Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 20:55
photo 1e BL - Armée de Terre

photo 1e BL - Armée de Terre

 

18/11/2015 Armée de Terre

 

48 heures après les attentats du 13 novembre à Paris, l’opération Sentinelle était renforcée de 1 000 hommes et femmes venus de toute la France. Pour coordonner cette montée en puissance, la 1re brigade logistique est entrée en piste très tôt samedi matin…

 

Toutes les 6 semaines, c’est la même mécanique qui se met en marche : les experts du centre de mise en œuvre (CMO) de la 1re brigade logistique travaillent en auto-relève pour assurer l’arrivée d’environ 4 000 soldats en Ile de France et le retour de 4 000 autres vers leur garnison. Un flux de 8000 hommes à envisager sur une période habituelle de 6 jours.

 

Ce week-end, le rythme s’est trouvé accéléré : en 48 heures, ces experts ont dû gérer l’arrivée et le déploiement fluide et rapide de plus de 1000 soldats supplémentaires, venant de 22 entités différentes.

 

Depuis le 8 janvier 2015, le CMO coordonne en effet les mouvements de relèves du dispositif Sentinelle d’Ile de France. Cette petite entité de l’armée de Terre travaille en deux phases :

- en amont : la planification de la relève avec les différents interlocuteurs (le niveau tactique sur zone, mais également les services du commissariat pour les véhicules et la perception de l’équipement sur la zone de transit de Brétigny, etc.) ;

- en temps réel : la conduite de la relève depuis le centre opérationnel de Saint-Germain-en-Laye afin de s’adapter aux impondérables d’un tel engagement.

 

Ce weekend, le CMO a donc été mis en alerte dans la nuit du 13 au 14 novembre pour assurer le déploiement exceptionnel qui lui était confié. Outre ce centre, près de 1000 hommes de la brigade logistique sont actuellement engagés sur l’opération Sentinelle, que ce soit sur les missions de surveillance, d’organisation ou sur des missions d’approvisionnement.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 20:55
photo ECPAD

photo ECPAD

 

16/11/2015 Armée de Terre

 

Le samedi 14 novembre 2015 en début de soirée, 300 parachutistes du 3e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (3e RPIMa) de Carcassonne sont arrivés à Paris par avions militaires, en renfort suite aux attentats du 13 novembre.

 

Suivez leur déploiement, de leur décollage de l’aéroport Toulouse Blagnac à leur perception d’armement et leurs patrouilles dans Paris et son agglomération.

 

Outre les missions traditionnelles dévolues aux régiments d’infanterie motorisée, le 3e RPIMa est organisé et entraîné pour couvrir une grande unité face à une menace inopinée, mener un combat sur les arrières, contrôler une zone à l’étranger… De par leur instruction axée principalement sur l’acquisition des actes élémentaires individuels du combattant (obtention du brevet militaire parachutiste ainsi que passage en centre d’entraînement commando), les militaires du 3e RPIMa ont donc pour vocation d’intervenir partout dans le monde, en France comme à l’étranger.

 

Au total, 5 000 soldats de Sentinelle sont mobilisés dans Paris et son agglomération. Près de 19 unités de l’armée de Terre ont été mises à contribution (voir la liste des régiments). 48h après les attentats du 13 novembre à Paris, l’opération Sentinelle a été renforcée de 1 000 hommes et femmes venus de toute la France. D’autres soldats arriveront d’ici mercredi.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 17:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

18 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

PARIS (France) - Le porte-avions français Charles de Gaulle sera sur zone en Méditerranée orientale, prêt à engager ses avions en Syrie, à la fin de la semaine, a annoncé mercredi le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian.

 

Le groupe aéronaval dans son ensemble (porte-avions et bâtiments de soutien) a appareillé ce matin (de Toulon, sud de la France), il sera sur zone à la fin de la semaine, a-t-il dit à l'Assemblée nationale.

 

L'armée française disposera alors dans la région des 26 chasseurs embarqués sur le porte-avions - 18 Rafale et huit Super Etendard - plus des douze appareils stationnés aux Emirats arabes unis (six Rafale) et en Jordanie (six Mirage 2000).

 

Le porte-avions va donc tripler la capacité de frappes françaises au moment où Paris a décidé d'intensifier ses opérations en Syrie, en riposte aux pires attentats commis vendredi sur son territoire (129 morts, plus de 350 blessés), revendiqués par l'organisation de l'Etat islamique (EI).

 

Depuis dimanche, les chasseurs français ont largué une soixantaine de bombes sur le centre névralgique (de l'EI) à Raqa, dans le nord de la Syrie, a précisé le ministre. Cette intensification se poursuivra jusqu'à ce que nous puissions anéantir Daech (acronyme de l'EI en arabe), a-t-il martelé.

 

M. Le Drian a aussi salué une inflexion des Etats-Unis qui, depuis les attentats, ouvrent beaucoup plus largement qu'auparavant leurs capacités de renseignement à l'aviation française pour le choix des cibles.

 

Le Charles-de-Gaulle, qui opèrera dans un premier temps en Méditerranée, près du théâtre syrien, pourrait ensuite rallier le Golfe arabo-persique, a indiqué l'amiral René-Jean Crignola, commandant du groupe aéronoval, avant l'appareillage.

 

Le porte-avions est accompagné des frégates de défense aérienne Chevalier Paul et anti sous-marine La Motte Piquet ainsi que des frégates anti-aérienne britannique HMS Defender et belge Léopold Ier. Outre les chasseurs, il embarque deux avions de guet aérien avancé de type Hawkeye et trois hélicoptères.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 17:35
Rafale close-up photo Anthony Pecchi - Dassault Aviation

Rafale close-up photo Anthony Pecchi - Dassault Aviation

 

17 November 2015 dnaindia.com
 

The multi-billion dollar deal for purchase of 36 Rafale combat aircraft is in "final stages" of price negotiations, Defence Minister Manohar Parrikar has said.

A new roadmap for the upgradation of the inventory in the Indian Air Force is being prepared with focus on 'Make in India' initiative, and any future acquisition will be based on it, he told PTI. The minister said that issues that came up in talks with the French on the Rafale fighter planes, like 50 per cent offset clause, have "almost been sorted out". Refusing to put a timeline on when the final contract will be signed, Parrikar said, "It is in the final stages of price negotiations."

Prime Minister Narendra Modi had announced in April this year during his visit to France that India will acquire 36 Rafale planes in fly-away condition under a government-to- government contract. "As of now we are talking about 36 (planes). I am not saying that it means we are thinking of buying more. For our upgradation of the air force, we are preparing a roadmap. Once that roadmap is finalised and approved by the government, then we will go ahead as per the roadmap," he said when asked if India will be going in more Rafale aircraft.

