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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 12:30
Elbit Launches at DSEI 2013: ELSAT 2000E

Sep 10, 2013 ASDNews Source : Elbit Systems Ltd

 

    Low Profile, Small Footprint, Lightweight Military Satellite Communications Satellite-On-The-Move Antenna

    Based on its field proven next-generation passive waveguide array planar antenna technology, ELSAT 2000E delivers double the performance of its predecessor, the ELSAT 2000

 

Elbit Systems Ltd. announced today the launch of ELSAT 2000E, a new member of the MSR-2000 terminal family featuring vehicular, airborne and maritime Satellite-On-The-Move (SOTM) antennas. Based on its field proven next-generation passive waveguide array planar panel antenna technology, the ELSAT 2000E supersedes and significantly improves the performance of the previous generation ELSAT 2000, which was based on the less efficient printed circuit multi-element panel technology.

 

The ELSAT 2000E is a 50cm diameter and 15Kg low profile small footprint lightweight rugged bi-directional Military Satellite Communications (MILSATCOM)  Satellite-On-The-Move (SOTM)  antenna with outstanding deployment versatility, efficiency and performance for its size and weight.

 

Based on the same new generation planar antenna technology as the ELSAT 2100, 80cm diameter SOTM antenna, ELSAT 2000E delivers over double the performance and efficiency of its predecessor the ELSAT 2000 in same form factor with better RF capabilities, enabling 30Mbps downlink and 5Mbps uplink speeds.

 

The system features an advanced triple tracking mechanism with a 90 degree elevation capability for superior SOTM tracking and relocking.  The ELSAT 2000E features a G/T of 7 dB/k (including Radom loss) and ideal radiation pattern, perfect for demanding high performance SOTM applications where there are mounting space and/or weight limitations.

 

Both 50cm/15Kg ELSAT 2000E and the larger 80cm/38Kg ELSAT 2100 deliver outstanding SOTM performance as well as superior efficiency, enabling customers the flexibility to select the right SOTM solution for their application and deployment requirements.  Both ELSAT 2000E and ELSAT 2100 are ideal for demanding high performance Defense, Security and Tactical Military SOTM applications, designed for Ku and extended Ku band operation.

 

As the ELSAT 2100, ELSAT 2000E is fully integrated with Elbit’s InterSKY® 4M, enabling breakthrough performance and efficiency enhancements. The integration within Elbit's C4I military systems ensures seamless broadband connectivity in LOS, BLOS and OTH combat arenas, positioning InterSKY® 4M as a leading Tactical Military SatCom Platform.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 11:30
photo Niitek

photo Niitek

Sep 10, 2013 ASDNews Source : Chemring Group PLC

 

NIITEK®, Inc., a subsidiary of the Chemring Group PLC ("Chemring"), and now Chemring Sensors & Electronic Systems (CSES) announced today that the Turkish Army has made a purchase of the two-operator Husky Mine Detection System (HMDS) to lead its route clearance patrols and provide minefield clearance capability. The NIITEK® HMDS is a multi-panel high-performance Ground Penetrating Radar (GPR) system which functions on manned, blast resistant vehicles that provide rapid ability to scope out anti-vehicular landmines and other explosive hazards on main supply routes and additional open areas as needed. This is Turkey’s first acquisition of the HMDS and represents a critical enhancement in the mine and Improvised Explosive Device (IED) detection, interrogation, and clearance capabilities for the Turkish military. The NIITEK® Ground Penetrating Radar is now in use with the U.S., Canadian, Australian, and Spanish Militaries.

 

This equipment is a significant leap forward in Turkish Army mine detection capability. Three of the four two-seat variant Husky 2G vehicles sold to Turkey feature the NIITEK® Ground Penetrating Radar (GPR) and the fourth Husky 2G features a robotic arm. Additionally, the Turkish Army procured two R-VISOR robots mounted on the QinetiQ TALON® featuring a NIITEK® GPR and Metal Detector. The robots clear footpaths as well as areas not accessible to the much larger HMDS. Delivery was completed August 2013 in Turkey. The contract includes installation, training, and logistics support. NIITEK®, along with its partners Critical Solutions International (CSI), sales lead for the Husky 2G manufactured in South Africa, and IPA Defence, a Turkish based company as the main contractor in this project, representing NIITEK® & CSI and QinetiQ North America, received the order in May 2013.

 

“We have been working closely with IPA and CSI to assist the Turkish Government establish an enhanced route and area clearance capability because of the threats that exist on their southern borders; we look to further support this capacity as it is established across their military.” said Tom Thebes, CSES Acting President. “The NIITEK® GPR is a critical component in the war against mines and IEDs and this award represents a significant step in supporting the international Counter-IED mission and the ultimate goal of saving lives.”

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 06:30
Syrie : Obama prêt à saisir au bon la proposition russe de sortie de crise

 

10/09/2013 Par Laure Mandeville Correspondante à Washington – LeFigaro.fr

 

Tout en restant prudent, le président américain estime que le coup de théâtre spectaculaire orchestré par Moscou, qui propose de mettre l'arsenal chimique syrien sous contrôle de l'ONU, est un développement «positif» qui, s'il s'avérait, serait l'option qu'il préfèrerait.

 

Le pouvoir russe volant au secours d'Obama, au moment où il risque un camouflet au Congrès sur son plan d'action militaire en Syrie? Le scénario paraît trop beau pour être vrai, vu l'état des relations bilatérales et la manière dont la Russie de Poutine a jusqu'ici enterré systématiquement toute chance de solution diplomatique de la crise syrienne au Conseil de sécurité de l'ONU. Et pourtant, dans un coup de théâtre spectaculaire, qui pourrait redorer leur blason diplomatique et leur conférer un rôle de médiateur indispensable, les Russes ont proposé lundi, par la voix de leur ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, que les Syriens mettent leur arsenal chimique sous contrôle de l'ONU, dans le but de le détruire, et qu'ils échappent ainsi à une attaque militaire américaine. Ils ont précisé avoir évoqué avec Damas cette éventualité et se sont dit prêts à «avancer avec la Syrie», sur un tel scénario, qui contraindrait Damas à rejoindre la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques. Le régime d'Assad a accueilli favorablement les assertions russes.

 

Le président Obama a immédiatement saisi la balle au bond, jugeant ce lundi dans une série d'interviews à des chaînes de télévision américaines, qu'il allait examiner «sérieusement» la soudaine proposition russe. «Si elle est vraie»… «c'est un développement positif» et «possible», a confié le président américain au journaliste Wolf Blitzer sur CNN. «Si nous pouvons accomplir le but limité de sécuriser et détruire les armes chimiques syriennes», cela serait le meilleur scénario, a-t-il ajouté, disant espérer une vraie ouverture de Moscou. «Cela ne résoudrait évidemment pas le problème plus large de la guerre civile syrienne, mais cela pourrait être une manière d'atteindre le but que nous recherchons, c'est à dire empêcher une nouvelle utilisation des armes chimiques par le régime» (puisqu'elles seraient même détruites dans le scénario évoqué par les Russes), a dit le président.

 

Obama s'est empressé de souligner qu'un tel développement ne serait pas à l'ordre du jour «s'il n'y avait la menace crédible d'une action militaire américaine». Une manière de dire clairement à ses détracteurs que la fermeté dont il avait fait preuve allait peut-être payer. «Cette pression doit être maintenue», a-t-il dit, affirmant rechercher toujours un vote au Congrès. Quelques heures plus tôt, son ancienne secrétaire d'Etat Hillary Clinton avait apporté son soutien au plan d'action d'Obama, tout en qualifiant la proposition russe de «pas important».

 

La Maison-Blanche prise par surprise

L'administration Obama reste néanmoins circonspecte sur les intentions russes. Le conseiller présidentiel Ben Rhodes a dit rester «prudent», vu le comportement passé de Moscou, et son alliance jusqu'ici indéfectible avec le régime d'Assad. «Nous ne voulons pas avoir un nouvel embourbement avec les Syriens qui ne rempliraient pas leurs promesses», a-t-il précisé. Mais l'enthousiasme exprimé plus tard dans la journée par Obama pourrait indiquer qu'une négociation s'est peut être déjà engagée en coulisses. John Kerry avait plusieurs fois mis le sujet d'une mise sous contrôle de l'ONU de l'arsenal chimique syrien sur le tapis dans ses discussions avec les Russes, sans jamais rencontrer de succès. Obama a précisé dans ses interviews lundi soir qu'il avait évoqué le sujet lors du G20 avec Poutine. Mais rien n'avait laissé prévoir un revirement du chef d'Etat russe jeudi et vendredi dernier. La rencontre entre les deux s'était soldée par un froid constat de désaccord, qui était apparu au grand jour lors d'un dîner donné par Poutine, au cours duquel les deux présidents s'étaient heurtés frontalement. Anthony Blinken, l'un des conseillers à la sécurité nationale d'Obama, a reconnu ce lundi que la Maison-Blanche avait été prise par surprise par la proposition russe.

