nouveau contexte stratégique régional: les cas de l’Algérie, de la Tunisie et de l’Égypte


06/11/2015  Flavien BOURRAT - IRSEM


"La professionnalisation des armées arabes face à un nouveau contexte stratégique régional : les cas de l’Algérie, de la Tunisie et de l’Égypte"
 

Un nouveau contexte stratégique caractérise le monde arabe, posant avec une acuité particulière la question des capacités des forces armées locales à affronter des défis vis-à-vis desquels elles n’ont pas été préparées. Ce contexte est désormais marqué par la montée en puissance d’un jihadisme armé et territorialisé ...

 

Numéro 24 - 2015 (pdf - 694 ko)

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 12:35
Exercise Southern Katipo 2015 - Welcoming our Pacific Island Bretheren



10 nov. 2015 New Zealand Defence Force

 

Here is a video of soldiers from Fiji, Papua New Guinea and Tonga in Exercise Southern Katipo 2015. Sharing a common cultural affinity, the soldiers from the pacific nations are keen to exercise with the NZDF and it's coalition partners.


Exercise Southern Katipo (SK15) is the New Zealand Defence Force’s (NZDF) major military exercise and occurs every two years. Personnel from New Zealand and eight other countries - Australia, Canada, Fiji, France, Papua New Guinea, Tonga, the United Kingdom, and the United States will participate in the month-long international exercise in the Buller, Tasman and Marlborough regions of the South Island.

The exercise aims to test and evaluate the NZDF’s ability to plan and conduct joint operations involving a range of naval, land and air assets from various nations.

The training scenario is set in a fictional South Pacific country called Becara, which is fighting for its political survival after being beset for years by rising poverty, massive unemployment and low foreign investor confidence. Two hostile groups are exploiting the government’s vulnerabilities and are jockeying for power. Following a request for assistance from the Becaran government, New Zealand has deployed a military contingent to lead a multinational Combined Joint Task Force that will help restore law and order in the South Pacific country. The multinational task force will be conducting stability, support and humanitarian operations, including the evacuation of internal displaced persons, as they strive to set the conditions for Becara’s economic and social recovery.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 11:30
 Première frappe en Syrie des Mirage 2000 - mission de "Air Interdiction" avec des GBU 24 photo EMA/Armée de l’air

Première frappe en Syrie des Mirage 2000 - mission de "Air Interdiction" avec des GBU 24 photo EMA/Armée de l’air

 

09 Novembre 2015 par Jean-Dominique Merchet

 

Le cadre juridique de l’opération française reste incertain et fluctuant

 

«En Syrie nous sommes intervenus hier soir par une frappe sur un point de délivrance pétrolier aux environs de Deir Ezzor» a annoncé le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, ce lundi matin. Il s’agit de la troisième frappe française contre Daech en Syrie, depuis la décision prise le 4 septembre d’étendre l’opération Chammal à ce pays.

 

Les Armées précisent que cette « mission aérienne, engagée depuis la Jordanie, était constituée de deux Mirage 2000 de l’armée de l'Air (un 2000 D et un 2000 N). Le raid a duré près de 2 heures. Planifiée sur un objectif préalablement identifié lors des missions de renseignement réalisées par la France, cette opération a été conduite en coordination avec la Coalition», c’est-à-dire les Américains.

 

Cette nouvelle frappe pose un problème juridique. De manière un peu contournée, le gouvernement avait d’abord expliqué que les deux premières se faisaient dans le cadre de la «légitime défense collective» afin d’empêcher des attentats sur le sol national. Des centres d’entrainements étaient visés, dans la mesure où ils accueillaient des djihadistes que l’on soupçonnaient de préparer des attentats en France. Contrairement au Royaume-Uni, la France n’a pas communiqué d’éléments précis sur l’identité des personnes ainsi visées. Ces frappes s’apparentent à des éxécutions ciblées, y compris contre des ressortissants français.

 

La dernière frappe ne relève pas de cette logique puisqu’elle visait explicitement les infrastuctures pétrolières de Daesh, qui lui assure un partie de son financement.  «En frappant les capacités d’exploitation pétrolière contrôlées par Daech en Syrie, ce sont les ressources financières, qui constituent un des centres de gravité de ce groupe terroriste, qui sont visées», indique un communiqué officiel.

 

La France pourrait faire valoir le droit de poursuite, en frappant au-delà de la frontière syrienne une organisation qu’elle « tape » du côté irakien.  Toutefois la justification juridique reste  bien fragile. La France n’a ni l’accord explicite du gouvernement syrien, ni un mandat des Nations unies lui permettant de le faire. Un accord «implicite» de Bachar suffit-il ? Mais cela revient à lui reconnaitre sa légitimité...

 

On le voit, Paris change de posture en cours de route, abandonnant les premières explications sur la légitime défense. Paris rompt ainsi avec une longue tradition de défense du droit international. Est-on sûr que tout le monde a bien pris la mesure d’un tel revirement doctrinal, qui place la France de François Hollande plus près de George W. Bush que du discours de 2003 de Dominique de Villepin aux Nations Unies ?

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 08:55
photo USMC

photo USMC

 

10.11.2015 source SHD
 

10 novembre 496 : bataille de Tolbiac (Allemagne actuelle). Le roi Clovis écrase les Alamans près de l'actuelle ville de Cologne après avoir invoqué le Dieu de sa femme Clothilde. En remerciements de cette victoire, il décide de se convertir au christianisme et est baptisé par l'évêque Saint Rémi.