Parrikar said that the roadmap will take into account the 'Make in India' initiative. "One option is the Light Combat Aircraft (Tejas). In principle we have agreed to buy 20 LCAs in present form and another 100 with some improvements," he said. On the offers made by global fighter jet plane makers to set up manufacturing bases in India, Parrikar said a decision would be taken as per the new policy. 

The Defence Ministry is expected to come out with a new Defence Procurement Procedure soon that will be in tune with the government's initiative of 'Make in India'. However, Parrikar made it clear that companies wanting to set up bases in the country will have to follow India's export control policy.

"Export also comes into play only once our order is finished. That will take 10-12 years. Even the best in the world can't make more than 16-20 per year unless they have multiple plants. Production for our own orders will take 8-10 years," he said.

From Swedish firm Saab to US' Lockheed Martin and France's Dassault Aviation, most of the global aircraft manufacturers have offered their planes in line with the government's push for 'Make in India'. Indian Air Force had last month said it would need at least six squadrons comprising 108 Rafale or similar planes to shore up its capabilities.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 17:30
Chammal (sept 2015) - photo EMA / Armée de l'Air - Marine nationale

Chammal (sept 2015) - photo EMA / Armée de l'Air - Marine nationale

 

18/11/2015 G.B. – LaDepeche.fr

 

Pour frapper Daech, l'Élysée peut compter pour l'instant sur six Mirage 2000 (trois «D», trois «N») basés en Jordanie et six Rafale aux Émirats Arabes Unis (EAU). Une flotte de douze avions de chasse auxquels s'ajoutent des avions de reconnaissance type Atlantique 2.Si l'état-major de l'armée de l'air reste discret sur le nombre de pilotes des deux bases de la région c'est pour «préserver les équipages» confie-t-on à l'Hexagone, le nouveau Pentagone français.

Lire l’article

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 16:55
Les vapocraqueurs 1 et 2 du site TOTAL de Carling Saint-Avold, en Moselle - Crédits : Total

Les vapocraqueurs 1 et 2 du site TOTAL de Carling Saint-Avold, en Moselle - Crédits : Total

 

18 novembre 2015 Par Gaëlle Fleitour - Usine Nouvelle

 

Information Usine Nouvelle : Préoccupés par les risques d’attentats pesant sur les sites hébergeant des produits dangereux, les industriels ont obtenu mardi de l’Etat de faire retirer du Web des informations trop précises. Explications.

 

 Depuis les attentats, la vigilance est maximale dans les usines classées Seveso, cette réglementation européenne qui encadre les sites industriels les plus sensibles. A travers la France, 1 170 établissements sont concernés, dont la moitié d’entre eux hébergent des produits chimiques jugés dangereux. Les industriels le savent, la menace est réelle depuis que des actes terroristes sont survenus cet été dans l’usine d’Air Products à Saint-Quentin-Fallavier (Isère) et sur le site pétrochimique de Berre-L’Étang (Bouches-du-Rhône). Mardi 17 novembre, une réunion a donc rassemblé durant l’après-midi le Ministère de l’Ecologie et l’Union des Industries Chimiques (UIC). Avec une urgence : retirer les informations sensibles des sites internet.

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 16:55
photo EMA

photo EMA

 

18/11/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 16 novembre 2015, le général d'armée Pierre de Villiers est allé au contact des militaires déployés en renfort sur Paris à la suite des attentats.

 

Moins de 48 heures après l’attaque terroriste, 1000 militaires ont renforcé le dispositif Sentinelle dans la capitale. Certains rentraient tout juste d’opérations extérieures, ce qui illustre bien le lien entre Défense de l’avant en OPEX et sécurité des Français sur le territoire national.

 

A Vincennes, il s’est rendu au PC du 54ème RA à partir duquel a été conduit dans l’urgence le déploiement de renforts militaires en appui des force de sécurité intérieure, dans la nuit du 13 novembre.

 

Saluant la réactivité de ses hommes, il leur a rappelé que les Français comptent sur eux pour leur sécurité et qu’il est « notre honneur de les protéger ».

photo Etat-major des armées / ECPAD

photo Etat-major des armées / ECPAD

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 15:30
En trois jours, la France frappe trois fois Daech en Syrie

En 48 heures, la France a procédé à trois raids aériens qui ont permis de détruire "six objectifs d'importance contrôlés par Daech", selon le ministère de la Défense - photo EMA / Armée de l'Air

 

18/11/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

En 48 heures, la France a procédé à trois raids aériens qui ont permis de détruire "six objectifs d'importance contrôlés par Daech", selon le ministère de la Défense.

 

C'est la réaction de la France à la suite des attaques terroristes de vendredi à Paris. En 48 heures, la France a procédé à trois raids aériens qui ont permis de détruire "six objectifs d'importance contrôlés par Daech", selon un communiqué publié mardi soir par le ministère de la Défense. Ces raids interviennent alors que la France a prévenu ce weekend qu'elle serait "impitoyable" dans la "guerre" contre Daech, qui a revendiqué les attentats sanglants ayant frappé Paris vendredi.

"Nous allons mener le combat, il sera impitoyable", avait déclaré vendredi soir François Hollande près du Bataclan, la salle de concert où 89 personnes ont été tuées. "Parce que quand des terroristes sont capables de faire de telles atrocités, ils doivent être certains qu'il y aura en face d'eux une France déterminée, une France unie, une France rassemblée et une France qui ne se laissera pas impressionner même si aujourd'hui elle exprime une émotion infinie."

 

Troisième frappe en 48 heures

En début de soirée à partir de 19h30 (heure française), l'armée de l'air française a de nouveau frappé Daech à Raqqah, le fief de l'organisation terroriste en Syrie située dans le nord de la Syrie à moins de 400 km de Damas. La force Chammal a successivement bombardé deux centres de commandement de Daech. Le raid était constitué de 10 avions de chasse (Rafale et Mirage 2000), qui ont été engagés à partir des Emirats arabes unis et de la Jordanie.

S'exprimant mardi soir sur TF1, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a souligné que les secteurs de Raqqah mais aussi de Daïr az Zour, à 150 km au sud-est le long de l'Euphrate, constituaient les cibles principales de ces frappes. Il s'agit, a-t-il ajouté, des "sites principaux de la formation des combattants étrangers".

 

Des frappes aériennes avaient déjà touché Raqqah

Dimanche entre 19H50 et 20H25, la force Chammal avait déjà frappé des infrastructures opérationnelles tenues par Daech à Raqqah. Les deux objectifs visés par les frappes avaient été détruits. Le premier objectif détruit était utilisé par Daech comme poste de commandement, centre de recrutement djihadistes et dépôt d'armes et de munitions. Le deuxième objectif abritait un camp d'entraînement terroriste.

