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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 08:50
M921 Lobelia Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be

M921 Lobelia Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be

 

20/03/2015 Victoria Timmermans – MIL.be

 

Quelque 45 militaires belges embarqueront à bord du chasseur de mines Lobelia. Le navire sera engagé dans la Manche, au large des côtes françaises, du 23 au 31 mars, afin de participer à une opération internationale de déminage.

 

Le Lobelia contribuera à la détection de mines marines dans la baie de Seine et aux alentours de la ville de Dieppe, deux secteurs prioritairement concernés, ainsi que dans la partie orientale de la Manche et de la mer du Nord. Le second volet de la mission consistera à détruire ces éventuelles mines et autres engins explosifs issus des deux guerres mondiales.

 

Ce dispositif de grande envergure compte près de 400 membres d'équipage répartis sur dix navires spécialisés dans la neutralisation des mines. À bord du Lobelia, les 45 membres de l'équipage belge devront prendre en charge la conduite et le bon fonctionnement du navire ainsi que mettre en œuvre ses systèmes de détection.

 

Une telle opération est loin d'être exceptionnelle. En effet, depuis 1996, des opérations interalliées quasi annuelles, appelées HOD (Historical Ordnance Disposal – destruction de munitions historiques), sont effectuées dans ce secteur. La recherche et la neutralisation des dangers en mer relèvent d'un enjeu de sécurité maritime.

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 08:35
FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)

 

23/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Depuis plus d’une semaine,  les Forces Armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) contribuent à l’aide apportée au Vanuatu, suite aux dégâts causés par le cyclone Pam. A ce jour, environ 300 personnels des FANC sont engagés dans cette action humanitaire.

 

Les FANC, en coopération avec le Vanuatu, les ONG présentes et les détachements de la sécurité civile de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie Française, ont réalisé un bilan des dégâts causés et évalué les besoins nécessaires aux populations des îles de Tanna et d’Erromango.

 

Le personnel à terre du RIMaP a principalement mené des actions d’ouverture d’itinéraires sur la partie Nord de Tanna et sur une partie d’Erromango, appuyé par les hélicoptères Puma et l’Alouette III. Il est renforcé ponctuellement par les brigades de protection de la frégate Vendémiaire et du patrouilleur La Glorieuse. Dans les jours à venir les derniers trajets de l’avion CASAvisant à apporter la logistique nécessaire au détachement du RIMaP de Tanna devraient avoir lieu.

 

Le CASAa également transporté 117 personnes, dont 83 civils et 34 militaires à Vanuatu, ainsi que 41 tonnes de fret. Dix ressortissants français ont aussi été rapatriés à Nouméa, et sept Vanuatuans ont pu être évacués de Tanna vers Port Vila. La frégate Vendémiaire et le patrouilleur La Glorieuse ont quant à eux délivré 8 tonnes de fret sur Tanna au profit de la Croix Rouge et de l’ONG Solidarité Tanna.

 

Les FANC s’appuient sur un dispositif composé de la frégate de surveillance Vendémiaire, renforcée d’un hélicoptère Puma de l’escadron de transport 52 de la base aérienne 186 et d’une Alouette III, du patrouilleur La Glorieuse, de deux avions CASA des FANC et des Forces Françaises en Polynésie Française (FAPF), d’un avion de patrouille maritime Gardian, et enfin d’un détachement du RIMaP déployé sur Tanna.

 

Depuis le 15 mars, près de 300 militaires français participent, en liaison avec le haut-commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie, aux opérations de secours aux populations et de réhabilitation des infrastructures touchées par le cyclone Pam qui s’est abattu sur l’archipel des Vanuatu dans l’océan Pacifique.

FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)
FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)
FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)FANC : Poursuite de la mobilisation pour le Vanuatu (suite)
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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 20:50
L'OTAN annonce la nomination du général Denis Mercier, de l’armée de l’air française, au poste de commandant suprême allié Transformation

 

23 Mar. 2015 NATO Communiqué de presse (2015) 056

 

Le Conseil de l'Atlantique Nord a approuvé ce jour, 23 mars 2015, la nomination du général Denis Mercier, de l'armée de l’air française, au poste de commandant suprême allié Transformation.

 

Le général Mercier est actuellement chef d’état-major de l’armée de l’air française. Il prendra la succession du général Jean-Paul Paloméros, de l'armée de l’air française, lors d'une cérémonie de passation de commandement qui se déroulera au quartier général du commandement suprême allié Transformation, à Norfolk (Virginie), en septembre 2015.

 

Au nom des gouvernements de tous les pays de l’Alliance, le Conseil de l'Atlantique Nord exprime au général Paloméros sa profonde et durable reconnaissance pour les remarquables services rendus dans l’exercice de ses fonctions de commandant suprême allié Transformation.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 20:50
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

23 Mar. 2015 NATO Press Release (2015) 056

 

The North Atlantic Council today, 23 March 2015, approved the nomination of General Denis Mercier, French Air Force, to the post of Supreme Allied Commander Transformation.

