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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 18:00
La Turquie a abattu un hélicoptère syrien

16 septembre 201318h29 Romandie.com (AFP)

 

ANKARA - La Turquie a abattu lundi un hélicoptère militaire syrien qui avait violé son espace aérien, a déclaré le vice-Premier ministre turc Bulent Arinc.

 

Un hélicoptère MI-17 syrien a été détecté dans l'espace aérien turc à 14h20 (11h20 GMT), a dit M. Arinc à des journalistes.

 

Il a été averti de manière répétée par notre défense aérienne, mais comme la violation (de l'espace aérien turc) continuait, il est tombé en territoire syrien à 14h25 (11h25 GMT) après avoir été touché par des missiles tirés par nos avions, a déclaré le responsable turc.

 

La chute d'un hélicoptère de l'armée syrienne près de la frontière avait été annoncée auparavant par l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

 

M. Arinc a ajouté qu'il ne disposait pas d'informations sur le sort de l'hélicoptère parce que l'appareil était tombé en territoire syrien.

 

Depuis le début il y a deux ans et demi de la révolte en Syrie contre le pouvoir du président Bachar al-Assad, le gouvernement du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, jusqu'alors allié de la Syrie, s'est retourné contre elle. M. Erdogan milite ouvertement pour la chute du président Assad et soutient la rébellion syrienne.

 

Le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane, a déclaré à l'AFP que l'hélicoptère était tombé en territoire syrien. Il a ajouté que l'un de ses deux pilotes, qui ont réussi à s'éjecter, avait été fait prisonnier par les rebelles alors que le sort de l'autre restait inconnu.

 

Des agences de presse turques ont confirmé que l'hélicoptère était tombé du côté syrien de la frontière.

 

Depuis le début du conflit, les rebelles ont abattu des avions et des hélicoptères militaires syriens.

 

L'armée syrienne a abattu en juin 2012 un avion turc en affirmant qu'il avait violé son espace aérien.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 18:00
Armes chimiques en Syrie: Ban dénonce un crime de guerre

16 septembre 2013 18h36 Romandie.com (AFP)

 

NEW YORK - Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a qualifié lundi l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, attesté par un rapport d'experts, de crime de guerre devant le Conseil de sécurité.

 

M. Ban a réclamé que les responsables --qu'il n'a pas désignés-- rendent des comptes pour ce crime méprisable et il a demandé au Conseil de prévoir des conséquences si Damas ne respectait pas le plan de démantèlement de son arsenal chimique mis au point par Washington et Moscou.

 

Je demande instamment au Conseil (...) une résolution claire, a déclaré M. Ban. Se référant à l'accord américano-russe sur le désarmement chimique en Syrie conclu samedi à Genève, il a rappelé que celui-ci prévoyait qu'en cas de non-respect (par Damas de ses engagements) le Conseil de sécurité devrait appliquer des mesures sous chapitre 7 de la Charte de l'ONU. Ce chapitre prévoit des sanctions pouvant aller jusqu'à l'usage de la force si un pays ne respecte pas une décision du Conseil.

 

Je suis d'accord qu'il doit y avoir des conséquences (pour Damas) en cas de non-respect, a ajouté M. Ban, sans toutefois parler de frappe militaire.

 

Washington, Londres et Paris veulent faire pression sur le régime syrien par le biais d'une résolution sous chapitre 7 alors que Moscou refuse toute menace militaire contre son allié syrien.

 

Dans son exposé, basé sur le rapport des experts de l'ONU qui ont enquête en Syrie, M. Ban a fait état de preuves flagrantes et convaincantes que du gaz toxique sarin a été utilisé contre la population le 21 août près de Damas. Washington, Londres et Paris accusent les forces gouvernementales syriennes d'avoir perpétré ce massacre

 

Les résultats (de l'enquête) sont accablants et irréfutables, a-t-il affirmé. Les faits parlent d'eux-mêmes. La mission (d'enquête) des Nations unies a désormais confirmé sans équivoque et de manière objective que des armes chimiques ont été utilisées en Syrie.

 

Outre les échantillons médicaux et les indices qu'ils ont recueillis, dont des fragments de munitions, les experts, a précisé M. Ban, ont interrogé plus de 50 survivants, médecins ou secouristes. Ceux-ci ont décrit une gamme de symptomes allant de l'essoufflement à la perte de connaissance en passant par des irritations oculaires et des nausées. Les secouristes ont vu de nombreuses personnes gisant sur le sol, beaucoup mortes ou ayant perdu connaissance et ne portant pas de blessures apparentes, a ajouté M. Ban.

 

Le rapport, a-t-il expliqué, souligne que la température en ce matin du 21 août près de Damas avait chuté entre 2 et 5 heures du matin, créant des conditions favorables pour que le gaz stagne au sol et penètre facilement dans les parties basses des habitations où de nombreuses personnes avaient trouvé refuge .

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 11:30
Syrie/armes chimiques: le rapport onusien présenté lundi 16 septembre

NEW YORK (Nations unies), 16 septembre - RIA Novosti

 

Le rapport des experts chargés d'enquêter sur les cas d'emploi présumé d'armes chimiques en Syrie sera présenté au Conseil de sécurité de l'Onu lundi, a fait savoir le service de presse des Nations unies.

 

"Le rapport de la mission onusienne (…) a été remis au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon", a annoncé l'organisation.

 

Lundi 16 septembre, M.Ban "présentera le document au Conseil de sécurité dans le cadre d'audiences à huis clos".

 

A 20h50 heure de Moscou (16h50 UTC), le SG de l'Onu devrait s'entretenir avec des journalistes au siège des Nations unies à New York. Le rapport en question, qui porte sur l'utilisation présumée d'armes chimiques dans la banlieue damascène de Ghouta, sera publié sur le site du Bureau des affaires du désarmement de l'Onu.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 11:30
Le Secrétaire d'État américain John Kerry et son homologue russe, Sergeï Lavrov, accompagnés de leurs principaux collaborateurs, à Genève, le 14 septembre (Department of State)

Le Secrétaire d'État américain John Kerry et son homologue russe, Sergeï Lavrov, accompagnés de leurs principaux collaborateurs, à Genève, le 14 septembre (Department of State)

Sep 15, 2013 ASDNews (AFP)

 

The threat of US military action against Syria remains "real", Washington's top diplomat said on Sunday a day after striking a deal with Russia to destroy Damascus's chemical weapons stockpile.

 

"The threat of force remains, the threat is real," US Secretary of State John Kerry said at a news conference in Jerusalem with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu.

 

"We cannot have hollow words in the conduct of international affairs."

 

Kerry's remarks were made following a four-hour meeting with Netanyahu at which the two men discussed the US-Russian agreement on eradicating Syria's stockpile of chemical weapons, and also talked about the ongoing Middle East peace talks.

 

"Make no mistake, we have taken no options off the table," Kerry warned after news of the deal appeared to stave off the threat of a US-led military strike on the Syrian regime after a chemical attack last month on a Damascus suburb.

 

"The fact of weapons of mass destruction having being used against the people of their own state -- these are crimes against humanity and they cannot be tolerated," he said.

 

Under terms of the breakthrough deal struck in Geneva on Saturday following three days of talks between Kerry and his Russian counterpart Sergei Lavrov, the regime of President Bashar al-Assad has a week to hand over details of the quantity and location of all the chemical agents in its possession.

 

The stockpile would then be turned over to international supervision and destroyed by mid-2014 in a deal which has won backing from China, a veto-wielding permanent member of the UN Security Council.

 

The accord was hailed as heading off a possible US-led strike and unspecified sanctions.

 

Kerry described the Geneva understandings as a "framework, not a final agreement", but one which had "the full ability to be able to strip all the chemical weapons from Syria".

 

He described the agreement as "the most far-reaching chemical weapons removal effort" ever designed and one which stretched well beyond the scope of the Chemical Weapons Convention of 1993.

 

But he acknowledged its full implementation was crucial.

 

"This will only be as effective as its implementation will be."

 

"Just removing the chemical weapons doesn't do the job, we understand that... but it is one step forward, and it eliminates that weapon from the arsenal of a man who has proven willing to do anything to his people to hold on to power."

 

Standing next to him, Netanyahu said stripping Syria of its chemical stockpile would make the entire region "a lot safer" although he was quick to draw parallels with the threat posed by a nuclear Iran.

 

"The world needs to ensure that radical regimes don't have weapons of mass destruction because, as we've learned once again in Syria, if rogue regimes have weapons of mass destruction they will use them," he said.

 

"If diplomacy has any chance to work it must be coupled with a credible military threat," he said, referring directly to Iran and its nuclear programme, which Israel and much of the West believes is a front for developing a weapons capability.

 

"Iran must understand the consequences of its continual defiance of the international community by its pursuit of nuclear weapons.

 

"What is true of... Syria is true of Iran."

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 07:30
Le chef de l'armée syrienne libre (ASL), le Général Salim Idris

Le chef de l'armée syrienne libre (ASL), le Général Salim Idris

15 septembre, 2013 - 07:38 GMT BBC Afrique

 

Le chef de l'Armée syrienne libre (ASL), le Général Salim Idris, a rejeté l'accord américano-russe sur l'arsenal chimique syrien.

 

L'accord conclu hier entre le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le chef de la diplomatie russe, Sergei Lavrov, samedi à Genève prévoit un plan détaillé de destruction des stocks d'armes chimiques du régime syrien d'ici mi-2014.

 

"Nous ne reconnaissons pas l'initiative russe et nous pensons que les russes et le régime syriens jouent ainsi pour perdre le temps et en même temps gagner du temps pour le régime criminel de Damas", a déclaré à la BBC, le Général Salim Idriss.

 

Le chef militaire de l'opposition syrienne a dit compter demander des clarifications aux américains, tout en avertissant que la rébellion n'est pas prête à observer un cessez-le feu dans les combats sur le terrain.

 

"Nous allons discuter avec nos amis américains pour savoir ce que tout cela veut dire, et comme je l'ai dit, nous allons faciliter la mission des enquêteurs dans le pays, mais de façon très claire et franche, il n'y aura pas de cessez le feu avec le régime", a ajouté le Général Idriss.

 

Selon l'accord Genève, Damas a sept jours pour fournir un document détaillant les sites de production et de stockage d'armes chimiques.

 

Les inspecteurs devront pouvoir avoir accès immédiatement et sans rencontrer d'obstacles à tous les sites.

 

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le ministre russe des Affaires étrangères ont affirmé qu'ils espéraient que l'élimination complète d'armes chimiques sera achevée d'ici neuf mois.

 

L'arsenal chimique syrien est estimé à un millier de tonnes d'agents chimiques.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 07:30
L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

15/09/2013 à 11:10 Par Le Figaro.fr avec le Service Infographie du Figaro

 

Les Etats-Unis et la Russie ont conclu hier à Genève un accord sur le démantèlement de l'arsenal chimique syrien, avec la possibilité de mesures contraignantes, un pas salué par les capitales européennes mais rejeté par les rebelles de l'Armée syrienne libre.

 

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 07:30
L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

16 septembre 2013 à 05:08 Par RFI

 

Le rapport des inspecteurs de l’ONU sur l’attaque chimique du 21 août près de Damas sera présenté à 15h15 (TU), ce lundi 16 septembre, devant le Conseil de sécurité. Ce rapport n’a pas pour objet de désigner un coupable mais la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni en sont convaincus : les données scientifiques prouveront la responsabilité du régime syrien.

 

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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 22:30
Syrie: Washington et Moscou privilégient leurs intérêts communs

Le Secrétaire d'État américain John Kerry et son homologue russe, Sergeï Lavrov, accompagnés de leurs principaux collaborateurs, lors d'une réunion au bord de la piscine de l'hôtel à Genève, le 14 septembre, pour mettre la dernière touche à l'accord américano-russe sur le démantèlement de l'arsenal chimique syrien (Department of State)

 

15/09/2013 45eNord.ca (AFP)

 

accord américano-russe, armes chimiques, John Kerry, Sergueï Lavrov, Syrie

 

L’accord américano-russe sur les armes chimiques en Syrie montre que les deux pays ont privilégié leurs intérêts diplomatiques communs, mais la méfiance va perdurer entre ces anciens ennemis de la Guerre froide aux relations glaciales depuis un an.

 

Les États-Unis et la Russie sont tombés d’accord sur un démantèlement de l’arsenal chimique syrien d’ici mi-2014, avec de possibles mesures contraignantes.

 

En annonçant samedi cette percée au terme d’intenses tractations, le secrétaire d’Etat John Kerry et son homologue Sergueï Lavrov ont vanté leur «détermination» à détruire ces armes chimiques «le plus rapidement possible» et leur «adhésion à un règlement pacifique» en Syrie.

 

Les deux pays ont pourtant des positions antagoniques sur cette guerre: Moscou est l’allié de Damas, Washington soutient la rébellion.

 

Mais MM. Kerry et Lavrov, qui se plaisent à afficher une certaine complicité, ont insisté sur leurs points de convergence. «Nous avons eu des désaccords ici et là. Mais nous avons aussi coopéré et Sergueï et moi n’avons jamais cessé de nous parler», a assuré le ministre américain.

 

Américains et Russes discutaient en fait depuis un an d’une mise sous tutelle internationale de l’arsenal syrien.

 

M. Lavrov a d’ailleurs salué des négociations «excellentes» avec M. Kerry et s’est félicité que «l’objectif fixé en septembre (au sommet du G20) par les chefs d’Etat russe (Vladimir Poutine) et américain (Barack Obama) pour mettre sous contrôle les armes chimiques syriennes ait été atteint».

 

À en croire un diplomate américain, «les Russes ont été incroyablement sérieux et professionnels» dans les pourparlers.

 

Aux yeux de l’analyste Anthony Cordesman, du Center for Strategic and International Studies, «les États-Unis se devaient d’inclure la Russie [...] pour qu’elle joue un rôle (pour une solution) en Syrie». Washington devait ainsi «signifier clairement [à Moscou] que la Guerre froide est terminée», écrit l’expert.

 

Début août, le président Obama avait cependant dénoncé la réminiscence en Russie de «vieux stéréotypes de la confrontation de la Guerre froide» depuis le retour en mai 2012 au Kremlin du président Poutine. M. Obama avait du coup annulé son sommet prévu en septembre avec son homologue russe.

 

De fait, les relations sont tombées à un niveau rarement vu depuis des décennies.

 

La Maison Blanche avait pesté le mois dernier contre «le manque de progrès récents» avec Moscou sur la défense antimissile, la non prolifération nucléaire, le commerce et les droits de l’homme.

 

Les Américains ont surtout très mal digéré l’affaire Edward Snowden, l’informaticien américain qui a révélé l’ampleur de la surveillance des communications par son pays et à qui les Russes ont accordé l’asile.

 

Pour Alexandre Choumiline du centre d’analyse des conflits au Proche-Orient à Moscou, l’accord de Genève «n’améliorera pas des relations russo-américaines marquées par la méfiance». Il pense d’ailleurs que « Poutine [...] l’a emporté sur Obama».

 

Le chef de l’État russe avait fait un coup d’éclat cette semaine en publiant une tribune dans le New York Times pour menacer Washington en cas d’action militaire unilatérale contre Damas.

 

M. Lavrov a encore prévenu que la Russie «vérifierait» scrupuleusement toutes les accusations de violations de l’accord de Genève par les Syriens, avant de soutenir éventuellement dans le cadre de l’ONU un recours à la force. Il a aussi fustigé «tant de mensonges et de falsifications sur le dossier» syrien.

 

Même méfiance côté américain quand le président Obama a averti qu’il «ne prendrait pas les déclarations de la Russie et d’Assad pour argent comptant».

 

Fiers de leur accord, MM. Kerry et Lavrov ont été interrogés par la presse sur un hypothétique nouveau « Reset », une relance des relations bilatérales, en allusion à l’offre qu’avait faite en 2009 le président Obama à son homologue de l’époque Dmitri Medvedev.

 

Les deux ministres n’ont pas vraiment répondu, mais se sont montrés optimistes.

 

«Les États-Unis et la Russie n’ont pas toujours été main dans la main et ne le sont toujours pas pour tout», a reconnu le secrétaire d’État. Mais «il faut regarder le verre à moitié plein, plutôt qu’à moitié vide», a-t-il plaidé, égrenant «les coopérations sur l’Iran, la Corée du Nord, l’OMC, le traité START ou le désarmement nucléaire».

 

M. Lavrov a loué une «initiative russo-américaine» sur la Syrie qui a «mobilisé toute la communauté internationale».

 

Circonspect, un diplomate à Washington y voit « un pas positif, mais pas un tournant » dans les relations complexes entre les Etats-Unis et la Russie.

 

*Ce texte était une analyse de Nicolas Revise, diplômé en Science politique et en Droit public et correspondant au département d’État qui suit la diplomatie américaine et son secrétaire d’État partout dans le monde.

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 16:35
Laurent Fabius en Chine dimanche pour évoquer la Syrie

12/09 LesEchos.fr (Reuters)

 

Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius se rendra dimanche en Chine pour évoquer la situation en Syrie avec son homologue Wang Yi, a-t-on appris jeudi auprès du quai d'Orsay.

 

Laurent Fabius se rendra ensuite lundi à Oulan Bator dans le cadre d'une visite destinée à développer les relations économiques avec la Mongolie avant de se rendre en Russie mardi où il rencontrera son homologue Sergueï Lavrov, a précisé le porte-parole du ministère Philippe Lalliot.

 

Les déplacements en Chine et en Russie seront centrés sur la situation en Syrie, a-t-il ajouté.

 

Depuis le début du conflit, il y a plus de deux ans, la Chine et la Russie s'opposent à toute mesure destinée à accroître la pression sur le régime de Bachar al Assad, en utilisant notamment leur droit de veto au Conseil de sécurité de l'Onu.

 

La Russie a présenté lundi un plan visant à éviter des frappes militaires occidentales contre le régime syrien.

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 07:30
Damas a 10 jours pour rejoindre la Convention sur les armes chimiques (Kerry)

MOSCOU, 12 septembre - RIA Novosti

 

Damas a dix jours pour remettre tous les documents requis pour adhérer à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques, a déclaré jeudi le secrétaire d'Etat américain John Kerry lors d'une rencontre avec le ministre russe des AE Sergueï Lavrov à Genève.

 

"Ils ont dix jours pour faire leur proposition (…)  sur la remise de leurs armes chimiques sous contrôle de la communauté internationale", a indiqué M.Kerry.

 

Il a également exprimé des doutes quant à l'intention de Damas de renoncer à son arsenal d'armes chimiques.

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 07:30
Deterrent measures against Syria must not be excluded, says EU Parliament

12/9/2013 EU source: European Parliament Ref: EP13-033EN

 

Summary: 12 September 2013, Strasbourg - The use of chemical weapons in Syria is a war crime and a crime against humanity which demands a clear, strong, targeted and united response, not excluding eventual deterrent measures, Members of the European Parliament (MEPs) said in a resolution passed by a show of hands on Thursday. The EU should promote a region-wide de-escalation process and increase aid to Syrian refugees, they added.

 

MEPs strongly condemn the mass killing of civilians with chemical weapons on 21 August 2013 in the outskirts of Damascus and urge that measures be taken to prevent any further use of chemical weapons in Syria or elsewhere. They say the UN Security Council must get the report of the UN inspection team as soon as possible and they also voice support for the proposal to hand the Syrian chemical weapons to international community for its destruction as soon as possible.

 

UN must act

 

The international community's ultimatum must be accompanied by a binding United Nations Security Council resolution, which, if not respected, could be imposed on the basis of "all the instruments provided for in the United Nations Charter", MEPs underline.

 

Parliament says Russia and China must face their responsibility as permanent members of the Security Council to achieve a common position and a diplomatic solution to the Syrian crisis. In the event of a persistent blockage in the Security Council, the matter could be referred to the UN General Assembly, MEPs stress.

 

A lasting solution to the current crisis in Syria can be achieved only through an inclusive political process backed by the international community, MEPs say. They call for President Bashar Assad and his regime to step aside.

 

Step up support for refugees

 

The EU must live up to its humanitarian responsibility and step up its assistance to Syrian refugees, MEPs say, urging all sides of the conflict to facilitate the provision of humanitarian aid and assistance.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:30
Syrie / transfert d'armes chimiques: 75.000 soldats nécessaires (Pentagone)

WASHINGTON, 12 septembre - RIA Novosti

 

La mise en place de l'initiative russe visant à placer sous contrôle international les armes chimiques syriennes nécessiterait l'engagement de quelque 75.000 soldats pour confisquer et escorter ces arsenaux, écrit le New York Times se référant au Pentagone. 

 

Bien que cette évaluation soit approximative, elle donne une idée de l'"envergure de la tâche à accomplir", a annoncé au journal une source au sein de l'administration de la présidence américaine, ajoutant qu'il ne s'agissait que d'un "premier cauchemar" dans la mise en place de ce projet. 

 

Toutefois, cette évaluation semble douteuse, aucune donnée exacte sur la quantité d'entrepôts d'armes chimiques syriens n'étant disponible: les renseignements US parlent de 42 sites, alors que seule l'existence de 19 sites de stockage est confirmée pour l'instant.  

 

Les experts en armes chimiques considèrent qu'une opération similaire demande beaucoup de temps et des financements importants, ajoutant qu'elle est potentiellement liée à un risque militaire. Notamment, le nombre d'inspecteurs doit être supérieur à 100 personnes, nombre de spécialistes dont disposent les Nations unies. En outre, il n'est pas exclu que les experts se fassent attaquer, des combats secouant en permanence les alentours de la ville d'Al-Safira qui abriterait une usine de production d'armes non-conventionnelles, souligne la source. 

 

Moscou a appelé lundi Damas à placer ses arsenaux chimiques sous contrôle international pour ensuite les démanteler. Les autorités syriennes ont immédiatement soutenu cette proposition.  

 

Les analystes supposent qu'en cas de réussite de l'initiative de Moscou, il serait possible d'éviter une frappe américaine sur les sites syriens. 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:30
Russia’s ‘carrier-killer’ Moskva enters Mediterranean

September 12th, 2013 By TV-Novosti - defencetalk.com

 

Russia’s Moskva missile cruiser, dubbed a “carrier-killer” by NATO, has passed through the Straits of Gibraltar and is now heading toward the eastern Mediterranean to assume command of the Russian naval force there.

 

The Russian Navy said in a statement that the Moskva cruiser passed through the Straits of Gibraltar on September 10.

 

Interfax news agency added that the Moskva cruiser, “commanded by Sergey Tronev, Captain 1st Rank of the Guards… has enough room for maneuver now.”

 

“The Black Sea flagship entered the Russian Navy’s area of responsibility in the Mediterranean at 11:00 pm Moscow time yesterday,” the agency reported a military source as saying.

 

The missile-carrying cruiser is expected to join its final destination in eastern Mediterranean on September 15 or 16.

 

Upon arrival, the command of the Russian Navy unit in the Mediterranean, currently stationed onboard the Admiral Panteleyev anti-submarine ship, will be relocated to the Moskva.

 

“The armaments and technical equipment of the missile cruiser are in working condition. The crew is ready to perform combat missions,” the source said.

 

The missile cruiser, initially known to Western naval intelligence as “Slava” (Glory), was launched in 1979 and entered service in 1983. It was later renamed the “Moskva” in 1995. Designed to be carrier-killers, the cruisers of Class 1164 are equipped with 16 anti-ship launchers P-1000 Vulkan, or Volcano (SS-N-12 Sandbox anti-ship missiles, according to NATO classification).

 

Another two vessels, the landing ship Nikolay Filchenkov and the guard ship Smetlivy, will join the Russian naval unit later. They will be pass through the Bosporus and Dardanelles straits by September 12-14 and will then head to the eastern Mediterranean.

 

Russia’s Defense Ministry has said the maneuvers are part of the “stage-by-stage rotation of warships and support ships of the standing naval force in the Mediterranean.”

 

The recent deployments are aimed at “complex monitoring” of the situation around Syria, military sources told Interfax earlier.

 

Russia’s standing naval force in the Mediterranean now involves landing craft carriers “Aleksandr Shabalin,” “Admiral Nevelskoy,” “Peresvet,” “Novocherkassk” and “Minsk” of Russia’s Black and Baltic Sea Fleets, as well as escort vessel “Neustrashimy,” and the anti-submarine ship “Admiral Panteleyev.”

 

Russian naval maneuvers in the Mediterranean come amid growing tension in the region, which sparked speculation that Russia was boosting its naval presence ahead of a possible US strike against Syria.

 

Previously, Russia’s defense officials cautioned against making connections between the relocation of warships and the Syrian crisis, saying the maneuvers do not depend on the situation and “will continue after it.”

 

‘Moskva’ weaponry

 

    16x SS-N-12 Sandbox anti-ship missiles

    8×8 (64) S-300PMU Favorit (SA-N-6 Grumble) long-range surface-to-air missiles

    2×20 (40) OSA-MA (SA-N-4 Gecko) SR SAM

    1x twin AK-130 130mm/L70 dual-purpose guns

    6xAK-630 close-in weapons systems

    2x RBU-6000 anti-submarine mortars

    10x (2 quin) 533mm torpedo tubes

    Armor: Splinter plating

    Aircraft carried: 1 Ka-25 or Ka-27 helicopter

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:30
Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, Syrian Foreign Minister Walid Muallem, US Secretary of State John Kerry

Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, Syrian Foreign Minister Walid Muallem, US Secretary of State John Kerry

12/09/2013 Par Pierre Avril – LeFigaro.fr

 

Le secrétaire d'État américain John Kerry et son homologue russe, Sergueï Lavrov doivent se rencontrer ce jeudi, à Genève, pour discuter de la stratégie à adopter pour placer sous contrôle l'arsenal chimique syrien.

 

Tout comme Moscou et Washington avaient collaboré au début des années 90 au programme de démantèlement des armes de destruction massive sur le territoire de l'ex-URSS, les deux puissances vont s'atteler à partir de ce soir aux stocks d'armes chimiques de Damas. Dans son édition du jour, le quotidien Kommersant dresse les grandes lignes du plan russe qui a été transmis dès mardi à la partie américaine et sur lequel plancheront ce soir à Genève, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry et son homologue russe, Sergueï Lavrov. Ce document devrait s'inspirer du programme américain baptisé Nunn-Lugar, aujourd'hui en sommeil et qui avait permis il y a vingt ans une coopération bilatérale sur la destruction des armes soviétiques. Ancien président de la commission des Affaires étrangères du Sénat, Richard Lugar est justement l'un des émissaires qui s'était rendu à Moscou à l'été 2012 afin de discuter, déjà, avec des officiels russes, de la possibilité de mettre la main sur le programme d'armes chimiques syrien, dans le cas où le régime de Bachar el-Assad devait tomber.

 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:30
Conflit en Syrie - présence militaire en Méditerranée - RTBF-Imagique 06.09.2013

Conflit en Syrie - présence militaire en Méditerranée - RTBF-Imagique 06.09.2013

WASHINGTON, 12 sept 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Les navires de guerre américains en Méditerranée sont prêts à "frapper fort" contre le régime syrien si le président Barack Obama en donne l'ordre, a déclaré mercredi un haut responsable civil de l'US Navy.

 

Même si Washington écarte pour le moment toute action militaire contre Damas pour poursuivre la recherche d'une solution diplomatique de la dernière chance, le secrétaire à la Marine Ray Mabus a rappelé que les destroyers américains équipés de missiles de croisière sont toujours en positions à l'est de la Méditerranée.

 

"Je vous garantis que si nous sommes appelés à frapper, nous allons frapper fort et nous allons frapper vite", a déclaré M. Mabius dans un discours à la National Defense University, un jour après le discours télévisé du président Obama plaidant pour une action militaire "limité" si le régime du président Bachar al-Assad refuse de renoncer à son arsenal d'armes chimiques.

 

"Comme le président l'a dit hier soir, elle (l'attaque) sera ciblée et réduira les capacités du régime Assad", a-t-il ajouté.

 

Cette déclaration du secrétaire à la Marine confirme que les forces navales seront à l'avant-poste de toute attaque américaine contre la Syrie, qui devrait s'appuyer principalement sur les missiles Tomahawk lancés à partir de navires en mer.

 

Quatre destroyers américains armés de missiles de croisière ont été déployés en Méditerranée orientale en vu d'éventuelles frappes punitives après l'attaque aux armes chimiques présumée par le régime Assad du 21 août dans la banlieue de Damas.

 

D'autre part, le porte-avions Nimitz avec son escorte, un croiseur et trois destroyers armés de missiles, restent positionnés ans la mer Rouge.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:30
Syrie: l'Armée syrienne libre rejette le plan russe sur les armes chimiques

12/09/2013 Par LEXPRESS.fr

 

Le plan présenté par Moscou à Washington mercredi ne satisfait pas les rebelles de l'ASL, qui le rejettent catégoriquement. Le projet doit être discuté ce jeudi à Genève.

 

La perspective de la mise en place d'un plan de contrôle des armes chimique syriennes ne satisfait par les rebelles de l'Armée syrienne libre. L'ASL a rejeté avec force ce jeudi la proposition qui prévoit de placer les armes chimiques du régime syrien sous contrôle international.

 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:20
Etats-Unis: la NSA partage les résultats de son espionnage avec Israël

12/09/2013 Par LEXPRESS.fr

 

L'agence américaine d'espionnage et interception des communications transmet des données brutes de sa surveillance à son homologue israélienne, l'ISNU. Ce protocole d'accord est dévoilé par l'ex-consultant Edward Snowden.

 

Encore une révélation sur l'espionnage américain via Edward Snowden. L'ex-consultant de la NSA, réfugié en Russie, a dévoilé au Guardian que cette agence d'interception des communications partage des données brutes directement avec son homologue israélienne, l'ISNU

Si l'échange de renseignements entre services alliés est courante, il est bien plus rare qu'il s'agisse comme ici de données "brutes" qui ne sont pas auparavant analysées. 

Selon le protocole d'accord entre les deux services, révélé par le journal britannique, la NSA transmet directement à l'ISNU une partie des courriels et autres millions de conversations téléphoniques qu'elle intercepte. Le document de cinq pages transmis par Edward Snowden n'est pas daté mais remonterait à mars 2009.

 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 07:30
Turkey Launches Missile Warning System Competition

Sep. 11, 2013 - by BURAK EGE BEKDIL – Defense News

 

ANKARA — Turkey’s defense procurement office, the Undersecretariat for Defense Industries (SSM) has launched a competition to acquire hundreds of missile warning systems (MWS) for the Turkish Air Force’s fixed-wing platforms.

 

SSM at the end of August issued a request for proposals in order to “gather general information on potential suppliers of the MWS in the market; have an idea of availability of the required MWS; investigate and clarify the system and sub-system based technical details and requirements; define logistics support requirements for the system as a part of the request for proposal preparation effort.

 

Only MWS manufacturers can receive the document until Sept. 16, SSM said. The responses to the request should be delivered to SSM on or before Oct. 11.

 

Procurement officials said if Turkey decided to outfit only its F-16 fleet with the MWS, it would mean business for more than 200 aircraft.

 

“An initial batch would probably be purchased off-the-shelf from a foreign manufacturer, but the rest could be produced locally under license,” the official said.

 

Military electronics manufacturer Aselsan, Turkey’s biggest defense firm, has produced missile warning systems under German license for Turkish helicopters.

 

Industry sources said SSM will seek imaging infrared sensor technology for the new program.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 07:20
Senior US Senators: Congress May Never Vote on Syria Strikes

Sep. 11, 2013 - By JOHN T. BENNETT – Defense News

 

The US Senate is unlikely to vote on a resolution authorizing military force in Syria, even if a Russian plan to take control of Bashar al-Assad’s chemical weapons falls through, senior senators say.

 

The Senate Foreign Relations Committee moved at breakneck speed — while still on recess — to last week craft and approve a measure authorizing President Barack Obama to launch a limited military strike.

 

But with Obama during a primetime Tuesday address announcing he has asked congressional leaders in both chambers to delay a vote, some senators involved in the crafting of Syria force measures said Wednesday they doubt lawmakers will ever vote to approve military action.

 

“I think it’s going to be very, very quiet. Everyone has been holding their breath. Now there’s nothing for them to be doing,” Senate Armed Services Committee Ranking Member James Inhofe, R-Okla., told Defense News. “All these efforts … are kind of subsiding. Since the president has abandoned this [vote], I think it’s going to settle down and no one is going to be talking about it.”

 

Would either or both chambers likely vote on a Syria use-of-force measure should a Russian-offered plan to have Assad give up his weapons fall apart, and Obama decides to launch Tomahawk missile strikes?

 

“No, I don’t think so,” Inhofe said during a brief interview. “I think it goes away.”

 

SASC member Jeff Sessions, R-Ala., called the prospect for a vote “unlikely.”

 

“I think it’s very possible there will be no vote,” Sessions said. “I don’t think [Senate Majority Leader Harry] Reid is going to ask his people to vote if the president doesn’t want it.”

 

To that end, House Democrats left a classified Syria briefing earlier Wednesday and told reporters they believe a use-of-force measure would fail in their chamber.

 

The Senate’s leading proponent of big military mission in Syria, Sen. John McCain, R-Ariz., told Defense News it’s too soon to say whether the chamber will vote on a Syria measure.

 

Senate Foreign Relations Committee Ranking Member Bob Corker, R-Tenn., who helped craft the panel’s use-of-force measure.

 

“No,” he said Wednesday when asked by reporters if he expected a vote. “We’re moving on to energy efficiency,” he added sarcastically.

 

“I’d be very surprised if, over the next couple weeks, anything is voted on,” Corker said. “It may never.

 

“I think this is on hold for a while,” he said. “I don’t think anything’s going to happen.”

 

Until the Russia proposal situation plays out, Corker said it is hard for lawmakers to even talk about what resolutions and amendments should say.

 

“I think when you’ve got a situation like this, where there’s a diplomatic opportunity, I think that kind of stalls things off,” Corker said. “Let me just say, I wish … everyone involved in this God speed.”

 

McCain said the White House should give Moscow “days” to show its plan is credible.

 

“If it were to fall apart, I think the president has to explore his options, and see what the votes are,” McCain. “But I am very, very skeptical about the [Russia proposal] succeeding.”

 

McCain and a bipartisan group of senators have been working on an amendment to the Foreign Relations Committee-approved measure that would tie a congressional authorization to a deadline by which a UN-supported effort to take over Assad’s weapons would have to succeed.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 07:20
Senior US Senator Praises Russia for Syria Initiative

WASHINGTON, September 11 (RIA Novosti)

 

The head of the US Senate Intelligence Committee on Wednesday delivered an impassioned speech backing the use of American military force against Syria if diplomatic efforts fail, but also praising Russia for proposing a plan to have Syria place its chemical weapons under international control.

“I’d like to take a minute to give Russia credit for bringing forward this plan for a negotiated solution to the conflict. … Russia is sincere, wants to see a United Nations resolution and supports the Geneva process, which would accompany a negotiated settlement to Syria’s civil war,” Sen. Dianne Feinstein said on the Senate floor.

The Democratic senator from California met earlier this week with Russia’s ambassador to the United States, Sergey Kislyak, to discuss Moscow’s push to get the Syrian government to relinquish control of its chemical weapons stockpile.

Some US lawmakers backing military action against Syria for its alleged use of chemical weapons on Aug. 21 outside Damascus have questioned Russia’s sincerity, saying Moscow is using its plan as a stalling tactic to delay the use of force against the government of Syrian President Bashar Assad.

But Feinstein on Wednesday said Washington and Moscow should work together to eliminate Syria’s chemical arsenal. “Based on my conversation with Ambassador Kislyak, I believe that Russia’s goal is in fact to eliminate these weapons, and I would point out that that is also our goal,” Feinstein said.

“The ball really is in Russia’s court. Russia is the leader in this. I trust that it is sincere. I trust that Russia and the United States will come together and bring the other parties together and that it will be possible for the United Nations to act so the United States won’t have to,” she added.

But Feinstein also cautioned Moscow against delaying the process.

“Russia’s responsibility to get this done is enormous, and to move with all deliberate speed,” she said. “I think Russia and Syria must understand that the way to forestall a United States strike on Syria is for there to be a good-faith agreement and process underway to put all of Syria’s chemical weapons … under international control for eventual demolition.”

While saying that she hoped military force against Syria would not be necessary, Feinstein told her fellow senators that “the Assad regime has repeatedly used chemical weapons” and laid out some of the intelligence that she claimed shows that the Syrian government was behind the Aug. 21 attack that Washington says killed more than 1,400 people.

She also described in graphic detail the effects of the apparent chemical weapons attack on its victims, urging people to look at videos posted on the Senate Intelligence Committee website. “For me, the videos and watching them shows the abhorrence of chemical weapons. It shows why we must do something,” Feinstein said.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 23:01
Syrie : Hollande contraint de gérer la reculade d'Obama

11/09/2013 Par Alain Barluet – LeFigaro.fr

 

Le chef de l'État a réaffirmé qu'il restera «mobilisé» pour sanctionner l'usage de gaz chimiques. Son homologue américain a indiqué que sa priorité était la diplomatie.

Si la diplomatie est aussi l'art de s'adapter aux circonstances, la crise syrienne nous confirme que l'Élysée héberge un virtuose. Mardi matin, recevant quelques journalistes, François Hollande a attaqué bille en tête sur la Syrie, saisissant la perche tendue par la Russie, certes, mais avec la plus grande prudence et conservant clairement en main l'épée de Damoclès de frappes militaires. Mercredi, à écouter l'entourage présidentiel, le ton est descendu d'un bon cran. Entre-temps, il est vrai, le président de la République s'est entretenu avec Barack Obama. Ce dernier, dans un discours solennel, a réaffirmé mardi que sa priorité était la diplomatie et demandé au Congrès de retarder son vote.

Alors, les frappes? «Si on peut les éviter… Elles restent sur la table, mais leur probabilité est moins forte», ce qui signifie qu'elles ne sont plus d'actualité. En début de matinée, le chef de l'État a réuni un conseil de défense autour de Jean-Marc Ayrault, Laurent Fabius, Jean-Yves Le Drian, Manuel Valls et le patron des armées, l'amiral Édouard Guillaud. Devant cet aréopage, le président a fixé la ligne sur la proposition des Russes de mettre les armes chimiques de Damas sous contrôle: «Les prendre au mot et passer aux actes». Un conseiller décrypte: «Il faut explorer à fond l'accord des Syriens de renoncer à leurs armes chimique», en clair, tout mettre en œuvre pour aboutir à une résolution à l'ONU. C'est là que, pour une bonne part, la partie syrienne se jouera dans les jours à venir.

 

Projet français torpillé

 

Et sur ce terrain, la France a également dû en rabattre. Réagissant au quart de tour, la France a fait circuler, mardi à New York, un projet de résolution, sous chapitre VII. Un texte menaçant de sanctions le régime de Bachar s'il ne faisait pas sans délai la transparence sur son arsenal chimique. Quant aux auteurs des attaques aux gaz du 21 août près de Damas, ils devraient être traduits devant la justice internationale, ainsi que l'avait exigé Laurent Fabius.

Las, le projet français a immédiatement été torpillé par les Russes qui l'ont jugé «inacceptable». Des négociations se sont engagées, d'abord au sein du P3 (France, États-Unis, Grande-Bretagne), avec l'idée de les élargir aux autres membres du Conseil de sécurité. Le rapport des inspecteurs de l'ONU sur le bombardement chimique du mois d'août est attendu lundi. Mais personne ne se risque à fixer une échéance pour le vote. À New York aussi, le principe de réalité s'impose déjà. Le chapitre VII prévoyant la force? «Un objectif souhaitable», cisèle un diplomate. Chacun sait que toute notion de «sanctions» ou même de «pression» vis-à-vis de la Syrie donne de l'urticaire aux Russes. La justice internationale pour les assassins? «Pas si simple…» Que reste-t-il, dans ces conditions, de la fermeté française? À l'Élysée, on explique que le cœur de la résolution doit porter sur la possibilité pour l'ONU d'accéder aux stocks d'armes chimiques. Le délai de mise en œuvre se compterait «en petites semaines», indique-t-on. Mais quelle serait l'effectivité d'une résolution qui ne comporterait pas la menace de sanctions? Plus question de tester la mauvaise foi des Russes, quitte à provoquer de leur part un veto. La priorité serait plutôt de l'éviter.

Car une considération domine, ce dont on est bien conscient à Paris: «Obama va rechercher le compromis avec les Russes.» Bien sûr, renchérit-on aussitôt, «il faudra que ce soit un bon compromis». Sinon? «Sinon, c'est eux (les Américains et les Russes, NDLR) qui en porteront la responsabilité.» Pas de quoi, manifestement, faire ciller Obama. Et dire que, «jusqu'à la fin août, il disait, “the sooner the better” (le plus tôt sera le mieux), en parlant des frappes», lâche un diplomate avec une pointe de dépit.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:30
Rafael LiteSat

Rafael LiteSat

11.09.2013 Maxime Perez (TJ) - israelvalley.com

 

L’Etat hébreu dispose aujourd’hui de trois satellites de reconnaissance militaire : Ofek-5, Ofek-7 et Tack SAR, tous conçus par l’IAI (Israel Aerospace Industries) et d’envergure classique. Lancés respectivement en 2002 et 2007, Ofek 5 et Ofek 7 présentent la particularité d’être placés en orbite rétrograde, de sorte que leurs débris, en cas d’échec, ne puissent retomber en territoire hostile et révéler des secrets de fabrication. Véritable chef-d’œuvre technologique, Ofek 7 est doté de caméras d’une résolution inférieure à 50 centimètres. A cette panoplie s’ajoute le Tack SAR, placé sur orbite en 2008 depuis le centre spatial de Sriheikkota en Inde. Pesant tout juste 300 kilos, ce satellite est supposé surveiller l’évolution des installations nucléaires iraniennes.

 

Au cours de cette même période, Israël a enregistré le lancement de plusieurs satellites de télécommunication couvrant tout le Moyen-Orient et utilisables aussi bien à des fins civiles que militaires. En 1996, le premier d’entre eux, AMOS-1, est placé en orbite géosynchrone à 36 000 kilomètres d’altitude. AMOS-2 le rejoint en 2003, suivi par AMOS-3, le 28 avril 2008. L’industrie spatiale israélienne développe enfin EROS, une nouvelle série de satellite d’observation à très haute définition. Lancé en 2006, EROS-B est stationné à 480 kilomètres de la Terre. Son positionnement sur une orbite synchrone par rapport au soleil en fait un excellent instrument de veille stratégique.

 

Cette dynamique spatiale devrait activement se poursuivre au cours des prochaines années. Depuis janvier 2010, l’armée de l’air israélienne a choisi de concentrer ses efforts sur les microsatellites dont le lancement s’effectue à partir d’avions. A la fois légers et de petite dimension, ces engins ont la capacité de pouvoir recueillir des informations dans un laps de temps très court et sur des cibles extrêmement précises. Outre l’avantage opérationnel qu’ils présentent en étant déployés à une distance plus rapprochée de la terre (300 km), les microsatellites consolident un peu plus l’expertise israélienne en matière de technologie spatiale. L’entreprise Rafael, qui développe actuellement plusieurs gammes de satellites pesant moins de 120 kilos, a été désignée pour mener à bien ce projet militaire qui doit aboutir en 2015.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:30
Israël veut une Suprématie Technologique dans l’Espace.

11.09.2013 Maxime Perez (TJ) - israelvalley.com

 

Début septembre les industries aérospatiales israéliennes (IAI), fleuron de l’industrie militaire, plaçaient en orbite le satellite de télécommunications AMOS-4 depuis un lanceur russe situé au Kazakhstan. Contrairement aux tirs d’essai en Méditerranée, la manœuvre s’est cette fois déroulée dans un relatif anonymat.

 

Le succès est pourtant retentissant pour Israël : AMOS-4 serait le « plus grand et le plus sophistiqué » des satellites de communications du pays. Fabriqué pour un coût de 365 millions de dollars, il assurera d’ici deux mois les télécommunications DHT, VSAT et Internet sur les territoires de la Russie, du Moyen-Orient et de l’Asie centrale et du Sud-Est.

 

Les responsables militaires israéliens sont restés muets sur ce lancement. Seul le ministre de la Science et de la Technologie, Yaacov Peri, a expliqué que les questions relatives à l’espace étaient « essentielles pour la sécurité d’Israël ».

 

Pour l’Etat hébreu, la suprématie technologique dans l’espace est appelée à devenir l’élément déterminant de la guerre du futur. Ses activités spatiales remontent aux années 1970 avec le développement d’infrastructures destinées à la recherche et l’exploration en haute sphère. En 1988, Israël entre officiellement dans le club des puissances spatiales. Ofek lui permet même de devenir le 9ème pays au monde à lancer un satellite avec son propre lanceur.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 16:55
le Titus (crédits Nexter)

le Titus (crédits Nexter)

11.09.2013 ParGuillaume Belan (FOB)

 

Surprise ! Savamment entretenu par une campagne de communication originale, le suspens agitait le petit monde de la défense depuis quelques semaines, avec une question en tête :  quel est ce nouveau véhicule dont Nexter s’attache précieusement à garder le secret. Le voile vient d’être levé ce matin au salon DSEI sur le stand du constructeur français. Et oui, pour cette édition 2013, la grande nouveauté de ce salon anglais est française !

 

Titus: une famille

 

Il s’appelle Titus et c’est un beau bébé de 20 tonnes, haut perché sur un châssis 6X6. Véhicule de transport de troupe blindé, le Titus affiche une haute mobilité grâce au châssis performant du tchèque Tatra (rayon de braquage de 6 ,5 mètres) et à un moteur développant 440 chevaux (vitesse max de 110 km/h, autonomie de 700 km). Spacieux avec un volume interne unique de plus de 14 m3, moteur à l’avant, le Titus peut accueillir dix fantassins en plus de son équipage de 3 soldats.

le Titus (crédits Nexter)

le Titus (crédits Nexter)

Très protégé, jusqu’au niveau 4 normes selon les standards OTAN (résistant à un IED de 150 kg d’explosif) , il peut recevoir un armement téléopéré, comme l’ARX20 (20 mm) du constructeur. Pourvu d’un système moderne de vétronique, le Titus se veut également modulaire et adaptable à la mission. Il se décline ainsi en plusieurs versions formant une famille de véhicules : transport ; PC (4 radios et 3 postes opérateurs) ; acquisition d’objectif (mat d’observation et kit de transmission de données) ; support médical ; version zone urbaine (grillage ; échelle…) ; version mortier embarquée ; soutien ou dépannage.

 

Objectif  export

 

Présentation du Titus par Philippe Burtin à DSEI (crédits: G Belan)

Présentation du Titus par Philippe Burtin à DSEI (crédits: G Belan)

Depuis quelques jours certaines rumeurs annonçaient que Nexter allait dévoiler sa solution pour le programme VBMR (Véhicule Blindé Multirôles) qui doit venir remplacer le vénérable VAB, mais en réalité le Titus ne correspond pas aux spécifications françaises. Trop haut, roues trop grosses, non félinisé. Décidément non, le Titus est exclusivement tourné vers l’export. Son origine est d’ailleurs là « nous nous sommes rendu compte du besoin pour un tel véhicule à travers nos clients, notamment ceux qui ont choisi l’Aravis » confiait Philippe Burtin, PDG de Nexter à FOB ce matin. Les marchés visés par le Titus se situent donc au Moyen-Orient (Arabie Saoudite, pays du Golfe) et en Asie du sud. Le Titus vient donc utilement compléter la gamme de Nexter entre le VBCI et l’Aravis. Il confirme les ambitions du groupe terrestre français pour l’export. Tout en explorant le besoin français. Pour l’instant un seul prototype a été développé, mais un second devrait voir le jour l’année prochaine.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:30
Syrie : les USA armeraient les rebelles

11/09/2013 - JDD

 

Les Etats-Unis ont commencé à livrer des armes aux rebelles syriens, a annoncé mardi un représentant de l'insurrection lors d'une conférence de presse à Washington. La Maison blanche a laissé entendre en juin que Barack Obama avait décidé de fournir une aide militaire aux adversaires de Bachar al Assad, mais l'assistance américaine se limitait jusqu'ici à du matériel "non-létal", selon les insurgés et des élus du Capitole.

 

"Les Etats-Unis fournissent une aide non-létale (...) et aussi une certaine assistance létale au CMS", a déclaré Khaled Saleh, évoquant le Conseil militaire suprême qui supervise les opérations de l'Armée syrienne libre (ASL). Les Américains ont décidé de franchir le pas "parce qu'ils sont convaincus que les mécanismes mis en place par le CMS ont été bien testés et qu'ils sont sûrs que les armes ne tomberont pas entre de mauvaises mains", a-t-il poursuivi.

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