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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:30
Syrie : pas de conclusion sur les attaques chimiques (ONU)

11/09/2013 - JDD

 

Un nouveau rapport d'enquête de l'Onu estime mercredi que des armes chimiques ont probablement été utilisées en Syrie mais qu'il est pour l'instant impossible de conclure qui en a fait usage, malgré les soupçons pesant sur les troupes gouvernementales.

 

L'enquête, qui porte sur la période du 15 mai au 15 juillet, indique que des crimes de guerre ont été commis à la fois par les forces soutenant le régime de Bachar al Assad et par les groupes rebelles. L'armée gouvernementale syrienne a massacré des civils, bombardé des hôpitaux et commis d'autres crimes de guerre pour récupérer le terrain cédé aux insurgés ces derniers mois, estime le rapport.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:30
Initiative russe/Syrie: l'Otan attend des éclaircissements

BRUXELLES, 11 septembre - RIA Novosti

 

L'initiative russe visant à placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international nécessite des éclaircissements, a déclaré mercredi à RIA Novosti un fonctionnaire du siège de l'Otan à Bruxelles, désireux de garder l'anonymat.

 

"Les efforts visant à contrôler et à détruire définitivement les armes chimiques en Syrie sont positifs et nous soutenons l'Onu dans ce domaine, toutefois le détail de ces propositions (russes) n'est pas clair pour le moment", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

 

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a appelé lundi la Syrie à placer ses arsenaux chimiques sous contrôle international, ultimatum avancé auparavant par le secrétaire d'Etat américain John Kerry. Damas a accepté cette proposition qui, selon Moscou, permettrait d'éviter une frappe militaire américaine.

 

Lundi soir, le président Obama a déclaré que Washington était prêt à reporter son opération militaire contre le régime de Damas en cas de succès de l'initiative en question.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:30
Moscou suggère un contrôle des armes chimiques syriennes

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

Moscou propose de placer sous contrôle les réserves d'armes chimiques syriennes, si le pouvoir en place dans le pays l'acceptait. Cette suggestion a été soutenue par de nombreux pays dont les Etats-Unis, écrit mercredi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

 

"Les autorités américaines veulent étudier attentivement l'initiative de la Russie visant à régler le problème de l'arme chimique syrienne", a déclaré lundi dernier la porte-parole du département d'Etat Marie Harf. Quant au président Barack Obama, il a fixé à Bachar al-Assad un ultimatum d'une semaine pour prendre une décision bien que le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem ait déjà annoncé que les autorités du pays étaient "d'accord avec l'initiative russe" et qu’elles réagissaient ainsi, a-t-il ajouté, "pour couper l'herbe sous les pieds de l'agression américaine".

 

Même si cette initiative était acceptée par tous les intéressés, le problème ne se règlerait pas de lui-même pour autant, affirment les experts. Car contrairement à une cinquantaine d'autres pays la Syrie n'a pas signé la Convention qui interdit de mettre au point, fabriquer, stocker ou utiliser des armes chimiques et contraint les pays qui en détiennent à les détruire. Par conséquent, elle n'a pas rapporté à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) de la Haye le nombre d'armes chimiques qu’elle possède, leur composition, les bases de déploiement et les moyens de sécurité déployés sur le territoire du pays. Selon les renseignements américains, russes et d'autres pays, Damas posséderait près de 1 000 tonnes de produits toxiques militaires. On suppose qu'il s'agit du gaz vésicant ypérite (gaz moutarde) et du gaz neurotoxique soman. Ces informations n'ont jamais été officiellement confirmées.

 

Mais la question n'est pas là. Si la Syrie acceptait de soumettre ses armes chimiques au contrôle international, par qui et comment serait-il supervisé ? Par la Russie, les USA, les pays de l'Otan, les pays arabes, la Chine ? Dans l'exemple du Kosovo, certaines régions avaient été placées sous le contrôle des forces armées d'autres pays. Mais la communauté internationale, divisée sur son approche de la guerre civile et religieuse en Syrie, est-elle prête à un tel accord ?

 

Admettons que tout le monde tombe d'accord et que les armes chimiques syriennes soient sous contrôle. Que faire ensuite ? Il serait nécessaire de construire une usine pour les détruire car il est pratiquement impossible de les enterrer au fond de l'océan ou de les brûler, ou encore les déplacer ailleurs pour les recycler.

 

Selon Alexandre Gorbovski, expert de la Croix verte russe et membre du Conseil international pour la sécurité chimique, la première chose qui devrait être faite par la Syrie si elle voulait placer ses armes chimiques sous le contrôle des forces internationales, c'est de signer la Convention sur l'interdiction des armes chimiques et transmettre, conformément à la procédure, tous les produits toxiques à l'OIAC. Cette organisation serait alors responsable de la protection et du recyclage des poisons – ce fut le cas en Libye lorsque Mouammar Kadhafi avait placé ses armes chimiques (près de 1 000 tonnes) sous la responsabilité de l'OIAC.

 

L'OIAC a transporté ces armes dans un désert et les a progressivement détruites avec un dispositif mobile. Mais il n'y avait pas de guerre civile en Libye à cette époque. L'expert n'a pas expliqué comment il serait possible de le faire dans les conditions du conflit sanglant en Syrie.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:30
S-300VM Anteï-2500 - photo Vitaly V. Kuzmin

S-300VM Anteï-2500 - photo Vitaly V. Kuzmin

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

Les autorités russes ont décidé d'aller dans le sens de l'Iran sur deux questions fondamentales: les livraisons de systèmes antiaériens S-300 modifiés et la construction d'un second réacteur à la centrale nucléaire de Bouchehr, écrit mercredi le quotidien Kommersant.

