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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 16:55
Une bonne nouvelle pour Nexter

16.09.2013 RP Defense

 

Selon une source industrielle proche du dossier, Nexter a annoncée en interne le projet de 145 nouveaux recrutements.

 

L’entreprise, qui vient de présenter son nouveau blindé TITUS au salon DSEI, envisage de lancer le recrutement de 85 CDI, qui viennent s’ajouter aux 55 déjà réalisés en 2013 ainsi que 60 contrats en alternance.

 

le Titus  (crédits Nexter)

le Titus (crédits Nexter)

Ces recrutements sont en lien avec les précédentes déclarations du leader de la Défense terrestre qui souhaite participer à l’effort national actuel ayant notamment pour objectif d’améliorer la situation de l’emploi en France, en favorisant les contrats durables et l’insertion des jeunes.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 16:55
 Interview du CEMM : regard sur la loi de programmation militaire 2014-2019

16.09.2013 Ministère de la Défense

 

L’année 2013 aura été marquée par la publication du nouveau Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, mais surtout par le projet de loi de programmation militaire, rendu public le 2 août 2013. Dans ce contexte de nouvelles orientations stratégiques, l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la Marine, apporte un éclairage sur la marine d’aujourd’hui et de demain.

 

 

 

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 16:55
le Cenzub, au cœur de la future programmation militaire

16 sept. 2013 ministeredeladefense

Pour sa première visite dans les forces terrestres depuis la rentrée de septembre, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s'est rendu, jeudi 12 septembre 2013, au Centre d'entraînement aux actions en zone urbaine (CENZUB) à Sissonne (Aisne). Ayant pour mission d'entraîner des sous-groupements tactiques interarmes (SGTIA) à dominante infanterie ou blindé en zone urbaine, le Cenzub a pour raison d'être la préparation opérationnelle, qui est une des grandes priorités de la future programmation militaire.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 16:55
Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian et le CEMA, Amiral Edouard Guilaud.

Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian et le CEMA, Amiral Edouard Guilaud.

16.09.2013 Par Nathalie Guibert – LeMonde.fr

 

Ce n'est pas le divorce, mais une sérieuse incompréhension s'installe entre les militaires et le pouvoir politique. L'exécutif a beau saluer le succès des opérations extérieures, Mali en tête, dans les coulisses, sa réforme des armées ne passe pas. Au coeur du différend : la réduction des prérogatives du chef d'état-major des armées (CEMA), au profit du ministre et de ses grands adjoints civils – le secrétaire général pour l'administration (SGA, patron des finances et des ressources humaines) et le délégué général pour l'armement (DGA, responsable des programmes d'équipement).

 

"Le ministre doit être maître chez lui", a résumé Jean-Yves Le Drian. La volonté de François Hollande de rééquilibrer les institutions justifie ce changement. La pratique des années Sarkozy pèse – bien au-delà des circuits courts que la Constitution crée entre le chef de l'Etat et son chef d'état-major, les ministres ont été ostensiblement "sortis de la boucle".

 

Suite de l’article

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 16:45
Escale d'unTransall C160 de la force Serval sur l’aéroport de Gao

16.09.2013 Crédit : EMA/armée de Terre

 

10 septembre 2013, un avion Transall C160 de la force Serval fait escale sur l’aéroport de Gao. L’équipage de cet avion de transport tactique assure la livraison hebdomadaire du ravitaillement de la plateforme opérationnelle de Gao. Il transporte des pièces de rechange, du courrier, de l’eau, des rations…


Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

 

Le reportage photos


 

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 12:55
La France investit pour parer à une attaque informatique majeure

 

 

15.09.2013 Par Véronique Guillermard – leFigaro.fr

 

Les Américains l'ont baptisé le «Pearl Harbor numérique». Cette attaque informatique majeure mettrait à terre les réseaux de communications, de transports et d'énergie à l'échelle nationale. De quoi mettre à genou un pays.

Pour se protéger de cet ennemi invisible - États voyous, groupes terroristes, mafias… - qui surfe sur les autoroutes de l'information, s'introduit dans les réseaux et les banques de données, via un simple poste de travail équipé d'un ordinateur, les infecte, espionne et sabote à distance, États, armées et entreprises investissent des sommes de plus en plus importantes. Ce marché mondial est estimé à quelque 50 milliards d'euros et il augmente de 8 à 10 % par an.

En France, la prise de conscience de la gravité des menaces se traduit par l'inscription d'un budget dédié à la cyberdéfense dans la nouvelle Loi de programmation militaire (2014-2019) avec notamment la formation de «cyber warriors» et par la sélection de quatre programmes de cybersécurité dans le cadre des 34 projets d'avenir, présentés la semaine dernière par François Hollande.

Preuve que cette nouvelle filière - elle pourrait créer des milliers d'emplois en France - est devenue une priorité, la visite ce lundi matin d'Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, et sa ministre déléguée à l'Économie numérique, Fleur Pellerin, ainsi que de Benoît Hamon, ministre de l'Économie sociale et solidaire, à Élancourt où 2000 ingénieurs de Cassidian, filiale défense d'EADS, travaillent sur des projets liés à la défense, la sécurité et la cyber­sécurité.

30.000 ordinateurs perdus

Point d'orgue de la visite, une démonstration d'intrusion informatique et le déclenchement des moyens pour la détecter, l'observer et la neutraliser. «Il y a un an, une grande société pétrolière a été victime d'une attaque. Elle a perdu 30.000 ordinateurs en une seconde. Ce sabotage à grande échelle s'est traduit par une perte sèche de milliers de données»,raconte Jean-Michel Orozco, directeur général de Cassidian Cybersecurity, un des deux grands acteurs français et européen avec Thales. «Lorsque les entreprises ne sont pas correctement protégées, il s'écoule en moyenne 371 jours entre le début d'une attaque et le moment où elle est détectée», ajoute-t-il. De quoi laisser le temps au cyber-attaquant de «faire son marché» dans les données sensibles de sa cible. Quasi impossible à prévenir, l'intrusion peut en revanche être repérée et neutralisée.

«Nous surveillons en temps réel les réseaux de nos clients, nous analysons les incidents dans nos centres opérationnels de sécurité et, si nécessaire, faisons appel à nos propres forces spéciales afin qu'elles interviennent au plus vite, détaille Jean-Michel Orozco. Nous menons des missions de détection d'une intrusion, d'observation et de neutralisation avant exfiltration des données et nous avons également des outils ad hoc qui patrouillent sur le réseau et font le ménage dans les coins et recoins.» Le patron de Cassidian constate que les entreprises, grandes et petites, se préoccupent de plus en plus de leur protection.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 12:55
le Nerva LG (crédits Nexter ESSC)

le Nerva LG (crédits Nexter ESSC)

13.09.2013 par Guillaume Belan (FOB)

 

Nexter Robotics avait fait le déplacement à DSEI pour présenter son dernier né : le Nerva S (pour « Small »). Aux allures de Nerva coupé en deux, le petit dernier perd deux roues mais conserve les mêmes robustesse et capacités (vitesse de 15 km/h, caméra d’observation…) que son aîné mais en plus réduit et en plus simple. Il s’agit d’un produit robot d’entrée de gamme, donc moins cher (moins de 10 000 euros). Il dispose d’une poignée qui assure son équilibre et facilite la prise en main.

 

le Nerva S à côté de la version LG (crédits: Guillaume Belan)

le Nerva S à côté de la version LG (crédits: Guillaume Belan)

Le robot Nerva LG (lire l’article de FOB sur le Nerva), qui débute sa commercialisation intéresse par ailleurs les forces spéciales françaises, à savoir le 13ème RDP (régiment de dragons parachutistes), spécialisé dans le recueil du renseignement et qui fait partie de la brigade des forces spéciales Terre (BFST). Le 13ème  RDP va tester le robot de Nexter durant la seconde quinzaine d’octobre, particulièrement intéressé à exploiter son étanchéité. Nexter travaille au développement de roues plus grosses, sorte de palmes, qui permettraient au Nerva de pouvoir à la fois naviguer dans l’eau et rouler sur terre. Pour les besoins du 13ème RDP, le Nerva sera équippé d’une caméra thermique, d’une panoramique 360° ainsi que d’une caméra jour doté d’un puissant zoom (X30).

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 11:50
Chasseurs et Spahis font bon ménage

12/09/13 par Concetto Bandinelli - mil.be

 

Un exercice conjoint mené par le Bataillon belge des Chasseurs à Cheval et le 1er Régiment français de Spahis vient de se terminer dans le sud-est de la Belgique. Après plusieurs jours, ces troupes de reconnaissance ont renforcé les liens qui les unissent depuis des décennies.

 

Photos >>

 

« Nous installons notre radar en 20 minutes et sommes opérationnels en 40 minutes », explique le sergent Jasper Moreels, de l'Escadron B. Son bataillon, représenté par un peloton belge de Pandur Recce et deux sections de radar, était aux prises avec un escadron et trois pelotons français.

 

À tour de rôle, du 9 au 12 septembre 2013, Français et Belges se sont épiés, cherchés en scrutant l'horizon et au-delà. Ces hommes, formés à l'observation minutieuse des mouvements suspects sur le terrain, circulent sur des Véhicules Blindés Légers (VBL), Pandur Recce, Véhicules Avant Blindés (VAB), Unimog SCB ou Light Multipurpose Vehicle (LMV), équipés de systèmes de surveillance et de transmission modernes.

 

Ils sont l'œil de lynx de l'échelon supérieur à qui ils doivent signaler tout mouvement de troupes. « Mon collègue se trouve à ma gauche, à 50 km. Et l'autre section, à ma droite, se trouve à la même distance. Le chef de peloton circule parmi nous », ajoute le sergent Moreels, le visage zébré par son camouflage. « Nous sommes en position et surveillons les PPO (points de passage obligés) qu'empruntera l'ennemi. » Après quelques minutes, le sergent Moreels et ses hommes rentrent l'antenne radar et replient les filets de camouflage pour gagner la lisière d'un autre bois. Il faut occuper une position le moins de temps possible.

 

 

Chasseurs et Spahis font bon ménage

L'objectif de ces deux unités est d'affiner les techniques et procédures tactiques qui leur sont propres, pour ensuite les confronter et en retirer les principaux avantages. Le 1er Régiment de Spahis, unité de reconnaissance de combat, met à profit la contribution essentielle des radaristes et autres spécialistes du Bataillon de Chasseurs à Cheval, caserné à Heverlee. Ensemble, Belges et Français deviennent complémentaires. Les premiers fournissent l'information de base aux seconds qui l'exploitent pour en faire un renseignement digne d'intérêt. En contrepartie, les Spahis offrent une protection et une puissance de feu suffisante (canon de 105 mm) grâce à leurs AMX 10-RC de 17 tonnes.

 

Cette unité belge communément appelée ISTAR (intelligence, surveillance, target aquisition and reconnaissance) est jumelée aux Spahis français depuis plus de 30 ans lorsque le 4e Régiment de Chasseurs à Cheval se trouvait encore à Arnsberg, en Allemagne. Le Bataillon ISTAR a repris les traditions de son aîné et entretient ainsi les relations historiques qui le lient à cette unité de la cavalerie française.

 

Photos : Daniel Orban - Vidéo : Mathieu Duhembre

Chasseurs et Spahis font bon ménage
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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 11:35
La Polynésie pousse la France et l'UE à ne pas abandonner le Pacifique aux Chinois

PARIS, 13 sept 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

La Polynésie appelle la France et l'Union européenne à reprendre pied dans le Pacifique, notamment pour ne pas rater le tournant des terres rares, alors que les grandes puissances, Chine en tête, se positionnent dans cette zone, a déclaré vendredi à l'AFP le ministre des mines.