 

10 novembre 1444 : bataille de Varna (Bulgarie). Défaite des croisés (d'Europe centrale) face aux Turcs trois fois plus nombreux, sur les bords de la mer Noire. Le roi de Hongrie Ladislas III meurt dans la bataille. Constantinople sera conquise 9 ans plus tard.

 

10 novembre 1555 : Villegagnon débarque dans la baie de Guanabara (actuel Brésil). L’amiral français tente de créer une colonie avec 600 colons. Les Portugais détruisent ce qui reste de l’implantation française le 20 janvier 1567.

 

10 novembre 1567 : bataille de Saint-Denis. Les protestants commandés par le Prince de Condé et l’amiral de Coligny ont tenté d’enlever Charles IX, le roi de France près de Meaux(28 septembre)  et suite à leur échec assiègent Paris. Le connétable Anne de Montmorency effectue une sortie pour briser le siège et est mortellement blessé d’un coup de feu dans le dos. Sur son lit de mort et en réponse à son confesseur: « Pensez-vous que j’aie vécu près de quatre-vingts ans pour ne pas savoir mourir un quart d’heure ? »

 

10 novembre 1775 : le congrès des Etats-Unis créé les Continental Marines (ancêtre du USMC). Au cours de la guerre d’indépendance des Etats-Unis d’Amérique, deux bataillons d'infanterie embarquée, sont constitués par le Congrès le 10 novembre 1775 sous le nom de Continental Marines. Ceux-ci sont démobilisés dès 1785 mais la « quasi-guerre » (quasi-war) contre la France amène le Congrès à voter un texte recréant un corps de fusiliers marins le 11 juillet 1798. Ce corps sera alors placé sous l'autorité directe du Secrétaire à la Marine.

 

 

10 novembre 1936 : décès de Louis Gustave Binger (à 80 ans). Capitaine issu du rang et premier gouverneur de la Côte d'Ivoire (1893-1895), il est l'un des plus grands explorateurs français de l'Afrique. Il a notamment sillonné durant 2 ans la boucle du Niger (1887-1889) réalisant une moisson d'observations scientifiques qui lui ont valu l'attention de l'Académie française (pour ses ouvrages) ou encore de Jules Vernes. Il a aussi mené durant 2 ans une mission destinée à établir la frontière entre la Côte d'Ivoire et le futur Ghana (1892-1893). Malade, il rentre en métropole où pendant 10 ans, il est directeur des Affaires d’Afrique au Ministère des Colonies (1897-1907). Une ville de Côte d'Ivoire porte son nom.

 

10 novembre 1940 : entrée des Forces françaises libres dans Libreville (Gabon). Le colonel Leclerc à la tête d’un groupement interarmes organisé autour de la 13ème DBLE entre dans Libreville et bouscule les troupes vichystes.

 

10 novembre 1951 : début de la bataille de Hoa Binh (Guerre d'Indochine). « L’opération Tulipe est la phase préparatoire à l’opération Lotus qui elle est l’opération sur Hoa Binh. L’opération Tulipe vise à l’occupation de la trouée de Cho Ben : c’est une opération de couverture. Tulipe est déclenchée le 10 novembre, l’opération Lotus commence le 13 au soir avec le débouché de la colonne motorisée. Hoa Binh est occupée par les parachutistes (1er, 2e et 7e bataillons de parachutistes coloniaux) le 14 novembre qui sont rejoints dans l’après-midi par les premiers éléments des formations terrestres. Par ailleurs, le pays Muong n’est pas pris en tenaille. Hoa Binh est un abcès de fixation, un centre de résistance dont le but est d’attirer le corps de bataille viêt. Avec des résultats plus ou moins heureux. Les pertes françaises ont été sous-estimées : 436 tués + 458 disparus (dont beaucoup sont morts) et 1 360 blessés. C’est une estimation basse ». CDT Yvan Cadeau (SHD).

 

10 novembre 1977 : Luna 17 alunit. La sonde soviétique dépose en douceur sur la Lune un véhicule automatique équipé d’un réflecteur laser français.

 

10 novembre 1988 : révélations sur le F-117 Stealth. Une série d’accidents du bombardier furtif américain oblige l’US Air Force à révéler l’existence de ce fleuron technologique qui vole de manière opérationnelle depuis 1983. Retiré du service en 2008.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 08:55
photo SECDAM

photo SECDAM

 

09/11/2015 DICOD

 

Jean-Marc Todeschini,secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, a signé le vendredi 6 novembre 2015 un partenariat entre la Mission du Centenaire de la Première Guerre mondiale et la fédération française de rugby (FFR) à Verdun (Meuse).

 

Vendredi 6 novembre, Jean-Marc Todeschini, s’est rendu à Verdun (Meuse) pour signer un partenariat entre la Mission du Centenaire de la Première Guerre mondiale et la fédération française de rugby (FFR).

 

A la suite de cette signature, des actions commémoratives destinées à rendre hommage aux nombreux rugbymen professionnels et amateurs morts pendant la Grande Guerre seront mises en place : jusqu’en 2018, le maillot des joueurs français sera notamment orné d’un bleuet lors des rencontres internationales du XV de France, une minute d’hommage aux victimes de la Première Guerre mondiale sera observée et un court reportage audiovisuel ou un diaporama sera diffusé.

 

Des actions spécifiques seront aussi organisées lors des tests-matchs contre les équipes de l’hémisphère Sud lors de l’année 2016, qui sera marquée par le centenaire des batailles de Verdun et de la Somme. Ce partenariat permettra ainsi d’associer l’ensemble des Français amateurs de rugby aux commémorations du centenaire afin d’en faire un événement véritablement populaire.

 

La signature du partenariat a été précédée par une cérémonie d’hommage à Léon Larribau, ancien rugbyman mort pour la France en 1916 et dont les restes reposent à la Nécropole nationale de Glorieux.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 18:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

09/11/2015 Par Alain Barluet , Mathilde Golla – LeFigaro.fr

 

Le ministre de la Défense a annoncé que de nouvelles frappes aériennes visant un centre d'approvisionnement ont été menées dans la nuit de dimanche à lundi près de Deir Ezzor, dans l'est de la Syrie. L'objectif est d'affaiblir les ressources financières de Daech en plus de ses moyens militaires.

 

La France veut frapper Daech au portefeuille. Un mois après ses premières frappes, l'Hexagone est intervenu dans la nuit de dimanche à lundi en Syrie mais cette fois, les chasseurs français ont bombardé un centre d'approvisionnement pétrolier du groupe Etat islamique (EI), a annoncé le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian. «En Syrie nous sommes intervenus (...) hier soir par une frappe sur un point de délivrance pétrolier aux environs de Deir Ezzor à la frontière entre l'Irak et la Syrie», a-t-il déclaré en marge du Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique. «Des files de camions ont été détectées par notre renseignement autour de ce point et nous les avons frappé», indique une source bien informée.

Il s'agit de la troisième frappe française en Syrie depuis la décision du président François Hollande d'engager des opérations aériennes contre le groupe EI, début septembre. Les deux premières avaient visé des camps d'entraînement où se trouvent des combattants étrangers, soupçonnés selon Paris de préparer des attentats en France. La France élargit donc cette fois ses opérations à un centre d'une autre nature, où «l'on prend du pétrole pour le délivrer ailleurs», a indiqué Jean-Yves Le Drian.

«Affaiblir Daech consiste d'abord à «taper» ses centres de gravité», explique une bonne source militaire. De fait, l'EI tire une partie importante de ses revenus du commerce de pétrole. Cette manne tirée du pétrole par Daech sur les territoires qu'il contrôle s'élèverait à 500 milliards de dollars par an, selon des chiffres publiés par le Financial Times. Or, cette source de revenus se tarit à mesure des bombardements stratégiques des forces alliées sur les infrastructures. «Daech a désormais du mal à faire vivre son «Etat» avec cette manne financière, il a même des difficultés à se fournir lui-même en pétrole», indique Alain Rodier, directeur de recherche chargé du terrorisme au Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R).

 

De la difficulté de définir des cibles

A propos des prochaines frappes de la France, François Hollande a ouvert la voie à un élargissement des actions contre l'EI en déclarant vouloir «frapper les camps d'entraînement et tous les lieux à partir desquels le terrorisme pourrait menacer notre territoire». Il a également annoncé le déploiement prochain du porte-avions français Charles-de-Gaulle dans la région afin d'accroître la capacité de frappes de l'armée française en Irak et en Syrie. «Affaiblir Daech consiste d'abord à «taper» ses centres de gravité», explique une bonne source militaire.

Mais «c'est difficile de déterminer des cibles fiables. Il faut trouver des installations fixes, crédibles et en dehors de la population civile, affirme Alain Rodier. Le souci des frappes alliées est de ne pas effectuer de pertes collatérales car cela pourrait retourner l'opinion publique contre la coalition et en faveur des combattants de l'EI. Or l'adversaire se déplace parmi les populations civiles», ajoute l'expert. «Les forces de l'Etat islamique (EI) utilisent des parades, notamment en plaçant ses centres de commandement dans des mosquées, des hôpitaux et des écoles, ce qui exclut des frappes, ajoute la bonne source militaire. Toutefois, «Daech recrute des activistes de haut niveau -médecins, ingénieurs…-, et a besoin de ressources pour les payer». «Il nous faut donc assécher les sources de financement», poursuit-elle en affirmant que «la France bombardera encore en Syrie».

Pour mieux cerner ses cibles, la France mène des vols de reconnaissance. Les frappes françaises, y compris celle de dimanche, ont été réalisées sur la base de renseignement collecté par les Français lors de vols de reconnaissance, a souligné le ministre de la Défense. «Nous avons davantage de renseignements depuis que le président de la République a souhaité que nous volions au-dessus de la Syrie. Nous avons pu accumuler beaucoup de cibles potentielles», a souligné le ministre. Concernant l'efficacité des frappes de la coalition, «nous n'avons pas de recul. Rien ne permet aujourd'hui d'affirmer si elles sont utiles ou pas. On ne sait si les frappes qui visent les camps d'entrainement par exemple permettent de toucher de potentiels djihadistes», indique Alain Rodier.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:55
Simuler n’est pas jouer (JDef)

 

9 nov. 2015 par JDEF

 

Inspirée des jeux vidéo, la simulation est devenue un outil incontournable pour les armées. Partie intégrante de l’apprentissage et de la préparation opérationnelle, les technologies ultra élaborées du jeu sont aujourd’hui un véritable complément de l’entrainement réel.

Dans ce numéro, le Journal de la Défense (JDef) vous fait découvrir les nouveaux outils de formation et d’entrainement utilisés au sein des forces armées.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:50
Le service du renseignement militaire inaugure son exposition

 

9 nov. 2015 MIL.be

 

A l’occasion du centième anniversaire du Renseignement et de la Sûreté Militaire, le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) organise une exposition du 6 novembre au 6 décembre  2015 à l’Institut National des Vétérans et des Invalides de guerre à Bruxelles.

Cette exposition met en lumière le passé, le présent et le futur du Service. Le visiteur fait la connaissance de thèmes comme le rôle des femmes dans le renseignement, l’affaire de l’espion Guy Binet et le réseau stay behind SDRA 8.

L’exposition est ouverte au public dès le 7 novembre jusqu’au  6 décembre 2015.  L ‘entrée est gratuite

 

 

Le service du renseignement militaire inaugure son exposition

Le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) existe depuis un siècle. Le 6 novembre, et afin de célébrer cet anniversaire, ses membres inauguraient l’exposition CLASSIFIED, the history of the Belgian military intelligence and security service. Le lieutenant général Eddy Testelmans, chef du SGRS, présentait également le livre du même nom.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:50
Photos : Special Forces Group

Photos : Special Forces Group

 

06/11/2015 Liesbeth Bardyn – MIL.be

 

Les forces spéciales s’entraînent intensivement dans la ville espagnole de Rota située à plus de 900 kilomètres du quartier général de Trident Juncture 2015. De fin octobre à début novembre, le Special Operations Maritime Task Group belgo-néerlandais se prépare à être engagé comme élément au sein de la NATO Response Force (NRF).

 

La côte sud de l’Espagne abrite la station balnéaire de Rota. Une importante base navale des forces espagnoles se situe non loin de ce lieu de villégiature. Il n’y a point de meilleur contraste entre la détente et l’effort. En effet, nos forces spéciales s’entraînent jour et nuit dans la base afin d’obtenir la certification du groupe de force de réaction 2016 de l’OTAN dont ils font partie : le Special Operations Maritime Task Group.

 

Ce concept binational nécessite une étroite coopération entre le Special Forces Group (SFG) belge et celui des Néerlandais. Ces derniers mettent un sous-marin à disposition tandis que les Belges jettent leurs bateaux à moteur FRISC dans la bataille. Nos forces spéciales ont ainsi pu déjà se jeter à l’eau près du HMS Bruinvis, sous-marin de nos voisins du nord. Leurs collègues néerlandais ont également effectué un saut en chute libre avant d’être repris en mer par leur sous-marin. Parmi eux, se trouvait un membre de nos forces spéciales qui a pu, de la sorte, vivre une nouvelle expérience. Notre Composante Marine ne disposant pas de sous-marins.

 

Plus tard, les équipes se soutenaient lors d’une direct action. Au cours de cette brève et puissante offensive, les forces spéciales ont maîtrisé et enlevé les chefs d’une zone de conflit. Finalement, et grâce à leurs FRISC, les Belges ont prêté main forte aux Néerlandais ainsi qu’aux forces spéciales canadiennes.

 

Nos forces spéciales sont donc sur la bonne voie pour obtenir leur certification 2016 auprès de la Force de réaction de l’OTAN. La collaboration binationale demeure le fer de lance de cet exercice.

Photos : Special Forces GroupPhotos : Special Forces Group

Photos : Special Forces Group

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:45
Le départ d’une visite VIP est l’occasion pour la Force Protection d’établir un périmètre de sécurité - photo MIL.be

Le départ d’une visite VIP est l’occasion pour la Force Protection d’établir un périmètre de sécurité - photo MIL.be

 

29/10/2015 Texte & photos : Karen Bral – Vidéo : DG Com

 

Depuis 2013, l'Union européenne envoie des instructeurs au Mali afin de former les troupes maliennes. Il s'agit de la Mission Européenne d'Entraînement au Mali (European Union Training Mission Mali,EUTM). La Belgique s'y est engagée afin d'assurer la sécurité. Depuis septembre de cette année, le Bataillon de Chasseurs à Cheval, également connu en tant que Bataillon ISTAR, s'occupe de la Force Protection dans le secteur du camp d'entraînement de Koulikouro.

 

« Vu que les instructeurs se concentrent uniquement sur leurs cours, ils ne veillent absolument pas à leur propre sécurité », déclare Niels, chef de peloton. « Nous sommes donc là pour les protéger et faire en sorte qu'ils puissent faire leur travail sans entraves. Il n'y a pas eu d'incidents durant les six dernières semaines mais il arrive que les Maliens s'approchent trop du stand de tir ou encore que des enfants soient dans le chemin », poursuit-il. « Nous nous assurons qu'ils restent bien à distance de sécurité. »

 

 

photo MIL.bephoto MIL.be

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Un autre aspect de la mission de sécurité est de maintenir des équipes d'intervention rapide de permanence. On les nomme Quick Reaction Forces, ou QRF. « Trois sections se tiennent parées à chaque fois pendant 24 heures pour intervenir dans un délai de cinq, quinze ou trente minutes », explique le chef de section Quentin. « Nous escortons par exemple des dépanneuses quand des véhicules sont embourbés ou lorsqu'une ambulance démarre. Ils n'encourent ainsi aucun risque durant leur mission. »

 

Les escortes vers la capitale Bamako sont une autre de leurs activités. C'est dans son aéroport que transitent les militaires qui sont toujours accompagnés d'une Force Protection. Enfin, leur dernière tâche consiste à monter la garde et patrouiller dans et hors du camp d'entraînement.

 

Pour beaucoup de militaires du détachement, il s'agit de la première opération à l'étranger. Ils sont, dès lors, très enthousiastes et motivés à mener leur mission à bien. Les éclaireurs resteront en poste au Mali jusque mi-janvier. Ils seront alors relevés par les fantassins du Bataillon 12 de Ligne Prince Léopold – 13 de Ligne de Spa.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:45
Armées : la force de l’UA fin prête

 

8 novembre 2015 BBC Afrique

 

S'exprimant lors d'une cérémonie marquant la fin de la formation d’une durée de près d’un mois, le président sud-africain Jacob Zuma a encouragé les militaires, les policiers et les civils qui en sont membres.

 

Le général Elia, un responsable militaire a indiqué qu’à partir de décembre prochain, ''cette force sera prête à être déployée sur le terrain''. Elle est appelée à intervenir dans les Etats membres de l'UA, "dans des circonstances graves : crimes de guerre, crimes de génocide et crimes contre l'humanité". "Nous avons beaucoup travaillé lors des entrainements, des exercices physiques. La force que nous avons est prête à être déployée sur le terrain. Ce qu’il faut faire maintenant, c’est lui apporter le soutien nécessaire", a dit le général Elia, lors de la cérémonie présidée par M. Zuma.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:40
AK-47 assault rifle. © Vitaly Ankov / RIA Novosti

AK-47 assault rifle. © Vitaly Ankov / RIA Novosti

 

9 Nov, 2015 RT.com

 

Russian gun maker Kalashnikov Group is in discussions with Indian firms about starting weapons production in the country, according to Kalashnikov CEO Alexei Krivoruchko.

 

“We are in talks with both public as well as private companies in India. But it is a bit early to offer any specific names, as we are still at negotiations," Krivoruchko told the Press Trust of India news agency (PTI) on Monday.

 

Discussions started in early 2015, although some Indian companies have shown an interest in producing Kalashnikov rifles since 2008, he added. He also said India’s Defense Ministry is not involved in the talks.

 

Around $100 million will be needed to begin production, according to the CEO. That excludes the cost of utilities and manufacturing facilities.

 

"Initially we are expecting production of at least 50,000 units per year with a potential of scaling up production in the future," Krivoruchko said, specifying that India is primarily interested in the 5.56mm and the 7.62mm automatic weapons.

 

The Kalashnikov Group was created in 2013 with the merger of two gun makers, Izhmash and Izhevsk Mechanical Plant. The firm exports to 27 countries, including the USA, UK, Germany and Italy. The AK-47 assault rifle is one of the most popular and widely used assault rifles in the world.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

09/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans la nuit du 8 novembre 2015, les forces françaises de l’opération Chammal ont frappé un site de distribution de pétrole contrôlé par Daech au Sud-Est de Deir ez-Zor en Syrie.

 

Engagée depuis la Jordanie, la mission aérienne était constituée de deux Mirage 2000 de l’armée de l'Air (un Mirage 2000 D et un Mirage 2000 N). Le raid a duré près de 2 heures. Planifiée sur un objectif préalablement identifié lors des missions de renseignement réalisées par la France, cette opération a été conduite en coordination avec la Coalition.

 

En frappant les capacités d’exploitation pétrolière contrôlées par Daech en Syrie, ce sont les ressources financières, qui constituent un des centres de gravité de ce groupe terroriste, qui sont visées. 

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale, trois Mirage 2000D et trois Mirage 2000N) et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2. Il comprend également des militaires projetés à Bagdad et Erbil pour la formation et le conseil des militaires irakiens. Depuis le 24 septembre 2015, la frégate anti-aérienne (FAA) Cassard a rejoint les forces françaises engagées au Levant.

 

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:20
Patriot radar array (photo Raytheon)

Patriot radar array (photo Raytheon)

 

TEWKSBURY, Mass., Nov. 9, 2015 /PRNewswire

 

The United States Army is acquiring upgrade kits to make the combat-proven Patriot Integrated Air and Missile Defense system better at detecting and destroying threats, cost less to operate, and run even more reliably than it already does. The U.S. Army recently awarded Raytheon Company (NYSE: RTN) a contract modification to an existing contract for radar digital processor (RDP) upgrade kits, not to exceed the amount of $86.2 million.

The contract modification, previously announced on Sept 30th, will enable the U.S. Army to finish upgrading their entire inventory of Patriots.  The U.S. Army began phasing the upgrade kits into its Patriot fleet in 2013.

The U.S. and members of the 13-nation strong Patriot partnership funded development of the RDP. Patriot batteries upgraded with the RDP will:

  • Better detect and identify targets, and have enhanced surveillance.
  • Cost less to operate and maintain. The legacy processor has more than 700 components, while the RDP just has fewer than 100.
  • Have a 40% higher reliability rate than systems with the legacy component.

"When one country develops an upgrade or improvement to Patriot, that capability is made available to the entire 13-nation Partnership," said Ralph Acaba, Raytheon vice president of Integrated Air and Missile Defense. "With more than 220 Patriot fire units owned by 13 countries, countries whose industrial bases participate in manufacturing Patriot have a very large potential export market."

The RDP and other Patriot upgrades leverage the lessons learned from Patriot's more than 190 combat employments, 700 flight tests and 2,500-plus ground tests.

 

About Global Patriot Solutions

Raytheon's Global Patriot Solutions is the most advanced portfolio of air and missile defense technologies in the world, providing comprehensive protection against a full range of advanced threats including aircraft, tactical ballistic missiles, cruise missiles and unmanned aerial vehicles. Continually upgraded and enhanced to leverage the latest technology, thirteen nations depend on Patriot as the foundation for their defense. 

 

About Raytheon

Raytheon Company, with 2014 sales of $23 billion and 61,000 employees worldwide, is a technology and innovation leader specializing in defense, civil government and cybersecurity markets throughout the world. With a history of innovation spanning 93 years, Raytheon provides state-of-the-art electronics, mission systems integration and other capabilities in the areas of sensing; effects; and command, control, communications and intelligence systems, as well as cybersecurity and a broad range of mission support services. Raytheon is headquartered in Waltham, Mass. For more about Raytheon, visit us at www.raytheon.com and follow us on Twitter @Raytheon.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 16:56
L’école de l’aviation embarquée (EAE) à bord du Charles de Gaulle - Katsuhiko Tokunaga

L’école de l’aviation embarquée (EAE) à bord du Charles de Gaulle - Katsuhiko Tokunaga

 

09/11/2015 Sources : Marine nationale

 

Depuis le 3 novembre 2015, le porte-avions Charles de Gaulle a quitté son port base de Toulon pour une période de deux semaines consacrée à l’école de l’aviation embarquée (EAE). Cette période à la mer permet aux nouveaux pilotes de l’aviation embarquée de la Marine nationale de se qualifier à apponter sur le porte-avions nucléaire français.

 

Pour se préparer, ces pilotes ont suivi un entraînement particulièrement poussé, propre aux pilotes de l’aéronautique navale. Formés initialement aux États-Unis dans le Mississipi, ils ont réalisé leurs premiers appontages sur porte-avions américain. Ils se sont ensuite entraîné plusieurs semaines à terre, au cours d’appontages simulés sur piste (ASSP) sur les Bases d’Aéronautique Navale de Landivisiau ou Lann-Bihoué, ainsi que sur la Base Aérienne d’Istres. Pour ces jeunes pilotes, l’enjeu de cette période d’EAE est avant tout de s’adapter à l’environnement du Charles de Gaulle.

Pour se qualifier, ils doivent réaliser une série de six appontages jugés satisfaisants. Leur performance est évaluée par les officiers d’appontage (OA), des pilotes experts sur un type d’avion en particulier : Rafale, Super Étendard Modernisé (SEM) ou E 2-C Hawkeye. In fine, la décision de qualifier un pilote revient au commandant du porte-avions.

Si elle permet de les qualifier, la période d’école de l’aviation embarquée n’est pour les jeunes pilotes qu’une première étape avant d’être pleinement opérationnels. Il leur faut maintenant « vieillir » pour accrocher la «confirmation» et poursuivre en parallèle l’acquisition de qualifications tactiques en assaut ou défense aérienne.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 16:55
photo B-Temia, Inc

photo B-Temia, Inc

 

Québec and Boulogne-Billancourt, November 9, 2015  B-Temia

 

Canadian company B-Temia, Inc. and French company Sagem (Safran) today announced the signature of a technological and business development agreement concerning a new-generation of exoskeletons for industrial and military applications.

 

Exoskeletons are bio-mechanical and electronic structures worn on the body to assist and enhance people's movements, or to restore mobility.

 

According to the terms of this agreement, Sagem and B-Temia will jointly develop and market new-generation exoskeletons. Sagem will contribute its long experience in the integration of complex systems, its innovative actuators and stabilization technologies.  B-Temia, an exoskeleton technology leader, will contribute its experience in human robotics and artificial intelligence, based on its proprietary "Dermoskeleton™" technology, already in production for the healthcare sector.

 

"B-Temia is very proud of this partnership with Sagem, focused on the development and production of our dermoskeleton products. This agreement confirms our company's technology leadership business value, and the credibility of our work addressing increased human mobility needs in both industrial and defense applications," said Stéphane Bédard, President and CEO of B-Temia.

 

Martin Sion, Chief Executive Officer of Sagem, added, "Our collaboration with B-Temia will enable us to sustain new R&D work on exoskeletons. For Sagem, this is a very promising technology for industrial and military applications. In particular, our collaboration spotlights the dynamic mindset that Sagem seeks to deploy in the application of innovative dual technologies in conjunction with both startups and major corporations."

 

* * *

 

B-Temia Inc. is a private medical technology company that develops and markets products in the growing market for human augmentation systems. B-Temia has two wholly-owned subsidiaries, B-Temia Health Inc. and B-Temia Military Inc. B-Temia has developed a proprietary technology called aDermoskeleton™, giving users a motorized mechanical support to restore, maintain or augment mobility.

 

Sagem, a Safran high-tech company, holds world leadership positions in optronics, avionics, electronics and critical software for both civil and military markets. Sagem is the # 1 company in Europe and # 3 worldwide for inertial navigation systems (INS) used in air, land and naval applications. It is also the world leader in helicopter flight controls and the European leader in optronics and tactical UAV systems. Operating across the globe through the Safran international network, Sagem and its subsidiaries employ 7,600 people in Europe, Asia-Pacific, North America and South America.

 

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 16:55
photo B-Temia, Inc

photo B-Temia, Inc

 

Québec et Boulogne-Billancourt, le 9 novembre 2015  Sagem

 

La société canadienne B-Temia Inc. et l’entreprise française Sagem (Safran) annoncent la signature d’un accord de développement technologique et commercial dans le domaine des exosquelettes de nouvelle génération pour les applications industrielles et militaires.

 

Les exosquelettes forment une structure biomécanique et électronique appareillée sur le corps humain en vue de l’assister dans ses mouvements ou de restaurer des capacités de mobilité. 

 

Dans le cadre de cette coopération, Sagem et B-Temia co-développeront et commercialiseront des exosquelettes de nouvelle génération. Sagem apportera son expérience en intégration d’équipements complexes et ses innovations en matière d’actionneurs et de technologies de stabilisation.  Leader technologique dans le domaine des exosquelettes, B-Temia apportera son expérience en robotique humaine et en intelligence artificielle à travers sa technologie « DermosqueletteTM » déjà produite au profit du secteur de la santé. 

 

« B-Temia est fière de s’associer à Sagem pour l’évolution et l’industrialisation de son produit « DermosquelettiqueTM ». Ce partenariat confirme l’avance technologique de notre société, sa valeur commerciale et la crédibilité de nos travaux en réponse au besoin croissant de mobilité humaine dans l’industrie et la défense » se félicite Stéphane Bédard, Président de B-Temia.

 

Selon Martin Sion, Président de Sagem : « Notre coopération avec B-Temia permettra de soutenir les nouveaux travaux de R&D dans le domaine des exosquelettes.  Pour Sagem, il s’agit d’une activité prometteuse dans les applications industrielles et militaires. Cette coopération met particulièrement en avant la dynamique d’innovation que Sagem veut déployer dans l’exploitation de technologies duales avec des startups ou des grands groupes.»

 

* * * * *

 

 

B-Temia Inc. est un industriel dans le domaine des dispositifs médicaux qui développe et commercialise des appareils d’assistance à la mobilité pour le marché des systèmes d’augmentation de l’humain.  B-Temia possède deux filiales en propriété exclusive: B-TEMIA Health Inc. et B-TEMIA Military Inc. B-Temia est propriétaire d’une technologie brevetée appelée « Technologie dermosquelettique » qui permet à son utilisateur de bénéficier d’un support mécanique motorisé pour la restauration, la conservation ou l’augmentation de la mobilité.

 

Sagem, société de haute technologie de Safran, est un leader mondial de solutions et de services en optronique, avionique, électronique et logiciels critiques, pour les marchés civils et de défense. N°1 européen et n°3 mondial des systèmes de navigation inertielle pour les applications aéronautiques, marines et terrestres, Sagem est également n°1 mondial des commandes de vol pour hélicoptères et n°1 européen des systèmes optroniques et des systèmes de drones tactiques. Présents sur tous les continents via le réseau international de Safran, Sagem et ses filiales emploient 7 600 personnes en Europe, en Asie Pacifique, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 15:55
Cette fois, l’incident du tir de 2013 est clos, et la vie du missile M51 se poursuit. photo DGA

Cette fois, l’incident du tir de 2013 est clos, et la vie du missile M51 se poursuit. photo DGA

 

09/11/2015 Par Jean Guisnel - Le Point.fr

 

Le missile qui équipe plusieurs sous-marins nucléaires a explosé à cause d'un petit câble électrique posé par l'équipe industrielle d'Airbus Defence & Space.

 

Le 5 mai 2013, un missile M51 tiré d'un sous-marin en plongée au sud du Finistère terminait son vol au bout de quelques secondes par une explosion commandée. Ce grave échec touchant un programme essentiel de la force de dissuasion française a été provoqué par un microscopique détail, avons-nous appris de sources concordantes. Le long du fuselage de l'engin, un petit câble électrique "qu'il n'était pas possible de placer ailleurs", selon une personne informée, avait été posé par l'équipe industrielle d'Airbus Defence & Space, qui a hérité des décennies de culture industrielle française sur les missiles stratégiques. Pour être à l'abri des aléas extérieurs, ce câble avait été protégé par une "gouttière" métallique de petite dimension. On sait que les plus infimes aléas peuvent provoquer, sur un matériel volant, des effets désastreux. C'est ce qui s'est passé : la gouttière, apparemment mal fixée et en tout cas mal conçue, a provoqué des vibrations inattendues, pour lesquelles aucun dispositif de contre-vibration n'avait été prévu. Ces vibrations ont provoqué de tels problèmes sur le missile que la poursuite de son vol était devenue impossible…

 

Reprise en main

Au ministère de la Défense, où l'on n'a eu de cesse depuis le départ de minimiser la gravité de l'accident, on s'est aussi montré très mécontent. Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a demandé la mise sur pied d'une commission d'enquête. La conclusion rapidement tirée des premières investigations a conduit à accuser l'industriel. Le seul officiel qui s'est exprimé avec un peu de précision sur ce dossier, le délégué général pour l'armement Laurent Collet-Billon, a expliqué à l'Assemblée nationale en octobre 2014 s'être montré "assez dur avec l'industrie". "Aujourd'hui, la reprise en main est bonne. Nous avons vu revenir dans le dispositif industriel des personnes en lesquelles nous avons confiance, car elles ont fait leurs preuves dans le passé. Les choses se remettent progressivement en place." En avril 2015, le même Collet-Billon expliquait, toujours devant la commission de la Défense de l'Assemblée, qu'il avait "demandé aux services concernés d'Airbus Defence & Space des efforts accrus tant en matière d'ingénierie qu'en maîtrise de la qualité et de leurs sous-traitants." "Ces faiblesses, que nos propres services qualité ont constatées, doivent impérativement être corrigées."

 

L'incident est clos

De fait, l'entourage de Jean-Yves Le Drian se dit satisfait des conditions dans lesquelles Airbus Defence & Space a réagi. Notamment en chargeant une "forte personnalité à poigne", Jean-Pierre Clar, de motiver l'équipe des Mureaux (Yvelines), où se fabriquent les missiles stratégiques. Résultat : le 30 septembre dernier, la DGA (Direction générale de l'armement) a effectué un septième tir d'essai du missile M51, avec un plein succès. L'engin tiré depuis Biscarosse (Landes) a atteint sa cible à 6 000 km dans l'Atlantique. Le communiqué de la DGA précisait alors que "cet essai s'est déroulé comme prévu et a été effectué sans charge nucléaire. Le missile a été suivi tout au long de sa phase de vol par les moyens du centre d'essais de la DGA, dont le bâtiment d'essais et de mesures Monge (BEM). La zone de retombées se situe en Atlantique Nord, à plusieurs centaines de kilomètres de toute côte"

Cette fois, l'incident du tir de 2013 est clos, et la vie du M51 se poursuit. Aujourd'hui, le missile M51 équipe les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) Le Vigilant et Le Terrible. En janvier prochain, il équipera Le Triomphant, qui reprendra le service actif après une longue refonte. Le dernier sous-marin Le Téméraire sera lui aussi doté du M51 après sa refonte, avant la fin de la décennie.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 14:30
La guerre au Yémen coûte très chère aux Emirats Arabes Unis, ce qui l'oblige à décaler certaines acquisitions d'armement -  photo Dassault Aviation

La guerre au Yémen coûte très chère aux Emirats Arabes Unis, ce qui l'oblige à décaler certaines acquisitions d'armement - photo Dassault Aviation

 

09/11/2015 Par Michel Cabirol, à Dubai – LaTribune.fr

 

Les Emirats Arabes Unis sont en guerre au Yémen. Un conflit qui coûte très cher et qui repousse à plus tard les dossiers d'acquisitions de nouveaux équipements militaires. Les compagnies aériennes du Golfe digèrent quant à elles leurs précédentes commandes faramineuses.

 

Qu'on se le dise en France, les Emirats Arabes Unis (EAU) sont en guerre. Au Yémen précisément, les troupes émiraties, qui déplorent quelques pertes humaines (68 morts), combattent aux côtés des Saoudiens principalement. C'est le message qu'a d'ailleurs fait passer le prince héritier d'Abu Dhabi, Sheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, qui a inauguré dimanche le Dubai Air Show, à ses interlocuteurs français en leur précisant que cette guerre sera très certainement longue. "Nous n'avions pas du tout la perception de cette situation ici en France", reconnait un industriel surpris par ce discours.

 

Les Emirats focalisés sur le conflit au Yémen

Comme c'est le premier conflit à l'étranger auquel des troupes au sol émiraties participent, les autorités sont donc très focalisées sur cette guerre. Du coup, les discussions sur les projets d'acquisitions, dont le Rafale, sont ralenties en attendant des jours meilleurs. "Il faut attendre une meilleure conjoncture", estime-t-on à La Tribune. Car la guerre au Yémen coûte très chère aux Emirats, qui pâtit en outre d'un prix du baril trop faible. Il a perdu la moitié de sa valeur depuis juin 2014, le cours du "light sweet crude" pour livraison en décembre s'élevait vendredi à 44,29 dollars.

Sheikh Mohammed n'a donc pas abordé les dossiers armement lors de la première journée du salon de Dubai, à l'exception de quelques programmes d'urgence opérationnelle liés au conflit comme par exemple des besoins en optronique. D'autant que les Emirats, qui sont déjà très bien équipés, utilisent la plupart de leurs systèmes d'armes achetés ces dernières années dans les combats au Yémen, y compris les chars Leclerc, qui donnent entière satisfaction, selon une source française.

"Nous pensons que les prix du pétrole vont se maintenir à leur niveau actuel pendant des années et, par conséquent, les pays du CCG (Conseil de coopération du Golfe : Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Koweït, Oman, Qatar) devraient procéder à des ajustements budgétaires", a déclaré dimanche la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 13:55
"1 Jour 1 Poilu" lance du 7 au 17 novembre un nouveau défi collaboratif, le défi "11 jours pour le 11 novembre", en hommage aux Poilus

 

7 novembre 2015 Mémoires des Hommes

 

A l'occasion du 11 novembre, le ministère de la Défense soutient le nouveau défi du projet 1 Jour 1 Poilu pour indexer sur le site Mémoire des hommes, les fiches des soldats Morts pour la France au cours de la Première Guerre mondiale.

 

 Inscrivez-vous au défi 1 Jour 1 Poilu.

 

Inauguré lors du lancement des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale par François Hollande, Président de la république, le 7 novembre 2013, le programme d'indexation collaborative de la base des Morts pour la France comptabilise à ce jour plus de 290 000 fiches indexées sur les plus de 1,3 million que contient la base.

Contribution à l'hommage national et à la construction de la connaissance historique, ce programme consiste à enrichir les données contenues dans la base pour chaque soldat : au-delà des nom, prénoms, date de naissance et département ou pays de naissance déjà entièrement saisis, il s'agit de renseigner le grade et l'unité du soldat au moment de son décès, sa classe, son bureau et son matricule de recrutement, son lieu de naissance, sa date et son lieu de décès, enfin le lieu de transcription de son décès.

Toute nouvelle indexation est immédiatement interrogeable par la communauté des internautes. Si elle n'est pas rendue obligatoire par le module, la saisie de l'ensemble des champs proposés à l'indexation est fortement souhaitable afin de construire une vue exhasutive.

Retrouvez ici toutes les informations pour participer au programme sur le site Mémoire des hommes. Si vous ne disposez déjà pas d'un compte personnel, à noter que votre demande sera rapidement validée par le webmestre du site (sous 24h).

 

Retrouvez 1 Jour 1 Poilu sur Twitter et Facebook.

Retrouvez Mémoire des hommes sur Twitter.

Accédez à la base des Morts pour la France de la Première Guerre mondiale.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 13:45
photo Forum sur la paix et la sécurité en Afrique 2015

photo Forum sur la paix et la sécurité en Afrique 2015

 

09-11-2015 Par RFI

 

A Dakar, s'ouvre ce lundi 9 novembre la seconde édition du Forum sur la paix et la sécurité en Afrique. 800 participants sont attendus dans les différentes conférences et ateliers, certains à huis clos, pour échanger. Experts, chercheurs, hommes politiques mais également industriels et financiers sont présents. La soirée inaugurale de ce forum paix et sécurité s'est tenue dimanche soir.

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