 

Selon une source proche du Kremlin, le président Vladimir Poutine a déjà ordonné l'élaboration de deux accords à cet effet, dont il discutera les détails vendredi prochain lors de son premier entretien avec le nouveau président iranien Hassan Rohani.

 

Selon la source du journal, la Russie fournira à l'Iran cinq divisions de systèmes sol-air S-300VM Anteï-2500 (version modifiée du S-300V prévue pour l’exportation). Condition de la transaction? Le retrait de la plainte déposée par Téhéran contre Rosoboronexport, l'exportateur russe d'armes, réclamant 4 milliards de dollars pour la rupture du contrat précédent.

 

Le contrat d’environ 800 millions de dollars pour la fourniture à l'Iran de cinq divisions de S-300 (version PMU-1) a été signé en 2007. Trois ans plus tard le Conseil de sécurité des Nations unies avait adopté des sanctions contre l'Iran, comprenant l'interdiction de lui vendre des armes modernes. En septembre 2010, le président Dmitri Medvedev avait alors signé un décret pour mettre en application cette résolution et même adopter des sanctions plus sévères qu'il n'était prévu par la décision du Conseil de sécurité. En particulier, le contrat pour la livraison des S-300 avait été annulé. L'Iran avait alors saisi la cour d'arbitrage de Genève pour attaquer Rosoboronexport, suite à quoi la Russie avait proposé un accord à l'amiable en promettant des systèmes sol-air Tor-M1E. Cet échange avait été rejeté par l'Iran.

 

Cette fois Téhéran devrait accepter les livraisons d'Anteï-2500. "Ce système est même meilleur pour l'Iran que le S-300PMU-1: il est plus efficace pour contrer les missiles, explique Vladimir Evseev, directeur du Centre d'études sociopolitiques. Et si l'Iran était attaqué, ce serait d’abord par des missiles. De ce fait, Anteï-2500 convient parfaitement pour les fins défensives de l'Iran." Selon l'expert, les Anteï-2500 ne sont pas formellement concernés par le décret de Medvedev.

 

La seconde directive de Poutine concerne la coopération dans le secteur nucléaire: selon la source, Moscou serait prêt à signer avec Téhéran un accord pour la construction d'un second réacteur à Bouchehr. "Ce projet n'est pas très rentable du point de vue économique pour la Russie – il est plutôt politique", déclare la source de Kommersant.

 

Vladimir Poutine a l'intention d'évoquer ces deux thèmes avec le nouveau président Hassan Rohani le 13 septembre, lors de leur première rencontre en marge du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) à Bichkek. "Ils discuteront de la coopération nucléaire, y compris à la centrale de Bouchehr – ce thème ne peut pas être évité", a déclaré le porte-parole du président russe Dmitri Peskov, ajoutant que les questions de coopération militaro-technique étaient également à l'ordre du jour.

 

Selon les experts, le point de vue commun des deux pays sur la situation en Syrie est un argument de poids pour le rapprochement de Moscou et Téhéran. "Nous nous sommes retrouvés dans la même barque. Nous voyons différemment l'avenir de la Syrie du point de vue stratégique mais sur le plan tactique les deux pays s'opposent à l'intervention des USA", déclare Vladimir Evseev. Selon les experts les différends entre la Russie et l'Occident, notamment les USA, s'accentuent, ce qui contribue également au rapprochement entre les deux pays. "Lors du dernier G20 Poutine s’est comporté comme un hôte qui ne cherchait pas la confrontation. Mais le sommet est terminé et cette fois il peut s'exprimer et riposter à l'annulation du sommet de Moscou par les Américains et à la sévère critique de la Russie vis-à-vis de sa position sur la Syrie, explique le président du centre PIR Vladimir Orlov. L'entretien avec le nouveau président iranien est très opportun." Toutefois, l'expert précise que l'intensité du rapprochement avec l'Iran dépendra principalement de l'évolution des relations entre la Russie et les Etats-Unis.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:20
Détruire un stock d'armes chimique: une opération délicate

11.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

A lire sur le site d'Ouest-France un sujet sur les conditions de destruction des stocks d'armes chimiques et les difficultés à surmonter pour effectuer ce type d'opérations. Cliquer ici pour y accéder.

 

Selon Jean-Pascal Zanders, un expert belge spécialiste de la non-prolifération des armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (il a été chef de projet dans le cadre du Chemical and Biological Warfare Project au Stockholm International Peace Research Institute d’octobre 1996 à août 2003 et directeur du BioWeapons Prevention Project basé à Genève d’avril 2003 à mai 2006), le problème majeur réside dans le fait qu'il faudra effectuer ces opérations sur le territoire national syrien (c'est que prévoit la convention internationale de 1993), donc dans un pays en guerre (ce qui constituera une première!).

 

La solution sera de déployer des équipements légers, comme le FDHS américain (photo ci-dessus).

Field Deployable Hydrolysis System at the Aberdeen Proving Ground. (Army)

Field Deployable Hydrolysis System at the Aberdeen Proving Ground. (Army)

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 11:30
Conseil de Défense restreint - photo Elysée

Conseil de Défense restreint - photo Elysée

11/09/2013 Par François-Xavier Bourmaud – LeFigaro.fr

 

Le président de la République a convoqué mercredi matin un conseil de défense à l'Élysée pour analyser la situation nouvelle après la proposition russe de placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international.

