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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 16:50
Belgique : Les nouveaux navires de patrouilles prennent forme

2 oct. 2013 belgiandefence

 

La construction de deux nouveaux navires de patrouille pour la marine a débuté mi-juin 2013. En ce moment, les constructeurs de la compagnie navale SOCARENAM assemblent les quatre parties de la coque.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 15:55
Premier paiement pour les Reaper français

01.10.2013 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

Un avis d’attribution du Pentagone du 30 septembre fait état d’un premier contrat de 49,8 millions de dollars pour la fourniture des drones MQ-9 Reaper destinés à la France. La nature du contrat n’est pas spécifiée mais le délai d’achèvement est fixé au 15 juillet 2015.

 

Les deux premiers Reaper de General Atomics devraient arriver dans les forces françaises fin 2013-début 2014, sans plus de précisions de la part du ministère de la Défense pour le moment. Les drones sortiront en « configuration US Air Force » de la chaîne d’assemblage, non-armés. Des études sont actuellement en cours sur la francisation des appareils suivants.

 

Le 26 septembre dernier, l’armée de l’air annonçait que le premier équipage français, constitué de personnels du 1/33 « Belfort », avait effectué le premier « vol de familiarisation » d’un MQ-9 sur la BA de Holloman, au Nouveau-Mexique, le 24 septembre.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 12:50
Army reserves train on Salisbury Plain

A Challenger 2 engages an enemy position using laser sights – a pyrotechnic element adds realism to the visual simulation  (photo  Richard Watt, UK MoD)

 

1 October 2013 Ministry of Defence

 

Army reserve soldiers from the Royal Wessex Yeomanry are this week training with Challenger 2 tanks on Salisbury Plain.

 

More than 100 soldiers are training to become crewmen on the armoured vehicles and this is the first time in several years that the unit has had the opportunity to train with Challenger 2 on Salisbury Plain.

The reservists are spending a week on the Plain taking part in Exercise Wessex Dragon, which is their annual training camp.

The exercise is also an opportunity for the unit to use and train on its new fleet of Wolf Scout Land Rover vehicles which were recently delivered to the unit’s squadrons as part of the government’s ongoing £1.2 billion investment to revitalise the Army Reserve.

Trooper Elliot Metcalfe said:

The training stands today have been very good and very informative on all different aspects of the Challenger 2, and I have enjoyed using the laser technology system which is fitted to our weapons so we can simulate firing and hitting a target.

Troops work on extracting a casualty from a tank
Troops work on extracting a casualty from a tank [Picture: Richard Watt, Crown copyright]

Captain Damien Thursby said:

Since the Future Reserves 2020 announcement we are actually getting to see the tanks more and having more opportunities for all the guys to get out on exercise with regular units, which is great.

Corporal Nathan Howard said:

The is the first time we have been able to take the tanks out as a troop working under our own steam and it is very beneficial learning to live with our tanks out here for 3 or 4 days.

These reserve personnel are preparing to fulfil a vital role in the future British Army as, by this time next year, the Royal Wessex Yeomanry will formally become the only armoured reinforcement unit in Britain.

Troops being briefed before an exercise
Troops being briefed before an exercise [Picture: Richard Watt, Crown copyright]

The regiment will be working towards fully integrating with the British Army’s 3 regular armoured units, the Queen’s Royal Hussars, the King’s Royal Hussars and the Royal Tank Regiment, who will be based together in Tidworth, Wiltshire.

As a result, the Royal Wessex Yeomanry will be one of only a handful of reserve units to be part of the British Army’s reactive forces which are held at a state of higher readiness and are prepared to deploy anywhere around the world to protect Britain’s interests and national security.

This challenging and exciting new role for the Royal Wessex Yeomanry was bestowed upon them following the recent publication of the white paper ‘Reserves in the Future Force 2020’. This document detailed the restructure of the British Army and the creation of a new, well-trained, well-funded, well-equipped and fully integrated Reserve Force.

In order to successfully fulfil this enhanced new role, the Royal Wessex Yeomanry will work closely with the aforementioned regular regiments and, from now on, will train alongside them in preparation for any possible future deployment.

Lieutenant Colonel Chris MacGregor said:

Integration is absolutely vital so we have borrowed for this training 8 tanks from one of our paired regular units, the King’s Royal Hussars, and a crew from the 1st Royal Tank Regiment, which is another. We also have instructors from these units permanently based with us.

There is a desire on the part of regular forces to invest in their reservists and likewise the reservists want the best capability they can get and that comes through great training and opportunities like this.

The UK Reserve Forces play a vital part in our nation’s defence. Find out how you can get involved and what is on offer for Reserve

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 12:50
Commandos italiens de retour de vol (photo Frédéric Lert)

Commandos italiens de retour de vol (photo Frédéric Lert)

02.10.2013 par Frédéric Lert (FOB)

 

Quatorze nations, plus de 400 hommes et femmes et une vingtaine d’aéronefs engagés : Cazaux accueille depuis mercredi dernier et pour encore deux semaines la 7ème édition du CJPRSC : le cours européen de « personnel recovery » (PR). Autrement dit, l’art et la manière de récupérer des bipèdes en zone hostile.

 

Cette session est menée sous la houlette du groupe aérien européen (GAE). Celui-ci affiche depuis plusieurs années l’objectif de créer un centre d’expertise européen en matière de Personnel Recovery, pour coordonner à l’échelle du continent les entrainements, la doctrine et le support opérationnel.

 

Dès 1995, les opérations sur l’ex Yougoslavie avaient montré le manque criant de coordination et de savoir faire au niveau européen. De 2002 à 2006, le GAE avait en conséquence conduit plusieurs exercices sur le thème de la Combat Search and Rescue (CSAR, ou Resco dans le langage militaire français). Les leçons tirées de ces exercices avaient montré un manque de préparation des personnels impliqués. Le GAE décida alors de passer à l’étape suivante en créant un véritable cours : le CJPRSC (Combined Joint Personnel Recovery Standardisation Course). « Nous sommes dans la logique d’un enseignement, avec une véritable courbe d’apprentissage tout au long de la formation » expliquent les officiers du GAE.

 

Unifier la Resco à l’échelle européenne est un vaste chantier, dont l’ampleur se reflète dans la diversité des matériels réunis à Cazaux. La palme de l’exotisme revient aux Polonais, observateurs lors des précédentes éditions du CJPRSC et venus pour la première fois cette année avec deux de leurs hélicoptères (2000 kilomètres parcourus en deux jours et douze heures de vol pour rallier Cazaux depuis Inowroclaw, 80 km au nord ouest de Varsovie !)

 

La Resco européenne fait aujourd’hui face à plusieurs défis, le premier portant sur les communications. On ne parle pas ici de la langue de travail, l’anglais étant à présent bien entré dans les mœurs, mais des matériels et des procédures. Deuxième défi, l’interopérabilité : « un des intérêts du  cours est d’obliger les gens à remplir les missions avec les moyens dont ils disposent » explique-t-on à Cazaux. Troisième problème cité, celui des règles d’engagement (ROE, pour Rules Of Engagement) qui restent un facteur critique en opération. Le cours dispensé à Cazaux permet d’informer les différents contingents sur les limitations des uns et des autres. Mais une uniformisation des règles d’engagement entre les différents participants reste illusoire. « Il n’y a pas de solution à ce problème des ROE notent les officiers présents. Ce n’est pas nous qui faisons les règles, elles nous sont imposées par le pouvoir politique. Notre travail est d’apprendre à vivre avec les différences qui existent d’un contingent à l’autre dans le cadre d’un travail en coalition ».

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 12:45
Sagem Défense Sécurité va investir 5 millions d’euros dans une nouvelle usine au Maroc

02 octobre 2013 Par PIERRE-OLIVIER ROUAUD - Usinenouvelle.com

 

La filiale de Safran, Sagem Défense Sécurité s’implante au Maroc près de Casablanca pour y produire des composants pour actionneurs et équipements d'avionique. Avec 150 emplois à la clé.

 

L’annonce en a été faite lors de l’inauguration par le roi Mohammed VI de la zone franche Midparc à Nouaceur, près de l’aéroport de Casablanca.

 

Sagem Défense Sécurité, filiale du groupe Safran va implanter une nouvelle usine, sa première au Maroc, à Nouaceur.

 

Celle-ci ne devrait toutefois pas se situer sur la nouvelle zone franche mais sur la zone industrielle Aeropôle toute proche.

 

Ce projet a fait l’objet d’une convention avec l’État marocain ce qui lui ouvre droit aux aides à l’investissement du Fonds Hassan II qui prendra en charge une part non précisée de l’investissement.

 

D’une surface de 4 000 m², l'usine doit employer environ 150 salariés à l’horizon 2015. L’investissement prévu est de 5 millions d’euros (56 millions de dirhams) sur la période 2013-2014.

 

Selon un communiqué du groupe "Sagem Maroc sera implantée début octobre 2013 sur un site provisoire pendant la durée des travaux. (…) Le site définitif sera opérationnel en septembre 2014".

 

Sagem est la marque commerciale de la société Sagem Défense Sécurité, spécialisée dans l'optronique, l'avionique, l'électronique et les logiciels pour les marchés civils et de défense. La société emploie 7 500 salariés en Europe, Asie du Sud-est et Amérique du Nord.

 

"vecteur de compétitivité"

 

La société Sagem Maroc, filiale à 100 % de Sagem, sera spécialisée dans le montage d’équipements mécaniques et électriques aéronautiques et inclura des activités de montage aujourd’hui sous-traités.

 

Ce projet assure Sagem est un "vecteur de compétitivité" et participe "à la modernisation de l’outil industriel de Sagem qui prévoit également une nouvelle usine en France à Buchelay, près de Mantes (Yvelines, NDLR)".

 

Selon le groupe, ce développement industriel vise à "pérenniser en France l’activité de pièces mécaniques critiques tout en dotant Sagem d’outils de production au plus haut niveau destinés à mieux répondre aux exigences de compétitivité du marché mondial de l’aéronautique civile".

 

En clair il s'agit là de l'application du concept de "co-localisation" cher aux pouvoirs publics marocains.

 

En tout cas, cette future usine va conforter un peu plus la montée progressive de l'industrie aéronautique au Maroc dont Safran fut un des groupes pionniers. Celle-ci a vu son activité bondir de 17% en 2012 selon le GIMAS (Groupement des industries marocaines de l'aéronautique et du spatial) pour atteindre un volume d'exportation d'environ 570 millions d'euros (6,6 milliards de dirhams).

 

 

 

Une présence renforcée

Safran s’est fortement développé au Maroc ces dernières années. Ses opérations y comptent : Labinal (cables) àTemera, Aircelle (nacelles) et Matis (JV Boeing / Labinal) à Nouaceur, Morpho (sécurité) et Safran Engineering Services (bureau d’étude) à Casablanca. Hamid Benbrahim El Andaloussi, délégué général de Safran au Maroc est par ailleurs président du GIMAS. Sagem se présente comme le n°1 européen et n°3 mondial des systèmes de navigation inertielle pour les applications aéronautiques, marines et terrestres, ainsi que le n° 1 mondial des commandes de vol pour hélicoptères et n° 1 européen des systèmes optroniques et des systèmes de drones tactiques.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 12:45
Casa CN 235 du "Ouessan"

Casa CN 235 du "Ouessan"

02/10/2013 armée de l'air

 

Du 9 au 11 septembre 2013, un équipage de Casa CN235 a participé à l’exercice M’Wiri du 6e bataillon d’infanterie de Marine (BIMa), au Gabon.

 

Cet exercice s’articulait en plusieurs phases. Dans la phase initiale, une base opérationnelle aéroportée (BOAP) a été mise en place sur l’aéroport de Lambaréné, au sud de Libreville. Ces installations ont pu accueillir le centre d’opérations du 6e BIMa, responsable de la conduite de l’exercice.

 

La phase relative à l’exercice a permis de mettre en œuvre la plupart des modes d’action du Casa utilisables dans le cadre d’une opération aéroportée : largage de personnel, poser d’assaut, avitaillement d’hélicoptères, permettant ainsi le maintien en condition opérationnelle et la préparation au combat de l’équipage.

 

À l’instar des équipages d’hélicoptères AS555 Fennec, les équipages de CN 235 en mission au Gabon sont insérés, pour la durée de leur mandat, dans le dispositif des forces françaises au Gabon (FFG) au sein de l’escadron de transport 55 « Ouessant », stationné sur le détachement « air » 470 de Libreville.

 

La participation de l’escadron de transport « Ouessant » à ce type d’exercice permet de favoriser le travail en milieu interarmées, tout en contribuant à l’entraînement des équipages de l’armée de l’air détachés à Libreville.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:55
L’ONERA donne rendez-vous aux équipementiers aéronautiques

1er octobre Aerobuzz.fr

 

Pour rester compétitifs, répondre aux besoins de leurs clients et anticiper l’évolution des exigences environnementales et réglementaires, les équipementiers de l’aéronautique doivent s’appuyer sur l’innovation, indissociable de la R&T. La plupart n’en n’ayant pas les moyens, l’ONERA se positionne comme un partenaire

 

L’Onera dispose des disciplines scientifiques et techniques de l’aéronautique nécessaires à la conception des avions, de leurs équipements et systèmes. Doté de moyens numériques et expérimentaux de pointe reconnus au niveau mondial, l’Onera est aussi à même de fédérer les compétences clés des acteurs de son domaine pour apporter la réponse la plus pertinente et la plus complète aux besoins des équipementiers et ce, au plus haut niveau technique.

 

A l’occasion d’une convention organisée le 22 octobre, l’Onera présentera les domaines d’expertise nécessaires à l’innovation des équipementiers et les différents modes de coopération. Des experts Onera seront également présents pour s’entretenir avec les équipementiers dans le cadre de rendez-vous B2B individuels et sur-mesure.

 

Inscription gratuite : Sylvie.Moitel-Gin [ a t] onera.fr

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:55
L'escadron de défense SOL/AIR de la BA 116 de Luxeuil-les-Bains va disparaître

01/10/2013 Sophie Courageot avec Aude Sillans

 

L'information a été donnée à l'occasion de la venue aujourd'hui du chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Mercier, à la base aérienne.

 

L'été prochain, les 228  militaires actuellement affectés à l’Escadron de défense sol-air 04.950 « Servance » feront leurs valises et quitteront définitivement la base de Haute-Saône. Ils seront affectés ailleurs et regroupés avec des escadrons de même type. La base emploie à ce jour 1330 militaires.

 

Suite de l’article

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:55
Réception du 1er avion de la tranche 4 du programme Rafale

A ce jour, 180 Rafale de série ont été commandés par la DGA et 121 appareils livrés dans ses 3 versions – photo Dassault Aviation

 

1er octobre Aerobuzz.fr

 

La DGA (Direction générale de l’armement) a pris livraison le 12 septembre 2013 du premier exemplaire de la 4e tranche de production du programme Rafale. Les 60 avions de cette tranche de production sont tous équipés en série de capteurs nouvelle génération, à savoir du radar RBE2 AESA à antenne active, du détecteur départ missile nouvelle génération (DDM NG) et de l’optronique secteur frontal "identification et télémétrie". Le radar RBE2 AESA aurait un portée double de celle du RBE2. Il présente également de meilleures caractéristiques de résistance au brouillage. Ainsi équipé le programme Rafale affiche une longueur d’avance sur son concurrent européen Eurofighter/Typhoon.

 

Le Rafale est le premier avion de combat européen en service à bénéficier de la technologie AESA (Active ElectronicallyScannedArray), qui permet d’améliorer significativement sa portée de détection. C’est l’aboutissement de plus de 10 ans d’efforts de R&D sur les antennes actives. L’avion, qui est le 121e Rafale de série livré, est un appareil biplace immatriculé B 339 destiné à l’armée de l’air. Il rejoindra dans les prochains jours la base aérienne de Mont-de-Marsan.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:55
Les Spahis devraient échapper à la rigueur de la Loi de programmation militaire

l01/10/2013 ledauphine.com

 

On devrait savoir cette semaine quel est le régiment de cavalerie qui sera dissous par le ministre de la Défense, au nom de la rigueur imposée à la Loi de programmation militaire (LPM). A priori, ce ne sera pas le 1er Régiment de Spahis, basé à Valence. Et l’unité ne sera pas appelée non plus à rejoindre un autre quartier, dans une autre ville, comme un autre régiment de cavalerie va devoir le faire d’après les informations données à la commission de la Défense du Sénat la semaine dernière par le général Ract-Madoux, chef d’État-major de l’armée de Terre.

 

En clair, la LPM ne devrait pas affecter la base de défense de Valence. Il est vrai que la décision aurait été un crève-cœur pour le général Ract-Madoux, qui fut le 1995 à 1997 le chef de corps du 1er Régiment de Spahis, l’unité la plus décorée de l’Arme blindée Cavalerie… La LPM devrait d’ailleurs engager plus avant encore la réflexion sur le matériel qui succédera à l’AMX 10 RCR, dont les Spahis sont dotés.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:55
4° Journées d’études « Electromagnétisme et Guerre Electronique » 13 et 14 novembre 2013 à Toulouse

Source Onera

 

La contribution de l’électromagnétisme à la détection radar via les propriétés des cibles, des antennes ou de la propagation des ondes est reconnue de longue date, et fait l’objet de sessions dans les colloques spécialisés. Mais sa contribution au domaine de la Guerre Electronique, qui rassemble les techniques de renseignement et de lutte contre les systèmes de radiocommunication adverses ainsi que la problématique des agressions électromagnétiques, est tout aussi importante. C’est ce lien entre l’électromagnétisme et la Guerre Electronique qui sera mis en évidence et discuté à l’occasion de ces nouvelles journées, organisées comme les précédentes (en mars 2006, novembre 2009, novembre 2011) par la SEE groupe régional Midi-Pyrénées avec la DGA, l’ONERA et l’ISAE sur le campus ENSICA qui accueillera la manifestation.

 

La première journée présentera un certain nombre de problèmes à connotation électromagnétique qui se posent en Guerre Electronique comme la réduction de signature radar des plates-formes, la prédiction des effets des agressions électromagnétiques et de nouveaux concepts d'antennes pour applications en écoute ou en brouillage ; elle sera classifiée et la participation sera sur invitation seulement. La deuxième journée, ouverte à tous, sera consacrée aux méthodes et outils aussi bien expérimentaux que numériques qui contribuent à la solution de ces divers problèmes, et complétera le panorama du domaine de la Guerre Electronique. En conclusion, une table ronde permettra de faire le point sur l'avancement et les perspectives des principaux outils de simulation numérique pour l'électromagnétisme.

 

Comité de programme : B. Aknin (MBDA), A.Bellion (CNES), Y. Beniguel (SEE, IEEA), G. Bobillot (Onera), C.Carel (TCF), F. Christophe (Onera, SEE), E. Duceau (EADS-IW), JC. Gautherot (SEE), JL. Guiraud (SEE, ISAE), V. Gobin (Onera), G. Kubicke (DGA), P.Lalande (DGA), G.Leflour (Dassault), G.Mazé-Merceur (CEA), M. Nouvel (TSA, SEE), B. Pecqueux (CEA), P. Pouliguen (DGA), P. Ratajczak (Orange Lab), O.Vacus (CEA)

 

Organisateurs: SEE*, DGA ; ISAE ; ONERA

(*) :Groupe Régional Midi-Pyrénées en liaison avec le Club Technique Systèmes d'Observation

 

Point de contact: jlguird [at] isae.fr

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:50
Strasbourg-Lisbon-Chicago: NATO Quo Vadis? - SEDE
19-08-2013 Source European Union, 2013 - EP
 
The past three summits of NATO in Strasbourg / Kehl (2009), Lisbon (2010) and Chicago (2012) have addressed rather turbulent developments in the alliance's strategic environment, requiring it to adapt to new situations faster than ever before. NATO's structures have been revised several times, and from the 16 headquarters with 20 000 staff in the 1990s only 7 will survive, with less than 9 000 staff. Territorial defence, once key element of NATO's defence posture, will mainly consist of missile and cyber defence, and - perhaps - critical infrastructure protection. So far, NATO has become much more focused on sustainable high-end operations abroad, but the perspective of more such action is rather unlikely. With the financial crisis and the concentration of the US on its security interests on their pacific coast, the European allies are required to do more for European security. Previous such attempts in the 1990s 'drowned' during the war on terror; NATO and the EU now need to emerge in a true and mutually benefiting cooperation. With the arrival of the Lisbon treaty abolishing the pillar divides between the security and defence policy and the other Union policies, the EU can play its security role thoroughly. The Treaty on European Union requires the 'progressive framing of common Union defence policy'. This process, however, is all but well underway. It is unclear if the forthcoming European Council on defence matters in December 2013 will put this issue on its strategic agenda. The model of NATO, on which the EU treaties are based since Maastricht and Amsterdam, refers to a NATO that has significantly changed since. This is why reflecting on this matter becomes more important than ever before.
 

 
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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:50
Belgique : Un nouveau chef ad interim à la tête de la communication de la Défense

01 octobre 2013 Le Vif (Belga)

 

 Le colonel Koen Hillewaert est devenu lundi le "patron" ad interim du service de communication de l'armée belge après le départ le 30 septembre - mais dans les faits vendredi dernier - à la retraite du lieutenant-général Michel Singelé, a-t-on appris de sources militaires.

 

Le colonel Hillewaert, au départ un pilote d'hélicoptère, était jusqu'ici chef d'état-major (c'est à dire "numéro deux") de la Direction générale de la communication (DG-Com) du ministère de la Défense. En l'absence de désignation d'un successeur par le ministre de la Défense, Pieter De Crem, qui n'a pas convoqué cette année de comité d'avancement pour les généraux, c'est lui qui assurera la direction de ce service. Il succède au général Singelé, un ex-pilote de chasse ensuite passé au transport, qui dirigeait la DG-COM depuis mars 2008. C'est sous son égide que le nom du service a été modifié, après s'être appelé jusqu'en avril 2010 Direction générale Image et Relations publiques (DG-IPR), et qu'à été lancé un nouveau bimensuel à usage uniquement interne, portant le nom de 'dbriefing' pour remplacer les anciens 'Vox' et autres 'Direct' militaires. La DG-COM compte actuellement 159 personnes, rassemblées au sein de différents services, comme sa division création (englobant notamment la chaîne de télévision Télévox, visible sur internet), son service de presse, ses deux porte-parole. Elle s'occupe aussi des campagnes publicitaires de la Défense, principalement en matière de recrutement, et chapeaute les trois musiques militaires.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:45
Mali : retour sur l'opération Serval avec le général Barrera

01.10.2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. - Défense globale

 

Le général Bernard Barrera, ancien patron de la 3e brigade mécanisée de Clermont-Ferrand, désormais directeur-adjoint de la DICOD, est revenu lundi, à l'invitation de l'Association des journalistes de défense (AJD), sur l'opération Serval, dont il a commandé la composante terrestre du 21 janvier à la début mai.

 

Un RETEX (retour d'expérience) épique d'une opération qui marque le soldat pour longtemps...

 

La préparation

 

" A la brigade, on savait que nous serions d'alerte Guépard début 2013 et qu'une fenêtre de projection majeure existait avec le Mali. On s'est donc entraîné dessus pendant un an et demi. L'Afghanistan, on savait faire. Là, il fallait se préparer à quelque chose de très différent avec de grandes élongations. La Kapisa et la Surobi, c'était tout petit. On savait qu'il faudrait jouer la subsidiarité, l'interarmes et l'interarmées. On a habitué les chefs de corps et les capitaines à se débrouiller seuls et ça nous a énormément servi. "

 

La mission

 

" La mission politique était claire et je peux vous dire que c'est un vrai régal pour un militaire. Libérer le pays et détruire les terroristes avec acceptation des pertes dans une campagne à risques.

 

Il fallait prendre Tombouctou. Ça résonne aux oreilles des gens depuis René Caillé (premier occidental à Tombouctou en 1828). Nous sommes montés à Bamako, pas par la route la plus facile ou dépendante des bacs mais par un grand raid à l'ouest de 1 000 km. C'était un peu l'axe Joffre en 1894... "

 

Les clés du succès

 

" Un bon entraînement, bien sûr, mais la brigade était surtout animée par un esprit de victoire. On y allait pour leur casser la figure. Avec tous ces gens avec leurs drapeaux français sur le bord de la route, c'était un peu la libération de la France. Ce n'était pas une guerre religieuse, une croisade, mais il s'agissait de libérer un pays.

 

Nous avons mis le paquet sur les appuis, l'aviation, les hélicos qui ont parfois sauvé la vie des hommes, la surprise dans la manœuvre. On a fait preuve d'imagination en allant plus vite et plus loin qu'eux. Ce fut une très belle opération car on ne s'est pas bridé. Et voilà, le soldat français a gagné car c'est un soldat très rustique dans ces très grandes chaleurs. Les hommes de l'ombre de l'état-major ont été aussi les artisans de la victoire.

 

Les armées de Terre et de l'Air, ça fait vingt ans qu'elles font la guerre, dans les Balkans, en Afrique, en Afghanistan. Même s'il y avait des jeunes, ils savaient combattre. "

 

Un grand moment de solitude

 

" J'ai connu un grand moment de solitude le 26 février quand on a attaqué la vallée d'Ametettaï. Les Tchadiens venaient de perdre 26 hommes quatre jours plus tôt. On se demandait " sur quoi je vais tomber ? " On a attendu deux canons Caesar de Gao qui sont arrivés à 6 h à Tessalit. A 7 h, on attaquait. A 8 h, les Caesar tiraient. Les légionnaires (2e REP) étaient, eux partis à pied, à 4 h. Je me suis dit : " Les ordres sont donnés. Maintenant, je croise les doigts. "

 

On était prêt à plusieurs dizaines de morts car on craignait une vallée fermée. Eux sur des positions solides et nous avec le ballet des hélicos et des blessés. C'est pour ça que je voulais prendre les puits en moins d'une semaine. En plus, nos soldats étaient en limite physique. Si ça tardait, ils allaient s'écrouler.

 

En face, il y avait des trous. Ce n'était pas Verdun mais bien installé. On ne pouvait les laisser gagner une bataille psychologique : battre l'armée française. Finalement, le 1er ou le 2 mars, ils craquaient partout. On avait gagné. "

 

Les otages français

 

" Les otages, c'est y penser toujours, en parler jamais. Nous avons toujours essayé de les trouver. On continue. "

 

Les adversaires

 

" On s'est souvent demandé au début s'ils n'avaient pas fui. Il est difficile de faire une évaluation des pertes adverses, plusieurs centaines, de 600 à mille. Au nord, il y avait surtout des gens de la bande nord sahélienne ou extérieurs. Nous avons retrouvé des passeports égyptiens, canadiens... C'était un peu le Woodstock du terrorisme. On a découvert un site prêt à installer une base terroriste avec fabrications de bombes, de détonateurs, des ordinateurs... Plus au sud à Gao, nous avons rencontré des Mauritaniens, des gens provenant d'ethnies noires ou arabes, sous le contrôle du MUJAO. Au nord, les petits mercenaires payés par AQMI sont repartis chez eux rapidement.

 

C'était une zone grise en fait avec des groupes terroristes et trafiquants. Au nord, les hommes, à l'est, la drogue et les cigarettes. Ce n'était absolument pas une guerre religieuse. Ce sont des troupes courageuses mais pas valeureuses. Nous ne partageons pas les mêmes valeurs.

 

En Afghanistan, on nous tirait de loin comme des lapins. Là, ils venaient sur nous. Le 92e RI a eu une opération au contact à 800 m au début et ça s'est fini à 10 m au pistolet. Ils se sacrifaient. C'est pour ça que je disais qu'il fallait aller au pas de la légion, 1 km par jour, pas plus mais détruisez-les tous, ils cherchent l'imbrication. "

 

Les enfants soldats

 

" On ne s'y attendait pas. Pour nous, il n'y avait que des jihadistes aguerris. On aurait dû avoir la puce à l'oreille quand des bergers nous disaient qu'on avait volé leurs enfants. Je ne connais pas d'exemples de soldats français ayant tiré sur un enfant soldat mais ça s'est parfois joué à une seconde. Nous avons trouvé des enfants morts dans des bombardements ou blessés par des éclats. Ceux-ci, nous les avons tous sauvés. "

 

Les Touaregs

 

" Nous avons profité des services de guides maliens dès le début février. C'étaient des Touaregs, des gens issus d'une minorité loyale à Bamako. On ne voulait surtout pas favoriser une guerre ethnique. Depuis, ça a un peu évolué. Les MNLA, on passait devant, on les voyait. Mais pour nous, le MNLA, c'était ni ami ni ennemi. "

 

Les armes ennemies

 

" Beaucoup d'armes venaient des stocks de l'armée malienne, pris lors des mois précédents, quelques munitions venant de Libye. Nous avons trouvé également des pièces d'artillerie, des mortiers mais ils ne savaient pas s'en servir. Nous avions peur de tomber sur de l'antiaérien mais non, ce sont des combattants légers. "

 

L'influence

 

" Nous avons touché la population en rétablissant rapidement, à Gao, à Tessalit, les relais GSM coupés car la population était favorable aux armées malienne et française. Nous avons relancé des radios locales maliennes pour expliquer notre action. Nous avons eu en retour une foule de renseignements par des Maliens courageux.

 

J'ai fait aussi monter en première ligne dans la vallée d'Ametettaï une équipe avec des hauts-parleurs. Je leur passais des messages pour qu'ils se rendent. Bon, on n'a pas eu une foule de gens. Beaucoup ont fui par le sud mais les enfants soldats n'ont pas résisté.

 

L'armée malienne

 

" Nous avons eu très souvent des FAMA avec nous. On les mettait en tête et je peux vous dire qu'ils fonçaient. Des généraux nous disaient qu'au contact des Français, ils étaient galvanisés. On a souvent une mauvaise perception mais il n'y a pas que des bataillons formés par l'Union européenne dans l'armée malienne. "

 

Les forces africaines

 

" Je n'ai pas trouvé que la force africaine se soit constituée lentement. Fin mars, début avril, la MISMA devenue MINUSMA a commencé à nous remplacer. Les Tchadiens ont été très courageux dans le nord avec une tactique de rezzou. On entendait à la radio les jihadistes. Nous c'était " les chiens " ; les Tchadiens, c'était " les mouches ". Ça résume. "

 

La suite

 

" La guerre n'est pas finie, on le sait. Les attentats récents à Tombouctou ou Kidal ne sont pas des surprises. Les jihadistes ont pris une raclée mais il reste des éléments qui vont tenter de mener des combats asymétriques à forte résonance médiatique. C'est pour ça que la France va laisser une force de réaction rapide, que la force africaine est déployée et que l'Europe mène la formation de bataillons maliens. Il y a encore des explosions et il y en aura encore mais ça n'a rien à voir avec une zone complètement coupée. "

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:45
MINUSMA màj 1er juillet 2013

MINUSMA màj 1er juillet 2013

01 octobre 2013 Par RFI

 

L'ONU devrait débloquer dans les prochains jours les fonds destinés à rembourser les pays contributeurs de troupes pour la Minusma, la Mission de maintien de la paix de l'ONU au Mali. Il y a une quinzaine de jours une centaine de militaires tchadiens avaient quitté leur position de Tessalit pour rejoindre Gao en signe de protestation contre le non-paiement de primes liés à la participation à cette opération, mais aussi à l'absence de relèves. Depuis, ils sont rentrés chez eux. Le président tchadien Idriss Deby avait pointé du doigt la responsabilité de l'ONU dans cette affaire, appelant la Minusma à assumer ses responsabilités. Comment et par qui ces soldats doivent-ils être payés ? Eléments de réponse.

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:45
MQ-1 Predator armed with an AGM-114 Hellfire missile - photo USAF

MQ-1 Predator armed with an AGM-114 Hellfire missile - photo USAF

01 octobre 2013 Par Romain Mielcarek - RFI

 

Courant septembre 2013, les drones américains ont dû mettre fin à leurs vols depuis Camp Lemonnier, à Djibouti. Après une série de crash, le Pentagone a dû se résigner à déménager ces engins un peu plus au sud, pour pouvoir continuer de mener des raids depuis cette position où Washington prévoit encore d'investir un milliard de dollars.

 

À l'aéroport international d'Ambouli, à Djibouti, les passagers des vols civils ont toujours la surprise de voir, par les hublots, les avions militaires stationnés à proximité de la piste. Locataires de structures sur place, les Français, les Japonais, mais surtout les Américains déploient depuis ce micro-Etat au cœur de la Corne de l'Afrique des moyens stratégiques. Ces derniers opèrent depuis Camp Lemonnier, un important détachement de transport aérien, d'avions de combat et de drones armés.

 

Les célèbres Predator de l'aviation américaine mènent depuis 2011 jusqu'à 16 vols de drones par jour. La demi-douzaine d'engins sans pilote effectue des missions de renseignement ou de bombardement vers l'ensemble de la Corne de l'Afrique, ainsi que vers le golfe Arabo-Persique. Leurs cibles : les combattants d'al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) au nord, et les shebabs somaliens à l'est.

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:35
Guns Up For Australian Army 6x6 G-Wagons

02.10.2013 W&E Platt Pty Ltd - army-guide.com

 

The Australian Army will soon take delivery of the first Mercedes-Benz G-Wagon 6x6 surveillance reconnaissance vehicles (SRV) fitted with a new customised weapons suite.

 

Under Phase 3A of Project Land 121, around 200 G-Wagon 6x6 SRVs will each receive front and rear weapon mounts developed by Australian weapon mount specialist W&E Platt.

 

In a AUD$2.5 million contract with Australia’s Defence Materiel Organisation (DMO), the company is currently building the mounts at a rate of about 10 sets per week. The contract also includes a spare parts package and technical documentation.

 

In collaboration with the DMO, Platt undertook extensive in-house design and engineering evaluations of the bespoke weapon mount solutions throughout much of 2012, including Commonwealth of Australia sponsored live fire trials of advanced prototype mounts.

 

Designed specifically for the unarmoured 300 CDI G-Wagon 6x6 SRV platform, the weapon mount fit comprises a front rail mount for both left and right-handed gunners that is installed on the upper dash structure for the vehicle commander; and a rear skate mount fixed to the rear stowage compartment. The latter enables the gunner to engage targets left, right and to the rear of the vehicle but not to the front of the vehicle, where arcs of fire are restricted by rotation stops.

 

Each weapon mount can accept a Minimi 5.56mm light machine weapon or a MAG-58 7.62mm general purpose machine gun.

 

Australian Army units earmarked to receive the 6500kg gross vehicle mass G-Wagon 6x6 SRV include the three Regional Force Surveillance Units: the Pilbara Regiment, NORFORCE and the 51st Battalion, Far North Queensland Regiment. It is understood that Royal Australian Air Force Airfield Defence Guards units will also receive the vehicle.

 

Delivery of the Platt weapon mounts will continue through the first quarter of 2014.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:30
Liban : Transfert d’autorité de la « Force Commander Reserve »

02/10/2013 Sources : EMA

 

Le 28 septembre 2013, au camp de Dayr Kifa au Liban, a eu lieu la cérémonie de transfert d’autorité de la Force Commander Reserve (FCR) entre le colonel Christophe Baudouin et le colonel Loïc Mizon.

 

Le général de brigade irlandais Patrick Phelan, adjoint du commandant de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a présidé la cérémonie de transfert d’autorité de la FCR entre le colonel Baudoin, commandant le 4e régiment de Dragon, et le colonel Loïc Mizon, chef de corps du régiment d’infanterie Chars de Marine. En 6 mois, les 600 militaires de la FCR mandat 19 ont effectué plus de 500 patrouilles avec les forces armées libanaises (FAL). Conformément à la résolution 1701 du CSNU, la FCR a conduit une vingtaine d’instructions opérationnelles au profit de plus de 300 militaires libanais. Enfin, le mandat de la FCR a été marqué par l’exercice « Steel Storm » pendant lequel, sous commandement français, les détachements de la FINUL se sont retrouvés pour un exercice de tir à Naqoura. 40 000 munitions de petit calibre ont été tirées à cette occasion.

 

La FCR mandat 20 est désormais armée par 600 marsouins des régiments de la 9e brigade d’infanterie de Marine (régiment d’infanterie Chars de Marine, 6e régiment du génie, 11e régiment d’artillerie de Marine) et d’une compagnie d’infanterie du 92e régiment d’infanterie de Clermont Ferrand, aux ordres du colonel Loïc Mizon.

 

La relève nombre pour nombre des militaires de l’opération DAMAN initiée le 25 septembre est donc achevée. Les derniers éléments des unités « montantes » ont été débarqués du BPC Tonnerre dans la matinée du 29 septembre et ont rejoint Dayr Kifa à environ 100 kilomètres au sud de Beyrouth.

 

L’organisation millimétrée des mouvements d’embarquement et de débarquement, orchestrée par l’équipage et la batellerie du BPC Tonnerre, ont permis à cette opération d’ampleur de s’achever dans d’excellentes conditions. Une section de protection des forces armées libanaises (FAL) a assuré la sécurité de l’opération aux côtés d’une section de la « Force Commander Reserve » (FCR) sur véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI). Comme le 25 septembre, du personnel du Service de l’immigration était présent sur place pour assurer la gestion et la fluidité des formalités administratives d’entrée et de sortie du territoire libanais. Madame Cécile Longé, consule générale de France au Liban a rendu visite aux militaires des deux mandats présents sur la zone de débarquement.

 

La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Les militaires français de l’opération DAMAN agissent particulièrement au sein de la FCR qui confère au force commander une capacité de dissuasion, de réaction et de coercition. Robuste, souple et réactive, la FCR constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de Sécurité de l’ONU.

Liban : Transfert d’autorité de la « Force Commander Reserve »Liban : Transfert d’autorité de la « Force Commander Reserve »
Liban : Transfert d’autorité de la « Force Commander Reserve »Liban : Transfert d’autorité de la « Force Commander Reserve »
Liban : Transfert d’autorité de la « Force Commander Reserve »Liban : Transfert d’autorité de la « Force Commander Reserve »
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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:30
Two air forces eyeing Block 60 Kfirs, says IAI

Kfir Block 60 Armed and Ready for Multi-Role Operational Mission of Precise A/G with LGB, Targeting Pod, and A/A with 2 BVR missiles, and 2 WVR missiles - photo IAI

 

Oct. 1, 2013 by Arie Egozi – FG

 

Tel Aviv - Israel Aerospace Industries is in "very advanced negotiations" with at least two air forces that want to purchase the company's upgraded Kfir fighter in its Block 60 configuration.

 

"We are capable of delivering the Block 60 within a year, and we have indications that in two to three years two squadrons will be sold," an IAI source says.

 

The Kfir Block 60 is the latest upgrade for the Israeli-made fighter, which has been flying now for 40 years. The variant is offered with a General Electric-designed J79 engine with zero hours after a total overhaul, and will need another one after 1,600 flight hours.

 

Elta Systems will supply its EL/M-2032 active electronically scanned array radar, with open architecture avionics to allow a customer to install other systems.

 

According to Elta, the new sensor will provide an all-aspect, look-down/shoot-down performance in air-to-air and air-to-ground missions, with the capability to simultaneously track up to 64 targets.

 

All of the ex-Israeli air force Kfirs that have been stored at one of the service's desert bases for several years are to be transferred to an IAI upgrade facility. "This line will be busy in the coming years," the IAI source says.

 

Current users of previously-upgraded Kfirs include Colombia and Ecuador.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:30
Thales : un contrat de 2 milliards en ligne de mire en Arabie saoudite

Système de défense missiles sol-air Crotale. Grâce à une caméra infrarouge, il est possible d\'avoir une image très précise de la cible jusqu\'au bout, et donc, le cas échéant, de décider de ne pas la faire exploser. - Photo Armée del'Air

 

02/10 Par Alain Ruello – LesEchos.fr

 

Thales est en lice pour moderniser la défense sol-air du royaume avec ses missiles Crotale de nouvelle génération. La visite du ministre de la Défense, lundi à Djedda, pourrait faire avancer le dossier de manière importante.

 

Thales va-t-il enfin décrocher le mirifique contrat de modernisation de la défense antiaérienne à courte portée de l'Arabie saoudite, une affaire évaluée à plus de 2 milliards d'euros qui court depuis dix années ? Depuis plusieurs semaines, c'est ce qu'on espère au sein du groupe de défense. Même si la prudence est de mise et que le ministre de la Défense n'y va pas que pour cela, la perspective de la visite lundi prochain de Jean-Yves Le Drian à Djedda, où il doit rencontrer son homologue notamment, n'a fait que renforcer les espoirs.

 

Rangé parmi les « éléphants blancs » en interne vu le montant en jeu, le projet a plusieurs fois été donné comme conclu avant de sombrer dans les méandres du système décisionnaire saoudien. Thales joue gros dans cette partie qui a vu s'affronter Français, Russes, Allemands, et un tandem américano-norvégien. Ce sont en effet les missiles Crotale du groupe montés sur chars AMX30 (système baptisé « Shahine ») qui équipent le pays depuis les années 1980.

 

La prudence demeure

 

Pour Thales, l'attente est d'autant plus marquée que les Saoudiens ont tranché depuis plus d'un an déjà en faveur de la technologie des Crotale de nouvelle génération qui équipent l'armée française. Le principe : grâce à une caméra infrarouge, il est possible d'avoir une image très précise de la cible jusqu'au bout, et donc, le cas échéant, de décider de ne pas la faire exploser. A l'inverse, les autres missiles obéissent à la logique « fire and forget » qui veut, qu'une fois tiré, on ne peut plus rien faire. Seul le Russe KBP développe une technologie similaire à celle de Thales, au travers d'une évolution du système Pantzir.

 

La déplacement du ministre de la Défense sera-t-il décisif ? A Paris, on espère au moins une avancée importante. « Le dossier s'est accéléré ces derniers mois », confirme-t-on aux « Echos ». Mais la prudence demeure. L'exemple du contrat Lex de modernisation de quatre frégates et de deux navires ravitailleurs plaide en ce sens puisqu'il a fallu un an et demi pour aboutir à la signature après avoir tout bouclé.

 

Chez MBDA, en revanche, c'est un peu la soupe à la grimace. La filiale d'EADS, de BAE et de Finmeccanica a tenté par deux fois de placer ses missiles Mica et Aster, en complément des Crotale NG de Thales. Sans succès : aussi bien le précédent gouvernement que l'actuel lui ont opposé un « niet » catégorique.

 

Contactés, ni le ministère de la Défense ni Thales n'ont souhaité commenter.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:20
Un F-35 de Lockheed Martin prêt à s'envoler (Photo Lockheed Martin Aeronautics)

Un F-35 de Lockheed Martin prêt à s'envoler (Photo Lockheed Martin Aeronautics)

Oct. 1, 2013 by Zach Rosenberg – FG

 

Washington DC - A government quality assurance assessment of the Lockheed Martin F-35 found major faults with the programme, and criticised Lockheed and component suppliers for “insufficient rigor in design, manufacturing and quality assurance processes.”

 

The report from the Department of Defense’s Inspector General’s office was released on 30 September, outlining specific faults of the government’s Joint Program Office (JPO), primary contractor Lockheed and several subcontractors. The JPO, which is composed of officials from every major F-35 customer, largely agreed with the assessment.

 

“The F-35 JPO, Lockheed Martin, and its subcontractors were not ensuring that the necessary quality assurance process controls and disciplines were in place to produce a consistent and reliable product,” says the report. “This lack of process discipline and attention to detail creates an elevated risk of delivering nonconforming aircraft to the warfighter.”

 

The report made eight major recommendations, of which the JPO objected to two. Many are in the process of being corrected.

 

“As of 24 September 2013, 269 of the findings (78%) have been closed, with the remaining 74 still in work, with corrective action plans (CAPs) in development or approved but not fully implemented,” says the JPO, in a statement largely echoed by Lockheed. “The majority of the findings are consistent with weaknesses previously identified…and do not present new or critical issues that affect the health of the program.”

 

Such programme weaknesses are not uncommon in major defence programmes, and the F-35 has been repeatedly reviewed by a number of parties.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:20
F-35A US Air Force test aircraft. (Lockheed Martin)

F-35A US Air Force test aircraft. (Lockheed Martin)

01/10/2013 Michel Cabirol (avec agences) – laTribune.fr

 

Le géant de l'aéronautique n'a pas mis en place de "contrôles rigoureux de qualité", accuse l'inspection générale du Pentagone. Elle a signalé 363 problèmes liés à la conception et à la réalisation du F-35 qui pourraient porter préjudice à la sécurité de cet avion.

 

L'inspection générale du Pentagone a accusé lundi les fabricants de l'avion de chasse F-35 d'avoir mis en place des contrôles de qualité défaillants, compromettant la fiabilité et le sérieux de cet appareil aux coûts exorbitants pour l'armée américaine. Le bureau d'inspection a signalé 363 problèmes liés à la conception et à la réalisation du Joint Strike Fighter qui pourraient porter préjudice à la sécurité de cet avion.

 

Le géant de l'aéronautique Lockheed Martin et cinq de ses principaux sous-traitants n'ont pas mis en place de "contrôles rigoureux de qualité", affirme le Pentagone. Ces manquements "pourraient compromettre les performances, le sérieux et le budget de ce programme", précise le rapport de l'inspection générale. "Sans un contrôle adéquat du logiciel d'exploitation (de l'appareil), Lockheed Martin n'est pas en mesure de remplir les critères de sécurité exigés", dénonce encore l'inspection générale.

 

Une enveloppe de près de 400 milliards de dollars

 

Mis en place pour remplacer une grande partie de la flotte américaine d'avions de combat, le F-35 Lightning II (rallié par neuf pays) est le programme d'armement le plus cher de l'histoire des Etats-Unis, avec une enveloppe de 395,7 milliards de dollars qui ne cesse d'augmenter à mesure que les retards s'accumulent. Depuis l'attribution du contrat en 2001, une phase de mise au point et d'essais était prévue pour durer dix ans. Elle ne sera pas terminée avant 2016, repoussant d'autant la mise en service de l'appareil.

 

Les responsables du programme ont reconnu que le programme d'origine avait été bien trop ambitieux car il prévoyait que la fabrication de l'appareil démarre bien avant que les tests soient achevés.

 

Le Pentagone pointe les déficiences du système d'alimentation d'oxygène

 

Le rapport de lundi pointe également du doigt les sous-traitants de Lockheed Martin, notamment l'entreprise Honeywell accusée d'avoir fait de mauvais essais sur le système d'alimentation d'oxygène.

 

Les responsables du programme F-35 ont salué un rapport "minutieux et utile" tout en le minimisant. Ils estiment, dans un communiqué, que la plupart des problèmes signalés ne sont pas "nouveaux et ne constituent pas des problèmes fondamentaux dans la réalisation du programme". Sur les 343 recommandations que formule le rapport, 269 ont déjà été appliquées et 74 sont encore en cours, ont rapporté les responsables.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:20
KC-135

KC-135

October 2nd, 2013 by Mike Hoffman  - defensetech.org

 

Air Force generals received another reason Monday to keep pushing Congress to deliver funding for the KC-46A tanker program even in the midst of this budget environment.

 

A KC-135 Stratotanker made an emergency landing Monday at Sol San Juan airport in Palma De Mallorca. The tanker based out of McConnell Air Force Base in Kansas took off from a Spanish air base in Moron.

 

The Stratotanker was forced to land after a suspected fuel leak was suspected, officials said.

 

The KC-46A remains the Air Force’s top modernization priority at a time when service officials get few choices on what acquisition program they want to deliver. The KC-135 has been in service for more than five decades and remains an integral part of the Air Force’s fleet.

 

This is not the first emergency landings for the KC-135 this year. The aircraft has been forced to land because of engine and landing gear problems. Wouldn’t be surprised to hear about those landings in future Congressional hearings. Of course, that’s if the government reopens.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:20
Canada: le futur siège de la Défense sur écoute (média)

OTTAWA, 01 oct 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Des dispositifs d'espionnage électronique ont été découverts à l'ancien siège d'une société de haute technologie d'Ottawa appelé à devenir le nouveau quartier-général du ministère canadien de la Défense, ont indiqué mardi des médias locaux.

 

Le quotidien local Ottawa Citizen a affirmé que des ouvriers, employés par la Défense pour rénover l'ancien siège de l'équipementier des télécoms Nortel, ont découvert les dispositifs.

 

En revanche, le quotidien n'était pas en mesure de préciser si le matériel d'écoute avait récemment été mis en place ou s'il datait de l'époque où Nortel a été victime d'espionnage industriel, au cours des années 2000.

 

La découverte a amené le ministère de la Défense à revoir sa décision de quitter l'immeuble du centre-ville, où il est installé actuellement, et déménager dans l'ancien siège de Nortel en banlieue d'Ottawa, a ajouté de son côté la chaîne CTV.

 

Le ministère n'a fait aucun commentaires.

 

Le Wall Street Journal avait rapporté l'an dernier que des pirates informatiques utilisant des mots de passe volés à des responsables de Nortel avaient téléchargé des documents techniques et de recherche, ainsi que des courriels d'employés et d'autres notes pendant plus de dix ans.

 

Le quotidien américain citait une enquête interne de Nortel, qui avait établi que les pirates étaient vraisemblablement basés en Chine.

 

Des logiciels d'espionnage avaient été dissimulés dans des ordinateurs d'employés, si bien que Nortel ne s'était rendu compte de l'étendue du problème que des années plus tard.

 

Nortel, anciennement la plus grande entreprise cotée en Bourse au Canada, a fait faillite en 2009.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 07:55
Assemblée nationale : Audition de M. J-B Lévy, président de Thales sur le projet de loi de programmation

01.10.2013 Assemblée nationale

- Audition, ouverte à la presse, de M. Jean-Bernard Lévy, président de Thales, accompagné de M. Patrice Caine, directeur général, sur le projet de loi de programmation

Compte rendu n° 100 - jeudi 19 septembre 2013 - séance de 11 heures

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