Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 octobre 2015 5 02 /10 /octobre /2015 07:40
BPC Sebastopol photo Grigory Sysoev Sputnik

BPC Sebastopol photo Grigory Sysoev Sputnik

 

24 Sep 2015 by ROSTEC

 

KRET and UIMC have proposed solutions regarding the equipment of the helicopter carrier

 

Rostec Corporation holding companies, namely KRET and United Instrument Manufacturing Corporation (UIMC), have expressed their readiness to cooperate with the new buyers of the French Mistral helicopter carriers.

 

KRET is ready to equip the Mistral, previously intended for the Russian Navy, with electronic warfare defense systems.

 

Deputy Defense Minister Yuri Borisov announced that Russia is ready to supply avionics for the helicopter carrier to its future buyer, according to RIA Novosti. It has been reported that France is negotiating with Egypt for the sale of two Mistral ships that had previously been built for Russia.

 

KRET has proposed to outfit the Mistral ships with 5P28 Pobeditel electronic warfare defense systems, which can be installed on large ships such as aircraft carriers, helicopter carriers, and cruisers. The system greatly increases a ship’s survivability.

 

UIMC, another Rostec holding company, has developed communications and control systems for the Mistral and has agreed to adapt the Russian systems for Egypt.

 

According to UIMC representatives, the Russian equipment intended for the Mistral cannot be entirely sold to the new owner of the ships, as a number of elements and software programs must be removed from its communications and control systems first.

 

Registration for the re-export of this equipment is expected to take 1.5-2 months, and the adaptation of systems, components, and software for foreign customers may take another year and a half, as reported by RIA Novosti.

 

As noted by UIMC, upon their resale to a new customer, the ships themselves will need to be further developed, which will require cooperation with the Russian companies.

 

As a reminder, a contract worth 1.2 billion euros to supply Russia with two Mistral helicopter carriers was signed between the French company DCNS/STX and Rosoboronexport in 2011. France was supposed to transfer Vladivostok, the first ship, in November of last year, but did not do so because of the imposition of sanctions against Russia.

 

In early August, Moscow and Paris decided to terminate the contract for the construction and delivery of the Mistral ships. After returning all Russian equipment, France will be able to sell the helicopter carriers to another buyer.

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 16:30
Mise sur cale de la corvette GOWIND® 2500 pour la Marine égyptienne

 

30.09.2015 DNCS

 

Le premier bloc de la corvette GOWIND® 2500, première des quatre futures GOWIND® de la Marine égyptienne, a été mis sur cale le 30 septembre 2015 sur le site DCNS de Lorient. Cette opération se déroule cinq mois et demi seulement après le début d’usinage. DCNS s’est engagé à livrer ce navire en 2017.

 

Le premier bloc de la future corvette GOWIND® 2500 à destination de la Marine égyptienne, a été positionné sur la ligne de tins de la forme de construction du site DCNS de Lorient le 30 septembre 2015. Cette étape marque le démarrage de l’assemblage de la coque de la corvette. Sa livraison est prévue en 2017, soit moins de quatre ans après la signature du contrat en juin 2014. L’opération s’est parfaitement déroulée, en présence des officiers de la Marine égyptienne qui suivent l’avancement de la construction.

« Le franchissement de ce jalon industriel important, réalisé avec quelques jours d’avance, témoigne de la mobilisation sans faille de l’ensemble des équipes de DCNS et de ses sous-traitants, pour assurer le bon déroulement de ce programme ambitieux. », rappelle le directeur du programme GOWIND® Egypte chez DCNS. « Le bon déroulement de la construction de cette corvette souligne la capacité industrielle de DCNS à gérer et réaliser des programmes d’envergure en France. »

La construction de ce navire a démarré le 15 avril 2015 sur le site DCNS de Lorient, l’un des chantiers navals les plus modernes d’Europe. DCNS avait alors procédé à la découpe de la première tôle du navire en présence de hauts représentants de la Marine égyptienne. Le site DCNS de Lorient est spécialisé dans la conception et la construction des navires de surface de 1 000 à 8 000 tonnes. Actuellement, DCNS y construit simultanément trois frégates FREMM pour la Marine nationale et la corvette GOWIND® pour la Marine égyptienne. Les trois corvettes suivantes seront construites à Alexandrie en Egypte dans le cadre d’un transfert de technologie de construction.

DCNS s’inscrit dans une logique de partenariat à long terme avec la Marine et les industriels égyptiens. Le Groupe va faire bénéficier la Marine et l’industrie égyptienne de son savoir-faire pour construire trois navires de haute technologie et réaliser le maintien en condition opérationnelle d’une frégate FREMM tout aussi moderne. Une dizaine d’Egyptiens du chantier naval d’Alexandrie, ASY, sont d’ailleurs actuellement en formation sur le site DCNS de Lorient dans le cadre du transfert de technologie réalisé par DCNS. DCNS démontre ainsi l’attractivité de son offre commerciale de corvettes et frégates ainsi que son expérience en matière de transfert de technologie.

 

ZOOM SUR : la corvette GOWIND® 2500

Le contrat de fourniture de quatre corvettes GOWIND® 2500 pour la Marine égyptienne représente un nouveau succès à l’international pour le Groupe sur cette gamme.

La corvette GOWIND® 2500 de DCNS est un concentré des dernières avancées technologiques développées et maîtrisées par DCNS. Elle intègre le système de combat SETIS, également développé par DCNS pour les frégates FREMM, le « Panoramic Sensors and Intelligence Module (PSIM) » – ensemble regroupant la mâture intégrée avec ses équipements et le Centre Opérationnel ainsi que les locaux techniques associés – et le haut niveau d’intégration, d’automatisation et de convivialité des systèmes DCNS.

Dix corvettes GOWIND® 2500 sont d’ores et déjà commandées par les partenaires internationaux de DCNS : la Malaisie (6 unités) et l’Egypte (4 unités).

  • Longueur hors tout : 102 mètres
  • Largeur : 16 mètres
  • Déplacement : 2 600 tonnes
  • Vitesse maximale : 25 nœuds
  • Equipage : 65 personnes
  • Autonomie : 3 700 nautiques à 15 nœuds
Partager cet article
Repost0
30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 12:45
AGM-114 Hellfire II missile - Lockheed Martin

AGM-114 Hellfire II missile - Lockheed Martin

 

29/09/2015 par African Manager

 

Le Commandement des marchés de l’Armée américaine (USACC) a attribué à Lockheed Martin un contrat pour la fourniture d’un nombre non encore révélé de missiles AGM-114K / R3 Hellfire II à l’Egypte et à la Tunisie ainsi qu’à l’Irak, au  Pakistan et à l’Indonésie pour un montant de  357 800 000 de dollars au titre des ventes militaires à l’étranger. Dans un avis publié le 16 septembre par le ministère US de la Défense, l’USACC a précisé que Lockheed Martin était le seul soumissionnaire pour le contrat, qui devrait être exécuté avant septembre 2017.

 

Le AGM-114 Hellfire (hellfire signifie en anglais « feu de l’enfer ») est un missile antichar à guidage laser semi-actif, ou à guidage radar (de type tire et oublie) en fonction des versions. Il est principalement utilisé sur les hélicoptères, notamment sur l’AH-64 Apache, mais également sur des drones tels que les MQ-1 Predator et MQ-9 Reaper. Très polyvalent, il peut être employé contre tout type de véhicule, mais aussi contre des bâtiments. Sa portée relativement longue permet au lanceur de rester à l’abri, voire invisible.

 

 Bien qu’il n’y ait aucune spécification sur le nombre de missiles devant être livrés à chacun  de ces pays, une notification adressée en avril dernier au Congrès américain par le Département d’Etat a sollicité l’approbation de ce dernier pour une  «vente possible à l’Egypte de 356 missiles  AGM-114K / R3 Hellfire II Air-sol  avec des conteneurs, des pièces de rechange et de réparation, des équipements de soutien, outre la formation du personnel et  l’équipement de formation ».

Partager cet article
Repost0
16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 07:45
Ex-BPC russes - photo Philippe Chapleau

Ex-BPC russes - photo Philippe Chapleau

 

14 septembre 2015. Portail des Sous-Marins

 

Moscou a fait savoir que les équipements russes installés à bord des 2 BPC Mistral qui devaient lui être livrés, pourraient rester à bord si l’Égypte, un acheteur éventuel, achetait les 2 navires, indique un responsable français.

