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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 17:35
S-400 photo Russia MoD

S-400 photo Russia MoD

 

31.10.2015 sputniknews.com

 

Selon le quotidien The Economic Times, le projet d'achat des missiles est examiné rapidement suite à des "besoins opérationnels extrêmes", la Chine comptant se doter en 2017 de six systèmes S-400.

 

L'Inde souhaite acheter rapidement des systèmes de missiles sol-air russes S-400, a annoncé le quotidien The Economic Times se référant à ses sources au sein du ministère indien de la Défense.

 

Début octobre, le quotidien a rapporté que l'armée indienne voulait acheter une dizaine de systèmes S-400.

 

Selon le quotidien, le projet d'achat des missiles est examiné rapidement suite à des "besoins opérationnels extrêmes", la Chine comptant se doter en 2017 de six systèmes S-400. "Le Pakistan commence aussi à s'intéresser aux systèmes S-400", indique le quotidien.

 

Le ministre indien de la Défense Manohar Parrikar est parti vendredi pour Moscou afin de participer à une réunion de la commission intergouvernementale pour la coopération militaro-technique qui aura lieu le 2 novembre. Lors de sa visite, le ministre devrait évoquer l'achat par l'Inde des systèmes S-400.

 

Par ailleurs, les parties devraient évoquer le projet de production conjointe des hélicoptères Ka-226T, ainsi que le leasing d'un second sous-marin nucléaire de classe "Akula".

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 17:30
Bombardements russes en Syrie: destruction d'une enceinte rebelle le 18 octobre 2015 dans la province de Hama. (ministère russe de la Défense)

Bombardements russes en Syrie: destruction d'une enceinte rebelle le 18 octobre 2015 dans la province de Hama. (ministère russe de la Défense)

 

31.10.2015 45eNord.ca (AFP)

 

La Russie a lancé le 30 septembre une campagne de frappes aériennes pour soutenir l’offensive au sol des forces du régime du président syrien Bachar al-Assad dans différentes provinces. Quel est le bilan un mois plus tard ?

 

La Russie a mené des raids dans 10 des 14 provinces de Syrie, dont celles qui sont des fiefs du groupe djihadiste État islamique (EI) comme Raqa et Deir Ezzor.

 

Mais la majorité des bombardements ont ciblé les provinces de Hama (centre), Idleb (nord-ouest), Alep (nord), Homs (centre) et Lattaquié (ouest) où les forces gouvernementales combattent les rebelles.

 

Selon un décompte AFP établi à partir des communiqués du ministère russe de la Défense et des déclarations du chef de l’opération militaire en Syrie, le général Andreï Kartapolov, l’armée russe a bombardé 969 cibles « terroristes » lors de 1.008 raids aériens.

 

Cette semaine, pour la première fois, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), les avions russes ont bombardé la province méridionale de Deraa, élargissant leur champ d’action.

 

Les seules provinces épargnées par les raids russes sont Tartous (ouest) et Soueida (sud) tenues par le régime, Hassaké (nord-est) dont le contrôle est partagé entre les forces kurdes et le régime, et Qouneitra, sur le plateau du Golan (sud), à la lisière de la ligne de cessez-le-feu avec Israël.

 

La Russie possède depuis 1971 une base navale logistique à Tartous mais elle agit principalement à partir de l’aéroport militaire mis à sa disposition par le régime dans la province de Lattaquié. Ces deux bases sont protégées par des centaines de parachutistes et commandos de marine, qui n’interviennent pas sur le théâtre des opérations.

 

Les communiqués du ministère de la Défense russe font référence à des raids menés par des avions de combats Su-24, Su-25, Su-30 et Su-34. Le ministère a indiqué que ses hélicoptères sont présents dans le pays mais ils ne sont pas mentionnés dans les raids.

 

Le 7 octobre, le ministère a indiqué que des bâtiments de guerre croisant en mer Caspienne avaient lancé 26 missiles de croisière contre 11 cibles en Syrie.

 

R: La Russie affirme que ses opérations visent l’EI et les autres « terroristes » mais les Occidentaux lui reprochent de frapper principalement les rebelles modérés et islamistes plutôt que l’EI.

 

Plusieurs provinces visées comme Hama, Lattaquié et Idleb comptent une présence relativement faible de l’EI.

 

Les organisations modérées, soutenues par les États-Unis, ont accusé Moscou de les viser directement. Le groupe Souqour al-Jabal a ainsi affirmé début octobre que les avions russes avaient ciblé son dépôt d’armes dans la province d’Alep.

 

R: L’intervention russe a redonné le moral aux forces du régime qui reculaient face aux rebelles. Elles ont lancé leur première offensive terrestre le 7 octobre dans le nord de la province centrale de Hama. Leur but: reprendre le contrôle de l’autoroute internationale reliant Homs à Alep, la capitale économique du pays. Mais les résultats sont mitigés: après avoir repris plusieurs localités aux rebelles, elles n’ont réussi à en conserver que trois.

 

Dans le Sahl al-Ghab, une plaine située à la jonction des provinces de Lattaquié, Hama et Idleb, le régime s’est emparé de certaines collines mais a échoué à conquérir des positions capables de lui donner un avantage décisif.

 

Dans le sud d’Alep, les forces gouvernementales ont pris le contrôle de six villages et de collines, selon l’OSDH. L’armée dit avoir pris 50 villages et hameaux, soit environ 120 km2.

 

Dans le même temps, l’EI s’est emparé de larges portions de l’unique route tenue par le gouvernement reliant Homs à Alep. Aujourd’hui, les 500.000 habitants des quartiers d’Alep tenus par le régime syrien sont coupés du monde.

 

R: Les frappes menées par la Russie ont fait 595 morts dont deux tiers étaient membres de groupes armés et un tiers des civils, selon l’OSDH. Selon un décompte effectué jusqu’à jeudi, 279 rebelles modérés et islamistes alliés au Front al-Nosra, branche syrienne d’al-Qaïda, ont été tués ainsi que 131 djihadistes du groupe État Islamique (EI). 185 civils dont 46 femmes et 48 enfants ont péri. Moscou dément avoir tué des civils.

 

En comparaison, les raids menés par la coalition conduite par les États-Unis depuis 13 mois ont fait, selon l’OSDH, 3.649 morts dont 3.276 combattants de l’EI, 147 du Front al-Nosra et d’autres groupes islamistes. 226 civils ont été tués -6% des victimes- dont 65 enfants et 40 femmes.

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:55
Assouplissement des critères d’attribution de la carte du combattant

 

29/10/2015 DICOD

 

Depuis le 1er octobre 2015, les critères d’attribution de la carte du combattant au titre des opérations extérieures ont évolué (article 87 de la loi de finances pour 2015). Retour sur les nouvelles conditions d’attribution.

 

« Depuis cent ans, le visage de la guerre a beaucoup changé. Les missions des soldats français ont également évolué. Mais par-delà la diversité de leurs tâches, les combattants sont animés d’une même volonté. C’est pourquoi il était important que les avantages de la carte du combattant, la retraite du combattant - la rente mutualiste majorée par l’Etat, et le port de la croix du combattant, soient également ouverts à la quatrième génération du feu dans sa diversité. Car ils sont aussi, au même titre que leurs aînés, des passeurs de mémoire », a souligné le ministre lors de son allocution du 1er octobre dernier aux Invalides.

Ainsi, le 1er octobre 2015, les conditions historiques d’attribution de la carte du combattant liées notamment à l’appartenance à une unité combattante ou à la participation à des actions de feu et de combat ont évolué. Dorénavant, la carte du combattant est accessible à tout militaire des forces armées françaises, ainsi qu’aux personnes civiles, ayant participé au sein d'unités françaises, alliées ou de forces internationales, à des conflits armés (ou à des opérations et missions), menés conformément aux obligations et engagements internationaux de la France.
Pour cela, les combattants et anciens combattants doivent justifier d’une durée de service d’au moins quatre mois (ou 120 jours) effectuée sur un ou des territoire(s) pris en compte au titre de la réglementation actuelle.

La carte du combattant délivrée par l’ ONAC-VG ouvre plusieurs droits. Elle permet de bénéficier de la retraite du combattant, de porter la Croix du combattant, d’accéder à la qualité de ressortissant de l’ONAC-VG ainsi qu’au titre de reconnaissance de la Nation.

 

Création de la carte du combattant
Sa création revient aux associations d’anciens combattants au lendemain de la Grande Guerre. L'objectif est alors de faire reconnaitre par la nation le statut particulier de ceux qui ont participé aux combats.
La loi du 19 décembre 1926 officialise la création de la carte au profit des anciens combattants des guerres de 1914-1918, 1870-1871 et des campagnes coloniales antérieures au premier conflit mondial.
La loi du 28 juin 1930 crée un insigne officiel dénommé « Croix du combattant », attribué et réservé aux anciens combattants titulaires de la carte du combattant.
A ce jour, neuf millions de cartes ont été délivrées.

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

27 Octobre 2015 Source : Marine nationale

 

Le 22 octobre 2015, une cérémonie en hommage aux marins de l’aéronautique navale s’est déroulée devant le mémorial des « Marins du ciel » sur la colline de Costebelle à Hyères (83).

 

Cette cérémonie rassemble chaque année les marins du ciel affectés dans le Sud de la France autour des élus locaux, des familles de disparus, des associations d’anciens marins et des porte-drapeaux pour rendre hommage aux disparus au combat ou en service commandé.

 

Tout comme son pendant au Ponant, le mémorial du Cap de la Chèvre, le mémorial érigé sur la colline de Costebelle illustre la mémoire des plus de 1 600 marins « morts pour la France » en service.

 

Après un dépôt de gerbes, le contre-amiral Bruno Thouvenin, commandant la force de l’aéronautique navale (ALAVIA) a pris la parole pour remercier la forte représentation des associations et des familles aux côtés des marins de la base aéronavale de Hyères.

 

Il a insisté sur le devoir de mémoire qui est « une exigence qui nous (ndlr les marins d’active) permet au quotidien d’être plus forts » car « derrière chaque militaire, chaque marin, il y a un homme ou une femme qui accomplit une mission ». Il a également rendu hommage au travail des associations qu’il a qualifié de « passeurs de notre mémoire et relais des traditions » leur témoignant ainsi toute sa reconnaissance et son affection.

 

Le contre-amiral Thouvenin a terminé son allocution en demandant aux marins du ciel présents d’être dignes de leurs aînés, dignes de ceux qui les ont précédés et qui se sont sacrifiés.

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:55
Le VAB Ultima Génie, chaînon manquant entre le VAB originel et le futur VBMR, est maintenant qualifié par la DGA

Le VAB Ultima Génie, chaînon manquant entre le VAB originel et le futur VBMR, est maintenant qualifié par la DGA

 

 

30 octobre, 2015 Nathan Gain (FOB)

 

La version « génie » du VAB est désormais qualifiée au standard ULTIMA, a officiellement annoncé ce matin la Direction Générale de l’Armement. Forte de ces transformations techniques, la bête de somme de l’armée française est donc parée pour son dernier baroud d’honneur, qui aboutira en 2019 à son remplacement par le VBMR Griffon (Véhicule Blindé Multi-Rôles).

 

Fruit d’un partenariat fructueux entre la DGA, la STAT et Renault Trucks Defense, le standard Ultima permet d’adapter la plateforme VAB aux nouvelles contraintes imposées par l’évolution de la menace en OPEX. À ce titre, l’accent aura donc été mis sur l’amélioration de la protection, la motorisation, l’armement et l’adaptation au système Félin.

 

À l’instar de la version infanterie, les VAB Ultima Génie, reconstruits au sein du Centre de Production des Véhicules Militaire de RTD situé à Limoges, bénéficient des dernières avancées technologiques en terme de protection balistique, de protection contre les mines et EEI et de localisation des tirs adverses ; cette dernière fonction étant dévolue au fameux système SLATE, fabriqué par Metravib (qui a d’ailleurs récemment intégré le programme Scorpion). Le standard ULTIMA bénéficie de l’installation du même tourelleau téléopéré Kongsberg Protector M151 que le VAB TOP (déployé en Afghanistan), équipée d’une mitrailleuse de 12,7 mm et permettant dés lors au servant de rester à l’abri tout en assurant la conduite du tir. Ce « chaînon manquant » de l’infanterie blindée soutiendra efficacement les fantassins équipés du système Félin grâce au système de radiocommunications et d’information RIF-NG mis au point par Sagem. Livré dés 2013, le système RIF-NG est destiné à équiper tout soldat ou véhicule blindé de l’infanterie et est conçu pour assurer la continuité des communications entre véhicule et personnel débarqué.

 

Plus spécifiquement, le VAB Ultima Génie « permettra aux sapeurs de remplir tous les types de missions grâce à sa capacité d’emport du lot de base et d’un des 6 lots spécifiques (appui en zone urbaine, appui à la mobilité, appui au déploiement d’urgence, déminage et dépollution, contre-mobilité, EOD), » précisait RTD lors de la présentation du véhicule en mars dernier. Outre l’emport de matériels dédiés aux missions de génie, cette ultime mouture du VAB est équipée d’un treuil monté sur l’arrière.

 

En tout, ce ne sont pas moins de 290 VAB Ultima, dont 60 destinés au Génie, qui assureront la jonction entre les VAB classiques et le futur VBMR. Suite au contrat notifié le 27 juin 2014, la phase de production de cette ultime tranche de VAB de « génie » a démarré en février 2015 et se prolongera jusqu’au premier semestre 2016. Les livraisons, entamées cet été, ont déjà abouti à la livraison d’une trentaine de véhicules.

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:55
Systèmes d’information et de communication : des connexions au service des opérations


6 Octobre 2015 EV1 Virginie Dumesnil Source: Marine nationale

 

« Les SIC* sont plus que jamais au cœur de la réussite des opérations d’aujourd’hui et de demain. Les opérations sont toujours plus consommatrices de flux de données et d’interopérabilité avec nos alliés. Si des progrès significatifs ont été accomplis depuis le déploiement Bois Belleau du groupe aéronaval, il faut impérativement maintenir l’effort pour améliorer encore la fluidité des opérations… », déclarait le contre-amiral Chaperon au lancement de la COMINFOR 2015 (symposium des SIC de la Marine).

Les systèmes d’information et de communication jouent un rôle clé dans l’ensemble des activités de la Marine. Ils constituent un levier multiplicateur d’effets, un vecteur d’innovation et un soutien à la transformation. Les SIC participent de manière décisive à la performance opérationnelle de la Marine.

* SIC : Systèmes d’information et de communication, c’est aussi familièrement le surnom donné aux marins de la spécialité « systèmes d’information et de télécommunication » (SITEL).

 Dossier coordonné par l'

Les SIC à bord
Des bâtiments connectés pour une Marine interopérable 

 

Au cœur des opérations
Les SIC dans Arromanches

 

Innovation et transformation 
Au service de la performance de la Marine

 

La cybersécurité
La Marine se renforce 

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:35
Marines: Japan Has Second Thoughts About Marines

 

October 27, 2015: Strategy Page

 

Japan is having second thoughts about forming a modern a proper Marine Corps. This was shown by recent suggestions to cancel or delay necessary aircraft and amphibious vehicles needed to turn infantry into marines. Without these aircraft and vehicles the new Japanese forces will be no more mobile or capable than the 600 soldiers who are currently responsible for defending thousands of islands (many quite tiny) extending to Taiwan and out into the Pacific. The Japanese navy leadership now believes that new submarines, anti-submarine forces and mine clearance capabilities has a higher priority.

 

It was different back in 2013 when Japan decided, for the first time ever, to establish a force of marines similar to the U.S. Marine Corps. Officially called the Amphibious Rapid Deployment Brigade (ARDB), this forces was seen as essential to prevent China from seizing small, often uninhabited Japanese islands. American marines will help train the new Japanese force, currently planned as a brigade of some 3,000 troops. American marines have been teaching Japanese infantry how to undertake amphibious operations for some time but these army troops were not considered marines. The new plan is to establish an elite force of Japanese marines to deal with Chinese threats. Japan was going to buy six V-22 tilt-wing aircraft, heavy transport helicopters and helicopter gunships.

 

Japan is aware that neighboring South Korea created a Marine Corps in the 1950s, mainly because American marines were involved in protecting South Korea during the Korean War (1950-53) and the Koreans were impressed by the American marines. The South Korean marines turned out to be very good and the Japanese will have to hustle to be competitive.

 

At this point some of you history buffs are wondering about the World War II Japanese marines. Well, there were no Japanese marines in World War II. What was sometimes mistaken for marines was what the Japanese called the SNLF (Special Naval Landing Forces).  As with most maritime powers pre-1945 Japan often found it needed to send troops ashore quickly when all they had available were warships sitting off the coast. The Japanese, like most navies, would simply arm sailors and have them land. If the warships involved were not going to move around or get into heavy combat themselves, a third or more of the crew could be sent ashore as infantry. For a week or so, anyway. As recently as World War I (1914), America did the same thing, most obviously in Mexico where sailors landed at Vera Cruz as infantry and seized the city.  In continuation of this tradition, some sailors still regularly train as riflemen and in 2012 the U.S. Navy established a permanent force of naval infantry for security and coastal operations.

 

Since the 18th century the U.S. Navy usually had a few Marines on most major ships. These marines were in the habit of going with sailors sent ashore with rifles and contributed some expert advice on infantry operations. Marines (trained soldiers serving on board ships) were an ancient practice as until the introduction of cannon naval battles largely consisted of ships colliding and infantry fighting it out as if on land. When cannon came along there was much less emphasis on infantry combat afloat. Some infantry troops (usually professional marines) remained on ships and these evolved during the past few centuries into soldiers who served as guards on ships, helped man the big guns and, when needed, went ashore to take care of infantry business.  Since Japan got a late start in the Navy business (in fact, it never owned a sailing warship) it didn't develop marines in the traditional sense.

 

Yet Japan soon ran up against the need to land troops from warships along the China coast, especially in the 1920s and 30s. Using sailors for this worked pretty well because Japanese sailors were given infantry training as well as instruction in seamanship. But by the early 1930s the admirals were getting tired of seeing their crews constantly stripped of sailors to take care of some emergency ashore and decided to do something about it. Thus was born the SNLF. These were sailors trained and equipped to fight ashore. Their weapons were identical to those used by the Army and their uniforms were very similar. One of the differences was the use of an anchor symbol on the steel helmet instead of a star.

 

The SNLF were organized into large battalions (of 1,000 to 2,000 troops), containing a wide variety of weapons. Each of the four major Japanese naval bases (Kure, Maizuru, Saesbo and Yokosuka) was ordered to organize one or more of these units (called Rikusentai in Japanese).  A dozen SNLF "battalions" were organized before and during the war, including a handful of parachute units.  There were also several other types of specialized Navy ground combat units. To put this in perspective, the U.S. Marines during World War II organized some one hundred battalion sized combat units while only about three dozen (of all types) were created by the Japanese Navy ground forces. Or, put another way, there were about five times as many American Marines as there were Japanese SNLF troops.

 

After Pearl Harbor, the SNLF spearheaded the Japanese offensive into the south and central Pacific. If was SNLF units that seized American islands such as Wake and the British Gilberts. In cooperation with Army troops, SNLF, including paratroopers, also participated in the attacks on the Dutch East Indies (Indonesia) and Rabaul (the major naval base just north of the Solomons and Australia.) A big difference here was that the SNLF was not trained or equipped to make landings on heavily defended beaches. That was a U.S. Marine Corps specialty.

 

When America began its drive across the Central Pacific in late 1943, the first Japanese garrisons they attacked consisted largely of SNLF and other Japanese Navy ground forces. The closer the U.S. Marines got to Japan, the more Japanese Army troops they encountered. Thus the SNLF were largely found as garrisons on small islands in the Pacific. Like the U.S. Marines (USMC), the SNLF's main purpose was seizing forward bases for the navy, and then holding on to them. Beyond that, there were many significant differences between the SNLF and the American Marines. The USMC had a long tradition of highly trained and disciplined assault troops who were always distinct from the sailors they served with. The SNLF were sailors trained and equipped to serve mainly as infantry not ship crews. The SNLF officers were simply naval officers assigned to land combat duty. USMC officers were strictly marine officers. Thus the USMC leadership were far more expert at commanding infantry operations than their SNLF counterparts.

 

Most importantly the USMC units were specially equipped for amphibious warfare. While their gear included much that was identical to what the army used, where necessary unique weapons or equipment was developed. The SNLF had very little special equipment. In particular, the SNLF never had anything like the array of specialized amphibious equipment available to the USMC. The USMC was primarily an amphibious assault force while the SNLF spent most of its time guarding bases. The USMC also had "base defense units," but these were a handful of battalions compared to nearly a hundred assault units. Because of this specialization the USMC was, by tradition and training, an elite force that was expected to, and usually did, successfully undertake very difficult assignments. The SNLF, on the other hand, were not even considered as capable as their army counterparts. In short, there never were any Japanese Marines. The SNLF were sailors serving ashore as infantry and that's as far as it went. The new Japanese marines will be more like the American marines the SNLF faced during World War II.

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:30
Turkey hopes to fly SOM-J in late 2016, targeting F-35 Block 4.2

 

26 October, 2015 By James Drew – FG

 

Washington DC  - Turkish missile maker Roketsan is hoping to fly its SOM-J cruise missile for the first time “possibly late next year” ahead of planned integration with the F-16 Block 40 by 2018 and the Lockheed Martin F-35 sometime later.

 

SOM-J is essentially a scaled-down version of Roketsan’s SOM (stand off missile), and sized for internal carriage on the F-35. SOM is already integrated with Turkey’s F-16 Block 40 and F-4E fighter jets, whereas the semi-armour-piercing SOM-J will become the nation’s cruise missile of choice once Ankara introduces the low-observable F-35 into its combat force. One company official, who spoke to Flightglobal at a recent US Army conference in Washington but declined to be named, says most of the SOM subsystems including the multi-mode seeker have already been tested and qualified and the new development effort its mostly about adapting the missile for internal carriage on the F-35, such as changing the outer mould line. He says the first flight could happen as soon as late 2016, and Turkey has requested integration with the F-35 as part of the planned Block 4.2 modernisation package. “We rely on our experience and our qualification results we already have with the existing system,” he says. “This is based on the existing design.”

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:25
KC-390 resumes flight tests as defence unit rebaselines

 

27 October, 2015 By Stephen Trimble – FG

 

Washington DC - Embraer has flown the KC-390 again for the first time in eight months as the company’s Defence and Security business adapts to a devalued Brazilian currency and a slower development schedule for the new tanker-transport.

 

The flight on 26 October at Embraer’s test centre in Gaviao Pexioto, Brazil, ends an eight-month hiatus caused by a fiscal crisis in Brasilia. As the Real currency has devalued by 50% since the beginning of the year, the government had slowed payments to Embraer on a host of projects, but none bigger than the KC-390. Last July, Embraer announced signing an agreement with the Brazilian air force that extended the KC-390 development schedule by a year, with entry into service beginning in 2018. The agreement also included provisions to reimburse Embraer more than $370 million owed by the air force on the KC-390 so far. Meanwhile, company officials have also restructured the division to remain profitable despite sharply lower revenues as shown on the balance sheet, which is converted to suddenly much more valuable US dollars.

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:20
U.S. demos Standard Missile 3 in Europe

 

Oct. 28, 2015 By Richard Tomkins (UPI)

 

Spanish, Dutch, U.S. Navies cooperate on Stand Missile 3 firing at forum event in Scotland.

 

FASLANE, Scotland-- The U.S. Navy reports it has performed the first at sea ballistic missile defense firing of a Standard Missile 3 in Europe. The firing this month took place during three weeks of at sea demonstrations by allied navies at the Maritime Theater Missile Defense Forum in Faslane, Scotland. The MTMD Forum, started in 1999, is to facilitate and improve interoperability and enhance individual and collective maritime integrated air and missile defense capabilities.

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:20
Peace Time: Bombing Arizona

 

October 24, 2015: Strategy Page

 

On September 23rd a scrap yard worker in the United States (Arizona) was killed while trying to cut up an American Mk82 500 pound (227 kg) unguided bomb. Not all of the explosives in the unguided bomb went off but enough did to kill the worker. Normally these bombs carry 127.2 kg (280 pounds) of high explosives. The U.S. Department of Defense is investigating where the bomb came from because such weapons are not sold as surplus but are demilitarized (explosives removed) in Department of Defense facilities. Currently the most likely source of the bomb is the only missing Mk-82s in the area. These are four Mk-82s that still missing after the A-10 carrying them crashed in a remote area of nearby Colorado. That was over 700 kilometers away but it was also in 1997 so there was plenty of time for the banged up bomb to make its way to Arizona. Not only that but the bomb apparently was missing much of its explosives, which might be the result of someone else extracting them or scattered when the unarmed (to explode) bomb hit the ground and broke up.

 

Contemporary military munitions do show up frequently enough in the United States for most major police forces to have explosives experts trained to recognize and deal with them. In the rest of the world it is a little different. World War II era munitions continue to show up throughout Europe. Although most of the millions of land mines were removed from Europe within a few years of the war ending in 1945, there are still a huge number of unexploded of grenades, shells, rockets and bombs buried all over the place. At least the mine fields were easy to find, although dangerous to clear. But the remaining munitions were left behind, in unrecorded locations, for some pretty simple reasons. First of all, many bombs, artillery and mortar shells (over ten percent, for some manufacturers) do not explode when they are supposed to, but just buried themselves into the ground. These shells are still full of explosives, and often have a fuze that, while defective, is often still capable of going off if disturbed. Other munitions were left in bunkers, or elsewhere on the battlefield, and got buried and lost. Most of these lost munitions eventually get found by farmers, or anyone digging up the ground for construction. London and Berlin, two of the most heavily bombed cities during World War II, still suffer from construction crews unearthing unexploded bombs.

 

 The problem goes back farther than World War II. Unexploded munitions from the World War I (which ended in 1918), and the American Civil War, which ended in 1865, are still showing up, and some of them are still deadly. Currently, over a thousand World War II munitions are discovered each year in Europe and smaller amounts in East Asia; mainly Japan, China and Korea with lots of 1960s vintage stuff still surfacing in Vietnam.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 19:50
photo European Union

photo European Union

 

30.10.2015 par EMA

 

Les 28 et 29 octobre 2015, le général d’armée Pierre de Villiers s’est rendu à Bruxelles pour participer à la réunion semestrielle des chefs d’état-major de l’Union européenne (CMUE).

 

Après avoir fait un point sur la situation sécuritaire internationale (menace terroriste au Levant et au Sahel, crise migratoire en Méditerranée, instabilités en Afrique), les chefs d’état-major d’armée se sont concentrés sur les actions spécifiques de l’UE en réponse à ces crises. Pour sa part, le général de Villiers a présenté les enseignements tirés de l’engagement opérationnel des forces françaises dans les opérations Sangaris en République centrafricaine, Barkhane dans la Bande sahélo-saharienne, mais aussi Corymbe dans le Golfe de Guinée.

Convaincu de la nécessité d’une approche globale du règlement des crises, il a souligné le rôle fondamental de la coopération avec les autres forces, qu’il s’agisse de forces internationales, comme celles de l’UE ou de l’ONU, mais aussi des forces africaines partenaires.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 19:45
Barkhane : Record d’endurance en vol battu par le drone Reaper

 

30/10/2015 Sources : État-major des armées

 

À la fin du mois d’octobre 2015, le drone Reaper a battu un nouveau record d’endurance en effectuant un vol de 25 heures et 6 minutes. Depuis janvier 2014, dans le cadre des opérations Serval puis Barkhane, ces drones opèrent au sein du détachement air de Niamey pour renforcer les capacités de surveillance et de renseignement de la force.

 

Afin de s’affranchir de la contrainte géographique liée à l’immensité du théâtre sahélo-saharien, la France a mis en place à Niamey des drones Reaper et Harfang. Leurs capacités « intelligence, surveillance et reconnaissance » s’inscrivent au cœur de la mission aérienne et viennent en appui et en complément des autres capteurs.

Le drone Reaper MALE (Moyenne altitude, longue endurance) a la particularité de pouvoir effectuer des vols de très longue durée qui permettent d’offrir une capacité de présence aérienne quasi-permanente. Depuis leur arrivée au Niger en janvier 2014, les missions opérationnelles des Reaper se succèdent à un rythme soutenu et permettent la transmission en temps réel des informations renseignement vers les postes de commandement et des forces terrestres déployées au sol.

« Fin octobre, dans le cadre d’une mission où le drone Reaper assure pour la force Barkhane une permanence de vol long sur une zone d’intérêt désignée, ce dernier a battu son record avec plus de 25 heures et 6 minutes de temps de vol - le précédent record, datant de décembre 2014 était de 24 heures et 30 minutes » annonce le lieutenant-colonel Richard qui a participé en tant que pilote à cette mission au profit de la force.

Les trois équipages issus de l’escadron de drones 01.33 Belfort de l’armée de l’air sont composés de personnel navigant, d'officiers renseignement et d'interprétateurs d'images. Très sollicités, ils se relaient aux commandes des trois Reaper qui assurent à tour de rôle la permanence des missions de surveillance aérienne pouvant s’échelonner sur cinq jours.

Dans le cadre de l’opération Barkhane, les drones Reaper ont effectué plus de 5 200 heures de vol. Leur vitesse de déplacement et la qualité des images prises par les capteurs sont devenues un atout indéniable dans la réalisation des missions d'appui renseignement aux opérations de lutte contre le terrorisme menées par Barkhane.

L’opération Barkhane regroupe 3 500 militaires dont la mission, avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Record d’endurance en vol battu par le drone Reaper
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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 17:55
Reaper: l'armée de l'air toujours américano-dépendante


29.10.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

On peut toujours s'extasier sur le vol d'un Reaper tricolore qui a tenu l'air pendant 25 heures mais ça ne change rien à la dure réalité des choses. Sans nos amis/alliés/concurrents US et leur bon vouloir, nos drones ne voleraient pas.

Et ce ne sont pas les participants à l'atelier Reaper qui s'est tenu du 14 au 16 octobre à Cognac (là où est basé l'escadron Belfort, désormais commandé par le lt-cl Tanguy Benzaquen à la place du tonitruant Christophe Fontaine qui a atterri à la DRM) qui diront le contraire.

A l'agenda de cet atelier, au moins trois points notables:
- la certification des Reaper pour les faire voler au-dessus du territoire métropolitain français,
- la charge ROEM à installer sous les drones fabriqués par GA,
- la livraison d'un cockpit à Cognac

Respectivement ajouter les adjectifs suivants à chacun de ces trois points:
- éventuelle
- souhaitée
- probable

Par ailleurs, le constat conclusif a été clair: la dépendance française sur les US est lourde. Comme je le rappelais il y a deux jours (lire ici), des contractors de GA et L3C se chargent de la maintenance et de l'envol des drones. Ces contractors sont même présents dans le cockpit déporté de Niamey lors des opérations françaises.

La formation des pilotes et des spécialistes de la maintenance traîne; quant au pilotage déporté depuis Cognac, ce n'est pas pour tout de suite.

Alors, va pour la 25e heure en attendant des jours meilleurs!

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 17:55
photo Marine Nationale

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30/10/2015 Sources : Marine nationale

 

Du 26 au 30 octobre 2015, tous les acteurs de la communauté maritime internationale se sont réunis à Brest pour la conférence SAFER SEAS, l’évènement dédié aux problématiques de sécurité et de sûreté maritime.

 

Cette 4ème édition labellisée COP 21 était axée sur la croissance bleue et les enjeux sur le climat, un sujet plus que jamais d’actualité à un mois de la Conférence Mondiale sur le climat. La Marine nationale était partie prenante de cet évènement, notamment à travers l’intervention du vice-amiral d’escadre Emmanuel de Oliveira, préfet maritime de l’atlantique, pendant la séance d’ouverture, et du vice-amiral Anne Cullerre, sous-chef d’état-major « opérations aéronavales », autorité cyberdéfense de la Marine, sur le thème de la cybersécurité.

 

Le vice-amiral d’escadre Emmanuel de Oliveira a rappelé à l’auditoire que « protéger en mer les hommes, leurs activités et la nature» était la mission de la Marine nationale.

 

En présence des représentants de l’Union Européenne, de la Commission Océanographique Intergouvernementale de l’UNESCO et de l’Organisation Maritime Internationale, le préfet maritime a insisté sur les grands enjeux maritimes liés au gigantisme des constructions naval avec la circulation sur les océans de porte-conteneurs de près de 20 000 « boites » ou de navires à passagers pouvant embarquer plus de 9 000 personnes. Il a affirmé dans ce contexte qu’il convenait d’être de plus en plus vigilant sur la sécurité et la sûreté maritime afin« d’éviter tous types d’accidents comme celui du 6 octobre dernier : un cargo, le Flinterstar, qui s’est échoué au large de Zeebruge avec à son bord 200 tonnes d’hydrocarbures, après être entré en collision avec un méthanier ». En 2014, ce sont 44 000 navires qui ont emprunté le dispositif de séparation de trafic d’Ouessant a-t-il rappelé.

 

Rappelant que « toutes ces évolutions amènent à une industrialisation de la mer », le préfet maritime a insisté pour que ce développement, cette croissance bleue, soit accompagnée de la prise en compte des enjeux sociaux et économiques et d’une indispensable préservation de l’environnement et de la biodiversité. Il a également émis le souhait « que la croissance des activités humaines en mer préserve à la fois la sécurité et la sûreté maritimes, mais aussi l’environnement. »

 

Safer Seas est une manifestation pluridisciplinaire, à la rencontre des points de vue des acteurs du monde maritime. Ses objectifs sont multiples :

- saisir la portée des politiques européennes et internationales mises en œuvre dans le domaine de la sécurité et de la sûreté maritimes,

- faire le point sur les innovations et opportunités technologiques conçues au service de mers plus sûres et plus propres,

- prendre la mesure du chemin parcouru et des nouveaux défis qui s’imposent au regard des évolutions de l’économie et du transport maritime,

- enfin se rencontrer et échanger avec des acteurs clés et experts internationaux.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 17:50
photo Marine Nationale

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30/10/2015 Sources : Marine nationale

 

C’est dans un contexte stratégique et sécuritaire particulièrement exigent pour nos forces, qui déploient aujourd’hui 17 000 miliaires sur les théâtres d’opération extérieure et sur le territoire national, que se tient le plus important exercice interarmées et interalliés organisé par l’Alliance atlantique depuis 2002 : Trident Juncture 2015.

 

Du 21 octobre au 6 novembre 2015, 30 nations sont engagées dans cet exercice qui regroupe près de 36 000 joueurs déployés sur quatre sites (Pays-Bas, Italie, Espagne et Portugal). Réalisé sur la base d’un scénario crédible de crise internationale nécessitant un déploiement rapide de forces, Trident Juncture constitue un événement important dans le calendrier opérationnel de l’Alliance et de ses membres.

 

Cet exercice vise non seulement à certifier la capacité de réaction rapide de l’OTAN pour l’ensemble de ses composantes mais il constitue également une occasion unique d’entraînement interarmées et interalliés. Si l’engagement particulièrement soutenu de nos forces a conduit à limiter notre participation, Trident Juncture 2015 demeure une priorité. En effet,  à l’heure où nos militaires sont de plus en plus souvent engagés en coalition, il contribue à leur préparation opérationnelle en permettant d’approfondir leur interopérabilité avec leurs partenaires et leur réactivité. Par ailleurs, comme tout déploiement opérationnel de l’OTAN, cet exercice participe aux mesures d’assurance sur le flanc Est de l’Europe.

 

Faisant intervenir les composantes de surface, sous-marines,  aériennes et amphibies, les deux phases de l’exercice en état-major comme en déploiement réel permettront de tester l’ensemble des niveaux opératifs de l’OTAN (stratégique, opératif et tactique). Pour cette édition, l’expertise des armées française est en bonne place avec,  notamment, une unité de soutien pétrolier multinational majoritairement armée par le service des essences des armées. La Marine est également en bonne place. Ainsi, depuis le 21 octobre, le bâtiment de commandement et de ravitaillement Somme, la frégate Surcouf, le chasseur de mines Sagittaire ainsi que deux avions de patrouille maritime Atlantique 2 sont déployés en Méditerranée et en Atlantique.

 

La  Somme a ainsi intégré, sous contrôle opérationnel de l’Otan, le CTF 445 embarqué sur le HMS Ocean en Méditerranée où elle assure le ravitaillement des unités navales des différents task group déployés sur zone dont le SNMG2, dont fait partie le Surcouf.  Seul ravitailleur entièrement dédié à l’exercice, la Somme a ainsi ravitaillé, depuis le début de son déploiement,  six unités étrangères (turques, allemandes, bulgare, et italienne), délivrant plus de 1 000 mètres cubes de gazole en deux jours.  Au sein de la SNMG2, le Surcouf a conduit un exercice de tir avec deux bâtiments italiens, le porte-aéronefs Garibaldi et la frégate Grecale. Les appontages d'hélicoptères étrangers se sont succédés dès le lendemain sur la plate-forme du Surcouf: Lynx allemand de la frégate Hambourg, Merlin anglais du HMS Ocean et AB212 italien de la frégate Zeffiro. Le Sagittairefait quant à lui valoir le savoir-faire français en matière de guerre des mines au sein du task group 445.05 du SNMCMG2 dont la mission est d’assurer la détection et la neutralisation des engins explosifs qui menaceraient la navigation des unités.

 

Au terme de l’exercice dont le niveau de difficulté est croissant, le poste de commandement de Brunssum (Pays-Bas) doit être apte à prendre l’alerte de l’OTAN et être capable de conduire une opération d’ampleur sous faible préavis.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 17:50
Hybrid: what’s in a name?

Security analysts and practitioners have a tendency to coin new terms which capture the challenge(s) they are facing or the mandate(s) they are supposed to embrace. Terms such as ‘low-intensity conflicts’, ‘failed’ or ‘fragile’ states, ‘asymmetrical’ threats or even, for that matter, ‘comprehensive approach’ are all relevant examples. ‘Hybrid threats’ is, potentially, another case in point.

The concept of ‘hybrid threats’ is not new, nor is the idea that it conveys completely original – namely, the combination of conventional and unconventional methods of warfare so as to confuse an adversary. Russia’s hostile actions in Ukraine and the violence perpetrated by the Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) in several areas neighbouring Europe – and within Europe itself – are oft-cited examples of these hybrid threats. It could, however, also be argued that Western countries have resorted to these methods themselves, albeit without calling them ‘hybrid’, and that warfare itself has never been ‘pure’. But what is certain is that the European Union now considers itself a potential target of such threats and feels ill-prepared to respond.

 

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 17:30
L'armée russe a détruit 1.623 cibles terroristes en un mois d'intervention en Syrie

 

30 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Moscou - L'armée russe a annoncé vendredi avoir détruit 1.623 cibles terroristes en Syrie depuis le début de son intervention militaire il y a un mois.

 

Au cours du mois écoulé, les avions russes ont effectué 1.391 sorties et détruit 1.623 cibles terroristes dont 51 camps d'entraînement et 131 dépôts de munitions, a annoncé le chef de l'opération militaire en Syrie, le général Andreï Kartapolov.

 

Parmi les cibles touchées par l'aviation russe, qui a entamé sa campagne de frappes le 30 septembre, le général Kartapolov évoque 786 camps militaires, 371 points fortifiés, 249 postes de commandement et 35 ateliers de fabrication de voitures piégées.

 

Il est trop tôt, pour parler d'une victoire sur l'organisation Etat islamique (EI), a toutefois ajouté l'officier.

 

Malgré de lourdes pertes et des désertions considérables, l'EI continue de tenir ses positions en de nombreux endroits, ayant organisé depuis plusieurs années un vaste réseau de tunnels et d'abris souterrains.

 

Cependant, toutes ses tentatives de contre-attaque ont été contrées, a-t-il affirmé.

 

L'aviation russe a augmenté ces derniers jours l'intensité de ses bombardements, ce qu'elle assure être dû à la profusion d'informations issues de divers canaux sur les coordonnées de positions des terroristes.

 

Le général russe assure aussi que le Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, et l'EI ont rassemblé leurs forces dans la région de Hama, pour faire face à l'offensive en cours des forces syriennes.

 

Depuis le début de son intervention en Syrie, la Russie dit viser exclusivement le groupe jihadiste État islamique (EI) et d'autres groupes terroristes à la demande du régime de Damas.

 

Washington et ses alliés affirment que les raids russes sont destinés à sauver le régime du président Bachar al-Assad.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 17:20
Raytheon introduces new launcher for the TOW weapon system. Photo courtesy of Raytheon

Raytheon introduces new launcher for the TOW weapon system. Photo courtesy of Raytheon

 

Oct. 29, 2015 By Ryan Maass (UPI)

 

TUCSON -- Raytheon has introduced a next-generation TOW EagleFire launcher, the latest development in the TOW weapon family. The launcher is designed to fire both wire-guided and wireless radio frequency missiles. Raytheon officials say the EagleFire is a followup to the TOW 2 launcher, and features improved capabilities at a lower cost. These improvements include integrated day-and-night sight, range-finding capabilities, ergonomic handgrips, and an extensive built-in test capability. "We improved target acquisition and engagement found in the older TOW 2 launcher system," said Duane Gooden, vice president of Raytheon's Land Warfare Systems in a statement. "TOW EagleFire is simpler to maintain and more reliable, thanks to built-in test equipment and a significant reduction in system subassemblies."

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 17:20
AF Announces KC-46A Preferred, Reasonable Alternatives

 

Oct 29, 2015 ASDNews Source : US Air Force

 

Seymour Johnson Air Force Base, North Carolina, has been chosen as the preferred alternative for the first Reserve-led KC-46A Pegasus main operating base, Air Force officials announced Oct. 29. The KC-46As are expected to begin arriving in 2019.

 

Tinker AFB, Oklahoma; Westover Air Reserve Base, Massachusetts; and Grissom ARB, Indiana, were named as the reasonable alternatives.

 

"It is absolutely critical that we replace our aging tanker fleet with the KC-46A Pegasus aerial tanker," said Secretary of the Air Force Deborah Lee James. "I am pleased to announce Seymour Johnson AFB as the first Reserve-led location because it is a testament to the Air Force's commitment to the total force.

 

“We must use all three components -- active, Guard and Reserve -- operating cohesively and seamlessly as one team so we can realize the full potential of airpower."

 

James also explained the 179 planned KC-46A aircraft are just the first phase of a three-phase effort to replace the aging tanker fleet. The first phase of tanker recapitalization will complete deliveries in fiscal year 2028.

 

During detailed, on-the-ground site surveys of each candidate base, the major commands evaluated the bases against operational and training requirements, potential impacts to existing missions, housing, infrastructure, and manpower.

 

The site survey teams also developed cost estimates to bed down the KC-46A at each candidate base. The results of the surveys were briefed to James and Air Force Chief of Staff Gen. Mark A. Welsh III, who selected the preferred and reasonable alternatives for this mission.

 

"Seymour Johnson (AFB) was selected based on operational analysis, results of site surveys, cost, and military judgment factors," said Jennifer Miller, the Air Force deputy assistant secretary for installations. “The primary drivers for selecting this location as the preferred alternative were its lower costs and its highly successful existing active-duty association, which will lead to the lowest active-duty manpower required to stand up the KC-46A Reserve unit.”

 

Selection of this total force unit will minimize costs and the challenge of fielding a new weapons system while simultaneously establishing a new active association.

 

"Bringing the KC-46A online is a huge first step in recapitalizing a tanker fleet that has been the world leader in air refueling for more than five decades," Welsh said. "The incredible Airmen who will fly this great machine, and the joint and coalition partners they support in contingency and humanitarian operations around the world, deserve the improved aircraft availability rates, reliability and capability it will bring to the fight. Rapid global mobility has always been a core mission of our Air Force; the KC-46A will help us take it to the next level!"

 

The Air Force will also ensure Reserve component involvement from day one by establishing active/Reserve associations at all U.S. main operating base locations.

 

“The Air National Guard and Air Force Reserve are vital to accomplishing our air refueling mission,” James explained. “Therefore, the ability to recruit for and maintain a strong Reserve component association was a major consideration in this basing action.”

 

“We will now begin the Environmental Impact Analysis Process (EIAP),” Miller said. “We look forward to the inputs provided from the communities as we proceed through the environmental impact analysis.

 

“Once the requirements of the environmental impact analysis process are complete, the Air Force will make its final basing decision.”

 

Reasonable alternatives will continue to be evaluated during the EIAP. Subsequent KC-46 decisions will use similar criteria; therefore, candidate installations will likely compete for future continental U.S. basing decisions.

 

The KC-46A will provide improved capabilities, including boom and drogue refueling on the same sortie; worldwide navigation and communication; cargo capacity on the entire main deck floor; receiver air refueling; improved force protection and survivability; and multi-point air refueling capability.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 17:20
How much has Canada spent on the F-35 so far?

 

October 30, 2015 David Pugliese, Ottawa Citizen

 

All eyes will be on the new Liberal government to see how they withdraw from the F-35 program.

 

How much has Canada spent on the F-35?

 

Canada has been a participant in the Joint Strike Fighter Program since 1997 and has spent US $309.3 million to date to participate in the program, Jessica Kingsbury, a spokeswoman for Public Works and Government Services tells Defence Watch.

 

The figure is broken down as follows:

- Concept demonstration phase (1997 to 2001)—Canada has contributed approximately US$10.6 million;

- System development and demonstration phase (SDD) (2001 to 2018)—Canada has contributed approximately US$94.4 million to date;

- Production, sustainment, and follow-on development phase (2006 to 2051)—Canada has contributed approximately US$204.3 million to date.

- Public Works could not provide current information on Canadian firms involved in the F-35. But a 2014 government update noted a little more than 30 Canadian firms have active contracts. They have secured contracts worth $637 million US.

 

The F-35 became a major political headache several years ago for the Conservatives. Although the Liberal government originally signed on to a research and development program for the plane, the Conservatives significantly expanded commitment and later agreed to the purchase 65 of the planes.

 

The purchase was later put on temporarily on hold by the Conservatives after concerns were raised about the cost of the F-35 and how the procurement process was handled.

 

During the election campaign Justin Trudeau promised to withdraw Canada from the F-35 program if the Liberals formed the government.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 16:30
12 A-10C Thunderbolt IIs deployed to Incirlik, Turkey AB in support of Operation Inherent Resolve photo USAF

12 A-10C Thunderbolt IIs deployed to Incirlik, Turkey AB in support of Operation Inherent Resolve photo USAF

 

30 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les Etats-Unis vont déployer en Syrie un petit contingent d'une cinquantaine de forces spéciales pour participer pour la première fois sur le terrain à l'effort de guerre contre le groupe Etat islamique (EI), a indiqué vendredi à l'AFP un responsable américain.

 

Il s'agit d'une décision sans précédent du président Barack Obama qui va envoyer des militaires américains au sol en Syrie --dans un rôle de conseillers--, le chef de l'exécutif américain s'étant jusqu'ici refusé à le faire officiellement et préférant le recours aux bombardements aériens.

 

Le président a autorisé le déploiement d'un petit effectif -- moins de 50 -- de forces d'opérations spéciales américaines dans le nord de la Syrie, a confié un cadre de l'administration américaine.

 

Ces soldats d'élite déployés au sol en Syrie aideront à coordonner les troupes locales sur le terrain et les efforts de la coalition pour contrecarrer l'EI, a expliqué ce responsable, sans être plus précis.

 

Les quelques 50 forces spéciales seront donc cantonnées officiellement à un rôle d'assistance et de conseil aux groupes armés rebelles syriens dits modérés, et ne seront donc pas directement impliquées dans des opérations de combat.

 

Par ailleurs, un autre responsable de l'administration Obama a confirmé que l'armée américaine allait déployer des avions d'attaque au sol A-10 et des chasseurs F-15 sur une base aérienne turque, également dans le cadre de la lutte de la coalition internationale contre le groupe jihadiste EI.

 

Les Etats-Unis pilotent depuis plus d'un an cette coalition de plus de 60 pays qui bombarde des positions de l'EI et autres groupes jihadistes en Syrie et aussi en Irak voisin.

 

Parallèlement, la Russie mène depuis un mois des frappes aériennes en Syrie, officiellement pour lutter contre le terrorisme mais Moscou est accusé de ne pas cibler l'EI et de vouloir en fait renforcer le régime de son allié syrien qui se bat contre la rébellion dite modérée.

 

Les Etats-Unis et la Russie mènent en cette fin de semaine des réunions diplomatiques internationales à Vienne pour tenter de trouver une porte de sortie politique au conflit, qui a fait plus de 250.000 morts depuis son déclenchement en mars 2011.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 12:55
La dernière version du VAB Ultima

La dernière version du VAB Ultima

 

30/10/2015 par DGA

 

La direction générale de l’armement (DGA) a prononcé, début octobre 2015, la qualification de la version « génie » du Véhicule de l’avant blindé (VAB) au standard Ultima.

 

Cette qualification marque la fin d’un cycle de transformations techniques conduites en vue de permettre au VAB de continuer à remplir la totalité de ses missions jusqu’à son remplacement progressif, à compter de 2019, par le véhicule blindé Griffon en cours de développement dans le cadre du programme Scorpion. Les derniers VAB seront retirés du service à l’horizon 2030.

 

Le parc français de VAB comprend environ 3 000 véhicules, principalement en service dans l’armée de terre. Le VAB a été décliné en une trentaine de versions opérationnelles, du transport de troupes pour l’infanterie au porteur de systèmes d’armes les plus divers. Afin d’adapter le VAB à l’évolution de la menace sur les théâtres d’opérations extérieures, la DGA a commandé ces dernières années à son fabricant Renault Trucks Defense (RTD) de nombreuses améliorations.  Elles ont concerné principalement la protection, la motorisation, l’armement et l’adaptation au système Félin.

 

Le standard Ultima du VAB inclut des protections et équipements contre les engins explosifs improvisés, un tourelleau téléopéré de 12,7 mm permettant au servant de rester protégé à l’intérieur du véhicule, ainsi qu’un système de localisation acoustique des tireurs adverses. Le VAB Ultima a la capacité de soutenir des combattants équipés du système Félin et est équipé du  réseau d’interphonie de nouvelle génération RIF NG. Le VAB Ultima est actuellement déployé en opérations extérieures.

 

Le standard est déclinée en deux versions, les VAB Ultima infanterie (230 engins commandés et livrés) et les VAB Ultima génie (60 engins commandés, 30 livrés).  La version « génie » dispose de spécificités du fait de l’emport de matériels spécifiques à cette arme, et l’ajout d’un treuil monté sur l’arrière. La livraison des derniers VAB Ultima  « génie » est prévue au premier semestre 2016.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 12:50
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

21 Octobre 2015 Sources : Marine nationale

 

Le 16 octobre 2015, neuf vétérans britanniques qui se sont illustrés héroïquement lors du débarquement de Normandie en 1944 ont été élevés au grade de chevalier de la Légion d’Honneur à bord de la FREMM Aquitaine, à Leith, le port d’Edimbourg, sur la côte est de l'Écosse.

 

La frégate et son équipage était en escale à Leith après avoir participé pendant dix jours à l'exercice Joint Warrior 2015.2, organisé par l’OTAN en mer d'Écosse.

 

Cette cérémonie de remise de décoration, présidée par le consul général de France en Écosse, M. Emmanuel Cocher, rassemblait plusieurs personnalités politiques, universitaires et militaires écossaises. Les neufs vétérans britanniques ont été décorés par le consul général de France et par le contre-amiral Patrick Chevallereau, attaché de défense près l'ambassade de France au Royaume-Uni. Lors de cette remise de décorations, il a été rappelé à l'assemblée les actions hautement courageuses qui ont justifié l'accession de ces neuf vétérans britanniques au grade de chevalier de la Légion d'honneur. En présence de leurs familles, les récipiendaires britanniques ont tenu à remercier la France pour la reconnaissance de leurs actions.

Cérémonie de remise de Légions d'honneur à des vétérans britanniques sur l'Aquitaine

 

À l’issue de la cérémonie, la FREMM Aquitaine a organisé une visite du bâtiment au profit des membres du cabinet des relations extérieures du gouvernement écossais, de l'université Heriot Watt et du consulat général de France.

 

Près de 70 ans après la fin du second conflit mondial, la France a rendu hommage au courage et au dévouement de ces neuf hommes qui se sont battus pour défendre les valeurs de la liberté et œuvrer à la libération de l’Europe sur le sol français.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 12:50
EDA is recruiting

 

Brussels - 29 October, 2015 European Defence Agency

 

The European Defence Agency (EDA) is currently looking for a Project Officer Airworthiness (TA, AD10), two Procurement and Contract Officers (TA, AD7), an Administrative Assistant (TA, AST4) and an IT Security Administrator (CA, FGIV). Candidates must apply via the EDA website by 23 November 2015.

 

The Agency is an “outward-facing” organisation, constantly interacting with its shareholders, the participating Member States, as well as with a wide range of stakeholders. It works in an integrated way, with multi-disciplinary teams representing all the Agency’s functional areas, to realise its objectives including its annual Work Programme and its rolling three-year Work Plan. Its business processes are flexible and oriented towards achieving results. Staff at all levels need to demonstrate the corresponding qualities of flexibility, innovation, and team-working; to work effectively with shareholders and stakeholder groups, formal and informal; and to operate without the need for detailed direction.

 

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