 

Vladimir Poutine a-t-il décidé qu'il était temps de faire un geste parce qu'il a pris au sérieux le projet de frappes d'Obama, comme l'ont suggéré Barack Obama et Hillary Clinton? A-t-il vu dans une éventuelle opération militaire américaine une menace existentielle pour le régime d'Assad et décidé de convaincre ce dernier de lâcher sur le chimique pour survivre politiquement? A-t-il décidé qu'il ne pouvait rester complètement aligné avec le régime syrien vu la réprobation qu'a suscitée jusqu'en Iran l'utilisation d'armes chimiques à grande échelle? S'est-il dit dit qu'il pouvait tirer un grand profit diplomatique en devenant l'homme qui trouve la sortie de crise? Ou est-il simplement, option beaucoup moins enthousiasmante - en train de brouiller les cartes, pour semer la zizanie au Congrès américain? «Je ne sais pas ce qui se passe. Ce serait formidable si les Russes pouvaient convaincre Assad de rendre ses armes chimiques à la communauté internationale. Ce serait une issue excellente. Mais je suis très soupçonneux et sceptique», a dit Lindsay Graham, sénateur de Caroline du sud, et l'un des faucons républicains sur la Syrie, aux côtés de John McCain. Ce lundi soir, plusieurs responsables de l'administration devaient briefer un groupe d'élus sur les derniers évènements.

 

Si la proposition russe s'avérait solide, elle viendrait arranger miraculeusement les affaires d'Obama, lui évitant un affrontement à haut risque avec le Congrès. Ce lundi, l'opposition à toute intervention semblait en effet gagner au Sénat et à la Chambre. Le chef de la majorité démocrate a d'ailleurs décidé d'annuler le vote de procédure réclamé par Obama, prévu mercredi sur l'autorisation d'utilisation de la force en Syrie. Invoquant la nécessité pour les élus de «percoler» et de prendre la mesure du coup de théâtre russe.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 06:30
Syrie: Washington pourrait reporter sa frappe (Obama)

WASHINGTON, 10 septembre - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis sont prêts à reporter leur opération militaire contre le régime de Bachar el-Assad en cas de placement des armes chimiques syriennes sous contrôle international proposé par Moscou, a déclaré lundi soir le président américain Barack Obama.

Le chef de la Maison Blanche, interviewé par la chaîne télévisée ABC, a répondu par la positive à la question de savoir si l'attaque contre Damas pourrait être reportée si le régime syrien acceptait de remettre son arsenal d'armes chimiques à la communauté internationale.

"Nous prenons cette proposition au sérieux, mais je dois vous faire remarquer que nous n'avons pas constaté ce genre de geste jusqu'à présent. Il est possible que ce soit une avancée, mais il faut suivre cela de près car nous ne voulons pas que ce soit une manœuvre dilatoire visant à éloigner la pression que nous exerçons sur la Syrie en ce moment", a poursuivi M.Obama.

Auparavant, le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a annoncé que Damas avait accepté la proposition russe de remettre ses arsenaux chimiques sous contrôle international.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 18:30
Moscou et Damas évoquent une mise sous contrôle de l'arsenal chimique syrien

09.09.2013 à 19h06 Le Monde.fr (AFP)

 

La Russie a appelé la Syrie à mettre sous contrôle international ses armes chimiques et à les détruire, a annoncé, lundi 9 septembre, le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, quelques heures après avoir rencontré à Moscou le chef de la diplomatie syrienne, Walid Mouallem. Moscou espère que cette mesure empêchera des frappes militaires occidentales.

"Nous appelons les dirigeants syriens à non seulement accepter de placer sous contrôle international leur stock d'armes chimiques, et ensuite à le détruire, mais aussi à rejoindre pleinement l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques", a déclaré le chef de la diplomatie russe, disant espérer une réponse "rapide et positive" de Damas.

 

UNE PROPOSITION ACCUEILLIE FAVORABLEMENT PAR DAMAS

Sergueï Lavrov s'exprimait alors que son homologue américain, le secrétaire d'Etat John Kerry, avait déclaré un peu plus tôt à Londres que le président Assad pourrait éviter des frappes en mettant sous contrôle son arsenal chimique. Une remarque avant tout "rhétorique", selon sa porte-parole, Jen Psaki, qui a également précisé qu'elle ne saurait être interprétée comme un ultimatum ou une offre de négociation à l'adresse d'un "dictateur brutal" indigne de confiance.

La proposition russe a été accueillie favorablement par Damas, a déclaré lundi le chef de la diplomatie syrienne, Walid Mouallem, à Moscou. "La Syrie salue l'initiative russe, fondée sur les inquiétudes des dirigeants russes concernant la vie de nos citoyens et la sécurité de notre pays", a-t-il déclaré, cité par les agences de presse russes.

 

"UN GRAND PAS" SELON DAVID CAMERON

Le premier ministre britannique, David Cameron, a quant à lui estimé devant les députés britanniques que la mise sous contrôle international de l'arsenal chimique syrien "serait un grand pas", tout soulignant qu'il fallait s'assurer qu'"il ne s'agit pas d'une manœuvre de diversion".

Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'ONU, a appelé à la destruction de cet arsenal sous la supervision des Nations unies. Ce dernier pourrait proposer la création de ces zones au Conseil de sécurité si les enquêteurs onusiens confirment l'utilisation d'armes prohibées dans le conflit syrien, afin de surmonter "l'embarrassante paralysie" du Conseil sur la Syrie, a-t-il déclaré à des journalistes.

 

Lire : "Au Conseil de sécurité de l'ONU, une longue histoire de blocages"

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 16:55
Thales Alenia Space : la menace d'un plan de restructuration s'éloigne

09/09/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La filiale spatiale de Thales et du groupe italien Finmeccanica a engrangé pour environ 1,2 milliard d'euros de commandes cet été. Des succès commerciaux qui renforce le plan de charge du constructeur de satellites et éloigne la menace d'un plan de restructuration.

 

Thales Alenia Space (TAS) respire. Le PDG de la filiale de Thales et du groupe Finmeccanica, Jean-Loïc Galle, redoutait fin juin dans une interview accordée aux « Echos » un problème de charge début 2014. Cette menace s'éloigne grâce au très bel été commercial de TAS, qui a engrangé une série de commandes salutaires d'un montant de près de 1,2 milliard d'euros entre juin et début septembre . « Nous n'avons plus de problème de charge », a d'ailleurs confirmé à La Tribune Jean-Loïc Galle lors de l'installation mercredi dernier du nouveau Comité de concertation État-Industrie sur l'espace (Cospace).

 

Une nouvelle commande dans les télécoms ?

 

Chez les salariés, l'inquiétude est également retombée. « Les idées noires du printemps se sont envolées, on repart pour de nouvelles aventures », estime-t-on en interne. Avec un petit bémol, Thales Alenia Space aimerait bien engranger une commande supplémentaire d'un satellite de télécoms - une troisième après Arabsat et le Brésil - pour sa plateforme Spacebus afin de sécuriser complètement son plan de charge, notamment pour ses salariés dédiés aux télécoms. « C'est vrai, nous visons une nouvelle commande pour la plateforme Spacebus mais si nous ne l'avons pas, ce ne sera pas dramatique. On transfèrera certains salariés vers d'autres programmes. On sait faire », précise-t-on à La Tribune.