« La Russie pourrait accepter que l’Inde et l’Égypte reçoivent ces équipements, » Le Caire étant le candidat susceptible d’acheter les navires, a explique ce responsable le 7 septembre. Les autorités russes l’ont « fait savoir » durant les négociations sur l’annulation du contrat de 2011.

La livraison du matériel aiderait la Russie à conserver des liens étroits avec l’Égypte, explique le responsable français.

De plus, Riyad financerait l’achat des BPC Mistral par l’Égypte, puisque l’Arabie Saoudite n’a pas de culture maritime. La marine égyptienne serait alors une force navale « par procuration » pour les Saoudiens. L’Arabie Saoudite s’inquiète d’une menace perçue au Yémen et en provenance d’Iran, ce qui conduit Riyad à financer le renforcement des capacités militaires égyptiennes.

 

Un remboursement rapide, voire expéditif

La France a immédiatement remboursé la Russie, avant même que l’accord n’ait été approuvé par le Parlement. Certains en effet s’inquiétaient que des anciens actionnaires — en particulier américains — de la compagnie pétrolière russe Yukos puissent tenter de faire saisir les navires, dans le cadre d’une réclamation de 50 milliards $ contre la Russie.

Il est loin d’être établi qu’une telle procédure ait pu être lancée en France, puisque les Mistral auraient été considérés comme des “navires d’état”, un statut légal qui rend les navires militaires insaisissables, explique un avocat. Une autre possibilité aurait pu être une réclamation sur les fonds payés à la Russie.

En 2000, dans une autre affaire, une compagnie suisse avait tenté de faire saisir le Sédov, le plus grand voilier navire-école du monde, ainsi que les comptes bancaires en France de l’ambassade de Russie.

 

Référence : Defense News (Etats-Unis)

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 16:30
Les forces égyptiennes tuent par erreur des touristes mexicains en pourchassant des djihadistes


14.09.2015 45eNord.ca (AFP)
 

La police et l’armée égyptiennes ont tué dimanche 12 personnes, des touristes mexicains et des Égyptiens, en prenant pour cible par erreur leurs voitures alors qu’elles pourchassaient des djihadistes dans l’ouest de l’Égypte, a annoncé le ministère de l’Intérieur.

 

Le désert de l’Ouest, très prisé par les touristes, est aussi l’un des repaires de groupes jihadistes, dont la branche égyptienne de l’Etat islamique (EI), qui y avait décapité en août un jeune Croate travaillant pour une compagnie française et commet de nombreux attentats contre les forces de sécurité dans tout le pays.

« Les forces conjointes de la police et de l’armée, qui pourchassaient des terroristes à Wahat, dans le désert occidental, ont ouvert le feu par erreur sur quatre pick-up qui transportaient des touristes mexicains », lit-on dans un communiqué du ministère de l’Intérieur.

« Douze personnes ont été tuées et 10 blessées parmi les touristes mexicains et des Egyptiens » qui les accompagnaient, poursuit le ministère, assurant que les victimes « se trouvaient dans une zone qui n’était pas autorisée aux touristes ».

Le ministère ne précise pas le nombre de Mexicains tués, ni si les voitures ont été atteintes par des tirs d’armes automatiques, d’artillerie ou des bombardements aériens.

Dans l’après-midi, l’EI en Egypte avait affirmé dans un communiqué qu’il avait « résisté à une opération de l’armée dans le désert occidental » dimanche, et « mis en fuite des éléments de l’armée », sans plus de précisions.

Les groupes jihadistes, dont au moins deux assurent être des branches égyptiennes de l’EI –l’Etat islamique en Egypte et Province du Sinaï de l’Etat islamique– revendiquent régulièrement des attentats meurtriers visant les forces de l’ordre, en particulier dans la péninsule désertique du Sinaï, dans l’est, leur principal bastion.

Ces attaques se sont multipliées –y compris en plein coeur du Caire– depuis que l’armée a destitué et arrêté le président islamiste élu Mohamed Morsi le 3 juillet 2013 et que le nouveau pouvoir du président Abdel Fattah al-Sissi réprime dans le sang les partisans du chef de l’Etat déchu.

Des centaines de policiers et soldats ont été tués dans ces attentats et attaques commandos en plus de deux ans. Les jihadistes assuraient dans un premier temps agir en représailles à l’implacable répression qui s’est abattue sur les partisans de M. Morsi depuis sa destitution par M. Sissi, alors chef de la toute puissante armée.

Les forces de sécurité ont, depuis l’été 2013, tué plus de 1.400 manifestants pro-Morsi. Plus de 15.000 partisans de l’ex-président islamiste, des membres de sa confrérie des Frères musulmans pour l’essentiel, ont été emprisonnés. Des centaines –dont M. Morsi lui-même– ont été condamnés à mort en première instance dans des procès de masse expéditifs qualifiés par l’ONU de « sans précédent dans l’Histoire récente » du monde.

Partager cet article
Repost0
11 septembre 2015 5 11 /09 /septembre /2015 15:55
BPC Vladivostok photo Marine Nationale

BPC Vladivostok photo Marine Nationale

 

11 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - Le Canada, l'Inde, Singapour mais surtout l'Egypte ont exprimé un intérêt sérieux pour acheter les navires de guerre Mistral, dont la vente par la France à la Russie a été annulée, selon le compte-rendu d'une audition parlementaire à huis clos d'un haut responsable français obtenu par l'AFP.

 

En attendant cette éventuelle revente, la facture totale des indemnisations à verser par l'Etat français à la suite de l'annulation de la transaction avec Moscou devrait grimper à 1,1 milliard d'euros, a également indiqué mardi Louis Gautier, secrétaire général de la Défense et de la Sécurité nationale, un poste rattaché aux services du Premier ministre. M. Gautier avait été chargé de négocier ce délicat dossier avec Moscou.

 

Cette estimation inclut notamment des frais de gardiennage et de maintien en état opérationnel des navires, qui s'élèvent à 2 millions d'euros par jour, mais pas encore les frais de remplacement des matériels russes en vue d'une revente à un autre pays, dont le montant n'est pas encore connu, a expliqué M. Gautier, lors d'une double audition à l'Assemblée nationale puis au Sénat.

 

En vertu d'un accord conclu le 5 août entre Paris et Moscou, le gouvernement français avait annoncé le versement aux autorités russes d'une somme légèrement inférieure à un milliard d'euros, correspondant aux avances versées par la Russie pour l'acquisition des deux navires, dont le prix d'achat s'élevait à 1,2 milliard d'euros. Quelque 949,7 millions ont déjà été versés par la Banque de France à la Banque centrale russe.

 

Cet accord indique que Paris récupérera la pleine propriété des navires après avoir intégralement remboursé Moscou des sommes avancées au titre du contrat et d'elles seules.

 

Le projet de loi entérinant l'accord franco-russe après la décision de Paris de renoncer à livrer deux Mistral, du fait de l'implication de Moscou dans la crise ukrainienne, doit être débattu jeudi à l'Assemblée nationale française.

 

Selon ce projet de loi, la partie française disposera des deux bâtiments librement, y compris en vue de leur exportation à un Etat tiers, sous réserve d'en informer préalablement par écrit la partie russe.

 

Ce qui signifie que la France s'engage à ne pas revendre les Mistral à un pays qui contreviendrait aux intérêts de la Russie, a expliqué à l'AFP une source diplomatique qui a requis l'anonymat : en clair, il n'est pas question de les vendre à la Pologne ou aux pays baltes.

 

Des équipes d'ingénieurs et techniciens russes, assistées d'équipes techniques françaises, effectuent depuis août des opérations de démontage des matériels russes sur les deux navires. Ces travaux sont prévus pour durer six mois.

Partager cet article
Repost0
11 septembre 2015 5 11 /09 /septembre /2015 14:55
BPC : le démontage de matériels russes devrait dépasser un milliard d'euros

Le navire "Vladivostok" à quai à Saint-Nazaire pourrait avoir trouvé un repreneur après l'annulation de sa vente à la Russie. photo RP Defense

 

11/09/2015 Le Point.fr (AFP)

 

Le Canada, l'Inde, Singapour, et surtout l'Égypte ont exprimé leur intérêt "sérieux" pour le rachat des navires qui étaient destinés à la Russie.