Ce premier raid était constitué de 12 aéronefs français, dont 10 avions de chasse, qui ont été engagés simultanément à partir des Emirats arabes unis et de la Jordanie. 20 bombes ont été délivrées. Il s'agissait d'un raid d'une ampleur sans précédent en raison du nombre d'appareils engagés, depuis le début des frappes françaises en Syrie fin septembre. Planifiée sur des sites préalablement identifiés lors des missions de reconnaissance réalisées par la France, cette opération a été conduite en coordination avec les forces américaines.

L'aviation française avait de nouveau bombardé Raqqah dans la nuit de lundi à mardi, détruisant un centre de commandement et un centre d'entraînement, selon le ministère français de la Défense. "L'armée française a conduit pour la seconde fois en l'espace de 24 heures un raid aérien contre Daech (acronyme de l'Etat Islamique en arabe) à Raqqah en Syrie", a indiqué le ministère dans un communiqué.

 

Les Russes ont bombardé Raqqah

Deux semaines après l'attentat contre un avion commercial qui a explosé au-dessus du Sinaï et qui a fait 224 morts, Moscou a procédé à d'intenses frappes contre Rakka. La Russie a lancé un "nombre significatif de frappes sur Raqqah", qui "pourraient" avoir impliqué des missiles tirés depuis des navires en mer et des bombardiers à long rayon d'action, a affirmé mardi un responsable américain sous couvert de l'anonymat. Les forces russes ont prévenu les États-Unis avant le lancement de ces frappes dans le cadre d'un accord pour assurer la sécurité des appareils des deux armées opérant au-dessus du territoire syrien.

De son côté, le commandement de l'armée américaine a annoncé de son côté que les avions de la coalition avaient aussi frappé la ville ces derniers jours. Pour organiser la riposte militaire, François Hollande rencontrera Barack Obama à Washington mardi prochain et Vladimir Poutine deux jours plus tard à Moscou, dans l'espoir d'une coalition unique visant à "détruire" l'Etat Iislamique (EI). Le président russe a ordonné à sa marine de "coopérer" avec la France.

 

33 morts parmi les djihadistes

Les frappes menées depuis trois jours par des chasseurs de l'armée française et d'autres nations ont fait au moins 33 morts dans les rangs de l'organisation Etat islamique (EI) à Raqqah, rapporte mercredi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). L'Observatoire, qui s'appuie sur un réseau de sources en Syrie, fait également mention du départ de djihadistes et de dizaines de membres des familles des cadres du mouvement vers Mossoul, la grande ville du nord de l'Irak que contrôle l'EI depuis juin 2014.

A l'instar de Mossoul pour l'Irak, la ville de Raqqah est devenue le quartier-général et le centre politique des opérations du groupe djihadiste en Syrie. Les combattants de l'EI et leurs familles représentent désormais une partie importante de la population.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 14:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

18 Novembre 2015 à 14:42 Sources : Etat-major des armées / Marine Nationale

 

Le 18 novembre 2015, le Groupe aéronaval (GAN) a appareillé pour la Méditerranée orientale. Il prendra part rapidement aux opérations de la Coalition contre Daech et complètera ainsi le dispositif de l’armée de l’Air déjà engagé au Levant. Le GAN permettra de multiplier par trois le potentiel miliaire des moyens français engagés au Levant contre Daech.

Au cours de son déploiement, il participera également à des manœuvres conjointes dans un cadre multinational et interalliés, ainsi qu’à des manœuvres bilatérales avec les pays de la région. Dans le golfe Arabo-Persique, le GAN assurera durant plusieurs semaines le commandement de la Task Force 50.

 

Cette mission du GAN est baptisée Arromanches 2.

 

Constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, le groupe aéronaval a pris le nom de Task Force 473 (TF 473). La TF 473 est placée sous le commandement tactique du contre-amiral René-Jean Crignola. Le GAN sera placé successivement sous le contrôle opérationnel de commandant de la zone maritime en Méditerranée et du commandant de la composante navale de la coalition dès son entrée en Océan Indien et jusqu’à sa sortie du golfe Arabo-Persique, puis du commandant de la zone maritime de l’Océan Indien jusqu’au franchissement du canal de Suez.

 

Le GAN est composé :

- Du porte-avions Charles de Gaulle, du groupe aérien embarqué (18 Rafale Marine, 8 Super étendard modernisés, 2 Hawkeye, 2 Dauphin et 1 Alouette III) et de l’état-major du GAN ;

- D’une frégate de défense aérienne Chevalier Paul (+ 1 Caïman Marine) ;

- D’une frégate anti sous-marine La Motte Piquet (+ Lynx) jusqu’à mi-janvier 2016 ;

- D’une frégate multimission (FREMM) Aquitaine (+ 1 Caïman Marine) à partir de mi-janvier 2016 ;

-D’un bâtiment de commandement et de ravitaillement Marne (+ Alouette III) ;

- D’une frégate anti-aérienne britannique HMS Defender (+ Lynx et Merlin) ;

- D’une frégate belge Léopold Ier (+ Alouette III) du 18 novembre 2015 au 4 janvier 2016 ;

 

Il pourra être renforcé par la FREMM Provence (+ 1 Caïman Marine) lors de son déploiement de longue durée, et ponctuellement de moyens américains navals et aériens.

 

Des bâtiments de d’autres nations alliées pourront être intégrés au GAN.

 

L’interopérabilité des moyens français avec ceux des Marines alliées est l’assurance pour la Coalition de pouvoir agir avec une très grande réactivité au Levant.

 

La présence du GAN dans le golfe Arabo-Persique augmente ainsi les opportunités de coopération avec nos partenaires régionaux. Elle est le signe concret de l’intérêt que la France porte à cette zone.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 14:55
Terrorisme : les trois défis de l'opération Sentinelle

"Un soldat n'est pas formé pour rester en garde fixe au pied d'un lieu jugé - à juste titre - sensible. Mais nous allons faire autre chose, autrement", avait estimé le chef d'état-major des armées, le général Pierre de Villiers - photo EMA

 

17/11/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

L'armée de Terre doit recruter pour assurer pleinement l'opération sentinelle. Surtout l'état-major demande une évolution des missions de l'armée, qui souhaite amener son expérience des opérations extérieures.

 

En 2015, dans la continuité de 2014, les forces armées françaises ont connu un très fort engagement opérationnel, avec les opérations Sentinelle (France), Sangaris (Centrafrique), Chammal (Irak et Syrie) et Barkhane (Sahel). À travers cette mobilisation de 10.000 hommes en janvier pour l'opération Sentinelle, puis ramenée à 7.000, l'armée a montré qu'elle était capable de mobiliser beaucoup d'hommes en peu de temps avec efficacité. Mais cette opération a rapidement montré les limites du format des armées défini par le livre blanc de la défense et la sécurité nationale de 2013.

D'autant que les opérations extérieures (OPEX) lancées sont appelées à durer. Ainsi, comme l'a reconnu le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, il n'avait "pas autant diminué qu'initialement prévu les effectifs sur certaines opérations, en particulier Sangaris. En raison de l'augmentation des tensions, j'ai ainsi demandé au président de la République de m'autoriser à maintenir plus de 900 militaires sur le camp de M'Poko (Centrafrique, ndlr). Cela complique encore l'année 2015".

 

Une armée qui a été déstabilisée

En février, le chef d'état-major des armées (CEMA), le général Pierre de Villiers, tirait déjà la sonnette d'alarme sur l'écart de plus en plus flagrant entre les moyens donnés aux armées et les missions qui lui sont confiées par les plus hautes autorités de l'État. Pas assez d'hommes pour assurer toutes les missions. Du coup, en mai dernier, le gouvernement annonce une moindre déflation des effectifs de 18.750 postes sur les 33.675 prévus initialement dans la loi de programmation militaire 2014-2019 (LPM). "Soyons clairs : notre modèle d'armée ne pouvait plus subir davantage de réduction !", avait estimé le 15 octobre le général Pierre de Villiers.

"Si l'on dresse un bilan de la situation, la tendance est toujours à plus de missions pour nos armées, car, aux missions opérationnelles, il faut encore ajouter tout le reste. Je pense à l'environnement de soutien et de gestion, mais aussi au soutien aux exportations, ou encore à nos actions en faveur de la cohésion nationale avec le service militaire volontaire", avait expliqué en octobre le CEMA lors de son audition à la commission de la défense de l'Assemblée nationale.

Des suppressions de postes qui venaient après celles décidées par Nicolas Sarkozy (54.000 sur la période 2009-2014). Bref, les saignées successives dans les effectifs ont rendu exsangue les forces armées, incapables de gérer sur le long terme les opérations extérieures (OPEX), les opérations intérieures (OPINT) et les journées d'entrainement nécessaires à la préparation des missions. "La préparation opérationnelle, autrement dit l'entraînement, n'est donc pas négociable, sauf à mettre en danger les soldats en opération extérieure, et il s'agirait d'un danger de mort", avait expliqué le 15 octobre le général Pierre de Villiers. Nicolas Sarkozy, tout comme François Hollande dans un premier temps, n'ont pas compris toute l'importance d'un outil militaire suffisamment doté pour remplir ses missions fondamentales.

 

1/ Une fragilité temporaire de Sentinelle

En dépit des moindres déflations, l'armée avait déjà dû mal à assurer les missions de l'opération Sentinelle avant les tragiques attaques terroristes du vendredi 13. Une situation temporaire, comme l'indiquait le général Pierre de Villiers. Pourquoi? "Dans les mois à venir, avait-il expliqué, le volume des forces engagées sur le territoire national restera une source de fragilité : tant que les manœuvres de recrutement et de formation de l'armée de terre ne seront pas terminées, c'est-à-dire d'ici à la fin de l'année 2016 ou au début de l'année 2017, des renoncements perdureront pour garantir les effectifs de Sentinelle".

"C'est en 2015 que l'opération Sentinelle pose problème puisqu'on doit assurer la présence de 7.000 militaires, susceptible d'être portée à 10.000 de toute urgence, avec des effectifs qui sont ceux de début d'année", a confirmé Jean-Yves Le Drian.

Cette fragilité provient en raison même d'un changement en volume des militaires engagés dans l'opération Sentinelle sur le long terme. "Avec 7.000 soldats engagés chaque jour, et la capacité de monter jusqu'à 10.000 hommes sur court préavis, le volume de l'opération Sentinelle est plus de quatre fois supérieur à ce qui existait auparavant. C'est considérable !", avait jugé le chef d'état-major des armées. Ce changement stratégique doit se réaliser "sans compromettre nos engagements futurs".

 

2/ Quelles missions pour les militaires de l'opération Sentinelle?

"Une réflexion doctrinale interministérielle est en cours pour répondre à ces changements afin que la mission Sentinelle ne soit pas qu'une excroissance du dispositif Vigipirate, mais une véritable plus-value stratégique en complément des forces de sécurité intérieure", avait expliqué le général Pierre de Villiers. L'état-major réfléchit à une rupture stratégique, sous le pilotage du secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN). Un rapport doit être remis au président de la République avant la fin de l'année. Jean-Yves Le Drian doit en rendre compte devant le Parlement en janvier.

Quel est le rôle des forces armées sur le territoire national, et précisément avec l'opération Sentinelle ? "Je considère que la mission des armées, en temps de crise comme en temps de paix, est de protéger tous les Français où qu'ils se trouvent, à l'étranger, outre-mer ou en métropole", avait affirmé le chef d'état-major des armées. Et il rappelait que "le soldat actuellement engagé dans Sentinelle est le même que celui qui, demain, partira au Sahel combattre au sein de la force Barkhane".

Mais, selon lui, "nous devons la prendre en compte et trouver la bonne réponse en complément des forces de sécurité intérieure". Pas question de "demander durablement aux soldats français d'aider, de remplacer, de suppléer des forces de sécurité intérieure qui ne seraient pas assez nombreuses", avait-il précisé. L'opération Sentinelle, ce n'est pas cela, pour le général Pierre de Villiers. "Loin d'être une sorte de Vigipirate bis, Sentinelle répond à une rupture stratégique : nous considérons que la situation n'est plus la même qu'il y a un an et que le niveau de menace est tel en France que les forces de sécurité intérieure ont besoin du renfort substantiel et durable des forces armées. Mais plutôt que de suppléer les forces de sécurité, les armées doivent apporter des savoir-faire complémentaires".

"L'apport de nos armées à la protection des Français à l'intérieur de nos frontières est essentiel. La mission Sentinelle rassure nos concitoyens ; la grande popularité de nos soldats le prouve. De plus, Sentinelle envoie un message fort à nos adversaires et montre la force et la détermination de notre pays : nous ne permettrons pas que des actions de guerre soient commises sur notre sol. La protection de la France et des Français demeure la vocation première des forces armées".

 

3/ Quelle plus-value de l'armée?

"Un soldat n'est pas formé pour rester en garde fixe au pied d'un lieu jugé - à juste titre - sensible. Mais nous allons faire autre chose, autrement", avait estimé le CEMA. Dans ce cadre, l'état-major des armées cherche à créer un dispositif cohérent, dans lequel les militaires apporteraient leurs compétences. D'autant que les adversaires utilisent les mêmes modes d'action que sur les opérations extérieures. Ainsi, les soldats pourraient être "plus mobiles, opérer de nuit, utiliser des équipements et des techniques que nous sommes les seuls à avoir".

"Puisque nous avons affaire aux mêmes terroristes, nous devons pouvoir recourir, le cas échéant, à des modes d'action à l'intérieur qui s'inspirent de ceux utilisés à l'extérieur du territoire national. Le dispositif Sentinelle va donc évoluer", a estimé le CEMA. Ce que confirme Jean-Yves Le Drian : "il faut continuer d'affiner les concepts, tirer les leçons de la situation, définir la doctrine, les capacités, l'articulation avec le ministère de l'Intérieur sur la durée".

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 13:55
photo DCSSA

photo DCSSA


17/11/2015  DCSSA

 

Dans une quinzaine de  jours, vous pourrez faire une promesse de don de sang datée en appelant les sites de collecte du CTSA (01 41 46 72 26 pour le site de Clamart et 04 83 16 22 60 pour le site de Toulon) en heures et jours ouvrables.

 

L'exceptionnelle mobilisation des donneurs de sang en Ile-de-France depuis samedi 14 novembre a permis de compléter la banque de sang militaire (CTSA). Nous vous remercions pour votre générosité.

En dehors des collectes déjà programmées, tous ceux qui voudraient s'engager dans le soutien du service de santé des armées doivent réserver leur don pour les semaines à venir et particulièrement pour les fêtes de fin d'année qui sont toujours des périodes en manque de donneurs.

Il est important de respecter cette consigne d'étalement des dons car tous ceux qui donnent aujourd'hui ne pourront plus donner en sang total pendant deux mois.

Pour votre promesse de don, dans une quinzaine de jours, appelez au 01 41 46 72 26 pour le site de Percy/Clamart et 04 83 16 22 60 pour le site de Sainte-Anne/Toulon du centre de transfusion sanguine des armées

 Pour en savoir plus sur le don du sang et le centre de transfusion sanguine des armées

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 13:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

18/11/2015 armée de Terre

 

Cette année, la promotion 2015-2 de l’école de l’infanterie de Draguignan accueille neuf officiers étrangers. Le temps de deux jours, à l’occasion d’un séminaire organisé dans le cadre d’échanges réguliers avec les armées étrangères, des stagiaires allemands, américains et émiratis sont venus grossir les rangs de cette « délégation internationale ». Ensemble, ils ont travaillé sur le thème de l’évacuation de ressortissants.

 

Travaillant en petits groupes mixtes et par ateliers, les officiers du Cours de formation des commandants d’unité (CFCU) ont planché, en anglais, autour de la méthode employée pour prendre une décision opérationnelle, permettant à chacun d’entre eux de produire des ordres tactiques clairs applicables sur le terrain (contexte de la mission, analyse, synthèse, élaboration de la manœuvre, etc.). Le deuxième jour était consacré à une réflexion autour de cas pratiques et de situations imprévues, de répétitions et de préparations de mission réalisées en simulation sur JANUS.

 

Ce séminaire était ainsi largement orienté sur la planification et la préparation de missions des sous-GTIA (groupement tactique interarmes) dans un environnement international. Un exercice que les futurs commandants d’unités mettront probablement rapidement en pratique dès la fin de leur formation, à la tête de leur compagnie en opérations.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 13:45
[Teaser] Gabon, la coopération opérationnelle en marche (JDef, hors-série)


18 nov. 2015  Journal de la Défense (#JDef)

 

Le Journal de la Défense (#JDef) vous donne rendez-vous à Libreville pour un spécial hors-série de novembre. Pendant deux semaines, quelques 140 cadres et soldats gabonais, camerounais, congolais et tchadiens ont participé à différents stages opérationnels et techniques organisés par les éléments français au Gabon (EFG). Notre équipe qui a eu la chance de pouvoir les suivre, vous embarquera pour une immersion inédite au cœur de ce pôle opérationnel de coopération à vocation régionale. Des salles de cours à la forêt équatoriale, vous serez sur le terrain, au plus près des stagiaires et de leurs instructeurs!

Grille de diffusion sur LCP-An :
-samedi 21 novembre à 09:55
-lundi 23 novembre à 00:25
-samedi 28 novembre à 10:50
-jeudi 3 décembre à 14:45
-vendredi 25 décembre à 14:50
-mercredi 30 décembre à 09h50

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 12:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

18 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Toulon - Le porte-avions français Charles-de-Gaulle avec 26 chasseurs à bord a appareillé mercredi de Toulon (sud-est de la France) pour se rendre en Méditerranée orientale afin de participer à la lutte contre le groupe Etat islamique, a constaté un journaliste de l'AFP.

 

Après les attentats meurtriers de vendredi, le président français François Hollande a décidé d'engager le groupe aéronaval en Méditerranée orientale, avant de lui faire rallier, le cas échéant, le golfe arabo-persique, a indiqué l'amiral René-Jean Crignola, commandant du groupe aéronoval, avant l'appareillage.

 

Le Charles-de-Gaulle et ses 26 chasseurs -18 Rafale et huit Super-Etandard - ne mettra que quelques jours pour se rendre sur cette zone, au large de la Syrie ou du Liban, contre environ un mois pour rejoindre le golfe arabo-persique, sa mission initiale.

 

Dans les jours qui viennent, l'arrivée sur le théâtre des chasseurs du groupe aérien embarqué, va tripler les capacités actuelles d'action de la France, a souligné M Crignola, qui commande la totalité de la Task Force 476, comprenant, outre le groupe aéronaval français, plusieurs navires étrangers, parmi lesquels une frégate britannique et une autre belge, le Léopold Ier.

 

Le 13 nov 2015, la France a été attaqué sur son territoire par Daech, qui a commis des attentats terroristes simultanées à Paris et dans son agglomération faisant plusieurs centaines de victimes. Le 16 novembre, le Président de la République a annoncé devant le congrès l'intensification des opérations militaires contre Daesch, notamment en Syrie, a expliqué M. Crignola.

 

C'est la troisième mission du porte-avions français dans cette zone lors des deux dernières années.

 

Deux jours après les attaques de Paris et Saint-Denis, l'aviation française a massivement bombardé dimanche soir Raqa, capitale de facto du groupe Etat islamique (EI) dans le nord de la Syrie.

 

Dans un raid d'une ampleur sans précédent depuis les premières frappes françaises en Syrie fin septembre, dix chasseurs-bombardiers ont largué 20 bombes sur un poste de commandement et un centre d'entraînement de l'Etat islamique (EI).

 

Nous poursuivrons ces frappes au cours des semaines à venir (...) Il n'y aura aucun répit ni aucune trève, avait martelé le président Hollande devant les parlementaires.