 

TAS a plusieurs satellites de télécoms dans son viseur. Le constructeur participe à plusieurs compétitions lancées par les opérateurs : Immarsat, SES, Gazprom et Eutelsat. Ils devraient se décider avant la fin de l'année. Chez les syndicats, on parle déjà d'embauches si d'autres commandes venaient à tomber…

 

Un bel été commercial

 

Deux contrats export très importants sont venus gonfler le carnet de commandes de la filiale de Thales et Finmeccanica. C'est d'abord les Emirats Arabes Unis (EAU) qui ont signé en juillet un contrat pour l'acquisition de deux satellites d'observation. Ils seront fabriqués par Astrium (groupe EADS) et TAS, qui se partagent à 50-50 ce contrat d'un peu plus de 700 millions d'euros gagné de haute lutte face aux américains. Puis le Brésil a choisi en août TAS pour la fourniture d'un satellite télécoms civil (bande ka) et militaire (bande x) estimé entre 250 et 300 millions d'euros - même si TAS doit encore finaliser le contrat, qui pourrait faire des petits. L'enjeu de ce contrat est "considérable", avait-il confié aux « Echos », car il ouvrira la porte à l'ensemble du programme spatial du Brésil qui prévoit "douze satellites de météorologie et d'observation sur les dix ans à venir, et deux ou trois satellites de télécoms supplémentaires".

 

TAS a également engrangé des commandes institutionnelles, notamment en remportant le nouveau satellite de cosmologie Euclid confié par l'Agence spatiale européenne (322,5 millions d'euros). En juin au salon du Bourget, le constructeur avait également signé en tant que maître d'œuvre le contrat relatif au développement d'ExoMars (643 millions d'euros). Le contrat signé correspond au versement de 2 tranches additionnelles : l'une, d'un montant de 146 millions, va permettre de compléter la mission de 2016 ; la seconde, d'un montant de 70 millions, couvrira une partie significative de la mission suivante, en 2018. Enfin, la direction générale de l'armement (DGA) a confié à TAS une étude sur les liaisons de données aéroportées à haut débit, sans préciser le montant de la commande.

 

Des commandes aussi pour Telespazio

 

Telespazio, l'autre filiale de Finmeccanica et Thales, n'est pas en reste. Elle a remporté en juillet un contrat de 216 millions d'euros auprès de l'opérateur European Satellite Service Provider (ESSP), dans le cadre du programme de navigation par satellites Egnos (European Geostationary Navigation Overlay Service).

 

La filiale, basée en Italie, a également gagné en juillet un contrat pour la mise en œuvre d'un des plus importants réseaux VSAT - une technique de communication par satellite bidirectionnelle qui utilise des antennes paraboliques dont le diamètre est inférieur à 3 mètres -. d'Europe pour le Groupement des Mousquetaires.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 16:30
Syrie : les militaires freinent l'ardeur des diplomates

08/09/2013 Par Isabelle Lasserre – LeFigaro.fr

 

Depuis le début de la crise syrienne, la Défense est en retrait sur le dossier, accaparé par les diplomates du Quai d'Orsay qui poussent avec énergie et conviction vers des frappes militaires contre le régime de Bachar el-Assad.

 

Du Mali à la Syrie: les deux crises majeures dont s'est emparée la France en 2013 sont vécues à fronts renversés dans les ministères. Gérée avec brio, dynamisme et enthousiasme par le ministère de la Défense et les armées françaises, l'intervention déclenchée au début de l'année contre les groupes islamistes au Mali avait suscité des réticences et même parfois, au début, une certaine indifférence au Quai d'Orsay. Vis-à-vis de la Syrie, c'est l'inverse: depuis le début de la crise, la Défense est en retrait sur le dossier, accaparé par les diplomates du Quai d'Orsay, qui poussent avec énergie et conviction vers des frappes militaires contre le régime de Bachar el-Assad.

 

Effacé au Mali, Laurent Fabius s'est transformé en chef de guerre avec la crise syrienne. «C'est lui le véritable va-t-en-guerre du gouvernement. Il a convaincu François Hollande et imposé la ligne des durs et des faucons», explique un officier général proche des cercles de pouvoir. Pourquoi? Certains évoquent un désir de revanche. «Écrasé» par le ministère de la Défense pendant la crise malienne, le ministre des Affaires étrangères aurait voulu «reprendre la main» en Syrie. Ceux qui le côtoient dans les réunions évoquent aussi son «approche humanitaire» du dossier, la nécessité de défendre à tout prix les droits de l'homme lorsqu'ils sont bafoués.

 

Paris met aussi en avant la lutte contre la prolifération et l'impératif de restaurer «la dissuasion», mise à mal par l'utilisation d'armes chimiques. Avec, derrière le rideau syrien, une autre crise, qui se profile à l'horizon, celle de la bombe nucléaire iranienne.

 

Enfin, la détermination du chef de la diplomatie française s'appuie sur un impératif de «cohérence». «C'est un dossier que nous avons hérité de la présidence Sarkozy, mais dont Laurent Fabius s'est tout de suite emparé. Depuis le début, c'est lui qui pousse les Américains à agir. Que sa prise de position soit courageuse ou imprudente, elle a au moins le mérite d'exister. Nous nous sommes mis en avant très tôt sur ce dossier. La crédibilité de la France était en jeu», rappelle un diplomate.

 

Le ministre a toujours été à l'avant-garde sur le dossier: d'abord en reconnaissant la coalition nationale de l'opposition, ensuite en proposant d'armer les rebelles. Le «basculement» constitué par l'attaque chimique du 21 août à Damas aurait fait naître chez lui la conviction qu'il ne peut désormais y avoir reprise du processus politique sans imposer un «coup d'arrêt» à Bachar el-Assad.

 

Manque de visibilité

 

Au ministère de la Défense, la prudence est davantage de mise sur cette affaire, depuis le début. La proposition d'armer les rebelles avait déjà, lorsqu'elle avait été faite, suscité des interrogations. Aujourd'hui, certains regrettent que d'autres solutions, notamment des sanctions supplémentaires vis-à-vis du régime syrien, n'aient pas été suffisamment explorées par les Affaires étrangères.

 

À peine sorti de la crise malienne, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a repris son bâton de pèlerin pour tenter de rallier ses partenaires européens à la position officielle de la France. Comme il l'avait fait un an plus tôt à Chypre, il a multiplié les contacts avec ses homologues lors de la réunion de l'Union européenne à Vilnius, le week-end dernier. Mais cette partie est plus difficile à jouer. «Depuis deux semaines, Laurent Fabius ne prône qu'un discours de guerre. Comment s'étonner que les pays européens non interventionnistes soient réticents? On aurait peut-être pu faire autrement, davantage mobiliser nos alliés autour d'une solution diplomatique», analyse un responsable proche du dossier.

 

Les mêmes divisions se perçoivent dans les armées. Certains estiment qu'il n'y a d'autre solution que de réagir au franchissement de la «ligne rouge» constituée par l'utilisation d'armes chimiques. D'autres redoutent «le jour d'après» les frappes militaires. «La prudence et la réticence de certains sont nourries par le manque de visibilité politique pour la suite. Mais aussi par la peur que la France, en soutenant les rebelles, se fasse l'allié du démon», commente un officier général.

 

Malgré les doutes, les états majors se préparent à l'intervention, afin d'être opérationnels si des frappes sont ordonnées par le pouvoir politique. La participation de la France aux côtés des Américains devrait être, prédit un général, «un peu plus que symbolique», basée sur l'action des Rafale, équipés de missiles de croisière Scalp. François Hollande a affirmé que seules des «cibles militaires» seraient visées. L'action des armées françaises aux côtés des Américains devrait par ailleurs être menée de manière «autonome et souveraine». De quoi, espère-t-on à Paris, réconcilier tout le monde.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 11:30
Syrie: le Pentagone prépare une opération d'envergure

08 septembre 2013 Romandie.com(AFP / 17h08)

 

WASHINGTON (District of Columbia) - Le Pentagone prépare des frappes militaires sur la Syrie plus intenses que prévu, a rapporté dimanche le Los Angeles Times, tandis qu'un responsable de la Défense a affirmé que l'armée américaine saurait s'adapter en cas de besoin.

 

L'étendue et l'objectif des frappes contre la Syrie n'a pas changé ces dernières semaines, mais les forces américaines pourront s'adapter en cas de besoin, a affirmé à l'AFP dimanche un responsable de la Défense.

 

Nous continuerons à adapter nos objectifs au fur et à mesure que le gouvernement syrien adaptera les siens au fil du temps, a déclaré ce responsable, qui s'exprimait sous couvert de l'anonymat.