 

Le démontage de matériels militaires russes intégrés aux deux navires de guerre de type Mistral, dont la vente par la France à la Russie a été annulée, devrait durer jusqu'en janvier, selon des informations transmises par le secrétaire général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN), Louis Gautier, à des parlementaires et obtenues vendredi par l'Agence France-Presse.

 

 

Suite de l'article

Partager cet article
Repost0
7 août 2015 5 07 /08 /août /2015 22:14
photo Shipspotting

photo Shipspotting

 

07/08/2015 Par latribune.fr 

 

Le Caire et Riyad veulent acquérir les deux porte-hélicoptères qui n'ont pas été livrés à Moscou. Hollande avait annoncé jeudi que la France n'aurait "aucune difficulté" à trouver des acheteurs.
 

Après avoir acquis 24 avions Rafale, l'Egypte va-t-elle acheter les deux Mistral à la France ? Selon Le Monde, après l'inauguration du Canal de Suez, François Hollande et son homologue égyptien Abdel-Fattah Al-Sissi ont discuté de nouveaux partenariats stratégiques. Le Caire s'est ainsi porté candidat au rachat des deux porte-hélicoptères que Paris a refusé de livrer à la Russie en raison du rôle de Moscou dans la crise ukrainienne.

Le quotidien cite notamment une source officielle française assurant que l'Egypte est prête à tout pour acquérir les deux Mistral. Ce serait également le cas de l'Arabie saoudite: "Le roi Salman d'Arabie saoudite veut constituer une flotte digne de ce nom en Egypte", explique cette source. Pour rappel, les deux pays ont signé un accord de coopération sécuritaire et économique, le 30 juillet, "une nouvelle étape dans la mise sur pied d'une force arabe commune", analyse Le Monde.

 

"Aucune difficulté pour trouver des preneurs"

Le président François Hollande avait estimé jeudi 6 août que la France n'aurait "aucune difficulté" à trouver des acheteurs pour ses deux navires de guerre Mistral, estimant que ces bateaux "suscitent une certaine demande de la part de beaucoup de pays".

Il s'exprimait devant la presse à l'issue de la cérémonie d'inauguration de l'élargissement du canal de Suez en Egypte, au lendemain de l'annonce par Paris d'un accord avec Moscou sur le remboursement des sommes payées par la Russie pour acquérir ces bâtiments

Partager cet article
Repost0
30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 16:30
US to deliver F-16 aircraft to Egypt

 

30 Jul 2015 aljazeera.com

 

Washington to deliver eight aircraft to Egypt within the next two days, US embassy in Cairo says in a statement.

 

The United States will deliver eight F-16 Block 52 aircraft to Egypt within the next two days, the US embassy in Cairo said in a statement, part of a military package that had been unfrozen earlier this year. The statement released on Thursday said Washington would deliver four more F-16s to Egypt this autumn. Despite US lawmakers' concerns that Egypt is lagging on democratic reforms, Egypt remains one of Washington's closest security allies in the region.

 

Read full article

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 16:30
photo DCNS

photo DCNS

 

25.07.2015 45eNord.ca (AFP)
 

L’Égypte est en discussions avec la France pour acheter deux nouvelles corvettes, a indiqué samedi une source diplomatique française à l’AFP après des entretiens au Caire du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.

 

Le groupe naval français DCNS a déjà conclu un contrat estimé à un milliard d’euros pour la livraison de quatre corvettes Gowind de fabrication française à l’Égypte.

Il y a une offre pour deux corvettes supplémentaires. Les discussions sont en cours, a affirmé la source diplomatique sous le couvert de l’anonymat à la sortie d’une réunion entre M. Le Drian, le président Abdel Fattah al-Sissi et son homologue égyptien Sedki Sobhi.

Le ministre français a débuté samedi une visite de deux jours au Caire, quelques jours après la livraison des trois premiers avions de combat Rafale français à l’Égypte.

En début d’année, Le Caire a acheté à la France 24 Rafale et une frégate multi-missions, en demandant à ce qu’ils soient livrés le plus vite possible. Trois des Rafale et la frégate ont rallié mardi l’Égypte, pilotés par des pilotes égyptiens ayant reçu un entraînement en France.

Des entraînements pour la marine sont également envisagés et ont été discutés, selon un communiqué des services du Premier ministre égyptien, Ibrahim Mahlab.

Les 24 Rafale (16 biplaces et 8 monoplaces) font partie d’une commande de 5,2 milliards d’euros( 7,45 milliards $ CAD) incluant également la frégate et des missiles, destinée à l’armée égyptienne.

Celle-ci mène depuis deux ans des opérations à grande échelle dans la péninsule du Sinaï pour tenter d’enrayer les attaques jihadistes visant les forces de l’ordre, qui se sont multipliées depuis que l’ex-chef de l’armée et actuel président Sissi a destitué en 2013 l’islamiste Mohamed Morsi.

Les discussions entre M. Le Drian et les responsables égyptiens ont aussi porté sur la crise en Libye voisine, alors que Le Caire craint l’ouverture d’un nouveau front sur son flanc ouest.

Profitant du chaos qui règne en Libye depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, le groupe EI s’est implanté dans l’est du pays près de la frontière égyptienne.

« Nous avons souligné notre soutien pour la médiation menée par (l’envoyé spécial de l’ONU) Bernardino Leon », a indiqué la source diplomatique, en allusion aux efforts destinés à trouver une solution négociée au conflit.

Il incombe maintenant au Congrès national, le Parlement non reconnu par la communauté internationale, d’accepter l’accord proposé par M. Bernardino pour avancer vers une solution et former un gouvernement d’union, a-t-elle ajouté.

En février, Le Caire avait envoyé ses avions bombarder les positions de l’EI en Libye après que l’organisation djihadiste y a revendiqué la décapitation d’une vingtaine de travailleurs égyptiens coptes.

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 16:45
photo Ministère de la Défense (Archives)

photo Ministère de la Défense (Archives)

 

23/07/2015 Ministère de la Défense

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, entame ce jeudi une tournée africaine qui le mènera successivement en République centrafricaine, en République du Congo, en République arabe d’Egypte et en République de Djibouti.

 

A Bangui, il rencontrera la présidente de la transition centrafricaine, Mme Catherine Samba Panza, et fera le point sur le désengagement progressif du contingent français de l'opération "Sangaris", déployé depuis décembre 2013.

 

Le ministre ira ensuite au Congo où il rencontrera le président Denis Sassou Nguesso, avant de se rendre au Caire, où il aura un entretien avec le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi.

 

Jean-Yves Le Drian terminera son déplacement par Djibouti où il sera reçu par le président Ismaël Omar Guelleh. Il y rendra également visite aux militaires français.

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 22:30
Vue de la Fremm Tahya Misr  - photo DCNS

Vue de la Fremm Tahya Misr - photo DCNS


22.07.2015 par DCNS
 

DCNS salue le départ de France de la FREMM Tahya Misr de la Marine égyptienne pour son port base d’Alexandrie

 

Le 22 juillet 2015, la FREMM Tahya Misr de la Marine égyptienne a quitté la base navale de Brest pour son port base d’Alexandrie en Egypte. La  Marine égyptienne est ainsi la troisième marine à exploiter cet exceptionnel navire de combat de dernière génération. Avec la FREMM développée et réalisée par DCNS, la Marine égyptienne dispose du navire de premier rang le plus moderne du 21eme siècle.

 

Mercredi 22 juillet, la FREMM FFG-1001 Tahya Misr de la Marine égyptienne a quitté le port militaire de Brest pour rejoindre son port base à Alexandrie en Egypte, six mois après la signature du contrat entre DCNS et le Ministère de la défense de la République Arabe d'Egypte portant sur la fourniture d’une frégate multimissions FREMM.

