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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 19:30
Golan: des insurgés syriens déguisés en casques bleus (diplomate)

Austrian peacekeepers with the UN Disengagement Observer Force (UNDOF) consult a map while on patrol in the Golan Heights. UN Photo Wolfgang Grebien

 

NEW YORK, 23 septembre - RIA Novosti

 

Des insurgés syriens installés sur le plateau du Golan, zone de séparation entre Israël et la Syrie, se déguisent en casques bleus pour tromper les troupes gouvernementales, a annoncé à RIA Novosti une source diplomatique à New York. 

 

"Nous disposons d'informations fiables, confirmées par le commandement de la Force des Nations unies pour l'observation du désengagement entre la Syrie et Israël (FNUOD), selon lesquelles certains éléments armés de l'opposition syrienne sur le Golan portent de l'équipement et des casques identiques à ceux des soldats de l'Onu. L'équipement spécial aurait été volé lors d'une série d'incidents survenus par le passé", a indiqué l'interlocuteur de l'agence. 

 

Selon la source, cette tactique viserait à tromper les soldats de l'armée syrienne.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 18:30
photo RP Defense

photo RP Defense

23/09/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Selon des sources concordantes, la direction du groupe britannique est très récemment venue à Abu Dhabi pour présenter son offre financière pour le remplacement des 60 Mirage 2000-9 émiratis.

 

BAE Systems ne lâche pas l'affaire et tente d'imposer le Typhoon Eurofighter dans le ciel des Emirats Arabes Unis face au Rafale de Dassault Aviation. Selon des sources concordantes, la direction du groupe britannique est très récemment venue à Abu Dhabi pour présenter son offre financière pour le remplacement des 60 Mirage 2000-9 émiratis. La direction financière du groupe britannique, avec l'aide d'un pool bancaire tentait de répondre à des demandes émiraties portant sur des cofinancements d'équipements, dont ne dispose pas encore l'Eurofighter Typhoon (radar à antenne active, systèmes de guerre électronique, armements...) 

Pour autant, Londres devra aussi convaincre Paris de lui accorder une licence de réexportation des Mirages 2000-9, dont les Emirats veulent se débarrasser. Car c'est au vendeur de racheter ces avions de combat, dont certains sont encore très performants, et de les revendre sur le marché de l'occasion.

 

Trois pays du Golfe ont choisi le Typhoon

Au-delà des seuls Emirats Arabes Unis, le groupe britannique a pour objectif de tuer le Rafale dans l'ensemble des pays du Golfe (CCG). BAE Systems rêve d'imposer l'Eurofighter Typhoon comme le seul avion de combat complémentaire des flottes américaines (Boeing et Lockheed Martin), qui équipent les six pays membres du CCG. C'est déjà le cas en Arabie Saoudite, où BAE Systems se partage le marché du Royaume avec Boeing (F-15SA) depuis les années 80  d'abord avec les Tornado puis les Typhoon. L'Arabie saoudite avait signé en 2007 avec le Royaume-Uni un contrat pour l'achat de 72 Eurofighter Typhoon. Mais les deux parties négocient actuellement une augmentation du prix des appareils restant à livrer dans le cadre de ce programme nommé "Salam".

BAE Systems a également gagné son pari au sultanat d'Oman, qui va s'équiper de 12 Typhoon qui voleront aux côtés des F-16C/D de Lockheed Martin. C'est aussi en très bonne voie à Bahreïn, qui envisage de s'offrir des Typhoon en complément des F-16C/D.

 

Trois pays incertains

La bataille fait rage dans deux pays. Aux Emirats Arabes Unis, où le Rafale, équipé de son nouveau radar à antenne active ou radar AESA (Active Electronically Scanned Array), est revenu en tout début d'année dans la course après une période après une période glaciale entre Paris et Abu Dhabi, qui entretient une flotte de F-16E/F (Lockheed Martin) et de Mirage 2000-9. BAE Systems rêve d'éliminer Dassault Aviation dans ce pays. "Nous faisons de bons progrès et nous avons le plein soutien du gouvernement britannique" dans ce dossier, avait assuré le directeur général de BAE Systems, Ian King, lors de la présentation des résultats semestriels du groupe début août. C'est aussi le cas au Qatar, qui a douze Mirage 2000-5. Cet émirat souhaiterait acheter 72 avions de combats en deux tranches. Il a envoyé à trois constructeurs des demandes d'information (BAE Systems, Dassault Aviation et Lockheed Martin).

Enfin, le Koweït, qui a déjà des F/A-18C/D (Boeing), pourrait commander de nouveaux avions de combat (18 à 22). Ce pays aurait aimé avoir des Rafale mais la pression américaine l'a jusqu'ici interdit. Ce qui pourrait relancer le Typhoon, dont la campagne de promotion est assurée non par BAE Systems mais par la société italienne Alenia Aermacchi.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 17:30
Nucléaire: l’Iran réaffirme son droit à enrichir l’uranium

23/09/2013 45eNord.ca (AFP)

 

Le président iranien Hassan Rohani a réaffirmé dimanche le droit de son pays à enrichir de l’uranium sur son sol, à la veille de son départ pour l’Assemblée génerale de l’ONU où cette question sera au centre des discussions internationales.

«Le peuple iranien veut se développer et ne cherche pas à fabriquer l’arme atomique», a-t-il martelé, alors que les grandes puissances occidentales soupçonnent l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire sous couvert de son programme civil.

Mais, a-t-il dit lors d’un discours à l’occasion du défilé annuel des forces armées, l’Occident doit accepter «tous les droits de la nation iranienne, notamment les droits nucléaires et à l’enrichissement d’uranium en territoire iranien dans le cadre des règles internationales».

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) avait indiqué fin août que l’Iran continuait à augmenter sa capacité d’enrichissement. Les Occidentaux craignent que l’Iran puisse ainsi plus facilement produire de l’uranium enrichi à un niveau de pureté nécessaire pour fabriquer l’arme nucléaire (90%).

«S’ils [les Occidentaux] acceptent ces droits, le peuple iranien [...] est prêt à coopérer et nous pouvons tous ensemble régler les problèmes de la région et même du monde », a ajouté M. Rohani, considéré comme un modéré.

Le nouveau président iranien avait été chef des négociateurs sur le dossier nucléaire au début des années 2000. A l’époque, il avait accepté la suspension de l’enrichissement d’uranium, un programme relancé en 2005 par Mahmoud Ahmadinejad.

M. Rohani doit s’envoler lundi pour New York où il prononcera le lendemain un discours très attendu à l’Assemblée générale des Nations unies. Ce sera la première grande sortie internationale du nouveau président, alors que le Conseil de sécurité de l’ONU a voté six résolutions, dont quatre assorties de sanctions, pour contraindre Téhéran à suspendre certaines activités nucléaires.

Il doit aussi rencontrer le président français François Hollande, et n’a pas exclu de s’entretenir avec le président américain Barack Obama, même si Washington a précisé qu’aucune rencontre n’était prévue à l’heure actuelle. Une telle rencontre à ce niveau serait une première depuis la Révolution islamique de 1979.

 

 

«Pas de précondition»


Un véhicule militaire transporte un missile balistique lors d’une parade militaire à Téhéran, le 22 septembre 2013 (Atta Kenare/AFP)

Son ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, est déjà à New York. Il doit s’entretenir avec ses homologues français et britannique et la chef de la diplomatie de l’Union européenne, Catherine Ashton, pour relancer les discussions avec les grandes puissances du groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), interrompues depuis début avril.

L’Iran «est prêt au dialogue avec l’Occident à condition qu’il n’y ait pas de précondition», a répété Hassan Rohani, qui a souhaité depuis son élection le 14 juin une reprise rapide des négociations nucléaires avec le groupe 5+1.

Les États-Unis et leurs alliés ont pris bonne note du souhait iranien de renouer le dialogue, mais restent sceptiques. Washington a jugé que les déclarations de M. Rohani n’étaient «pas suffisantes» et demandé «des actes» à l’Iran. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a appelé de son côté le monde à ne pas «se laisser duper» par les déclarations apaisantes du président iranien.

Hassan Rohani a également dénoncé les menaces proférées par Barack Obama sur une possible action militaire si la diplomatie et les sanctions ne résolvaient pas la crise nucléaire.

»Vous ne pouvez pas utiliser le langage de la force et des sanctions» avec l’Iran, a-t-il lancé à l’adresse du président américain. «On ne peut pas utiliser la logique de la guerre et de la diplomatie en même temps», a-t-il dit, soulignant que l’Iran était prêt à résister «avec détermination» à toute agression.

Pour souligner son propos, les forces armées ont présenté 30 missiles balistiques d’une portée annoncée de 2.000 km lors du défilé militaire, organisé au sud de Téhéran. Ces missiles «Sejil» (cailloux envoyés par Dieu) et «Ghadr» (Puissances) sont théoriquement capables d’atteindre Israël, principal ennemi régional de Téhéran, et les bases américaines dans la région.

Les déclarations de M. Rohani interviennent à la veille de la prise de contrôle par Téhéran de la centrale civile de Bouchehr, construite par les Russes dans le sud de l’Iran et qui se trouve sous le contrôle de l’AIEA. Selon les autorités iraniennes, les négociations avec les Russes sur la construction d’une seconde centrale sur le site ont «bien avancé».

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 12:30
Israeli F-16I Fighters Resume Training

18/9/2013 IsraelDefense

 

Training resumes two months after the F-16I "Sufa" aircraft were grounded due to a malfunction that forced two air crewmembers to abandon their aircraft off the coast of Gaza

 

The Israeli Air Force's F-16I "Sufa" squadron has resumed training after being grounded for two weeks to an aircraft crashing near the coast of Gaza in July, when two air crewmembers were forced to abandon the aircraft and were rescued by IDF rescue unit 669.

 

The first training took place at the Ramon base and included practice of air-to-air combat basics, combat in complex scenarios while using smart armaments and practicing aerial refueling.

 

The technical branch of the Sufa squadrons is additionally striving to prepare the aircraft for sorties in a short period of time after a two month recess.

 

In the past few months, there has been an investigation into the events of the accident, during which the engine of the aircraft shut down during flight, resulting in the air crew abandoning the aircraft according to procedure and their subsequent rescue. According to the results of the investigation, a technical malfunction in the aircraft engine is what apparently led to the engine shutting down.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 12:30
GDLS to convert additional Saudi Abrams tanks to M1A2S configuration

Two M1A2 Abrams tanks of the Saudi Arabian Army

 

23 September 2013 army-technology.com

 

General Dynamics Land Systems (GDLS) has received a contract for conversion of additional M1A1 and M1A2 Abrams main battle tanks (MBTs) to the Saudi M1A2 (M1A2S) configuration for Saudi Arabia.

 

Awarded by the US Army Tank-automotive and Armaments Command (TACOM) Lifecycle Management Command (LCMC) on behalf of the Royal Saudi Land Forces (RSLF), the $187.5m contract covers conversion of additional 44 M1A1 and 40 M1A2 Abrams tanks.

 

The latest foreign military sales (FMS) contract also continues the work initiated by the company in 2008 to update M1A1 and M1A2 tanks to the M1A2S configuration, which improves its efficiency and operational capability.

 

An upgraded version of the US Army and Marine Corps' M1A1 MBT, the M1A2 Abrams is designed to engage and attack enemy forces using enhanced firepower, manoeuvrability and shock effect in the battlefield.

 

Integrated with manually loaded 120mm M256 smoothbore cannon, the tank can fire a multitude of different rounds, such as M865 TPCSDS-T and M831 TP-T training ammunition against enemy armoured vehicles, soldiers and low-flying aircraft.

 

Offering enhanced protection to a crew of four, the tank features a gunner primary sight, new Block I second generation forward-looking infrared (FLIR) technology, an eye-safe laser range finder and a blue force tracking (BFT) system for improved effectiveness in the battlefield.

 

Upgrade work under the contract is scheduled to be carried out at the company's Joint Systems Manufacturing Center in Lima, Ohio, with an estimated completion in March 2015.

 

General Dynamics spokesman Rob Doolittle was quoted by Reuters as saying that the contract is one of several foreign and domestic awards the company was hoping to secure to ensure continued work at the Lima facility.

 

GDLS also secured $132.7m and $40m FMS contracts in January and April 2013, for supply of additional M1A2S tanks to the Saudi Arabian Army.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 11:30
Air Force Commander General Akin Ozturk

Air Force Commander General Akin Ozturk

Sept 22, 2013 Spacewar.com (AFP)

 

Ankara - Turkey's air force on Sunday paid tribute to the crew who shot down a Syrian military helicopter which it said had violated Turkish airspace.

 

Air Force Commander General Akin Ozturk has "honoured the personnel who applied rules of engagement toward a Syrian helicopter which refused to leave the airspace last week despite warnings," the air force command said in a statement.

 

Turkish warplanes on Monday downed the Syrian helicopter which Ankara said was detected two kilometres (about a mile) inside Turkish airspace.

 

Turkey changed its rules of engagement after the downing of one of its fighter jets by the Syrian air force in June 2012.

 

The government had warned that any military approach from Syria on the Turkish border would be considered a threat.

 

Relations between once close allies Damascus and Ankara have deteriorated since the outbreak of the Syrian conflict in March 2011.

 

The long and volatile border between the two countries has become increasingly tense, with a number of incidents in the area, which prompted NATO to station Patriot missile batteries there for defencive purposes.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 11:20
An MH-60S Knighthawk approaches the flight deck of the USS Kearsarge in this Feb. 2013 photo. Tamara Vaughn U.S. Navy

An MH-60S Knighthawk approaches the flight deck of the USS Kearsarge in this Feb. 2013 photo. Tamara Vaughn U.S. Navy

WASHINGTON, 22 sept 2013 marine-oceans.com  (AFP)

 

Un hélicoptère MH-60, qui avait décollé d'un destroyer d'escorte du porte-avions USS Nimitz déployé en mer Rouge en prévision d'éventuelles frappes contre la Syrie, s'est abîmé dimanche en mer, a annoncé la Marine américaine.

 

Trois des cinq membres d'équipage ont été récupérés et étaient dans un état stable tandis que les recherches se poursuivaient pour les deux autres, a précisé le commandement de la Ve flotte américaine basé à Bahreïn.

 

Cinq navires, des hélicoptères et des avions du groupe aéronaval du Nimitz participaient aux recherches, ainsi que des embarcations légères.

 

Les circonstances de l'accident n'ont pas été précisées, l'US Navy assurant toutefois qu'il n'était "pas dû à une quelconque activité hostile".

 

Le MH-60 Knighthawk, version marine du célèbre Blackhawk, avait décollé du destroyer William-Lawrence, l'un quatre navires d'escorte du porte-avions Nimitz.

 

Le Nimitz, qui emporte près de 80 avions et hélicoptères, et son escorte venaient de terminer un déploiement de plusieurs mois dans la région du Golfe et amorçaient leur retour vers la côte ouest américaine quand il ont été redéployés fin août en mer Rouge en raison de la crise syrienne.

 

Les trois destroyers et le croiseur d'escorte du Nimitz emportent chacun des dizaines de missiles de croisière Tomahawk, susceptibles d'être utilisés en cas de frappes contre le régime de Bachar al-Assad.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 07:30
http://www.uskowioniran.com/2013/09/sacred-defense-parades-2013.html

http://www.uskowioniran.com/2013/09/sacred-defense-parades-2013.html

22.09.2013 par RFI

 

Ce dimanche 22 septembre, comme tous les ans, les forces armées iraniennes ont paradé. Trente missiles balistiques d'une portée de 2 000 km ont été présentés. Mais le président Rohani se veut rassurant : « Au cours des 200 dernières années, l'Iran n'a jamais agressé un autre pays », a-t-il déclaré. « Le régime ne commencera jamais une agression mais résistera toujours aux agresseurs ».

 

Avec notre correspondant à Téhéran, Siavosh Ghazi

 

L’Iran a montré les muscles, en faisant défiler pour la première fois trente missiles balistiques d’une portée de 2 000 kilomètres, capables d’atteindre théoriquement Israël et les bases américaines situées dans la région.

De plus, les missiles Ghadr et Sejil utilisent du combustible solide, ce qui permet de les déplacer plus rapidement et de les lancer sans délai. Par ailleurs, le commandant de la marine des Gardiens de la révolution a déclaré que l’Iran avait la capacité de détruire les porte-avions américains dans le golfe Persique.

Cette démonstration de force a lieu alors que le président Rohani doit se rendre à New York pour participer à l’Assemblée générale des Nations unies, où le programme nucléaire de l’Iran sera au centre des discussions. Il doit notamment s’entretenir avec le président français François Hollande.

 

(RÉ)ÉCOUTER SUR RFI : Décryptage, « Ouverture diplomatique en Iran ?

 

Pour sa part, le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, doit rencontrer la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, pour relancer les négociations nucléaires entre Téhéran et les grandes puissances.

Mais le président Rohani a profité du défilé militaire pour demander à l’Occident d’accepter le droit, pour l’Iran, de procéder à des enrichissements d’uranium sur son sol. Une déclaration qui pourrait compliquer les négociations pour sortir de l’impasse actuelle.

 

 (RÉ)ÉCOUTER SUR RFI : La marche du monde, « Au nom du Guide suprême »

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 07:30
Tank Development Halted

17/9/2013 IsraelDefense

 

Future tank development has been halted in the framework of the upcoming multi-year plan and the cuts to the defense budget. A special team will be in charge of examining alternatives

 

The Israeli defense establishment has decided not to pursue the development of the Merkava Mark V tank, and at this stage, the Merkava Mark IV will be the last tank that will be manufactured.

 

IsraelDefense revealed nearly a year ago that the Israeli Ministry of Defense decided to establish a team, headed by Brig. Gen. (Res.) Didi Ben Yoash, that would be responsible for developing the IDF's future tank. Senior officials from Israel's defense industries were also asked to provide their opinions on the form of the future tank, along with the IDF Ground Forces branch.

 

However, it has now been learned that a decision was made not to develop the advanced tank and to examine possible alternatives in the framework of the IDF's upcoming multi-year plan. In the meanwhile, the Merkava Mark IV tank will be the most advanced tank used by the IDF.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 07:30
Turkey Could Face Huge Fighter Bill

In addition to an indigenous fighter under development locally, Turkey plans to buy 100 F-35A fighter jets. (Lockheed Martin)

 

Sep. 22, 2013 By BURAK EGE BEKDIL – Defense news

 

ANKARA — Turkish ambitions to develop and build the first ever made-in-Turkey fighter aircraft and at the same time buy a new generation, multinational combat jet may go beyond Turkey’s financing capacity, industry sources and experts said.

 

They said Turkey could face a US $50 billion bill in the next few decades if it decides to go ahead with now maturing plans to build an indigenous fighter jet and order scores of the US-led, multinational F-35 joint strike fighter in a parallel move.

 

“The [local] fighter program has not yet won the final green light from the government, but if it does, Turkish budget planners will have to sit down and find ways to finance both this ambition and the JSF program,” said one senior western aerospace official.

 

Procurement officials earlier said Prime Minister Recep Tayyip Erdogan would make the final decision on whether Turkey should skip to a next level in its pre-conceptual design work for the Turkish fighter, a program dubbed the TF-X.

 

Turkey’s ultimate decision-maker on procurement, the Defense Industry Executive Committee, chaired by Erdogan, is expected to make a decision this year.

 

Industry sources took a ministerial statement on a civilian project as an indication of a positive decision on the TF-X. Transport Minister Binali Yildirim told reporters Sept. 3 that a plan for the design, development and production of a Turkish civilian aircraft, with 60 to 120 seats, had been submitted to the cabinet for approval.

 

Defense industry officials estimate that building eight prototypes to be produced under the TF-X would cost Ankara over $10 billion. “Any figure in the range of $11-13 billion would be realistic,” an aviation official said.

 

His guess for the final Turkish order if the entire program succeeded is nearly 200 aircraft. “We target $100 million per aircraft,” he said. “I think 200 is a realistic figure given our aging fleet of aircraft that will phase out in the decades ahead.”

 

That means Turkey will have to spend $31-33 billion for the Turkish fighter it hopes to design, develop and manufacture. But independent analysts say this can be an over-optimistic calculation.

 

“We know that Turkey’s plans do not include developing an engine for the Turkish fighter. Moreover, I think $100 million per aircraft is too optimistic given Turkey’s technological constraints, its high-cost industry and the fact that a newcomer [into the fighter industry] like Turkey would always suffer setbacks and trials and errors during the entire process.”

 

Turkey has been in talks with Sweden’s Saab for pre-conceptual design work for the country’s first national fighter jet. Saab makes the JAS 39 Gripen, a lightweight single-engine multirole fighter. It was designed to replace the Saab 35 Draken and 37 Viggen in the Swedish Air Force. The Gripen is powered by the Volvo-Flygmotor RM12 engine, a derivative of the General Electric F404, and has a top speed of Mach 2.

 

Turkey hopes that under the TF-X program, it can fly the Turkish fighter by 2023, the centennial of the republic. Turkey’s aerospace powerhouse, TAI, has been debating three designs.

 

Meanwhile, Turkey, whose present fighter fleet is made up of US-made aircraft, also plans to buy the F-35.

 

Most of Turkey’s fleet of F-16 fighters, being modernized by Lockheed Martin, and the F-35s are open to US technological influence. Only its older F-4 aircraft, modernized by Israel, and its oldest F-16s, being modernized by Turkey, are free from this influence. But these older aircraft are expected to be decommissioned around 2020.

 

Turkey’s defense procurement officials have said that Ankara intends to buy around 100 F-35s. Defense analysts estimate the cost of the entire JSF program to Turkey to be around $16 billion, bringing Turkey’s fighter budget up to $50 billion together with the TF-X.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 06:30
IRGC-ASF Ghadir-H medium-range ballistic missile (MRBM)

IRGC-ASF Ghadir-H medium-range ballistic missile (MRBM)

Sep. 22, 2013 – Defense News (AFP)

 

TEHRAN — Iran paraded 30 missiles with a nominal range of 2,000 kilometers (1,250 miles) Sunday, the first time it had displayed so many with the theoretical capacity to hit Israeli targets.

 

Iran displayed 12 Sejil and 18 Ghadr missiles at the annual parade marking the anniversary of the outbreak of the 1980-88 Iran-Iraq war.

 

The stated range of both missiles would put not only Israel but also US bases in the Gulf within reach.

 

But in his speech at the parade, President Hassan Rowhani insisted the weaponry on show was for defensive purposes only.

 

“In the past 200 years, Iran has never attacked another country,” he said.

 

“Today too, the armed forces of the Islamic Republic and its leadership will never launch any aggressive action in the region.

 

“But they will always resist aggressors determinedly until victory.”

 

The Sejil was first tested in November 2008 and the Ghadr in September of the following year.

 

Both are two-stage missiles that use solid fuel that allows them to be moved around and launched rapidly.

 

The naval chief of the elite Revolutionary Guards was meanwhile quoted as saying that Iran has the capability to strike US warships in the Gulf.

 

“We have the necessary equipment to destroy American aircraft carries and warplanes in the Gulf,” the ISNA news agency quoted Admiral Ali Fadavi as saying.

 

Bahrain, a strategic archipelago just across the Gulf from Iran, is the home base of the US Fifth Fleet.

 

The elite Revolutionary Guards is in charge of protecting the strategic Strait of Hormuz, at the entrance to the Gulf, a key gateway for the world’s oil supplies.

 

Over the past year, the United States has gradually strengthened its naval forces in the Gulf region, particularly after Iran at one point threatened to block the strait.

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 16:55
Carte des attaques chimiques  syriennes du 21 aout 2013

Carte des attaques chimiques syriennes du 21 aout 2013

21/09/2013 à 11:50 Jean Guisnel - Défense ouverte

 

Paris n'a pas été conviée aux négociations diplomatiques qui se jouent actuellement. Et c'est seule qu'elle prépare une option militaire, au cas où...

 

De quoi demain sera-t-il fait ? C'est la question que l'on se pose à Paris à propos de la Syrie. Les Français assistent en spectateurs au grand jeu diplomatique ouvert par l'initiative russe. On regrette un peu dans les cercles dirigeants, mezza voce, que les Américains se soient "lancés tête baissée dans la négociation", selon la formule d'un excellent connaisseur de ce dossier explosif. Pour les Français, l'hypothèse de frappes contre le régime n'est évidemment pas envisageable de manière unilatérale.

 

Pour autant, l'option n'est pas exclue à terme, au cas où le régime de Damas ne collaborerait pas pleinement, et le niveau de préparation de l'armée française ne s'est nullement abaissé. Le Centre national de ciblage de l'état-major des armées, qui traduit en données opérationnelles les informations transmises par la DRM et la DGSE, continue de préparer des dossiers d'objectifs en relation avec l'état-major américain de Centcom installé à Tampa (Floride). L'effort national de renseignements s'est trouvé notablement renforcé. Il implique notamment la marine nationale, qui pourrait déployer de nouveaux moyens navals et aériens (Atlantique 2) dans la zone.

 

Un doigt dans la guerre

 

Une source actuellement très influente dans l'appareil d'État confie les raisons du maintien de cette posture : "Il est vrai que c'est inattendu de voir la France mettre un doigt dans la guerre dans cette région. Mais si nous ne faisons rien, Assad gagne. Il aurait dans ce cas les mains libres pour raser Alep et d'autres villes encore. Ce serait aussi une victoire pour l'Iran, qui recevrait la démonstration que l'on peut utiliser des armes de destruction massive sans recevoir de sanction. L'Iran maintiendrait, en plus, la ligne de vie qui soutient le Hezbollah au Liban."

 

Au ministère de la Défense, on a de la mémoire. Voilà bientôt douze ans, le 8 octobre 2001, les forces américaines et britanniques frappaient seules l'Afghanistan. "Plus jamais ça !" pense-t-on cette fois à Paris, où l'on comptait sur l'option militaire pour ne pas être exclu du jeu syrien.

 

Cibler le régime

 

Pour les Français, et singulièrement pour François Hollande, le régime syrien est totalement et absolument détestable. Les frappes chimiques du 21 août, confirmant les précédentes, ont convaincu les dirigeants français que "l'armée d'Assad est professionnelle du maintien au pouvoir. Ces gens sont insubmersibles. Si on ne leur lance pas une torpille, ils ne couleront jamais"... Il s'agit donc, in fine, de renverser le régime, comme en Libye. Et d'apporter une appui décisif aux composantes "démocratiques" de l'opposition syrienne, notamment l'Armée syrienne libre du général Selim Idriss. En visite à Bamako, François Hollande a déclaré le 19 septembre que la France livrerait des armes à l'ALS : "Nous le ferons dans un cadre élargi, avec un ensemble de pays et dans un cadre qui peut être contrôlé, car nous ne pouvons pas accepter que des armes puissent aller vers des djihadistes." Sauf que personne ne peut le garantir...

 

On sait que le Quai d'Orsay est beaucoup plus allant en matière de livraisons d'armes que le ministère de la Défense. À ce stade, selon nos informations, les armées françaises ont essentiellement livré des moyens "non létaux", à savoir des rations de combat, des équipements médicaux, des systèmes optiques et des moyens de transmission. Mais aussi du renseignement. L'ALS demande en outre des équipements antiaériens (missiles Manpads), des moyens antichars, des armes d'infanterie. Pour les missiles et les roquettes antichars, Paris ne dit pas non, mais la France ne livrera pas de moyens antiaériens. Paris devrait par ailleurs accentuer la formation et l'entraînement de troupes syriennes.

 

Grande gueule, petit bâton

 

Selon toute vraisemblance, les armées françaises ne tireront pas de sitôt un coup de feu contre le régime de Bachar el-Assad. Parti trop vite, évoquant imprudemment la volonté d'infliger au despote une "punition", contraint de prendre une posture d'auxiliaire de Barack Obama, François Hollande se retrouve aujourd'hui dans une posture peu glorieuse. Les négociations internationales se déroulent en son absence, et il paraît hautement improbable que Paris obtienne satisfaction sur ce qui était son cheval de bataille : le recours à la force contre le régime de Damas, ainsi que l'intégration de cette option dans une future résolution de l'ONU.

 

La France n'a pas été conviée dans la partie diplomatique ouverte par le retour de la Russie sur la scène. Comme souvent, elle a donné de la voix, sans avoir les moyens militaires de conduire une coalition, alors que les capacités et l'organisation de l'adversaire semblent à première vue autrement plus solides que celles de la Libye, par exemple. C'est souvent le problème avec la France : grande gueule, mais petit bâton !

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 16:40
Syrie: un obus de mortier s'abat près de l'ambassade russe à Damas

22/09/2013 à 12:43 Point.fr

 

Un obus de mortier, tiré par des rebelles, s'est abattu dimanche dans le périmètre de l'ambassade de Russie située dans le quartier de Mazraa au centre de Damas, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

 

Selon l'OSDH, qui n'a pas pu préciser si ce tir a fait des dégâts ou des victimes, l'ambassade de la Russie, pays qui soutient activement le régime syrien, avait été visée plusieurs fois dans le passé mais c'est la première fois que le périmètre de la chancellerie est touché.

 

La Russie a été le principal artisan d'un accord avec les Etats-Unis conclu à Genève le 14 septembre prévoyant le démantèlement des armes chimiques syriennes.

 

L'accord a permis d'éloigner des frappes militaires voulues par les Etats-Unis et la France contre le régime syrien, qu'ils accusent d'être responsable d'une attaque aux armes chimiques qui avait fait des centaines de morts le 21 août près de Damas.

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 18:30
L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

20/09/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) annonce ce vendredi 20 septembre avoir reçu de Damas une première liste des armes chimiques en possession du régime syrien, dans le cadre du programme de leur destruction, rapporte l’AFP.

 

Par contre, l’organisation a décidé de reporter sa réunion de dimanche à La Haye portant sur la destruction des armes chimiques syriennes, a annoncé vendredi l’organisation.

 

La raison ce report, selon des sources diplomatiques, serait que le texte devant servir de base de travail à la réunion, qui fait l’objet de discussions entre Américains et Russes et ne serait pas encore prêt.

 

Plusieurs fois reportée, la réunion doit permettre aux 41 Etats membres du Conseil exécutif d’examiner l’adhésion de la Syrie à la Convention sur les armes chimiques et le début du programme de destruction de ces armes.

 

Le 14 Octobre 2013, la Convention sur les armes chimiques entrera en vigueur pour la Syrie et le pays deviendra le 190e État membre de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques.

 

L’adhésion de la Syrie à la Convention de 1993 sur l’interdiction des armes chimiques fait partie de l’accord auquel les Russes et les Américains sont arrivés le week-end dernier à Genève pour démanteler l’arsenal chimique syrien, éloignant ainsi la perspective de frappes militaires punitives contre le régime Assad, considéeé par les puissances occidentales comme l’auteur de l’attaque chimique du 21 aoît près de Damas qui a fait des centaines de morts, dont plusieurs enfants.

 

Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU (Etats-Unis, France, Russie, Chine, Royaume-Uni) tiennent aussi parralèllement des consultations sur un projet de résolution visant à garantir le démantèlement effectif des armes chimiques syriennes, mais ne s’entendent pas sur l’inclusion dans la résolution d’un recours à la force en cas de non-respect par la Syrie de ses engagements.

 

L’équipe d’enquêteurs mandatés par l’ONU, dont neuf experts de l’OIAC, a déclaré dans le rapport qui a été remis lundi au Conseil de Sécurité avoir trouvé des «preuves flagrantes et convaincantes» de l’utilisation de gaz sarin lors de l’attaque du le 21 août près de Damas.

 

Le mandat des experts de l’ONU ne prévoyait pas la désignation d’un coupable, mais plusieurs diplomates affirmaient que les détails compilés dans le rapport permettent clairement d’identifier les responsables.

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 16:30
Liban : une relève de 600 soldats français de la FINUL convoyée par le BPC Tonnerre

20/09/2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. - Défense globale

 

Six cents soldats de la 9e BIMa sont partis ce vendredi matin de Toulon à bord du BPC Tonnerre, à destination du Liban.

 

Ils relèvent pour six mois une bonne partie des 900 casques bleus français engagés en permanence au sein de la FINUL, la Force intérimaire des Nations unies au Liban.

 

Deux cents soldats du RICM (infanterie chars de marine) de Poitiers forment le gros de l'effectif, avec l'état-major et le chef de corps, le colonel Loïc Mizon. Trois escadrons de commandement et de logistique, d'éclairage et d'investigation, d'aide à l'engagement intégreront la force d'intervention de réserve (Force Commander Reserve) de la FINUL, la principale force de dissuasion et de coercition de la mission. La FCR est basée à Dayr Kifa dans le sud mais peut appuyer tout contingent onusien ou libanais sur le territoire.

 

Les Poitevins sont accompagnés d'une grosse compagnie VBCI du 92e RI (infanterie) de Clermont-Ferrand mais aussi d'éléments du 6e RG (génie) d'Angers, du 4e RMat de Nîmes et d'une section défense sol-air Mistral du 11e RAMa (artillerie de marine) de Saint-Aubin-du-Cormier.

 

Si certains éléments ont rejoint le Liban en avion, la relève s'effectue par voie maritime grâce au BPC Tonnerre, commandé par le capitaine de vaisseau François Majoufre. Pour des raisons de sûreté mais aussi pour des motifs économiques... Ils devraient débarquer dans le port de Tyr.

 

Les tensions syriennes font de cette mission onusienne une force essentielle pour maintenir un équilibre dans la région. Le général français Jean-Jacques Toutous est depuis le 1er août le chef d'état-major de la FINUL.

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 16:20
Commande de 4 milliards de dollars du Pentagone à Lockheed

21/09 LesEchos.fr (Reuters)

 

Le département américain de la Défense a annoncé vendredi la conclusion d'un contrat de quatre milliards de dollars avec Lockheed Martin portant sur la fourniture aux Etats-Unis et aux Emirats arabes unis de composants du système de défense antimissile Terminal High Altitude Area Defense (THAAD).

 

La transaction faisait l'objet de négociations depuis plusieurs années. Elle porte sur 192 missiles intercepteurs destinés aux Emirats et sur 110 pour l'armée américaine.

 

La mise en commun de ces commandes a permis une économie de 10% environ, a expliqué Mat Joyce, directeur du programme THAAD.

 

Les Etats-Unis sont en discussions avec le Qatar pour une transaction similaire. L'Arabie saoudite, le Japon et la Corée du Sud ont par ailleurs manifesté leur intérêt, a ajouté Mat Joyce.

 

L'agence américaine chargée de la défense antimissile a procédé la semaine dernière au premier test opérationnel du système THAAD et a la vérification de sa compatibilité le système de combat Aegis. leur association a permis de détruire deux missiles à moyenne portée tirés quasi-simultanément.

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 12:30
Liban : mis en place de la relève du mandat Daman XIX par le BPC Tonnerre

20/09/2013 Sources : EMA

 

Le 20 septembre 2013, à Toulon, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre a appareillé en direction du Liban. Il transporte près de 600 militaires. Appartenant au régiment d’infanterie Chars de Marine (RICM) et au 92e régiment d’infanterie, ils sont désignés pour relever le mandat XIX de l’opération DAMAN et poursuivre la mission des forces françaises au Liban.

 

La France est l’un des principaux pays contributeurs à la FINUL. Les militaires français présents au Liban sont déployés dans le cadre de l’opération DAMAN, nom de la participation française à cette mission de l’ONU. Ils agissent particulièrement au sein de la FINUL, particulièrement au sein de la « Force Commander Reserve » (FCR). Ce détachement confère au force commander une capacité de dissuasion, de réaction et de coercition. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban. Parallèlement, la FCR entretient une coopération étroite avec les FAL, tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints.

 

Une vingtaine de militaires arment par ailleurs des postes au sein de l’état-major de la FINUL.

Liban : mis en place de la relève du mandat Daman XIX par le BPC Tonnerre
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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 22:30
Liban : mis en place de la relève du mandat Daman XIX par le BPC Tonnerre

20 sept. 2013 FORCESFRANCAISES

 

Le 20 septembre 2013, à Toulon, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre a appareillé en direction du Liban. Il transporte près de 600 militaires. Appartenant au régiment d'infanterie Chars de Marine (RICM) et au 92e régiment d'infanterie, ils sont désignés pour relever le mandat XIX de l'opération DAMAN et poursuivre la mission des forces françaises au Liban.


La France est l'un des principaux pays contributeurs à la FINUL. Les militaires français présents au Liban sont déployés dans le cadre de l'opération DAMAN, nom de la participation française à cette mission de l'ONU. Ils agissent particulièrement au sein de la FINUL, particulièrement au sein de la « Force Commander Reserve » (FCR). Ce détachement confère au force commander une capacité de dissuasion, de réaction et de coercition. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban. Parallèlement, la FCR entretient une coopération étroite avec les FAL, tant lors de patrouilles communes que lors d'entraînements conjoints.

Une vingtaine de militaires arment par ailleurs des postes au sein de l'état-major de la FINUL.

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:56
Syrie: plus de 130 Français engagés dans le combat

19/09/2013 Par LEXPRESS.fr

 

Manuel Valls a avancé ce jeudi le chiffre de 130 Français ou résidents en France engagés sur le terrain en Syrie. La plupart sont jeunes, radicalisés, avec un parcours délinquant, selon le ministre de l'Intérieur.

 

Un chiffre inquiétant pour Manuel Valls. "Plus de 130 Français ou résidents en France", souvent radicalisés, combattent actuellement en Syrie, a affirmé jeudi le ministre de l'Intérieur sur France Inter. "Une cinquantaine sont revenus, une quarantaine sont en zone de transit et une bonne centaine ont déjà, selon nos services de renseignements, montré qu'ils pouvaient se rendre là-bas", a-t-il précisé. 

 

Au début du mois, L'Express était en mesure d'affirmer qu'une centaine de combattants français se trouvaient sur le terrain. Neuf jeunes musulmans partis de France ont été tués en Syrie depuis le début du conflit en 2011. 

Ampleur du phénomène

 

"C'est un phénomène qui m'inquiète, parce qu'ils représentent, avec leur retour sur notre sol, un danger potentiel", a insisté le ministre socialiste. Selon lui, il s'agit "d'individus jeunes", "ayant connu souvent déjà un parcours délinquant", "radicalisés le plus souvent". 

 

Selon le ministre, "c'est un phénomène sans commune mesure avec le nombre de Français qui avaient pu se rendre par exemple en Afghanistan ou au Pakistan. Il faut être extrêmement attentif".

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:30
Syrie : Hollande pour une livraison d'armes "contrôlée" pour les rebelles

20.09.2013 Le Monde.fr (AFP, Reuters)

 

Pour la première fois, François Hollande a laissé entendre, jeudi 19 septembre, que la France pourrait livrer des armes dans "un cadre contrôlé" aux rebelles syriens, qui sont, selon lui, pris entre les forces gouvernementales et les extrémistes islamistes. 

"Je constate que les Russes en livrent régulièrement, mais nous, nous le ferons dans un cadre élargi avec un ensemble de pays et dans un cadre qui peut être contrôlé, car nous ne pouvons accepter que les armes puissent aller vers des djidadistes que nous avons combattu ici", a déclaré le président français lors d'une visite à Bamako, où il a assisté à l'investiture du président malien Ibrahim Boubacar Keïta.

 

"Nous avons toujours dit que nous voulions contrôler les fournitures d'armes, si nous en faisons, pour qu'elle aillent bien à l'armée syrienne libre. Pourquoi ? Parce que c'est elle qui représente la coalition nationale, celle que nous avons reconnue comme la seule représentation légitime du peuple syrien et qui, aujourd'hui, est entre le marteau et l'enclume.
Le marteau des frappes et actions du régime et l'enclume de l'islamisme fondamentaliste. Si nous voulons trouver une solution politique, il faut bien que cette coalition nationale puisse assurer la transition".

 

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:30
Hollande compte rencontrer le président iranien

MOSCOU, 20 septembre - RIA Novosti

 

Le président français François Hollande envisage de s'entretenir avec son homologue iranien Hassan Rohani en marge de l'Assemblée générale de l'Onu, rapportent vendredi les médias européens.

"Il y a un projet de rencontre avec le président iranien à sa demande", a déclaré le chef d'Etat français à des journalistes à Bamako, dans l'avion qui devait le ramener en France après avoir assisté à l'investiture du président malien Ibrahim Boubacar Keïta.

Il s'agirait ainsi de la première rencontre bilatérale entre leaders français et iranien depuis un entretien entre Jacques Chirac et le réformateur Mohammad Khatami en avril 2005.

Les Etats-Unis et d'autres pays reprochent à l'Iran de vouloir se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire qu'il prétend réaliser à des fins pacifiques. Téhéran rejette ces accusations, affirmant que ses recherches nucléaires ont pour seul objectif de satisfaire les besoins du pays en électricité.

Elu au poste présidentiel en juin dernier, Hassan Rohani est considéré en Occident comme un réformateur susceptible de favoriser une relance des efforts diplomatiques sur le dossier nucléaire iranien.

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:30
Syria Rebels source globservateur.blogs.ouest-france.fr

Syria Rebels source globservateur.blogs.ouest-france.fr

19 septembre 2013 à 22:29 Par Sami Boukhelifa - RFI

 

En Syrie, les rebelles nationalistes d’un côté, les salafistes et les jihadistes affiliés à al-Qaïda de l’autre, combattent tous les forces de Bachar el-Assad. Mais ces groupes sont loin de faire front commun. Ils s’affrontent également entre eux, comme c’était le cas jeudi matin 19 septembre dans la ville syrienne d’Azaz dans le nord, près d’Alep. Les Nations unies publient un rapport alarmant, une sorte de cartographie des différents groupes rebelles syriens. Plus de la moitié d’entre eux sont des groupes extrémistes radicaux.

 

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:30
Carte des principaux sites du programme nucléaire iranien – crédits Sémhur

Carte des principaux sites du programme nucléaire iranien – crédits Sémhur

MOSCOU, 19 septembre - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis sont prêts à examiner les initiatives de l'Iran visant à régler les désaccords concernant son programme nucléaire si Téhéran démontre le caractère pacifique de ce programme, a annoncé mercredi l'agence Reuters, citant le porte-parole de la Maison-Blanche Jay Carney.

 

Selon le porte-parole, le président américain Barack Obama a formulé cette proposition dans une lettre adressée le 15 septembre dernier à son homologue iranien Hassan Rohani.

 

"Dans cette lettre, le président [Barack Obama] montre que les Etats-Unis sont prêts à œuvrer pour régler le différend concernant le programme nucléaire iranien, mais à condition que Téhéran démontre le caractère exclusivement pacifique de son programme", a indiqué M. Carney.

 

La lettre invite également la partie iranienne à trouver au plus vite une solution, a ajouté le porte-parole de la Maison-Blanche.

 

"Nous évoquons depuis longtemps la possibilité de résoudre ce problème par la voie diplomatique, mais cette pratique ne peut pas durer indéfiniment", a souligné M. Carney.

 

Les six médiateurs internationaux sur le dossier nucléaire iranien (Russie, Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne et Allemagne) mènent des négociations avec Téhéran afin de lever leur inquiétude concernant le programme nucléaire iranien. Les Etats-Unis, d'autres pays occidentaux et Israël reprochent à l'Iran de vouloir se doter de la bombe sous couvert d'un programme nucléaire qu'il prétend réaliser à des fins pacifiques. Téhéran rejette ces accusations, affirmant que ses recherches nucléaires revêtent un caractère exclusivement pacifique.

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:30
Syrie: l'attaque chimique ne pouvait être profitable qu’aux rebelles (expert)

BERLIN, 19 septembre – RIA Novosti

 

Le rapport des inspecteurs de l'Onu sur l’attaque chimique qui a touché la banlieue de Damas le 21 août ne révèle pas qui en est responsable, a déclaré à RIA Novosti Günter Meyer, professeur à l'université de Mayence et directeur du Centre de recherche sur le monde arabe.

 

"Le rapport des inspecteurs de l'Onu sur l’utilisation des armes chimiques ne révèle pas qui en est responsable. Les déclarations des puissances occidentales accusant Bachar al-Assad ne sont pas convaincantes", a affirmé l'expert allemand.

 

Le rapport des inspecteurs de l'Onu, qui ont enquêté sur les lieux de l’attaque chimique en Syrie le 21 août, a été présenté lundi dernier par le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon.

 

Le rapport confirme que des armes chimiques à base de gaz sarin ont effectivement été utilisées dans la banlieue de Damas. Le secrétaire général de l'Onu a rappelé que l'identification des responsables de l'attaque chimique ne relevait pas de la mission des inspecteurs et, selon lui, seule une nouvelle enquête permettra de faire le jour sur cette question.

 

"Les arguments des Etats-Unis, de la France et du Royaume-Uni disant que le régime d'Assad dispose justement des projectiles qui ont été utilisés lors de l'attaque et que les rebelles sont incapables de créer un mélange de gaz binaire, ne sont pas convaincants. Les missiles de ce type ainsi que les composants du produit toxique auraient pu provenir des dépôts militaires pillés en Lybie", souligne Meyer, ajoutant que les rebelles modérés ne sont probablement pas impliqués dans l'attaque mais qu’elle pourrait avoir été lancée par des jihadistes spécialement entraînés.

 

Il rappelle également que les experts de l'Onu ne disent rien sur l'endroit d'où les projectiles ont été tirés car ils ne disposaient pas d'informations exactes. "Le lancement des missiles depuis le territoire contrôlé par le régime, d'après les données des satellites, sont des affirmations des USA et de la France. Il n'en existe aucune preuve indépendante", a déclaré Meyer.

 

L'expert remarque que dans la nuit du 20 août l'armée gouvernementale a bombardé cette région avec des missiles conventionnels. "Cela correspond à la stratégie des opposants d'Assad : tirer dans la même zone avec des ogives chimiques et rejeter la responsabilité de l'attaque sur le régime", a souligné Meyer.

 

Une attaque connue d'avance

 

De plus, d'après lui, la lettre de 12 ex-agents de la CIA, du département d'Etat et du Pentagone récemment rendue publique éveille également des soupçons. Ils ont écrit que les représentants du Qatar, de la Turquie et de la CIA, lors d'une rencontre les 13 et 14 août à Antakya en Turquie, avaient informé les chefs de l'opposition armée syrienne d'une attaque prévue des USA contre la Syrie. Cette version privilégierait l’hypothèse d’une attaque chimique planifiée par les opposants d'Assad.

 

"Le régime d'Assad n'avait absolument aucun intérêt à utiliser l'arme de destruction massive contre sa propre population, précisément au moment où la commission de l'Onu s'apprêtait à lancer son enquête sur les attaques antérieures. Ce massacre ne profite qu'à l'opposition.

 

Il semble donc logique qu'ils aient utilisé du gaz toxique pour rejeter la faute sur le régime, pousser le gouvernement d'Obama à franchir la "ligne rouge" et intervenir en Syrie", a déclaré Meyer.

 

"Pour quelle raison le gouvernement aurait voulu provoquer la plus grande puissance militaire du monde tandis que l'armée gouvernementale connaît déjà beaucoup de succès en utilisant les armes conventionnelles et alors que les rebelles perdent du terrain ?", a ajouté l'expert.

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 17:30
Syria CW sept 2013 source lexpress

Syria CW sept 2013 source lexpress

WASHINGTON, 19 septembre - RIA Novosti

 

La Syrie est prête à remettre ses armes chimiques à tout pays qui accepterait de les accueillir, a déclaré le président syrien Bachar el-Assad dans une interview à la chaîne de télévision Fox News. 

"Nous sommes prêts à livrer nos armes [chimiques] à tout pays prêt à les accueillir", a souligné M.Assad.  

Les chefs de la diplomatie russe et américaine, Sergueï Lavrov et John Kerry, se sont entendus samedi 14 septembre sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014. Cette entente devrait servir de base pour l'adoption d'une résolution du Conseil de sécurité de l'Onu. 

L'initiative visant à placer les arsenaux d'armes non conventionnelles de la Syrie sous contrôle de la communauté internationale a été formulée par à Moscou. Son but est d'éviter une intervention armée occidentale dans ce pays proche-oriental.  

Le 14 septembre, le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, a reçu l'engagement de Damas de rejoindre la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques. Le 14 octobre prochain, la Syrie deviendra le 190e membre de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques.

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