 

Dans le Los Angeles Times, deux officiers du Pentagone affirment que les stratèges américains optent désormais pour un barrage massif de tirs de missiles, suivi rapidement par d'autres attaques sur des cibles manquées ou non détruites après l'attaque initiale.

 

Selon les deux officiers, la Maison Blanche a demandé une liste d'objectifs élargie pour inclure beaucoup plus que la liste initiale d'environ 50 objectifs.

 

Le responsable de la Défense a rappelé que les forces américaines travaillaient sur le même objectif qui a été défini par le président Obama.

 

Le plus haut gradé américain, le général Martin Dempsey, chef d'état-major interarmées, avait indiqué la semaine dernière aux élus que les forces américaines seraient capables de modifier leurs projets de frappes, y compris si le régime syrien essaie de disperser son armement.

 

M. Dempsey avait affirmé qu'il y aurait un ensemble initial d'objectifs puis une deuxième liste d'objectifs.

 

Les planificateurs du Pentagone envisagent désormais la participation de bombardiers de l'armée de l'Air, ainsi que des cinq destroyers lance-missiles américains qui patrouillent actuellement en Méditerranée orientale, pour lancer des missiles de croisière et des missiles air-sol, en restant hors de portée de la défense aérienne syrienne, selon le rapport.

 

Le porte-avions Nimitz avec son escorte -- un croiseur et trois destroyers positionnés en mer Rouge -- peut également tirer des missiles de croisière sur la Syrie.

 

Il y aura plusieurs salves et une évaluation après chaque raid, mais le tout limité à 72 heures et une indication claire lorsque nous aurons terminé, a déclaré au journal un officier au courant des plans militaires.

 

La frappe n'aura pas d'impact stratégique sur la situation actuelle dans la guerre, que les Syriens ont bien en mains, mais les combats pourraient durer encore deux ans de plus, a déclaré un autre officier américain au Los Angeles Times.

 

Ce changement de plans intervient au moment où le président Barack Obama continue de plaider en faveur d'une intervention en Syrie, après les attaques à l'arme chimique du 21 août, qui ont fait plusieurs centaines de morts.

 

Tentant de rassurer les élus et ses compatriotes, Barack Obama a promis dans son allocution hebdomadaire de samedi qu'il ne s'agirait pas d'un autre Irak ou d'un autre Afghanistan, répétant que les Etats-Unis n'enverraient pas de soldats au sol.

 

Obama doit enregistrer lundi des interviews avec les trois grands réseaux de télévision et les chaînes PBS, CNN et Fox News.

 

Diffusée dans la soirée (heure locale), l'interview précédera le message à la nation d'Obama mardi, avant le vote du Congrès.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 11:30
Israel deploys Iron Dome system near Jerusalem

September 9th, 2013 defencetalk.com (AFP)

 

Israel deployed its Iron Dome missile defence system near Jerusalem Sunday, an AFP correspondent said, as the United States lobbied for domestic and international support for military strikes against Syria.

 

The correspondent said the battery was set up west of the city.

 

A military spokeswoman would not comment on the deployment, saying only that “defence systems are deployed in accordance with situation assessments.”

 

Late last month a battery of the mobile system was set up in the greater Tel Aviv area, pointing northwards towards Syria. Israeli media have reported that six or seven such batteries are currently in use.

 

Speaking at a cabinet meeting on Sunday, Prime Minister Benjamin Netanyahu called Israel “an island of tranquillity, quiet and security” amidst “the storm raging around us”, without explicitly mentioning Syria or its ally Iran.

 

In previous weeks Netanyahu has repeatedly said Israel was not involved in the war in Syria, but would “respond with force” if anyone attacked it.

 

The Israeli line on Syria was reiterated in remarks by Defence Minister Moshe Yaalon later Sunday.

 

“We are not involved in the civil war in Syria unless our interests are compromised,” he said at a counter-terrorism conference in Herzliya, north of Tel Aviv.

 

“We are preparing for the ramification of action — or inaction — in Syria,” he continued.

 

“To our understanding, our neighbours, especially the Syrian regime, understands that whoever challenges us will encounter the power of the IDF (Israeli military), and we are preparing for that.”

 

Yaalon noted that “we held a security assessment today”, and the bottom line was that Israel was not reverting to a heightened level of alert in the wake of the developments in and regarding Syria.

 

There are fears that if the United States and its allies attack Syria, forces of Syrian President Bashar al-Assad or its Lebanese Hezbollah proxies could retaliate against neighbouring Israel, Washington’s key ally in the region.

 

Late last month, Iran’s army chief of staff General Hassan Firouzabadi warned: “Any military action against Syria will drive the Zionists to the edge of fire.”

 

US President Barack Obama’s administration is seeking to shore up support both at home and abroad for limited military strikes against Syria in retaliation for what it says is the regime’s use of chemical weapons in a Damascus suburb.

 

In Washington, Congress is due to begin full debate this week on whether to approve Obama’s plans when it returns from its summer break on Monday.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 07:50
photo Israel Aerospace Industries

photo Israel Aerospace Industries

08.09.20113 Youval Barzilaï - israelvalley.com

 

Dans le cadre de son programme d’armement 2015, l’armée Suisse projette d’acquérir six avions sans pilote pour un montant de 300 à 400 millions de francs. Le Heron 1 d’Israël Aerospace Industries et le Hermes 900 d’Elbit Systems ont été présélectionnés par les experts du Département fédéral de la défense et d’Armasuisse, qui décideront en 2014.

 

ISRAELVALLEY PLUS (ARCHIVES MAI 2011.)
La Suisse va acquérir six drones d’un coût de 300 à 400 millions de francs. Armasuisse choisira son prochain drone entre deux modèles israéliens. Israeli Aerospace Industries LTD et Elbit Systems sont les deux dernières entreprises sur neuf restées en lice pour remplacer les ADS 95 qui arrivent en fin de course après 12 ans d’exploitation.

 

Les deux constructeurs doivent soumettre d’ici Août 2012 une offre détaillée, a indiqué lundi Armasuisse dans un communiqué. Les tests porteront sur les avions sans pilote de type Hermes 900 de la société Elbit et Heron 1 de l’entreprise Israeli Aerospace Industries dans la deuxième moitié 2012. Le choix définitif se fera en 2014.

 

La Suisse compte acquérir 6 drones pour un coût compris entre 300 et 400 millions de francs. Cette somme inclut les aéronefs, la formation, la maintenance et l’entraînement, a précisé Kaj-Gunnar Sievert, porte-parole d’armasuisse. Les appareils doivent être livrés en 2015.

 

L’actuel drone ADS 95 est utilisé par l’armée mais sert aussi à d’autres autorités comme les gardes-frontière et la police.

 

ISRAELVALLEY PLUS


Pour la surveillance aérienne du champ de bataille, Israël mise bien évidemment sur les nombreux types de drones qu’elle a développé. Véritable précurseur en la matière, l’Etat hébreu a inspiré de nombreuses armées étrangères. De l’Afghanistan à l’Irak, en passant par la Géorgie et le Cachemire, il n’est pas de théâtre d’opérations où les avions sans pilote israéliens ne soient pas engagés.

 

Dans ce domaine de l’aéronautique, Israël représente le seul concurrent sérieux des Etats-Unis, notamment des constructeurs General Atomics et Northrop Grumman, qui développent les appareils Predator et Global Hawk. Sur le plan commercial, les drones constituent également le système que les Israéliens exportent le mieux. Pour preuve, la société Elbit Systems, via sa filiale Silver Arrow, inonde le marché mondial de ses Hunter, Hermes, Heron et autres dérivés de drones développés en partenariat avec l’Union européenne.

 

En l’espace d’une décennie, outre les Etats-Unis et les pays européens comme la France, Israël a su vendre son savoir-faire aux quatre coins de la planète : Brésil, Mexique, Australie, Nigéria, Corée du Sud, Inde, etc. Ces contrats rapportent chaque année des centaines de millions de dollars à l’Etat hébreu. Et comme souvent lorsqu’il s’agit d’armements, les affaires s’accommodent étrangement de la réalité géopolitique. En avril 2010, la Russie a ainsi fait part de son intention d’acquérir une cinquantaine de drones auprès d’Israël : Bird-Eye 400, I-View MK150 et Searcher MK II. Ce type d’appareil avait pourtant été vendu à l’armée géorgienne juste avant que celle-ci ne déclenche son offensive en Ossétie du Sud.

 

Cette omniprésence israélienne sur le marché des avions sans pilote n’est pas née du hasard. Au début des années 1970, les Israéliens sont les premiers à concevoir une nouvelle génération de drones ne se limitant pas seulement à être programmés sur des cibles, mais télécommandables à distance. Pendant la guerre de Kippour, l’utilisation massive de missiles sol-air SAM par les armées arabes anéantit 40% de l’aviation israélienne et démontre la nécessité d’élaborer un outil de renseignement en temps réel, en mesure de protéger la vie des pilotes. Le Mastiff fut le tout premier drone produit par l’industrie aéronautique israélienne. Très rapidement, l’aviation de Tsahal comprend l’intérêt tactique d’une telle technologie et lance plusieurs programmes de développement.

 

En 1982, les drones israéliens sont pour la première fois engagés massivement sur le champ de bataille. Au cours de l’offensive terrestre menée au Sud-Liban contre les bases de l’OLP, ces appareils font étalage de leur efficacité en détruisant les 28 sites de missiles SAM déployés par la Syrie. Cette performance bouleverse les doctrines militaires de l’époque. L’armée américaine ne tarde pas à suivre l’exemple en s’associant durablement à Israel Aircraft Industries (IAI). Dans les années 1990, les avions sans pilote Pionneer et Hunter font leur apparition dans la guerre du Golfe, puis en Libye, au Kosovo et en Serbie. Plus récemment, ces drones se sont montrés décisifs lors de la bataille de Falloujah contre les insurgés irakiens et servent régulièrement à déloger les Talibans des provinces afghanes. Avec les drones, tout un éventail d’applications a vu le jour dans le domaine de la défense : drones espion, bombardier, leurre, radar, transmission, cartographie, etc. Ces avancées militaires ont naturellement généré de nouveaux concepts civils2. La technologie d’avions sans pilote israélienne a permis de lancer de nombreuses initiatives comme la surveillance du trafic routier et des frontières, la météo, la lutte contre les incendies de forêts ou les réseaux de transmission téléphoniques.

 

L’utilisation d’avions sans pilote est aujourd’hui devenue indispensable pour toute force armée engagée sur un front. Au sein de Tsahal, le drone le plus utilisé actuellement est le Heron. Avec une charge utile de 300 kilos pour une longueur de 17 mètres, cet appareil sert notamment à la surveillance de la bande de Gaza et des zones chiites du Sud-Liban. Sa version améliorée, appelée Heron TP ou Eitan, peut emporter jusqu’à 700 kilos de charge. Illustration de leur rôle croissant dans les opérations, le temps de vol des drones israéliens a décuplé depuis la deuxième guerre du Liban, passant de 4176 heures par an en 2006 à près de 15.000 heures en 2008.

 

Dernièrement, les unités d’infanterie israéliennes ont toutes été équipées du micro-drone Skylark, développé par Elbit. Ce système portatif permet de sécuriser la progression de fantassins engagés dans des combats en zone urbaine. A l’instar du Skylark, d’autres modèles appartenant à la génération des mini-drones sont devenus opérationnels. Produit de l’IAI, le Mosquito est utilisé pour couvrir la progression des unités combattantes en position avancée. Il dispose de caractéristiques impressionnantes : une envergure de 13 centimètres et un poids variant entre 250 et 500 grammes selon les modèles. Seul handicap : sa portée de 1500 mètres oblige une utilisation limitée et ciblée. D’autres drones de petite dimension sont également utilisés pour surveiller les Territoires palestiniens. L’un d’entre eux, Birdy, 1,3 kilo, dispose d’une portée de 5 kilomètres et peut être facilement manipulé par un seul soldat. Légèrement plus lourd, le mini-drone Spy There peut effectuer des missions sur un rayon de 10 km.

 

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 07:30
La Turquie dépêche des avions de combat vers la frontière syrienne

ANKARA, 8 septembre - RIA Novosti

 

Six avions militaires turcs F-16 ont été dépêchés dimanche vers la frontière syrienne en mission de reconnaissance, rapporte le journal turc Sabah.

Les F-16 stationnés dans la province de Diyarbakir (sud-est) ont pour mission de détecter des déplacements le long de la frontière. Selon le quotidien, les pilotes des avions sont autorisés à ouvrir le feu en cas de nécessité.

Dans l'attente d'une éventuelle intervention militaire en Syrie voisine, Ankara renforce les mesures de sécurité à la frontière turco-syrienne. A l'heure actuelle, 15.000 soldats de l'armée de terre turque, environ 450 chars et véhicules blindés, ainsi que plus de 150 mitrailleuses lourdes ont été transférés vers la région

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 07:30
President Obama meets in the Situation Room with his national security advisors to discuss strategy in Syria on Aug. 31. (photo Pete Souza White House)

President Obama meets in the Situation Room with his national security advisors to discuss strategy in Syria on Aug. 31. (photo Pete Souza White House)

05.09.2013 Maya Kandel chargée d'études à l'Irsem
 

Théorie et pratique des pouvoirs de guerre aux Etats-Unis

 
Pour la première fois, une intervention militaire française dépend d’un vote du Congrès américain.
 

Cet appel au Congrès est également une première pour le président Obama, qui n’a pas demandé l’aval des parlementaires avant l’opération libyenne de 2011, ni pour les centaines d’assassinats ciblés par drones ordonnés depuis le début de sa présidence. Pour ces dernières, Obama a toujours invoqué l’autorisation très large de lutte contre Al Qaida et ses affiliés votée après les attentats du 11 septembre 2001. Dans le cas libyen, l’argumentation présidentielle a été plus tortueuse, invoquant le fait que les Etats-Unis n’étaient pas engagés dans des « hostilités » au sens de la loi sur les pouvoirs de guerre puisque Washington avait retiré ses forces de combat après 10 jours, laissant les alliés en première ligne et se cantonnant à un rôle de soutien et à l’emploi de ses drones.

 

Suite de l'article sur La Voie de l'Epée

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 07:30
A la Casse : Tsahal Vend 800 tonnes de Munitions et des Canons

08.09.2013 Dan Assayah (Tel-Aviv) - israelvalley.com

 

Tsahal fait des économies et le fait savoir. Pourquoi garder de vieux stocks d’armes et des canons qui ne servent plus à rien? L’arméee israélienne a donc décidé de vendre ses armes dépassées et inutiles à des recycleurs. Au total l’armée devrait récupérer ainsi autour de 2 millions de dollars. Un appel d’offres va être lançé dans les prochains mois.

 

Ynet : "The Defense Ministry will publish in coming days a unique tender selling used and old armory for metal recycling. According to the planned outline, the IDF is planning to sell between 660 and 800 tons of ammunition, which is expected to result in nearly NIS 7,000,000 ($1,800,000) in income.

 

According to the Defense Ministry, the IDF holds hundreds of tons of unusable ammunition from small arms and smaller cannon shells in diameter of between 0.22 to 40 millimeter. The new Defense Ministry Director-General Major-General (res.) Dan Harel, who assumed his role earlier this month, decided to sell the used armory to a recycling agent as it is out of use and taking up unnecessary space in IDF bunkers".

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 06:30
Syrie et armes chimiques: à consulter Brown Moses Blog pour une approche documentée

08.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

A tous ceux que la crise syrienne et la question de l'emploi des armes chimiques intéressent, je conseille de consulter Brown Moses Blog (cliquer ici pour y accéder). C'est le travail extrêmement documenté d'un néophyte éclairant, dont la réputation grandit depuis un an et qui constitue une source de vidéos, photos et analyses assez unique et à laquelle bon nombre de médias et d'ONG font confiance.

Pour en savoir plus sur le rédacteur de ce blog, Eliot Higgins, cliquer ici et ici.

Pour le suivre sur twitter, aller ici.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 17:30
Syria Rebels source globservateur.blogs.ouest-france.fr

Syria Rebels source globservateur.blogs.ouest-france.fr

06/09/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Des experts estiment qu’il y aurait quelques douzaines de combattants djihadistes canadiens, tandis que le gouvernement fédéral évalue que le nombre est plutôt aux alentours de la centaine de combattants qui auraient rejoint les rebelles se battant contre le régime du président syrien Bachar al-Assad. 

 

Si l’on s’en fie à ses chiffres, le Canada serait donc «surreprésenté» parmi les combattants islamistes, d’autant plus que le nombre officiel de djihadistes américains est beaucoup moins important, estime John Amble, étudiant les groupes islamiques militants pour sa thèse de doctorat.