 

DCNS a  engagé rapidement des travaux d’adaptation et d’aménagement nécessaires et la formation des marins à la prise en main du navire par la Marine égyptienne. Dès le mois de mars 2015, DCNS a ainsi formé les marins égyptiens composant l’équipage de cette frégate. Afin de conduire un navire aussi fortement automatisé en toute sécurité, DCNS et ses partenaires accompagnent l’équipage durant 15 mois. Le programme comporte plusieurs phases : des modules théoriques, de l’entraînement à terre sur des plateformes et des simulateurs, puis à bord que ce soit à quai ou en mer.

 

Le 23 juin dernier, la FREMM Tahya Misr a été transférée de DCNS vers la Marine égyptienne lors d’une cérémonie en présence des Ministres égyptien et français de la défense. Le 22 juillet, la FREMM égyptienne a appareillé de Brest, destination Alexandrie, son port base.

 

Le partenariat avec DCNS ne s’arrête pas pour autant avec le départ de France de la FREMM Tahya Misr : le contrat comprend également des prestations de soutien et le maintien en condition opérationnelle pendant les cinq prochaines années assurés en Egypte par DCNS.

 

Deuxième succès à l’international pour la FREMM

Navires les plus avancés technologiquement et les plus compétitifs du marché, les FREMM répondent aux besoins opérationnels de nombreuses marines grâce à leur polyvalence et à leur manœuvrabilité. Fort de la réussite inédite en Europe du tir de missile de croisière naval (MdCN) à bord de la FREMM Aquitaine le 19 mai 2015, DCNS propose à ses clients des navires de référence tant dans la conception, la construction que dans l’intégration de systèmes innovants.

 

De plus, l’actualisation de la Loi de Programmation Militaire va permettre à DCNS de continuer à développer sa gamme de navires et de services et accélérer son développement international. Avec le lancement du programme des frégates de taille intermédiaire (FTI), DCNS va proposer un produit qui répond au besoin de la Marine nationale et qui répondra à une demande internationale en croissance pour des frégates de premier rang et d'environ 4000 tonnes.

 

Actuellement, sur le marché des navires de surface, DCNS compte parmi ses clients la Marine royale du Maroc avec la livraison en janvier 2014 de la FREMM Mohammed VI et la Marine égyptienne avec la livraison de la FREMM Tahya Misr et de quatre corvettes Gowind. Par ailleurs, DCNS réalise six corvettes Gowind pour la Marine malaisienne. Ces contrats témoignent du succès remporté par les produits de DCNS à l’international.

 

Caractéristiques techniques des FREMM

Equipée de senseurs et d’armements de haute technologie intégrés au système de management de combat SETIS® développé par DCNS, la frégate peut faire face à tout type de menaces : aériennes, marines, sous-marines ou terrestres. Fortement armée, la FREMM met en œuvre les systèmes d’armes et équipements les plus performants, tels que le radar multifonction Herakles, les missiles Aster et Exocet MM 40 ou encore les torpilles MU 90. Innovantes, elles offrent une interopérabilité et un niveau de disponibilité inégalés.

•             Longueur hors tout : 142 mètres

•             Largeur : 20 mètres

•             Déplacement : 6 000 tonnes

•             Vitesse maximale : 27 nœuds

•             Mise en œuvre : 108 personnes (détachement hélicoptère inclus)

•             Capacité de logement : 145 hommes et femmes

•             Autonomie : 6 000 nautiques à 15 nœuds

 

A propos de DCNS

DCNS est un leader mondial du naval de défense et un innovateur dans l’énergie. Entreprise de haute technologie et d’envergure internationale, DCNS répond aux besoins de ses clients grâce à ses savoir-faire exceptionnels, ses moyens industriels uniques et sa capacité à monter des partenariats stratégiques innovants. Le Groupe conçoit, réalise et maintient en service des sous-marins et des navires de surface. Il fournit également des services pour les chantiers et bases navals. Enfin, le Groupe propose un large panel de solutions dans les énergies marines renouvelables. Attentif aux enjeux de responsabilité sociale d’entreprise, DCNS est adhérent au Pacte Mondial des Nations Unies. Le Groupe réalise un chiffre d’affaires de 3,1 milliards d’euros et compte 13130  collaborateurs (données 2014). www.dcnsgroup.com

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 16:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

23.07.2015 source SHD

 

23 juillet 1242 : bataille de Saintes (près d’Angoulême). Juste après la bataille de Taillebourg, le 21 juillet, le roi d’Angleterre Henri III se replie à Saintes. Victorieux à Taillebourg, Louis IX récidive à Saintes et oblige l’armée anglaise à fuir. En plus de démontrer le courage et les qualités guerrières du jeune Louis IX, les victoires de Taillebourg et Saintes annoncent la reprise en main des grands feudataires par le roi de France.

 

23 juillet 1952 : le colonel Nasser renverse Farouk 1er  (Egypte). A la tête du mouvement des « Officiers libres », Nasser renverse la monarchie égyptienne en profitant d’une période d’émeutes grandissantes sur fond de revendications populaires, religieuses et antibritanniques. Officier ayant bien combattu contre les Israéliens en 1948, il est un héros dans l’armée l’égyptienne et s’impose très vite comme seul dirigeant de l’Etat égyptien. Il s’éloigne progressivement de la tutelle britannique et finit par nationaliser la compagnie gérant le canal de Suez. Cela déclenche la crise internationale de Suez de 1956.

 

23 juillet 1970 : accord franco-allemand pour l’Alphajet. Les gouvernements français et allemand sélectionnent le projet des avionneurs Dassault-Breguet-Dornier. L’Alphajet équipe la patrouille de France et l’école de chasse (BA 705 – Tours) mais aussi plusieurs pays étrangers dans des versions combat.

 

23 juillet 1972 : début de la télédétection des ressources de la Terre (Etats-Unis). Le premier satellite voué à la télédétection des ressources terrestres est mis en orbite par la NASA. ERTS1 (rebaptisé plus tard Landsat1) est déjà équipé d’un scanner multi spectral. Il reste 5 ans en orbite. Depuis, 7 satellites ayant la même vocation ont été lancés par les Américains. La France dispose du programme SPOT (5 satellites depuis 1986).

 

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 16:30
FREMM frigate Tahya Misr - photo DCNS.jpg

FREMM frigate Tahya Misr - photo DCNS.jpg

 

23 July 2015 by defenceWeb

 

The Egyptian Navy’s new FREMM frigate Tahya Misr has departed DCNS’ shipyard in Brest, France, for Alexandria in Egypt, where it will arrive on 2 August.

 

The vessel left France yesterday. It was originally handed over to the Egyptian Navy on 23 June and the following day sailed with Egyptian crew for training and sea trials. Training was carried out off the coast of Lorient, where the vessel was built, before sailing for Brest. A firing campaign using the ship’s 20 mm and 76 mm weapons was carried out off the coast of Brittany, reports Mer et Marine.

 

In addition to some hundred sailors on board, several dozen DCNS and Défense Conseil International (DCI) instructors are providing training at sea.

 

From March 2015, DCNS has been training the Egyptian crew. In order to operate such a highly-automated ship safely, DCNS and its partners accompany the crew for a period of 15 months, the company said. The programme is composed of several phases: theoretical modules, on-land training using platforms and simulators and then onboard training both at the quayside and at sea.

 

Tahya Misr will arrive in Egypt in time to mark the inauguration of the expansion of the Suez Canal on 6 August. The event will also see three Dassault Rafales fly over. These, the first of 24, arrived in Egypt in 21 July.

 

Tahya Misr was originally destined for the French Navy as the Normandie, but following Egypt’s urgent order for the vessel in February this year it was instead transferred to Egypt.

 

The multirole FREMM frigates have been designed for several roles, including anti-air, anti-ship and anti-submarine warfare. They feature Herakles multifunction radar, Aster surface-to-air missiles, MdCN cruise missiles, Exocet MM40 anti-ship missiles, MU90 torpedoes and an Otobreda 76 mm gun. Each vessel is 142 metres long, has a beam of 20 metres and displaces 6 000 tonnes.

 

Although there is accommodation for 145 personnel, the standard complement is 108 including the helicopter crew - the frigate has an aft helicopter hangar and deck able to accommodate medium helicopters. Egypt is believed to be seeking an NH90 maritime helicopter for the frigate.