 

François Hollande n'exclut toujours pas de sanctionner Bachar el-Assad. A l'issue du conseil de défense convoqué mercredi matin à l'Élysée, le président de la République a fait savoir, par communiqué, que Paris «restera mobilisé» pour «sanctionner l'usage d'armes chimiques par le régime syrien et le dissuader de recommencer». Mais après la proposition russe de placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international, les diplomates semblent tout de même prendre le pas sur les hommes d'action. Désormais, Paris assure ainsi vouloir «explorer toutes les voies au Conseil de sécurité» de l'ONU pour un «contrôle effectif et vérifiable» des armes chimiques.

 

Depuis le début de la crise syrienne, c'est le troisième conseil de défense que tient François Hollande. Le président de la République l'a organisé mercredi matin au lendemain du report d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU sur la Syrie, après le rejet par la Russie d'un projet de résolution présenté par la France. Jugé «inacceptable» par Moscou, cette résolution visait à contraindre le régime de Bachar el-Assad à neutraliser son arsenal chimique et prévoyait en dernier recours un usage de la force contre Damas.

 

Suite de l'article

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 11:30
Conflit en Syrie - présence militaire en Méditerranée - RTBF-Imagique 06.09.2013

Conflit en Syrie - présence militaire en Méditerranée - RTBF-Imagique 06.09.2013

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

L'ambassadeur américain en Russie Michael McFaul a démenti les informations parues dans les médias occidentaux sur un échange entre Moscou et Damas de renseignements concernant les déplacements de navires US en Méditerranée, a annoncé mercredi la chaîne télévisée CNN.

"Je ne suis pas du tout au courant de l'échange de renseignements sur les manœuvres militaires américaines", a déclaré l'ambassadeur dans une interview accordée à la CNN.

Toutefois, le diplomate estime que la coopération militaire entre la Russie et la Syrie se poursuit dans son ensemble. Il tire ses conclusions en se basant sur l'intervention du président russe Vladimir Poutine faite à l'issue du sommet du G20 de Saint-Pétersbour

A la question de savoir si la Russie allait soutenir la Syrie en cas de frappe militaire, le chef de l'Etat russe avait répondu par l'affirmative.

"Soutiendrons-nous la Syrie? Sans aucun doute. Tout comme nous le faisons actuellement. Nous livrons des armes, nous sommes en coopération dans le domaine économique. Et j'espère qu'il y aura davantage de coopération humanitaire, dont l'aide humanitaire destinée aux civils qui se trouvent actuellement dans une situation très difficile", a déclaré le président russe.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 11:30
Armes chimiques: Paris veut lancer un ultimatum à Damas (médias)

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

Le projet de résolution que la France soumettra au Conseil de sécurité de l'Onu donne 15 jours à Damas pour fournir des données exhaustives sur ses arsenaux chimiques et ouvrir tous les sites concernés aux inspecteurs de l'Onu, rapportent mercredi les médias occidentaux se référant au document.  

Selon la source, si les autorités syriennes ne se plient pas à ces exigences, le Conseil de sécurité adoptera les "mesures nécessaires sous le chapitre VII de la Charte des Nations unies", qui prévoit la possibilité d'un recours à la force en cas de menaces contre la paix.  

Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius avait antérieurement déclaré que Paris déposerait un projet de résolution contraignante sous chapitre VII de la Charte de l'Onu exigeant que Damas fasse toute la lumière sur son programme d'armes chimiques et qu'il le place sous contrôle international.  

Le projet de résolution français condamne l'attaque chimique du 21 août et appelle à condamner ses auteurs devant la Cour pénale internationale. Selon M.Fabius, la résolution prévoit des sanctions extrêmement sérieuses en cas de violation par la Syrie de ses obligations. 

Moscou a qualifié cette proposition de la France d'inacceptable.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 07:30
Procurement : Fear Of Failure In Syria

September 9, 2013: Strategy Page

 

Russia has several arms deals with Syria that it says it will complete delivery on despite the international arms embargo on Syria. Russia is not much concerned with offending the international community by breaking the embargo. Russia has done that before, although it tries to be discreet about it and denies everything, or comes up with some imaginative excuses for its actions. But there are other reasons to hold back on delivery. One is that these weapons will probably get their first combat test and quite possibly fail. This will hurt future sales of these new weapons.

 

Poor performance in combat has long been a problem with Russian weapons. During the Arab-Israeli wars, and the 1991 liberation of Kuwait, Russian weapons performed poorly. The Russians blamed it on operator error, pointing out that some Israeli generals had confirmed this by saying they could have let the Arabs use Western systems while the Israelis used Russian weapons and Israel would still have won. Despite this, Russia often had to give away many of its weapons or provide such generous credit terms that it was, in effect, giving the stuff away. After the Soviet Union collapsed in 1991, at about the same time a U.S. led force walked over the Russian equipped Iraqi Army and won decisively in less than a hundred hours, the demand for Russian weapons sharply declined. Many Russian defense manufacturers disappeared in the 1990s, and those that survived were the most capable and able, with some help from the bankrupt Russian government to survive by selling their best stuff (which was often pretty good) to whoever was able to pay cash. China and India loaded up on a lot of decent Russian military tech which, before, was not exported. Only “monkey models” (with the best electronics and other features removed) were exported. After 1991 you could have whatever you wanted if you could pay. Even the U.S. bought some of this stuff, in order to see just how well American weapons would do against the best the Soviets had.

 

In the last decade that “anything goes” policy has changed, and now Russia is demanding more, and getting it, for their best stuff. But this works, in part, because the Russians have been able to boast of snazzy new features without being contradicted by a disappointing reality. So the Russians are holding back on delivering S-300 anti-aircraft systems to Syria because they fear that if these weapons (similar but, according to Russian salesmen, superior to the American Patriot) would be defeated in combat by Israeli or NATO warplanes.

 

Other weapons are less of a problem, if only because they are less complex and less expensive. For example, over the last year Russia had delivered dozens of their high-speed P-800/Yakhont missiles. These have a range of about 300 kilometers and a 200 kg (440 pound) warhead. Israel responded with air attacks on Syrian trucks and warehouses containing some of these missiles. Israel also accelerated installation of its new Barak 8 anti-aircraft/anti-missile systems in their three 1,075 ton Saar 5 class corvettes (a prime target for the Yakhont). Israel has indicated that these attacks will continue, despite opposition from the United States. The worse scenario for Russia is that Syria or Hezbollah will use Yakhonts against the Israeli ships equipped with Barak 8 and lose. This will be great for Barak 8 but terrible for Yakhont sales.

 

Russia has also delivered 6 of 36 Yak-130s Syria ordered (because that’s all Syria has been able to pay for). That's not a big deal because the Yak-130 is basically a trainer aircraft which, like many jet trainers, is built to do double duty as a light bomber. The ten ton Yak-130 can carry an external load of three tons (of bombs, missiles, cannon pod, or fuel tanks). Max range, on internal fuel, is 2,000 kilometers. Against modern fighters the two-seat Yak-130 is toast but it should have no problem bombing civilians. There’s no danger to sales here.

 

Syria is also waiting on 12 MiG-29M2 fighters from Russia. This Cold War relic already has a bad reputation. Like many Russia warplanes, it looks great on the spec sheet but the reality is that many MiG-29s have been shot down by Western fighters and the aircraft is known to be expensive to maintain. Syria is not desperate to get these MiG-29s, if only because they know they will be spending a lot to provide aerial targets for Western or Israeli fighter pilots. What really matter are the four S-300 batteries Syria has ordered and partially paid for. Meanwhile, Russia is already sending (by ship and air freight) a lot of more mundane items of military gear (small arms, vehicles, communications) which no one expects to perform miracles. The S-300 is different and the Russians are really concerned about the S-300 being revealed as more snazzy salesmanship but not much help in keeping hostile warplanes out of Syrian airspace.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 07:30
Syrie: Washington prêt à attendre les conclusions de l'Onu (Obama)

WASHINGTON, 11 septembre - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis sont prêts à attendre les conclusions des experts de l'Onu chargés d'enquêter sur les cas d'utilisation d'armes chimiques en Syrie, a déclaré le président américain Barack Obama dans son allocution à la nation mardi soir.

 

"Nous donnerons également aux inspecteurs des Nations unies la possibilité de présenter un rapport sur ce qui s'est passé le 21 août dernier près de Damas", a annoncé le numéro un US.

 

Auparavant, la Maison Blanche s'est déclarée prête à lancer des frappes sur la Syrie sans attendre le rapport des experts onusiens en affirmant disposer d'assez de preuves du recours aux armes chimiques par les forces fidèles au gouvernement de Damas.

 

La Russie a proposé lundi de placer les arsenaux chimiques syriens sous contrôle international. Cette proposition a immédiatement été soutenue par Damas. Le président américain Barack Obama s'est déclaré intéressé par l'initiative de Moscou.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:30
Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, Syrian Foreign Minister Walid Muallem, US Secretary of State John Kerry

Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, Syrian Foreign Minister Walid Muallem, US Secretary of State John Kerry

WASHINGTON, September 10 (RIA Novosti)

 

The top diplomats from the United States, Russia and Syria will meet this week to discuss Syria’s chemical weapons, media reports cited unnamed US officials as saying Tuesday.

The meeting between US Secretary of State John Kerry, Russian Foreign Minister Sergei Lavrov and Syrian Foreign Minister Walid Muallem is slated to be held in Geneva on Thursday, Reuters reported US officials as saying.

Reports of the planned meeting come as Washington awaits proposals from Russia on how Syria’s chemical weapons arsenal could be placed under international control and as US President Barack Obama’s administration pushes for domestic and international support for American military action against Syria.

Washington accuses Syrian President Bashar Assad’s government of carrying out a deadly Aug. 21 chemical weapons attack outside Damascus but has said it will examine Russian proposals aimed at preventing a US strike by ridding Syria of its chemical stockpiles.

Kerry said Tuesday that he expects proposals later in the day from Lavrov on how to secure Syria’s arsenal, adding that any deal must be backed by a binding UN Security Council resolution.

“He is sending those to us. They’ll be coming informally in the course of the day. We’ll have an opportunity to review them,” Kerry said during a Google+ hangout interview.

Kerry said any such plan would require a “full resolution from the Security Council in order to have confidence that this has the force that it has to have” and that it must include “consequences if games are played and somebody tries to undermine this.”

The Security Council had been set to hold closed consultations late Tuesday afternoon, The Associated Press cited a UN spokesman’s office as saying. But Australia’s ambassador to the UN, Gary Quinlan, said on his Twitter feed that the meeting had been canceled.

It was not immediately clear why the meeting was canceled, but CNN reported Tuesday that Russia had called it off.

In a Tuesday telephone call with French Foreign Minister Laurent Fabius, Lavrov called “unacceptable” a Security Council resolution proposed by France that would declare the Syrian government responsible for “the possible use of chemical weapons,” the Russian Foreign Ministry said in a statement.

Almost simultaneously with Kerry’s Google+ hangout interview, news emerged that Muallem had said Syria is ready to sign the Chemical Weapons Convention – an international ban on chemical weapons – and open its storage facilities to foreign governments.

“We intend to give up chemical weapons altogether,” Muallem said in an interview on Lebanon’s Al-Maydeen television network.

Asked about Muallem’s comments, Kerry welcomed them cautiously, saying he hopes the Assad government “would take advantage of this opportunity as a moment to try to make peace in Syria, genuinely reach out [and] live up to what they just said they would do with respect to the Chemical [Weapons] Convention.”

“I hope that perhaps in the next days they’d be willing to try to make that concrete,” Kerry said.

Earlier on Tuesday, Kerry appeared before the US House of Representatives’ Armed Services Committee where he cautioned that the Security Council should not be used as a stalling tactic to delay a possible US military strike.

“If the United Nations Security Council seeks to be the vehicle to make it happen, that cannot be allowed to simply become a debating society,” Kerry said. “We have to continue to show Syria, Russia and the world that we are not going to fall for stalling tactics.”

The international debate over the Syria standoff has shifted rapidly over the past 24 hours after Kerry proposed in an apparent offhand comment Monday that a US strike against Syrian targets could be averted if Damascus put “every single bit” of its chemical weapons under international control by week’s end.

Russia and Syria almost immediately welcomed the proposal, and Lavrov said earlier Tuesday that Moscow would soon put forward a “workable” plan for securing Syria’s chemical arsenal.

Russian President Vladimir Putin said Tuesday that the plan would only be feasible if the United States and its allies pledge not to use force in Syria but expressed hope that it would “be a good step toward a peaceful resolution of the crisis.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:30
Syrie: l'initiative russe peut constituer une solution (Pentagone)

WASHINGTON, 10 septembre - RIA Novosti

 

L'initiative russe visant à placer l'arsenal chimique de la Syrie sous contrôle international pourrait résoudre le problème, s'il ne s'agit pas d'une tentative de gagner du temps, a estimé mardi le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel.

 

"Cette initiative peut constituer une solution, mais nous devons être certains qu'elle ne sert pas à gagner du temps", a déclaré le chef du Pentagone lors d'une audition devant les élus de la commission de la Défense à la chambre des Représentants du Congrès américain.

 

La Russie a proposé lundi de placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international. Cette proposition a immédiatement été soutenue par Damas. L'opposition syrienne l'a pour sa part qualifiée d'inacceptable. Le président américain Barack Obama s'est déclaré intéressé par l'initiative de Moscou.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:30
Carte des pays pour ou contre des frappes en Syrie (Infographie Ide avec Libération) - 09.09.2013

Carte des pays pour ou contre des frappes en Syrie (Infographie Ide avec Libération) - 09.09.2013

WASHINGTON, 10 septembre - RIA Novosti

 

La diplomatie demeure la priorité de la Maison Blanche pour résoudre le problème syrien malgré la discussion en cours sur une opération militaire, a affirmé mardi le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel.

 

"La diplomatie a été et reste la priorité du président Obama dans ce dossier", a déclaré le chef du Pentagone lors d'une audition devant la commission de la Défense de la Chambre des représentants.

 

Il a toutefois indiqué que ces derniers temps, des obstacles avaient surgi sur la voie de résolution diplomatique, notamment en raison du blocage par la Russie des résolutions au Conseil de sécurité des Nations unies.

 

Le régime de Bachar el-Assad est accusé par les pays occidentaux d'avoir perpétré près de Damas le 21 août dernier un massacre à l'arme chimique de plusieurs centaines de personnes. Washington et Paris proposent d'y répondre par des frappes militaires. Les autorités syriennes démentent formellement avoir perpétré cette attaque.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:20
Obama Tells Nation He's Pursuing Diplomacy With Syria

Sep. 10, 2013 - By DAVID JACKSON  - Defense news

 

WASHINGTON — President Obama told the nation Tuesday he is exploring a Russian diplomatic plan to end a chemical weapons dispute in Syria, but reserves the right to take military action if necessary.

 

“It’s too early to tell whether this offer will succeed,” Obama said during a White House address, but it is worth pursuing because of “the potential to remove the threat of chemical weapons without the use of force.”

 

During his nationally televised speech from the White House, Obama also said:

 

■ He wanted to talk to the country “about Syria, why it matters and where we go from here.”

 

■ He resisted any intervention in Syria’s civil war for months until Bashar Assad’s government used chemical weapons against anti-government rebels on Aug. 21, killing numerous children.

 

■ Argued that use of these banned weapons increase the possibility of other chemical attacks in other parts of the world, perhaps even the United States.

 

■ A lack of action would erode prohibitions on other weapons of mass destruction, including nuclear weapons.

 

■ “I know that after the terrible toll of Iraq and Afghanistan, the idea of any military action, no matter how limited, is not going to be popular;” but he added that any action in Syria would be specifically targeted on its chemical weapons programs.

 

■ Syria does not have the ability to retaliate against the United States.

 

■ He is encouraged by Russia’s proposal to have Syria give up its chemical weapons, but added: “I’ve ordered our military to maintain their current posture to keep the pressure on Assad and to be in a position to respond if diplomacy fails.”

 

■ Americans should review videos of the Aug. 21 chemical weapons attack now posted on the White House website, particularly the pictures of dead and dying children.

 

“Terrible things happen across the globe, and it is beyond our means to right every wrong,” Obama said. “But when with modest effort and risk we can stop children from being gassed to death and thereby make our own children safer over the long run, I believe we should act.”

 

Obama’s speech capped a flurry of diplomatic activity, as American, British, and French officials spoke with Russian counterparts about their idea to have Syria turn over their chemical weapons to international control for dismantling.

 

So far, they are at odds on the details.

 

Russian President Vladimir Putin said he would only support a Syrian turnover if the Obama administration renounced the possible of use of force against Assad’s government.

 

Obama declined to do that. In meetings with U.S. senators on Tuesday, and during his prime time speech, Obama said it’s the potential for force that pressured Syria into negotiations about releasing its chemical weapons stockpile.

 

Officials said Secretary of State John Kerry would fly to Geneva, Switzerland, for a Thursday negotiation session with Russian Foreign Minister Sergey Lavrov.

 

Syria announced Tuesday it would accept Russia’s offer, and said it is willing to join a global ban on chemical weapons.

 

Members of Congress, divided over a resolution authorizing military action against Syria, began exploring alternatives in light of the new diplomatic moves. The force resolution faces uphill battles in both the Democratic-controlled Senate and the Republican-run House.

 

Earlier on Tuesday, Obama attended separate meetings with Senate Democrats and Republicans in which he previewed his speech.

 

A bipartisan group of senators — some of whom support intervention — are working on an alternative that would require Syria to allow a United Nations team to remove chemical weapons within a certain time period, perhaps 45 to 60 days. If Syria doesn’t comply, Obama would have the authority to launch military strikes.

 

Obama also spoke amid rising opposition in the public and in Congress to idea of a military strike against Syria.

 

An NBC News/Wall Street Journal poll released Tuesday finds that nearly 60 percent of Americans want their member of Congress to oppose the use of military force in Syria.

 

Jackson writes for USA Today.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 00:29
Syrie : réunion annulée à l'ONU, Hollande convoque un Conseil de défense

10/09/2013 - 21:20 JDD

 

La réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'Onu sur la Syrie, réclamée par la Russie et prévue pour 16h00 heure de New York (22h00 à Paris), a été annulée, Moscou ayant retiré sa demande, a annoncé mardi l'ambassadeur australien à l'Onu. "A la suite du retrait de la demande de consultations, la réunion du Conseil de sécurité (...) n'aura pas lieu", précise sur Twitter Gary Quinlan, dont le pays préside ce mois-ci le Conseil de sécurité.

 

La réunion devait être consacrée à la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous supervision internationale, ce que Damas a accepté. Dans un projet de résolution devant accompagner ce plan, les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne tiennent à ce que le régime du président Bachar al Assad soit désigné comme responsable de l'attaque chimique du 21 août dans la banlieue de Damas, ce que les Russes, pas convaincus de cette culpabilité, jugent "inacceptable".

 

Peu après cette annulation, l’Élysée a fait savoir dans un communiqué que le président François Hollande a décidé de convoquer un Conseil restreint de défense sur le dossier syrien mercredi à 8 heures. Ce Conseil de défense restreint se réunira avant le Conseil des ministres.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 22:40
Chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov

Chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov

MOSCOU, 10 septembre - RIA Novosti

 

La Russie présentera prochainement un plan destiné à réaliser son initiative visant à placer les armes chimiques en Syrie sous contrôle international, a déclaré mardi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.

 

"La Russie prépare actuellement un plan réel, concret et détaillé, tout en restant en contact permanent avec la partie syrienne. Nous envisageons de présenter ce plan très prochainement, et sommes prêts à le modifier et à en discuter avec le secrétaire général de l'Onu, les membres du Conseil de sécurité de l'Onu et les organisations chargées de contrôler le non-recours à l'arme chimique", a indiqué le ministre russe des Affaires étrangères lors d'une conférence de presse à l'issue d'un entretien avec son homologue libyen.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 22:30
photo MAE F de La Mure

photo MAE F de La Mure

WASHINGTON, 10 septembre - RIA Novosti

 

Placer les arsenaux chimiques sous contrôle international pourrait régler le problème de ces armes en Syrie, mais cette proposition est difficile à réaliser, et Washington ne peut pas attendre longtemps, a déclaré mardi le secrétaire d'Etat américain John Kerry lors de débats à la Chambre des représentants du Congrès.

 

"Une telle mesure apporterait une solution définitive au problème des armes chimiques syriennes, mais elle serait extrêmement difficile à mettre en œuvre", a indiqué M. Kerry.

 

Selon lui, Moscou et Damas doivent démontrer dans les plus brefs délais le sérieux de leurs intentions.

 

"Nous ne pouvons pas attendre longtemps", a souligné le secrétaire d'Etat.

 

D'après le chef de la diplomatie américaine, si la Russie a proposé d'établir un contrôle international sur les armes chimiques syriennes, c'est parce que les Etats-Unis ont menacé de recourir à la force.

 

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a appelé lundi Damas à placer les arsenaux chimiques syriens sous contrôle international pour ensuite les détruire. Il a également invité la Syrie à rejoindre pleinement l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques.

 

Selon le président américain Barack Obama, cette initiative "pourrait constituer une percée importante".

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 19:30
Syrie: la proposition russe met l’éventuelle intervention militaire entre parenthèses

10/09/2013 par Gaëtan Barralon – 45eNord.ca

 

Au lendemain de la proposition formulée par Moscou, la communauté internationale a accueilli d’un œil bienveillant mais méfiant cette éventuelle mise sous contrôle international de l’arsenal chimique syrien.

 

Un véritable contre-pied. En proposant de placer le stock d’armes chimiques du régime syrien sous contrôle international, Vladimir Poutine a pris à revers l’ensemble des acteurs diplomatiques. Principal allié de Bachar al-Assad, le président russe tente ainsi d’empêcher toute frappe militaire sur le territoire syrien.

 

Une manœuvre qui semble porter ses fruits puisque les États-Unis comme la France ont assuré qu’ils allaient considérer cette proposition. Les deux principaux défenseurs d’une intervention militaire pourraient bel et bien reculer devant ce renversement de situation.

 

Prévu mercredi, le vote de procédure au Sénat américain sur un éventuel recours à la force en Syrie a été reporté à une date indéterminée. «Je ne pense pas que nous ayons besoin» de voter rapidement, a annoncé le chef de la majorité démocrate du Sénat, Harry Reid.

 

Barack Obama a, de son côté, déclaré que cette proposition russe pourrait constituer une «percée importante» dans la résolution du conflit. Si les dirigeants américains restent méfiants quant au bien-fondé de cette volonté de Moscou, ils ont néanmoins pu profiter de celle-ci pour s’offrir un certain répit au cœur de cette tourmente diplomatique sans trêve.

 

La France va déposer un projet de résolution aux Nations unies

 

Du côté de Paris, en revanche, pas question d’abandonner la perspective d’une intervention militaire mise en avant par le président François Hollande. Lundi, le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a poursuivi sur la ligne offensive de son chef d’État. La proposition russe est «recevable à au moins trois conditions», a déclaré Laurent Fabius, réclamant «des engagements précis, rapides et vérifiables de la part du régime syrien».

 

Bachar el-Assad «doit s’engager sans délai à mettre sous contrôle international et à laisser détruire l’ensemble de son arsenal chimique», et «cette opération doit se faire sur la base d’une résolution contraignante du Conseil de sécurité, avec un calendrier court et des conséquences fermes s’il ne respectait pas ses engagements», a-t-il ajouté.

 

La France n’entend plus perdre de temps. Paris va ainsi déposer, ce mardi, un projet de résolution au Conseil de sécurité de l’ONU. La diplomatie française entend ainsi autoriser un recours à la force en cas de manquement aux obligations.

 

Ce projet vise à «exiger de ce régime qu’il fasse sans délai toute la lumière sur son programme d’armes chimiques, qu’il le place sous contrôle international et qu’il soit démantelé», a déclaré Laurent Fabius devant la presse.

 

Ce dernier a ajouté que la résolution aurait également pour but de «mettre en place un dispositif complet d’inspection et de contrôle de ses obligations sous l’égide de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC)».

 

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 18:30
EU HR Ashton welcomes proposal to place Syria's chemical weapons under international control

10/9/2013 EU source: European Union - Ref: EU13-500EN

 

Summary: 10 September 2013, Brussels - Catherine Ashton, High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy, made today the following statement on the proposal to place Syria's chemical weapons under international control:

 

"I welcome the proposal for the Syrian regime to hand over its chemical weapons and to place them under international control. This now needs to be fully worked up as quickly as possible including the details of its implications in terms of safe storage, verification and destruction. The EU stands ready to fully support any proposal and its implementation.

 

The EU is working closely with our international partners on this issue and I welcome the statement by UN Secretary General Ban Ki-moon and the intention of France to introduce a Resolution in the UN Security Council to give effect to the proposal.

 

The EU calls on Syria to accede to the Chemical Weapons Convention and to ratify the Biological Weapons Convention as a matter of urgency. We look to the Syrian authorities to take full responsibility for ensuring that their chemical weapons are stored securely pending independently verified destruction and are not permitted to fall into the hands of any other State or non-state actor.

 

I hope that these developments will facilitate the resumption of efforts towards a political solution to the Syrian conflict. I urge all partners in the international community to seize this momentum to reinvigorate the process leading to the swift holding of a peace conference on Syria as proposed in the US-Russia initiative."

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 18:30
Olivier Lepick : «Une dizaine d'années pour détruire les armes chimiques syriennes»

10/09/2013 Par Thierry Portes – LeFigaro.fr

 

INTERVIEW - Recenser puis détruire en Syrie des agents chimiques nécessitera beaucoup de temps et d'investissements de la communauté internationale, explique au Figaro Olivier Lepick, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique, spécialiste de ce domaine.

 

LE FIGARO - La proposition russe de placer sous contrôle international l'arsenal d'armes chimiques syrien est-elle réaliste?

 

Olivier LEPICK - Elle est particulièrement habile, et même diabolique, car elle a l'apparence du bon sens et de la bienveillance. La personne qui ne connaît pas le dossier peut penser que ce processus de destruction va être immédiat et qu'il est facile à mettre en œuvre. Rien n'est moins vrai: il est certes techniquement possible de contrôler et de détruire des agents chimiques, mais il faut au minimum une bonne dizaine d'années pour conduire un tel programme.

 

Suite de l'interview

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:30
Patrouilleur russe Smetlivi

Patrouilleur russe Smetlivi

MOSCOU, 10 septembre - RIA Novosti

 

Le départ du patrouilleur russe Smetlivi de Sébastopol (mer Noire) vers les côtes syriennes est fixé au 12 septembre, a annoncé à RIA Novosti une source haut placée de la Marine russe.

"Le Smetlivi lèvera l'ancre et quittera Sébastopol le 12 septembre", a indiqué l'interlocuteur de l'agence, précisant que le navire ne ferait pas escale à Novorossiïsk et se dirigerait directement vers la Méditerranée.

Le porte-parole de la Marine russe a rappelé que le croiseur lance-missiles Moskva devait gagner la région orientale de la Méditerranée le 17 septembre, alors que le 29 septembre, deux navires de la Flotte russe de la mer Noire, la vedette lance-missiles Ivanovets et le navire lance-missiles Chtil, devraient arriver au large de la Syrie.

Selon le porte-parole, un convoi naval comprenant les grands navires de débarquement Novotcherkassk et Minsk, ainsi que le navire de surveillance électronique Priazovie ont franchi  vendredi les détroits du Bosphore et des Dardanelles pour rejoindre l'escadre russe patrouillant en Méditerranée.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:30
Syrie: « ouverture mais vigilance »

10.09.2013 par Guillaume belan - FOB

 

Alors que les 11ème Universités d’été de la Défense vont bientôt s’achever, Jean-Yves Le Drian vient d’aborder le sujet de la Syrie. Un sujet qui, jusqu’à aujourd’hui, n’aura été finalement été que peu abordé durant ces rencontres. Mais « un tabou a été brisé ». Un millier de morts, des civils, l’attaque chimique du 21 aout marque « un changement d’échelle dans la recours de Bachar El Assad aux armes chimiques. » 

« C’est un tabou reconnu au plan international qui a  été brisé : un défi à la communauté internationale dans ses fondements » a condamné le ministre, reconnaissant que « la prolifération des armes de destruction massives est une menace pour notre propre sécurité »

La proposition russe suscite « un grand intérêt, et mérite un examen précis », a confirmé le Ministre de la défense. Reste que certaines conditions doivent être remplies, notamment exprimées par Laurent Fabius: l’engagement à mettre sous contrôle et détruire ces armements, une résolution contraignante de l’ONU ainsi qu’une traduction des responsables des attaques chimiques devant la Cour Pénale Internationale. Maintenant il faut voir concrètement l’attitude et la réaction du régime syrien. Paris reste sur ses garde « Nous nous tenons prêt à agir. »

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:30
La marine russe face aux navires américains et français en Méditerranée

10 septembre 2013, Portail des Sous-Marins

 

Le croiseur lance-missiles « Moskva » entre en Méditerranée. Destination les côtes orientales, là où se trouve la Syrie. Un symbole du retour sur la scène internationale de la marine russe qui a beaucoup pâti de la fin de l’URSS.

 

Référence : Géopolis

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:30
Syrie : la France va déposer un projet de résolution à l'ONU

10.09.2013 Le Monde.fr (AFP)

 

Laurent Fabius a répondu à la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous contrôle international en annonçant mardi 10 septembre le dépôt "dans la journée" d'un projet de résolution française auprès du Conseil de sécurité de l'ONU visant à "condamner le massacre du 21 août commis par le régime" et "exiger la lumière" sur le programme syrien d'armes chimiques.

 

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 12:30
Netline to Supply C-Guard Reactive IED Jammers and Hawk AI Mobile Phone Interception Systems to NATO Armies

Netline Announces Win of Tenders to Supply C-Guard Reactive IED Jammers and Hawk AI Mobile Phone Interception Systems to NATO Armies

 

Sep 10, 2013 ASDNews Source : Netline Communications Technologies

 

    Both systems will be on display at DSEI 2013

 

Netline Communications Technologies (NCT) Ltd. - a leading producer of high-end electronic warfare and spectrum dominance systems for defense forces and homeland security agencies - has won tenders to supply C-Guard Reactive IED Jammers and Hawk AI mobile phone interception systems to NATO countries. The C-Guard was selected in three tenders, with one of the orders delivered within 45 days and immediately shipped to a combat area. In addition, during the same time period, the Hawk AI also won a tender and was supplied to a NATO army. Both the Hawk AI mobile phone interception systems and the C-Guard RJ Man-Pack System will be on display at DSEi Exhibition, London, September 10-13, Israel National Pavilion, South Hall, Booth #S8-235.

 

HAWK AI

Netline’s Hawk AI provides active mobile phone interception in a variety of configurations including Vehicular or Fixed, Portable Trolley, Man-Pack, and Covert Backpack. The Hawk AI system performs real-time cellular monitoring, covering GSM/DCS, PCS, UMTS and other standards. The system simulates a full Man-in-the-Middle cellular base station by providing best operation parameters for mobile phones in the operating area. Mobile phones in the area register to the fake base station (BTS), thus enabling monitoring by the system.

 

Among its many advanced features, the system measures distance to and from captured mobiles, displays captured mobile phone locations on a map, and performs real-time 2G voice conversation monitoring. The Hawk AI maintains high voice quality and minimum delay by using a digital audio interface that enables voice biometric recognition. All 3G calls on cell phones that are set to dual mode are automatically converted to 2G for eavesdropping, and all calls pass through the system capturing both parties in conversation. The system enables selective blocking of specific phone numbers based on any identity parameters, and can lock target mobiles out-of-service according to standard GSM/UMTS protocol.

 

C-GUARD RJ

The cutting-edge C-Guard RJ Man-Pack achieves full coverage in a single device that is carried by one fighter, coping with all threat bands up to 2.5/3/6 GHz.  The system incorporates a wideband receiver that continuously performs broadband spectral analysis. Upon detection of a suspected transmission, a corresponding jamming signal is rapidly generated.

 

Compact, lightweight, and easily field-programmed, C-Guard RJ is designed for easy and rapid deployment, under even the harshest environmental conditions. The system is equipped with long mission-life rechargeable batteries, and can also be installed in a vehicle and powered by the vehicle's battery.

 

According to Yallon Bahat, VP Marketing of Netline, "We are very happy to present our two unique new solutions in the areas of interception and jamming at the exhibition. They are the result of significant investment in research and development, and enable us to offer our customers the most advanced solutions available in today's market. Both systems - which will be on display at our booth - have been sold and are being used by major defense forces. We invite you to visit us and learn more about these exciting new solutions."

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