 

General Mercier is currently serving as the French Air Force Chief of Staff. General Mercier will assume the appointment as successor to General Jean-Paul Paloméros, French Air Force, at a change of command ceremony at the Headquarters of Supreme Allied Command Transformation in Norfolk, Virginia in September 2015.

On behalf of all Allied governments, the North Atlantic Council expressed deep and lasting gratitude for the distinguished service rendered by General Paloméros as the Supreme Allied Command Transformation.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 17:55
Réserviste opérationnel - Parole de jeunes (4/6)

 

23/03/2015 DICOD

 

#RéservisteMoiAussi - Vendredi 27 mars 2015, la journée nationale du réserviste (#JNR) mettra particulièrement à l’honneur les jeunes de 15 à 30 ans. Qu’ils soient lycéens, étudiants ou jeunes adultes récemment entrés dans la vie active, ils ont choisi de consacrer une partie de leur temps à la Défense du pays en s’engageant dans la réserve militaire. Doublement citoyen, car à la fois civil et militaire, le réserviste opérationnel accomplit des missions variées tant sur le territoire national qu’à l'étranger.

 

Témoignage d’Alexandre Delaplace, 24 ans, informaticien à la SNCF.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 17:45
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

23/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 17 mars 2015, le Transport de Chalands de Débarquement (TCD)  Siroco déployé dans le cadre de la mission  Corymbe, a réalisé une journée d’exercices conjoints avec la frégate portugaise  Bartolomeu Dias, au large des îles de Sao Tomé-et-Principe.

 

Ces exercices avaient pour but d’entretenir la qualification opérationnelle du navire portugais, et de renforcer l’interopérabilité des deux marines française et portugaise.

 

Un exercice de visite organisé par le Siroco au profit des équipes de visite portugaises a d’abord été réalisé. Les deux chalands de transport de matériel (CTM) embarqués sur le navire français ont simulé des situations de crise susceptibles d’être rencontrées en réel, comme un bâtiment piraté avec prise d’otages.

 

Après des échanges de personnel entre les deux unités, l’après-midi a été occupée par des manœuvres aviation réalisées sur le Bartolomeu Dias par l’hélicoptère Alouette IIIdu Siroco. Grâce aux procédures OTAN et aux nombreux entrainements communs des marines européennes, cet exercice s’est parfaitement déroulé.

 

Cette journée aura également montré aux élèves africains de l’Ecole Militaire Navale de Bata, actuellement embarqués sur le Siroco(lien brève ENVR), l’importance de la coopération multinationale et l’intérêt que porte l’Union Européenne à la situation dans le Golfe de Guinée.

 

La mission Corymbe, assurée depuis 1990, est l'une des missions des forces armées françaises dans le golfe de Guinée ; elle y assure la présence quasi-permanente d’au moins un bâtiment de la Marine nationale. Outre leur mission de présence dans une zone où les intérêts français sont nombreux, les navires déployés en Corymbe effectuent des actions de coopération bilatérale avec les pays côtiers. Ils sont en mesure d’apporter un soutien rapide en cas de besoin, au même titre que les forces pré-positionnées dans la région.

photo Marine Nationalephoto Marine Nationale
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 17:45
Depuis N'Djamena, départ en mission de reconnaissance à bord d'un Rafale - opération Barkhane


23 mars 2015 Ministère de la Défense

 

Depuis N'Djamena, départ en mission de reconnaissance à bord d'un Rafale dans le cadre de l'opération Barkhane (février 2015)

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 17:25
Opération TITAN

 

23/03/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

A 7 000 km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) ont pour mission de protéger le territoire national et ses intérêts.

 

Dans ce cadre, l’armée de Terre assure plusieurs missions dont la protection du centre spatial guyanais (CSG). Il s’agit de l’opération TITAN. C’est une action interarmées dont le dispositif terrestre est assuré par une compagnie d’infanterie, une compagnie d’artillerie sol-air ainsi qu’une section d’aide à l’engagement débarqué. L’armée de Terre, maitre de son milieu, assure le contrôle de la zone extérieure du CSG. Les détails de cette opération en images.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 17:25
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

23/03/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

Le sergent Vitom, chef de groupe au 3e régiment étranger d’infanterie (3e REI) de Guyane, participe à l’opération TITAN.

 

Patrouillant à pied ou en canoë, il effectue des contrôles de zone et concourt à la protection du centre spatial guyanais, à Kourou.

 

Immersion.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 13:55
L'armée française teste de nouveau sa cyberdéfense

 

20 Mars 2015 par Julien L. - numerama.com

 

Considérant la cyberdéfense comme une priorité, l'armée française organise des simulations pour tester ses défenses. Après un premier exercice l'an dernier, un nouvel entraînement se déroule jusqu'au 27 mars.

 

Devenue une préoccupation majeure des armées, comme en témoigne la dernière édition du livre blanc sur la défense et la sécurité nationale qui en a fait une priorité nationale, la cyberdéfense nécessite une adaptation des forces pour contrer les diverses menaces qui peuvent exploiter les infrastructures de télécommunications pour frapper les intérêts français.

