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21 septembre 2015 1 21 /09 /septembre /2015 16:55
Moteurs militaires : un support de proximité

 

21.09.2015 par Snecma (Safran)

 

Fournisseur historique des moteurs des avions de combat de l’Armée de l’Air et de l'Aéronautique Navale françaises, Snecma (Safran) participe également à leur maintien en condition opérationnelle. L’ouverture au mois d’avril dernier d’un centre de support à Bordeaux, au plus près de ses partenaires étatiques en charge de la maintenance, va accroître la réactivité des équipes du motoriste.

 

Pour l'Armée de l'Air comme pour la Marine Nationale, disposer d'avions prêts à décoller à tout moment est un enjeu de sécurité nationale. Snecma, qui motorise tous les appareils de combat actuellement en service (M88 du Rafale, M53 du Mirage 2000, Atar du Super-Étendard), participe activement au maintien en condition opérationnelle (MCO) de ces aéronefs. Outre le centre de maintenance MRO1 de Châtellerault, le motoriste dispose de représentants techniques sur chacune des bases aériennes mettant en oeuvre des Rafale, ainsi que de bureaux d'études conséquents en région parisienne. « Début 2015, nous avons également créé un centre de support en service à Bordeaux, rappelle Pierre Anglès, directeur de ce centre et du support en service des moteurs militaires en France. Ce nouvel établissement est un élément essentiel dans notre dispositif de soutien aux forces armées car il nous permet de nous rapprocher des organismes étatiques chargés de la maintenance des avions et du pilotage des opérations (AIA, SIMMAD, CFA2), désormais installés autour de l'agglomération bordelaise. Notre objectif est de leur offrir une réactivité maximale en toutes circonstances et d'avoir une meilleure compréhension des événements rencontrés par nos moteurs. »

 

Efficacité et réactivité

La vingtaine de collaborateurs du centre sont répartis en quatre pôles. Les équipes du support technique, en relation directe avec l'AIA de Bordeaux, participent à l'analyse des problèmes survenus sur les moteurs et proposent des solutions de traitement en s'appuyant sur la documentation technique. Si le problème rencontré est plus complexe, ils élaborent un rapport précis destiné aux équipes franciliennes. « Nous avons cinq ingénieurs dans les locaux de l'AIA chargés de traiter et / ou de faire remonter l'information en temps réel, ajoute Pierre Anglès. Leurs retours nous permettent de faire constamment évoluer notre connaissance de l'usure des moteurs au cours de leur utilisation, et donc d'affiner les besoins en pièces de rechange. »

Le « pôle prévision-planification », en lien avec notre partenaire l'AIA, a pour mission d'avoir une vision complète de l'ensemble des opérations de maintenance, en cours et futures, sur les bases aériennes et dans les usines de Châtellerault et de l'AIA. « Ainsi, nous sommes certains de pouvoir répondre aux besoins de disponibilité des avions de notre client », précise Pierre Anglès. Le « pôle qualité » s'assure que les pièces de rechange livrées peuvent être utilisées en vol et « le pôle marché » pilote l'exécution des contrats. 

 

Contrat à l'heure de vol, formule gagnante

Depuis 2010, le contrat de maintenance du M88 du Rafale porte sur la fourniture de pièces de rechange à l'heure de vol. Le principe de ce contrat est le suivant : à partir du nombre d'heures de fonctionnement des moteurs estimé par l'armée, Snecma anticipe les besoins en pièces de rechange et met celles-ci à disposition des miliaires. L'État ne se préoccupe donc plus des commandes. « Notre objectif à terme est de progresser vers un contrat à l'heure de vol portant sur la disponibilité de moteurs complets, prêts à l'emploi sur tarmac, explique Pierre Anglès. L'armée pourrait alors se concentrer sur son coeur de métier et Snecma exercer pleinement son rôle de motoriste. »

D'ici là, Snecma, en partenariat avec l'AIA, proposera dès 2016 à la SIMMAD un contrat de maintenance à l'heure de vol portant sur la disponibilité des modules du M88 sur les bases aériennes. Une bonne pratique qui pourrait bien se répandre auprès des clients du Rafale à l'international.

 

1. MRO : Maintenance, Repair and Overhaul - Maintenance, réparation et révision

2. (AIA) L'Atelier industriel de l'aéronautique de Bordeaux, qui dépend du ministère de la Défense, prend charge la maintenance des moteurs militaires français.

(SIMMAD) La Structure intégrée de maintien en condition opérationnelle des matériels aéronautiques de la défense (est chargée de passer des appels d'offres pour la maintenance des aéronefs français, auprès d'acteurs publics ou privés. Elle est située sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac.

(CFA) Le Commandement des forces aériennes prépare les forces aériennes à remplir leurs missions.

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21 septembre 2015 1 21 /09 /septembre /2015 07:50
MQ-4C Triton photo US Navy

MQ-4C Triton photo US Navy

 

15 September, 2015 BY: Beth Stevenson - FG

 

London - Ahead of the release of the UK’s Strategic Defence and Security Review (SDSR) next month, Northrop Grumman remains hopeful that the nation’s maritime patrol capability gap can be filled with its MQ-4C Triton high-altitude, long-endurance (HALE) unmanned air vehicle.

 

This is not the first time that Northrop has expressed interest in the UK as a customer for the Triton, and it is eagerly awaiting the review in the expectation that it will address the shortfall in maritime surveillance. “SDSR is ongoing and we’re watching that very closely. We’re hoping that they’ll get a maritime patrol aircraft (MPA) out of it,” says Drew Flood, Triton programme executive for Europe at Northrop. The UK appears to favour the acquisition of the manned Boeing P-8 Poseidon aircraft, and Northrop hopes that it will follow the lead of the US Navy and Royal Australian Air Force in supplementing that platform with the MQ-4C.

 

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21 septembre 2015 1 21 /09 /septembre /2015 07:20
MQ-9 Reaper-ER photo General Atomics

MQ-9 Reaper-ER photo General Atomics

 

AFA AIR & SPACE, WASHINGTON – 15 September 2015General Atomics Aeronautical Systems, Inc

 

General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA‑ASI), a leading manufacturer of Remotely Piloted Aircraft (RPA) systems, radars, and electro-optic and related mission systems solutions, today announced that its Predator® B/MQ-9 Reaper® Extended Range (Reaper ER) RPA fleet has achieved a historic milestone with the first operational fielding of Reaper ER by the U.S. Air Force (USAF) last month.

“Reaper ER provides a tremendous capability increase in both range and endurance, and achieving this major program milestone wouldn’t have been possible without the dedication and commitment of our employees,” said Frank W. Pace, president, Aircraft Systems, GA-ASI. “We are pleased that the Reaper ER program has met the expectations of our Air Force customer and satisfied the enormous challenge of their Quick Reaction Capability [QRC] schedule requirement.”

A Reaper can be transformed into a Reaper ER through the integration of a field-retrofittable modification package consisting of two wing-mounted fuel tanks which significantly extend the aircraft’s maximum endurance. Reaper’s original external payload carriage configuration remains unchanged, providing the aircraft with a “mix and match” capability that allows it to carry both fuel tanks and an assortment of external payloads. To increase thrust and improve takeoff performance at higher gross weights, an alcohol/water injection system and a four-bladed propeller were incorporated, along with a heavyweight trailing arm landing gear system that enables safe ground operations at the heavier gross weight.

The Reaper ER program was a QRC requirement in support of USAF which challenged GA-ASI to deliver 38 Reaper ER aircraft in 13 months, and to be operational 18 months following contract award. The ER modification package was designed to be field-retrofittable so that fuel tanks and associated equipment could be installed quickly and conveniently on current Reapers at worldwide locations.

In related news, GA-ASI announced that Reaper ER has earned the company an honor from Aviation Week, with the company being named as a finalist for the 2015 Program Excellence Awards in the category of System. Reaper ER was selected for GA-ASI’s efforts to introduce unique and innovative changes to standard production programs in the execution of the aircraft’s production, including an innovative approach to leading and managing a QRC that implemented a disciplined production environment to meet a very challenging schedule. The company also was recognized for partnering with the U.S. Government to streamline the production line and adjust tools and processes to improve the execution of the program.

“This year’s Program Excellence submissions provided a wealth of lessons learned and best practices, from driving down cycle time and affecting the learning curve to process innovations that allow program teams to work smarter and achieve better results,” said Carole Hedden, Program Excellence editorial director for Aviation Week. “Our evaluation team of program experts narrowed the field from 72 original nominations to a field of 23 finalists who exemplified the best in creating value, adapting to complexity, team effectiveness, and producing results.”

The winners of the Program Excellence Awards will be announced November 4 in Scottsdale, Ariz.

High-resolution photos of Reaper ER are available to qualified media outlets from the GA-ASI media contact listed below.  

 

About GA-ASI

General Atomics Aeronautical Systems, Inc., an affiliate of General Atomics, delivers situational awareness by providing remotely piloted aircraft systems, radar, and electro-optic and related mission systems solutions for military and commercial applications worldwide. The company’s Aircraft Systems business unit is a leading designer and manufacturer of proven, reliable RPA systems, including Predator A, Predator B/MQ-9 Reaper, Gray Eagle, the new Predator C Avenger®, and Predator XP. It also manufactures a variety of state-of-the-art digital Ground Control Stations (GCS), including the next-generation Advanced Cockpit GCS, and provides pilot training and support services for RPA field operations. The Mission Systems business unit designs, manufactures, and integrates the Lynx® Multi-mode Radar and sophisticated Claw® sensor control and image analysis software into both manned and remotely piloted aircraft. It also focuses on providing integrated sensor payloads and software for Intelligence, Surveillance and Reconnaissance (ISR) aircraft platforms and develops high energy lasers, electro-optic sensors, and meta-material antennas. For more information, please visit www.ga-asi.com.

Predator, Reaper, Avenger, Lynx, and Claw are registered trademarks of General Atomics Aeronautical Systems, Inc.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 16:55
Renseignement : partie de ping-pong entre DGSE et DRM

 

20.09.2015 par Jean-Dominique Merchet - (Article précédemment paru dans l'Opinion)

 

Dans l’ombre, les deux services s’affrontent sur leur rôle respectif dans les opérations militaires

 

Les services de renseignement sont « une petite oasis d’abondance ». L’un de leurs principaux responsables se réjouit du traitement de faveur dont la « politique publique de renseignement » jouit au sein des activités de l’Etat. La tendance, soulignée depuis plusieurs années, a été nettement confirmée à la suite des attentats de janvier. Une loi, élargissant leurs capacités d’interception, a été votée en juin et leurs moyens financiers et humains sont renforcés, en particulier dans le cadre de l’actualisation à la hausse de la loi de programmation militaire.

Cette situation n’empêche pas les « services » de se quereller autour des opérations militaires en cours, que ce soit au Sahel ou au Levant (Irak et Syrie). Ce n’est pas la guerre ouverte, mais plutôt une « partie de ping-pong » pour savoir qui fait quoi, comme le note un acteur du dossier. En jeu : le rôle de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) et de la DRM (Direction du renseignement militaire) sur les théâtres d’opération. Une querelle de famille, car les deux services dépendent tous les deux du ministère de la Défense, même si la DGSE jouit d’un rôle spécifique au sein de l’Etat, avec notamment un accès direct au président de la République.

L’un le dit en anglais : « Find. Fix. Finish. » L’autre en français : « Trouver. Traquer. Terminer. » Ce sont deux hauts responsables des services qui évoquent leur rôle au Sahel dans la guerre contre les groupes terroristes. Ils parlent de l’élimination de leurs chefs, les High Value Target (HVT), les cibles de haute valeur, en anglais pour tout le monde. « Finish » ou « Terminer » veut dire tuer, et c’est le rôle des forces spéciales de l’opération Sabre. Là-dessus, tout le monde est à peu près d’accord.

En revanche, qui trouve et traque les HVT ? Les militaires de la DRM ou les agents de la DGSE ? Dans le meilleur des mondes, le mieux placé pour le faire et ce, en collaboration avec les autres. Sur le terrain, c’est globalement ce qui se passe et cela fonctionne : les groupes terroristes qui ont perdu plusieurs de leurs hauts responsables depuis janvier 2013 ne démentiront pas. Dans les bureaux parisiens, l’affaire est plus compliquée, car chaque service à bien compris que la guerre contre le terrorisme allait redessiner pour longtemps le paysage du renseignement français et qu’il faut, dans ce cadre, s’y garantir une bonne place. Dans l’attente d’arbitrages politiques, chacun tire la couverture à soi.

« Trouver » les chefs terroristes ? La DGSE explique jouer « un rôle tout à fait essentiel » en « fournissant l’essentiel du renseignement » sur les HVT. C’est, y dit-on, « son métier stratégique ». Mais, ensuite, le boulevard Mortier est prêt à « transférer la traque à la DRM », puisqu’il s’agit d’une « mission tactique » que l’on peut confier aux militaires. Évidemment, ceux-ci ne l’entendent pas de cette oreille et mettent en avant leurs propres moyens de renseignement leur permettant de « trouver » les chefs terroristes.

 

Lors d’un récent colloque à la Société de Géographie, la DRM présentait ainsi ses moyens techniques d’analyse spatiale permettant de localiser un centre de commandement de Daech à Mossoul (Irak). L’exemple, assurait la DRM, était purement fictif. Par rapport aux militaires, la DGSE dispose d’un atout majeur : elle est le seul service autorisé à conduire des actions clandestines à l’étranger, qu’il s’agisse de renseignement ou d’action. « Nous seuls pouvons mener des actions de l’Etat non revendicables par l’Etat », indique un acteur de ce dossier. Sur ce plan, la DGSE a d’ailleurs décidé récemment de « relancer la recherche humaine » en son sein, avec une nouvelle organisation qui redonne du poids à l’espionnage traditionnel par rapport au renseignement technique (les écoutes).

L’un des autres points de crispation entre les services est la notion de « théâtres ouverts » et de « théâtres fermés ». Les premiers sont les pays où la France mène des opérations militaires comme le Mali, le Niger ou l’Irak. Là, la DRM peut être « leader », assure une source proche du dossier, « mais tous les autres services sont mobilisés ». Ainsi, l’ensemble des services de renseignement, y compris ceux relevant des ministères de l’Intérieur et des Finances, sont désormais représentés au sein du Centre de préparation et de conduite des opérations (CPCO), à l’état-major des armées.

Les « théâtres fermés » posent un problème plus aigu : officiellement, la France n’y mène pas d’actions… si ce n’est clandestines. Elles relèvent dans ce cas uniquement de la DGSE. Mais, explique un acteur, « les forces armées peuvent anticiper l’ouverture d’un théâtre », comme ce fut le cas au Sahel, en Centrafrique ou en Libye. Aujourd’hui, les regards de la communauté du renseignement se tournent vers la Syrie, un « théâtre » en cours d’ouverture depuis la décision du président de la République d’y effectuer des « vols de reconnaissance » ouvrant la voie à des frappes que François Hollande a jugées lundi « nécessaires ». « On ne peut pas désactiver des cellules terroristes en France si on ne va pas un peu plus en profondeur », c’est-à-dire en Syrie, explique un spécialiste de l’antiterrorisme.

La Syrie le montre : les militaires peuvent recueillir du renseignement grâce aux vols de reconnaissance mais pas sur le terrain où les opérations sont nécessairement clandestines. Qui, au final, réalise la synthèse – la « fusion » disent les hommes du métier ? Qui, par conséquent, informe et conseille les responsables politiques ? Il existe depuis 2008 un coordonnateur national du renseignement (CNR) à l’Elysée – l’actuel est l’ambassadeur Didier Le Bret – mais son rôle n’est pas directement opérationnel. La fusion exige en effet des moyens sophistiqués comme les systèmes de Geoint (geospatial intelligence) de la DRM.

La DGSE, service « intégré », est organisée en son sein même pour produire des synthèses à partir du renseignement qu’elle recueille par les écoutes (Direction technique) ou l’espionnage traditionnel, ainsi que les capteurs mis en œuvre par les armées (satellites ou avions). En cela, la DGSE se distingue de ses homologues étrangères, comme la CIA qui doit cohabiter avec la NSA, l’agence spécialisée dans les interceptions électroniques. Pour les responsables de la DGSE, cette particularité française est un atout considérable auquel ils sont très attachés.

Dans les milieux parlementaires, certains imaginent de créer une agence, comme la NSA ou la GCHQ britannique, qui fournirait du renseignement électronique à toute la communauté du renseignement. Pour la DGSE, c’est un chiffon rouge. Comme le maintien en son sein d’une composante purement militaire – le Service Action –, certains considérant à tort qu’il ferait double emploi avec les forces spéciales.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 16:35
Washington et Pékin négocient un accord de non-agression dans le cyberespace

 

20.09.2015 lemonde.fr

 

Les Etats-Unis et la Chine seraient en pleine négociation en vue de ce qui pourrait devenir le premier accord de non-agression dans le cyberespace, selon le New York Times. Une annonce est problable en fin de semaine prochaine, lors de la visite du président chinois Xi Jinping, qui arrive jeudi pour une visite d’Etat à Washington. Les pourparlers se sont donc accélérés ces dernières semaines, selon des officiels engagés dans les discussions qui indiquent que chacune des parties devrait s’engager à ne pas attaquer les infrastructures stratégiques de l’autre.

 

Mercredi déjà, le président Obama suggérait des négociations, évoquant que les cyberattaques en augmentation seraient « probablement un des sujets principaux » du sommet à venir. Un officiel de son administration a précisé qu’une déclaration commune des deux dirigeants pourrait ne pas contenir de « mention spécifique et détaillée » d’une telle interdiction d’attaque mais pourrait plutôt prendre la forme d’une acception du code de conduite récemment adopté par un groupe de travail des Nations unies. Il s’agirait donc pour les négociateurs américains d’encourager les dirigeants chinois à respecter les principes de ce code, par le biais d’un accord bilatéral.

 

Suite de l’article

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 16:20
MQ-9 Reaper-ER photo General Atomics

MQ-9 Reaper-ER photo General Atomics

 

20.09.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Le 15 septembre, General Atomics Aeronautical Systems a annoncé le premier déploiement opérationnel de son Reaper Extended Range (Reaper ER). Un appareil qui peut rester en vol pendant 33 heures au lieu des 27 heures actuelles.

L'USAF avait exprimé en 2013 le besoin de drones armés ou de surveillance aux capacités accrues. 38 appareils doivent être modifiés

Selon General Atomics (lire ici), le kit comprend deux bidons sous les ailes et une nouvelle hélice à quatre pales. Les capacités d'emport (armement et équipement ISR) restent inchangées. 

Selon Defense Updates, GA-ASI cherche aussi à améliorer les performances des appareils dédiés à l'ISR dont l'autonomie pourrait être portée à 42 heures, en remplaçant les ailes actuelles de 20m par des ailes de 24m.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 14:30
Inherent Resolve – Chammal sit rep 20 sept. – CJTF-OIR

ARABIAN GULF (Sept. 17, 2015) - An F/A-18F Super Hornet, assigned to the Checkmates of Strike Fighter Squadron (VFA) 211, launches from the flight deck aboard the aircraft carrier USS Theodore Roosevelt (CVN 71). Theodore Roosevelt is deployed in the U.S. 5th Fleet area of operations supporting Operation Inherent Resolve, strike operations in Iraq and Syria as directed, maritime security operations and theater security cooperation efforts in the region. (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 3rd Class Anna Van Nuys/Released)

 

September 20, 2015 by CJTF-OIR - Release # 20150920

 

Military Airstrikes Continue Against ISIL Terrorists in Iraq

 

SOUTHWEST ASIA – On Sept. 19, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Iraq. Coalition military forces conducted 11 airstrikes coordinated with the government of Iraq using, strike, fighter-attack, bomber, and remotely piloted aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Iraq

• Near Bayji, one airstrike resulted in terrain denied to ISIL fighters.

• Near Hit, one airstrike struck an ISIL tactical unit, and destroyed an ISIL vehicle.

• Near Kirkuk, one airstrike struck an ISIL tactical unit, and destroyed an ISIL vehicle.

• Near Kisik, one airstrike struck an ISIL tactical unit, and destroyed an ISIL bunker.

• Near Mosul, two airstrikes struck an ISIL tactical unit, and destroyed an ISIL fighting position and suppressed an ISIL mortar position.

• Near Ramadi, one airstrike struck an ISIL tactical unit and destroyed two ISIL buildings.

• Near Sinjar, three airstrikes struck two ISIL tactical units, destroyed an ISIL heavy machine gun fighting position, an ISIL vehicle, and five ISIL bunkers.

• Near Tal Afar, one airstrike, struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL vehicle.

 

Airstrike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted airstrikes in Iraq include Australia, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, United Kingdom and United States.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:55
204 ans. Joyeux anniversaire la BSPP !

 

19/09/2015 Ministère de la Défense

 

La brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) est née à la suite d’un bal tragique à l’ambassade d’Autriche. En juillet 1810, un incendie s’y déclare et l'empereur Napoléon 1er y échappe de peu. L’insuffisance du système de sécurité de l’époque persuade le monarque de réorganiser et de professionnaliser la lutte contre le feu à Paris. Par décret impérial du 18 septembre 1811, il confie cette mission à un corps militaire, le bataillon de sapeurs-pompiers de Paris.

 

L’introduction des pompes à incendie à Paris en 1699 pose la première pierre de ce qui va devenir par la suite le corps des gardes-pompes de la capitale. Cette organisation connaît des hauts et des bas mais sa taille ne cesse pourtant d’augmenter. À cette époque, la tactique d’attaque des feux est rudimentaire. Seules la connaissance et  l’intrépidité des ouvriers du bâtiment, parmi lesquels sont recrutés les gardes-pompes, guident les actions de sauvetage et d’extinction.

 

Après la Révolution, les gardes-pompes prêtent spontanément serment au nouveau régime. Le Directoire, le Consulat et l’Empire n’apportent que peu de modifications à l’organisation. Napoléon, alors Premier consul, sent bien la nécessité de réformer ce corps, mais une première réorganisation en 1801 ne porte pas ses fruits. L’incendie meurtrier à l’ambassade d’Autriche  en juillet 1810, lors des festivités de son mariage avec

 

Marie-Louise, rappelle à l’empereur  toute l’importance du bon fonctionnement du service d’incendie dans la capitale. Malgré le courage et le dévouement des gardes-pompes que l’on accuse, parfois à tort, de multiples défaillances, le service de lutte contre les incendies laisse apparaître ses faiblesses : retards, matériel insuffisant et peu fiable, personnel mal entraîné et responsables incompétents.

 

Les chefs de l’ancienne organisation sont licenciés et le corps des gardes-pompes est supprimé. Après cette catastrophe, l’empereur  réorganise ce service public en créant le premier corps militaire de sapeurs-pompiers, composé des sapeurs du génie de la garde impériale dédiés à la défense contre l’incendie des châteaux impériaux.

 

Voulue par l'empereur Napoléon 1er, la création par un décret impérial le 18 septembre 1811  du bataillon de sapeurs-pompiers de Paris présente un caractère original et innovant, consacrant le passage d'une organisation civile et communale à un corps militaire. Ce choix d'un statut aussi atypique pour ce service public fait écho à la création, onze ans plus tôt, de la préfecture de Police de Paris, instance juridico-administrative tout aussi singulière.

 

Ainsi, et dès sa création, ce corps militaire est placé sous l'autorité du préfet de Police de Paris, responsable de la sécurité de la capitale. Ce statut militaire et cette subordination à un préfet se sont ensuite imposés, après un long cheminement, comme la conséquence logique de l'esprit du décret de 1811. Aujourd'hui, la spécificité militaire assure toujours aux habitants de la capitale et des trois départements de la petite couronne un niveau sans égal de disponibilité et de performance des protecteurs de la cité.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:55
La 2e BB en mouvement

 

20/09/2015 Armée de Terre

 

L’armée de Terre au contact s’investit dans un nouveau modèle où l’engagement opérationnel et la réorganisation organique sont les maîtres mots. En visite à Illkirch-Graffenstaden, le général Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre, a rappelé aux cadres de la 2e brigade blindée (2e BB) ses attentes et objectifs.

 

D’emblée, le général donne la tonalité de sa feuille de route : « C’est une brigade qui a une forte pression ». En effet, pour la 2e BB, les évolutions du modèle « Au contact » se traduisent par le renforcement de nouvelles unités élémentaires au sein des régiments d’infanterie et de cavalerie et par l’intégration du 92e régiment d’infanterie.

Une orientation évidemment partagée par le commandant de la brigade, le général Jean-François Lafont-Rapnouil : « La première priorité est très claire, c’est le maintien de la capacité opérationnelle ». Dans cette optique, le général s’apprête ainsi à projeter 2 700 de ses militaires en opération extérieure et en mission de courte durée de novembre prochain à l’été 2016.

Parallèlement bien implantée sur le territoire national dans le cadre de l’opération SENTINELLE, la 2e BB conforte ainsi son rôle de brigade de haute intensité et s’affirme comme l’échelon essentiel dans le cadre de la préparation opérationnelle.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:55
Exercice de sauvetage en mer avec le Super Puma - photo Armée de l'Air

Exercice de sauvetage en mer avec le Super Puma - photo Armée de l'Air

 

19/09/2015 Armée de l'air

 

Le 10 septembre 2015, l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 «Solenzara» a soutenu le bataillon de marins-pompiers de Marseille lors d’un exercice.

 

En réponse à une demande de concours pour un soutien héliporté, un Super Puma de la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara et son équipage ont héliporté un groupe d’intervention de douze pompiers en tenue de feu sur le bâtiment du centre d'entraînement aux techniques d'incendie et de survie (CETIS).

 

Le ministre de l’Intérieur ainsi que de hautes autorités locales ont pu assister à cette démonstration d’intervention sur un incendie de navire, illustrant parfaitement la complémentarité des moyens étatiques dans le cadre des missions de service public.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:50
Defence budgets in Europe: downturn or U-turn?

 

The year 2014 was dubbed a ‘game-changer’ for European security. Is 2015 going to be a game-changer for European defence spending? After Germany, the Netherlands, Poland, the Czech Republic, Slovakia, Romania and the Baltic states, France has now announced it is planning to raise national defence spending from 2016 onwards.

The significance of such commitments should not be downplayed. Defence expenditure has been shrinking in Europe for the best part of two decades, and public spending has fallen sharply with the onset of the financial crisis in 2008. The current efforts to boost defence budgets do more than simply buck the trend: they look like they will have a visible effect on real spending over coming years in some key European states. Yet such reports should also not be overblown: what this buys Europe in terms of output is as yet uncertain. In parallel, some European countries have in fact embarked on further cuts. As such, the overall picture as yet far from clear.

 

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:50
Defence spending 2014: the EU picture

 

Back in 2012, when NATO Secretary-General Anders Fogh Rasmussen said that “there is a price to pay for security, but the cost of insecurity can be much higher,” there were few who fully grasped just how accurate his warning was. For many years, European defence budgets have largely been spiralling downward following decisions which now seem somewhat unwise given the rapid deterioration of Europe’s security environment.

That said, there was arguably little to indicate that heavy investments in the military were necessary, and the financial crisis did its bit, too, to dampen enthusiasm for military spending.

 

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:50
Putting numbers on capabilities: defence inflation vs. cost escalation

 

Imagine a world without weapons: no battle tanks, no combat helicopters, no nuclear submarines – a world at peace, presumably. This world might soon come true if we believe what US aerospace businessman Norman R. Augustine famously predicted in 1983, namely that “in the year 2054, the entire [US] defence budget will purchase just one aircraft”.

Very little has changed since then: costs for defence equipment are still skyrocketing while, in parallel, our defence budgets have largely slid into a downward spiral. The world, however, has hardly become more peaceful – especially in Europe’s neighbourhood. As a result, a better understanding by policymakers of the relation between (cripplingly) expensive capabilities and complex security challenges appears to be much in need.

 

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:50
European defence collaboration – Back to the future

 

With the EU facing increasingly hostile environments to its east and south, defence collaboration is once again back at the centre of European integration efforts. In December 2013, the European Council held a debate on defence for the first time since the entry into force of the Lisbon Treaty.

In its conclusions, the European Council identified priorities for stronger cooperation: improving EU rapid response capabilities, enhancing the development of military capabilities, and bolstering Europe’s defence industry. After decades of defence cutbacks across the continent, there are a growing number of shortfalls in European military capabilities.

 

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:35
Militant Attack and Support Zones in Afghanistan: April - September 2015 - ISW

 

Sep 18, 2015 - Institute for the study of war
 

Taliban elements and other militant groups are conducting operations across Afghanistan, including spectacular attacks against major population centers and U.S. bases. The Haqqa­ni Network, a Taliban aligned-group, continues to pressure the ANSF and NATO forces with spectacular attacks in Kabul and Khost. Taliban elements are also conducting numerous ground assaults to seize district centers, especially in northern and southern Afghanistan. These campaigns comprised the 2015 warm weather from April 2015- September 2015. There have been several notable developments following the announcement of the death of Mullah Omar onJuly 29. First, Taliban militants have claimed control of two district cen­ters in Helmand on August II and August 26. Second, ISIS's Wilayat Khorasan have claimed control of seven district centers in Nangarhar over the course of July and September. Third, Taliban infighting has escalated as different factions compete and express varying positions on who should lead the Taliban movement.

 

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:30
75 rebelles entraînés par les Etats-Unis entrés en Syrie depuis la Turquie

 

20 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - 75 rebelles syriens entraînés en Turquie par les Etats-Unis pour combattre le groupe jihadiste Etat islamique (EI) sont entrés en Syrie, a indiqué dimanche l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

 

75 nouveaux combattants entraînés dans un camp près de la capitale turque (Ankara) sont entrés en Syrie dans la province d'Alep (nord) entre vendredi et samedi matin, a déclaré à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de cette ONG qui dispose d'un vaste réseau de sources dans ce pays en guerre.

 

Le groupe doté d'armes légères et de munitions est entré en Syrie à bord d'un convoi de véhicules, sous la protection des forces aériennes de la coalition internationale qui combat l'EI, selon l'OSDH. Les 75 rebelles doivent collaborer avec deux groupes soutenus par les Etats-Unis, dont la Division 30.

 

Washington a commencé au printemps à former et équiper des rebelles syriens décrits comme modérés pour combattre l'EI en Syrie mais le programme n'a pas réussi à décoller.

 

Le commandant des forces américaines au Moyen-Orient, le général Lloyd J. Austin, a récemment reconnu que seuls quatre ou cinq rebelles syriens formés et équipés par Washington combattaient effectivement sur le terrain. Seuls 54 avaient été formés. Des sénateurs républicains avaient alors qualifié ce programme d'entraînement de rebelles syriens d'échec total et de blague.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

September 19, 2015 by CJTF-OIR - Release # 20150919

 

Military Airstrikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA – On Sep. 18, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted five airstrike using fighter and ground-attack aircraft. Separately in Iraq, coalition military forces conducted 12 airstrikes coordinated with the government of Iraq using, fighter, fighter-attack, bomber, and remotely piloted aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Tal Abyad, one airstrike struck an ISIL tactical unit and destroyed three ISIL fighting positions.

• Near Al Hasakah, one airstrike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL fighting position.

• Near Al Hawl, one airstrike struck an ISIL tactical unit and destroyed two ISIL bunkers.

• Near Dayr Az Zawr, one airstrike destroyed an ISIL check point.

• Near Mar’a, one airstrike struck an ISIL tactical unit.

 

Iraq

• Near Al Baghdadi, one airstrike struck an ISIL tactical unit.

• Near Bayji, two airstrikes struck an ISIL tactical unit and destroyed one vehicle.

• Near Haditha, one airstrike struck an ISIL tactical unit, and destroyed an ISIL sniper position and two ISIL buildings.

• Near Kirkuk, one airstrike suppressed ISIL mortar fire.

• Near Kisik, two airstrikes struck an ISIL tactical unit, and destroyed ISIL mortars, an ISIL cache, an ISIL fighting position, and two ISIL vehicles.

• Near Mosul, two airstrikes struck an ISIL tactical unit, and destroyed an ISIL heavy machine gun, an ISIL fighting position and suppressed ISIL rocket fire.

• Near Ramadi, one airstrike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL motorcycle

• Near Sinjar, two airstrikes struck an ISIL tactical unit, destroyed an ISIL light machine gun and four ISIL fighting positions and suppressed light machine gun fire.

 

Airstrike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted airstrikes in Iraq include Australia, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, United Kingdom and United States. Coalition nations which have conducted airstrikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates and the U.S.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 07:55
Le programme pour les journées européennes du patrimoine de la BSPP

 

source BSPP
 

Les 19 et 20 septembre, les sapeurs-pompiers de Paris vous attendent nombreux pour vous faire découvrir quelques-unes de leurs plus anciennes casernes : Chaligny, Port-Royal et Sévigné ! Ces centres de secours vous proposeront une visite guidée avec présentation des engins de secours, découverte de l’univers des sapeurs-pompiers de Paris, leur quotidien et quelques anecdotes historiques !

 

Centre de secours Chaligny : 26, rue de Chaligny, 75012 Paris

Métro : Reuilly Diderot

De 9h30 à 19h   

 

Centre de secours Port-Royal : 55, boulevard de Port Royal, 75013 Paris

Métro : Port-Royal

De 10h à 18h   

 

Centre de secours Sévigné : 7, rue de Sévigné, 75004 Paris

Métro : Saint-Paul

De 10h à 18h

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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 16:40
Missile balistique intercontinental Topol-M photo RIA Novosti. Alexander Kriazhev

Missile balistique intercontinental Topol-M photo RIA Novosti. Alexander Kriazhev

 

September 19, 2015: Strategy Page

 

On August 22nd Russia conducted another successful test of its RS-12M (RS-24/ Topol-M) ICBM. While this is an older (late 1980s) ballistic missile design it is still in service. Only about a hundred were built and 72 are installed in silos. As is Russian (and American) custom some silo based ICBMs are periodically fired for quality control purposes. The Russians used to fire the test missiles from their actual combat silos but now follow the American method of moving the missile to a test launch site. In this case it was Kapustin Yar in southern Russia. The RS-12M test sent the missile 10,000 kilometers to a missile testing site rented in Kazakhstan. The test warhead his its target area.

 

Originally the RS-12M ICBM was going to replace hundreds of older liquid-fueled ICBMs. But the end of the Cold War in 1991 and the sharp cuts in defense spending wrecked that plan. Since then an upgraded version of the RS-12M ICBM was developed and this one is replacing those older Cold War era ICBMs. Russia believes RS-24 is a worthy successor to the venerable, reliable and aging RS-18s. Reinforcing that attitude is a string of successful RS-24 test firings. Russia began deploying RS-24s in 2010. In 2013 the program to replace RS-18s with RS-24s accelerated, indicating a high degree of confidence in the RS-24 and enough cash to retire the RS-18s and build RS-24s to replace them. The 106 ton RS-18 is a 24.5 meter (76 foot) long missile that uses storable liquid fuel, meaning that the missile is inherently more complex than a solid fuel missile. But that also means you don’t require hours of preparation to fuel the missile. The RS-18 entered service in 1975, and it wasn't until the 1980s that Russia began producing reliable solid fuel rocket motors large enough for ICBMs like the 45 ton RS-12M. The last RS-18s were manufactured in 1990 and Russia expects each RS-18 to last 30 years if well maintained, regularly refurbished and needed badly enough.

 

The RS-18 was developed as a "light" ICBM, in effect, a competitor for the U.S. Minuteman series. The RS-18 was the first Russian ICBM to carry MIRV (multiple independently targeted reentry vehicles). The current RS-18 carries six warheads and has a range of 10,000 kilometers. RS-12M has a max range of 11,000 kilometers. Russia is also extending the life of its heavier (217 ton) RS-20 ICBMs to 30 years. This missile carries ten warheads and is also being converted to launch satellites. Eventually RS-12M will probably replace this one as well.

 

In 2009 Russia announced that the latest version of the Topol series, the RS-24, had entered service. The RS-24 appears to be a slightly heavier version of the 46 ton RS-12M1/M2. The RS-24 is being deployed in silos as well as on wheeled vehicles. The RS-24 carried more warheads (up to ten) than the Topol-M. The Russians developed the RS-24 to enable them to use all the additional warheads to penetrate American missile defenses.

 

At one point Russia planned to develop a liquid-fuel ICBM to replace its RS-18 and RS-20 (SS-18) ICBMs. The prototype was built but not tested. Russia had also announced plans to replace the old liquid-fuel missiles with the Topol M and this plan is apparently being implemented with the RS-24. This depends on being able to avoid cut to the defense budget despite sanctions and low oil prices. As Russia learned in the 1980s, economic fundamentals win in the end. The Soviet Union dissolved in large part because it was broke.

 

It was never explained why Russia is sticking with liquid-fuel technology for the Cold War era “heavy” missiles. It might have something to do with the liquid-fuel missiles being able to lift heavier loads, making it possible to use them to also launch satellites. The liquid fueled missiles weighed 100-220 tons and had warhead weights of 5-9 tons. In contrast, all American ICBMs (including those launched from subs) are solid fueled and have a warhead weight similar to the RS-12M (about a ton). Russian SLBMs (Sea Launched ICBMs) also have the one ton warhead.

 

Russia continues to test launch older RS-18 and RS-20 ICBMs. Russia still has over a hundred (out of a 1980s peak of 360) RS-18s in service and expects to keep some of them active into the next decade or until replaced by the new design. The test firings for most of the last decade have been successful, and other quality-control tests have come back positive. Despite the post-Cold War collapse of the Russian military, cash and quality personnel kept going to the missile forces, which are the final defense of the largest nation on the planet.

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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 11:55
Saint Raphaël, patron du renseignement

Saint Raphaël, patron du renseignement

 

18/09/2015 Armée de Terre

 

Ce 18 septembre, la brigade de renseignement (BRENS), ses régiments et formations sont réunis pour célébrer la Saint-Raphaël. L’occasion de revenir sur les origines de l’intronisation de l’archange comme protecteur du renseignement.

 

Selon la Bible, Tobie, un Israélite de la tribu de Nephtali, est envoyé par son père aveugle recouvrir une dette en Médie. Au cours de ce voyage, Tobie rencontre sa future femme Sara et pêche un poisson dont le cœur, le foie et le fiel vont permettre de guérir la cécité du père.

Tout au long de sa mission, Tobie est guidé par Raphaël qui utilise déjà l’ensemble des savoir-faire qui caractérisent aujourd’hui les militaires de la BRENS : infiltration en zone ennemie, maîtrise de l’environnement, opportunité, éclairage, humilité et discrétion. Autant d’éléments qui expliquent pourquoi l’archange Raphaël, guide et protecteur de Tobie, a été désigné saint patron du renseignement.

Le 28 septembre 1989, Monseigneur Dubost, évêque aux armées françaises, intronise Saint-Raphaël comme le saint patron de l’Ecole interarmées du renseignement et des études linguistiques. Le 15 avril 1998, il décide, par décret, d’étendre la protection de Saint Raphaël à l’ensemble des unités et services du renseignement militaire.

Saint-Raphaël, dont le nom signifie « Dieu nous guérit » ou «  le remède de Dieu » est l’un des trois archanges avec Gabriel et Michel. Il n’apparaît dans la bible qu’une seule fois dans le « livre de Tobie ». Jusqu’en 1969, la fête de Saint-Raphaël est arrêtée au 24 octobre mais le pape Paul VI décide de rassembler la fête des trois archanges le 29 septembre.

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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 11:55
Snecma installe un nouveau banc d’essais à Istres

 

18/09/2015 Armée de l'air  - Economie et technologie

 

Un nouveau banc d'essai a été installé sur la base aérienne 125 d'Istres pour assurer le développement des nouveaux moteurs de la société Snecma du groupe Safran.

Nouveau banc d'essais de Snecma

 

L’implantation historique, dès 1962, du centre d’essais en vol de Snecma sur la base aérienne d’Istres au sein de la direction générale de l’armement (DGA), a permis le développement des moteurs de tous les avions de combat de Dassault Aviation (Mirage F1, Alphajet, Mirage 2000, Rafale) et dernièrement et jusqu’en 2012, celui du TP400 de l’A400M d’Airbus.

 

Le premier banc d’essais déjà existant a également été adapté pour accueillir le Silvercrest, moteur du futur Falcon 5X de Dassault Aviation. « Avec l’aide du ministère du Logement, de l'Égalité des territoires et de la Ruralité, de la région, du département, de Ouest-Provence et du pôle Pégase, nous avons ainsi choisi d’implanter à Istres ce second banc à l’air libre », précise un porte-parole de Snecma.

 

Ce nouveau banc de plus de 100 tonnes s’articulera autour d’un pylône de 18 mètres de hauteur. Il disposera d’une structure inédite à deux têtes, qui permettra d’installer des moteurs d’architectures différentes et sera équipé d’un système d’acquisition de données de 1 200 lignes de mesure (à travers 9 200 mètres de fibre optique) : consommation de carburant, comportement dynamique et mécanique, acoustique, etc. Pour optimiser le recueil et l’analyse des données d’essais, un nouveau bâtiment de contrôle de 660 m2 sera implanté à proximité du banc.

 

Opérationnel pendant au moins 30 ans, ce nouveau banc intégrera des innovations inhérentes à la haute technicité des moteurs qui y seront testés (pièces composites, carter tournant, pales contrarotatives, réducteurs, mesures sans contact, télémesure…).

Lancement officiel des travaux du nouveau banc

Snecma installe un nouveau banc d’essais à Istres
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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 11:50
photo Composante Marine - MIL.be

photo Composante Marine - MIL.be


18.09.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

C'est, comme on dit, dans les tuyaux: selon mon excellent collègue de l'agence Belga, Gérard Gaudin, la Belgique devrait participer à partir de début octobre et durant six semaines à l'opération navale européenne en Méditerranée [EUNAVFOR MED] avec la frégate Leopold 1, l'un des deux navires de cette classe en service dans la Marine belge.

La frégate belge devrait ensuite participer à partir de la mi-novembre "durant environ quatre semaines à la Task Force internationale" qui croise dans le Golfe persique. Selon Belga, "le navire aura un rôle d'escorte du porte-avions Charles de Gaulle" qui pourrait effectuer un nouveau déploiement en Méditerranée, son aviation embarquée bombardant des objectifs de l'Etat islamique (EI) en Irak et certainement aussi en Syrie.

Entre février et avril dernier, le PA français avait déjà été déployé et ses avions (SEM et Rafale) avaient été engagés en Irak. Une frégate britannique, le HMS Kent, avait rallié le groupe aéronaval pour assurer la mission la lutte anti-sous-marine.

Selon Belga, Paris n'a pas encore répondu formellement à l'offre belge. Ce que confirme l'EM de la Marine nationale.

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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 07:56
Les experts de la cyberdéfense se donnent rendez-vous à Paris

 

03/09/2015 Ministère de la Défense

 

Le premier colloque international #CyberDef 2015 organisé par le ministère de la Défense se tiendra le 24 septembre à Paris. Il réunira des hauts responsables de la cyberdéfense, des experts internationaux et des universitaires.

 

Le 24 septembre sur le site de l’École militaire (Paris) se tiendra le premier colloque international #CyberDef 2015 organisé par le ministère de la Défense avec le soutien d’industriels français. La thématique abordée pour cette première édition,  « la cyberdéfense au cœur des opérations », illustre l’investissement du ministère de la Défense dans ce domaine de lutte. Elle permettra de mieux cerner les implications et les enjeux de la présence du cyber dans les opérations militaires.

#CyberDef 2015 rassemblera les hauts responsables de la cyberdéfense, les experts internationaux issus d’une vingtaine de pays alliés, les responsables de la Défense, les experts universitaires, les représentants d’organisations internationales (Otan, Union européenne) et les entreprises du monde entier, afin de croiser les expériences et les connaissances de chacun.

 

Des challenges pour évaluer le niveau de connaissance des futurs ingénieurs

Le colloque s’articulera autour de conférences plénières portant sur l’évolution des menaces et sur la place du combat numérique dans le cadre d’opérations militaires, ainsi que d’ateliers sur l’interopérabilité entre partenaires, la formation et l’entraînement à la gestion de crise cyber. Des experts de plusieurs pays animeront l’ensemble de ces travaux.

À cette occasion, la Direction générale de l'armement (DGA) et l’État-major des armées (EMA Cyber) lancent, pour la première fois en 2015, deux challenges destinés aux étudiants d’écoles d’ingénieurs civils et militaires. Il s’agit d’évaluer le niveau de connaissance des futurs ingénieurs civils et militaires, tester leurs aptitudes à lutter contre les attaques informatiques et commencer à fédérer un réseau international de futurs experts en cyberdéfense.

 

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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 07:55
Retrouvez l’armée de l’air aux Journées européennes du patrimoine 2015



 18/09/2015 Armée de l'air

 

De nombreuses bases aériennes ouvrent les portes de leur patrimoine culturel à l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2015, les 19 et 20 septembre prochains. Le thème retenu cette année est "Le patrimoine du XXIe siècle, une histoire d’avenir".

 

Pour cette 32e édition, la Défense, deuxième acteur culturel de l’État, invite le public à découvrir plus d’une centaine de sites et de hauts lieux du patrimoine militaire français qui proposent, pour l’occasion, de nombreuses visites, ateliers pédagogiques et expositions de matériel. En 2014, les édifices militaires ont accueilli plus de 200 000 visiteurs.

À cette occasion, des bases aériennes et des détachements air vous proposeront des visites historiques. 

Pour de plus amples informations sur les activités proposées consultez le site du ministère de la Culture et de la Communication.

Rendez-vous sur les bases aériennes !

Base aérienne 102 de Dijon

  19 et 20 septembre 2015
  Le samedi de 14h à18h et le dimanche 10h-12h et 14h-18h
  - Visite des 3 espaces du musée de la base avec son Mirage 2000 Cristal
  - Remise d'une plaquette souvenir sur l'histoire de la BA 102
  - Présentation du Mirage III des "Chevaliers du ciel"

Base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac

  19 et 20 septembre 2015
  - Visites guidées en bus de la base aérienne à travers ses monuments d’infrastructure
  - Visites guidées de l’espace "traditions"
  - Exposition statique d’une vingtaine d’avions mythiques de chasse et de transport pour faire revivre l’épopée industrielle et technologique qu’a connue la région Aquitaine de la période post-seconde guerre mondiale, soit 1945, aux années 90. Chacun des avions sera associé autant que possible à une automobile de la même époque de préférence de marque française.

Base aérienne 115 d'Orange

  Samedi et dimanche de 09h à 12h et de 13h30 à 17h
  Visite du musée de la base dénommé « Musée Caritat »
  Le musée se trouve sur la base, en zone vie tout près de l’entrée base et est donc facile d’accès au public.

Base aérienne 118 de Mont-de-Marsan

  - Exposition statique d’aéronefs
  - Visite de l’Espace Patrimonial Rozanoff (musée de la base aérienne et du centre d'expertise aérienne militaire)
  - Exposition dynamique par l’équipe cynophile

  Sur inscription uniquement au 05 58 46 78 53

Élément air rattaché 279 de Chateaudun

  19 et 20 septembre de 9h30 à 17h

  Baptêmes de l'air à l'Aéro-club Jean Fournier
  Entrée libre avec pièce dʼidentité

Base aérienne 702 d'Avord

  Musée de la base aérienne 702 d’Avord
  Route de Bourges - 18520 Avord
  Informations au : 02 48 68 41 65
  Courriel: lescopains.avord@orange.fr
  • Horaires des visites :
  Samedi : de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00
  Dimanche : de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00
  ● Durée de la visite : 1h30
  Point de départ de la visite : entrée principale de la base aérienne
  Visite gratuite, commentée par groupe composé de 28 personnes
  ● Public concerne : adultes et enfants
  Partiellement accessible aux personnes à mobilité réduite
  Pas d’inscription préalable

Base aérienne 709 de Cognac-Châteaubernard

  Le musée aéronautique de la BA 709 est ouvert au public les 19 et 20 septembre :
  - Horaires : 10h00 – 12h00 et 14h00 – 18h00
  - Description des animations des Journées européennes du patrimoine :
  1- Visite commentée du musée aéronautique : histoire de la base aérienne 709 depuis sa création en 1938 à nos jours.
  2- Expositions d’avions anciens et divers objets aéronautiques
  3- Exposition de véhicules et matériels de la seconde guerre mondiale.
  4- Exposition de tenues de pilotes
  5- Exposition de maquettes et peintures sur le thème de l’aéronautique
  Réservation préalable : 05. 45.32.73.56 (heures ouvrables)
  Pièce d’identité obligatoire

Base aérienne 722 de Saintes

  Afin de faire découvrir ses missions au public, l’école organise pendant ces 2 jours des visites à partir de 13h30 avec au programme :
  - Visite de la salle «traditions», véritable musée de notre école ;
  - Visite du Hangar aéronautique et de l’atelier des moteurs ;
  - Présentation de l’Armée de l’air et de l’historique des promotions des élèves techniciens.

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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 07:30
Un an de frappes françaises en Irak

La France a engagé en février 2015 son porte-avions «Charles-de-Gaulle» dans les opérations de la coalition internationale contre le groupe Etat islamique (EI) en Irak. - photo EMA

 

19.09.2015 Par Olivier Fourt - RFI

 

Sur le papier, la France ne pèse pas lourd. Depuis l’an dernier, la France a mené officiellement 218 frappes en Irak, sur les 4 330 menées par l’ensemble de la coalition, soit 5 % des bombardements.

 

Aujourd’hui, la France engage 12 avions de combat au total, répartis sur deux bases aux Emirats Arabes Unis et en Jordanie. Mais si plus de 1 000 missions aériennes ont été enregistrées côté français, 80 % des sorties françaises sont des vols de reconnaissance ou de ravitaillement, et c’est bien là le principal objectif de la mission « comprendre pour être plus efficace ».

Comparés aux pays européens, l’armée de l’air française a mené un peu moins de raids aériens que les Britaniques et les Hollandais. Si la France fait partie de la coalition, dirigée par les Etats-Unis, elle ne bénéficie pas formellement de tous les renseignements délivrés aux plus proches alliés des Etats-Unis dans le cadre de l’Otan, au sein du groupe dit des « Five eyes » qui rassemble Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et Etats-Unis. Mais Paris se réserve toujours un droit de véto sur les cibles à attaquer en Irak. Un officier français inséré dans le centre des opérations aériennes d'Al-Oudeid, au Qatar, peut a tout moment refuser qu’une frappe soit menée par l’aviation française.

 

Discrétion de l'état-major français

En douze mois d’opérations, l’état-major français est resté très discret sur les cibles qui ont été visées, des positions de Daesh, des bâtiments, des engins de chantier, une barge fluviale ou encore une usine de soda transformée en site de fabrication de bombes artisanales… Au total de 353 objectifs détruits, annonce l’état-major, qui ne donne jamais d’évaluation du bilan humain.

Si le nombre de frappes alliés sur l’Irak n’a cessé d’augmenter depuis début 2015, les résultats sur le terrain se font attendre. En Irak, la progression du groupe Etat islamique a été enrayée, mais l’armée irakienne ne semble pas en mesure de reconquérir les zones tenues par Daesh. L’offensive sur Mossoul, un temps annoncée pour l’été 2015, n’a pas eu lieu.

Dans cette région, ainsi qu’autour de Baiji, « Daesh suit une stratégie de harcèlement, alors que des combats plus durs ont été signalés ces derniers temps dans la région de Fallujah », affirme l’état-major français.

Le surcoût lié à l’opération Chammal en Irak est estimé à 250 millions d’euros par an, soit plus de 4,5 millions d’euros par semaine. Les chiffres officiels n’ont pas encore été rendus publics.

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