Toutefois, il indique également que le chiffre avancé par le gouvernement «est certainement disproportionné».

Selon CBC, il y aurait eu au moins trois Canadiens morts en Syrie, ce que n’a pas voulu confirmer le ministère des Affaires étrangères.

Un cinéaste américain ayant vécu toute une année avec un groupe islamiste affirme avoir croisé entre 20 et 30 Canadiens, et que parmi eux, un Canadien nommé Abu Muslim aurait participé à une attaque sur l’aéroport de Damas il y a quelques semaines.

 

La mère d’un djihadiste canadien se confie

Comme de nombreuses autres mères de familles canadiennes, cette mère se désole du départ de son fils pour la Syrie, combattant aux côtés des rebelles islamistes (Photo: capture CBC)

 

Dans un reportage diffusé sur les réseaux anglophones et francophones de Radio-Canada, la mère d’un jeune homme canadien qui a rejoint un groupe de combattants extrémistes en Syrie se dit dévastée d’admettre que son fils est allé combattre dans une guerre «où je ne sais pas s’il serait un terroriste ou non?».

Suicidaire et souffrant de troubles bipolaires, son fils a vécu une adolescence difficile. Après s’être converti à l’islam, le jeune homme, né en Nouvelle-Écosse et qui a grandi en Alberta, a annoncé à sa mère qu’il allait étudier en Égypte pour y devenir un imam. Il est finalement parti pour la Turquie, puis la Syrie, où il a rejoint un groupe extrémiste.

Il y a quelques jours, le président du Conseil national syrien, Georges Sabra, a reconnu que la rébellion comptait des djihadistes dans ses rangs, mais a assuré qu’il s’agissait d’une minorité.

Évoquant, pour 45eNord.ca, le rôle des djihadistes dans le mouvement de rébellion et l’hésitation occidentale à les aider, Georges Sabra rappelle que c’est l’inaction occidentale «qui a amené ces djihadistes en Syrie. Si la Communauté internationale aide à stopper la tuerie, ce sera un premier pas pour stopper les djihadistes. Mais il y a beaucoup d’exagérations à propos de leur nombre. Ils ne sont que quelques milliers parmi les 180 000 soldats de l’Armée syrienne libre».

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 16:30
Sous-marins U-209 allemands

Sous-marins U-209 allemands

05/09/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Depuis son arrivée au pouvoir, Angela Merkel a décomplexé les industriels de l'armement allemands sur les ventes d'armes à l'exportation. Une rupture dans la doctrine de Berlin qui était réticent jusqu'ici à livrer du matériel militaire à des pays instables.

 

En Allemagne, les ventes d'armes autorisées par Berlin vers des pays sensibles, dont celles à destination des pays du Golfe et du Moyen Orient, font débat. Plus particulièrement celles vers l'Egypte, plongée actuellement dans une vague de violences entre les pro-Morsi, l'ancien président de l'Egypte renversé, et l'armée revenue au pouvoir. Cela n'a pas échappé à l'opinion publique allemande, qui demande aujourd'hui des explications à la Chancelière. Car depuis son arrivée au pouvoir en 2005, Angela Merkel a décomplexé les industriels de l'armement ainsi que les diplomates allemands sur le dossier des ventes d'armes « Made in Germany ». Berlin aurait même insisté pour que l'interdiction européenne d'exportation d'armements vers l'Egyptese cantonne exclusivement aux matériels de sécurité publique (répression d'émeutes).

Le SIPRI (Stockholm International Peace Research Institute) a classé dans son rapport 2011 l'Allemagne au 3ème rang mondial des exportateurs d'armements conventionnels majeurs sur la période 2006-2010. L'Allemagne détient 11 % du marché mondial, devançant la France (7 %) et la Grande-Bretagne (4 %). Les Etats-Unis sont au 1er rang (30 %), suivis par la Russie (23 % ). Année après année, l'Allemagne est régulièrement classée troisième, quatrième ou cinquième exportateur mondial d'armes classiques en valeur.

 

Le blindé, best-seller de Berlin

 « S'il y a une chose que les Allemands savent bien faire, ce sont les blindés, écrivait Der Spiegel fin décembre 2012. Dans toutes les variantes, avec des roues, avec des chenilles, pour le combat, pour le transport ». Et les blindés allemands utilisés pour le maintien de l'ordre - les Fahd, dérivés des TH 390 de Rheinmetall et fabriqués sous licence sur place - ont été mêmes très efficaces en 2011 en Egypte contre les manifestants du printemps arabe.

Le SPD a critiqué les livraisons d'armes à l'Egypte et estime que la stratégie d'Angela Merkel d'utiliser les exportations d'armes comme un levier pour le maintien de la paix, est un échec. Ces derniers mois, l'Allemagne a réussi à vendre des chars Leopard au Qatar (62 exemplaires) et en Indonésie (104).

 

Les deux-sous marins de la discorde

 Mais il y a une affaire qui embarrasse au plus haut point Berlin : les deux sous-marins U-209 vendus pour environ 700 millions d'euros par HDW, filiale de TKMS (ThyssenKrupp Marine Systems) que l'Allemagne a autorisé à exporter en Egypte. Un contrat contesté par Israël mais finalement confirmé par Berlin fin 2011. L'Allemagne a décidé de… ne rien décider. D'autant que le premier sous-marins en construction à Kiel devrait être achevé en 2016. D'ici là, Berlin espère que la situation en Egypte se sera clarifiée et pourra ainsi autoriser la livraison. Le SPD, rival du CDU de Merkel, est également resté très prudent. Et pour cause. Il est très implanté au nord de l'Allemagne où sont construits les deux sous-marins.

 

TKMS a tous les coups gagnant

Enfin, TKMS n'est pas trop inquiet, le groupe naval pouvant faire jouer la garantie d'Hermes, l'équivalent allemand de la Coface, à hauteur de 700 millions d'euros en cas de problèmes politiques. C'est peut-être la marine allemande qui pourrait se retrouver avec deux sous-marins dépassés sur les bras. Berlin pourrait peut-être les proposer à la Pologne, dont la marine veut se doter de deux sous-marins. Pour l'heure, ce n'est pas la priorité de la Pologne, qui vient de réduire son budget de la défense. Mais en 2016, pourquoi pas...

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 16:30
After the chemical attacks in Syria - now what?

06 September 2013 Jean Pascal Zanders

 

In the wake of the chemical attacks that occurred on 21 August in Syria, and the ensuing international outcry, this alert highlights the dangers of instrumentalising chemical warfare allegations in pursuit of other policy goals. It concludes that rather than rushing to action, waiting for the results of the UN investigative team tasked with analysing the evidence may be the wisest option for all.

 

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 16:30
Opération en Syrie: toute la Méditerranée en pâtirait (Défense russe)

MOSCOU, 5 septembre – RIA Novosti

 

Une opération militaire envisagée par les Etats-Unis en Syrie infligerait un dommage énorme à toute la région de la Méditerranée, a prévenu jeudi le vice-ministre russe de la Défense Anatoli Antonov.

 

"Une action militaire prévue par les Etats-Unis (en Syrie) ne manquerait pas d'infliger un sérieux dommage économique, politique et écologique à l'ensemble de la Méditerranée", a déclaré M.Antonov devant les journalistes.

 

Et d'expliquer qu'il s'agissait d'une zone balnéaire où une multitude de personnes passaient leurs vacances et où la concentration de navires civils était immense.

 

"Pendant ce temps (temps de l'opération militaire, ndlr), la navigation y serait pratiquement fermée, tous craignant qu'un missile ne frappe un bateau civil. Et je ne peux même imaginer ce qui pourrait arriver si un missile touchait, par exemple, un bâtiment de guerre russe", a ajouté le vice-ministre.

 

La situation en Syrie s'est aggravée le 21 août, date à laquelle certains médias hostiles au président Bachar el-Assad ont fait état de l'attaque chimique lancée par les troupes gouvernementales dans une banlieue de Damas. Selon les rebelles, cette attaque présumée pourrait avoir fait 1.300 morts. Des pays occidentaux, dont les Etats-Unis et la France, ont profité de cette information non confirmée pour appeler ouvertement à une intervention militaire en Syrie sans l'aval du Conseil de sécurité de l'Onu.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 11:30
source hemaridron.com

source hemaridron.com

L'attentat contre le Drakkar, en octobre 1983, avait été perpétré par un kamikaze en réponse à des frappes punitives menées par les États-Unis, à l'appui de l'armée libanaise, contre les forces syriennes au sud de Beyrouth.

 

05/09/2013 Par Isabelle Lasserre - LeFigaro.fr

 

Les options militaires contre la Syrie semblent toutes mauvaises. Les frappes punitives ont les faveurs des responsables politiques.

 

À en croire les spécialistes qui se sont penchés sur le dossier syrien, toutes les options militaires sont également mauvaises. Armer les rebelles signifie courir le risque de renforcer les islamistes radicaux, qui gagnent chaque jour en influence et dont une partie se revendique d'al-Qaida. Dangereuse à terme pour l'Occident, cette solution pourrait aussi nourrir le chaos sur le terrain et entretenir pour longtemps la guerre civile. Provoquer la chute de Bachar al-Assad par une campagne aérienne soutenue - l'exemple libyen - ne protégerait pas forcément la Syrie des mêmes effets. La politique du «changement de régime» n'a guère porté ses fruits en Irak, en Afghanistan et en Libye. Quant à la possibilité d'envahir la Syrie, elle est jugée si dangereuse en conséquence qu'elle a été exclue des différents scénarios, à Washington comme à Paris.

 

Reste l'option qui semble avoir la faveur des responsables politiques et militaires: des frappes punitives, limitées dans le temps et menées contre des objectifs ciblés. L'histoire récente en fournit plusieurs exemples. Mais aucun n'a été couronné de succès.

 

En 1983, en pleine guerre civile libanaise, des bateaux américains bombardent, depuis la Méditerranée, les forces syriennes au sud de Beyrouth, pour appuyer l'armée gouvernementale. Résultat: les attentats contre le Drakkar et l'aéroport international de Beyrouth, menés en octobre de la même année par des kamikazes et qui ont coûté la vie à 58 parachutistes français et 241 marines américains.

 

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 07:30
NATO Chief Regrets Divisions Over Syria

Sep. 5, 2013 – Defense News (AFP)

 

VILNIUS — NATO chief Anders Fogh Rasmussen sharply regretted international divisions over Syria on Thursday, warning that such splits risked sending a message of encouragement to dictators accross the globe to use prohibited deadly weapons.

 

“I strongly regret that division within the international community,” Rasmussen told AFP on the sidelines of an EU defense ministers’ meeting taking place in Lithuania as the United States and Russia sought to overcome divisions over a US-led push for military action against the Damascus regime.

 

“It sends a very dangerous signal to dictators all over the world that they can use chemical weapons and maybe other weapons of mass destruction without any reaction from the international community,” he added.

 

Rasmussen called for “a firm international response,” insisting he was confident Syrian President Bashar al-Assad’s regime was responsible for chemical weapons attacks on the outskirts of Damascus on Aug. 21 which killed hundreds.

 

EU ministers started talks Thursday in Lithuania, current holder of the rotating European Union presidency, as US President Barack Obama, Russian President Vladimir Putin and other world leaders were convening at a G20 gathering in Russia.

 

“We’re all looking to St. Petersburg. That’s now the forum for important decisions,” German Defence Minister Thomas de Maiziere told reporters.

 

Syria will also be at the heart of an EU foreign ministers gathering in Vilnius on Friday and Saturday that threatens to highlight more divisions with France standing alone in the 28-nation bloc in favor of military intervention.

 

The skeptics say any retaliatory strike could have dangerous consequences and stress the need for a proper legal justification to use force from the United Nations.

 

Rasmussen admitted it “seemed to be difficult” to find an agreement in the UN Security Council, where Russia and China have veto-wielding permanent membership, but said the military action could be justified.

 

“If individual nations were to respond militarily, it would be in defense of international conventions that clearly ban the use of chemical weapons,” he said.

 

US Secretary of State John Kerry is due to join EU counterparts on Saturday in Lithuania.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 06:30
Russia suspends Syria S-300 missile deliveries: Putin

September 6th, 2013 defencetalk.com (AFP)

 

President Vladimir Putin on Wednesday revealed Russia had suspended deliveries of sophisticated S-300 missile systems to Syria even though some components had already been handed over.

 

Western governments have repeatedly condemned Russia for signing a contract to supply President Bashar al-Assad’s regime with the S-300 air-defence systems which are among Russia’s most prized military exports.

 

Russia has repeatedly insisted that the contract is being implemented but in an interview with Channel One state television Putin said deliveries had now been suspended, without making clear why.

 

“We have delivered separate components but the whole delivery has not been completed and for the moment we have suspended it,” Putin said.

 

The announcement appears aimed at reassuring Russia’s Western partners ahead of this week’s G20 summit in Saint Petersburg, which is taking place against a background of huge diplomatic strains over the Syria conflict.

 

Putin had in June said the contract had not been “realised”, saying Moscow did not want “to upset the balance in the region”.

 

The West and Israel argued that delivery of the sophisticated weaponry by Moscow would hand Damascus the firepower to hit back at possible air attacks.

 

Putin acknowledged that the S-300 systems were not Russia’s most modern weaponry but also could not resist opining that they are a “bit better than the (US) Patriots, for example”.

 

The S-300 surface-to-air missile systems were first developed under the Soviet Union but new versions also appeared after the collapse of the USSR.

 

A military source told the state RIA Novosti news agency Wednesday that the components delivered by Moscow to Damascus were thus far not enough to mount a single complete S-300 missile system and could not be used as a weapon.

 

“Rosoboronexport (Russia’s arms export agency) has not completely implemented the contract with the S-300 systems. Deliveries started but have not been completed. They cannot be used as a single defence unit,” the source told the news agency.

 

The Vedomosti daily, citing sources in the arms industry, reported in August that several of the S-300s destined for Damascus had already been built.

 

Syria has paid a deposit of several hundred million dollars, the sources told the newspaper.

 

But Damascus is not expected to push for a quicker delivery of the systems or to demand its deposit back due to Assad’s need for Russian support, it added.

 

According to Russian media reports, the contract with Damascus is for between three to six missile system units and worth $1 billion.

 

The suspension of deliveries to Damascus comes after Russia in 2010 cancelled a contract to sell Iran S-300 systems in a deal that was estimated to have been worth some $800 million.

 

Russia came under strong US and Israeli pressure not to go ahead with the sale of the weapons systems to Tehran which would have impeded any Western military action against the Iranian nuclear drive.

 

Tehran expressed fury but the director of the Russian weapons manufacturer Almaz-Antey which makes the S-300s said last month that the systems destined for Tehran had been dismantled, with some elements used elsewhere and other parts destroyed.

 

“The hardware that was destined for Iran no longer exists,” said general director of Almaz-Antey, Vladislav Menshchikov, quoted by the Interfax news agency.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 06:30
Israel deploys Iron Dome defence system: Netanyahu

September 5th, 2013 defencetalk.com (AFP)

 

Prime Minister Benjamin Netanyahu on Thursday said Israel deployed its Iron Dome missile defence system to bolster its security as the West weighed military strikes on neighbouring Syria.

 

But he echoed President Shimon Peres in insisting that Israel is not involved in Syria’s civil war but will respond with all its might if attacked.

 

“We have decided to deploy Iron Dome and other interceptors,” Netanyahu said, in a statement released by his office, ahead of holding security talks at the defence ministry.

 

“We are not involved in the war in Syria. But I repeat: if anyone tries to harm Israeli citizens, Tsahal (the Israeli army) will respond with force,” Netanyahu said in other remarks broadcast by Israeli television.

 

His comments come as Britain and the United States laid out their case for punitive strikes on Syria over an alleged chemical attack last week that rights groups say killed hundreds.

 

Earlier Peres said Israel will hit back if its security is at stake.

 

“Israel was not, and is not, involved in the Syrian fighting but if anyone tries to harm us we will respond with all our might,” Peres was quoted as saying in a statement from his office.

 

“Israel has a strong army, modern and powerful, and a more advanced defence system than ever before,” he added.

 

Army chief of staff Lieutenant General Benny Gantz said his forces were “ready for all scenarios,” but added: “I hope we will not have to send them into action.”

 

Peres said the situation in Syria, where a civil war that erupted in March 2011 has killed more than 100,000 people, “is not a local incident but a crime against humanity.”

 

Israeli media and officials sought to calm the public on Thursday, as queues for gas masks lengthened.

 

There are fears that it the United States and its allies launch military strikes on Syria, forces of Syrian President Bashar al-Assad could retaliate against Israel, Washington’s key ally in the region.

 

“Keep calm and carry on” was the title of a front-page analysis in the Jerusalem Post, echoing a slogan designed by the British government in World War II.

 

“With (Israeli) military intelligence keeping more eyes and ears open to enemy activity than ever before, the combination of Israel’s firepower and accurate intelligence would spell very bad news for the Assad regime should it choose to target Israel in response to an attack on Syria by the United States,” the Post wrote.

 

“Doing so would likely sign his regime’s death certificate.”

 

On Wednesday, Netanyahu’s security cabinet authorised a limited call-up of reservists, but the premier said members of the public had “no reason to change their routines.”

 

Haaretz daily said those to be called up numbered “a few hundred” personnel considered vital, including members of missile defence, air force, intelligence and civil defence units.

 

“We need to make preparations but also to go about our daily lives,” Defence Minister Moshe Yaalon said on Wednesday.

 

News website Ynet reported on Thursday that “hundreds” of people were waiting outside a gas mask distribution centre in central Tel Aviv before it opened, and public radio said “thousands” were queueing at a distribution site in the northern city of Haifa.

 

Maariv said a centre in Jerusalem was forced to close on Wednesday after anxious residents grabbed all the mask kits on the premises.

 

Nevertheless, Maariv reported, “security officials said that the situation assessment was that the likelihood of an attack on Israel was low.”

 

The kits were first distributed during the 1991 Gulf War over Kuwait when Saddam Hussein’s Iraq fired Scud missiles at Israel as the US-led coalition launched Operation Desert Storm.

 

The kits also contain syringes of the anti-nerve gas agent atropine for self-injection.

 

Yediot Aharonot diplomatic writer Shimon Shiffer recalled the 1991 attacks, which did not deliver non-conventional warheads and caused few casualties.

 

“Yesterday, against the backdrop of pictures of panicked civilians crowding the distribution centres for gas mask kits, I remembered something I said back then: ‘There are no chemical weapons, and there will be no chemical weapon attack,’” Shiffer wrote in the top-selling daily.

 

“It seems to me that what was correct then, is correct today too. I dare to say that no chemical weapon attack is expected on Israeli targets. We can relax.”

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 06:30
Turkey Reinforces Syria Border as Erdogan Backs US Attack

September 6th, 2013 defencetalk.com

 

Turkey deployed tanks and anti-aircraft guns to reinforce its military units on the Syrian border, as the U.S. considers strikes against Syria.

 

Convoys carrying tanks and rocket-launchers headed to border areas in Hatay, Gaziantep and Sanliurfa provinces today and yesterday, according to Hurriyet newspaper and Anatolia news agency. Tanks, missile launchers and anti-aircraft guns on hilltops near the border town of Kilis were aimed Syria, state-run TRT television said. F-16s, tanker and cargo planes as well as at least one drone landed at southern Incirlik Air Base, Anatolia said.

 

Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdogan, who has expressed a willingness to join any international coalition against Syria, yesterday vowed to respond to any attack from its southern neighbor. He spoke after Syrian Deputy Foreign Minister Faisal al-Mekdad was cited by the Wall Street Journal as saying that Syria will strike U.S. allies Israel, Jordan and Turkey if the Obama administration attacks his country over its alleged use of chemical weapons on Aug. 21.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 06:30
75,000 troops needed to secure chemical weapons if Damascus falls

September 05, 2013 RT.com

 

The potential of strategic US strikes in Syria has sparked fears Damascus’ chemical weapons could fall into the wrong hands if the government is toppled. A recent congressional report says 75,000 troops would be needed to safeguard the WMD caches.

 

The Congressional Research Center (CRS) report, issued just one day before the alleged August 21 chemical weapons attack in a Damascus suburb, was compiled with the aim of “responding to possible scenarios involving the use, change of hands, or loss of control of Syrian chemical weapons.”

 

It states that Syria’s chemical weapon stockpiles, which a French intelligence report recently estimated at over 1,000 tons, have been secured by Syrian special forces.

 

“Due to the urgency of preventing access to these weapons by unauthorized groups, including terrorists, the United States government has been preparing for scenarios to secure the weapons in the event of the Assad regime’s loss of control,” the document reads

 

Testifying before the Senate Armed Services Committee on March 7, 2012, then-Secretary of Defense Leon Panetta warned the ouster of Assad would present a scenario “100 times worse than what we dealt with in Libya.”

 

In order to secure the 50 chemical weapon and production sites spread across Syria, in addition to storage and research facilities, “The Pentagon has estimated that it would take over 75,000 troops to neutralize the chemical weapons,” the document continues, citing a February 2012 CNN report.

 

Meanwhile, a resolution backing the use of force against President Bashar Assad's government cleared the Senate Foreign Relations Committee on a 10-7 vote on Wednesday, although section 3 of the draft ostensibly ruled out US combat operations on the ground.

 

The wording of the text, however, could potentially allow for troops on the ground for the sake of non-offensive operations, including securing chemical weapons stockpiles and production facilities.

 

While the Senate committee initially opted to limit US military involvement in the country to 90 days with no potential of ground operations, Republican Senator John McCain joined forces with Democratic Senator Chris Coons to add a provision calling for "decisive changes to the present military balance of power on the ground in Syria."

 

The Obama administration’s vacillations on Syria were perhaps best exemplified by Secretary of State John Kerry. Speaking before the Senate Foreign Relations Committee on Tuesday, Kerry suggested it would be preferable to give the White House the power to send in ground forces in the event that Syria “imploded” or if chemical weapons were at risk of being obtained by extremists.

 

"I don't want to take off the table an option that might or might not be available to a president of the United States to secure our country," he told the committee in the run up to the vote.

 

After being told by Senator Bob Corker –  the top Republican on the committee –  his sentiments regarding boots on the ground were not “a very appropriate response,” Kerry quickly backtracked.

 

"Let's shut the door now," Kerry said. "The answer is, whatever prohibition clarifies it to Congress or the American people, there will not be American boots on the ground with respect to the civil war."

 

Having cleared committee, the measure authorizing force in Syria is expected to reach the Senate floor next week. Senator Rand Paul, a republican with strong ties to the Tea Party movement, has threatened a filibuster.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 17:30
Sky Sapience hands over HoverMast-100 tethered hovering system to IDF

Hovermast-100 tethered system is primarily designed for small vehicles. Photo Sky Sapience.

 

5 September 2013 army-technology.com

 

The Israel Defense Forces' (IDF) ground forces command has taken delivery of the upgraded Hovermast-100 tethered hovering system from Sky Sapience, during a ceremony at the company's experiment facility in Israel.

 

Delivered following several live demonstrations, including from a moving pick-up truck on difficult terrain, the patented system is scheduled to enter operational evaluation shortly.

 

Sky Sapience CEO and founder brigadier general, Gabriel Shachor, said the company is confident that IDF will find HoverMast an invaluable tool for its intelligence gathering and surveillance (ISR) missions, and will place further orders in the future.

 

"With the completion of our in-house production facility due in a few months, Sky Sapience will begin supplying HoverMast products to its international customer base," Shachor said.

 

Hovermast-100 is an advanced, lightweight and tethered hovering platform manufactured by the company to address Israel Ministry of Defence's (IMOD) ISR requirements over the last two years.

"Hovermast-100 is an advanced, lightweight and tethered hovering platform."

 

The system is especially suited for special forces, border and port protection, and infantry missions due to its ability to mount on an array of vehicles, including small pick-up trucks and unmanned ground or surface vehicles (UGV/USV).

 

Capable of deploying autonomously at the click of a button, the tethered system can also be configured for a broad spectrum of urban missions, such as urban warfare and law enforcement, apart from other industrial, civilian and homeland security operations.

 

Capable of relaying gathered mission critical data through its wide band communication link to selected recipients in real time, the system can carry a payload of up to 6kg, such as electro-optic sensors, laser designators, radars, advanced communications intelligence (COMINT) and electronic intelligence (ELINT) systems.

 

The system was initially launched by the company at the Association for Unmanned Vehicle Systems International (AUVSI)conference and exhibition in Tel-Aviv, Isarel in 2012.

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