 

"On souhaite que l'Union européenne et la France s'intéressent au Pacifique, pas pour nos beaux yeux mais pour notre potentiel", a affirmé Tearii Alpha, ministre des Ressources marines, des mines et de la Recherche dans le gouvernement de Gaston Flosse.

 

"Ce potentiel à moyen terme, ce sont les terres rares", qui reposent dans les fonds marins et sont indispensables à la fabrication d'objets technologiques, a affirmé M. Alpha.

 

La Polynésie française, collectivité à la large autonomie, compte 5 millions de km 2 de territoire maritime, où la ressource halieutique est certes intéressante tout comme la biodiversité marine pour des déclinaisons pharmaceutiques mais qui comporte surtout des terres rares.

 

"Ca intéresse les Chinois, les Japonais, les Canadiens, ça intéresse ceux qui seront capables d'aller sous l'eau. Nous pensons que cela doit intéresser en premier la France et l'Union européenne", a souligné le ministre polynésien.

 

"Si l'UE et la France ne viennent pas, d'autres viendront ! Les Russes investissent le Pacifique, les Chinois et les Etats-unis aussi", a mis en garde M. Alpha. Il a précisé qu'une délégation chinoise de haut niveau était attendue en Polynésie dans les prochaines semaines, et que la prestigieuse université américaine de Berkeley administrait déjà depuis des années une station de recherche scientifique à Moorea.

 

"Si nous sommes là c'est d'abord pour dire que l'on n'a pas 20 ans devant nous! ", a expliqué le ministre, après des rendez-vous à Bruxelles à la Commission européenne, puis à l'Elysée et à Matignon. "Il faut commencer maintenant à réfléchir aux procédés, à l'ingénierie, pour exploiter dans 20 ans".

 

De plus, développer un secteur minier innovant permettrait "de recréer une activité économique à long terme en Polynésie et donc de tourner définitivement la page du Centre d'expérimentation du Pacifique (pour les essais nucléaires)", a fait valoir Tearii Alpha.

 

"Nous avons contribué pour la Défense nationale, on souhaiterait contribuer au développement des technologies du futur au travers de ce potentiel minier", a-t-il insisté.

 

Le ministre espère que la Polynésie, ainsi que les autres collectivités françaises du Pacifique (Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna), seront évoquées lors de la 41e Assemblée générale de la Conférence des régions périphériques maritimes (160 régions issues des 28 états membres de l'UE) fin septembre à Saint-Malo.

 

"Quand nous lisons les stratégies européennes pour 2020 et celle du gouvernement pour la +France 2025+, nous pensons que l'ambition maritime a sa place. Et que la Polynésie, avec ces 5 millions de km2, a naturellement sa place dans cette ambition", a conclu M. Alpha.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 07:55
Les futurs blindés de l'armée de terre doivent-ils être made in France ?

15.09.2013 par Jean-Dominique Merchet

 

Lors de l'Université d'été de la défense, qui s'est tenue à Pau les 9 et 10 septembre, les grands chefs de l'armée de terre n'ont pas manqué d'insister sur le besoin de renouvellement rapide de leurs blindés légers, au travers de deux programmes, l'EBRC et le VBMR. L'Engin blindé de reconnaissance et de combat, qui doit succèder aux AMX-10RC et Sagaie et le Véhicule blindé multirôle, remplaçant du VAB (voir notre post de mars 2010) s'inscrivent dans le programme Scorpion d'équipement de l'armée de terre. 

 

AMX 10 RC Serval 2013 - photo Armée de Terre

AMX 10 RC Serval 2013 - photo Armée de Terre

Une question n'est pas tranchée : qui construira ses engins ? Ou plus exactement doivent-ils absolument être produits en franco-français par l'une des trois entreprises du secteur Nexter, Renault Truck Defense et Panhard (racheté en 2012 par RTD) ? Evidemment, ses entreprises le souhaitent, mais l'absence de discussions stratégiques ne laisse pas d'inquieter. La France doit-elle produire seule ses véhicules ou doit-elle s'associer avec d'autres, voire acheter sur étagères... dans le cadre de partenariats industriels, politiques et militaires ? Sur le thème : je vous achète des blindés légers, vous m'achetez des avions, des canons, des sous-marins ? 

 

Leclerc Gulf Flacon 2013 Qatar

Leclerc Gulf Flacon 2013 Qatar

La France a produit seul cet excellent char qu'est le Leclerc. En un quart de siècle, elle n'en a vendu (à perte) qu'à un seul pays, les Emirats arabes unis, alors que le Léopard 2 allemand équipe 17 pays... La France a produit seul cet excellent blindé d'infanterie qu'est le VBCI. Elle ne l'a pour l'instant pas encore exporté. 

 

Les futurs blindés de l'armée de terre doivent-ils être made in France ?

Savoir construire seul un blindé léger présente-t-il encore un caractère stratégique, comme c'est évidemment le cas pour un avion de combat ou un sous-marin ? Sans trancher, il faut en discuter. Cela n'a pas été le cas à Pau. Partie remise ?

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 07:55
Dassault Aviation delivers a new Falcon 50 MS to the DGA

Sep 13, 2013 ASDNews Source : Dassault Aviation

 

On 11 September 2013 in Mérignac, Dassault Aviation delivered a Falcon 50 MS to the French defense procurement agency (DGA) to ensure maritime surveillance tasks.

 

This aircraft is the first in a series of four State-owned Falcon 50B (initially operated by Etec, the French Air Force squadron that ensured presidential and other official flights) to be transformed for maritime surveillance missions. It will join four other Falcon 50 M jets in service in the French Navy since the early 2000s.

 

The main missions of these aircraft involve search and rescue at sea, surveillance of fishing zones and fighting against trafficking and smuggling.

 

The project to transform the aircraft for maritime surveillance work involves installing observation windows and a mission control system (provided by Thales) that includes a radar device installed in the nose cone, retractable infrared optronics and an operator’s console in the cabin.

 

Delivery of the three other Falcon 50 M will be staggered up to early 2015.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 07:55
Remise de la croix de la valeur militaire à 6 unités de l’armée de l’air

15.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

Info armée de l'Air.

 

Jeudi 19 septembre, à la base aérienne 120 de Cazaux, le général Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, présidera la cérémonie de remise de décorations collectives à six unités de l’armée de l’air pour leur engagement en Afghanistan.

 

Remise de la croix de la valeur militaire à 6 unités de l’armée de l’air

Le Groupe de ravitaillement en vol (GRV) 2/91 Bretagne sera cité à l’ordre de la division aérienne avec attribution de la croix de la valeur militaire.

 

Remise de la croix de la valeur militaire à 6 unités de l’armée de l’airRemise de la croix de la valeur militaire à 6 unités de l’armée de l’air
Remise de la croix de la valeur militaire à 6 unités de l’armée de l’airRemise de la croix de la valeur militaire à 6 unités de l’armée de l’airRemise de la croix de la valeur militaire à 6 unités de l’armée de l’air

L’escadrille aéro-sanitaire 6/560 Etampes, l’escadron d’hélicoptères 1/67 Pyrénées, les commandos parachutistes de l’air numéros 10, 20 et 30 seront cités à l’ordre de l’armée aérienne avec attribution de la croix de la valeur militaire.

 

Fourragere croix de la valeur militaire

Fourragere croix de la valeur militaire

Cités pour la deuxième fois à l’ordre de l’armée aérienne sur un même théâtre d’opérations, l’escadron d’hélicoptères 1/67 Pyrénées et les commandos parachutistes n° 10, 20 et 30 recevront une fourragère aux couleurs de la croix de la valeur militaire.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 07:50
Annelise Lethimonnier, passionnée d’Europe

15 septembre 2013 Usinenouvelle.com

 

Trophée des Femmes de l'Industrie

 

Troisième nominée dans la catégorie "Femme au début prometteur" des Trophée des Femmes de l’industrie de L'Usine Nouvelle, Annelise Lethimonnier est directrice France des affaires institutionnelles du groupe Eurocopter.

 

Annelise Lethimonnier n’est pas entrée chez EADS par vocation pour l’aéronautique, mais parce qu’elle aime l’Europe. L’entreprise est pour elle "la preuve par les faits de la construction européenne". Le sujet passionne cette ex-étudiante de l’Institut d’études politiques de Paris (IEP) qui a consacré son mémoire à cette société.

 

Approchée une première fois, elle préfère aller étudier le management de projets à HEC. "Indispensable pour parfaire ma connaissance du monde de l’entreprise", explique-t-elle. Elle rejoint EADS, d’abord comme plume du président Louis Gallois, puis gourmande d’opérationnel, elle devient responsable de projets export drone au sein de Cassidian, une filiale du groupe. Devant négocier avec des Indiens, elle se plonge dans les livres pour connaître cette culture.

 

Elle se définit comme une femme d’action et d’analyse, l’une nourrissant l’autre. "Je ne me vois pas parler d’un sujet que je ne maîtriserais pas", explique-telle. Cette ligne de conduite reste la sienne aujourd’hui quand elle promeut les positions d’Eurocopter.

 

Femme de passion, elle admire le théâtre classique, où l’on vit "des émotions fortes". Déjà soucieuse, à 30 ans, de transmettre, elle donne un cours sur l’industrie de défense européenne aux élèves du master de l’IEP qu’elle a elle-même obtenu en 2006.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 07:35
FANC : ravitaillement du plot carburant de Walpole

13/09/2013 Sources : EMA

 

Les 3 et 4 septembre 2013, la frégate de surveillance Le Vendémiaire a effectué une mission d’approvisionnement sur l'îlot Walpole.

 

L’îlot Walpole est un rocher inhabité situé à 200 kms au sud-est de la Nouvelle-Calédonie. Sur cet ilot où s’exerce la souveraineté française est positionné un plot de ravitaillement carburant, utile pour la réalisation des missions de surveillance maritime et de service public. Il sert également de point de ravitaillement pour augmenter le rayon d’action des aéronefs de l'armée de l'air basés à Tontouta et leur permettre d’opérer sur les iles de Matthew et Hunter, deux autres îlots français situés encore plus à l'est.

 

En tant que forces de souveraineté, les forces armées en Nouvelle-Calédonie ont pour mandat d’assurer des missions de de lutte contre les trafics illicites, de police des pêches, de lutte contre la pollution, de sauvetage en mer  et d’évacuation sanitaire. Dans ce cadre, elles ont la responsabilité d’assurer régulièrement le ravitaillement de ce type de plot.

 

La frégate Le Vendémiaire stationnée à Nouméa, a ainsi embarqué un hélicoptère Puma de l'armée de l'Air et un détachement du service des essences des armées pour se rendre à proximité de l’îlot. Compte tenu de la présence de falaises hautes et abruptes, de l’absence de route et d’infrastructure permettant l’accostage des navires, seul l’hélicoptère permet un accès rapide et efficace pour assurer les ravitaillements.

 

Les FANC constituent le point d’appui central du« théâtre Pacifique» avec un dispositif interarmées centré sur un groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les forces armées en Polynésie Française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone pacifique. Dans le cadre de leur mission, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’Etat.

FANC : ravitaillement du plot carburant de Walpole
FANC : ravitaillement du plot carburant de Walpole
FANC : ravitaillement du plot carburant de Walpole
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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 22:45
Une colonne de la Légion Etrangère

15.09.2013 Armée Française - OPEX

 

9 septembre 2013, 06h08, une colonne de véhicules blindés de la force Serval progresse entre Tessalit et Gao. Ces chars AMX 10 RC et ces VBL appartiennent au 1er escadron du 1er régiment étranger de cavalerie d’Orange, qui arme le sous groupement tactique interarmes blindé de la brigade Serval. Cette unité quitte la plateforme opérationnelle relais de Tessalit dans le cadre de l’allègement de la Force Serval au Nord de Gao.
Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.
Crédit : EMA / armée de Terre

 

 

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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 21:45
FAZSOI : Exercice Oxide 2013

13/09/2013 Sources : EMA

 

Du 30 août au 6 septembre 2013, les forces armées en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) ont participé au Mozambique à l’exercice naval Oxide 2013.

 

Organisée au large de Maputo, la troisième édition de cet exercice (les précédentes ont eu lieu en 2008 et 2011) rassemblait les marines française, sud-africaine et mozambicaine. La frégate de surveillance Nivôse et de son hélicoptère Panther (qui appartient aux FAZSOI) ont été engagés aux côtés de la frégate sud-africaine « Isandlwana » et son Super-Lynx, de la corvette lance-missile « Isaac Dyobha », du sous-marin « Queen Modjaji », d’un C130 Hercule, d’un C47 Dakota et d’une équipe de sauvetage aéroportée. Les forces armées mozambicaines ont elles aussi été associées à l’événement par l’intégration d’officiers au sein de l’équipage du « Nivôse » et de l’état-major embarqué sur l’Isandlwana.

 

Les trois premières journées  passées en commun ont été consacrées à la préparation des exercices. La présence à quai a permis d’enchainer démonstrations dans les domaines de la sécurité et de la protection/défense et tables rondes visant à affiner la cinématique des exercices à la mer et des activités de cohésion (séances de sport collectives, échanges dans les carrés). Les équipages ont ainsi appris à mieux se connaître avant de prendre la mer.

 

Dans les jours qui ont suivi, les exercices se sont succédés à un rythme soutenu : remorquages, exercices de visite, treuillages croisés, recherche et interception de navires suspectés de divers trafics ou en pêche illicite. Cette coopération s’est étendue aux « Maritime rescue coordination center (MRCC) » de Pretoria, et au Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) de la Réunion au travers d’un scénario de sauvetage d’un sous-marin qui s’est clôturé par un parachutage de forces spécialisées dans le domaine.

 

L’exercice Oxide 2013 a tout d’abord offert aux différentes marines la possibilité de valider leurs procédures d’interopérabilité. Il a également fourni une occasion privilégiée d'échanges entre militaires de trois pays riverains, partageant les mêmes préoccupations face aux menaces dans la zone. Cet exercice a aussi donné l’opportunité au général de division Jean François Hogard, commandant supérieur des FAZSOI de prendre contact avec les autorités civiles (ministre de la défense) et militaires (chef d'état-major des armées) mozambicaines et de renouveler les offres de coopération militaire de la France.

 

Les FAZSOI ont pour mission de protéger le territoire national, les installations stratégiques et contribuer au maintien de la sécurité ; d’assurer la prévention et la préservation des intérêts de la France dans la zone de responsabilité contre toute forme d’agression extérieure ; de soutenir l’action de l’Etat et contribuer aux conditions de stabilité et de développement des collectivités territoriales par la mise en œuvre de moyens militaires ;  d’affirmer la souveraineté française. En cas de crise, elles sont en mesure de conduire ou participer à une opération militaire et/ou de mener des opérations de secours d’urgence (assistance humanitaire, catastrophes naturelles).

FAZSOI : Exercice Oxide 2013FAZSOI : Exercice Oxide 2013
FAZSOI : Exercice Oxide 2013FAZSOI : Exercice Oxide 2013
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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 19:55
général d'armée (2S) Henri Bentégeat, ancien chef d'état-major des armées

général d'armée (2S) Henri Bentégeat, ancien chef d'état-major des armées

Par le général d'armée (2S) Henri Bentégeat, ancien chef d'état-major des armées

 

(article paru dans le Figaro le 14/09/2013)

 

Afghanistan, Libye, Mali, Syrie peut-être demain, nos armées volent d’un engagement à un autre, heureuses et fières de servir, oubliant, dans l’ardeur des opérations,  les perspectives moroses de la loi de programmation militaire ; ignorant surtout la révolution silencieuse qui bouleverse l’organisation du ministère de la défense et pourrait, si l’on n’y prend garde, ébranler les fondements de l’institution militaire.

 
La place et le rôle des chefs militaires au sein de ce qui fut longtemps le ministère des armées ont été parfois contestés au cours des dernières décennies. La haute fonction publique, soutenue par les cabinets et le contrôle général des armées, a toujours lorgné vers les postes de responsabilité de ce ministère atypique. Le général Lagarde, il y a 30 ans déjà, disait aux stagiaires de l’Ecole de Guerre : «  on aurait tort de n’y voir qu’un conflit d’intérêts corporatistes. Ce sont deux visions qui s’affrontent : d’un coté, le notre, la subordination de toutes les activités à la préparation opérationnelle, de l’autre, celui des civils, le primat de la gestion budgétaire. Cette dernière approche peut séduire, car elle est plus perméable aux pressions politiques… ». Nous n’en crûmes pas un mot. Nous avions tort.                                            
 
La relève des généraux par des hauts-fonctionnaires à la tête d’institutions, comme le SGDN ou la DGSE, aurait pu nous alerter, mais le caractère interministériel de ces postes pouvait expliquer le changement de portage. Surtout, en parallèle, le développement de l’interarmisation recentrait les armées et le ministère sur leur raison d’être, la préparation et la conduite des opérations. La guerre du Golfe avait montré  l’urgente nécessité de dépasser les intérêts particuliers de chaque armée (Terre, Marine et Air ) en les subordonnant aux impératifs des opérations interarmées. Et, depuis vingt ans, nos engagements incessants dans les Balkans, en Afrique, au Moyen-Orient et en Afghanistan avaient progressivement donné une place centrale, au sein du ministère, au chef d’état-major des armées.

 

Consacrée par les décrets de 2005 et 2009, cette évolution stabilisait et consolidait la charnière politico-militaire en donnant au CEMA les moyens d’exercer son rôle de conseiller militaire du gouvernement. Certains s’en étaient inquiétés, craignant que le ministre de la défense peine à imposer son autorité à un « proconsul » trop puissant. C’était ignorer le poids incontournable, au sein du ministère, du Délégué général pour l’armement, assis sur son socle industriel et social, et du Secrétaire général pour l’administration, détenteur des leviers de la finance et de la gestion.                                                  

 

La  défiance de principe à l’égard du loyalisme des officiers est non seulement infondée mais surtout incompréhensible pour des générations de militaires élevées dans le culte de l’obéissance républicaine. A une époque tristement marquée par l’affaire Dreyfus et l’affaire des fiches, Jaurès avait fait litière de ces accusations en démontrant la constance de la soumission des chefs militaires aux responsables politiques.

 

Aussi les vraies raisons qui conduisent aujourd’hui à retirer au chef d’état-major des armées une part importante de ses responsabilités pour les confier à des fonctionnaires civils se résument-elles dans une formule lapidaire : « il faut recentrer les militaires sur leur cœur de métier ». En clair, les généraux ou amiraux seraient des techniciens du combat, peu aptes à gérer des hommes, des finances, des relations internationales, voire des services logistiques.

 

Cette vision réductrice de la fonction militaire va à l’encontre de traditions millénaires qui exaltaient les rôles de stratège, d’administrateur ou de logisticien comme autant de facettes indispensables au bon exercice du métier des armes. Elle est surtout antinomique des exigences des conflits modernes où l’intelligence de situation, à tous les échelons, requiert une vision large, bien au-delà de la maitrise technique des armes, où le dialogue international est la règle, où l’administration d’un secteur, le contact avec la population et la manœuvre logistique sont des facteurs essentiels du succès.

 

L’évolution sémantique est révélatrice des changements de mentalité. Venues d’Europe du nord où le refus de la guerre et la foi absolue dans le « soft-power » ont marginalisé les armées, certaines expressions, ignorées dans le monde anglo-saxon, se sont imposées progressivement en France. « L’outil militaire » ou « l’expert militaire » renvoient à une vision technicienne du métier des armes. La tentation d’y recourir est d’autant plus grande que la haute technologie est présente partout sur les théâtres d’opérations. On en vient à oublier que ce sont des hommes et des femmes qui conçoivent et conduisent ces opérations, qui endurent et qui souffrent et qui risquent leur vie ou leur intégrité physique pour protéger leurs concitoyens.

 

La prudence et la réversibilité s’imposent donc dans la mise en œuvre de réformes qui peuvent affecter profondément l’exercice futur du métier des armes. Dans un système où les chefs militaires n’auraient plus la capacité d’influer sur les choix majeurs des responsables politiques, on prendrait le risque d’une triple évolution, souvent constatée dans les pays européens où les militaires sont tenus en suspicion : syndicalisation, politisation des élites et découragement des meilleurs.

 
Dans l’univers aseptisé des officiers « recentrés sur leur cœur de métier », on ne rencontre, bien sûr, ni Napoléon, ni De Gaulle, mais c’est aussi Foch, Lyautey, Leclerc ou De Lattre à qui on ferme la porte.
 
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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 11:55
Pacte défense PME : une PME décroche un marché de 93 millions d'euros

12/09/2013 Ministère de la Défense

 

Petite société spécialisée en informatique et réseaux, la société ITNI a décroché un contrat de plusieurs dizaines de millions d'euros suite à un appel d'offre du ministère de la défense début 2013. Une belle illustration de l'utilité du Pacte défense PME pour promouvoir le développement des petites et moyennes entreprises.

 

Début 2013, la société ITNI (Information Technology Netwok Integration), une PME spécialisée en informatique et réseaux remporte l'appel d'offre lancé par le ministère de la défense.

Pour cette entreprise qui a réalisé en 2012 un chiffre d'affaire de 34M d'euros, ce contrat représente un volume financier non négligeable de plusieurs dizaines de millions d'euros sur quatre ans, et a pour objet l'installation de réseau d'infrastructure locaux au profit de la Direction Interarmées des Réseaux d'Infrastructure et des Systèmes d'Information (DIRISI) et de cinq autres clients publics, ministères ou grandes administrations.

Selon Jean-MarieTawil, président d'ITNI, l'entreprise a pu concourir et remporter cet appel d'offre grâce à certains des dispositifs du Pacte défense PME : "l'absence de critères discriminants dans la procédure d'appel d'offre avec un seuil de chiffre d'affaire annuel faible demandé (30M d'euros de CA demandé pour un montant total du marché estimé à 93M d'euros sur 4 ans), des critères de notation sur les moyens des candidats qualitatifs en plus des critères quantitatifs (effectifs, agences, usines..), des perspectives intéressantes qui sécurisent le carnet de commandes de l'entreprise pour 4 ans et valorise sa production, et des clauses contractuelles qui protègent équitablement les protagonistes de l'appel d'offre, notamment vis-à-vis des problèmes potentiels de trésorerie avec la réduction du délai de paiement du ministère de la défense à 30 jours nets. Des délais qui peuvent habituellement aller de 45 à 90 jours avec certains clients privés."

 

Pacte défense PME : une PME décroche un marché de 93 millions d'euros

PACTE DEFENSE PME

 

Le ministre de la Défense a lancé le Pacte défense PME en novembre 2012 avec 40 mesures concrètes et immédiates pour renforcer les industries de défense. Premier investisseur industriel public et privé (16 milliards d’euros en 2013), le ministère de la Défense souhaite faire des 4 000 PME d’armement la priorité de son action industrielle. Ce programme s’inscrit dans le cadre de l’action gouvernementale pour restaurer la compétitivité industrielle, et des engagements pris par le Président de la République en faveur des PME.

 

Les grands axes du Pacte défense PME

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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 11:55
Pacte défense PME : Icarius Aerotechnics certifié par le ministère

13/09/2013 Ministère de la Défense

 

Icarius Aerotechnics, une PME spécialisée dans la maintenance aéronautique, a été certifiée en juin 2013 par le ministère de la Défense. Un certificat de bonne exécution prévu par le Pacte Défense PME, pour aider ces sociétés à conquérir de nouveaux marchés.

 

La Structure intégrée du maintien en condition opérationnelle des matériels aéronautiques du ministère de la Défense (SIMMAD) a décerné en juin dernier un "certificat de bonne exécution" à la société Icarius Aerotechnics. 

Leader mondial dans la maintenance des avions largueurs de type turbopropulseurs, la société, créée en 1993 et implantée dans les Hautes-Alpes sur l'aérodrome de Gap-Tallard, a décroché un marché en 2002 pour la maintenance de cinq avions Pilatus PC6 de l'armée de Terre. Ces avions ayant été engagés dans des opérations lors de l'intervention française au Mali, Icarius a dû réaliser certaines de ces prestations (soutien technique et logistique de la flotte, visite d'entretien, révisions générales des moteurs et des hélices, réparations des organes, accessoires et équipements) sur le terrain en Afrique, et dans des conditions rigoureuses.

Ce certificat est le premier décerné par le ministère de la Défense. Il fait partie des mesures mise en place dans le cadre du Pacte défense PME pour aider les PME à conquérir de nouveaux marchés.

La mesure s'inscrit dans l'action n°15 du Pacte Défense PME.

 

 

Pacte défense PME : Icarius Aerotechnics certifié par le ministère

Action n°15 DU Pacte Défense PME

Faciliter l’accès des PME à de nouveaux marchés hors ministère de la Défense, en France et à l’exportation.
Pour conquérir de nouveaux marchés, les PME doivent souvent disposer de références et de points d’entrée, en particulier dans le domaine de l’ armement.
Afin de les y aider, deux types de labels seront mis en place : un label « DGA testé » et l’attribution d’ un certificat de bonne exécution de marché.

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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 11:45
Bir Hakeim 1942, Quand la France renait (video)

8 juin 2013 docsreportages1

 

La bataille de Bir Hakeim s'est déroulée au coeur du désert libyen du 27 mai au 10 juin 1942.


Les vétérans de ce fait d'armes, âgés pour la plupart d'une vingtaine d'années à l'époque, ne doutaient pas de leur engagement.


70 ans plus tard, certains d'entre eux racontent avec émotion et précision les moments forts de cette bataille.


Le documentaire est illustré de nombreuses images d'archives et de photographies authentiques du siège, ainsi que de séquences de fictions, pour replacer le combat dans son contexte historique. Accompagnée de Jean-Mathieu Boris, l'un des témoins de l'événement, une équipe de télévision est, en outre, retournée sur les lieux mêmes de la bataille.

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 16:55
GRIP (Groupe régional d’intervention plongeur) du GPD Manche  photo Bellenand Jonathan - Marine Nationale

GRIP (Groupe régional d’intervention plongeur) du GPD Manche photo Bellenand Jonathan - Marine Nationale

13/09/2013 Marine Nationale

 

Le 11 septembre 2013 s’est déroulé devant Cherbourg un exercice élémentaire d’alerte à la bombe. Le BBPD Vulcain, qui jouait le rôle d’un petit navire à passagers, a signalé un engin suspect à son bord. Mis en place par l’ EC 225 de la flottille 32F, le GRIP (Groupe régional d’intervention plongeur) du GPD Manche intervient et neutralise l’engin, sous la protection du GIR (Groupe d’intervention et de renfort) de la Compagnie des fusiliers marins de Cherbourg.

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 16:55
Sword (JIM LR) photo G. Belan - FOB

Sword (JIM LR) photo G. Belan - FOB

13.09.2013 par Guillaume Belan (FOB)
 

Le Sword de Sagem

Outre le drone Patroller, présenté sur le stand de l’entreprise française au salon britannique de la défense, Sagem a dévoilé à Londres une évolution de sa jumelle multifonctions JIM LR (sur la JIM LR, relire l’article de FOB ici). Baptisé Sword, la JIM LR se dote d’une capacité de détection acoustique de tir, grâce à l’ajout du système Pearl de Metravib-Alcoem (relire l’article de FOB sur le Pearl ici). Outre l’intégration mécanique de la boule de détection sur la JIM LR, Sagem a également réalisé une intégration logicielle afin d’afficher les données de localisation dans la lunette. Depuis l’Afghanistan, la détection acoustique de tir est devenu un incontournable, faisant les beaux jours de la PME française, qui a vendu son système partout dans le monde. Les évolutions sur la portabilité lui permettent aujourd’hui d’être intégrée sur divers systèmes d’armes. Sagem avait réfléchi sur le sujet dans le cadre du programme Felin et étudié une solution de détection installée sur le casques du fantassin (le casque devenant un véritable capteur acoustique), mais les difficultés techniques et humaines se sont avérées trop importantes. Sagem propose également le système de détection acoustique de tir « Deloc » sur le toureleau téléopéré WASP, en service dans l’armée française sur le PVP.  Pour la JIM LR, tout en conservant ses capacités d’observation, l’ajout du Pearl lui permet de devenir un véritable centre de détection multi-capteurs.

(crédits photo: G Belan)

 
DSEI : du nouveau sur les jumelles multifonctions
 

Thales lance la Sophie Lite

L’ autre grand industriel spécialisé dans les jumelle multi-fonctions, c’est Thales, qui a dévoilé sur ce marché une nouveauté durant le salon DSEI. La jumelle optronique Sophie, bien connue et vendue à de nombreux pays, perd du poids et de l’encombrement.  Elle passe de 3 à 1,6 kg, pour des capacités qui ne sont pas revues à la baisse (imagerie thermale/TV/IR/compas/GPS/telemetrie), elle gagne même un pointer laser et une interface flexible pour d’autres applications (ports USB…).

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 16:45
Korrigan reprend du service dans les sables maliens

12.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense
 

korrigan.jpgkorrigan2.jpgKorrigan? Vous vous souvenez? Pas le petit lutin déluré qui hante la lande bretonne mais le GTIA formé par le 3e RIMa de Vannes en 2009 en Kapisa...

Eh bien Korrigan reprend du service, dans les sables maliens cette fois.

Les marsouins du 3e RIMa reprenant la route du Mali (une de ses compagnies avait été chargée au printemps de la sécurité de l'aéroport de Bamako) et son chef prenant la tête du GTIA Désert, il a été décidé de "personnaliser" l'identité de cette unité.

 

Revoilà donc le GTIA Korrigan. Un GTIA hybride en fait puisqu'il ne comporte pas uniquement des contingents bretons. Certes, le 3e RIMa va former le noyau dur (avec sa 2e compagnie de combat, une compagnie de commandement et de logistique et un EM) qui sera appuyé par les sapeurs du 6e Génie (Angers ) et 120 bigors du 11e RAMa (la Lande d'Ouée); mais il intégrera une compagnie du 92e RI sur VBCI et un escadron d'aide à l'engagement du 1er RHP.

 

La formation et l'entraînement de Korrigan ayant été validés, il va pouvoir se déployer à partir du début octobre. Durée de la mission? "ça dépendra de décisions politiques", explique le colonel Hervé Pierre, patron de Korrigan. Effectivement, si le président de la République s'en tient à ses promesses, il ne restera plus qu'un millier de français (EUTM compris) au Mali en fin d'année. Korrigan sera alors toujours enn place, mais peut-être plus dans le format actuel.

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 16:45
FFDj : exercice de dispositif particulier de sûreté aérienne

13/09/2013 Sources : EMA

 

Le 29 août 2013, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont réalisé un exercice de de sûreté aérienne sur le terrain d’aviation de Chabelley.

 

La mise en place d’un dispositif particulier de sûreté aérienne (DPSA) consiste à interdire à tout aéronef, temporairement ou définitivement, l’accès à un espace aérien donné afin qu’il ne devienne pas une menace.

 

Cette disposition est prise temporairement pour la sécurisation de grands événements comme les visites d’Etat, les grands événements (G20, défilé du 14 juillet, Jeux Olympiques). C’est un scénario de ce type qui a été utilisé pour l’exercice. A la demande des autorités djiboutiennes qui recevaient la visite d’une très haute autorité, les FFDj ont mis en place un DPSA sur un périmètre de 40 nautiques autour de l’aéroport.

 

Lors de l’exercice, le contrôle aérien militaire a détecté, classifié et identifié tous les appareils pénétrant la zone d’intérêt air. Une cellule était chargée de la coordination avec l’aviation civile. Cette mission était confiée aux contrôleurs aériens militaires de circulation et de défense aérienne. Ce dispositif avait à sa tête la haute autorité de défense aérienne (HADA). Dès que le contrôle aérien détectait une anomalie sur un appareil, un comportement anormal, ou l’absence de réponse radio, l’HADA décidait l’envoi d’une patrouille de Mirage 2000 placés en alerte.

 

Lors du premier scénario, un hélicoptère djiboutien a pénétré le dispositif sans autorisation. Un Mirage 2000 français l’a intercepté avant de passer le relai à un hélicoptère Puma français qui l’a arraisonné. Lors du deuxième scénario, un avion Transall C160 a simulé l’arrivée d’un vol commercial. Le comportement étrange de l’appareil a conduit l’HADA à envoyer un Mirage l’intercepter. Enfin un troisième exercice a permis de tester la vigilance des guetteurs aériens déployés à terre et chargés de surveiller l’horizon pour déceler une éventuelle intrusion. Un hélicoptère Gazelle et un Puma ont tenu le rôle des agresseurs. L’HADA a alors décidé de faire décoller deux autres Mirage afin de maximiser la couverture radar.

 

La batterie sol-air courte portée du 5e RIAOM était déployée stratégiquement autour du lieu de la réunion en mesure de détruire sur ordre tout avion hostile qui aurait pu échapper à la vigilance des chasseurs ou des tireurs d’élite embarqués à bord de l’hélicoptère Puma.

 

L’exercice a ainsi permis l’entraînement de toute la chaîne de défense aérienne, de la permanence opérationnelle au Ground Controller Interceptor (contrôleur intercepteur au sol).

 

L’exercice DPSA permet aux FFDj d’assurer, à la demande et en coopération avec les autorités djiboutiennes, la protection d’un point sensible. Cette mission s’inscrit dans le cadre de l’accord de défense entre nos deux pays. Les FFDj constituent un réservoir de forces et de capacités permettant à la France d’intervenir rapidement pour défendre les intérêts stratégiques nationaux et préserver la stabilité régionale.

 

FFDj : exercice de dispositif particulier de sûreté aérienneFFDj : exercice de dispositif particulier de sûreté aérienne
FFDj : exercice de dispositif particulier de sûreté aérienneFFDj : exercice de dispositif particulier de sûreté aérienneFFDj : exercice de dispositif particulier de sûreté aérienne
FFDj : exercice de dispositif particulier de sûreté aérienneFFDj : exercice de dispositif particulier de sûreté aérienne
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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 16:45
14 août 2013, 20h22 dans le désert malien entre Djebok et Almoustarat

13/09/2013 11:34 Sources : EMA

 

14 août 2013, 20h22 dans le désert malien entre Djebok et Almoustarat, les militaires du sous-groupement tactique Vert de la force Serval sont au bivouac. Depuis la veille, ils sont engagés dans une opération de contrôle de zone baptisée Anaconda.

 

Alors qu’ils se préparent à passer la nuit à la belle étoile, le ciel prend subitement des couleurs inattendues. Un orage mêlé d’une tempête de sable s’annonce à l’horizon. Le silence est assourdissant, les couleurs acidulées. Les militaires savent ce que cela signifie, les éléments vont se déchaîner. Inutile d’organiser un « bivouac », quelques lits picots alignés sous une bâche entre les deux véhicules suffisant.

 

Photographe : brigadier-chef Sabrina.

Pour vous faire partager cet instant, avec mon boîtier Nikon D3S, j’ai retenu une sensibilité à 400 ISO tout en ouvrant la focale au maximum (F/2,8). Avec une telle ouverture et une faible vitesse d’obturation (1/80e de secondes), j’ai pu capter cette ambiance si particulière. 

 

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