C'est dans ce contexte que le ministère de la défense organise désormais régulièrement des exercices pour évaluer le niveau de préparation des troupes. Après l'opération DEFNET 2014, qui a eu lieu l'automne dernier, un nouvel entraînement a débuté cette semaine. Baptisé DEFNET 2015, il se veut beaucoup plus ambitieux que la précédente édition, qui ne s'était déroulée que sur un seul site.

 

Suite de l'article

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 13:55
Essai d'une fusée lors de la campagne d'essais du Rocketry challenge  - photo Armée de l'Air

Essai d'une fusée lors de la campagne d'essais du Rocketry challenge - photo Armée de l'Air

 

23/03/2015 Armée de l'iar

 

Samedi 14 mars 2015, la base aérienne de Salon-de-Provence a accueilli la deuxième campagne d’essais 2015 du Rocketry Challenge, en partenariat avec Planète Sciences.

 

Le Rocketry challenge est un concours international de fusées « amateurs » qui s’adresse aux collégiens et lycéens des classes de 6e à la terminale.

 

Cette campagne d’essais était l’occasion pour les sept équipes qualifiées pour la finale française, qui se déroulera les 30 et 31 mai 2015 à Melun Villaroche, de tester leur projet. La meilleure équipe représentera la France pour la finale internationale le 13 juin 2015 au Bourget.

 

L’objectif du concours est de construire une fusée qui devra atteindre le plus précisément possible l’altitude de 825 pieds (251m) avec deux œufs crus embarqués à bord. Le temps de vol de la fusée entre son décollage et son atterrissage sous deux parachutes identiques, devra se situer en 48 et 50 secondes. Les œufs doivent revenir intacts et les fusées doivent pouvoir se poser sans intervention humaine.

 

Modèle de fusée du Rocketry challenge - photo Armée de l'Air

Modèle de fusée du Rocketry challenge - photo Armée de l'Air

Préparation des fusées lors de la campagne d'essais du Rocketry challenge 2015 - photo Armée de l'Air

Préparation des fusées lors de la campagne d'essais du Rocketry challenge 2015 - photo Armée de l'Air

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 13:50
MBDA, une entreprise pionnière de l’Europe de défense

 

23 mars 2015 par Jean-Dominique Merchet (Article paru dans L'Opinion des 16/17 mars)

 

Le constructeur de missiles, très intégré, plaide pour que les Etats acceptent la spécialisation de leurs activités industrielles

 

Si une entreprise incarne ce que pourrait être une Europe de la défense, c'est bien le constructeur de missiles MBDA. Avec toutes les ambitions et les limites de cette idée. L'ambition : une société parfaitement intégrée, codétenue par le franco-hispano-allemand Airbus, le britannique BAE Systems et l'italien Finmeccanica, qui est l'un des principaux acteurs mondiaux dans le domaine des missiles, en concurrence avec les américains Raytheon et Lockheed-Martin. Mais une entreprise qui vit, au quotidien, les petites misères de l'Europe. Son PDG, le français Antoine Bouvier, en convient (1). «Chaque pays européen veut garder ses capacités de développement de nouveaux missiles. Cette duplication des moyens rend difficile leur optimisation, contrairement à nos concurrents américains. C'est pour nous un handicap majeur», a-t-il confié lors d'une rencontre avec la presse. Sans compter l'absence de marché unique dans le domaine de l'armement, qui oblige de passer par les procédures d'exportation d'armement pour les échanges au sein même du groupe... Ou la volonté des Etats d'obtenir des retombées de leurs dépenses militaires nationales sur leurs territoires.

 

«Pour MBDA, l'objectif d'une spécialisation [de chaque pays - ndlr] est absolument fondamental. Nous devons organiser la dépendance mutuelle». Un enjeu politique qui dépasse largement les stratégies industrielles. La route est longue, mais les progrès pour modestes qu'ils soient, existent. Notamment avec le Royaume-Uni. En novembre 2010, Paris et Londres signaient les accords de Lancaster House qui posaient les bases d'une coopération entre les deux principales puissances militaires de l'Europe. Quatre ans et demi plus tard, on en voit les premiers fruits industriels au sein de MBDA. L'entreprise est parvenue à créer deux «centres d'excellence» intégrés. Désormais, l'une des pièces importantes du futur missile antichar français MMP, les «actionneurs de gouvernes», sera uniquement produit par MBDA en Angleterre, à Lostock. Dans le même temps, le banc d'essai des missiles britanniques air-sol Brimstone sera made in France, dans l'usine MBDA de Bourges. «Il faut que les Etats s'engagent à une pleine garantie d'accès» pour leur partenaires, y compris pour des marchés à l'exportation, affirme Bernard Bouvier.