 

La France est en guerre (...) Nous sommes dans une guerre contre le terrorisme jihadiste qui menace le monde entier, avait-il dit.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 12:55
photo DGPN

photo DGPN

 

18.11.2015 Romandie.com (ats)

 

L'assaut lancé mercredi par les forces de sécurité contre un immeuble du centre de Saint-Denis, près de Paris, est terminé, a-t-on appris de source policière. Mais les opérations de sécurisation se poursuivaient à la recherche d'éventuels autres suspects.

"L'assaut vient d'être terminé. Les forces de l'ordre restent sur place pour sécuriser l'environnement, notamment les riverains", a-t-on précisé.

L'opération, en lien avec l'enquête sur les attentats du 13 novembre, a fait deux morts dans les rangs de djihadistes présumés - une femme qui s'est fait exploser et un suspect dont l'identité reste à déterminer - et cinq blessés chez les policiers.

Les forces de l'ordre ont procédé à sept interpellations: trois "extraites" par la police de l'appartement visé, deux dans des appartements voisins, et deux autres à proximité.

 

Cerveau des attentats visé

Les enquêteurs ciblaient Abdelhamid Abaaoud, le commanditaire présumé des attentats de Paris, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Sa présence dans l'immeuble situé près du Stade de France n'était toutefois pas certaine, selon une source judiciaire qui parle d'"hypothèse de départ".

Une autre source a indiqué que "les forces de l'ordre recherchaient des terroristes qui préparaient un acte prochain sur la base d'informations de la SDAT (les services antiterroristes, ndlr) et de l'étranger". Selon elle, il s'agissait d'"une nouvelle équipe qui projetait un attentat à La Défense."

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 12:50
Le capitaine Caballero, de la 14e escadre d’Albacete a été décoré de la médaille de la défense nationale, échelon or.

Le capitaine Caballero, de la 14e escadre d’Albacete a été décoré de la médaille de la défense nationale, échelon or.

 

18/11/2015 Armée de l'air

 

À l’occasion d’une cérémonie organisée le 11 novembre à Madrid, des militaires français et espagnols ont été décorés pour leur action lors du drame d’Albacete

 

Placée sous la présidence de l’ambassadeur de France, M. Yves Saint-Geours, et en présence de plusieurs officiers généraux espagnols, cette cérémonie a récompensé les militaires espagnols et français qui se sont distingués par leur bravoure lors du drame d’Albacete en Espagne.

 

La médaille de la défense nationale échelon or a été remise au capitaine Caballero, de la 14e escadre d’Albacete, pour son acte significatif. Deux aviateurs français, le commandant Thomas et l’adjudant Jean-Christophe, membres permanents du Tactical Leadership Programme (TLP) d’Albacete ont, quant eux, reçu un témoignage de satisfaction du ministre de la Défense.

 

Des militaires décorés pour leur action lors du drame d’Albacete

Des militaires décorés pour leur action lors du drame d’Albacete

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 12:50
HMS Defender - photo Royal Navy

HMS Defender - photo Royal Navy

 

18 November 2015  Ministry of Defence and The Rt Hon Michael Fallon MP

 

Type 45 destroyer HMS Defender will support the French carrier group

 

The Royal Navy warship HMS Defender will support the French aircraft carrier Charles de Gaulle when she deploys to tackle ISIL. The ship will provide air defence cover for the French carrier.

Defence Secretary Michael Fallon said:

France is firmly resolved in its determination to tackle ISIL and we need to help too.

This barbaric terrorist organisation must be destroyed and it’s right that we offer all the support we can to confront them.

We will continue our own advanced surveillance and strike missions against ISIL. They are a threat to our security in the UK, as well as to France and the rest of Europe.

We will consider any further requests for support from France under Article 42.7 of the EU Treaty following Friday’s Paris terror attacks.

HMS Defender sailed from Portsmouth last month for a nine-month deployment under the command of Commander Stephen Higham.

HMS Defender is capable of carrying out a wide range of operations, including anti-piracy and anti-smuggling activities, disaster relief work and surveillance operations as well as high intensity warfare.

Defender has a ship’s company of 230 and commissioned on 21 March 2013.

HMS Defender is the fifth of the Royal Navy’s six Type 45 Destroyers. She was launched by her sponsor, Lady Massey, on Trafalgar Day (21 October) 2009.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 12:45
Opération BARKHANE: le Canada supporte les militaires français

Un CC-177 Globemaster III des Forces armées canadiennes, en route pour Bamako, au Mali, le 17 janvier 2013. (Archives/Caméra de combat des Forces canadiennes)

 

17 novembre 2015 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Les Forces armées canadiennes ont déployé personnel et avion de transport CC-177 Globemaster pour transporter du personnel et des équipements militaires français entre la France et le Tchad ou le Niger.

 

Sur requête du ministère de la Défense français, le premier vol a eu lieu le 28 septembre 2015. L’avion a volé de la base d’Évreux-Fauville (France) à l’aéroport international Diori Hamani (Niamey, Niger).

 

La mise à disposition de la capacité de transport stratégique de transport lourd de l’Aviation royale canadienne est une contribution épisodique de soutien logistique au gouvernement de la France.

 

La date butoir est pour le moment du 31 décembre 2015 et d’ici là jusqu’à quatre autres vols entre la France et le Sahel sont autorisés. Ces vols pourraient se faire jusqu’à Niamey (Niger), où se trouve la base d’un pôle de renseignement de l’Opération BARKHANE ou jusqu’à N’Djaména (Tchad) où se trouve la base de l’état-major et des forces aériennes.

 

Entre le 15 janvier et le 31 mars 2013, l’Aviation royale canadienne a fourni un soutien aérien logistique continu au gouvernement de la France dans son intervention militaire au Mali, un pays d’Afrique de l’Ouest pour freiner les progrès d’extrémistes islamiques liés à Al-Qaïda et reprendre le territoire occupé par ceux-ci. Depuis le 31 mars 2013, le soutien canadien à la France a été périodique et la dernière mission remontait au 16 octobre 2013.

 

Le 14 mars 2013, le Premier ministre Harper avait annoncé que le déploiement d’un CC 177 pour le transport aérien stratégique afin de soutenir les opérations françaises au Sahel se poursuivrait aussi longtemps que le Canada identifiera un besoin.

 

Le Canada possède cinq CC-177 Globemaster de transport qui sont basés à la 8e Escadre Trenton.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 12:40
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale


17.11.2015 45eNord.ca (AFP)
 

Le président russe Vladimir Poutine a ordonné mardi à ses navires de guerre déployés en mer Méditerranée d’entrer en « contact direct » avec le porte-avions Charles de Gaulle et de « coopérer avec les alliés » français.

 

« Un détachement naval français mené par un porte-avions arrivera bientôt dans votre secteur. Il faut établir un contact direct avec les Français et travailler avec eux comme avec des alliés », a déclaré Vladimir Poutine lors d’une réunion de l’état-major de l’armée russe consacrée aux opérations militaires en Syrie.

Le président russe s’est par ailleurs entretenu par téléphone avec son homologue français François Hollande, avant une rencontre prévue le 26 novembre. Les deux chefs d’Etat se sont mis d’accord pour une « coordination plus étroite » de leurs agences de renseignement sur le conflit syrien après les attentats vendredi à Paris, a indiqué le Kremlin.

Comme la France après ces attentats, la Russie a décidé mardi d’intensifier ses frappes en Russie en raison du crash de l’Airbus russe en Egypte, désormais considéré comme un attentat par Moscou.

Des bombardiers stratégiques russes ont pour la première fois frappé des positions de l’organisation État islamique (EI) en Syrie, où Moscou mène depuis le 30 septembre une campagne de frappes aériennes, a indiqué le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou lors de la réunion de l’état major.

Jusqu’à présent, la Russie n’utilisait en Syrie que des bombardiers tactiques et des avions d’appui au sol. L’utilisation de bombardiers stratégiques à long rayon d’action, plus puissants et décollant depuis la Russie, constitue une nouvelle étape dans la démonstration de force militaire russe dans le pays.

Des bombardiers Tu-22 ont frappé mardi matin des cibles de l’EI dans les provinces de Raqa (nord-est) et de Deir Ezzor (est), tandis que des Tu-160 et des Tu-95MC ont bombardé les provinces d’Alep (nord-ouest) et d’Idleb (nord-ouest), selon M. Choïgou.

Selon le chef d’état-major russe Valeri Guerassimov, l’aviation de Moscou a frappé en 48 jours d’intervention 4.111 cibles en Syrie pour un total de 2.299 sorties, détruisant 562 postes de commandement, 64 camps d’entraînement et 54 ateliers de fabrication de munitions et de matériel.

« Le nombre de sorties a doublé, ce qui permet de mener des frappes puissantes et précises sur les combattants de l’EI sur tout le territoire de la Syrie », s’est félicité le ministre de la Défense.

L’armée russe a en outre annoncé qu’elle allait renforcer son contingent aérien en Syrie de 37 avions, dont huit Su-34 et 4 Su-27.

Le président français François Hollande a annoncé lundi que le porte-avion Charles-de-Gaulle allait être déployé en Méditerranée orientale pour prendre part aux opérations en Syrie. Il va quitter Toulon, dans le sud de la France, jeudi.

La France a promis d' »intensifier ses opérations en Syrie » après les attentats meurtriers du 13 novembre à Paris, revendiqués par les jihadistes de l’EI. Dimanche soir, l’aviation française a massivement bombardé Raqa, capitale de facto du groupe dans le nord de la Syrie.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 11:55
"Quand l'Europe de la Défense aura la capacité d'intervenir immédiatement, ce sera dans 150 ans !" (Jean-Yves le Drian) - photo Ministère de la Défense

"Quand l'Europe de la Défense aura la capacité d'intervenir immédiatement, ce sera dans 150 ans !" (Jean-Yves le Drian) - photo Ministère de la Défense

 

18/11/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

A l'exception de la France et de la Grande-Bretagne, très peu de pays européens sont prêts à aller se battre sur des théâtres d'opérations contre Daech. Londres et Paris sont en première ligne contre le terrorisme international.


"Quand l'Europe de la Défense aura la capacité d'intervenir immédiatement, ce sera dans 150 ans ! ". Quel homme politique français a tenu de tels propos dans une interview accordée à la « Voix du Nord » en février 2013 ? Ils ont été prononcés par... le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui avait eu ce jour-là un discours de vérité sur les faiblesses de l'Europe dans le domaine de la diplomatie, de la défense et de l'engagement des forces armées. Pour que cela change, "il faudrait que l'Europe ait un gouvernement unifié, une assemblée européenne et une autorité militaire communes. Je ne sais pas si on verra ça", avait-il précisé.

Tout est vraiment dit dans ces propos chocs de Jean-Yves Le Drian sur l'Europe de la Défense. Et de poser la question : "Consulter les 27 pays membres? Tout cela est du bla-bla". Le Mali ne s'y est d'ailleurs pas trompé. Quand le président malien par intérim a appelé à l'aide face à la menace djihadiste, il s'est tourné directement vers la France.  "Le président du Mali nous a appelé à l'aide le 10 (janvier, ndlr). La décision d'intervenir a été prise par le président (François Hollande, ndlr) le 11 à 12h30, j'y étais. Et nos forces ont commencé à arriver à 17 heures". Jamais l'Europe n'aurait pu prendre une décision aussi rapidement même en cas d'urgence absolue. Ce qui était le cas au Mali puisque les djihadistes fonçaient vers le sud, et plus précisément vers Bamako.

 

La France et la Grande-Bretagne en première ligne

A l'exception de la Grande-Bretagne notamment, la France a d'une façon générale choisi de faire la guerre au terrorisme international. Ses forces armées combattent en même temps dans la bande sahélo-sahélienne, en Irak et en Syrie où elle a entre autre déployé le porte-avions Charles-de-Gaulle et de nombreux avions de combat (18 Rafale, 6 Mirage 2000D, 9 Super-Etendard). Contrairement à à la  plupart des pays européens qui y participent du bout des orteils, notamment l'Allemagne. Angela Merkel a envoyé une quarantaine d'instructeurs en Irak et en Syrie. Seuls les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark et l'Italie ont envoyé quelques avions pour combattre au sein de la coalition internationale en Irak et en Syrie.

D'ailleurs le général François Lecointre, ancien commandant de l'opération de l'Union européenne au Mali, avait bien résumé dans une interview accordée à « La Croix » en février 2014, l'état d'esprit des Européens lors de l'opération Serval. "L'Union européenne a une réelle capacité d'action quand la volonté politique est là, qui permet d'assouplir les procédures, avait-il souligné. Pourvu qu'on n'ait pas l'ambition d'envoyer des troupes d'autres pays européens au combat, alors le consensus peut se faire. Les Européens, dans ce cas précis, ont accepté la mission de formation". Une participation a minima qui ne prévoit pas d'aller au combat... Seule la France ou presque s'y colle.

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 08:55
Décret n° 2015-1483 du 16 novembre 2015 autorisant le transfert au secteur privé de la majorité du capital de la société Nexter Systems SA

 

source JORF n°0266 du 17 novembre 2015 page 21418 texte n° 7

NOR: FCPA1527206D

ELI: http://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2015/11/16/FCPA1527206D/jo/texte
Alias: http://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2015/11/16/2015-1483/jo/texte


Public concerné : société Nexter Systems.
Objet : autorisation du transfert au secteur privé de la majorité du capital de la société Nexter Systems SA.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le présent décret est pris en application de l'article 189 de la loi n° 2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques. Cette loi autorise le transfert au secteur privé de la majorité du capital de la société Groupement industriel des armements terrestres (GIAT) et de ses filiales. Le transfert au secteur privé d'une participation majoritaire au capital d'une société dont l'Etat détient directement, depuis plus de cinq ans, plus de la moitié du capital social et dont les effectifs augmentés de ceux de ses filiales sont supérieurs à cinq cents personnes au 31 décembre de l'année précédant le transfert, ou dont le chiffre d'affaires consolidé avec celui de ses filiales est supérieur à 75 millions d'euros à la date de clôture de l'exercice précédant le transfert, entre dans le champ du I de l'article 22 de l'ordonnance n° 2014-948 du 20 août 2014 relative à la gouvernance des opérations sur le capital des sociétés à participation publique. En outre, au regard du V de ce même article, les participations détenues par une société ayant pour objet principal la détention de titres et dont la totalité du capital appartient à l'Etat sont assimilées à des participations détenues directement par l'Etat. Conformément aux termes de l'article 22 de l'ordonnance précitée, le transfert envisagé de la majorité du capital de Nexter Systems SA au secteur privé a été autorisé par la loi et respecte les conditions précitées, peut être décidé par décret.
Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).

 

Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre des finances et des comptes publics et du ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique,
Vu la loi n° 2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques, notamment son article 189 autorisant le transfert au secteur privé de la majorité du capital de la société Groupement industriel des armements terrestres (GIAT) et de ses filiales ;
Vu l'ordonnance n° 2014-948 du 20 août 2014 modifiée relative à la gouvernance et aux opérations sur le capital des sociétés à participation publique, notamment son titre III,
Décrète :

 


En application de l'article 189 de la loi du 6 août 2015 susvisée, le transfert au secteur privé de la majorité du capital de la société Nexter Systems SA est décidé.

 


Le ministre des finances et des comptes publics et le ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.


Fait le 16 novembre 2015.


Manuel Valls
Par le Premier ministre :


Le ministre des finances et des comptes publics,
Michel Sapin


Le ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique,
Emmanuel Macron

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 22:55
photo ESCC - Armée de Terre

photo ESCC - Armée de Terre

 

17/11/2015 par ESCC – Armée de Terre

 

La traditionnelle cérémonie « sabres et casoars » s’est déroulée le samedi 14 novembre 2015 aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan. Présidée par le général de corps d’armée Christophe de Saint Chamas, officier général de zone de défense et de sécurité Ouest, commandant de zone terre Nord-Ouest, elle s’est déroulée en présence du général Frédéric Blachon, commandant les ESCC et de nombreuses autorités civiles et militaires.

 

Moment particulier, traditionnel et primordial  pour chacune des deux écoles, la cérémonie « sabres et casoars » marque la cohésion profonde du corps des officiers.

 

Reportage photos

 

Les 19 officiers sur titre du premier bataillon de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr, les 150 élèves-officiers, français et étrangers, du troisième bataillon de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr et les 19 élèves officiers du centre international de formation ont reçu leur casoar des mains de leurs anciens de la promotion « Chef d’escadrons de Neuchèze » et des autorités présentes. Ce geste marque symboliquement leur entrée dans la communauté saint-cyrienne.

 

Les 83 élèves-officiers de la 55e  promotion de l’école militaire interarmes ont quant à eux reçu leurs sabres des mains de leurs parrains sous le regard de leurs anciens de la promotion « Lieutenant Nungesser », marquant ainsi leur entrée dans la communauté des officiers.

 

Une minute de silence en hommage aux victimes des attentats du 13 novembre a ponctué la cérémonie.

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 22:30
Chammal : intensification des frappes contre Daech à Raqqah


17/11/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le mardi 17 novembre 2015, l’armée française a de nouveau frappé Daech à Raqqah – fief de l’organisation terroriste en Syrie.

 

Dans la continuité des raids menés depuis 48 heures, la force Chammal a bombardé successivement deux centres de commandement de Daech.  Les premières frappes ont débuté à 19h30 (heure française). Les deux objectifs visés ont été détruits.
Constitué de 10 chasseurs en provenance du golfe Arabo-Persique (GAP) et de Jordanie, le raid a été mené par quatre Rafale et six Mirage (2000D et 2000N).

Ces trois derniers jours, la force Chammal a concentré ses frappes sur les camps d’entraînement et les centres de commandement, deux piliers indispensables au fonctionnement de Daech. En 48 heures, les raids français ont ainsi anéanti six objectifs d’importance contrôlés par cette organisation terroriste.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale, trois Mirage 2000D et trois Mirage 2000N) et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2. Il comprend également des militaires projetés à Bagdad et Erbil pour la formation et le conseil des militaires irakiens. Depuis le 24 septembre 2015, la frégate anti-aérienne (FAA) Cassard a rejoint les forces françaises engagées au Levant.

 

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 20:30
Frappes de l'Armée française sur le fief de Daech en Syrie

17 nov. 2015 Ministère de la Défense

Le 15 novembre 2015 à 19h50 et 20h25 et le 17 novembre à 01h30 du matin (heures françaises), deux raids aériens composés de Rafale, Mirage 2000D et Mirage 2000N ont détruit quatre sites opérationnels de combattants terroristes de Daech en Syrie.

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 19:55
photo Elysée

photo Elysée


17/11/2015 F.C. - Dicod

 

Suite « aux actes de guerre du 13 novembre », François Hollande, président de la République et chef des armées, a prononcé un discours devant le Parlement, réuni en Congrès le 16 novembre à Versailles. Il a annoncé différentes mesures dont certaines concernent la Défense.

 

Le 16 novembre, le président de la République a annoncé différentes mesures qui toucheront les opérations extérieures comme intérieures, rappelant que « le terrorisme, nous le combattons aussi à l’étranger ».

C’est pourquoi, au-delà de l’intensification des frappes aériennes sur les positions de l’organisation terroriste Daech en Syrie dès le 15 novembre dernier, le chef des armées a indiqué que ces « frappes se poursuivront dans les semaines à venir ». En parallèle, il a annoncé l’appareillage du porte-avions Charles-de-Gaulle pour se rendre en Méditerranée orientale dès le 19 novembre. « Les capacités seront triplées. »

Il a également indiqué que la baisse des effectifs prévue au sein de la Défense sera gelée jusqu’en 2019. « Cette réorganisation de nos armées se fera aux bénéfices des unités opérationnelles, de la cyberdéfense et du renseignement », a-t-il détaillé. François Hollande souhaite également tirer « un meilleur partides possibilités de la réserve de la Défense », rappelant que « les réservistes sont un élément fort du lien entre l’armée et la nation ». Il a évoqué le fait que les réservistes pourraient, dans l’avenir, former « une garde nationale encadrée et disponible ».

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories