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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 07:50
Drones : Un marché qui devrait doubler en dix ans

 

10 Août 2014 par Mathieu M. - generation-nt.com

 

Qu'on s'en inquiète ou qu'ils nous indiffèrent, les drones sont voués à s'installer dans notre vie active pour les années à venir. Un nouveau rapport indique ainsi que l'industrie liée aux drones devrait véritablement exploser dans les dix années à venir.

Actuellement, on estime à 6,4 milliards de dollars les sommes dépensées chaque année pour le développement des technologies liées aux drones à travers le monde. Un rapport publié par la Teal Group Corp, une société de recherche en aérospatial spécialisée dans les marchés de la défense, indique ainsi que le marché cumulé des drones commerciaux et militaires pourrait atteindre 11,5 milliards de dollars par an d'ici 2024.

 

Au cours des dix années à venir, ce sont 91 milliards de dollars qui devraient être investis dans le développement, les tests et la validation des technologies des drones.

 

C'est principalement le domaine de la défense qui devrait concentrer la majeure partie des investissements. L'armée américaine utilise déjà une large gamme de modules volants non habités pour ses différentes missions de surveillance, mais aussi pour des frappes stratégiques et de l'appui aérien.

 

Les USA ont également déjà commencé des tests sur la conversion d'anciens avions de chasse en modèles totalement contrôlables à distance ou autonomes. Le développement d'avions capables de remplacer un jour les pilotes est également bien avancé avec le programme X-45 Phantom Ray mené par Boeing et le X-47 Pegasus dirigé par Northrop Grumman.

 

Concernant le domaine civil, le marché ne représenterait actuellement que 11 % du total des technologies liées aux drones. Néanmoins, il faut s'attendre à voir les investissements augmenter dans les années à venir, le marché civil pouvant dépasser les 14 % du marché total  d'ici 2024.

 

Le rapport sépare l'usage de drones civils dans trois grandes catégories :

 

Les drones des gouvernements : Dans les dix années à venir, on devrait constater plus de drones utilisés dans le cadre de la surveillance des frontières, l'assistance aux forces de l'ordre, les programmes de recherche sur la vie sauvage.

 

Les drones commerciaux : Ils devraient être majoritairement utilisés dans l'agriculture, la cartographie aérienne, la prospection de ressources minières.

 

Les drones de loisir : Les drones volants se présentent comme un marché juteux pour les industriels visant le grand public. De quelques centaines à plusieurs milliers d'euros, les drones de loisir s'adressent de plus en plus aux simples amateurs comme aux professionnels de la prise de vue aérienne.

 

Malgré tout, le rapport stipule que l'évolution du marché du drone concernera avant tout les applications militaires et de défense. Principalement par le fait que les technologies les plus avancées devraient rester financièrement parlant hors de portée des consommateurs.

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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 07:35
Le Japon et les Etats-Unis vont développer en commun un drone sous-marin

 

8 août 2014 portail des Sous-Marins

 

Le ministère japonais de la défense et l’US Navy prévoient de lancer un projet commun de recherche afin de développer un drone sous-marin pouvant mener pendant 30 jours des activités de surveillance et d’alerte, a appris le quotidien japonais The Yomiuri Shimbun.

 

Les 2 pays souhaitent en particulier développer une pile à combustible pour le drone sous-marin. La principale mission du drone sera de recueillir des informations sur la marine chinoise qui accélère la modernisation de ses sous-marins.

 

Le ministère japonais de la défense prévoit de dépenser environ 25 millions $ pour ce projet, entre 2014 et 2018.

 

Le drone sous-marin, d’une longueur de 10 m, sera conçu pour pouvoir rester en plonger pendant environ 30 jours.

 

Référence : Asia News Network

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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 07:55
Avec ses drones Reaper, l'armée de l'air "dispose de ce qui se fait de mieux au monde"

 

29/07/2014 Jean Guisnel / Défense ouverte - Le Point.fr

 

Le site du crash du vol AH5017 d'Air Algérie a été retrouvé par un drone Reaper français. Le lieutenant-colonel Christophe "Tarazboulba" Fontaine, commandant l'escadron des drones, nous explique l'apport de ces engins.



La France a beaucoup tardé à s'équiper de drones Male (moyenne altitude, longue endurance) à hautes performances et s'est trouvée contrainte d'en acquérir aux États-Unis. En service depuis janvier 2014 et déployés à Niamey (Mali), deux drones Reaper font chaque jour la preuve de leurs performances exceptionnelles.

 

Le Point.fr : Vous commandez l'unique escadron de drones français, le 1/33 Belfort, basé à Cognac ChâteauBernard. De combien d'appareils dispose votre unité ?

 

Christophe "Tarazboulba" Fontaine : L'escadron compte actuellement deux systèmes Harfang, avec deux cockpits (postes de pilotage) et quatre avions, ainsi qu'un système Reaper avec un double cockpit et deux avions. Je dispose donc de six avions et de trois cockpits permettant de piloter et de commander les capteurs de ces drones Male. Le système Reaper est intégralement déployé en opérations extérieures, de même qu'un système Harfang. Le deuxième système Harfang se trouve en France, où il a participé aux dispositifs particuliers de sûreté aérienne déployés dans le cadre des cérémonies du 6 juin et du 14 juillet.

 

En quoi les drones changent-ils le "métier" de la reconnaissance dans l'armée de l'air française ?

Jusqu'alors, nous n'étions pas capables d'assurer la persistance de la surveillance d'une cible et de son environnement. Les avions et les satellites prennent par intermittence des images d'un objectif. Avec les drones, et le positionnement de l'équipage au sol, on peut rester parfois plus de vingt-quatre heures en vol. En ce sens, le métier a changé. Le recueil est devenu persistant. De plus, avec des appareils comme le Mirage F1CR, on attendait jusqu'à présent que l'avion revienne sur sa base pour exploiter les images, le Rafale pouvant quant à lui les retransmettre dans certaines conditions directement en vol. Mais avec le drone, les images sont diffusées en temps réel et en continu dans toute la chaîne de commandement.

 

Les derniers avions français spécialisés dans la reconnaissance, les Mirage F1 CR, viennent d'être retirés du service. Vous n'avez donc plus besoin de reconnaissance de ce type ?