 

Toujours dans le cadre d’une coopération franco-britannique, MBDA développe le futur missile anti-navire léger, conçu pour être tiré d'un hélicoptère. En matière de missile, l'Italie est un partenaire important de la France, avec les Aster, des engins sol-air dotés de capacités antimissiles, de la même famille que les Patriot américains. MBDA espère décrocher des contrats en Pologne et en Turquie. Alors que le prochain sommet de l'Otan, qui se tiendra à Varsovie en 2016, doit aborder la question de la défense antimissile, «il est absolument essentiel que l'Europe puisse apporter sa contribution» avec ses missiles, martèle Bernard Bouvier.

 

Le patron de MBDA n'ignore pas que «l'industrie de défense n'est pas une industrie comme les autres. Elle est l'un des piliers d'une stratégie de défense». Et il se réjouit que Bruxelles souhaite «renforcer l'autonomie stratégique» de l'Europe. S'il est toutefois un domaine qui échappe à l'Europe, c'est celui de la dissuasion nucléaire française, dont MBDA est l'un des acteurs de premier plan. L'entreprise développera le futur missile air-sol, successeur de l'actuel ASMPA, qui pourrait entrer en service dans une vingtaine d'années. En collaboration avec l'Onera - un organisme public - MBDA travaille sur des engins plus rapides, dit hypervéloces, et plus furtifs, afin de renforcer leurs «capacités de pénétration». Un domaine qui restera longtemps encore très hexagonal.

 

(1) Antoine Bouvier, le PDG de MBDA, a présenté lundi 16 mars les résultats annuels de son groupe. Du fait des baisses des commandes, son chiffre d'affaires a connu un «point bas» en 2014, à 2,4 milliards d'euros, mais il devrait remonter dès cette année, grâce aux succès à l'exportation. Son carnet de commandes se situe aujourd'hui à 12,6 milliards, soit quatre années d’activité. La rentabilité du groupe est «proche des 10%».

 

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 13:45
photo EMA (Archives)

photo EMA (Archives)

 

23-03-2015 par RFI

 

Un civil malien a été tué et décapité il y a quelques jours dans la région de Tombouctou dans le nord-ouest du pays. Il était accusé par ses assassins d'être un informateur des forces françaises.

 

L’homme accusé d’être un informateur des forces françaises de l’opération Barkhane serait âgé de 39 ans. Ce civil malien a dans un premier temps été enlevé, puis conduit à 120 kilomètres au nord de Tombouctou.

 

Suite de l'article

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 13:25
photo CCH Serpillo

photo CCH Serpillo

 

23/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le jeudi 12 mars 2015, le personnel du Service Interarmées des Munitions des Forces Armées en Guyane (FAG) a procédé à une destruction de munitions, mesure de sécurité appliquée pour les stocks éprouvés par les déploiements.

 

Basé sur la Montagne des Serpents à une trentaine de kilomètres de Cayenne, les pyrotechniciens du dépôt munitions ont procédé à la destruction par « pétardement », c’est-à-dire en recouvrant les munitions d’explosifs. Ces munitions utilisées dans le cadre des missions des FAG étaient fortement oxydées en raison des caractéristiques du climat et devenues sujettes à des dysfonctionnements. 88 kilos de munitions ont ainsi été éliminés.

 

En 2014, le dépôt de munitions des FAG a détruit 2,4 tonnes de munitions appartenant aux trois armées et au ministère de l’intérieur. Ces opérations de maintenance de munitions permettent d’assurer la sécurité de l’utilisateur mais aussi l’efficacité opérationnelle de la munition.

 

Placé sous les ordres du détachement de liaison du service interarmées de munition, le dépôt de munitions est armé par 6 personnels, dont deux civils. Il gère la comptabilité des munitions, le suivi et l’inventaire du stock. Il est aussi en charge de la perception et du reversement des munitions auprès des unités.

 

A 7 000 km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’Etat dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent sur un territoire rendu exigeant par son étendue (1 100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

photos CCH Serpillo
photos CCH Serpillo

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:56
Cas pratiques juridiques dans le Cyberespace : OIV, PME et collectivités, Crise internationale

 

Source Chaire Economie et Défense

 

Cas pratiques juridiques dans le Cyberespace : OIV, PME et collectivités, Crise internationale

 

synthèse colloque 3 février (PDF - 253.8 ko)

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:55
Fluorotechnique inaugure sa nouvelle usine à Mérignac

 

20 mars 2015 par Aerobuzz.fr

 

Créée en 1981 dans la région parisienne, Fluorotechnique inaugure aujourd’hui (20 mars 2015) sa nouvelle unité de production sur le parc technologique Aéroparc près de Bordeaux. Cette entreprise spécialiste des traitements de surface, est implantée dans la région bordelaise depuis 25 ans à la demande d’Herakles. Sa solution du traitement anti-adhésif des moules de propergol d’Ariane, une matière extrêmement collante, est devenue incontournable pour la filiale du groupe Safran qui l’a hébergée jusqu’à présent dans son enceinte à Saint-Médard-en-Jalles (33).

 

Suite de l’article

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:55
Le nouveau kit permet une extraction du blessé par la porte principale en position horizontale constante.

Le nouveau kit permet une extraction du blessé par la porte principale en position horizontale constante.

 

23/03/2015 Armée de l'air

 

Vendredi 13 mars 2015, un nouveau kit médical a été testé sur la base aérienne 107 de Villacoublay. Il doit équiper le Falcon 2000, dernier avion de la flotte de l’escadron de transport (ET) 60.

 

Le nouveau kit permet une extraction facilitée du blessé par la porte principale, en position horizontale constante, ce qui n’était pas le cas sur le précédent kit. « Il garantit ainsi une plus grande sécurité dans le chargement et le déchargement du patient », explique le capitaine François, commandant en second de l’escadrille aérosanitaire (EAS) 6/56 « Étampes ».

 

L’ET 60, l’EAS 6/56 et le centre médical des armées de Villacoublay ont ainsi validé son utilisation.

 

Les Falcon sont en alerte 24 heures sur 24. Ils disposent d’une capacité d’évacuation de patients couchés « réa », qui nécessitent une évacuation rapide, dans les 24 heures maximum. Ce nouveau kit médical permettra d’améliorer encore ces interventions d’urgence.

 

Et pour en savoir plus, plongez-vous dans le numéro 679 de mars 2015 d’Air actualités, qui a consacré un dossier aux évacuations aéromédicales.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:55
Séminaire sur la Politique internationale allemande à Sciences Po Bordeaux


23.03.2015 source Chaire Economie de Défense
 

La chaire « Défense et Aérospatial » organise, en coopération avec le consulat général d’Allemagne de Bordeaux, un séminaire sur la Politique internationale allemande

le 30 mars à partir de 14h30 à Sciences Po Bordeaux.

11 allée Ausone à Pessac
Entrée du côté de la partie neuve de l’Institut
Salle Touchard (1er étage)

 

Informations

Séminaire sur la Politique internationale allemande à Sciences Po Bordeaux
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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:36
A French Rafale Marine Flotille 11F - carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson photo US Navy

A French Rafale Marine Flotille 11F - carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson photo US Navy

 

New Delhi, March 20: telegraphindia.com

 

French aircraft carrier Charles de Gaulle, heading a battlegroup of ships involved in strikes against the Islamic State from the Persian Gulf, will be in the Arabian Sea next month for 10 days of war games with the Indian Navy.

 

The exercise, the latest of a series named "Varuna", will also involve India's aircraft carrier, the INS Vikramaditya, other Indian warships and a submarine.

 

The nuclear-powered Charles de Gaulle carries on board the navalised Rafale fighter jet that also landed on and took off from the American USS Carl Vinson aircraft carrier earlier this month in the Persian Gulf.

 

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:35
Rafale Vs. Su-30MKI - The New Indian Dogfight


March 23, 2015 by Shiv Aroor - Livefist
 

Intensifying since the turn of the new year, you couldn't possibly have missed the roar of AL-31s in all talk of India's turbulent final dash for a Rafale jet deal. It's unmissable. The fact that the Su-30 MKI was pushed into the M-MRCA conversation by none other than India's defence minister ensured the notion strengthened quickly, unscathed by intrigue and rumours. And then, it exploded.
 

On the evening of December 30, when Manohar Parrikar suggested to reporters that 'additional Su-30s' could save the IAF in the event that 'complications'-ridden negotiations with Dassault Aviation for 126 Rafale fighters didn't end in a purchase contract. That the seed of the idea came from the proverbial horse's mouth, and not South Block hearsay, gave it furious immediacy.

 

The suggestion caught the Indian Air Force completely off guard, flying as it did in the face of an unusually defiant stance the IAF leadership had decided on in 2012 about there being 'no Plan-B' in the event that the Rafale failed. But this time, the IAF resisted an immediate rebuttal. This was, after all, the Defence Minister who had weighed in. But what truly unnerved the IAF -- and several planners within the MoD -- was that Parrikar had gone out on a limb less than two months after being handpicked as Defence Minister. His specific comments on the negotiations revealed three things: One, that he'd hit the ground running and was fully abreast of the negotiations and where they were stuck. Two, that he was fully willing to question for the first time the presupposition both within the MoD (and especially the IAF) that there would was likely to be extended turbulence, but a deal would finally be signed. Finally, and perhaps most importantly, it showed that Parrikar has been empowered by the PM to lead decision-making on a deal that's so large that it has everything to do with the political leadership, and little to do with the act of hardware procurement.

 

But there was blood in the water that couldn't be ignored. If Parrikar's pre-New Year comment sparked a fire, he pretty much flung a barrel of gasoline at it two weeks later when in an interview to Karan Thapar on Headlines Today, he said in response to a question on the possibility of the Rafale deal not working out, "Sukhoi-30 choice is always there. What I mean to say is: upgrade the Sukhoi-30, make it more capable."

 

The latch-on was instantaneous. Hours after Parrikar's comments were broadcast, Russian think-tank the Center for Analysis of World Arms Trade declared on Jan 13 that India's potential choice of more Russian Su-30 MKIs instead of Rafales would "advantageous to the country’s air force in terms of cost, tactical and technical characteristics of the plane and a series of other reasons". For good measure, the Russians stoked France's controversial hold-back of Mistral-class amphibious intended for Russia. The example had been broached before, but Moscow really ground it in this time.

 

A month later, Livefist learns, a concerted effort was made by Russia's mission & trade office in New Delhi to pull India's External Affairs Ministry into the conversation. The specifics of what was on the table isn't fully known. A curious Russian media report quotes junior minister in the MEA, former Army chief, Gen (Retd.) Vijay Kumar Singh as having said that the Su-30 was cheaper than the Rafale and more reliable.

 

In February, with the Su-30 vs. Rafale debate stewing for nearly two months to the consternation of Dassault, IAF chief Arup Raha was fairly buttonholed into saying, "There's M-MRCA and there's Sukhoi-30. The requirements are slightly different. And they have their own capabilities. They compliment each other but do not replace each other." A statement, it was immediately clear, that practically subverted what the Defence Minister had suggested.

 

At Aero India 2015, where the IAF chief made that comment, the spotlight also shined on friction between Sukhoi and the IAF over the unexplained seat ejection that caused the type's fifth accident last year. The Russians weren't happy. "When we are wrong, we will say so. When the Indian pilot is wrong, the IAF should not be shy to admit that," an irritated UAC officer told me at the time.

 

Dassault Aviation and the French government were always prepared for rumblings of power-play and suggestive pressure from the Indian MoD, but the speed at which the conversation heated up caught all involved by surprise. For Dassault, it would now be fighting on two fronts -- one with a confident new government that promised quick action either way. And two, with the Russians, India's largest supplier of military hardware, practically invited into the tense last lap of the M-MRCA fight by the Indian MoD. The French Defence Minister, who visited Delhi last month for the second time in less than two months, didn't bring up the Su-30 MKI. The French didn't have a direct play, political or otherwise. It was felt that things were too delicate at the negotiations table to poke at something that was, Paris understood, a direct message that India wasn't going to budge on final sticking points. Informed that it needed to work on a joint liability matrix with HAL for the license build programme, Dassault decided to bide its time.

 

Of course, by this time, plenty of journalism in India, Russia and France -- and the furious online military aviation subculture -- had gotten the Rafale and Su-30 to dogfight on paper. It wasn't until March that France's patience cashed out. It was a veritable neutron bomb on the Su-30's two month supercruise through arms & diplomatic circles, and even the French couldn't have expected such a break: a statement by Defence Minister Parrikar himself that the Su-30 fleet had serious problems.

 

For Dassault and the French government, the new conversation was 

 

Here's the latest state of play:

 
  1. Russia smells real blood. Through their Trade Office and the Embassy, an existing conversation about additional numbers of the Su-30 & upgrades of earlier units has been re-energised with the additional sweetener of a markedly higher degree of local content and sourcing on any additional Su-30s India may choose to license build in Nashik.
  2. Livefist can confirm that Russia has also offered India the Su-35 'Super Flanker', but kept the details open. The type is officially on the table now with Russia inviting India to help configure a Su-35 'MKI'.
  3. Russia is attempting to contain the twin damage of (a) information about engine trouble and fleet availability. Rosoboronexport has begun discussions with the IAF and HAL. And (b) the issue of the mysterious seat ejections. Both sides have decided to sort out the issue cordially and in private. It doesn't want to lose the momentum it received from the initial suggestion that more Su-30s could cushion the potential collapse of the M-MRCA.
  4. Dassault and HAL are currently working at a furious pace to have something to show to the MoD in the next one week, though it remains unlikely that there will be anything for Prime Minister Modi & President Hollande to announce next week in Paris.
  5. On March 18, Defence Minister Parrikar said, "They have to tell us whether they can do it or not. Can’t keep waiting."
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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 11:55
A400M (photo Armée de l'Air) - FREMM (photo DCNS)

A400M (photo Armée de l'Air) - FREMM (photo DCNS)

 

19 mars 2015 l’Oeil du 20 heures

 

Et si notre armée partait bientôt en guerre avec des véhicules de location ? Si l’idée paraît étonnante, elle n’en est pas moins prévue par le ministère de la Défense. Dans le cadre de la loi Macron, le gouvernement a fait passer un amendement qui a attiré l’Oeil du 20h. Ce texte permet au ministère de la défense d'effectuer un drôle de passe-passe budgétaire en l'autorisant à vendre des frégates militaires et des avions de transports à des sociétés créées de toute pièce pour l'opération puis à louer ce même matériel à ces mêmes sociétés.

 

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 11:30
Mission Jeanne d’Arc 2015 : La frégate Aconit passe Suez, les officiers-élèves à la manœuvre

 

23/03/2015 Sources : Marine nationale

 

Port Saïd, point d’entrée nord du canal de Suez pour rejoindre la Mer Rouge puis l’océan Indien. Le BPC Dixmude et la FLF Aconit sont en attente du feu vert des autorités égyptiennes pour débuter le chenalage.

 

Ils sont plusieurs officiers-élèves, répartis entre les deux bâtiments du groupe amphibie Jeanne d’Arc, à attendre de prendre leur quart en double à la passerelle. Bastien et Amaury, tous deux jeunes enseignes de vaisseau issus de la promotion 2012 de l’École Navale, sont à bord de la FLF Aconit. La frégate va ouvrir la voie devant le BPC Dixmude.

 

Bastien a le privilège d’entamer le franchissement, il fait encore nuit, trois heures de quart où sa vigilance sera mise à rude épreuve. Le chef du quart avec qui il travaille reste derrière lui et veille. Le moindre écart sur la route peut avoir des conséquences dramatiques sans compter le danger que représentent les embarcations qui naviguent à proximité du convoi. C’est aussi le plaisir d’assister au lever de soleil sur le désert et de vivre cette situation peu orthodoxe de naviguer au milieu des dunes.

Une dizaine d’heures plus tard, Amaury est le dernier des officiers élèves à prendre le quart dans le canal. Suez et ses minarets ne vont pas tarder à apparaitre à l’horizon. Ses nerfs et sa concentration vont être éprouvés car dans peu de temps les navires du convoi vont reprendre leur autonomie avant de s’élancer en mer Rouge. A cela s’ajoutent les navires en attente du prochain convoi montant et les pêcheurs locaux. C’est l’occasion pour Amaury de mettre en pratique les manœuvres anti-collision qu’il a déjà pu appliquer lors de ses embarquements sur les bâtiments écoles de la « ménagerie », mais cette fois ci la densité du trafic maritime est toute autre.

 

Mission Jeanne d’Arc 2015 : La frégate Aconit passe Suez, les officiers-élèves à la manœuvre

L’intégration des officiers-élèves dans les équipages du groupe amphibie leur permet d’être placés dans des conditions réelles et de mettre en pratique la formation polyvalente qu’ils ont reçue à l’École Navale. En partant loin, longtemps et en équipage, ces futurs officiers de Marine acquièrent une stature de chef militaire et d’experts des systèmes navals, grâce à la pratique du métier et à l’expérience de la prise de responsabilité.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 11:30
Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Emir de l’Etat du Qatar - photo PR Elysée

Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Emir de l’Etat du Qatar - photo PR Elysée

Dans le domaine de l'armement, le jeune émir Tamim ben Hamad Al Thani fait lanterner la France.

 

23/03/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Sait-on en France qui décide au Qatar à l'exception de l'émir ? Pas sûr car cela semble aujourd'hui éminemment plus complexe... C'est d'ailleurs peut-être pour cela que la France avance en aveugle sur le Rafale à Doha, qui n'a toujours pas répondu à un courrier envoyé par François Hollande il y a une vingtaine de jours environ.

 

Mais que veut finalement Doha? C'est la question qui trotte dans la tête de la plupart des dirigeants des grands groupes de l'armement français. Car, près de deux ans après son accession au trône, le jeune émir Tamim ben Hamad Al Thani n'a conclu ni dans un sens dans l'autre aucune des campagnes commerciales qui sont très prometteuses pour la France, y compris celles où un protocole d'accord a déjà été signé comme pour les (hélicoptères de transport NH90 (Airbus Helicopters) et les avions ravitailleurs MRTT (Airbus Defence).

Toutefois, ces campagnes prometteuses le sont depuis plus de trois ans maintenant alors que la Coupe du Monde, prévue en hiver 2022, approche à grand pas. "Nous avons deux interrogations, résume pour "La Tribune" un patron du secteur, nous ne connaissons pas clairement les objectifs de Qatar en matière d'achats d'armement et nous n'avons pas identifié quels sont les leviers à actionner pour faire avancer un dossier quand il arrive au Palais". Car, clairement une fois qu'un dossier est transmis par le ministère de la Défense au Palais de l'émir, il se perd dans les couloirs.

 

Le Palais, une boite noire?

"Le Palais est une véritable boite noire, nous ne savons pas ce qui s'y passe", confirment des sources concordantes, qui connaissent pourtant très bien le pays. "Au Qatar, c'est extrêmement compliqué, souligne un industriel qui négocie depuis plus de 20 ans avec les Qataris. Et si l'on regarde ce qu'a fait Hamad Ben Khalifa Al-Thani dans l'armement, il n'a pas fait une seule opération d'envergure entre 1995-2013, mais en revanche il a beaucoup pratiqué la diplomatie financière. Conclusion, le Qatar fait très peu d'acquisition dans la défense à l'exception du domaine défense anti-aérienne pour protéger les installations gazières".

Ce qui fait dire aujourd'hui à certains grands industriels que la garde rapprochée de l'ancien émir, et/ou ce dernier lui-même tire encore les ficelles. Toutefois, Tamim ben Hamad Al Thani s'appuierait beaucoup sur le chef d'état-major des forces armées qatariennes, le général Ghanim bin Shaheen al Ghanim qui aurait sa confiance.

 

Une lettre de François Hollande à Al Thani

Du coup, la France rame. Mais le fil des discussions n'est pas rompu. Loin de là. En piste pour la vente de 24 Rafale (+ 12 option), Dassault Aviation et ses partenaires (Safran et Thales) ont récemment envoyé une proposition engageante (Best and final offer) à Doha, qui aurait fait tiquer. Dans la foulée, François Hollande a envoyé il y a une vingtaine de jours un courrier à l'émir Al Thani. Pas de réponse à ce jour, selon nos informations, alors qu'en novembre l'émir souhaitait pourtant conclure les négociations sur le Rafale avant la fin de 2014. D'ailleurs, il aurait été très mécontent que l'Égypte lui souffle le premier contrat Rafale, et l'aurait fait savoir à son équipe de négociateurs.

L'autre dossier prioritaire concerne la vente des trois frégates ATBM (défense antimissile balistique) de 4.000 tonnes, armées de missiles Aster 30 (MBDA et Thales) et de missiles mer-mer Exocet (MBDA). Un dossier à 2,5 milliards environ (sans les armements) qui avance plutôt bien.

 

Et les États-Unis?

Ce qui vaut pour la France, vaut également pour les autres pays. Y compris les États-Unis, qui ont pourtant convoqué les Qataris à Washington pour les obliger à signer des contrats. Mais à ce jour, selon les sources interrogées par La Tribune, rien n'a été signé, y compris les accords d'une valeur de 11 milliards de dollars annoncés en juillet 2014 entre Doha et Washington (missiles Patriot et hélicoptères Apache).

Lors de IDEX à Abu Dhabi en février, de très nombreux hauts responsables qataris sont partis en plein cœur du salon pour Washington pour négocier d'autres accords d'une valeur de plus de 20 milliards de dollars. Notamment l'acquisition d'environ 70 avions de combat F-15 de Boeing avec un volet support très complet, comprenant la mise à disposition de pilotes américains. "Les F-15 pourraient passer avant le Rafale", craint-on même à Paris.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 08:55
Le cyberspace a aussi son Centre des hautes études (CHECy)

 

19.03.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


Le Centre des Hautes Etudes du Cyberespace (CHECy) a été lancé en septembre 2014 et est dirigé par Henri d’Agrain.

 

Il a pour mission de développer la connaissance du cyberespace et de sensibiliser aux questions de sa sécurité. A ce titre, il :
- réunit des responsables de haut niveau appartenant à la fonction publique civile et militaire et aux différents secteurs d’activité économiques et académiques de la Nation, des Etats membres de l’Union Européenne ou d’autres Etats, en vue d’approfondir en commun leur connaissance du cyberespace ;
- prépare à l’exercice de responsabilités des cadres supérieurs civils et militaires, français ou étrangers, exerçant leur activité dans les domaines pour lesquels le cyberespace est un facteur stratégique à comprendre et maîtriser ;
- contribue à promouvoir et à diffuser toutes connaissances utiles relatives au cyberespace auprès des cadres de haut niveau d’organismes publics et privés, pour lesquels la maîtrise des enjeux numériques constitue une condition majeure du développement de leurs activités, en termes d’opportunités et de menaces.

 

Le CHECy lance une première session de formation (à l'image de celle de l'IHEDN) qui ouvrira en septembre 2015 pour une trentaine d'auditeurs.

 

Pour postuler, cliquer ici.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 08:55
Mirage 2000H - photo Guillaume Carré

Mirage 2000H - photo Guillaume Carré

 

Defens'Aero

 

Au mois de Juillet 2011, Dassault Aviation et Thalès ont signé avec l'Inde un contrat portant sur la modernisation d'une cinquante de Mirage 2000H (monoplace) et Mirage 2000TH (biplace) appartenant à la Force Aérienne Indienne.

 

Ces appareils, acquis dans les années 80, commençaient sérieusement à vieillir, et à devenir obsolètes face à des avions construits ces dernières années. C'est pourquoi, l'Inde, qui veut s'assurer d'être un pays leader et puissant en Asie, tout en ayant les moyens de pouvoir contrer les menaces qui déstabiliseraient son état, en particulier avec les tensions très vives qui existent avec son voisin, le Pakistan.

Cette modernisation, d'un montant de 2,4 milliards de dollars, apporte donc à Delhi et à sa flotte de Mirage 2000H/TH un nouveau souffle avec l'implantation d'un nouveau radar plus puissant, d'un système de contre-mesures plus efficace, la possibilité d'emporter des missiles air-air MICA IR et MICA EM, dont 500 ont été commandés, un viseur de casque, une nouvelle avionique, ainsi que des calculateurs internes modernes.

 

Suite de l'article

 

Galerie Flickr du photographe, à visiter : Cliquez ici .

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