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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 17:45
FFDj : le général Philippe Montocchio prend le commandement des FFDj

 

13/08/2014 Sources : EMA

 

Le 9 août 2014, les honneurs ont été rendus au général de brigade aérienne Philippe Montocchio à l’occasion de sa prise de commandement des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Il succède ainsi au général de brigade aérienne Joël Rode.

 

Le général Montocchio, accompagné de l’adjoint interarmées, le capitaine de vaisseau Antoine Camus, a rendu le salut au piquet d’honneur composé des principales formations des FFDj : 5e Régiment Interarmes d’Outre-Mer (5° RIAOM), la Base Navale (BN), la Base Aérienne 188 (BA 188) et l’Etat-Major Interarmées (EMIA). Cette cérémonie a marqué le début du mandat du nouveau général commandant les Forces françaises stationnées à Djibouti.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente grâce notamment au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités des FFDj, les unités ou écoles de métropole ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : le général Philippe Montocchio prend le commandement des FFDj
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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 16:45
FFDj : le général Philippe Montocchio prend le commandement des FFDj

 

 

13/08/2014 Sources : EMA

 

Le 9 août 2014, les honneurs ont été rendus au général de brigade aérienne Philippe Montocchio à l’occasion de sa prise de commandement des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Il succède ainsi au général de brigade aérienne Joël Rode.

 

Le général Montocchio, accompagné de l’adjoint interarmées, le capitaine de vaisseau Antoine Camus, a rendu le salut au piquet d’honneur composé des principales formations des FFDj : 5e Régiment Interarmes d’Outre-Mer (5° RIAOM), la Base Navale (BN), la Base Aérienne 188 (BA 188) et l’Etat-Major Interarmées (EMIA). Cette cérémonie a marqué le début du mandat du nouveau général commandant les Forces françaises stationnées à Djibouti.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente grâce notamment au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités des FFDj, les unités ou écoles de métropole ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : le général Philippe Montocchio prend le commandement des FFDjFFDj : le général Philippe Montocchio prend le commandement des FFDj
FFDj : le général Philippe Montocchio prend le commandement des FFDjFFDj : le général Philippe Montocchio prend le commandement des FFDj
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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 15:55
FFDj : Expérimentation du TIGRE HAD sur le territoire djiboutien

 

30/07/2014 Sources : EMA

 

Du 29 juin au 29 juillet 2014, l’expérimentation du TIGRE version hélicoptère appui-destruction (HAD), a été réalisée sur le territoire de Djibouti, avec l’appui technique et le soutien des FFDj.

 

Cette campagne avait un double objectif. Dans un premier temps, et sous la direction du groupement aéromobilité de la section technique de l’armée de Terre (GAMSTAT) de Valence, la campagne avait pour objet de conduire, dans le périmètre d’une expérimentation technico opérationnelle (EXTO), une évaluation de cette nouvelle version du Tigre (HAD) par « temps chaud ». Djibouti, avec ses températures extrêmes et son environnement de sable et de poussière, regroupait toutes les conditions idéales pour ces évaluations.

 

Le second objectif s’inscrivait dans le cadre d’une expérimentation tactique (EXTA) menée par le 1errégiment d’hélicoptères de combat (1erRHC) de Phalsbourg. Le but étant pour les équipages de s’approprier la machine, de rédiger les procédures particulières, et de manœuvrer en conditions difficiles, afin d’atteindre une première capacité opérationnelle fin 2014.

 

La campagne s’est déroulée en trois phases : une première phase consacrée aux essais techniques de l’aéronef, une seconde dédiée à l’essai du système d’arme du Tigre, et une troisième phase d’exercices de synthèse effectués dans un cadre tactique au profit, notamment du 5e régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM).

 

Tout au long de cette campagne, le détachement de l’aviation légère de l’armée de terre (DETALAT) et le groupement de soutien de la base des FFDj (GSBFFDj) ont apporté leur connaissance de l’environnement désertique et de ses spécificités aéronautiques, ainsi que le soutien logistique indispensable au détachement TIGRE pour réaliser sa mission : structures nécessaires à la mise en œuvre des hélicoptères, mais également le soutien en personnel, en spécialistes et en matériels.

 

Avec au final pas moins de 100 heures de vol réalisées par les équipages, la validation de la projection opérationnelle d’un module TIGRE (2 hélicoptères), et la réalisation d’une campagne de tirs canon, roquettes et missiles, les objectifs de ce mois d’expérimentation à Djibouti ont tous été atteints.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente grâce notamment au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD).

FFDj : Expérimentation du TIGRE HAD sur le territoire djiboutienFFDj : Expérimentation du TIGRE HAD sur le territoire djiboutienFFDj : Expérimentation du TIGRE HAD sur le territoire djiboutien
FFDj : Expérimentation du TIGRE HAD sur le territoire djiboutien
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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 07:45
Crédit R. Connan  DICOD

Crédit R. Connan DICOD


10.07.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Yves Fromion (député du Cher) et son homologue lorientais Gwendal Rouillard ont présenté mercredi 9 juillet leur rapport sur "l’évaluation du dispositif militaire en Afrique et le suivi des opérations en cours". Ce rapport sera en ligne samedi sur le site de la commission mais on peut voir la vidéo de la séance de mercredi matin.

 

Les deux députés ont voulu dès leurs propos liminaires "tirer la sonnette d’alarme sur la déflation prévue à Djibouti". En effet, il est envisagé de réduire les effectifs de 1900 militaires actuellement à 950 dans ce qui va devenir, avec Abidjan, l’une des deux bases opérationnelles avancées d’Afrique. 950 hommes, avec une seule mission pour l’armée de l’air (la défense aérienne), pas d’Alat sur place et un RIAOM sans appuis lourds ! Donc, la moitié des moyens serait supprimée mais sans réduire le contrat opérationnel et sans réviser à la baisse les récents accords de défense signés avec le régime djiboutien.

Djibouti ne peut être une variable d’ajustement, estiment les rapporteurs qui préconisent que les effectifs soient fixés à 1 300 hommes (pas de détails sur la composition et l’équipement de cette garnison). Le contrat opérationnel serait alors "respectable" et la force disposerait de moyens limités mais lui permettant tout type de mission.

L’idée, soufflée par des militaires, semble "raisonnable" selon Gwendal Rouillard qui met en avant les menaces que font courir AQPA et les shebab somaliens sur la Corne de l’Afrique, la menace terroriste (concrétisée par l’attentat dans un restaurant) et la piraterie en mer rouge et dans le détroit de Bab-el-Mandeb.

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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 07:45
FFDj : visite de trois ministres djiboutiens sur un exercice de défense aérienne

 

08/07/2014 Sources : EMA

 

Le 24 juin 2014, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et les forces armées djiboutiennes (FAD) ont réalisé un exercice de défense aérienne (DAEX).

 

Cette entrainement conjoint s’est effectué sous le regard des hautes autorités politiques djiboutiennes, parmi lesquelles monsieur Mahamoud Ali Youssouf, ministre des affaires étrangères, monsieur Moussa Ahmed Hassan, ministre de l’équipement, ainsi que monsieur Ahmed Ali Silay, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangèreschargé de la coopération internationale. La délégation était également accompagnée de monsieur Serge Mucetti, ambassadeur de France à Djibouti.

 

Deux scenarii de menaces aériennes avaient été imaginés. Le premier consistait au détournement d’un avion commercial civil par des pirates de l’air, le second à celui d’un appareil « lent », de type hélicoptère, par des terroristes désirant perpétrer une attaque suicide.

 

La délégation a suivi toute l’évolution de l’exercice depuis la « salle de contrôle et d’interception » de la base aérienne de Djibouti. Les autorités ont ensuite assisté à un décollage sur alerte puis à des démonstrations de vol réalisées par les MIRAGE 2000-5 et 2000-D de l’escadron de chasse et par le SA 330 PUMA de l’escadron de transport.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente grâce notamment au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD).

FFDj : visite de trois ministres djiboutiens sur un exercice de défense aérienne
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30 juin 2014 1 30 /06 /juin /2014 17:45
FFDJ : un stage multinational au CECAD

 

30/06/2014 Sources : EMA

 

Du 23 au 30 mai 2014, une soixantaine de stagiaires français, américains éthiopiens, ainsi qu’un officier supérieur ougandais et un officier comorien ont effectué un stage au Centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD), armé par les Forces française stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Dirigé par dix instructeurs du 5e régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM), cet entrainement avait pour objectif de renforcer les capacités opérationnelles au combat en zone désertique. Durant leur séjour au CECAD, les stagiaires ont acquis des savoir-faire tactiques et techniques, individuels et collectifs.

 

La barrière de la langue et les conditions climatiques extrêmes ont été une véritable épreuve pour les stagiaires français et étrangers. Malgré ces difficultés, chacun a su profiter des conseils et des instructions prodigués par les instructeurs français pour repousser ses limites physiques et mentales.

 

L'aguerrissement au CECAD s'appuie sur trois piliers : la connaissance du milieu, comprenant la capacité à vivre et survivre en zone semi-désertique (nomadisation) ; le combat en zone semi-désertique, avec notamment le combat de contre-rébellion ; l’entraînement de type commando. Les stagiaires ont donc suivi les différents modules du centre, tels que les pistes d’audace et nautique, les formations à la survie en milieu désertique (s’abriter, s’hydrater, s’alimenter, se déplacer) et la révision des fondamentaux du combat et du secourisme au combat.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDJ : un stage multinational au CECADFFDJ : un stage multinational au CECAD
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22 juin 2014 7 22 /06 /juin /2014 11:45
FFDj : DIO au profit des forces armées djiboutiennes

 

 

20/06/2014 Sources : EMA

 

Du 31 mai au 12 juin 2014, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont conduit un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) de type infanterie, au profit du bataillon Hiil 2 (BATHIIL 2) des forces armées djiboutiennes (FAD).

 

Cette instruction, réalisée par le 5e régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM), s’inscrit dans le cadre de la préparation opérationnelle du BATHIIL 2, en vue de sa prochaine projection au sein de la Mission de l’Union Africaine en Somalie (AMISOM). Près de 500 militaires djiboutiens, articulés en 3 compagnies de combat, ont participé à cette action de formation de deux semaines, dans la région d’Arta-Plage et de Maryam-Koron à l’ouest de Djibouti.

 

La première phase du DIO, encadrée par près de 85 instructeurs issus de toutes les composantes interarmes du 5e RIAOM et de 30 instructeurs des FAD, était dédiée à l’instruction technique et tactique des 3 compagnies sous forme d’ateliers. L’effort portait sur la maîtrise des missions communes à l'armée de terre (MICAT) : escorte de convoi, contrôle de zone, réaction à une embuscade, mise en œuvre d’un check-point, fouille de personnel et de véhicule, ainsi que sur les savoir-faire du combat d’infanterie. Les soldats djiboutiens ont également suivi des instructions spécifiques telles que la lutte contre les IED (improvised explosive device), le sauvetage au combat de niveau 1 (SC1), ainsi que des cours d’aéromobilité ponctués par des opérations héliportées (OHP) du détachement d’aviation légère de l’armée de terre (DETALAT).

 

La seconde phase, qui s’est déroulée sur 48 heures, a fait l’objet du contrôle opérationnel du BATHIIL 2. Les 12 sections engagées ont participé à un rallye, articulé autour de 6 ateliers. Tous les niveaux de commandement ont été évalués (du soldat au chef de section) au travers d’exercices tactiques, menés au plus proche des retours d’expérience des théâtres d’opérations extérieures en milieu désertique.

 

Son excellence monsieur Serge Mucetti, ambassadeur de France à Djibouti, accompagné d’autorités militaires djiboutiennes et françaises, s’était rendu sur ce rallye afin de rencontrer les stagiaires et apprécier le travail de coopération entre les deux nations.

 

Cette formation opérationnelle a été effectuée à la demande des autorités djiboutiennes, dans le cadre du traité de coopération en matière de défense signé en décembre 2011 entre la France et la république de Djibouti. Les FFDj participent aussi régulièrement à la formation des contingents burundais et ougandais de l’Union Africaine (UA), déployés en Somalie dans le cadre de l’AMISOM.

FFDj : DIO au profit des forces armées djiboutiennes
FFDj : DIO au profit des forces armées djiboutiennesFFDj : DIO au profit des forces armées djiboutiennes
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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 07:45
FFDj : stage de survie en mer pour le DETALAT

 

05/06/2014 Sources : EMA

 

Le 14 mai 2014, le détachement d’aviation légère de l’armée de terre (DETALAT) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) a réalisé une journée d’instruction de survie en mer.

 

L’exercice baptisé « SAMAR » s’est déroulé à proximité de l’île de Maskali au large de Djibouti. L’objectif de l’instruction était de permettre aux équipages qualifiés CESSAN (centre d’entrainement à la survie et au sauvetage de l’aéronautique navale) de réviser les procédures qui leur ont été enseignées. Les membres opérationnels de soute (MOS) ont pu, quant à eux, mettre en pratique le cours d’information « survol maritime » qui leur est dispensé en début de séjour à Djibouti.

 

Après avoir été déposés sur l’île en hélicoptère Puma, les équipages se sont mis à l’eau. Sous la supervision du plongeur-sauveteur du DETALAT, ils ont ensuite parcouru 300 mètres à la nage, afin de rallier le point de passage en apnée. Après avoir plongé à 5 mètres de profondeur, les personnels navigants (PN) ont « percuté » chacun à leur tour leur gilet afin d’actionner le dispositif de flottabilité, reproduisant ainsi la gestuelle de sortie d’hélicoptère immergé. Les équipages se sont ensuite regroupés en formation « chenille » (méthode qui consiste à s’accrocher par les jambes et qui permet d’éviter la dispersion).

 

La deuxième phase du stage consistait au repérage et à l’évacuation des naufragés. Pour cela, les équipages ont d’abord procédé à des lancements de fusées de signalisation pour avertir et guider l’approche du Puma sur leur position. Puis un à un, le personnel a été hélitreuillé à bord du Puma et déposé à terre.

 

Cette instruction est organisée à chaque nouveau mandat de mission courte durée (MCD) sur Djibouti. Il permet aux équipages du DETALAT de parfaire les procédures particulières et la mise en œuvre de moyens spécifiques en cas de crash en mer.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime, soutien santé). Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente, avec le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

 

FFDj : stage de survie en mer pour le DETALATFFDj : stage de survie en mer pour le DETALAT
FFDj : stage de survie en mer pour le DETALATFFDj : stage de survie en mer pour le DETALATFFDj : stage de survie en mer pour le DETALAT
FFDj : stage de survie en mer pour le DETALATFFDj : stage de survie en mer pour le DETALAT
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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 17:45
Photos SGC K. Congini - Armée de l'Air

Photos SGC K. Congini - Armée de l'Air

 

27/05/2014 Sources : EMA

 

Le 14 mai 2014, un hélicoptère Puma du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) a rejoint la flotte aéromobile des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Engagé dans l’opération Serval, au Mali, l’aéronef a été relevé début mai par un hélicoptère Cougar nouvelle génération.

 

Son convoyage a été assuré par le C160 Transall de l’escadron de transport (ET) 88 Larzac depuis Gao au Mali, vers la base de Djibouti. Ce transfert a été réalisé dans le cadre de la relève opérationnelle et selon la logique de bascule d’efforts qui prévaut entre les forces françaises déployées en Afrique. Les FFDj mettent actuellement deux de leurs hélicoptères Puma à disposition de l’opération Sangaris, en République centrafricaine.

 

Pour convoyer par avion cet hélicoptère de près de 5 tonnes, les mécaniciens du peloton de soutien du DETALAT des FFDj ont procédés au démontage minutieux de l’aéronef. La poutre de queue, le MRP (Moyeu Rotor Principal) et la cellule (habitacle et soute) ont été démontées puis chargées, une à une, dans la soute du Transall. Les points sensibles de l’hélicoptère, barque (partie inférieure du Puma) et moteurs notamment, ont fait l’objet d’une attention rigoureuse, car ils ne doivent pas toucher la structure de l’avion pendant le chargement, au risque d’endommager l’un ou l’autre, voire les deux aéronefs.

 

A leurs côtés dans cette manœuvre délicate, les mécaniciens navigants de l’escadron de transport ont apporté leur soutien et leurs savoir-faire sur le chargement et la répartition des parties de l’hélicoptère dans la soute du C160.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné, permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente, avec le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : convoyage d’un hélicoptère de Gao à DjiboutiFFDj : convoyage d’un hélicoptère de Gao à DjiboutiFFDj : convoyage d’un hélicoptère de Gao à Djibouti
FFDj : convoyage d’un hélicoptère de Gao à Djibouti
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25 mai 2014 7 25 /05 /mai /2014 11:45
Les artilleurs dans le désert djiboutien

Les artilleurs dans le désert djiboutien / Crédits : 68eRAA

 

15/05/2014 J. SEVERIN - Armée de Terre

 

Durant le mois de mai, la batterie sol-air du 68e régiment d’artillerie d’Afrique a été projetée en mission courte durée à Djibouti, à l’occasion du partenariat entre le groupement d’application de l’école d’artillerie (EA) et le 5e régiment interarmes d’outre-mer (5eRIAOM).

 

De nombreux moyens, français et américains, ont été déployés pour ce partenariat. Les sorties quotidiennes d’aéronefs - hélicoptères Gazelles, Puma, Super-Cobra, Blackhawk ou encore avions Mirage 2000 et AV-8 Harrier - ont fourni un plastron aérien actif. « Ce partenariat était une formidable opportunité de s’entraîner dans un cadre interallié car rares sont les exercices d’une telle ampleur », confie le lieutenant Yvelin, chef de section de la batterie sol-air du 68e RAA.

 

L’entraînement a été riche et varié de jour comme de nuit. Lors d’un raid blindé, le détachement sol-air a notamment « apporté la puissance de feu de son canon de 20 mm et une couverture anti-aérienne jusqu’au premier échelon du sous-GTIA blindé ».

 

Les deux sections ont également réalisé une opération héliportée Mistral. « Les pièces étaient déposées sur des pitons et déployées une défense sol-air au profit des unités amies dans un terrain difficile d’accès », précise le lieutenant Yvelin.

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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 11:55
FFDj : Les lieutenants de l’artillerie à l’ « école du désert »

 

15/05/2014 Sources : EMA

 

Du 15 avril au 3 mai 2014, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont accueilli les élèves-officiers de l’école d’Artillerie de Draguignan, dans le cadre de la formation « école du désert ».

 

L’objectif de cette formation était de mettre en situation de commandement les 40 lieutenants insérés dans des sections armées par le 5e régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM), et de les plonger au cœur d’un dispositif interarmes, interarmées et interalliés, dans un environnement aux conditions climatiques extrêmes, proches des théâtres maliens ou encore tchadien.

 

Après une première phase de « mise en conditions », au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD), les lieutenants se sont essayés aux pistes d’audace et nautiques, ainsi qu’aux instructions à la survie en milieu désertique. La formation s’est poursuivie par un parcours de tirs interarmes. Les élèves ont réalisé de nombreux tirs d’artillerie en réel (canon de 155 TRF1, mortiers de 120 mm, pièces de mistral et milan), aux côtés des sections d’infanterie, des pelotons blindés AMX10 RC et du TC2.

 

Avec la contribution des hélicoptères des FFDj, les sections ont exécuté des « RAID ART » (Raid Artillerie). Les « RAID ART » sont des opérations aéromobiles visant à mettre en place des mortiers et des munitions pour effectuer, en zone d’insécurité, des tirs hors de portée de l’artillerie classique. Les stagiaires se sont également entraînés au guidage aérien, grâce à la participation des avions de chasse français et américains. La formation s’est achevée par un exercice de synthèse de quatre jours dans la région d’Ali Sabieh, à environ 10 km de la frontière éthiopienne.

 

Aux côtés des lieutenants, près de 400 militaires, dont 220 marines de la 22e marine expeditionary unit (MEU) américaine ont contribué jour et nuit à ces exercices, avec près de 120 véhicules mobilisés, plusieurs dizaines d’actions de tirs réel, et une trentaine d’actions 3D.

La formation de trois semaines s’est clôturée par une prise d’armes, présidée par le général de brigade aérienne Joël Rode, commandant les FFDj, avec la remise des brevets « école du désert » à ceux qui avaient réussi toutes les épreuves.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné, permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente, avec le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

 

Reportage photos

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 16:45
FFDj : visite d’une délégation japonaise

 

12/05/2014 Sources : EMA

 

Le 28 avril 2014, le capitaine de vaisseau Koji Tachikawa, commandant la force de projection de surface pour la lutte anti-piraterie (DSPE) de l’armée japonaise a été reçu par le général de brigade aérienne Joël Rode, commandant les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Le capitaine de vaisseau Koji Tachikawa a succédé au capitaine Tajiri devenant ainsi le 18e commandant de la DSPE.

 

Au cours de cette rencontre, le commandant de la DSPE a tenu à remercier les forces françaises pour la coopération mise en œuvre entre les deux pays dans le domaine de la lutte contre la piraterie.

 

La DSPE est constituée de deux destroyers lance-missiles et de deux avions de patrouille maritime P3-C Orion. Son action s’est plus particulièrement illustrée les 17 et 18 janvier 2014, dans le cadre du soutien aérien apporté à  l’état-major embarqué d’Atalante  : la DSPE avait alors mis à disposition un avion de patrouille maritime qui a permis de pister un boutre suspecté de constituer une « base arrière » pour des attaques de piraterie.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être rapidement projetées en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:45
photo SGC Kévin Congini - Armée de l'Air

photo SGC Kévin Congini - Armée de l'Air

 

30/04/2014 Sources EMA

 

Le 23 avril 2014, le général de brigade Joël Rode, commandant les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj), a rencontré Madame Ursula von der Leyen, ministre de la Défense en Allemagne.

 

Lors de cette rencontre sous le hangar allemand de la base aérienne des FFDj, le COMFOR, accompagné du commandant de la BA 188, le colonel Sabéné et du chef de l’état-major des FFDj, le colonel Jovanovic, s’est entretenu avec la ministre allemande. Le général lui a rapidement présenté l’organisation et les missions des FFDj, les nombreux domaines de coopération franco-allemande à Djibouti et souligné les possibilités de renforcer encore la relation bilatérale. Le soutien logistique et opérationnel apporté par les FFDj aux moyens allemands engagés dans l’opération Atalante a été largement souligné par Madame von der Leyen.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

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17 avril 2014 4 17 /04 /avril /2014 08:20
Photos SGC K. Congini - Armée de l'Air

Photos SGC K. Congini - Armée de l'Air

 

16/04/2014 Sources : EMA

 

Du 27 mars au 2 avril 2014, sur la base aérienne 188 de Djibouti, l’escadron de chasse 3/11 « Corse » des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) a effectué un exercice aérien, en coopération avec un détachement des US Marines de la 22th Marine Expeditionary Unit (MEU).

 

La première partie de cet exercice, baptisé « Monfreid », avait pour objectif d’entrainer les équipages aux vols longs avec convoyage aller-retour.

 

Dans un second temps, les pilotes français et américains se sont entrainés à une série de missions conjointes :

    Air Interdiction (AI), c’est-à-dire pénétration en territoire hostile ;

    Close Air Support (CAS) désigne l’utilisation d’avion d’attaque au sol ou d’hélicoptères d’attaque pour appuyer des troupes ;

    Personnel Recovery (PR) ou récupération de personnel ;

    Composite Air Operations (COMA), lorsqu’un dispositif complexe d’aéronefs différents réalise des missions à plusieurs objectifs.

 

Un C135 a assuré le ravitaillement en vol des quinze aéronefs participants, avec parfois jusqu’à deux à trois ravitaillements sur un même vol.

 

La diversité des thèmes de l’exercice « Monfreid » et l’environnement particulier de Djibouti ont permis aux équipages français et américains d’approfondir leurs connaissances et leurs techniques respectives, de parfaire la coordination et la coopération entre les éléments, et enfin, d’évaluer leurs capacités dans des missions longues et exigeantes.

 

Les FFDj effectuent régulièrement des exercices conjoints avec les forces américaines présentes à Djibouti. Ainsi, les militaires américains peuvent profiter des installations d’entraînement des FFDj, notamment le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Enfin, les états-majors des FFDj et de la Combined Joint Task Force – Horn of Africa (CJTF-HOA) se réunissent régulièrement afin de coordonner l’ensemble de leurs activités à Djibouti.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

FFDj : exercice aérien franco-américain
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10 avril 2014 4 10 /04 /avril /2014 12:45
FFDj : exercice MEDICHOS

 

10/04/2014 Sources : EMA

 

Les 24 et 25 mars 2014, un exercice  de médicalisation a été réalisé au profit du personnel de santé des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et de l’escadron blindé du 5erégiment interarmes d’Outre-mer (5e RIAOM), sur le site du centre d’entrainement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD) de Djibouti.

 

L’exercice de « MEDICalisation milieu HOStile » (MEDICHOS), avait pour objectif d’évaluer et de perfectionner le personnel médical des FFDj sur les techniques de prise en charge des blessés en situation tactique hostile (embuscades, prises à partie…). L’escadron blindé du 5e RIAOM, dans lequel les équipes médicales étaient insérées, a également tiré parti de cet exercice pour consolider la formation de ses équipages.

 

Durant la manœuvre, les militaires ont été confrontés à plusieurs incidents simulés, auxquels ils ont du répondre en restituant les savoir-faire du SC1 (secourisme au combat de niveau 1) : extraction du blessé sous les feux, diffusion de l’alerte, premiers gestes de secours et soutien du blessé jusqu’à l’arrivée de l’équipe médicale. Une EVASAN (évacuation sanitaire) par hélicoptère Puma a également été réalisée le dernier jour, afin de dérouler en réel toutes les étapes de la prise en charge d’un blessé.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 12:45
photo D. Payet- 5e RIAOM

photo D. Payet- 5e RIAOM

26 mars 2014  FORCESFRANCAISES

 

Le 5 mars 2014, deux hélicoptères Puma du détachement de l'aviation légère de l'armée de Terre (DETALAT) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont été engagés en République Centrafricaine.

Ces 2 aéronefs finalisent le déploiement des moyens complémentaires annoncés le 14 février 2014 par le président de la République. Elles permettront d'assurer les missions d'appui feu aux troupes engagées au sol ainsi que le transport de troupes, de matériel, de vivres ou d'évacuations médicales. Chacun de ces hélicoptères a été démonté, convoyé par avion Transall C 160 depuis Djibouti jusqu'à Bangui et remonté pour être opérationnels en moins d'une semaine.

Le sous-groupement aéromobile de la force Sangaris est essentiellement armé par le 3erégiment d'hélicoptères de combat (3eRHC) de l'ALAT ainsi que des éléments de l'armée de l'air. Il est composé de 6 hélicoptères de manœuvre de type Puma, 2 hélicoptères d'attaque de type Gazelle et de deux hélicoptères de reconnaissance et d'appui de type Fennec de l'armée de l'air en provenance d'Orange et Villacoublay.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 19:45
Sangaris : Les FFDj s’engagent en Centrafrique
 
 

20.03.2014 Crédits photos : EMA / ECPAD

 

Le 14 mars 2014, sur l’aéroport international de Djibouti, le 5e régiment interarmes d’Outre-mer (5e RIAOM) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) embarque pour Bangui.

Le 5e RIAOM a reçu pour mission d’armer le GTIA Scorpion de la force Sangaris en relève du GTIA Panthère qui était armé par des militaires du 6e BIMA issus des forces pré positionnées au Gabon.

 

Reportage photos
 

Sangaris : Les FFDj s’engagent en Centrafrique
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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 19:45
Photo D. Payet - 5RIAOM

Photo D. Payet - 5RIAOM

 

11/03/2014 Sources : EMA

 

Le 5 mars 2014, deux hélicoptères Puma du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont été engagés en République Centrafricaine.

 

Ces 2 aéronefs finalisent le déploiement des moyens complémentaires annoncés le 14 février 2014 par le président de la République. Elles permettront d’assurer les missions d’appui feu aux troupes engagées au sol ainsi que le transport de troupes, de matériel, de vivres ou d’évacuations médicales. Chacun de ces hélicoptères a été démonté, convoyé par avion Transall C 160 depuis Djibouti jusqu’à Bangui et remonté pour être opérationnels en moins d’une semaine.

 

Le sous-groupement aéromobile de la force Sangaris est essentiellement armé par le 3erégiment d’hélicoptères de combat (3eRHC) de l'ALAT ainsi que des éléments de l'armée de l'air. Il est composé de 6 hélicoptères de manœuvre de type Puma, 2 hélicoptères d’attaque de type Gazelle et de deux hélicoptères de reconnaissance et d’appui de type Fennec de l’armée de l’air en provenance d’Orange et Villacoublay.

Photos D. Payet - 5RIAOMPhotos D. Payet - 5RIAOM
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Photos D. Payet - 5RIAOM

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 11:45
FFDj : Cession de matériel au profit des FAD

 

28/02/2014 Sources : EMA

 

Le 19 février 2014, dans le cadre de la coopération militaire bilatérale avec la république de Djibouti, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont cédé du matériel et des équipements aux forces armées djiboutiennes (FAD).

 

Cette cession, comme les formations régulièrement organisées par les FFDj au profit des FAD, a été réalisée dans le cadre du soutien apporté à la république de Djibouti pour renforcer sa capacité à participer à des opérations de maintien de la paix. A ce titre, les FFDj ont notamment contribué à la préparation des bataillons Hill 1 et 2 qui sont engagés dans le cadre de l’African Union Mission in Somalia (AMISOM) en Somalie. D’autre part, à la demande des autorités djiboutiennes, les FFDj ont formé 650 militaires et réalisé 12 détachements d’instruction opérationnelle au profit des FAD en 2013.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFD,) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

FFDj : Cession de matériel au profit des FADFFDj : Cession de matériel au profit des FAD
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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 11:45
FFDj : DIO au profit des forces djiboutiennes

 

28/02/2014 Sources : EMA

 

Du 12 au 27 février 2014, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont organisé un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) « Troupes aéroportées » (TAP) au profit d’une trentaine de stagiaires de l’académie militaire interarmées (AMIA) de la république de Djibouti.

 

Le DIO s’est articulé en trois phases : les tests physiques, la formation au sol et les six sauts. Les phases d’instructions au sol se sont déroulées sur une semaine en six modules qui suivaient les différentes phases du saut : de l’équipement, aux procédures de sécurité sous voile puis à l’atterrissage. L’après saut et le conditionnement du parachute étaient compris dans le 4e module. La chaleur, le poids du parachute et des équipements, le poids sur l’homme et les procédures à dérouler rapidement furent appréhendés après un entrainement de longue haleine.

 

Les deux derniers modules correspondant au repérage de la zone de saut et à l’organisation du personnel dans l’avion, appelée « la maquette », furent des étapes de visualisation charnières avant le saut. Très attentifs et ayant assimilé les différentes phases du saut, après avoir répété les même gestes jusqu’à l’automatisme, les stagiaires djiboutiens furent prêts à effectuer leur premier saut.

 

Le 19 février à l’aube, la trentaine de stagiaires a effectué son premier saut sur la zone de Katherine à quelques kilomètres au sud de l’aéroport international de Djibouti (AID). Ils ont tous validé leurs six sauts dont un avec ouverture du parachute ventral et deux avec gaine.

 

Le DIO TAP a été sanctionné par l’attribution d’un brevet militaire parachutiste français sur décision du cadre de l’école des troupes aéroportées envoyé en renfort pour l’occasion. Dans le cadre des accords de défense entre la France et la république de Djibouti, les FFDj reconduisent cette formation chaque année.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

FFDj : DIO au profit des forces djiboutiennesFFDj : DIO au profit des forces djiboutiennes
FFDj : DIO au profit des forces djiboutiennes
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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 13:45
FFDj : Exercice d’évacuation de ressortissants français et américains

 

 

19/02/2014 Sources : EMA

 

Les 27 et 28 janvier2014, la 1èrecompagnie du 5erégiment interarmes d’Outre-mer (5eRIAOM) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) a effectué un exercice d’évacuation de ressortissants français et américains (RESEVAC) en coopération avec un détachement de US Marines de la 13th Marine Expeditionary Unity (MEU), dans la région de Chabelley et Goubetto, à Djibouti.

 

Le scénario simulait le déploiement aux ordres de l’etat-major des FFDj d’un sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) pour protéger, puis évacuer des ressortissants français, suite à une vague de violence dans un pays fictif. Ce SGTIA était formé par la 1ère compagnie d’infanterie renforcée d’une section de Marines et d’un détachement aéromobile mixte composé de quatre hélicoptères: deux américains CH53 Stallion et deux français, un Puma et une Gazelle du détachement d’aviation légère de l’armée de Terre(DETALAT).

 

Il s’agissait de mettre en sécurité un groupe de ressortissants et d’agir contre un ennemi localisé à une cinquantaine de kilomètres de Djibouti : Le 27 janvier, un élément renseignement mixte formé par des tireurs d’élite (TE) français et des snipers américains a été déposé en Puma,dans la nuit, à l’ouest de Goubetto, à environ 50 km au sud de Djibouti. Après s’être infiltrés, les tireurs ont recueilli des informations sur le dispositif ennemi alors que l’hélicoptère Gazelle confirmait le renseignement. Peu de temps après, les Stallion ont déposé deux sections d’infanterie qui avaient pour mission de couvrir la récupération des ressortissants. A l’aube, la Gazelle a appuyé les unités au contact et détruit les premiers véhicules ennemis. L’exercice consistait alors à prendre en charge un blessé américain touché par un tireur isolé. Très vite, le blessé fictif a été évacué par le Puma EVASAN et pris en charge par l’équipe médicale à bord.

 

Les mortiers de120mm ont alors pris le relais des hélicoptères pour appuyer les éléments au sol. Simultanément, l’aéroport de Chabelley était sécurisé par deux sections pour permettre l’extraction de ressortissants. Face à une situation de plus en plus critique, une section en « quick reaction force »(QRF) a été déployée à Goubetto par Stallion pour compléter le dispositif et éviter que l’ennemi ne poursuive son infiltration. Vers 8h30, un convoi blindé arrivait dans le village, afin de mettre sous blindage les ressortissants. Ces derniers ont été évacués sous escorte d’un hélicoptère Gazelle jusqu’à Chabelley où un Stallion les a embarqués. Les dernières sections ont ensuite été récupérées par un Stallione t le Puma sous le feu ennemi, tandis que la Gazelle appliquait un tir de missile Hot.

 

Agissant dans un environnement très réaliste, les Marsouins et les US Marine sont confronté leur savoir-faire et leurs procédures de combat en ayant en permanence le souci de remplir la mission.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFD,) constituent depuis 2011la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine enattente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

FFDj : Exercice d’évacuation de ressortissants français et américains
FFDj : Exercice d’évacuation de ressortissants français et américains
FFDj : Exercice d’évacuation de ressortissants français et américains
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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 13:45
Djibouti : les FFDj accueillent 140 élèves officiers

 

19/02/2014 Sources : EMA

 

Du 11 au 25 janvier 2014, dans le cadre d’un partenariat de formation, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont accueilli près de 140 officiers des écoles d’infanterie et de cavalerie pour un stage opérationnel, essentiel à leur cursus de formation.

 

Le 5e régiment interarmées d’Outre-mer (RIAOM) a mis à disposition des AMX 10 RC et des véhicule de l’avant-blindé (VAB), les hélicoptères Puma et Gazelle du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT), des troupes de manœuvre et des instructeurs pour offrir aux 106 stagiaires de l’école d’infanterie de Draguignan et aux 26 stagiaires de l’école de cavalerie de Saumur une formation de très haut niveau.

 

Le stage était différent selon la spécialisation. Les officiers d’infanterie se sont rendus au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD) où ils se sont entraînés à la survie et au combat en milieu désertique. Ils ont aussi découvert le parcours nautique et suivi une instruction au combat de contre insurrection. Les stagiaires ont ensuite profité des reliefs et des zones d’entraînement des FFDj pour des séances de tir du niveau du détachement interarmes (DIA) ainsi que des exercices de combat, dont l’exercice de synthèse « jeunes chefs » du niveau SGTIA infanterie. Les officiers de cavalerie étaient là quant à eux pour utiliser le matériel, piloter les AMX10 RC et manœuvrer en conditions réelles avec eux. Ils ont ainsi pu exploiter au maximum les possibilités de manœuvre offertes par les terrains d’entraînement de Djibouti, notamment lors d’un exercice du niveau sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) à dominante blindé.

 

Le général Wattecamps, commandant les écoles de Draguignan et le général Sainte-Claire Deville, commandant les écoles de Saumur ont également participé à ces manœuvres sur le territoire djiboutien en compagnie de leurs stagiaires.

 

Les FFDj accueillent tout au long de l’année des unités des trois armées qui trouvent à Djibouti des conditions d’entraînement difficiles les préparant parfaitement au contexte des engagements actuels de l’armée française.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime,soutien santé). Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente,avec le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

Djibouti : les FFDj accueillent 140 élèves officiersDjibouti : les FFDj accueillent 140 élèves officiers
Djibouti : les FFDj accueillent 140 élèves officiers
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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 13:45
Des commandos du CPA 30 à Djibouti

Des commandos du CPA 30 à Djibouti

 

 

19/02/2014 Armée de l'air

 

Du 5 au 8 février 2014, deux EC 725 Caracal de l'escadron d'hélicoptères 1/67 «Pyrénées», avec à leur bord six membres du commando parachutiste de l’air n°30 (CPA 30), ont fait escale sur la base aérienne 188 de Djibouti.

 

Embarqués sur le porte-avions Charles de Gaulle dans le cadre de l'opération «Bois Belleau», les aviateurs ont pu bénéficier des vastes possibilités d'entraînement offertes par le territoire djiboutien.

 

Les deux Caracal ont enchaîné les phases de mises à terre sous appui de commandos, éprouvant ainsi certaines procédures mises au point avec le CPA 30. Rejoints par un Puma de l’escadron de transport 88 «Larzac» stationné à Djibouti, les hélicoptères de Cazaux ont ensuite réalisé des vols de formation à trois appareils au-dessus du terrain du Grand Bara.

 

Des vols de coopération interalliée avec les forces américaines stationnées à Djibouti sont venus clore cet entraînement. Les aviateurs français ont réalisé une mission de récupération en mer de commandos américains, ainsi que des phases de ravitaillement en vol à partir d’un C130 de l'US Air Force.

 

Au final, le détachement Caracal a effectué plus de 15 heures de vol en moins de trois jours d'entraînement.

 

 

 

Ravitaillement en vol d'un EC725 sur un C130 Hercules

Ravitaillement en vol d'un EC725 sur un C130 Hercules

Ravitaillement en vol d'un Caracal français depuis un Hercules américain au large de Djibouti

Ravitaillement en vol d'un Caracal français depuis un Hercules américain au large de Djibouti

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 13:45
FFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapproché

 

 

19/02/2014 Sources : EMA

 

Du 25 janvier au 9février 2014, les Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) ont accueilli une délégation franco-allemande du centre de formation à l’appui aérien (CFAA) de Nancy, dans le cadre d’un exercice d’entraînement CASEX (Close Air Support Exercice) avec les FAC (Forward Air Controler) en milieu désertique.

 

Au plus près de l’action, les FAC sont les spécialistes du combat aéroterrestre air-sol. Ils ont pour mission de guider les aéronefs sur les objectifs, afin d’assurer l’appui des unités engagées dans la manœuvre : on parle de CAS (Close Air Support) ou « appui aérien rapproché ». Les FFDJ sont idéalement implantées pour permettre toutes les combinaisons possibles : appui aérien rapproché, manœuvres dynamiques en terrain ouvert,opération amphibie, poser d’assaut, livraison par air,héliportage, évacuation médicale, tirs combinés des aéronefs et de l’artillerie sol-sol, menace sol-air, etc. CASEX a réuni 150 militaires issus des Forces Françaises stationnées à Djibouti,toutes armées confondues.

 

Trois équipes de l’US Marine Corps (USMC), soit une douzaine de militaires, ont aussi été engagées sur l’exercice. Cette présence a permis de croiser les expertises et les savoir-faire indispensables aux FAC dans un environnement interarmées et international réaliste les préparant au mieux à leurs futurs engagements.

 

Résultat concret d’une coopération interarmes, interarmées et interalliée, CASEX est un exemple parfait de partenariat entre les FFDJ et les unités de métropole venues chercher les conditions d’un entraînement exceptionnel à Djibouti.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré-positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

FFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapprochéFFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapproché
FFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapproché
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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 08:45
FFDj : DIO « TP » au profit de l’armée djiboutienne

 

24/01/2014 Sources : EMA

 

Du 11 au 23 janvier 2014, les FFDj ont réalisé une action d’assistance militaire opérationnelle (AMO) au travers d’un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) « Tireur de précision » (TP) sur le camp djiboutien de Myriama.

 

Les FFDj participent à la formation de bataillons de l’armée djiboutienne dans le cadre de leur mise en condition opérationnelle avant projection en Somalie. Dans ce cadre, 15 stagiaires du 2e bataillon « Hiil » des forces armées djiboutiennes ont suivi 2 semaines de formation TP sur le champ de tir de Maryam Koron.

 

Le programme était très complet, alternant des cours théoriques et pratiques de topographie, camouflage, infiltration/exfiltration, armement, ISTC et 4 jours entiers exclusivement consacrés au tir avec le fusil DRAGUNOV en dotation dans l’armée djiboutienne.

 

Ce DIO TP venait en complément des formations militaires réalisées en juin et septembre 2013 axées sur les actes réflexe du combattant, utilisation du matériel et de l’armement, secourisme au combat.

 

Cette formation opérationnelle a été effectuée à la demande des autorités djiboutiennes, dans le cadre du traité de coopération en matière de défense signés en décembre 2011 entre la France et la république de Djibouti.

FFDj : DIO « TP » au profit de l’armée djiboutienne
FFDj : DIO « TP » au profit de l’armée djiboutienne
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