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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 21:30
NH90 NFH step B naval helicopter - nhi photo

NH90 NFH step B naval helicopter - nhi photo

 

 

27.03.2014 Le Monde.fr (AFP)

 

Le Qatar a signé une lettre d'intention pour l'achat de 22 hélicoptères européens NH90, pour près de 2 milliards d'euros, a annoncé, jeudi 27 mars à Paris, le ministère de la défense.

 

Il s'agit de 12 appareils en version TTH (transport tactique) et de 10 NFH (lutte anti-surface et anti-sous-marine). Le NH90 est produit par un consortium européen qui rassemble Airbus Helicopters, AgustaWestland (Finmeccanica) et Stork Fokker. Les Qataris ont également annoncé leur intention d'acquérir deux avions ravitailleurs MRTT.

 

PRESTATIONS DE SOUTIEN ET DE FORMATION

 

La décision a été annoncée au ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, par les autorités qataries. La semaine dernière, M. Le Drian avait accompagné à Brest le ministre de la défense du Qatar, le général Khaled Al-Attiyah, pour lui présenter le NH90.

 

La lettre d'intention d'achat doit comprendre des prestations d'accompagnement, de type soutien et formation, selon le ministère. M. Le Drian était jeudi à Doha, où il a assisté au 4e Salon Dimdex (Doha International Maritime Defense Exhibition).

NH90 TTH helicopter during its flight. Photo NH Industries.

NH90 TTH helicopter during its flight. Photo NH Industries.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 19:55
Visite du CEMA à l'armée de Terre

 

 

27/03/2014 Armée de Terre

 

Le général d'armée de VILLIERS, chef d'état-major des Armées (CEMA) a choisi, pour sa première visite officielle à l'armée de Terre, de se rendre à Mailly le camp, le 24 mars 2014. En sa qualité de chef des opérations militaires, le CEMA vient à la rencontre des militaires qui seront déployés prochainement au Mali. A l'occasion de cette journée, l'armée de Terre présente au CEMA le processus de préparation opérationnelle des forces terrestres. En s'appuyant sur la déclinaison d'une séquence d'ordres, les présentations et démonstrations vont immerger le CEMA dans les opérations de la bande sahélo-saharienne.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 19:55
Un VLRA et un ALTV de RTD dans l'armée malienne (crédits: G Belan)

Un VLRA et un ALTV de RTD dans l'armée malienne (crédits: G Belan)

 

27 mars, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Suite au départ de Gérard Amiel, PDG de Renault Truck Défense (RTD) (relire l’article de FOB ici) l’actionnaire Volvo en a profité pour réorganiser son activité défense-sécurité. Lancée début d’année, la nouvelle structure se met actuellement en place. Pour faire simple, il a fusion entre les structures RTD et Volvo Governmental Sales (VGGS). Désormais, une seule structure, plus légère, dirigée par Stefano Chmielewski, le président de VGGS, qui récupère de facto RTD. C’est donc un mouvement de simplification des activités de Volvo concernant l’ensemble des ventes aux états, ce qui correspond aux activités sécurité et défense du groupe (Volvo défense, RTD, ACMAT, Panhard, Mack…), accompagné d’un mouvement de rationalisation du management.  Le comité de direction passe d’une vingtaine de membres à seulement sept, mais surtout  « il n’y a plus aucune cloison entre les marques » confiait le directeur de la communication et du marketing du groupe Marc Chassillan. En bref, cela signifie, un seul service commercial pour l’ensemble des marques du groupe, un seul bureau d’étude, un seul service achat… Les commerciaux vont donc vendre sous la même casquette, les produits Volvo, Mack ou RTD. Une unité dans le management et dans le fonctionnement du groupe, toutes les anciennes équipes sont donc mélangées et travaillent sous une seule bannière.

 

RTD aujourd’hui c’est un chiffre d’affaires de 500 millions d’euros, avec l’ambition d’atteindre les 700 rapidement. Le client principal demeure la France (PVP ou VBL, mais aussi châssis du Caesar et VBCI, et bientôt VBMR et EBRC). La France est également le pays où est l’essentiel des effectifs du groupe (environ 1000), avec trois sites de production (Saint Nazaire, Marolles-en-Hurepoix et Limoges), plus quelques autres sites spécialisés (Fourchambault pour le MCO…).

 

Mais VGGS/RTD marche aussi bien à l’export, qu’il s’agisse du marché Australien ou nord-américain avec les camions militarisés Mack (U.S, Canada, Mexique), ou en Afrique, avec les produits ACMAT (Bastion, VLRA, ALTV…), surfant sur la « vague Serval » (Mali, Burkina, Tchad, Côte d’Ivoire, Sénégal… relire l’article de FOB ici). Cette mise en commun des entités du groupe Volvo permet également de lisser l’activité des sites de production. Ainsi, la chaîne d’assemblage Panhard de Marolles-en-Hurepoix, qui a rencontré une baisse importante de son activité suite à la fin des livraisons des PVP, a-t-elle récupéré la construction d’autres véhicules (ALTV ou MIDS).

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 19:40
Tu-22M3 Beltyukov

Tu-22M3 Beltyukov

 

MOSCOU, 27 mars - RIA Novosti

 

Selon certaines informations, l'aérodrome militaire de Gvardeïskoe, près de Simféropol en Ukraine, pourrait accueillir un régiment russe de bombardiers supersoniques Tu-22M3 (code Otan : Backfire), en renfort de la flotte de la mer Noire russe, écrit jeudi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

 

Le corps devrait être déployé en Crimée en 2016, selon l'agence Interfax-AVN, se référant à une source anonyme du ministère de la Défense - dont les représentants officiels se refusent à tout commentaire officiel.

 

A l’époque soviétique la 2e division d'aviation de la flotte de la mer Noire comptait trois régiments de bombardiers basés à Gvardeïskoe, Vesseloe et Oktiabrskoe. Ils disposaient d'abord de bombardiers stratégiques Tu-16, puis de Tu-22 plus modernes de diverses versions.

 

Après le partage de la flotte Noire la Russie a récupéré 19 Tupolev et 20 sont restés en Ukraine. Les bombardiers russes ont dû être retirés de Crimée – une partie des avions ont été "mutés" dans la flotte du Nord, une autre partie dans la flotte du Pacifique. Les Ukrainiens, de leur côté, ont démantelé leurs bombardiers. D'après des témoins, les militaires américains qui assistaient à la découpe de ces appareils sautaient littéralement de joie. Un lieutenant-colonel américain a même avoué que le Tu-22M3 était une épine dans le pied des QG de l'Otan en Europe, qui a pu enfin être enlevée.

 

Les bombardiers stratégiques, y compris navals, sont effectivement un outil très menaçant.

 

Ce matériel a été créé pour remplir des missions dans les zones terrestres et maritimes des théâtres d'opérations. Le Tu-22M3 pouvaient tirer des missiles Kh-22 et Kh-15, ainsi que bombarder des cibles ennemies. Les militaires ont même surnommé cet avion de "dévoreur de navires". Leur utilité sur l'axe stratégique sud a toujours existé mais le contexte actuel est d'autant plus opportun pour le retour des bombardiers en Crimée.

 

Une infrastructure devra être mise en place sur la péninsule pour le déploiement de ces appareils. Il n'est pas nécessaire de rétablir tous les aérodromes où étaient basés les bombardiers stratégiques de la flotte de la mer Noire à l'époque soviétique ni d'avoir toute une division de Tupolev en Crimée. Les experts affirment que la modernisation du Tu-22M3 de ces dernières années avait démultiplié les performances opérationnelles de l'appareil. Par conséquent, si le ministère de la Défense prenait cette décision, le déploiement des bombardiers sur la péninsule devrait se limiter à un seul régiment.

 

Rappelons qu'à l'heure actuelle les unités aériennes des aérodromes militaires de Crimée de Gvardeïskoe et de Katcha sont réunies en une seule base aérienne. Elle abrite des avions de reconnaissance Su-24, amphibie Be-12, des hélicoptères d'attaque et de transport. Selon certaines informations, après la modernisation de l'infrastructure d'aérodrome des chasseurs Su-27, des avions anti-sous-marins Tu-142 et Il-38, ainsi que des hélicoptères K-27 et Ka-29 pourraient également être projetés sur la péninsule.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 19:35
Corée du Nord: de faux bunkers sud-coréens dans une manœuvre militaire

 

SEOUL, 27 mars - RIA Novosti

 

La Corée du Nord a mené des exercices militaires en utilisant comme cibles de faux bunkers sud-coréens, rapporte jeudi l'agence de presse Yonhap.

 

"L'armée nord-coréenne a ouvertement procédé à des exercices avec des cibles très spécifiques pour des attaques et infiltrations surprises contre des postes du Sud", a indiqué l'agence citant une source désireuse de garder l'anonymat.

 

Ces dernières semaines, le régime de Pyongyang poursuit la démonstration de sa puissance militaire sur fond d'exercices conjoints américano-sud-coréens Key Resolve et Foal Eagle.

 

Mercredi, la Corée du Nord a procédé au tir de deux missiles balistiques de moyenne portée qui sont tombés en mer après avoir volé 600 kilomètres. Auparavant, les militaires nord-coréens avaient lancé des dizaines de missiles de courte portée.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 18:55
Manœuvres conjointes en rade de Toulon entre la flottille amphibie et le 519e GTM

 

27/03/2014 Marine nationale

 

Un exercice de transbordement maritime s’est tenu le 25 mars 2014 en rade de Toulon avec la flottille amphibie, le 519ème Groupe de transit maritime (GTM) et le MN Tangara, navire affrété par les armées.

 

L’objectif de l’exercice était d’assurer le transbordement sur rade d’un bâtiment civil à partir des engins de débarquement amphibie-rapide (EDA-R) mis en œuvre par la flottille.

 

Le transbordement s’est effectué notamment grâce à la mobilisation d’importants moyens : un EDA-R, un peloton portuaire du 519e GTM disposant entre autres d’une grue de levage pour charger l’EDA-R et plusieurs véhicules de l’armée de Terre.

 

«L’intérêt de cette manœuvre est multiple. Il s’agit à la fois de valider la capacité de l’EDA-R à transférer du fret logistique à partir de tous les types de bâtiments civils et militaires, mais aussi de développer la capacité opérationnelle interarmées avec le 519eGTM», affirme le commandant de la flottille amphibie.

 

Au terme de 4 heures de travail, le chargement a été assuré en toute sécurité.

 

Dans le port de projection interarmées de Toulon, le 519ème GTM a pour mission de charger et décharger des matériels militaires sur des bâtiments militaires ou des affrétés, afin de soutenir les forces déployées à l’extérieur de la métropole ou engagées dans des opérations extérieures.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 18:50
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

27/03/2014 J. SEVERIN- Armée de Terre

 

Tous les deux ans, la Norvège invite ses partenaires de l’OTAN pour l’exercice grand froid, nommé COLD RESPONSE, regroupant 16 000 militaires de 16 nationalités différentes.

 

Dormir sous la tente par -15°, marcher des heures par temps humide, tout en restant opérationnel durant 10 jours d’exercice, tels étaient les défis qu’un groupement tactique interarmes de la 27e brigade d’infanterie de montagne a dû relever.

 

Scénario : une province est envahie. L’OTAN décide d’intervenir contre la brigade nord, composée de bataillons français et norvégiens.Deux phases se mettent alors en place. La première est défensive, les « ennemis » ont pour objectif de retenir les forces de l’OTAN durant 36 heures et ainsi les stopper dans leur progression. Une fois le délai passé, la phase offensive peut alors débuter. L’OTAN repousse les bataillons ennemis, qui doivent alors contre-attaquer.

 

Suédois, Américains, Allemands, Hollandais, Danois, Anglais… se sont alliés dans la réalisation de cet entraînement réaliste, afin que chacun apprenne à se préserver des conditions très difficiles.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 18:13
Près de 100.000 soldats russes massés le long de la frontière ukrainienne (Parubiy)

 

27 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - La Russie a massé près de 100.000 soldats le long de sa frontière avec l'Ukraine, a affirmé jeudi le président du conseil de sécurité nationale ukrainien, un chiffre bien supérieur aux plus de 20.000 hommes évoqué par les Etats-Unis.

 

Près de 100.000 soldats sont stationnés à la frontière ukrainienne. Ils sont prêts à frapper depuis plusieurs semaines, a déclaré Andriy Parubiy lors d'une intervention par internet depuis Kiev avec l'Atlantic Council, un cercle de réflexion basé à Washington.

 

Les troupes russes ne sont pas seulement en Crimée, elles sont le long de toute la frontière. Elles sont au Nord, à l'Est, au Sud, a martelé M. Parubiy.

 

Chaque jour, chaque nuit, on s'attend à une énorme attaque sur le territoire de l'Ukraine continentale et nous nous y préparons, a ajouté le chef du conseil de sécurité nationale.

 

Selon le Pentagone, ce sont plus de 20.000 militaires russes avec le type d'équipements et d'unités nécessaires pour une opération militaire qui se trouvent actuellement le long de la frontière russo-ukrainienne. La Russie a de son côté démenti dimanche avoir massé des troupes.

 

Un responsable américain de la Défense a semblé sceptique face aux chiffres évoqués par M. Parubiy. Cela semble trop élevé, a-t-il confié à l'AFP sous couvert de l'anonymat.

 

Le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel a toutefois indiqué mercredi que Moscou continuait de masser des troupes à la frontière ukrainienne.

 

La réalité est qu'ils continuent à renforcer leurs troupes, a affirmé M. Hagel, à qui son homologue russe Sergueï Choïgou a assuré la semaine passée que les troupes russes ne franchiraient pas la frontière.

 

Selon le responsable ukrainien, l'opération russe visant à prendre le contrôle de la province ukrainienne de Crimée disposait du nom de code +Printemps russe+. Les troupes russes, dont Moscou a démenti la présence, étaient constituées notamment de Spetsnaz très bien équipés, les forces spéciales russes.

 

Selon nos renseignements, ils commencent la prochaine étape, celle d'une stratégie politique visant à saper l'élection présidentielle en Ukraine du 25 mai, selon lui. L'égérie de la Révolution orange et ex-Premier ministre Ioulia Timochenko a annoncé jeudi sa candidature à cette élection.

 

Interrogé sur la réponse internationale aux actions de Moscou, Andriy Parubiy a dit soutenir les sanctions imposées par les Etats-Unis et l'Union européenne.

 

Il a toutefois appelé à un soutien, une présence visible des partenaires de l'Ukraine.

 

Nous appelons nos partenaires à tenir des exercices militaires conjoints afin de montrer que la coopération et le partenariat demeurent, a-t-il expliqué.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 17:50
How to move defence cooperation further and faster

 

 

Brussels - 27 March, 2014 EU Defence Agency

 

European defence capabilities: pool it or lose it – the first round-table discussion of the EDA 2014 annual conference – brought together a wide range of "bottom-up" and "top-down" perspectives of the challenges of moving the process forward in Europe.

 

"The alternative to Pooling & Sharing is not that every country still gets to keep their own capabilities," said Ine Eriksen Søreide, Norway’s Minister of Defence. The Nordic defence cooperation (NORDEFCO) system works, she said, because cooperation is based on practicalities and a shared strategic view. "NORDEFCO does not have a telephone number."

 

"My fear is that we risk an uncoordinated approach between countries," she said, "and the foundation to successful cooperation is trust. The difference in planning cycles for countries can be a major obstacle." She added that it takes between 15 and 20 years to plan, specify and take delivery of a submarine, one of the most costly of all military capabilities. The best way to move the process forward is to identify best cases and focus on capability shortfalls.

 

There are a number of drivers behind the process, according to General Patrick de Rousiers, Chairman of the EU Military Committee. The ability to create a capability collectively which would not be possible singly is a primary driver – so a single ship may conduct anti-piracy operations under a national flag but training and maintenance back at base is conducted collectively. Improving efficiency was the driver behind the formation of the European Air Transport Command (EATC)where 150 tactical and strategic air lift aircraft from five nations now work together. And then there are the political and industrial motivations not just to produce a single platform but to ensure it to support it for 20 or 30 years.

 

"Pooling is the way of the future," said General Sverker Göranson, Chief of Defence, Sweden. "I’m not convinced nations will necessarily lose capabilities otherwise but they could be degraded." Experience has shown that a good way to start is with just two nations and then grow from that.

 

Tim Rowntree, Director of OCCAR, spoke of the need to build confidence now that the process can and will work. "We need to learn to look objectively at what we have achieved," he said. Nations risk losing sovereign capabilities if their requirements remain diverse. "We do need to plan further ahead, to align requirements between nations… Platforms such as the A400M have shown that our industry can rise to the occasion and deliver world beating solutions."

 

Numbers can be a powerful persuader – if you can show how much can be saved through cooperation then this can be presented to policy makers and they then can be challenged to say "no", he said. And cooperation is not just an issue of long term, large scale capability developments – around 90% of urgent operational requirements have been delivered through international cooperation because many of these could not be delivered through national budgets.

 

But the changed mind-set required has not yet fully happened, said Alexander Vershbow, NATO Deputy Secretary General. Nations still show a reluctance to lose jobs or compromise on requirements. But there are positive changes, such as the emergence of the framework nation concept, where some full spectrum capability nations team with smaller nations to agree areas of specialisation and prove full capabilities between them, "so both can get more bang for the buck," he said. NATO has developed a successful strategic airlift command where C-17s are operated on a time share basis."

 

To move defence cooperation further you will have to create incentives.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 17:50
European Defence Matters: Speech by Pieter de Crem


Brussels - 27 March, 2014 European Defence Agency
 

Pieter de Crem - Belgian Deputy Prime Minister and Minister of Defence - outlined his commitment to a more systematic and long term approach to European Defence cooperation, in his speech at the EDA Annual Conference today.

 

He called for a "reinvigorated and strong European vision" of what role the EU wanted to assume in foreign policy and a commitment to pursue the military capabilities needed to underpin it.

 

The full text of his speech can be found here.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 17:50
European Defence Matters: Turning political will into practical implementation

 

Brussels - 27 March, 2014 European Defence Agency

 

In her welcoming address at the European Defence Agency’s Annual Conference "European Defence Matters" on 27 March in Brussels, Claude-France Arnould – the Chief Executive of the EDA – outlined the importance of implementing the tasks given at the European Council in December 2013. She called on those present in the room to seize the opportunity and ensure that the implementation was there to follow the political will. She finished by calling on all participants to make the most of the conference as a unique opportunity where stakeholders from throughout the European Defence Community can meet and debate.

 

Cohesion, stability, and growth

 

The first keynote speech was delivered by Greek Minister of Defence Dimitris Avramopoulos, representing the current EU Presidency. He spoke of the importance of defence as a critical pillar for European cohesion, stability, and growth. He went on to talk about the danger of a growing arc of instability on Europe’s borders, stretching from North Africa through to Ukraine, and the need for enhanced cooperation to tackle common threats to Europe’s stability. He concluded calling for an enhanced role for the EDA to put defence more permanently on the European agenda.

 

Technological developments

 

Representing the upcoming Presidency of the EU, Italian Under Secretary of Defence General Domenico Rossi warned of the threats to industry and technological innovation from budget cuts. He argued that the developments of the past might not be possible with smaller defence budgets across Europe. He reinforced the importance of the EU Council in December, saying that although we may differ on ideas, when it comes to CSDP we are often on the same page.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 17:50
European Defence Matters: Securing the Future Through Research and Innovation

 

 

Brussels - 27 March, 2014 European Defence Agency

 

While the first roundtable of the EDA’s annual conference "European Defence Matters" had focused primarily on capabilities, this time research, innovation, and industry took centre stage. Bernhard Gerwert, CEO Airbus Defence & Space called on European policy makers to decide what their ambitions are. He said, "we do not need special incentives, we just need programmes… Research and development is only worthwhile if we have the ambition to build the next generation of products. If we don’t have that ambition then it makes no sense to spend the money."

 

Michael Gahler, Member of the European Parliament and its Committee on Foreign Affairs & Subcommittee on Security and Defence agreed about the need to have a clear idea of what Europe wanted to achieve. He went further and called for a European defence review, to assess the situation at the moment, and to reverse the trend of industry and expertise leaving Europe.

 

He also argued strongly that that the artificial divide between civil and military research needs to be scrapped. He said "We must make use of any funds that are available." This was reiterated by Claudia Gärtner, CEO, Microfluidic ChipShop. She pointed out that for most new innovations, whether they had military or civil applications, the technology underpinning it was the same.

 

Jenny Body, President of the Royal Aeronautical Society was particularly concerned by the long term effects that current budget cuts for research and development would have. "We have to ensure that we do not lose the expertise. Remember the engineers who will build the next generation of civilian aircraft are probably only aged 3-4 today," she said. "We already face a shortfall of engineers now, if you don’t invest in research you will lose not only the technologies but the people capable of developing them in the future."

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 17:49
European Defence Matters: Keynote Speech by Catherine Ashton

 

Brussels - 27 March, 2014  European Defence Agency

 

Catherine Ashton, Head of the European Defence Agency, High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy & Vice-President of the European Commission, keynote speech focused again on the outcomes of December’s European Council. She reinforced the calls for the implementation of the four key capabilities given to the European Defence Agency and emphasised that European Defence needs to be underpinned by the right capabilities.

Please find the full speech here.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 16:55
Missiles : la France et la Grande-Bretagne se marient pour le meilleur...

Au nom de la France et du Royaume-Uni, le ministère britannique de la Défense a notifié fin mars à MBDA le contrat de développement et de production du missile antinavire léger ANL

 

27/03/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Au travers du missilier européen MBDA, Paris et Londres ont décidé de poursuivre leur effort d'interdépendance dans le domaine des missiles afin d’éliminer les redondances dans le secteur.
 

Le PDG de MBDA Antoine Bouvier est aujourd'hui complètement conforté dans sa stratégie d'interdépendance dans le domaine des missiles entre la France et la Grande-Bretagne qu'il préconise depuis plusieurs années. Au nom de la France et du Royaume-Uni, le ministère britannique de la Défense a ainsi notifié fin mars au missilier européen le contrat de développement et de production du missile antinavire léger ANL/FASGW(H), pour un montant de l'ordre de 600 millions d'euros. "Ce développement commun est décisif pour engager la consolidation de l'industrie missilière franco-britannique sous l'égide de MBDA et de ses sous-traitants, dans le cadre de l'initiative One Complex Weapon", a expliqué ce jeudi le ministère de la Défense.

Le franchissement de cette étape importante du programme avait été préparé lors du sommet franco-britannique de Brize Norton le 31 janvier par la signature d'un Memorandum of Understanding (arrangement cadre) entre le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et son homologue britannique Philip Hammond.

 

Des économies significatives  

"En travaillant ensemble et en additionnant leurs forces, la France et le Royaume-Uni dépenseront moins pour satisfaire leurs besoins militaires et contribueront à renforcer la compétitivité de MBDA face à la concurrence mondiale", a expliqué MBDA dans un communiqué publié ce jeudi. "Ce programme nous fait entrer dans une ère nouvelle de la coopération qui permettra de réaliser des économies significatives sur les programmes à venir, a fait valoir le PDG de MBDA, Antoine Bouvier cité dans le communiqué. Au lieu de mettre en commun leurs efforts programme par programme, comme c'était la règle auparavant, Français et Britanniques vont désormais coordonner leur approche des développements et des acquisitions afin d'éliminer les redondances dans le secteur des missiles ».

 

Un missile pour les hélicoptères de la Marine nationale

Cet effort franco-britannique bénéficiera aux hélicoptères qui intégreront le missile FASGW/ANL dans les années à venir. Ce missile apportera aux appareils de la marine nationale une capacité permettant de neutraliser les patrouilleurs, des vedettes rapides et des petites embarcations dans des situations de crise. Il équipera également les Lynx Wildcat AW159 de la Royal Navy. D'une masse approximative de 100 kg, ce missile aura également la capacité d'attaquer des cibles côtières et terrestres. Ce programme marquera "un progrès substantiel par rapport aux missiles Sea Skua et AS15TT" développés par MBDA respectivement au Royaume-Uni et en France, a assuré le missilier  

La Direction générale de l'armement (DGA) assurera avec la DE&S (Defence Equipment & Support), son homologue britannique, la conduite du programme ANL/FASGW(H) au sein d'un bureau de programme commun (Joint Project Office) basé à Bristol. Le programme ANL s'inscrit dans la lignée fructueuse des coopérations entre la France et le Royaume-Uni dans le domaine des missiles (Aster, Scalp, Meteor).

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 16:20
12e Régiment Blindé du Canada Conducts Exchange With French Army’s 4e Régiment de Chasseurs

 

March 26, 2014. David Pugliese - Defence Watch

 

By Sébastian Lacasse, Battle Captain, D Squadron, and Samantha Bayard, Canadian Army Public Affairs

 

Gap, Hautes-Alpes, FRA — A new association between the 4e Régiment de Chasseurs (4ème RCh) of the French Army and D Squadron of the 12e Régiment Blindé du Canada (12 RBC) took shape during an exchange of units named Exercise CHEVALIER TRICOLORE from March 10 to 25.

 

Fifty lucky members of D Squadron (D Sqn) were the very first to be able to take advantage of the exchange. They had the opportunity to go to France to meet their counterparts in the 4ème RCh, stationed in the town of Gap in the Hautes-Alpes region of France. A town of 40,000 inhabitants, Gap is located 750 m above sea level. Its ideal geographical position makes it a crossroads of the major tourist routes in the Alps. The 4ème RCh is a reconnaissance regiment of the 27ème Brigade d’Infanterie de Montagne. It is made up of three armoured squadrons, one reconnaissance and anti-tank squadron, one headquarters and logistics squadron and one reserve squadron.

 

“The purpose of the exchange is to create a ‘contact area’ to get to know each other and share know-how. The idea is not to plan additional activities, but to choose exercises in the regiment’s training program that would be of mutual interest and to add foreign participation. That makes training more exciting for units but does not require a large additional investment. It’s a win-win proposition,” says Lieutenant-Colonel Nicolas Lallemand de Driésen. LCol Lallemand de Driésen is the French Army’s liaison officer to the Canadian Army. He has been at Army HQ in Ottawa since August 2012 on a three-year posting. He also looks after training for foreign forces in Canada.

 

The splendour of the alpine vistas left D Sqn members in awe. They received a warm welcome—facilitated by a common language—from their French counterparts at Quartier Général Guillaume, the home of the 4e Régiment de Chasseurs. Strong cohesion quickly grew between the members of D Sqn and those of the 4e Régiment de chasseurs, thanks in part to a sports match that allowed everyone to demonstrate their abilities. Once the introductions were over, training began.

 

The first thing our French brothers in arms had planned for their Quebecois cousins was a demonstration of their duty weapons (FAMAS and PAMAS) and a firing drill so that we could try them out. D Sqn members took the opportunity to familiarize themselves with the weapons and also to demonstrate their firing skills. That was followed by a variety of presentations on the history of the regiment, stands to display their new weapon, a demonstration of their fire simulator and a practical gunnery workshop using it. D Sqn members also had a chance to operate French armoured vehicles, including their Light Armoured Vehicle (LAV) and the Engin de Reconnaissance Canon de 90 mm (ERC 90), a six-wheeled all-terrain vehicle.

 

At the end of the first week, D Sqn was able to attend lessons on more specific mountain methods and techniques, which were quickly put into practice during mountain training.

The second week started with a trip to the mountain military post followed by a ski evaluation, but not just any ski evaluation—one on a ski trail in the Alps. Once the initiation was over, there were lessons for refining skiing techniques.
 

The first cross-country skiing outing proved to be a tough physical challenge for D Sqn members. The approximately 10-km course, with a 500-metre difference in altitude, was a real shock for some participants, who were used to flatter terrain. A number of mountain excursions, of varying difficulty, were organized over the following days. The cross-country ski climbs, sometimes steep, sometimes over more hilly terrain, were always a stiff challenge for the members of D Sqn. Exercise CHEVALIER TRICOLORE came to an end on a note of camaraderie between the Canadians and French, who exchanged gifts, ranks and berets as souvenirs of their shared adventures.

 

The Franco-Canadian military relationship remains strong.

“The Franco-Canadian military relationship has a long history. It used to be facilitated by the fact that our forces were located close to each other in Germany and by the many contacts that were established between the Canadian and French regiments. The structural reorganizations that took place after the Cold War and the intense operational tempo related to operations in Afghanistan led to a gradual reduction in joint activities,” explained LCol Lallemand de Driésen.

 

“However, in 2010, General Natynczyck and Admiral Guillaud decided to strengthen the military relationship, and in 2013, French Prime Minister Jean-Marc Ayrault and Prime Minister Stephan Harper gave it further impetus when they signed an interdepartmental bilateral agreement, which includes defence matters.”

 

The D Sqn members returned from France with new and enhanced skills and memories that will last a lifetime. They have already begun making preparations to welcome members of 4ème RCh to Valcartier next winter.

Les Canadiens sur les pistes Crédtis CAL Lampla G

Les Canadiens sur les pistes Crédtis CAL Lampla G

Exercice CHEVALIER TRICOLORE : soldats canadiens dans les Alpes françaises

Gap, Hautes-Alpes, FRA — Une nouvelle association s’est concrétisée entre le 4e Régiment de Chasseurs (4ème RCh) de l’armée de Terre française  et L’Escadron D du 12e Régiment Blindé du Canada (12 RBC) lors d’un échange d’unité baptisé Exercice CHEVALIER TRICOLORE, du  10 au 25 mars.  

 

Cinquante membres de l’Escadron D (Esc D) ont eu la chance d’être les tous premiers à bénéficier  de cet échange.  En effet, ils ont eu l’occasion  de se rendre  en France pour rencontrer leurs homologues du 4ème RCh, stationné dans  la ville de Gap,  dans le département  des Hautes-Alpes françaises. Ville de 40 000 habitants, Gap se situe à 750m d’altitude. Sa position géographique idéale la place au carrefour des grandes routes touristiques des Alpes. Le 4ème RCh est le régiment de reconnaissance de la 27ème Brigade d’Infanterie de Montagne. Il compte 3 escadrons de combat blindé, 1 escadron de reconnaissance et d’intervention antichars, 1 escadron de commandement et de logistique et 1 escadron de réserve.

 

 « L’objectif de cet échange est  de créer une ‘surface’ de contact, permettant de développer la connaissance réciproque et d’échanger des savoir-faire. Il ne s’agit pas de créer des activités supplémentaires, mais de sélectionner dans le programme d’entraînement du régiment, les exercices qui peuvent offrir un intérêt mutuel et d’y  additionner une participation étrangère. Cela rend l’entraînement des unités plus excitant sans nécessiter un gros investissement budgétaire supplémentaire ; C’est une formule  gagnant, gagnant, »  dit le Lieutenant-colonel Nicolas Lallemand de Driésen. Le Lcol Lallemand de Driésen est l’officier de liaison de l’armée de Terre française auprès de l’Armée canadienn. Inséré Au QG de l’ Armée,  à Ottawa, depuis août  2012, pour un séjour de  trois ans,il s’occupe également de l’entraînement  des forces étrangères au Canada.

 

La splendeur des paysages alpins a immédiatement  laissé les participants de l’escadron D bouche bée. A leur arrivée au Quartier Général Guillaume où est implanté le  4e Régiment de Chasseurs, ils ont été très chaleureusement accueillis par leurs homologues  français et ce contact initial a été facilité par la langue commune. Une forte cohésion s’est ensuite rapidement développée entre les membres de l’Esc D et ceux du 4e Régiment de chasseurs, notamment au cours d’un challenge sportif qui a permis à chacun de faire la preuve de ses capacités. Une fois les présentations terminées, l’entraînement a débuté. 

 

Ce que nos confrères français avaient planifié pour leurs cousins québécois débuta par la présentation de leurs armes de service (FAMAS et PAMAS) suivi d’une séance de  tir afin d’en faire l’essai.  À cette occasion, les membres de l’Esc D ont pu en profiter pour se familiariser avec cette arme tout en démontrant leurs talents de tireurs.  Par la suite, nos confrères français enchaînèrent avec la conduite d’une variété de présentations portant sur l’histoire régimentaire, de kiosques portant sur leur nouvelle arme, de démonstration de leur simulateur de tir ainsi que de d’un atelier pratique de canonnerie sur celui-ci.  De plus, les membres de l’Esc D ont eu l’opportunité de conduire les véhicules blindés français, dont leur Véhicule Blindé Léger (VBL) ainsi que l’Engin de Reconnaissance Roues -  Canon de 90mm (ERC 90).

 

En fin de la première semaine, l’Esc D à pu assister à des leçons plus spécifiques sur les méthodes et techniques employées en montagne, qui ont été rapidement mises en pratique lors de la portion d’entraînement en montagne.

 

Le début de la deuxième semaine débuta avec le déplacement vers le Poste Militaire de Montagne suivi d’une évaluation en ski, mais pas à n’importe quel endroit, mais bien sur une piste de ski d’une station des Alpes.  Une fois l’initiation complétée, des leçons de perfectionnement sur les techniques de ski furent dispensées.

 

La première sortie en ski de fond s’est avérée être une épreuve physique de haute intensité pour les membres de l’Esc D. Le  parcours d’environ  10 km avec  une dénivelée de 500 mètres a été un véritable  choc pour certains  participants, habitués à un relief moins prononcé. Des sorties en montagne, de difficulté variée, se sont enchaînées les jours suivants.  Les montées en ski de fond sur différents terrains, parfois très abrupts, parfois plus vallonnés, ont chaque fois offert  un défi de taille aux membres de l’Esc D. L’exercice CHEVALIER TRICOLORE s’est achevé  sur  un dernier moment de camaraderie entre Canadiens et Français : un échange de cadeaux, de grades, de bérets en guise de souvenirs de leur rencontre et de leur aventure. 

 

La relation militaire franco-canadienne demeure vivace .

«  La relation militaire franco-canadienne est ancienne. Elle était autrefois facilitée par la proximité de nos forces en Allemagne et par les nombreux contacts  qui avaient été développés entre régiments canadiens et français. Les réorganisations structurelles post-Guerre froide, puis le tempo opérationnel intense lié aux opérations en Afghanistan, ont causé l’amenuisement progressif de nos activités communes, »  explique Lcol Lallemand de Driésen.

« Toutefois, en  2010 le Général Natynczyck et l’Amiral Guillaud ont décidé de renforcer les relations militaires et,  en 2013, le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault et le Premier ministre Stephan Harper ont  donné une impulsion supplémentaire à la relation commune en signant un  accord bilatéral interministériel qui se décline aussi dans le domaine de la Défense. » 

 

Finalement, c’est sans aucun doute que l’on peut affirmer que les militaires de l’Esc D sont sortis grandis de cette expérience nouvelle et qu’ils en conserveront  de magnifiques souvenirs  pour le reste de leur vie. Ils se préparent désormais à accueillir à leur tour leurs camarades du 4ème RCh l’hiver prochain à Valcartier.

 

 

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 14:50
Première participation d’un E-2C Hawkeye au Tactical Leadership Programme (TLP)



27/03/2014 Marine Nationale

 

Du 10 au 21 mars 2014, la flottille 4F a participé pour la première fois à l’exercice TLP [Tactical Leadership Program] sur la base aérienne d’Albacete en Espagne. Un E-2C Hawkeye, armé par 8 officiers et 16 officiers mariniers et équipages étaient détachés afin de réaliser et contrôler des missions aériennes d’entraînement complexes dans un cadre multinational.

 

Le TLP en 2014

Le TLP s’inscrit comme une référence pour les pays alliés et les partenaires de l’OTAN pour préparer les pilotes à devenir «chef de dispositif». Cette formation leur permet de mener des missions aériennes complexes et multinationales, former le personnel navigant et non-navigant à toutes les tactiques OTAN relatives aux opérations aériennes  et  introduire et former les nouveaux partenaires de l’OTAN aux opérations aériennes alliées. Le TLP reste une agence OTAN d’expertise dans le domaine des opérations aériennes.

C’est en soutien de cette agence que la flottille 4F a mis en œuvre ses moyens. Les équipages d’E-2C étaient employés pour contrôler des aéronefs jouant le rôle d’opposants (les «rouges») contre les dispositifs composés des stagiaires du TLP (les «bleus»), le scénario proposé a donné ainsi l’occasion de maintenir un haut niveau de condition opérationnelle dans la continuité de l’opération Bois Belleau ( déploiement du groupe aéronaval français).

 

Historique du TLP

Le TLP a été crée dans un contexte de guerre froide, en 1978. Six nations de l’OTAN (Belgique, Canada, Allemagne, Pays-Bas, USA, Royaume-Uni) reconnaissent le besoin de mutualiser leurs forces et de s’entraîner conjointement afin de réaliser des missions de défense aérienne et d’attaque au sol. Les instructeurs sont sélectionnés parmi les pilotes les plus expérimentés des forces de l’OTAN, ce qui fait du TLP le centre d’excellence européen en matière d’opérations aériennes. Le TLP inclut une phase «vol» où les pilotes apprennent à planifier, briefer et conduire d’importants dispositifs d’assaut multinationaux sous menace aérienne

Depuis l’été 2009, le TLP est installé sur la base aérienne d’Albacete en Espagne, attirant chaque année plus de nations  participantes.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 13:50
photo RP Defense

photo RP Defense

 

27-03-2014 SEDE

 

The Subcommittee will debate the next steps in strengthening the European defence industry with Slawomir Tokarski, Head of Unit, Defence, Aeronautic and Maritime industries, DG Enterprise and Industry.

 

When : 1 April 2014, 15:00-18:30    


Further information meeting documents

source LeFigaro

source LeFigaro

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 13:40
A-645 FS Alizé passing through the Dardanelles. Photo elazighaberi com

A-645 FS Alizé passing through the Dardanelles. Photo elazighaberi com

 
27 March 2014, The Voice of Russia

 

The French Navy's rescue vessel Alize has entered the Black Sea, a Russian Black Sea Fleet spokesman told Interfax-AVN on Thursday.

"This specialized vessel intended to provide diving support left the straight zone on Wednesday," he said.

"It is heading to the Bulgarian port of Varna, where it will take part in joint sea rescue exercises," the spokesman said.

According to open sources, the vessel Alize, which joined the French Navy in 2005, carries equipment intended for the most complicated types of diving operations.

It can also be used as a base for combat diver teams.

The Alize is 60 meters long, has a water displacement of 1,500 tonnes, is operated by an 18-member crew, and, according to different reports, can carry from 30 to 230 passengers.

The vessel is equipped with two 12.7-millimeter submachine guns and an NH90 helicopter.
 

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 12:56
photo MBDA

photo MBDA

 

 

27/03/2014 DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ARMEMENT

 

Le programme franco-britannique de missile anti navire léger (ANL) est lancé

 

Au nom de la France et du Royaume-Uni, le ministère britannique de la Défense a notifié le 26 mars 2014 à la société MBDA le contrat de développement et de production du missile anti navire léger ANL/FASGW(H), pour un montant de l’ordre de 600 M€ (500 M£).

 

 Ce développement commun est décisif pour engager la consolidation de l’industrie missilière franco-britannique sous l’égide de MBDA et de ses sous-traitants, dans le cadre de l’initiative « One Complex Weapon ».

 

Le franchissement de cette étape importante du programme avait été préparé lors du sommet franco-britannique de Brize Norton le 31 janvier 2014 par la signature d’un Memorandum of Understanding (arrangement cadre) entre le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et son homologue britannique Philip Hammond.

 

photo MBDA / Marine Nationale

photo MBDA / Marine Nationale

Le missile ANL apportera aux hélicoptères de la marine nationale une capacité permettant de neutraliser les patrouilleurs, des vedettes rapides et des petites embarcations dans des situations de crise.

 

La Direction générale de l’armement (DGA) assurera avec la DE&S (Defence Equipment & Support), son homologue britannique, la conduite du programme ANL/FASGW(H) au sein d’un bureau de programme commun (Joint Project Office) basé à Bristol.

 

Le programme ANL s’inscrit dans la lignée fructueuse des coopérations entre la France et le Royaume-Uni dans le domaine des missiles (Aster, Scalp, Meteor).

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 12:50
La défense européenne en question

 

26/03 Euronews

 

Depuis la crise en Ukraine, la défense européenne est au coeur des préoccupations. L’Otan est inquiète de la concentration des forces militaires russes à la frontière ukrainienne et a mis en place des plans pour défendre ses membres, qui pourraient être menacés.

 

Le président Obama s’est inquiété lui de la baisse de la participation financière de certains membres de l’Otan, baisse susceptible de fragiliser l’organisation. En visitant ce cimetière américain de la Première guerre mondiale en Belgique, Barack Obama rappelle l’importance de la coopération, pour assurer la sécurité sur le continent européen.

 

Suite de l’article

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 12:50
President Obama calls on European allies to face Russia

 

26 Mar 2014 by securityobserver

 

The International Security Observer had the honor to assist to the remarks by President of the United States Barack Obama delivered in Brussels on Wednesday, March 26, 2014. In his 36 minutes speech, President Obama called on European allies to stand for those values they fought for during World War II and the Cold War. Despite stating again that the US are interested in a strong and prosperous Russia, President Obama said any violation of sovereignty cannot be tolerated.  

 

Here is the full transcript:

Thank you. (Cheers, applause.) Thank you so much. Thank you. (Cheers, applause.) Thank you very much. Thank you. Please, please have a seat. Good evening, (goedenavond ?), bonsoir, guten Abend. (Cheers, applause.)

Thank you, Lara (sp), for that remarkable introduction. On — before she came out, she told me not to be nervous. (Laughter.) And I can only imagine — I think her father is in the audience. And I can only imagine how proud he is of her. We’re grateful for her work, but she’s also reminding us that our future will be defined by young people like her.

Your Majesties, Mr. Prime Minister, and the people of Belgium, on behalf of the American people, we are grateful for your friendship. We stand together as inseparable allies. And I thank you for your wonderful hospitality. I have to admit it is easy to love a country famous for chocolate and beer. (Laughter, cheers.) (Chuckles.)

Leaders and dignitaries of the European Union, representatives of our NATO alliance, distinguished guests, we meet here at a moment of testing for Europe and the United States and for the international order that we have worked for generations to build. Throughout human history, societies have grappled with fundamental questions of how to organize themselves, the proper relationship between the individual and the state, the best means to resolve the inevitable conflicts between states.

And it was here in Europe, through centuries of struggle, through war and enlightenment, repression and revolution, that a particular set of ideals began to emerge, the belief that through conscience and free will, each of us has the right to live as we choose, the belief that power is derived from the consent of the governed and that laws and institutions should be established to protect that understanding.

And those ideas eventually inspired a band of colonialists across an ocean, and they wrote them into the founding documents that still guide America today, including the simple truth that all men, and women, are created equal.

But those ideals have also been tested, here in Europe and around the world. Those ideals have often been threatened by an older, more traditional view of power. This alternative vision argues that ordinary men and women are too small-minded to govern their own affairs, that order and progress can only come when individuals surrender their rights to an all-powerful sovereign. Often this alternative vision roots itself in the notion that by virtue of race or faith or ethnicity, some are inherently superior to others and that individual identity must be defined by us versus them, or that national greatness must flow not by what people stand for, but what they are against.

In so many ways, the history of Europe in the 20th century represented the ongoing clash of these two sets of ideas, both within nations and among nations. The advance of industry and technology outpaced our ability to resolve our differences peacefully. And even — even among the most civilized of societies on the surface, we saw a descent into barbarism.

This morning at Flanders Field, I was reminded of how war between peoples sent a generation to their deaths in the trenches and gas of the first world war. And just two decades later, extreme nationalism plunged this continent into war once again, with populations enslaved and great cities reduced to rubble and tens of millions slaughtered, including those lost in the Holocaust.

It is in response to this tragic history that in the aftermath of World War II, America joined with Europe to reject the darker forces of the past and build a new architecture of peace. Workers and engineers gave life to the Marshall Plan. Sentinels stood vigilant in a NATO alliance that would become the strongest the world has ever known. And across the Atlantic, we embraced a shared vision of Europe, a vision based on representative democracy, individual rights, and a belief that nations can meet the interests of their citizens through trade and open markets, a social safety net, respect for those of different faiths and backgrounds.

For decades, this vision stood in sharp contrast to life on the other side of an Iron Curtain. For decades, a contest was waged, and ultimately, that contest was won, not by tanks or missiles, but because our ideals stirred the hearts of Hungarians, who sparked a revolution, Poles in their shipyards who stood in solidarity, Czechs who waged a Velvet Revolution without firing a shot, and East Berliners who marched past the guards and finally tore down that wall.

Today what would have seemed impossible in the trenches of Flanders, the rubble of Berlin, a dissident’s prison cell — that reality is taken for granted: a Germany unified, the nations of Central and Eastern Europe welcomed into the family of democracies. Here in this country, once the battleground of Europe, we meet in the hub of a union that brings together age-old adversaries in peace and cooperation. The people of Europe, hundreds of millions of citizens, east, west, north, south, are more secure and more prosperous because we stood together for the ideals we shared.

And this story of human progress was by no means limited to Europe. Indeed, the ideals that came to define our alliance also inspired movements across the globe — among those very people, ironically, who had too often been denied their full rights by Western powers. After the second world war people from Africa to India threw off the yoke of colonialism to secure their independence. In the United States citizens took Freedom Rides and endured beatings to put an end to segregation and to secure their civil rights. As the Iron Curtain fell here in Europe, the iron fist of apartheid was unclenched and Nelson Mandela emerged upright, proud, from prison to lead a multiracial democracy; Latin American nations rejected dictatorship and built new democracies; and Asian nations showed that development and democracy could go hand in hand.

The young people in the audience today, young people like Lara (sp), were born in a place and a time where there is less conflict, more prosperity and more freedom than any time in human history. But that’s not because man’s darkest impulses have vanished. Even here in Europe we’ve seen ethnic cleansing in the Balkans that shocked the conscience. The difficulties of integration and globalization, recently amplified by the worst economic crisis of our lifetimes, strained the European project and stirred the rise of a politics that too often targets immigrants or gays or those who seem somehow different.

While technology has opened up vast opportunities for trade and innovation and cultural understanding, it’s also allowed terrorists to kill on a horrifying scale. Around the world sectarian warfare and ethnic conflicts continue to claim thousands of lives. And once again, we are confronted with the belief among some that bigger nations can bully smaller ones to get their way — that recycled maxim that might somehow makes right.

So I come here today to insist that we must never take for granted the progress that has been won here in Europe and advanced around the world, because the contest of ideas continues for your generation.

And that’s what’s at stake in Ukraine today. Russia’s leadership is challenging truths that only a few weeks ago seemed self-evident, that in the 21st century, the borders of Europe cannot be redrawn with force, that international law matters, that people and nations can make their own decisions about their future.

To be honest, if we define our — our interests narrowly, if we applied a coldhearted calculus, we might decide to look the other way. Our economy is not deeply integrated with Ukraine’s. Our people and our homeland face no direct threat from the invasion of Crimea. Our own borders are not threatened by Russia’s annexation. But that kind of casual indifference would ignore the lessons that are written in the cemeteries of this continent. It would allow the old way of doing things to regain a foothold in this young century. And that message would be heard, not just in Europe, but in Asia and the Americas, in Africa and the Middle East.

And the consequences that would arise from complacency are not abstractions. The impacts that they have on the lives of real people, men and women just like us, have to enter into our imaginations.

Just look at the young people of Ukraine, who were determined to take back their future from a government rotted by corruption; the portraits of the fallen shot by snipers; the visitors who pay their respects at the Maidan. There was the university student wrapped in the Ukrainian flag expressing her hope that every country should live by the law; a postgraduate student speaking for fellow protesters, saying, I want these people who are here to have dignity. Imagine that you are the young woman who said, there are some things that fear, police sticks and tear gas cannot destroy.

We’ve never met these people, but we know them. Their voices echo calls for human dignity that rang out in European streets and squares for generations. Their voices echo those around the world who at this very moment fight for their dignity. These Ukrainians rejected a government that was stealing from the people instead of serving them, and are reaching for the same ideals that allow us to be here today.

None of us can know for certain what the coming days will bring in Ukraine, but I am confident that eventually those voices, those voices for human dignity and opportunity and individual rights and rule of law, those voices ultimately will triumph.

I believe that over the long haul as nations that are free, as free people, the future is ours. I believe this not because I’m naive. And I believe this not because of the strength of our arms or the size of our economies. I believe this because these ideals that we affirm are true. These ideals are universal.

Yes, we believe in democracy, with elections that are free and fair, and independent judiciaries and opposition parties, civil society and uncensored information so that individuals can make their own choices. Yes, we believe in open economies based on free markets and innovation and individual initiative and entrepreneurship and trade and investment that creates a broader prosperity.

And yes, we believe in human dignity, that every person is created equal — no matter who you are or what you look like or who you love or where you come from. That is what we believe. That’s what makes us strong. And our enduring strength is also reflected in our respect for an international system that protects the rights of both nations and people — a United Nations and a Universal Declaration of Human Rights, international law and the means to enforce those laws.

But we also know that those rules are not self-executing.

They depend on people and nations of good will continually affirming them.

And that’s why Russia’s violation of international law, its assault on Ukraine’s sovereignty and territorial integrity, must be met with condemnation, not because we’re trying to keep Russia down, but because the principles that have meant so much to Europe and the world must be lifted up.

Over the last several days, the United States, Europe and our partners around the world have been united in defense of these ideals and united in support of the Ukrainian people. Together, we’ve condemned Russia’s invasion of Ukraine and rejected the legitimacy of the Crimean referendum. Together, we have isolated Russia politically, suspending it from the G-8 nations and downgrading our bilateral ties. Together, we are imposing costs through sanctions that have left a mark on Russia and those accountable for its actions.

And if the Russian leadership stays on its current course, together, we will ensure that this isolation deepens. Sanctions will expand, and the toll on Russia’s economy, as well as its standing in the world, will only increase.

And meanwhile, the United States and our allies will continue to support the government of Ukraine as they chart a democratic course. Together, we are going to provide a significant package of assistance that can help stabilize the Ukrainian economy and meet the basic needs of the people.

Make no mistake, neither the United States nor Europe has any interest in controlling Ukraine.

We have sent no troops there. What we want is for the Ukrainian people to make their own decisions, just like other free people around the world.

Understand as well this is not another Cold War that we’re entering into. After all, unlike the Soviet Union, Russia leads no bloc of nations, no global ideology. The United States and NATO do not seek any conflict with Russia. In fact, for more than 60 years we have come together in NATO not to claim other lands but to keep nations free.

What we will do always is uphold our solemn obligation, our Article 5 duty, to defend the sovereignty and territorial integrity of our allies. And in that promise we will never waver. NATO nations never stand alone.

Today NATO planes patrol the skies over the Baltics, and we’ve reinforced our presence in Poland, and we’re prepared to do more.

Going forward, every NATO member state must step up and carry its share of the burden by showing the political will to invest in our collective defense and by developing the capabilities to serve as a source of international peace and security.

Of course Ukraine is not a member of NATO, in part because of its close and complex history with Russia. Nor will Russia be dislodged from Crimea or deterred from further escalation by military force.

But with time, so long as we remain united, the Russian people will recognize that they cannot achieve the security, prosperity and the status that they seek through brute force.

And that’s why throughout this crisis we will combine our substantial pressure on Russia with an open door for diplomacy.

I believe that for both Ukraine and Russia, a stable peace will come through de-escalation, a direct dialogue between Russia and the government of Ukraine and the international community, monitors who can ensure that the rights of all Ukrainians are protected, a process of constitutional reform within Ukraine and free and fair elections this spring.

So far, Russia has resisted diplomatic overtures, annexing Crimea and massing large forces along Ukraine’s border. Russia’s justified these actions as an effort to prevent problems on its own borders and to protect ethnic Russians inside Ukraine. Of course, there is no evidence, never has been, of systemic violence against ethnic Russians inside of Ukraine.

Moreover, many countries around the world face similar questions about their borders and ethnic minorities abroad, about sovereignty and self-determination. These are tensions that have led in other places to debate and democratic referendums, conflicts and uneasy co- existence. These are difficult issues and it is precisely because these questions are hard that they must be addressed through constitutional means and international laws, so that majorities cannot simply suppress minorities and big countries cannot simply bully the small.

In defending its actions, Russian leaders have further claimed Kosovo as a precedent, an example, they say, of the West interfering in the affairs of a smaller country, just as they’re doing now. But NATO only intervened after the people of Kosovo were systematically brutalized and killed for years. And Kosovo only left Serbia after a referendum was organized not outside the boundaries of international law, but in careful cooperation with the United Nations and with Kosovo’s neighbors. None of that even came close to happening in Crimea.

Moreover, Russia has pointed to America’s decision to go into Iraq as an example of Western hypocrisy. Now, it is true that the Iraq war was a subject of vigorous debate, not just around the world but in the United States, as well. I participated in that debate, and I opposed our military intervention there.

But even in Iraq, America sought to work within the international system. We did not claim or annex Iraq’s territory. We did not grab its resources for our own gain. Instead, we ended our war and left Iraq to its people in a fully sovereign Iraqi state that can make decisions about its own future.

Of course, neither the United States nor Europe are perfect in adherence to our ideals. Nor do we claim to be the sole arbiter of what is right or wrong in the world.

We are human, after all, and we face difficult decisions about how to exercise our power.

But part of what makes us different is that we welcome criticism, just as we welcome the responsibilities that come with global leadership. We look to the east and the south and see nations poised to play a growing role on the world stage, and we consider that a good thing. It reflects the same diversity that makes us stronger as a nation and the forces of integration and cooperation that Europe has advanced for decades. And in a world of challenges that are increasingly global, all of us have an interest in nations stepping forward to play their part, to bear their share of the burden and to uphold international norms.

So our approach stands in stark contrast to the arguments coming out of Russia these days. It is absurd to suggest, as a steady drumbeat of Russian voices do, that America is somehow conspiring with fascists inside of Ukraine but failing to respect the Russian people. My grandfather served in Patton’s Army, just as many of your fathers and grandfathers fought against fascism. We Americans remember well the unimaginable sacrifices made by the Russian people in World War II, and we have honored those sacrifices. Since the end of the Cold War, we have worked with Russia under successive administrations to build ties of culture and commerce and international community, not as a favor to Russia, but because it was in our national interests.

And together, we’ve secured nuclear materials from terrorists, we welcomed Russia into the G-8 and the World Trade Organization. From the reduction of nuclear arms to the elimination of Syria’s chemical weapons, we believe the world has benefited when Russia chooses to cooperate on the basis of mutual interests and mutual respect.

So America and the world, and Europe, has an interest in a strong and responsible Russia, not a weak one. We want the Russian people to live in security, prosperity and dignity like everyone else, proud of their own history. But that does not mean that Russia can run roughshod over its neighbors. Just because Russia has a deep history with Ukraine does not mean it should be able to dictate Ukraine’s future. No amount of propaganda can make right something that the world knows is wrong.

You know, in the end, every society must chart its own course. America’s path or Europe’s path is not the only ways to reach freedom and justice. But on the fundamental principle that is at stake here, the ability of nations and peoples to make their own choices, there can be no going back. It’s not America that filled the Maidan with protesters. It was Ukrainians.

No foreign forces compelled the citizens of Tunis and Tripoli to rise up. They did so on their own. From the Burmese parliamentarian pursuing reform to the young leaders fighting corruption and intolerance in Africa, we see something irreducible that all of us share as human being: a truth that will persevere in the face of violence and repression and will ultimately overcome.

For the young people here today, I know it may seem easy to see these events as removed from our lives, remote from our daily routines, distant from concerns closer to home. I recognize that both in the United States and in much of Europe, there’s more than enough to worry about in the affairs of our own countries.

There will always be voices who say that what happens in the wider world is not our concern nor our responsibility. But we must never forget that we are heirs to a struggle for freedom. Our democracy, our individual opportunity only exist because those who came before us had the wisdom and the courage to recognize that ideals will only endure if we see our self-interest in the success of other peoples and other nations.

Now is not the time for bluster. The situation in Ukraine, like crises in many parts of the world, does not have easy answers nor a military solution.

But at this moment, we must meet the challenge to our ideals, to our very international order, with strength and conviction. And it is you, the young people of Europe, young people like Laura (sp), who will help decide which way the currents of our history will flow.

Do not think for a moment that your own freedom, your own prosperity, that your own moral imagination is bound by the limits of your community, your ethnicity or even your country. You’re bigger than that. You can help us to choose a better history. That’s what Europe tells us. That’s what the American experience is all about.

I say this as the president of a country that looked to Europe for the values that are written into our founding documents and which spilled blood to ensure that those values could endure on these shores. I also say this as the son of a Kenyan whose grandfather was a cook for the British, and as a person who once lived in Indonesia as it emerged from colonialism.

The ideals that unite us matter equally to the young people of Boston or Brussels or Jakarta or Nairobi or Krakow or Kiev.

In the end, the success of our ideals comes down to us, including the example of our own lives, our own societies. We know that there will always be intolerance, but instead of fearing the immigrant, we can welcome him. We can insist on policies that benefit the many, not just the few, that an age of globalization and dizzying change opens the door of opportunity to the marginalized, and not just a privileged few.

Instead of targeting our gay and lesbian brothers and sisters, we can use our laws to protect their rights. Instead of defining ourselves in opposition to others, we can affirm the aspirations that we hold in common. That’s what will make America strong. That’s what will make Europe strong. That’s what makes us who we are.

And just as we meet our responsibilities as individuals, we must be prepared to meet them as nations because we live in a world in which our ideals are going to be challenged again and again by forces that would drag us back into conflict or corruption. We can’t count on others to rise to meet those tests.

The policies of your government, the principles of your European Union will make a critical difference in whether or not the international order that so many generations before you have strived to create continues to move forward, or whether it retreats. And that’s the question we all must answer: What kind of Europe, what kind of America, what kind of world will we leave behind?

And I believe that if we hold firm to our principles and are willing to back our beliefs with courage and resolve, then hope will ultimately overcome fear, and freedom will continue to triumph over tyranny, because that is what forever stirs in the human heart.

Thank you very much. (Applause.)

 

Source: The Washington Post

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 12:50
Gripen Loaded For Bear

 

3/26/2014 Strategy Page

 

The Gripen above is armed with two long-range RBS-15F anti-ship missiles (large missiles with the black noses) .

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 12:50
Crise ukrainienne: pugnacité américaine, anxiété européenne

Le président de la Commission européenne Manuel Barroso, le président américain Barack Obama et le président du conseil de l’Union Herman Van Rompuy, à Bruxelles le 26 mars 2014 (compte Twitter/Herman Van Rompuy)

 

26 mars 2014 par Jacques N. Godbout

 

Réunis ce mercredi 26 mars, deux jours après la suspension de la Russie du G8 et la menace de nouvelles sanctions contre Moscou, Barack Obama et les présidents du Conseil européen, Herman Van Rompuy, et de la Commission, José Manuel Barroso, ont affiché leur détermination à ne pas laisser impuni le rattachement de la Crimée à la Russie.

 

Mais, depuis la fin de la Guerre froide, le monde est devenu beaucoup petit pour que les Russes et les Occidentaux puissent rester longtemps…en froid, et des voix divergentes se font entendre qui remettent en cause la pertinence des sanctions.

Lors de leur réunion extraordinaire à La Haye, les pays du G7 avaient prévenu Moscou le 24 mars ont dit qu’ils étaient prêts en cas d’escalade à prendre des sanctions économiques, dans les secteurs de l’énergie, de la finance, des ventes d’armes et du commerce.

«S »il y a une nouvelle escalade, nous, les Européens et les Américains sommes prêts à intensifier les sanctions», a déclaré aujourd’hui le Président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, en conférence de presse à l’issue des entretiens avec le Président américain, ajoutant toutefois «que les sanctions sont un moyen et non une fin. L’objectif est une solution négociée, dans le respect de la souveraineté de l’Ukraine et du droit international.»

«Nous soutenons également la Géorgie et la Moldavie, et l’Union européenne a avancé à juin, la signature d’accords d’association avec eux», a aussi déclaré le président du Conseil européen.

Le président américain a souligné quant à lui le danger que les actions de la Russie font courir aux Ukrainiens, mais aussi au système international dans lequel l’Europe et les États-Unis ont tant investi.

Barack Obama a expliqué pourquoi l’alliance entre l’Europe et les États-Unis est si importante pour la sécurité de l’Europe mais aussi pour «la démocratie et la préservation de la loi internationale dans le monde.

«Le monde est plus sûr et plus juste quand l’Europe et les États-Unis sont solidaires», a Barack Obama.

«L »Europe, notamment l’Union européenne, est la pierre angulaire de notre engagement dans le monde», a insisté le Président américain en assurant que la Russie était «seule» après son intervention en Crimée et que Moscou avait fait un «mauvais calcul» en pensant «enfoncer un coin entre l’Union européenne et les États-Unis».

Barack Obama s’est aussi déclaré «préoccupé» par la baisse des dépenses militaires de certains pays de l’Otan. «La situation en Ukraine nous rappelle que la liberté a un prix», a-t-il affirmé.

L’Ukraine sera aussi au centre des entretiens dans l’après-midi entre Barack Obama et le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, qui redoute une intervention de Moscou dans l’est de l’Ukraine et avait affirmé le 20 mars dernier que le rattachement de la Crimée à la Russie constitue la «plus grave» menace pour la stabilité de l’Europe depuis la Guerre froide.

 

Pugnacité d’Obama, mais inquiétudes en Europe

Mais la plupart des dirigeants souhaitent avant tout une désescalade.

Selon le chef de la diplomatie allemande, Frank-Walter Steinmeier, il importe de désamorcer la situation. «Nous devrions reprendre des relations normales», a déclaré le ministre des Affaires étrangères allemand aujourd’hui dans une interview avec le journal Bild.

De plus, des voix, qui prônent surtout le dialogue, s’élèvent déjà pour remettre en cause la pertinence et l’utilité des sanctions

Voix divergente en Europe, l’ex-chancelier allemand de 1974 à 1982, Helmut Schmidt, a vivement critiqué la position de l’Occident sur ​​le règlement de la crise en Ukraine, rapporte aujourd’hui l’agence russe Itar-Tass.

«L’UE et les États-Unis des sanctions contre la Russie sont stupides et toute pression économique aurait une signification symbolique», a déclaré ce mercredi celui qui fut aussi ministre fédéral de l’Économie et des Fiances après avoir été ministre de la Défense.

«Les sanctions affectent à la fois l’Occident et la Russie», a noté l’ex-chancellier.

Le refus des dirigeants du G7 de poursuivre le dialogue avec la Russie ne facilite pas le règlement de la ukrainienne. «Il serait idéal de se réunir dans le cadre du G8 en ce moment. ce cadre serait plus utile pour préserver la paix», a ajouté l’homme politique allemand, soulignant que la situation en Ukraine était particulièrement dangereuse du fait des inquiétudes de l’Occident.

Selon la Banque mondiale, le produit intérieur brut de la Russie pourrait chuter de 1,8% en 2014 et la fuite des capitaux atteindre jusqu’à 150 milliards de dollars si la crise en Ukraine s’aggravait, mais, selon les Russes, l’économie du monde occidentale sera aussi très affectée.

«Les sanctions contre la Russie feront payer les Européens pour l’échec de la politique de l’Occident en Ukraine», a affirmé de son côté le président de la Douma [la Chambre basse du parlement russe, ndlr] Sergueï Narychkine, déclarant que la politique de l’Occident avait aggravé la crise politique.

Autre voix divergente, en Amérique cette fois, l’ex Secrétaire à la Défense Robert Gates,un républicain qui avait servi aussi sous l’administration Obama, estimait déjà le 10 mars dernier que les sanctions seraient improductives.

«Certaines sanctions envisagées et mesures prises, [...] honnêtement, n’auront pas le moindre effet dissuasif sur Poutine, à mon avis», avait-il déclaré à la télévision américaine. «Il n’y a rien que les puissances occidentales puissent faire «La Crimée est partie!», »Crimea is gone!», avait-il lancé, soulignant qu’il vaudrait mieux se préoccuper de la dépendance énergétique européenne et «prendre de mesures pour assurer la fourniture de gaz en Europe sans la Russie, actuellement le fournisseur d’une grande partie de l’énergie européenne».

Le président américain lui-même aujourd’hui a estimé que la crise ukrainienne démontrait «la nécessité pour l’Europe de diversifier ses sources d’énergie», alors qu’elle est toujours très dépendante des importations de gaz russe.

 

Rencontres inévitables

Le Canada, le plus ardent soutien du nouveau pouvoir ukrainien, n’en continue pas moins les discussions sur les questions nordiques avec les Russes.

Les représentants du gouvernement canadien ont d’ailleurs confirmé qu’une délégation russe assister bien à une rencontre à Yellowknife cette semaine du Conseil de l’Arctique auquel préside le Canada et qui réunira tous les membres du groupe des huit nations.

Amanda Gordon, une porte-parole de ministre de l’Environnement, Leona Aglukkaq, qui dirige le Conseil de l’Arctique, a toutefois déclaré le Premier ministre Stephen Harper a demandé aux fonctionnaires d’examiner l’ensemble des relations bilatérales avec la Russie, mais le travail du Conseil de l’Arctique continuera comme prévu pour le moment.

Et, pendant qu’en Crimée les drapeaux russes ont été hissés sur toutes les unités militaires de la péninsule mercredi matin, à 370 km d’altitude dans l’espace au dessus de notre planète, la Station spatiale internationale (ISS) se prépare à accueillir un nouvel équipage international composé de deux astronautes russes et d’un américain pour un séjour de près de 6 mois:  peut-être ennemis sur Terre, Russes et Américains sont au moins toujours alliés dans l’espace

Depuis la fin de la Guerre froide, le monde est devenu beaucoup trop petit pour que Russes et Occidentaux puissent éviter de se rencontrer, que ce soit dans l’Arctique ou dans l’espace.

À bientôt dans «une galaxie près de chez vous»!

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 12:40
BPC Vladivostok photo T. Bregaris Ouest-France

BPC Vladivostok photo T. Bregaris Ouest-France

 

26.03.2014 Oksana Bobrovitch – La Voix de la Russie

Il y a une semaine, le ministre des Affaires étrangères français Laurent Fabius, dont le voyage en Russie avec le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a été annulé le 18 mars, a déclaré sur un plateau de télévision que « la France pourra envisager » d'annuler la vente des Mistral « si Poutine continue ce qu'il fait », en faisant bien entendu référence au référendum en Crimée.

 

« Nous pouvons envisager d'annuler ces ventes, mais nous demanderons à d'autres, je pense notamment aux Britanniques, de faire l'équivalent avec les avoirs russes des oligarques à Londres. Les sanctions doivent toucher tout le monde », a déclaré M. Fabius. Une précaution verbale nécessaire, car comme l'a souligné Laurent Fabius lui-même, l'annulation du contrat Mistral serait aussi « négatif pour les Français ».

 

Nous avons demandé de commenter ces propos du ministre français à Richard Labévière, rédacteur en chef de Défense, la revue de l'Institut des hautes études de défense nationale.

 

Richard Labévière. « Je crois qu’il y a eu quelques maladresses et précipitations de la part de Laurent Fabius. Il a eu beaucoup de blabla diplomatique sur cette affaire. Les contrats pour la livraison et la construction commune pour la Russie ont été conclus en 2011 pour un montant de 1,2 milliards d’euros, un contrat colossal qui conditionne un millier d’emplois à Saint-Nazaire.

Les premiers éléments de la coque du premier de ces porte-hélicoptères sont livrés. On les qualifie de « bâtiments de projection et de commandement », ce sont des porte-hélicoptères qui servent à des missions multiples : évacuation, assistance aux populations civiles, avec un ou deux hôpitaux à bord, des vedettes pour le débarquement, etc. Ce sont des bateaux multifonction. Les éléments et la coque du premier bateau, Vladivostok qui doit être livré a la Russie, ont été assemblés. Le deuxième bateau, Sébastopol devrait être achevé et livré, normalement, en 2016.

Dans le contexte de crise, le ministre des Affaires étrangères français a émis la possibilité de rompre ce marché. Ce serait une catastrophe. Une catastrophe pour l’emploi en soi, mais aussi pour l’organisme national qui cautionne les marchés et les exportations de ce type, et qui devrait compenser un milliard d’euros à la Russie, une grosse affaire.

Vous avez vu que le ministre de la Défence Jean-Yves Le Drian a aussitôt tempéré un peu les déclarations hâtives du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius pour dire que « de toute façon, le Vladivostok doit être livré en octobre 2014 » et que la discussion aurait lieu normalement aussi en octobre 2014. Et que la commission interministérielle d’étude sur les exportations de matériel militaire donnerait son avis.

Comme je vous l'ai dit : les intérêts économiques, les emplois sont importants pour cette affaire. D’autant plus que puisqu’à travers le premier bâtiment, Vladivostok, un certain nombre dd'éléments a déjà été livré, il faut l’appareiller de toute façon.

Si ce marché était rompu, les chantiers navals russes pourraient tout à fait assumer le suivi. Cette façon consisterait pour le côté français à se tirer une balle dans le pied sur le plan économique et sur le plan de l’emploi.

Je pense qu’au-delà de cette précipitation, il faut reprendre les choses, et on en parlera beaucoup plus calmement au mois d’octobre. »

 

LVdlR. Le journal Izvestia a cité une source dans l’entreprise russe de construction navales - Corporation Réuni des Armateurs : « Le Mistral est un navire construit selon des normes civiles, c'est un banal ferry pour le transport d'automobiles. Obtenir de nouvelles technologies dans la construction de tels navires pour un pays qui produit des sous-marins nucléaires, ce n'est pas sérieux ».

 

Bien entendu, la construction d’un navire ne se résume pas en assemblement des bouts de ferraille et de tôle. Le bateau n’est pas une « boîte », mais un objet qui doit fonctionner comme une montre. Faire vivre un navire est beaucoup plus difficile que construire sa coque. Mais c’est possible.

Par contre, il est beaucoup plus difficile de réparer les relations entre les pays, les entreprises, les gens. Dans ces grands gestes politiques, nous oublions volontiers les destins humaines toutes simples. Richard Labévière a parlé d’emplois. Je me rappelle très bien ma visite dans les chantiers navals de Saint-Nazaire. De cet impression de contraste entre la grandeur des bâtiments navals et les figures minuscules d’ouvriers qui, tels des fourmis, construisent petit à petit ces monstres de la mer. Je me rappelle aussi très bien la fatigue, teintée de fierté de ces mêmes ouvriers qui sortaient après la fin de la journée de travail. Et les conversations animées au bar « avant la soupe », où, inévitablement, on parle des salaires, du Chantier, du travail, du futur… Ainsi, ce discours autour de l’emploi est très personnel.

En cas de mise en place, les sanctions prises vont être douloureuses.          

Aussi bien pour la Russie que pour la France.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 12:35
NGC Australia, DSTO Confirm Research Partnership

 

 

Mar 26, 2014 ASDNews Source : Northrop Grumman Corporation

 

Northrop Grumman Corporation (NYSE:NOC) and the Australian Defence Science and Technology Organisation (DSTO) have signed a strategic alliance to conduct collaborative research in a range of advanced defence technologies.

 

The agreement was signed today in Canberra by Northrop Grumman Australia Chief Executive Ian Irving and Chief Defence Scientist Alex Zelinsky.

 

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