Pas du tout... Dans mon escadron, on a certes remplacé les F1 CR par des drones. Mais on a toujours besoin d'assurer cette fonction, la reconnaissance tactique. C'est en ce sens que l'armée de l'air parle d'un passage de témoin entre le Mirage F1 CR et le Rafale équipé du pod RECO-NG. Un drone a d'immenses qualités. Pourtant, il reste vulnérable aux mauvaises conditions météo et a besoin que la supériorité aérienne soit acquise. Dans un environnement très hostile, il ne volerait pas très longtemps... De plus, il faut être en mesure de garantir la supériorité cybernétique, car nous utilisons des liaisons satellites qui doivent être sûres. Ainsi, il est nécessaire de disposer d'avions de chasse qui ont des capacités très supérieures de manoeuvrabilité, de survivabilité et d'autoprotection. Dans le futur, des drones de combat pourraient éventuellement compléter ces moyens dans un espace aérien très contesté.

 

La loi de programmation militaire (LPM) 2004-2019 pronostique l'entrée en service de nouveaux drones Male. Où en est-on ?

La LPM prévoit deux systèmes de drones Male en 2017 et deux autres en 2019. Pour un total de quatre systèmes en service en 2019, avec douze drones Male. La connaissance et l'anticipation restent une priorité des armées, et de l'armée de l'air.

 

Les performances du MQ-9 Reaper sont supérieures à celles du SIDM Harfang. Pouvez-vous les préciser ?

Ce sont deux engins très différents. La mise en oeuvre du Reaper - beaucoup plus moderne - est nettement plus rapide. Les cycles de maintenance sont simplifiés. L'avion vole beaucoup plus haut et beaucoup plus vite. Le moteur de 100 CV à pistons du Harfang devient un turbopropulseur de 900 CV sur le Reaper. Ce dernier fait 4,750 tonnes quand le Harfang fait 1,25 tonne. En emport de carburant, de capteurs, cela n'a rien à voir. Et en vitesse non plus : le Reaper est deux fois plus rapide et vole deux fois plus haut. À endurance égale (vingt-quatre heures d'autonomie en vol), le Reaper passe beaucoup plus de temps sur la zone de recueil. Concernant les performances des deux machines, imaginez qu'elles sont aussi différentes que celles d'un téléphone à touche traditionnel et d'un smartphone. On dispose ainsi de ce qui se fait de mieux au monde. J'attire aussi votre attention sur la rapidité avec laquelle les choses sont faites. La décision d'acquisition a été prise en mars 2013, le contrat a été signé en juillet, les appareils livrés le 27 décembre et le premier vol a eu lieu le 16 janvier 2014. C'est exceptionnel... On n'avait pas vu ça depuis la livraison des P-38 en 1943 !

 

Qui sont les pilotes des drones ?

Tous les pilotes de Reaper étaient déjà des pilotes de Harfang et tous sont des personnels navigants de l'armée de l'air, pilotes de chasse pour la plupart. Ou navigateurs de combat, pour les opérateurs-capteurs. Ces personnels excellemment formés sont indispensables pour plusieurs raisons. Déployés en zone de guerre, ils doivent posséder une culture militaire et tactique, car ils volent dans un espace aérien où ils ne sont pas tout seuls. Ils volent au milieu de Rafale ou de Mirage 2000 armés, avec des hélicoptères, ils doivent s'intégrer dans une circulation aérienne complexe. Ils doivent aussi se coordonner avec les troupes au sol, leur livrer des informations tactiques, voire "illuminer" des cibles pour les armées guidées par laser, comme cela s'est fait au début de Serval avec le Harfang. Ce n'est pas de l'aéromodélisme grandeur nature, c'est du pilotage de combat ! Avec des avions de vingt mètres d'envergure (17 mètres pour le Harfang) qu'il faut poser sur une piste au milieu d'autres aéronefs..., les qualifications de pilote à distance sont indispensables et requises !

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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 07:30
Gel des Contrats entre la Russie et Israël pour la Fourniture de Drones.

 

07.08.2014 Eyal Kaddosh (Tel Aviv) – Israel Valley

 

Poutine ne va pas être bien content. Poussé par les américains, Israël n’a pas le choix. Un arrêt temporaire des ventes de drones a été mis en place par les autorités israéliennes.

 

Selon des sources Russes : "Le ministère israélien de la Défense a demandé à toutes les sociétés israéliennes qui participent à la fabrication des drones de ne pas commencer ou continuer les pourparlers sur d’éventuels contrats avec la Russie dans ce domaine, rapporte l’hebdomadaire britannique Flight International.

 

Selon le ministère, un rôle important dans cette décision a été joué par Washington suite à la situation en Ukraine. Deux sociétés israéliennes travaillaient avec les contrats russes. Moscou a déjà reçu une partie des drones commandés.

 

La nouvelle directive concerne uniquement la conclusion des nouveaux contrats. La poursuite de la coopération sur les contrats qui sont en cours n’est pas interdite, notamment en ce qui concerne la livraison des pièces de rechange et la modernisation du matériel fourni précédemment".

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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 19:20
Warplanes: Super Reaper OrderedWarplanes: Super Reaper Ordered

 

August 9, 2014: Strategy Page

 

The U.S. Air Force has ordered 38 MQ-9 Reaper ER UAVs. This is an upgrade of the original MQ-9 design that allows longer endurance (up to 35 hours) by carrying two fuel tanks (one under each wing) that use a new fuel management system that ensures fuel is taken from the main fuel tank and the two external tanks in such a way that the aircraft does not become unbalanced. The new version also has the engine modified so that it can generate more power on takeoff, enabling the MQ-9 to achieve heavier takeoff weight. The ER version is also getting 20 percent longer wings. Since the wings already carry fuel, this will help increase fuel and endurance to about 42 hours.

 

The original MQ-9 Reaper looked like the earlier 1.2 ton MQ-1 Predator but was larger. The 4.7 ton MQ-9 is an 11.6 meters (36 foot) long aircraft with a 21.3 meters (66 foot) wingspan. It has six hard points and can carry 682 kg (1,500 pounds) of weapons. These include Hellfire missiles (up to eight), two Sidewinder or two AMRAAM air-to-air missiles, two Maverick missiles, or two 227 kg (500 pound) smart bombs (laser or GPS guided). Max speed is 400 kilometers an hour, and max endurance is priginally 15 hours. The Reaper is considered a combat aircraft, to replace F-16s or A-10s in many situations. Most of the 104 Reapers built so far have been for the U.S. Air Force and since introduced in 2007 these Reapers have flown over two million hours.

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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 18:20
Grand Forks AFB Hosts First Integrated UAV Flight

 

Aug. 08, 2014 defense-unmanned.com

(Source: US Air Force 319th Air Base Wing; issued Aug. 01, 2014)

 

GRAND FORKS AFB, N.D. -- The 319th Operations Support Squadron supported a milestone in unmanned aerial vehicle aviation Aug. 1.

 

For the first time, the Federal Aviation Administration authorized two UAVs to operate simultaneously in a traffic pattern of unrestricted airspace.

 

"This is the result of a year and a half of planning between the 119th [Wing], 69th [Reconnaissance Group], 319th OSS and [U.S. Customs and Border Protection]," said Tech. Sgt. Nick Stegman, 319th OSS assistant chief controller.

 

While two unmanned aircraft operating simultaneously in close proximity in the same unrestricted airspace is a first for the base, Stegman emphasized the real significance of the flights.

 

"We're creating a stepping stone for the [Federal Aviation Administration] to integrate UAVs into the national airspace," he said. "This isn't just for us."

 

In further evidence of collaboration, the two MQ-9 Predator Bs that flew belong to U.S. Customs and Border Protection.

 

"To be first to have two unmanned aircraft in the same airspace is something we wanted to do for a while," said Jeffrey Deem, CBP lead flight operations specialist. "Having that restriction off, we are able to have positive outcomes for both the Air Force and Customs and Border Protection."

 

Monitoring the flight was Airman 1st Class Cole Nesbitt, 319th OSS air traffic control journeyman, and Senior Airman Kyle Thwing, 319th OSS air traffic controller. They both recognized the great responsibility they were taking on, as they were solely responsible for keeping the aircraft separate and avoiding a collision.

 

"I think it's awesome to be part of history," said Nesbitt. "Hopefully this will lead to bigger and better things. This is where it starts."

 

For Thwing, the morning's flights held an extra unexpected significance. During the pattern, a manned civilian aircraft requested permission to do a brief runway approach which Thwing seamlessly worked in.

 

This not only meant that the first integration of manned and unmanned aircraft had just taken place; it also earned Thwing his FAA control tower operator certificate.

"I was not expecting that," Thwing said afterward. "You just have to go with it and take opportunities when they come."

 

Leadership of the 319th Air Base Wing, 319th Mission Support Group and 319th OSS were also on hand to watch the proceedings. As they left the tower, they left proud of the accomplishments of both their Airmen and their mission partners.

 

Lt. Col. Jonathan Castellanos, 319th OSS commander, said, "I'm extremely proud of the hard work and professionalism of the 319th OSS controllers in enabling this historic event."

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 16:55
Patroller configuration multi-capteur, optronique avec boule Euroflir 410 et nacelle Comint. (crédit Sagem)

Patroller configuration multi-capteur, optronique avec boule Euroflir 410 et nacelle Comint. (crédit Sagem)


08 Août 2014 par Julien L. - numerama.com

 

La préfecture de police de Paris prévoit d'expérimenter l'usage des drones dans les prochaines semaines. Ces engins doivent notamment permettre de faciliter la collecte de l'information dans des endroits où l'engagement de policiers serait périlleux.

À la faveur d'un certain nombre de faits divers, les drones ont reçu ces derniers mois une importante couverture médiatique. Entre Amazon qui veut tester un nouveau type de livraison et ce jeune lycéen français condamné pour avoir survolé sans autorisation une commune, en passant par des tentatives de ravitaillement en drogue dans les prisons, les histoires ne manquent pas.

 

Des tests dans les semaines à venir

Il faut dire que l'usage de ces aérodynes est en plein développement en France et dans le monde. Signe de cette effervescence, même la préfecture de police de Paris prévoit d'expérimenter ces engins dans les prochaines semaines, selon une une information de l'agence de presse AEF et relayée sur Twitter par Pierre Januel, collaborateur parlementaire auprès d'Europe Écologie Les Verts.

Selon la lettre d'information (.pdf) de la préfecture de police en date du 6 août, ces tests seront organisés par la direction opérationnelle des services techniques et logistiques (DOSTL). Son directeur, Philippe Caron, a indiqué que l'usage des drones peut être envisagé pour "récupérer de l’information dans des zones risquées sans engager des personnels".

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:50
Details of Ukraine UAV requirement revealed

 

29 Jul 2014 By: Beth Stevenson - FG

 

A contract for leased unmanned air vehicle (UAV) services in support of the security mission in Ukraine is expected to be awarded imminently, an industry source reveals.

The Organization for Security and Co-operation in Europe (OSCE) recently issued a solicitation for bids which closed on Friday, 25 July. It stipulates the requirement for a turnkey UAV solution for deployment in the conflicted east of the country.

No further details were provided, although it has now been revealed that OSCE is seeking a vertical take-off and landing platform, preferably for round-the-clock monitoring operations, to be operational within weeks.

Vienna-based Schiebel confirms it has responded to the tender with its Camcopter S-100. However, it is unclear whether any other systems have been offered. Saab’s Skeldar UAV would fulfil the requirement, although the company declines to comment on any bid.

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:50
Italy ponders Hammerhead UAV as Predator replacement

 

31 Jul 2014 By: Luca Peruzzi  -FG

 

Italy is evaluating the Piaggio Aero P1HH Hammerhead unmanned air vehicle (UAV) as a likely replacement for its air force's fleet of General Atomics Aeronautical Systems Predator As from later this decade.

The medium-altitude, long-endurance type is being developed by Piaggio as an unmanned variant of its twin-pusher P180 Avanti II business aircraft, but is yet to attract a launch customer.

However, Gen Gianni Candotti, head of air and space planning at the Italian air force, says the service is keeping a close eye on the Hammerhead's development.

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:45
African order for Horus UAV

 

28 Jul 2014 By: Beth Stevenson - FG

 

Flight Tech has received its first export contract for the Horus FT-100 unmanned air vehicle from an undisclosed African military customer.

The Brazil-based manufacturer will deliver the three aircraft on order in the second half of 2014. The contract also includes options for further deliveries the following year, as well as covering logistical support.

The company’s UAVs were designed in conjunction with the Brazilian armed forces, and this deal marks the first military model to be exported by Brazil.

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:20
US Army to Get New IED Detector Technology

Sandia National Laboratories' highly modified miniature synthetic aperture radar system is being transferred to the U.S. Army to support combat military personnel by uncovering improvised explosive devices. (Photo courtesy of Sandia National Laboratories)

 

04 August 2014 techbriefs.com

 

Detecting improvised explosive devices in Afghanistan requires constant, intensive monitoring using rugged equipment. When Sandia researchers first demonstrated a modified miniature synthetic aperture radar (MiniSAR) system to do just that, some experts didn't believe it. But those early doubts are long gone. Sandia's Copperhead — a highly modified MiniSAR system mounted on unmanned aerial vehicles (UAVs) — has been uncovering IEDs in Afghanistan and Iraq since 2009. Now, according to senior manager Jim Hudgens, Sandia is transferring the technology to the U.S. Army to support combat military personnel.

 

The new technology was developed with the Defense Department's Joint Improvised Explosive Device Defeat Organization (JIEDDO); the U.S. Army Engineer Research and Development Center/Cold Regions Research and Engineering Laboratory (CRREL); the Naval Air Systems Command (NAVAIR); Johns Hopkins University's Applied Physics Laboratory; the Naval Research Laboratory; and Florida-based force protection company AIRSCAN.

 

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:50
nEuron photo Dassault Aviation - A. Pecchi

nEuron photo Dassault Aviation - A. Pecchi

 

18 juillet 2014 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

Furtivité, communications, avionique, capteurs...Ces technologies devront évoluer pour optimiser le drone de combat du futur. Dans un partenariat d'égal à égal, Dassault Aviation et BAE Systems vont mener une étude de faisabilité financée à parité par la France et le Royaume-Uni.

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et son homologue britannique Philip Hammond ont profité du salon aéronautique de Farnborough pour signer, le 15 juillet dernier, un accord de financement concernant le système de combat aérien du futur. Une étude de faisabilité de deux ans dotée d'un budget de 150 millions d'euros financé à parité par les deux états, va être lancée. Dassault Aviation et BAE Systèmes, partenaires industriels de référence de ce programme, espèrent un démarrage du contrat cet automne.

 

Premiers essais en 2020

 

Chacun bénéficie de l'expertise fraîchement acquise à travers des démonstrateurs technologiques de drone de combat, le nEUROn pour l'industriel français et le Taranis pour son partenaire britannique. Ils sont respectivement associés à Snecma et Rolls Royce dans le domaine de la motorisation, ainsi qu'à Thales et Finmeccanica–Selex ES dans le domaine des capteurs embarqués. Le calendrier s'étalera sur plusieurs années : le lancement du programme de démonstration est prévu pour 2016, les premiers essais en vol pour 2020, la mise en service estimée vers 2030. "La coopération que nous venons de sceller se traduira par des programmes d’études, qui porteront sur les technologies les plus déterminantes pour le futur de l’aviation de combat : la furtivité, l’avionique, les capteurs, les communications" a précisé le ministre français.

 

Le député Olivier Audibert-Troin présent à la signature du traité franco-britannique de Farnborough, s’est félicité de cette initiative, estimant qu'acquérir des drones de combat n’est plus abordable aujourd’hui pour un seul pays.

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 11:45
Mali: les Hollandais ont bien déployé des drones ScanEagle


16.07.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Hervé Ladsous, le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l'Onu, était à Gao, le 11 juillet. Il y a rendu visite au contingent onusien sur place. Les Hollandais lui ont présenté leurs Apaches et leurs drones ScanEagle (photo: Marco Dormino).

 

Ces drones sont mis en œuvre par le JISTARC (Joint Intelligence Target Acquisition Surveillance and Reconnaissance Commando), une unité créée en octobre 2010.

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 17:30
Capture d'écran

Capture d'écran

 

15/07/2014 Par Georges Malbrunot – LeFigaro.fr

 

La télévision du Hamas a montré des images d'un drone filmé en plein vol à l'aide d'une caméra attachée à l'appareil, sur les ailes duquel on peut voir ce qui semble être des missiles. Ces avions sans pilote sont le fruit de la coopération engagée par le Hamas, ses parrains iraniens et le Hezbollah à la fin de la décennie 2000.

 

La dernière surprise du Hamas s'appelle «Ababil», du nom du premier drone utilisé par sa branche militaire contre Israël. Tôt lundi, Tsahal a dû lancer un missile Patriot pour neutraliser un avion sans pilote au-dessus de la ville d'Ashdod, à 40 km au nord de la bande de Gaza. Ababil a été détecté puis abattu, a aussitôt précisé la radio militaire israélienne, tandis que les médias du Hamas affirmaient que d'autres drones avaient survolé le ministère de la Défense à Tel-Aviv d'où «est dirigée l'agression contre Gaza». L'État hébreu a démenti ces derniers vols.

 

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 16:50
FARNBOROUGH: Thales develops new missile for UAVs

 

14 Jul 2014 By: Beth Stevenson - FG

 

Thales has introduced a freefall variant of its precision-guided Lightweight Multirole Missile (LMM) suited for integration on a wide range of unmanned air vehicles (UAVs).

The company partnered with Textron Systems around 18 months ago to perform integration of the 6kg munition on-board an undisclosed UAV, which the partnership is now ready to bring to market.

A 70cm- (27.5in) long, 7.6cm-wide munition with a 2kg (4.4lb) warhead that provides a precision strike – including against armoured vehicles – it utilises an inertial navigation system with optional GPS as well as semi-active laser guidance.

 

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 16:40
Russie/Ukraine: l'OSCE envisage d'envoyer des drones à la frontière

 

MOSCOU, 15 juillet - RIA Novosti

 

L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe étudie la possibilité d'utiliser des drones pour surveiller la frontière russo-ukrainienne, a annoncé le président de l'OSCE Didier Burkhalter.

 

Selon un communiqué de presse diffusé par l'organisation lundi soir, M.Burkhalter s'est entretenu de ce sujet avec les chefs des diplomaties russe et ukrainienne Sergueï Lavrov et Pavel Klimkine. Au cours d'un entretien téléphonique, les deux ministres ont approuvé une telle mesure, indique l'OSCE.

 

Ces derniers jours, plusieurs incidents ont été signalés à la frontière entre la Russie et l'Ukraine orientale, théâtre d'intenses combats entre forces loyalistes et brigades populaires des "républiques populaires" autoproclamées de Donetsk et de Lougansk.

 

Samedi 12 juillet, des garde-frontières russes ont été visés par des tirs en provenance du territoire ukrainien. Dimanche, un obus tiré depuis l'Ukraine a touché une maison de la ville russe de Donetsk dans la région de Rostov (à ne pas confondre avec la ville de Donetsk située en Ukraine), faisant un mort et un blessé grave.

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 10:50
démonstrateur nEUROn, photo Dassault aviation

démonstrateur nEUROn, photo Dassault aviation

 

15/07/2014 Par Véronique Guillermard – LeFigaro.fr

 

L'accord signé entre les ministres de la Défense français et britannique vise à lancer une étude de faisabilité d'un démonstrateur de drone de combat. Elle est confiée à Dassault Aviation et à BAE Systems qui se partagent un budget de 150 millions d'euros.

 

La coopération franco-britannique, inscrite au cœur des traités militaires de Lancaster House en 2010, franchit une nouvelle étape. Mardi 15 juillet, Paris et Londres ont officialisé leur intention - déclarée lors du sommet de Brize-Norton fin janvier 2014 - d'assurer l'avenir de l'aviation de combat européenne.

 

Les ministres de la Défense Jean-Yves Le Drian et Philip Hammond (nommé mardi aux Affaires étrangères dans le nouveau gouvernement britannique) ont signé, au Salon aéronautique de Farnborough, des accords qui «permettent l'engagement immédiat d'importants programmes de défense conduits en coopération entre les deux pays».

 

Au cœur de ces accords, le coup d'envoi d'une étude de faisabilité visant à préparer le lancement d'un programme de démonstrateur technologique de Système de combat aérien du futur (FCAS). L'étude est dotée d'un budget de 150 millions d'euros financés à parité par les deux gouvernements. Elle est confiée aux deux industriels compétents de chaque pays: le français Dassault Aviation* et le britannique BAE Systems ainsi que leurs partenaires respectifs Thales et Snecma côté français; Selex et Rolls-Royce, côté britannique. L'étude doit durer deux ans. Les deux équipes impliquant plusieurs centaines de salariés renforceront leurs échanges.

 

En 2016, au vu des résultats de cette phase préparatoire à la définition de ce que pourrait être un système d'aviation de combat du futur, Paris et Londres devront décider d'aller plus loin. D'abord en lançant le développement d'un démonstrateur de drone de combat (UCAS), une des composantes du FCAS. Une phase qui pourrait s'étaler sur quatre ans. Puis, aux alentours de 2020, en engageant un programme opérationnel, l'objectif étant d'être prêt à livrer les premiers aéronefs à l'horizon 2030. Ces chasseurs du futur - drones, avions avec pilotes à bord voire appareils hybrides - succéderont aux avions de combat actuels, le Rafale et l'Eurofighter.

 

Mise en commun des compétences

 

Cet accord «constitue une opportunité historique pour la France et le Royaume-Uni de construire une industrie de défense souveraine sur le long terme», a estimé Jean-Yves Le Drian. «Cette coopération est essentielle» face «aux défis mondiaux de défense et de sécurité» auxquels l'Europe pourrait être confrontée, a déclaré Philip Hammond. En cette période d'extrême tension sur les finances publiques sur le Vieux Continent, Paris et Londres veulent partager l'effort financier et mettre en commun les compétences pour rester aux avant-postes. Cela alors que le reste du monde augmente ses dépenses militaires et que les menaces se démultiplient.

 

Les industriels se sont félicités de cette nouvelle avancée. L'étude de faisabilité «représente une étape clef dans notre partenariat et fournit une feuille de route commune pour la coopération entre nos deux sociétés, qui pourrait finalement conduire à un programme conjoint de Système de combat aérien du futur dans l'avenir», déclarent Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, et Ian king, directeur général de BAE Systems.

 

«Nous avons besoin de cet engagement politique de long terme, car, au-delà de notre situation de rivalité actuelle - avec le Rafale et l'Eurofighter -, nous avons la volonté, avec BAE Systems, de préparer les technologies qui seront utiles pour répondre aux besoins de l'aviation de combat du futur», insiste Éric Trappier. L'étude «va s'appuyer sur le succès de programmes nationaux existants tels que nEUROn en France et Taranis au Royaume-Uni», précisent encore les deux groupes.

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 11:40
Innoprom-2014: un drone russe unique en son genre présenté au public

 

MOSCOU, 9 juillet - RIA Novosti

 

Tchirok, un drone unique et innovant de fabrication russe, a été fois présenté pour la première au public au salon international des technologies Innoprom qui a ouvert ses portes ce mercredi 9 juillet dans la ville d'Ekaterinbourg (Oural), rapporte la Corporation unie de construction d'appareils, conceptrice du projet.

 

"Une technologie de pointe – un châssis sur coussin d'air – permet au drone de décoller en l'absence de piste. Cette conception n'a pas d'analogue dans le monde. Il peut décoller et atterrir sur la terre, l'eau, la neige ainsi que sur des terrains marécageux", a indiqué le service de presse de l'entreprise.

 

Le prototype exposé au salon a déjà passé des tests à Joukovski, près de Moscou. Les appareils de ce type ne sont pas produits en série, précise la source.

 

Le drone Tchirok pourrait être utilisé dans la surveillance des zones de catastrophe naturelle et des routes. Dans le contexte militaire, il peut être employé comme drone de combat engagé dans le transport de bombes, de missiles et de projectiles de haute précision.

 

La masse de l'appareil au décollage est de 700 kg pour une charge utile de 300 kg. D'une portée de 2.500 km, ce drone est capable d'atteindre une altitude allant jusqu'à 6.000 mètres. 

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 07:55
nEuron photo Dassault Aviation - A. Pecchi

nEuron photo Dassault Aviation - A. Pecchi

 

Jul. 10, 2014 By PIERRE TRAN and ANDREW CHUTER – Defense News

 

PARIS AND LONDON — Britain and France plan to sign a memorandum of understanding for the study of a combat drone, bringing their air forces closer to an advanced fighter program worth billions, defense ministry spokespersons of the two countries said.

 

On July 15, during the Farnborough International Airshow, Defense Ministers Philip Hammond and Jean-Yves Le Drian are due to sign the agreement to launch a two-year feasibility study for the high tech combat drone, the French spokesperson said.

 

The unmanned combat aerial system (UCAS) study is seen as a step toward preparing a successor to the Rafale and Typhoon fourth-generation fighters starting around 2035.

 

The memorandum lays the groundwork for a contract around September for an Anglo-French industry group to explore the technology and concepts, the French spokesperson said.

 

Dassault Aviation and BAE Systems will focus on the platform, Rolls-Royce and Snecma on the engine, and Selex ES and Thales on the sensors and electronic systems, the official said.

 

London and Paris have signaled high level political support for the planned UCAS. “Our target was set by our president and the British prime minister at the Brize Norton summit: to sign at Farnborough Airshow an agreement aimed at launching the feasibility stage worth more than €200 million (US $272 million),” according to prepared remarks for Le Drian on a June 12 visit to the Istres flight test center, southern France.

 

“The technology demonstrator project for the Future Combat Air System (FCAS), which aims to prepare together the generation of fighter aircraft after the Rafale and Typhoon, is without doubt the most ambitious cooperation plan on our road map in terms of equipment and defense industry,” he said.

 

The FCAS is a concept based on flying manned fighters such as the F-35 joint strike fighter and Rafale alongside unmanned combat aircraft.

 

“This is an important step in building the French-British UCAS project, which prefigures the launch of a program in two years’ time,” Dassault Chief Executive Eric Trappier said. “This combat drone could be an operational complement to existing fighters such as the Rafale.”

 

The feasibility study will work on “systems architecture, certain key technology and definition of the simulation methods,” the French ministry said on Jan. 31 after a letter of intent was signed at the Brize Norton meeting.

 

“The work consists of identifying the key technology and validating the technology through the use of simulation,” Trappier said.

 

Further tasks will be to examine the operational concept, set the specifications and estimate the cost of building a demonstrator, he said.

 

The study will also lay out the prospective FCAS program, including setting the role of each of the companies in the cooperative effort. There will be a search “for the most efficient cooperation possible,” he said.

 

One British executive said the study represented a step back from the more ambitious program that had originally been considered, but the curtailing of ambition was the right thing to do.

 

“Last year we were talking about a demonstrator program, now we have a study involving experimentation, trade-offs and other things that will inform a future demonstrator program. It’s building from the ground upwards,” he said.

 

A second British executive said the FCAS study was an important first step in a program critical to industry retaining the ability to produce combat-capable jets, a skill that was endangered by the partnership with the US in the F-35 program.

 

“The F-35 gave Britain great opportunities but also a huge problem as so many of the critical systems use US technology,” he said. “FCAS gives us a chance for some form of rebalancing. It’s a way back to the mainstream of systems development on combat jets.”

 

A joint FCAS program offers Britain and France the chance to retain industrial skills beyond Typhoon and Rafale, as well as improve operational sovereignty, he said.

 

The first British executive said the issue goes beyond the maintenance of skills and capabilities in France and the UK, but touched on the future of a number of leading aerospace suppliers across Europe.

 

“It’s vital for European aerospace as a whole,” he said. “There has been a lot of discussion about when or whether to involve other nations or continue to just align with France. My view, though, is that once we get beyond this stage we are going to need more money and more production volume than just two nations can supply.”

 

For now, though, prompted by defense ministers and others, industry from both nations are “working more collaboratively than ever before on this,” the second executive said. “There will be bumps along the road but the structure they have adopted with the industrial champions pairing off across the key sectors gives cause for optimism that we will get a balanced study which emphasizes the importance of systems, the power plant and weapons as well as the platform.”

 

If the studies across the industry partnerships goes well it could open the door to further collaboration outside of the FCAS program for companies that are normally bitter rivals, the first British executive said.

 

What happens after the study is delivered in 2016 prompts some uncertainty. “Where we go after the study is a good question. The French will likely want to get on and build a demonstrator whereas the British may want to go for an early assessment phase as they need to be confident they can justify the funding,” the second executive said.

 

Others disagreed, saying the British would likely also want to see a demonstrator as the next step, but that the strategic defense and security review set to follow next year’s May general election would set the tone for London’s future involvement in the program.

 

British Defence Procurement Minister Philip Dunne told Defense News that the two sides had moved forward on the unmanned air combat system study.

 

“Following the summit in January we are anticipating some further progress in the FCAS commitment and moving that on a step. That’s happening through the summer. We have a very strong relationship with France and it continues to grow,” he said.

 

Britain and France each has a technology base gathered from building and flying respectively the Taranis and nEuron UCAV demonstrators.

 

For the UCAS feasibility study, London and Paris will equally fund a total £120 million (US $205 million), and each country also will fund a total of £80 million for national studies on the unmanned fighter, a joint declaration from the Brize Norton summit said.

 

The study, which is predominantly technical, will involve the development and testing of elements of the systems required for a highly integrated vehicle like a UCAS.

 

Thales would supply the French components of the radar and electronic warfare, electro-optronics and sensors for targeting and situation awareness, line of sight and satellite communications, avionics sensors and computers, a company spokeswoman said.

 

Safran’s Snecma and Rolls-Royce have agreed on how to share the work if the demonstrator is launched.

 

Last year, the two companies handed a preparation phase report to British and French procurement offices. The report detailed how to mature and demonstrate key technology and operational aspects for a future combat drone.

 

“Each stage is important and this is starting to be significant, certainly on the financial front,” said Jean-Pierre Maulny, deputy director of think tank Institut des Relations Internationales.

 

Once the study is completed, an issue will be whether funds will be available to pursue the project, he said. Another question is whether the program will be opened to other European partners such as Germany and Italy.

 

The ministers are also due to sign an agreement for the exchange of British and French studies on an upgrade of the Scalp-Storm Shadow cruise missile, the French ministry said in a July 10 statement. MBDA builds the long-range weapon

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 07:40
First Russian drone presented at Innoprom Trade Fair


July 10, 2014 by Rostec
 

The United Instrument Manufacturing Corporation presented the Chirok aerial drone at the Innoprom Trade Fair in Yekaterinburg.

 

The model has already completed testing at the Central Aerohydrodynamic Institute (City of Zhukovsky). It has no analogues anywhere else in the world, since hovercraft drones are not commercially available. The innovative design – a hovercraft chassis – allows the drone to take off the ground without the need for a runway. The development has no analogues anywhere else in the world.

"Today we have implemented and continue to improve the radioelectronics industry as a whole. Already last year we demonstrated significant results: in 2013 the radioelectronics industry demonstrated significant growth of 14% compared with the previous year," stated Minister of Industry and Trade Denis Manturov. "The creation of vertically integrated structures within the Rostec State Corporation provides the necessary synergy for development that will in turn provide the impetus for creation of new products that can compete on a global scale."

"Russian know-how was used in the creation of the drone, including in both its materials and design. A full-sized UAV will be presented next year at the MAKS International Aviation and Space Show," noted United Instrument Manufacturing Corporation CEO Alexander Yakunin.  

The Chirok UAV may be used in the civilian sphere to monitor and evaluate various situations: monitoring forest fires, disaster areas, traffic along roads, and patrol areas. In its military variant the Chirok is designed for reconnaissance and use as an attack drone capable of carrying bombs, rockets and precision missiles. 

The presented model of the drone is equipped with all of the latest engineering achievements from various fields, including: radioelectronics, aerospace and the chemical industry. The employed technologies have allowed us to construct a truly modern aircraft: lightweight, durable, and with high-performance, despite its impressive dimensions. The wingspan of the Chirok UAV is 10 m, with a maximum takeoff weight of up to 700 kg. The vehicle has an all-composite (carbon) body. The membrane of the air cushion is made of an ultra-modern material that has been developed by Russian specialists. The production technology behind this material is a demonstration of our know-how. 

The maximum takeoff weight of the Chirok is 700 kg, and the payload weight limit is 300 kg. It can carry optoelectronic devices intended for various types of monitoring. The UAV is also capable of carrying precision-guided weapons. The UAV can ascend to an altitude of up to 6,000 meters, and it has a range of up to 2,500 km. Currently specialists at the United Instrument Manufacturing Corporation are working to further improve the technical characteristics of the Chirok UAV.

Another feature of the vehicle design is that its weapons can be installed within the body. Weapons were mounted on brackets on previous models. Such a solution reduces the visibility of the UAV and improves its aerodynamic properties.

OAO United Instrument Manufacturing Corporation is a Russian state corporation that was established in 2014 by the Rostec State Corporation to organize high-tech production of competitive products in the field of technology and communications systems, automated control systems, electronic defense and robotic systems for the Russian Armed Forces and other special units, as well as competitive products for civilian and dual-use. It combines 55 enterprises and scientific organizations in the Russian radioelectronics industry.

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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 07:20
Export-licensed Predator makes maiden flight

 

09.07.2014 By: Beth Stevenson - FG

 

General Atomics Aeronautical Systems has successfully conducted the first flight of its export-ready Predator XP surveillance unmanned air vehicle.

 

The new aircraft flew a “flawless” 35min sortie on 27 June, an industry source says. It is understood that the company will proceed directly to full production, in anticipation of new international customer orders.

 

The system is derived from the MQ-1 Predator A system that is in service with the USA, Italy, Morocco and Turkey.

 

The second generation of the Predator, the MQ-9 Predator B/Reaper, is renowned for carrying out armed operations in theatres such as Afghanistan by a number of NATO operators of the UAV.

 

The XP is designed to be free from the restrictions covered by the International Traffic in Arms Regulations structure. This means that it will be exported in a "clean" unarmed configuration, broadening the potential customer base for the aircraft to countries in Latin America and the Middle East.

 

It was confirmed in February 2013 that the United Arab Emirates would be the first customer for the Predator XP, under a $197 million Foreign Military Sales deal conducted through the International Golden Group on behalf of the UAE armed forces.

 

The company declined to provide an update on the status of the UAE purchase at the time of the first flight. “We are in discussions with a number of countries, but are not at liberty to report any specific news on those pursuits at this time,” it adds. Kazakhstan has been reported as having shown interest in the platform.

 

Featuring modifications including winglets, the XP-variant UAV offers a flight endurance of up to 35h, and can reach a maximum altitude of 25,000ft, according to General Atomics.

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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 12:55
Exposition Technologie et Drones à Chaumont : Sagem met en avant son partenariat avec le 61è Régiment d’artillerie

 

09-07-2014 – Sagem

 

Ces samedi 28 et dimanche 29 juin, le 61è Régiment d’Artillerie organisait au camp d’Aboville à Chaumont (Région Champagne-Ardenne) deux journées portes-ouvertes, associant à cette rencontre armée-nation, le “Salon Technologie et Drones”, pour applications civiles comme militaires. Sagem (Safran) était présent, valorisant ainsi sur son stand le partenariat construit avec le 61è RA dans le cadre du programme de drones tactiques SDTI Sperwer.

 

Le 61è régiment d’artillerie : l’expertise drones de l’armée de Terre

 

Créé en 1910, le 61è RA traverse un siècle de guerres et d’opérations militaires. Equipé du célèbre canon de 75 mm, il connaît le baptême du feu le 22 août 1914. De ses premiers combats, les artilleurs du 61è RA gagnent leur surnom : « les diables noires ». Aujourd’hui, le 61è RA est à la pointe de la numérisation de l’espace de bataille et de la révolution de l’information. Unité de la Brigade de Renseignement, il côtoie, les 44è et 54è Régiments de transmissions (guerre électronique), le 2è Régiment de Hussard (renseignement humain), et du 28è Groupe géographique. En 2004, les premiers drones tactiques SDTI Sperwer arment les batteries du régiment, en remplacement des drones Crécerelle, eux aussi produits par Sagem. A travers Crécerelle puis Sperwer, l’armée de Terre fait figure de pionniers dans l’utilisation des drones pour forces terrestres, tout en consolidant un nouvel art opérationnel, le renseignement multi-capteurs. En octobre 2008, le régiment est projeté en Afghanistan pour soutenir depuis la FOB de Tora avec ses Sperwer les troupes françaises. A cette date, le Sperwer aura servi sans discontinuité durant neuf ans en Afghanistan sous les couleurs des armées du Canada, des Pays-Bas et de la France. Ses missions : le renseignement image, la protection des convois et des unités d’infanterie en zones hostiles, la recherche d’IED, et le guidage de l’artillerie et des hélicoptères de combat.

 

Sagem : maitre d’œuvre du système de drones SDTI Sperwer

 

« 100 % made in France », le Sperwer de Sagem est un véritable succès industriel avec 25 systèmes produits et 150 drones. Depuis son entrée en service au début des années 2000, Sagem ne cesse de le moderniser : une nouvelle catapulte, une fonction relais entre drones, une nouvelle plate-forme optronique, des terminaux portables de réception direct d’image du drone (le système RVT), l’intégration de modems Stanag 4609 pour le partage du renseignent image avec l’OTAN. Sagem, à travers ses différents établissements assure le soutien et la modernisation des systèmes en service permettant au 61è RA de remplir son contrat opérationnel. L’établissement Sagem de Montluçon (Auvergne) est en charge de la production des drones et de l’intégration du système, celui de Fougères (Bretagne) fabrique les cartes électroniques, Sagem à Poitiers (Poitou-Charentes) produit les caméras, et son établissement de Dijon (Bourgogne) les boules optroniques gyrostabilisées. Les contrats en cours avec le ministère de la Défense permettent à Sagem de garantir le maintien de la capacité drones tactiques de l’armée de Terre. Ils pourront ainsi opérer jusqu’à l’arrivée d’une future génération de drones tactiques, comme le prévoit le projet SDT (Système de Drones Tactiques) inscrit dans la LPM 2014-2019 attendus pour 2017. Sagem propose son drone tactique Patroller pour répondre à ce nouveau programme. Le régiment a saisi cette occasion pour présenter en dynamique au public la mise en œuvre du SDTI Sperwer sur sa catapulte, une station sol et l’emploi du terminal portable RVT. Sur son stand, Sagem a donc particulièrement mis en avant l’expérience acquise auprès du 61è régiment d’artillerie, notamment l’Afghanistan, et les performances de sa chaine image à très haute résolution basée sur les boules optroniques de la famille Euroflir.

 

JIM – LR (Jumelle Infrarouge Multifonction – Long Range)

JIM – LR (Jumelle Infrarouge Multifonction – Long Range)


Implanté à Haguenau (Alsace), le 2è Régiment de Hussards, unité de renseignement humain de la Brigade de renseignement, participait aussi à la JPO du 61è RA en exposant ses équipements optroniques portables utilisés en opérations, dont la JIM – LR (Jumelle Infrarouge Multifonction – Long Range) que Sagem produit à Poitiers.

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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 11:55
Campagne d’essais de drone sur le commandant Bouan

 

9 Juillet 2014 Marine nationale

 

Du 1er au 3 juillet 2014, la Marine nationale a mené en collaboration avec la DGA, une campagne d’essais drone sur le Cdt Bouan.

 

Le principal objectif de ces essais était d’évaluer la récupération par filet d’un mini drone à voilure fixe sur un bâtiment non doté d’une plateforme aviation. Il s’agissait également d’identifier les principales contraintes d’intégration et de mise en œuvre de ce type de système à la mer. Le système de drone utilisé était le DVF 2000 de la société Survey Copter. Les vols ont été réalisés par des opérateurs industriels, sous la direction des centres d’expertises de la DGA (Technique Terrestre et Technique Navale), du CEPA/10S et avec le soutien de l’équipage du Cdt Bouan.

 

Les objectifs ont été atteints, plusieurs récupérations dans le filet en mode automatique ont été réalisées et cela jusqu’à mer 3.

 

Les résultats des analyses de cette campagne d’essais contribueront à alimenter les réflexions menées actuellement par la marine sur le concept d’emploi des drones embarqués. Ils se poursuivront les prochaines années avec d’autres essais à la mer et avec d’autres systèmes de drones.

Campagne d’essais de drone sur le commandant Bouan
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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 16:35
MDA to continue surveillance service for Australian Defence Force

 

RICHMOND, BC, July 8, 2014 /CNW

 

MacDonald, Dettwiler and Associates Ltd., a global communications and information company, today announced that it has been contracted by the Commonwealth of Australia to continue MDA's Unmanned Aerial Vehicle surveillance service for the Australian Defence Force in Kandahar Airfield, Afghanistan until the end of 2014.

MDA has been supporting the Australian Forces by providing critically important real-time intelligence, surveillance and reconnaissance information directly to ground commanders since January 2010.

 

About MDA

MDA is a global communications and information company providing operational solutions to commercial and government organizations worldwide.

MDA's business is focused on markets and customers with strong repeat business potential, primarily in the Communications sector and the Surveillance and Intelligence sector. In addition, the Company conducts a significant amount of advanced technology development.

MDA's established global customer base is served by more than 4,800 employees operating from 11 locations in the United States, Canada, and internationally.

 

Related Websites
www.mdacorporation.com

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 07:50
Germany Mulling Armed UAVs

 

July 2, 2014 defense-unmanned.com

(Source: Deutsche Welle German radio; issued June 30, 2014)

 

Armed Drones - Silent Killers or Necessary Protection?

 

Does the German army need armed drones? That issue remains highly contentious. So far, Defense Minister Ursula von der Leyen has remained mum on the issue, but this could soon change.

 

They are known as Heron, Mikdao, Aladin, KZO or Luna: the 600 drones the Bundeswehr currently employs. None of the remote-controlled unmanned aerial vehicles (UAV) are armed, as they are used for reconnaissance missions. The Bundeswehr does not have any armed drones - yet.

 

The debate about the Bundeswehr buying armed drones has been going on for a while. Defense Minister Ursula von der Leyen said in May the issue needed to be opened up for discussion in society before making a decision, adding: "This societal debate will take place in parliament this summer."

 

Decision to come

 

Experts are talking about questions concerning international law, security policy and ethics that come with the use of armed drones in a public defense committee hearing.

 

A [spokesman] for von der Leyen said she wanted to make a decision based on those talks and announce it in the Bundestag, the German parliament.

 

According to German tabloid newspaper Bild, however, there already is an internal memo in which von der Leyen is calling for the introduction of armed drones.

 

This has not been officially confirmed. But news magazine Der Spiegel claims to have similar information. According to the magazine's sources, the defense minister will publicly speak up in favor of buying armed drones in the Bundestag.

 

Conservative politician Florian Hahn supports this course of action. He expects the minister to "take a clear stand for a European development of a drone that has the capacity to be armed," Hahn told Spiegel.

 

The Green Party on the other hand strongly criticized the plan. They think armed drones are "highly problematic ethically and legally," Katrin Göring-Eckardt, leader of the Green parliamentary group, told Bild am Sonntag, the tabloid's Sunday edition.

 

The director of the German Bundeswehr Association André Wüstner calls for equipping the Bundeswehr with armed drones. "We need armed drones, because in certain situations, they are indispensable for the safety of our soldiers," Wüstner told DW.

 

Contentious issue

 

While von der Leyen's predecessor Thomas de Maizière has publicly spoken in favor of getting armed drones, the current defense minister has held back on the topic. After all, it's a tough subject area to score in politically.

 

De Maizière almost lost his job in 2013 when severe problems with the reconnaissance drone "Euro Hawk" occurred. And Germans are very aware of the questionable missions the CIA has flown with armed drones in Yemen, Somalia or the Afghan-Pakistani border area. An estimated 3,000 people, civilians among them, have died in US drone attacks. Many Germans think of drones as silent killers.

 

Drone-opponents worry that having armed drones at the Bundeswehr's disposal will lower inhibitions to use them, too. There is also the fear that fully automatic drones will at some point be able to make decisions regarding life or death. UAVs can already take off and land by themselves and - once programmed - fly routes without human involvement.

 

Niklas Schörning from the Peace Research Institute Frankfurt (PRIF) is worried about the start of an arms race toward more and more intelligent and autonomous weapon systems. "We see that no country in the world is currently developing a modern manned fighter jet," Schörning says. "So to me, this means that the armed drone that autonomously decides when to use force is already deep-seated in the minds of industry reps and military officers."

 

Strict rules for the use of drones

 

The defense ministry is currently weighing up a US offer from summer 2013 for three unarmed "Predator B" drones. These drones have the capacity to be armed later.

 

Andrej Hunko and Jan van Aken, representatives from the Left Party, filed an official enquiry on this. In the reply, it said that "conceptually, the capacity to be armed is required" for the long-distance drone in question.

 

"When the capacity to be armed is required from the get-go, the people are being consciously mislead," Hunko criticized in a press statement. He calls the defense committee's hearing an "alibi event."

 

Niklas Schörnig expects the German government to clearly explain which scenarios they think merit an armed-drone-deployment. He says that if the decision is made to purchase these drones, political conditions for their use need to be established.

 

"The German deployment rules need to be clearly and restrictively worded and should strongly encourage other states to act the same way," Schörning says.

 

A concrete decision on the acquisition can only be expected after the positions of former state secretary for armament, Stéphane Beemelmans and former head of the armament department, Detlef Selhausen, are filled again. Von der Leyen relieved both of them of their duties earlier this year, because of problems with defense projects.

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