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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 14:09
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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 14:06
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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 00:40
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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 18:24
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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 08:15

http://www.meretmarine.com/objets/500/30866.jpg

Le démonstrateur X3 vole depuis septembre 2010

crédits : EUROCOPTER - PATRICK PENNA

 

07/02/2011 MER et MARINE

 

Des liaisons avec les plateformes offshores aux missions de sauvetage, en passant par les opérations militaires... Eurocopter est convaincu qu'il existe un marché pour les hélicoptères rapides. Dans cette perspective, l'industriel a développé, dans le plus grand secret, le concept Hélicoptère Hybride Haute vitesse (H3, ou « H Cube »). Baptisé X3, le démonstrateur de cet étonnant appareil, doté d'un rotor et de deux hélices, a volé pour la première fois le 6 septembre 2010. Puis, le 29 novembre, sur le site DGA Essais en vol d'Istres, l'engin a atteint la vitesse de 180 noeuds (333 km/heure) en palier avec un niveau de puissance moteur réduit. C'est l'objectif que s'était fixé Eurcopter pour la première étape (step1) du programme. Au cours des essais effectués jusqu'ici, le domaine de vol a été ouvert avec et sans pilote automatique afin de valider la stabilité et la maniabilité du véhicule de base de cet aéronef hybride. Le X3 a atteint l'altitude de 12.500 pieds (3810 mètres) et exécuté des manoeuvres et des virages à droite et à gauche avec des angles d'inclinaison latérale jusqu'à 60 degrés. « Le X3 s'est extrêmement bien comporté, faisant preuve de qualités de vol et de maniabilité qui correspondent exactement aux résultats des évaluations sur notre simulateur au sol. Cet hélicoptère est réellement taillé pour voler à grande vitesse et notre équipe d'essais est impatiente de franchir les prochaines étapes de son programme de vol », a déclaré à l'issue des essais de novembre Hervé Jammayrac, pilote d'essai d'Eurocopter.

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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 16:35
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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 12:00
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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 12:00
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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 00:11
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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 00:00
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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 23:34
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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 22:01

http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gif

 

04 février 2011

 

 Source http://bercy.blog.lemonde.fr

 

Il n’est pas possible “à ce jour, de conclure définitivement et de façon globale sur l’intérêt économique” pour l’armée française de confier certaines tâches et missions à des sociétés privées. C’est ce qu’indique la Cour des comptes dans un rapport réalisé à la demande de la commission des finances de l’Assemblée nationale et présenté, mercredi 2 février, par Louis Giscard d’Estaing, rapporteur spécial (UMP).

 

La Cour des comptes, qui met en avant des “insuffisances méthodologiques” et un “manque de données”, n’en estime pas moins que ces externalisations “doivent être mieux encadrées”, selon M. Giscard d’Estaing.

 

Deux points sont ainsi mis en exergue : l’externalisation “ne doit pas devenir un principe permettant de ne pas réaliser en interne des réformes qu’on ne sait pas ou qu’on ne veut pas mener”; elle ne doit pas non plus permettre de “contourner l’obstacle budgétaire” sur des crédits de financement d’équipements qui sont comptés.

 

La Cour des comptes donne toutefois une évaluation du coût actuel de l’externalisation pour le ministère de la défense : de l’ordre de 5 % du budget, comme en Allemagne, mais loin des 25 % environ de la défense britannique.

 

M. Giscard d’Estaing en a donné une ventilation :

 

- 951 millions d’euros, soit 2,5 % du budget, pour des opérations telles que l’achat d’heures de formation auprès d’une société privée pour l’apprentissage du pilotage d’hélicoptères à Dax.

 

- 584 millions d’euros, soit 1,5 % du budget, pour des contrats de sous-traitance pour l’entretien des matériels.

 

- 160 millions d’euros pour les opérations militaires extérieures, sur une masse totale de quelque 1,7 milliard d’euros.

 

“Au total, ces montants restent relativement limités lorsqu’on les rapporte au

budget total de la défense”, relève M. Giscard d’Estaing, tout en prévenant : “cela ne doit pas nous empêcher d’évaluer la qualité de la politique suivie”.

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 14:12
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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 08:26
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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 00:51

http://www.meretmarine.com/objets/500/30736.jpg

La Combattante 65S, dévoilée par les CMN
crédits : CMN

 

03/02/2011 MER et MARINE


Depuis plusieurs années, les Constructions Mécaniques de Normandie ont développé une capacité d'ingénierie en matière de furtivité, renforcée par différents partenariats. De ces travaux résultent un nouveau concept de bâtiment, dont la maquette va être présentée pour la première fois au salon IDEX d'Abu Dhabi. Baptisée Combattante 65S, cette corvette, faisant actuellement l'objet d'étude de faisabilité et de pré-développement, mesure 65 mètres de long et présente un design conçu pour répondre à des exigences de furtivité très fortes. Le navire bénéficie notamment des travaux réalisés par les ingénieurs et architectes des CMN, ainsi que des études menées par l'entreprise cherbourgeoise en partenariat avec Ineo Defene pour les structures composites des mâts, Chelton Cobham pour le développement d'antennes HF intégrées dans les ponts et les superstructures, ainsi que Cassidian (ex-EDAS Defense & Security) pour les mâtures intégrées compactes. Dans ce dernier cas, les CMN et Cassidian ont signé à l'occasion du salon Euronaval 2010 un accord portant sur le Cmast. Les travaux actuels visent l'intégration des radars, des intercepteurs de radars et les communications ; l'optimisation des performances des senseurs dans des structures composites sélectives en fréquences, la prise en compte des contraintes physiques d'installation, les études d'accessibilité, ainsi que le développement des outillages nécessaires aux interventions pour des opérations de maintenance préventives et correctives.

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 00:27
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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 00:24
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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 18:51
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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 17:37

http://www.dcnsgroup.com/wp-content/themes/dcns_theme/images/logo-dcns.png

 

2011-02-02 par DCNS

 

Le 3 février 2011, DCNS accompagne l’Ecole navale pour la sixième édition de la Journée des Sciences Navales, dont le thème sera cette année la sécurité maritime.

 

A cette occasion, DCNS va notamment présenter, au cours d’une conférence thématique, son savoir-faire en matière de sécurité maritime.

 

Pour protéger leurs espaces maritimes et leurs intérêts vitaux, les pays côtiers doivent se doter de moyens cohérents de surveillance et d’action en mer. La sécurité maritime est devenue un enjeu majeur sur toutes les mers du globe : aux menaces asymétriques (piraterie, terrorisme…) s’ajoute l’intensification de la circulation maritime et l’augmentation des accidents ou des trafics illicites.

 

Fort de son savoir-faire en matière de systèmes navals, DCNS apporte de nouvelles réponses adaptées et innovantes aux besoins de chaque marine cliente pour être prêt à intervenir dans les eaux territoriales, lutter contre les activités illégales ou encore protéger les intérêts vitaux du pays et les populations.

 

Equipés de systèmes d’information et de communication intégrés, les navires conçus par DCNS peuvent opérer en liaison permanente avec un Centre de coordination maritime. Robustes et endurants, ils sont capables d’intervenir dans les pires conditions de mer. Ils disposent également de moyens optroniques et d’équipements d’écoute permettant de repérer et d’enregistrer en toute discrétion les mouvements suspects. Equipés des systèmes les plus performants, ils présentent des capacités évoluées de détection, d’identification et d’intervention incluant la mise en œuvre de drones.

 

Pour cette sixième édition, DCNS s’inscrit ainsi pleinement dans le partenariat qui lie l’Ecole navale au Groupe. Dans ce cadre, DCNS apporte notamment son soutien à l’Ecole navale dans le domaine de la recherche et de l’enseignement scientifique.

 

Ce partenariat avec l’une des plus prestigieuses écoles militaires, l’Ecole navale, traduit la volonté de DCNS de répondre aux besoins de la Marine nationale en étant au contact des technologies de demain et des futurs officiers opérationnels qui les utiliseront.

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 22:24
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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 17:25
Le Joint Interagency Task Force-South (JIATF-S)

 

01/02/2011 Sources : Marine nationale

 

Officier de liaison français pour le COMSUP Antilles (CTG 4.6) auprès du JIATF-S, le CRC2 Thierry de La Burgade nous en dit plus sur cet organisme à l’accent américain.

 

Le contexte

 

Depuis un peu plus de vingt ans, le point le plus au sud des États-Unis héberge un état-major hors du commun, qui fusionne du renseignement et met en œuvre une force aéromaritime considérable sur un vaste théâtre d’opération, englobant le Pacifique Est, la mer des Caraïbes et l’Atlantique Ouest, pour traquer un seul objectif : la drogue. En provenance de l’Amérique Latine, la poudre de cocaïne sous sa forme actuelle a fait son entrée aux États-Unis dans les années 80. Le marché s’est développé à une vitesse très rapide, utilisant notamment la Floride comme point d’entrée. Pour contrecarrer ce trafic, le gouvernement américain a alors mis en œuvre une politique de riposte.

 

Une logique de coopération

 

Le Department of Defense (DoD) s’est ainsi vu confier la charge de coordonner la surveillance des approches maritimes pour y détecter les transports illicites, dans une logique de défense dans la profondeur. A cette fin, des Joint Task Force ont été constituées, dont la JTF4 - ancêtre de la Joint Interagency Task Force-South - implantée à Key West, une petite station touristique située à 42 ponts de Miami sur la dernière des îles habitées de la Floride. Très militaires à leurs débuts, les JTF ont évolué au milieu des années 90 pour devenir des National Joint Interagency Task Forces, en s’ouvrant aux agences civiles américaines impliquées dans la lutte contre la drogue : il fallait améliorer la fusion du renseignement.

 

Car sans renseignement fiable, les opérations n’aboutissent pas. Avec un effectif d’un peu plus de 500 personnes, la JIATF-S profite aujourd’hui de ce que toutes les agences concernées - la Drug Enforcement Administration (DEA), mais également le Federal Bureau of Investigation (FBI), la Central Intelligence Agency (CIA), l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) et d’autres - peuvent apporter au pot commun pour identifier les prémisses d’un cas, et en suivre son évolution jusqu'à maturité.

 

Quand la drogue est en passe de se déplacer vers sa destination finale, le volet opérationnel prend alors le relais. Ce même état-major interarmées met en place les moyens aéromaritimes capables de détecter, suivre puis intercepter les vecteurs de la drogue et les trafiquants, dans le respect du droit international. La diversification des marchés a entraîné une multiplication des routes de la drogue, et l’Europe a également été touchée par ce trafic en provenance de l’Amérique Latine.

 

Une ouverture à l’international

 

La JIATF-S a rapidement accueilli des représentants étrangers, pour assurer d’une part la liaison avec les autres forces navales susceptibles d’intervenir, mais également pour échanger des renseignements avec certains services de police. Treize pays sont aujourd’hui représentés à Key West, dont quatre pays européens, également présents au sein du Maritime Analysis and Operations Center - Narcotics (MAOC-N) de Lisbonne, qui coordonne l’interception des vecteurs de l’autre coté de l’Atlantique : les Pays-Bas, l’Espagne, le Royaume Uni et la France. En juin 2008, la reconnaissance de l’engagement permanent de moyens français en mer des Caraïbes s’est traduite par la constitution d’un nouveau Task Group au sein de la force (TG 4.6), confiée au COMSUP Antilles, lequel devient Commander Task group 4.6 (CTG 4.6). Partenaire privilégié au sein de la JIATF-S, la France est aujourd’hui représentée à Key West par deux officiers de liaison interministériels, qui assurent, d’une part la coordination des moyens français dans la force, d’autre part l’échange du renseignement avec les partenaires concernés, notamment l’antenne Caraïbe de l’Office Central pour la Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants dénommé l’OCRTIS.

 

JIATF-S - Opétation Narcops

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 17:05
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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 13:42
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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 12:07
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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 04:09

Written by Olivier Kempf on janvier 27, 2011


Chers lecteurs,

Voici donc une petite surprise dont beaucoup d’entre vous ont déjà connaissance – puisqu’ils fréquentent d’autres blogs – mais sur laquelle il me semble nécessaire d’insister, pour plusieurs raisons. Il s’agit de la publication par Alliance Géostratégique de son premier ouvrage. Pourquoi est-ce important ?

 

pour lire la réponse, cliquez sur l'ouvrage !


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