 

The FREMM's hybrid CODLOG (COmbined Diesel eLectric Or Gas) power package combines electric motors for low-speed silent-mode propulsion and a gas turbine for high-speed mechanical propulsion, with a maximum speed in excess of 27 knots. This gives a range of 6 000 nm at 15 knots.

 

Egypt has also ordered four Gowind 2500 corvettes from DCNS, with metal being cut for the first vessel on 16 April with delivery scheduled for September 2017. The remaining three corvettes will be built from next year by Alexandria Shipyards in Egypt and will be delivered between September 2018 and July 2019, reports Security and Defence Arabia.

 

The publication notes that the four Gowinds will be armed with an Oto Melara 76/62 Super Rapid Multi Feeding gun; two Reutech 20 mm Super Rogue turrets; eight MBDA MM 40 Block 3 Exocet anti-ship missiles; 16 MBDA VL MICA missiles and four DCNS MU90 torpedoes.

 

Other upcoming additions to the Egyptian Navy fleet include six 35 metre Swiftship patrol boats, ordered in November 2014. The vessels have a range of 1 000 nautical miles, a normal speed of 30 knots and a complement of 12. They are powered by three engines rated at 2 450 hp. Armament options include a 30 mm MSI Defense Systems or Oto Melara gun, two .50 calibre machineguns and two 7.62 mm machineguns.

 

Swiftships plans to start the 35 m Patrol Boat construction programme late this year, according to Security and Defence Asia.

 

Between 2010 and 2014 Swiftships designed and built four 28 metre patrol craft for the Egyptian Navy, with two assembled in Egypt and the other two co-produced by Egypt and Swiftships. Egypt’s Coast Guard operates a smaller coastal patrol type, the 26 metre Swift Protector.

 

On 17 June the final two of four 63 metre Ambassador IV class vessels arrived in Egypt, with the first two being sent to Egypt in May 2014. Each of the craft carry an OTO Melara 76 mm super rapid gun, eight Harpoon block II missiles, Mk 49 Rolling Airframe Missiles, Block 1B Close-In Weapon Systems (CIWSs) and two M60 machineguns. Powered by three MTU diesels, they have a top speed of 41 knots and with a crew of 38 they can operate at sea for up to eight days.

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2015 2 21 /07 /juillet /2015 16:30
Rafale Egypt - photo A. Pecchi Dassault Aviation

Rafale Egypt - photo A. Pecchi Dassault Aviation

 

21 July 2015 by defenceWeb

 

The Egyptian Air Force has officially taken delivery of its first three of 24 Rafale fighter jets from Dassault. The aircraft were handed over on Monday and are flying to Egypt today.

 

Dassault Aviation said that the official ceremony marking the acceptance by the Arab Republic of Egypt was held at the Dassault Aviation flight test centre in Istres, in the presence of Ehab Badawy, Egyptian Ambassador to France, and Dassault Aviation Chairman and CEO Eric Trappier.

 

An initial group of Egyptian users has been trained in France. Egyptian pilots, trained for two months by the French Air Force, are flying the first three Rafales to Cairo today.

 

“This contract constitutes a new milestone in the cooperation between Dassault Aviation and Egypt since the 1970s – more than 40 years of an exemplary partnership marked by commitment and mutual trust,” Trappier said. “After the Mirage 5, the Alpha Jet and the Mirage 2000, the Rafale is the fourth Dassault aircraft to fly in Egyptian colours, and Egypt is the first export customer for the Rafale, as it was for the Mirage 2000.

 

“We are very pleased with this partnership, which over time has shown its solidity and ensured the durability of the historical links between our two countries. On behalf of Dassault Aviation and its 8,000 employees, its partners Thales and Snecma and the 500 subcontractors, I thank the Egyptian authorities, for the trust they have placed in us once again, and also the authorities and the French armed forces, without whose support this success would not have been possible.”

 

This first delivery comes five months after the Egyptian decision to acquire 24 Rafales (16 two-seaters and 8 single-seaters). The new jets will be operated by the 203rd Tactical Fighter Wing.

 

Their delivery comes in time to take part in the opening ceremony of the expanded Suez Canal on 6 August.

 

Egyptian Rafales will be armed with Mica air-to-air missiles and Scalp cruise missiles. Last month Egypt ordered AASM Hammer guided missiles for the jets.

 

The first three Rafales were originally produced for the French Air Force but were diverted to Egypt instead, after some French equipment was removed. The remainder are due to follow at a rate of five aircraft per year.

 

France has ordered 180 Rafales and received 137 so far. In April India ordered 36 Rafales while in May Qatar signed a contract for 24 of the jets.

 

Trappier said that Dassault is increasing Rafale production in anticipation of further export orders, Reuters reports, with the number of annual Rafale deliveries to increase from 2018. The rate could at least double from a current 11, being produced at plants including Dassault Aviation's main assembly location at Merignac near Bordeaux in southwestern France.

 

Trappier reaffirmed that he expected to sign a contract for 36 Rafale jets with India in coming months after negotiations began in April.

 

Since Egypt’s order in February, talks are under way with Malaysia and the United Arab Emirates. Trappier has said he hopes to win a fourth Rafale contract this year.

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2015 2 21 /07 /juillet /2015 12:30
Les trois premières Rafale sous les cocardes égyptiennes… photo Dassault Aviation - A. Pecchi

Les trois premières Rafale sous les cocardes égyptiennes… photo Dassault Aviation - A. Pecchi

 

20 juillet 2015 par Aerobuzz.fr

 

La cérémonie officielle de réception par la République Arabe d’Égypte de ses trois premiers Rafale s’est tenue le 20 juillet 2015 au Centre d’essais en vol de Dassault Aviation, à Istres.

 

Cette première livraison intervient à peine cinq mois après la décision prise par l’Égypte d’acquérir 24 Rafale, 16 biplaces et 8 monoplaces, pour doter son armée de l’air d’un chasseur polyvalent de dernière génération, capable de répondre à ses besoins opérationnels et de lui permettre d’assurer, en toute souveraineté, sa position géostratégique dans la région.

 

Dassault a livré ses trois premiers Rafale à l’Égypte

Les premiers pilotes égyptiens de Rafale ont été formés en France par l’Armée de l’Air française – photo Dassault Aviation - A. Pecchi

 

Dans le même temps, un premier groupe d’utilisateurs égyptiens a été formé en France. Les pilotes égyptiens, entrainés dans l’armée de l’Air, convoieront jusqu’au Caire les trois premiers Rafale dès le 21 juillet 2015. Comme prévu initialement lors de la signature officielle du contrat, le 16 février 2015, les trois appareils défileront le 6 août à l’occasion de la cérémonie d’inauguration du nouveau canal de Suez .Les Rafale égyptiens sont pris sur le quota de l’Armée de l’air. C’est ce qui explique que Dassault ait pu les livrer aussi rapidement.

 

Dassault a livré ses trois premiers Rafale à l’Égypte

L’Egype, premier client export de Dassault Aviation pour le programme Rafale, a commandé 16 biplaces et 8 monoplaces photo Dassault Aviation - A. Pecchi

 

Après le Mirage 5, l’Alpha Jet et le Mirage 2000, le Rafale est le 4ème avion Dassault à voler sous les cocardes égyptiennes, et l’Égypte, tout comme elle l’avait été pour le Mirage 2000, est le premier client export du Rafale.

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 16:30
Les trois premières Rafale sous les cocardes égyptiennes photo A. Pecchi.- Dassault Aviation

Les trois premières Rafale sous les cocardes égyptiennes photo A. Pecchi.- Dassault Aviation

 

St-Cloud, le 20 juillet 2015 – Dassault Aviation

 

La cérémonie officielle de réception par la République Arabe d’Égypte de ses trois premiers Rafale s’est tenue aujourd’hui au Centre d’essais en vol de Dassault Aviation, à Istres, sous le patronage de Son Excellence M. Ehab Badawy, ambassadeur d’Égypte en France, et en présence d’Eric Trappier, Président-Directeur général de Dassault Aviation.

Cette première livraison intervient à peine cinq mois après la décision prise par l’Égypte d’acquérir 24 Rafale, 16 biplaces et 8 monoplaces, pour doter son armée de l’air d’un chasseur polyvalent de dernière génération, capable de répondre à ses besoins opérationnels et de lui permettre d’assurer, en toute souveraineté, sa position géostratégique dans la région.

Dans le même temps, un premier groupe d’utilisateurs égyptiens a été formé en France. Les pilotes égyptiens, entrainés dans l’armée de l’Air, convoieront jusqu’au Caire les trois premiers Rafale dès le lendemain de la cérémonie.

« Ce contrat constitue un nouveau jalon de la coopération qui lie Dassault Aviation et l’Égypte depuis les années 70, soit plus de quarante ans d’un partenariat exemplaire placé sous le signe de l’engagement et de la confiance mutuelle. Après le Mirage 5, l’Alpha Jet et le Mirage 2000, le Rafale est le 4ème avion Dassault à voler sous les cocardes égyptiennes, et l’Égypte, tout comme elle l’avait été pour le Mirage 2000, est le premier client export du Rafale. Nous nous réjouissons de ce partenariat qui a su dans le temps démontrer sa solidité et pérenniser les liens historiques qui unissent nos deux pays. Je remercie, au nom de Dassault Aviation et de ses 8000 salariés, de ses partenaires Thales et Snecma et des 500 entreprises sous-traitantes, les autorités égyptiennes pour la confiance qu’elles nous témoignent encore une fois, ainsi que les autorités et les Forces armées françaises, sans le soutien desquelles ce succès n’aurait pas été possible » a déclaré Eric Trappier.

 

A propos de Dassault Aviation

Avec plus de 8 000 avions militaires et civils livrés dans plus de 90 pays depuis 60 ans et représentant plus de 28 millions d’heures de vol, Dassault Aviation dispose d’un savoir-faire et d’une expérience reconnus dans la conception, le développement, la vente et le support de tous les types d’avion, depuis l’appareil de combat Rafale jusqu’à la famille de business jets haut de gamme Falcon en passant par les drones militaires. En 2014, le chiffre d’affaires de Dassault Aviation s’est élevé à 3,68 milliards d’euros.

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 17:30
photo Airbus HC

photo Airbus HC

 

01 July 2015 by defenceWeb

 

Egypt is reportedly seeking to acquire a single NH90 multimission helicopter for its new FREMM frigate, which was transferred by DCNS to the Egyptian flag on 23 June.

 

Navy Recognition, quoting several Middle Eastern news outlets, reports that Egypt is about to procure an NH90 for the multi-mission frigate Tahya Misr (originally the French Navy vessel Normandie). Apparently follow-on orders are expected since Egypt has four Gowind corvettes on order from DCNS.

 

The helicopter Egypt would get would be the NH90 NFH (NATO Frigate Helicopter), a type already in service with the French Navy and which has flown off the Normandie when it was still scheduled to enter French service.

 

NH Industries said the NFH features a redundant fly by wire system, a full composite corrosion free airframe, two powerful engines, a fully integrated weapon system as well as a wide cabin that is easily reconfigurable. Its main missions include Anti Submarine Warfare (ASW), Anti Surface Warfare (ASuW), Search and Rescue, maritime surveillance and control, transport, vertical replenishment, casualty evacuation (casevac), special operations including counter terrorism and anti-piracy.

 

French Navy NH90s are equipped with the Flash Sonics sonar system from Thales Underwater Systems, which combines the Flash active dipping sonar with the TMS 2000 sonobuoy processing system. Other French equipment includes ESM sensor, chaff and flare system, electro optic suite, Thales multimode 360 degree naval radar and MU90 torpedoes.

 

The Egyptian Navy presently flies ten SH-2G(E) Super Seasprite helicopters.

 

So far 241 NH90s (NFHs and Tactical Transport Helicopters) have been delivered and these have accumulated 83 000 flight hours. Customers include Australia, Belgium, Finland, France, Germany, Greece, Italy, New Zealand, Norway, Oman, Portugal, Spain, Sweden and The Netherlands. Qatar has signed a letter of intent for 12 NH90 TTHs and 10 NH90 NFHs.

 

The Tahya Misr is currently being used to work up the crew, and is to be commissioned in late July. It will arrive in Egypt in time for the celebration marking the expansion of the Suez Canal on 6 August. The frigate has an aft helicopter hangar and deck able to accommodate medium helicopters like the NH90, EH101 and Cougar.

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 16:30
The British Army trains 31 Egyptian Army officers on EOD

 

01 July 2015 by defenceWeb

 

On 17 June 31 Egyptian Army officers from the Egyptian Explosive Ordinance Disposal Brigade completed an intensive two week Counter Improvised Explosive Device Search training package in the United Kingdom run by the UK’s Explosive Ordinance Disposal experts 33 Engineer Regiment (EOD).

 

The Egyptian officers were praised by their British instructors for their professionalism, enthusiasm and desire to learn, the UK embassy said. The course, based upon the British Army’s Advanced Search Courses, was designed and tailored to the needs of the Egyptian Armed Forces and the challenges they face, and allowed both sides to share the lessons of their recent operational experiences.

 

The course provided the students with a framework with which to precisely analyse intelligence and the threat in a given area and use it to design a safe and sophisticated plan that they then executed on the ground. This knowledge will be used by the Egyptian Army to foster a deep understanding of IEDs in modern day warfare, and how they can be defeated, the embassy said.

 

The students, ranging from Lieutenant to Brigadier, were set to return to Egypt to develop a Counter Improvised Explosive Device Search capability in the Egyptian Army.

 

The UK course instructor said that, “The Egyptian officers were vastly experienced: watching them apply the UK concepts of Search to scenarios they’ve faced in real life was incredibly rewarding. This training represented an opportunity for both nations to improve their understanding of the threats they face”.

 

Ambassador John Casson said that “Egyptian soldiers in Sinai today face the same terrorist IED threat that British soldiers faced for many years in Afghanistan. It is good that British and Egyptian experts are now exchange their professional skills and experience to defeat this deadly threat. We will not leave Egypt to face this murderous violence alone.”

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 07:30
Exportations : Ryad, Abu Dhabi et Le Caire sur le podium France de 2014

L'Egypte a commandé à DCNS quatre corvettes Gowind de 2.500 tonnes pour environ 1 milliard d'euros  - photo DCNS

 

01/07/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Egypte. Voici les trois premiers clients de l'industrie d'armement française en 2014 qui ont représenté plus de 60% des exportations d'armements tricolores (5,3 milliards d'euros sur 8,2 milliards).

 

Arabie Saoudite (3,63 milliard d'euros), Émirats Arabes Unis (937,2 millions) et Égypte  (838,4 millions). Voici les trois meilleurs clients des industriels de l'armement français en 2014. L'an dernier, ils ont cumulé à eux trois 65% des exportations d'équipements militaires français (soit 5,39 milliards) sur un total de 8,21 milliards d'euros de prises de commandes en 2014, qui ont bondi de 18 % par rapport à 2013 (6,87 milliards d'euros). A elle seule, l'Arabie Saoudite, qui a gardé l'an dernier haut la main le titre de meilleur client de la France dans le domaine de l'armement, a commandé pour près de la moitié des ventes d'armes françaises en 2014.

"Ce résultat constitue la meilleure performance à l'export de l'industrie française de défense depuis quinze ans", avait relevé le rapport du ministère de la Défense au Parlement 2015 sur les exportations d'armement de 2014 de la France, publié début juin. Ce bilan va être explosé en 2015, une année durant laquelle les ventes d'armes de la France vont dépasser les 15 milliards d'euros grâce notamment aux deux contrats exports du Rafale en Egypte, puis au Qatar.

Le bilan des exportations de 2014 est un peu un retour aux années fastes des années 80, une période durant laquelle le Moyen et le Proche-Orient commandaient de très nombreux équipements à la France. Des contrats qui se sont au fil du temps raréfiés à la fin des années 90 et dans les années 2000. Ce qui a obligé les industriels français à diversifier leurs débouchés à l'exportation, notamment en Asie. L'an dernier, les commandes du Moyen et Proche-Orient ont atteint 5,73 milliards d'euros (69,7% des exportations). Outre les trois pays sur le podium en 2014, le Qatar fait également partie des dix meilleurs clients de la France avec 220,3 millions de matériels commandés à la France. "La France retire les dividendes de sa politique arabe", résume un industriel.

 

12 pays ont commandé plus de 100 millions d'armes à la France

Outre les trois premiers clients de la France en 2014, neuf autres pays ont acheté du matériels français pour plus de 100 millions d'euros : Indonésie (258,9 millions), Inde (224,7 millions), Qatar (220,3 millions), Mexique (174,4 millions), Pérou (153,8 millions), Brésil (143,8 millions), Singapour (116,4 millions), États-Unis (114,2 millions), Russie (101,7 millions). Soit des clients plutôt habituels de l'industrie française. Pour autant, ce sont trois pays de moins qu'en 2013, année où quinze d'entre eux avaient dépassé la barre symbolique des 100 millions d'euros de commandes.

Quatrième client de la France en 2014 comme en 2013, l'Indonésie, un pays sur lequel la France a décidé d'investir, reste en revanche à des montants élevés depuis le début des années 2010 : 480,1 millions en 2013, 151,7 millions en 2012, 96,3 millions en 2011 et 5,9 millions en 2010. Traditionnel client de la France depuis les années 2000 en Asie, la Malaisie n'a en revanche commandé en 2014 "que" 80,3 millions d'euros d'armements aux industriels tricolores. Soit le montant le plus faible de ces cinq dernières années pour ce pays qui apprécie habituellement les équipements français : 108,9 millions en 2013, 461 millions en 2012, 268,9 millions en 2011 et 360,4 millions en 2010.

A noter enfin que les exportations vers la Chine de matériels duals (utilisation civile et militaire) ont été en baisse en 2014 par rapport aux années précédentes (70,1 millions contre 107,8 millions en 2013, 114,3 millions en 2012, 93,7 millions en 2011, 109,8 millions en 2010).

 

Des pays "one shot"?

En 2014, des pays ont disparu ou presque des clients de la France. Notamment le Maroc, la belle surprise du classement des pays clients de la France qui figurait sur la troisième marche du podium de 2013 (584,9 millions). Après avoir commandé deux satellites d'observation de type Pléiades en deux phases (1 + 1), dont le montant s'élèverait à un peu plus de 500 millions d'euros, lancement compris, le Maroc est revenu à un flux de commandes plus classique (47,6 millions en 2014). Soit des montants à peu près similaires atteints en 2010 et 2011.

En revanche, deux pays, qui étaient de nouveaux clients de la France en 2013, ont à nouveau disparu complètement des radars des industriels français avec zéro commande en 2014 : la Bolivie (161 millions en 2013 pour l'achat de six hélicoptères Super Puma) et l'Ouzbékistan (208 millions pour l'acquisition de 10 Fennec et 6 Cougar). Pour la Bolivie, Thales a des chances de conclure en septembre, octobre un contrat d'environ 200 millions d'euros avec La Paz portant sur l'acquisition d'un système de contrôle et de surveillance aérien civil et militaire (ATM) équipé de dix radars.

 

Trois méga-contrats au Proche et Moyen-Orient

Pour atteindre de tels montants en 2014, la France a signé trois méga-contrats en Arabie Saoudite, aux Émirats Arabes Unis (EAU) et, enfin, en Égypte. Même si les industriels concernés par Donas n'ont pas entré en vigueur dans leurs comptes de 2014, le ministère de la Défense a comptabilisé l'année dernière ce contrat d'aide à l'armée libanaise de 3 milliards de dollars (soit environ 2,6 milliards d'euros), qui a été financé par l'Arabie Saoudite. Sur le milliard restant, une partie (auto-directeurs de Thales notamment) provient du contrat des missiles air-air britanniques Meteor qui vont équiper les Eurofighter saoudiens (plus de 1 milliard d'euros).

Pour les EAU, la France a réussi à signer définitivement en 2014 le contrat Falcon Eye, deux satellites espions fabriqués par Airbus Space Systems et Thales Alenia Space. Un contrat évalué à 700 millions d'euros (50-50 entre les deux industriels). En Égypte, DCNS a vendu quatre corvettes Gowind à la marine égyptienne pour près d'un milliard d'euros au total. En Indonésie, MBDA a placé un lot de missile surface-air Mistral et Airbus Helicopters a vendu des Panther tandis que Thales a vendu des systèmes de communications. Au Qatar, le groupe électronique a gagné un contrat d'environ 200 millions d'euros portant sur la fourniture d'un système sol de communications militaires pour échanger des données à haut débit et de manière protégée par satellite aux forces armées qataries.

Partager cet article
Repost0
26 juin 2015 5 26 /06 /juin /2015 07:30
photo R. Pellegrino DICoD

photo R. Pellegrino DICoD

 

24/06/2015 DICOD

 

Mardi 23 juin 2015, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu à Lorient afin de présider la cérémonie de transfert de propriété d’une frégate multimissions à l’Égypte. L’occasion pour lui de réaffirmer l’importance des relations qui unissent la France et l’Egypte.

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a présidé le mardi 23 juin 2015 sur le site de DCNS, à Lorient, la cérémonie de transfert de propriété de la Frégate multimissions (FREMM) commandée par l’Égypte.

 

Rappelant la « polyvalence » de ce bâtiment de guerre, « instrument de puissance et de souveraineté », le ministre a estimé que ce transfert était le « premier jalon concret d’une relation privilégiée entre la France et l’Egypte ». A ce titre, il a tenu à remercier l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la Marine nationale, Jean-Michel Palagos, président de Défense Conseil International, et leurs équipes qui ont permis en « un temps record » le transfert de savoir-faire entre les deux équipages d’armement, français et égyptien.

 

Il a enfin souligné que ce partenariat s’inscrivait dans un cadre plus large que représentent les menaces terroristes en Libye, en Syrie et en Irak. « Notre relation de défense symbolise enfin la reconnaissance par la France du rôle central que joue l’Egypte pour la sécurité de la région. Tandis que se développent, en Afrique et au Proche et Moyen Orient, des menaces terroristes sans précédent, les forces armées égyptiennes apparaissent comme un facteur de stabilité incontournable. »

 

FREMM : Frégates multimissions, des « plateformes performantes et endurantes »

Les FREMM disposent d’un système de combat optimisé pour fonctionner avec un équipage réduit et sont en mesure de remplir des missions de maîtrise de la zone d’opérations aéro-maritime, de frappe dans la profondeur, de lutte anti-sous-marine ou anti-aérienne ainsi que de soutien et d’appui aux opérations de projection.

Cérémonie de transfert de propriété d’une FREMM à l’EgypteCérémonie de transfert de propriété d’une FREMM à l’Egypte

photo DCNS : La cérémonie s’est déroulée en présence du Ministre de la Défense égyptien le Général Sedki Sobhy, du ministre de la Défense français, Jean-Yves Le Drian, de l’Amiral Ossama Rabie, chef d’état-major de la Marine égyptienne, de l’Amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la Marine nationale ainsi que Hervé Guillou, Président Directeur Général de DCNS.

Partager cet article
Repost0
13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 16:55
Rafale : Dassault se dit capable de doubler sa production avec un investissement quasi nul

Pressé de dire si une augmentation de cadence pour le Rafale nécessiterait des investissements industriels, le PDG de Dassault Aviation a estimé que ces investissements seraient "très légers".

 

13/05/2015 latribune.fr 

 

Le groupe augmentera les cadences s'il obtient un troisième contrat cette année avec l'Inde, explique Eric Trappier, le Pdg de l'avionneur. Le groupe doit finaliser avec ce pays la vente de 36 appareils, après les deux premiers et tout récents contrats signés au Qatar et en Egypte.

"Il y a toujours une chaîne de production, mais on augmentera les cadences si jamais on a un troisième contrat [à l'export, Ndlr]."

Ainsi, Eric Trappier, le PDG de Dassault Aviation a assuré que son groupe avait la capacité de doubler sa production "sans problème", en marge de l'assemblée générale de Thales (dont il est co-actionnaire).

 

Des investissements "très légers"

"Pour l'instant on a les deux premiers contrats (24 commandés par l'Egypte et 24 également pour le Qatar) qui s'inscrivent dans la chaîne de fabrication du Rafale telle qu'elle est aujourd'hui parce que la France substitue les avions français par les avions d'export", a-t-il ajouté.

"Les Indiens ont dit qu'ils étaient pressés d'acheter le Rafale et que, dans une structure accélérée de gouvernement à gouvernement, de gré a gré, ils en prennent déjà 36. Après on verra", a dit Eric Trappier, sans indiquer quand une signature pourrait avoir lieu.

Pressé de dire si une augmentation des cadences pour le Rafale nécessiterait des investissements industriels, le Pdg de Dassault Aviation a estimé que ces investissements seraient "très légers".

Partager cet article
Repost0
3 mai 2015 7 03 /05 /mai /2015 11:55
photo Livefist

photo Livefist

 

03 mai 2015 Par Thibaut De Jaegher - Usinenouvelle.com

 

La passe de trois ! Dassault a réussi à convaincre trois pays de lui acheter son avion de combat, le Rafale. Une percée innatendue voire inespérée qui ne doit rien au hasard.

 

Au football, on appelle cela le "hat-trick"  ou le coup du chapeau en bon français. Marquer trois buts coup sur coup dans un même match, c'est suffisamment rare dans la carrière d'un footballeur pour être souligné et célébré dignement. Toute proportion gardée, cette prouesse technique vient d'être réalisée par l'avion de chasse de Dassault Aviation. Le Rafale, produit depuis 2001 et jamais vendu à l'export, a réussi à séduire trois clients en l'espace de deux mois. L'Egypte puis l'Inde et enfin le Qatar, ce jeudi 30 avril, ont signé pour acquérir 80 exemplaires de cet aéronef.

 

La question que tout le monde se pose désormais, c'est : "pourquoi ?". Pourquoi l'avion de chasse made in France réussit aujourd'hui à séduire autant de clients après des années de disette ? Qu'est-ce qui fait que ce produit est devenu désirable aux yeux de nombreux prospects alors que le Rafale s'était plutôt illustré jusque-là comme le grande perdant des appels d'offres des avions de combat ? Plusieurs raisons explique ce revirement.

 

1. Des pays en ont (vraiment) besoin. Les trois pays, qui ont acquis l'avion de Dassault, doivent faire face à des menaces proches et avérées. L'Egypte doit composer avec son voisin lybien contrôlé en partie par Daesh. La situtation en Inde reste à couteau tiré avec le Pakistan. Et le Qatar a besoin de ces avions si l'émirat veut s'imposer comme une puissance qui compte dans le Golfe. Comme le souligne Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères dans l'entretien accordé à L'Usine Nouvelle, "n'achètent cet avion que les pays qui en ont un réel besoin compte tenu de leur voisinage et de la réalité stratégique. Pour certains prospects dont on a pu parler dans le passé, le Rafale ne correspondait sans doute pas tout à fait aux attentes des pays concernés." Ce n'est pas le cas désormais.

 

2. Le Rafale a prouvé sa performance. La guerre, menée au Mali par la France contre les terroristes, a permis de démontrer la polyvalence et l'efficacité de l'avion de chasse de Dassault Aviation. C'était finalement l'une des premières fois que le chasseur made in France se trouvait engagé seul sur un théâtre d'opération. L'offensive éclair de la France a donc prouvé sa capacité à affronter des menaces très variées tout en assurant des missions d'observation.

 

3. La France a joué collectif. Comme au football, on ne réussit pas à vendre de tel produit à l'export sans jouer groupé. Si un des membres du collectif joue "perso" (comme ce fut le cas lors de grands contrats nucléaires par exemple), il n'y a aucune chance de vendre. Laurent Fabius l'a souligné : "c'est une victoire de l'équipe de France de l'export". Comprendre : de l'industriel, du ministère de la Défense et de la diplomatie française qu'il dirige.

 

4. La politique étrangère de la France est appréciée... en regard de ce que font les Américains. Le froid actuel dans les relations diplomatiques entre les Etats-Unis et les pays du Golfe a clairement ouvert une fenêtre d'opportunité pour l'avion français. Couplé à l'omniprésence de Jean-Yves Le Drian, qui a multiplié les voyages dans les pays potentielllement acheteurs, cette évolution géopolitique a permis au Rafale de s'imposer.

 

5. La France a (vraiment) besoin de le vendre. Une dernière raison pourrait aussi expliquer le fait que le Rafale se vende mieux : l'Etat français ne peut plus à lui seul assurer les cadences de production et la viabilité du programme Rafale. Cette pression, notamment liée aux efforts de réduction des coûts inscrites dans la loi de programmation militaire, a sans aucun doute poussé tous les acteurs du dossier à tout faire pour trouver des solutions permettant de vendre enfin l'avion de combat hors de nos frontières. Que ce soit sur le volet financier ou le volet des transferts de technologie, chacun a été plus enclin à faire des concessions pour permettre au Rafale de voler au-delà de l'Hexagone. Avec succès.

 

Lire Rafale à l'export : et 1, et 2, et 3 contrats !

Partager cet article
Repost0
16 avril 2015 4 16 /04 /avril /2015 16:55
Quatre unités de cette corvette Gowind seront au total livrées à l’Égypte. (Image DCNS)

Quatre unités de cette corvette Gowind seront au total livrées à l’Égypte. (Image DCNS)

 

15/04/2015 LeMarin.fr

 

Après avoir scellé en février la vente de la Fremm Normandie à la marine égyptienne, le groupe naval DCNS a accueilli sur son site de Lorient plusieurs hauts représentants en provenance du Caire pour procéder, le 15 avril, à la découpe de tôle de la toute première corvette Gowind 2500 pour respecter une précédente commande enregistrée en juin 2014.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:30
source Egyptdailynews.com

source Egyptdailynews.com

 

01/04/2015 latribune.fr (AFP)

 

Après la suspension de la livraison en 2013 pour cause de répression sanglante en Egypte, le président américain a annoncé la livraison d'avions de chasse, de missiles et de pièces détachées pour char

 

Le président américain Barack Obama a informé mardi son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi qu'il levait le gel sur la livraison d'avions de chasse F-16, de missiles Harpoon et pièces détachées pour chars Abrams M1A1.

Cette suspension avait été imposée en octobre 2013 à la suite de la répression sanglante contre les partisans du président Mohamed Morsi, destitué par l'armée le 3 juillet 2013.

 

L'Egypte impliquée au Yémen

Ces décisions doivent permettre de répondre aux intérêts communs des deux pays "dans une région instable", a indiqué l'exécutif américain dans un communiqué.

Impliquée dans la lutte contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) en Libye, l'Egypte participe par ailleurs à la coalition arabe, dirigée par l'Arabie Saoudite, qui mène une intervention militaire au Yémen pour contrer l'avancée des rebelles chiites Houthis. L'annonce porte sur 12 avions de chasse F-16 et 20 missiles Harpoon, a précisé la Maison Blanche.

Lors de cette conversation téléphonique, M. Obama a aussi indiqué au président égyptien qu'il continuerait à demander une aide annuelle de 1,3 milliard de dollars (1,2 milliard d'euros) pour l'Egypte au titre de l'assistance militaire.

 

1,5 milliard de dollars d'aide à l'Egypte

Les Etats-Unis allouent chaque année 1,5 milliard de dollars (1,4 milliard d'euros) d'aide à l'Egypte, dont 1,3 milliard dans le domaine militaire. Une partie de celle-ci avait été gelée après la destitution de M. Morsi, élu démocratiquement un an et demi après la chute de Hosni Moubarak à l'issue d'une révolte populaire.

Washington avait conditionné la reprise de cette aide à des réformes démocratiques, avant d'admettre qu'il ne pouvait plus bouder le plus peuplé et mieux armé des pays arabes notamment face à la progression des jihadistes de l'EI.

M. Sissi, qui a lancé mi-février ses avions de combat dans un raid contre l'EI en Libye, est le principal chef d'Etat de la région qui réclame la formation d'une force arabe commune pour faire face à cette menace.

La Maison Blanche précise que, lors de cet échange téléphonique, M. Obama a également réitéré les inquiétudes américaines concernant l'emprisonnement d'activistes non-violents ainsi que les procès de masse. Il a appelé au respect de "la liberté d'expression et de rassemblement".

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories